MOTS DE LOUANGE POUR GAGNER AVEC LES GENS

«L'incroyablement prolifique John Maxwell recommence! Quel fil conducteur de principes sages, pratiques, bien illustrés,
simples et éprouvés qui, s'ils étaient suivis, amélioreraient profondément les relations, en particulier celles que nous devons
reconstruire.
- DR. STEPHEN R. COVEY
Auteur, Les 7 habitudes des personnes hautement efficaces et
La 8ème habitude: de l'efficacité à la grandeur
«John Maxwell le fait à nouveau dans ce nouveau livre inspirant. Rempli d'histoires réconfortantes et d'idées puissantes, Gagner
avec les gens nous rappelle que de bonnes relations sont la clé du succès. Mieux encore, il fournit un enseignement clair - les
principes du peuple - que tout le monde peut appliquer. »

- KEN BLANCHARD
Co-auteur de Le gestionnaire d'une minute ® et Customer Mania!
«La lecture des livres de John Maxwell et l'écoute de ses cassettes audio ont été pour moi de véritables outils de renforcement du
leadership au cours des six ou sept dernières années. Nous avons tous nos propres pensées et compétences en communication,
mais le travail de John a vraiment stimulé une nouvelle réflexion et renforcé toutes ces choses auxquelles je croyais sincèrement
depuis toujours.
Je ne passe presque jamais une journée où je n'essaye pas d'améliorer mes propres compétences en leadership, et le plus souvent,
c'est John Maxwell sur lequel je m'appuie pour obtenir de l'aide. Maintenant, il nous offre à tous une opportunité d'avoir un peu plus de
perspicacité avec ce nouveau livre, Gagner avec les gens.
Quel excellent sujet pour un entraîneur de football de la NFL à approfondir, car l'essence de notre travail consiste à travailler avec, à guider et à
motiver des athlètes hautement qualifiés dans une entreprise de haute performance qui ne correspond pas à de nombreuses autres
professions.
Ma philosophie a toujours été: «Je n'entraîne pas de footballeurs; J'entraîne des gens qui jouent au football pour gagner leur vie. '' Ce
nouveau livre sera un atout formidable pour moi alors que nous essayons de passer d'une équipe de 13 victoires et 3 défaites en séries
éliminatoires à une championne du monde. John Maxwell est l'entraîneur d'un entraîneur.

- DICK VERMEIL
Entraîneur-chef de football, Chiefs de Kansas City
"Gagner avec les gens peut être quelque chose de «parfois», et nous voulons gagner avec les gens «exprès». Le livre de John
Maxwell nous aide à atteindre cet objectif. Les principes humains sur lesquels il écrit doivent être appliqués par chacun dans sa
vie professionnelle et personnelle. Ses concepts dans
Gagner avec les gens m'ont aidé à développer mes compétences relationnelles exprès.
Récemment, en tant que partenaire de golf. . . John Maxwell a réussi un birdie aux deux derniers trous - il a gagné avec moi! Le Dr Maxwell
est le meilleur exemple d'une personne qui gagne avec les gens - tous les jours.
- MATT HENDERSON
Président, Henderson Financial Group, Inc.
«Maxwell recommence! Gagner avec les gens nous met au défi avec des connaissances pratiques sur les personnes qui ont le potentiel de
changer nos maisons, nos lieux de culte, notre travail et notre monde.
- ENREGISTREMENT BOB
Président, North American Mission Board
«Vous ne gagnez pas de matchs de football de manière cohérente sans comprendre et appliquer les principes du peuple que
John Maxwell aborde dans ce merveilleux nouveau livre, Gagner avec les gens.
- MARK RICHT
Entraîneur-chef, Georgia Bulldogs
«Gagner avec les gens est un auto-examen percutant et sans restriction qui amène le lecteur à demander. . . . comment puis-je
être ce que je recherche? Pertinent et perspicace, ce livre est le meilleur de la construction de relations «centrées sur l’autre». »

- BERNICE A. KING
«Il serait impossible de surestimer l’importance des principes des personnes quand on parle de gagner. Les gens
sont tout, et tout bon leader le sait. John Maxwell énonce des principes simples pour quiconque traite avec les gens
- et qui n'en ferait pas partie? »
- MARK DEMOSS
«Vous ne pouvez pas réussir à entraîner une équipe de la NFL à moins de comprendre comment tirer le meilleur parti de vos joueurs. De
même, vous ne pouvez réussir quoi que ce soit à moins d'apprendre à bien travailler avec les autres. Que ce soit sur le terrain de
football, dans la salle de conférence ou à la maison, les principes de Gagner avec les gens vous aidera à apprendre à être un leader dans
tous les domaines de la vie. »
- DAVE WANNSTEDT
Entraîneur-chef, Miami Dolphins
En tant que précurseur dans le domaine des principes de leadership, Maxwell a de nouveau produit un livre sachant que chaque leader doit
connaître. Si vous désirez diriger ou si vous êtes dans un rôle de leadership, ce livre est un incontournable! »

- L'ÉVÊQUE EDDIE LONG

Pasteur principal, Église baptiste missionnaire de la nouvelle naissance
«La sagesse simple et puissante doit être chérie. Ce livre est un joyau.
- PAT LENCIONI
Auteur, Les cinq dysfonctionnements d'une équipe et Mort par réunion
«John Maxwell a consacré toute sa vie à ajouter de la valeur aux autres, et il l'a encore fait en Gagner avec les gens. Ce
livre s'adresse à tous ceux qui aspirent à construire des relations dynamiques, productives et gagnantes avec les gens.
Superbe!"
- TODD C. CASH
Président: CEO AdvoCare International
"Informatif . . . pédagogique. . . inspirant! Dans ce bel article, le légendaire John Maxwell révèle des principes éprouvés que les leaders
utilisent consciemment pour bâtir et préserver la confiance de leurs employés. C'est une lecture incontournable pour les dirigeants qui
s'engagent à diriger.
- JACK KINDER, JR. ET GARRY D.KINDER
Consultants – Auteurs – Conférenciers
Riche. . . perspicace. . . extraordinairement utile! Je commande un étui.
- ANDY STANLEY
Église communautaire de North Point
«Ce livre a affiné nos outils en matière de relations, qu'il s'agisse de relations avec nos conjoints, enfants, collègues, amis
d'église ou simplement dans les endroits où nous faisons nos courses. Gagner avec les gens, par John C. Maxwell, est écrit
dans un style typique de John Maxwell avec de grands principes qui sont pratiques et illustrés avec excellence, et captiveront
non seulement votre lecture, mais aussi la façon dont vous voyez les gens et comment vous interagissez avec les gens chaque
jour de votre vie . »

- REV. TOM ATEMA

Directeur général, Blue Ridge Broadcasting,
un affilié de la Billy Graham Evangelistic Association
«Puisque presque 100% de tous les conseils sont le résultat direct ou indirect de difficultés relationnelles
- à la maison, au travail et dans la communauté - Gagner avec les gens par le Dr John Maxwell devient un Doit lire pour
ceux qui comprennent clairement l’importance de nos relations avec les autres. »

- ZIG ZIGLAR
Auteur / professeur de motivation
«Pourquoi John Maxwell a-t-il vendu plus d'un million de livres? Parce que ses idées sont claires et utiles. Ils travaillent! C'est le
meilleur livre de John. Gagner avec les gens est la nécessité humaine centrale et comme prévu, John livre la marchandise.

- BOB BUFORD
Auteur, Mi-temps et Bien finir
Fondateur, Leadership Network
"Pratique. Perspicace. Convaincant. En train de lire Gagner avec les gens c'est comme lire un livre entier de proverbes traitant
uniquement des relations. Lorsque vous lisez un livre et commencez à penser au nombre de personnes qui doivent le lire, vous
savez que vous avez trouvé un livre important. Celui-ci est un tel livre. Une fois de plus, John a frappé un circuit.

- RANDY POPE
Pasteur, Église Périmètre, Duluth, Géorgie
«Je suis l'un des nombreux à avoir le privilège de considérer John Maxwell comme un bon ami. Il y a très peu de
gens avec qui j'aime passer du temps avec plus que John. Le fait est que ce livre illustre pourquoi John a de
nombreuses relations comme celle qu'il a avec moi. Il pratique ce qu'il prêche. Je crois que ce livre est peut-être le
plus significatif que John ait écrit, et ce n’est pas une petite déclaration.

- BLEU RON
Président du CFPN (Christian Financial Professionals Network)
«Il y a des années, Dieu m'a révélé un principe significatif:« Les gens sont les parties ». Cette vérité indéniable s'applique
aux relations de travail et à tous les efforts de coopération pour construire, réussir et atteindre des objectifs valables. Le
Nouveau Testament enseigne clairement que les gens sont les parties connectées nécessaires du propre corps de Christ
dans le monde aujourd'hui. Sans relations saines, le succès est impossible. John Maxwell a capturé l'essence de ces
vérités et l'explique comme lui seul le peut. Merci, John.

- JAMES ROBISON
Président de LIFE Outreach, International
Hôte de LA VIE Aujourd'hui
«John Maxwell l'a encore fait! Il a écrit un autre livre magnifique rempli d'idées convaincantes, d'illustrations
réelles et de tâches pratiques. Gagner avec les gens est parfois sérieux, parfois humoristique et toujours
intéressant. Savoir s'entendre avec les gens est plus que jamais nécessaire - et Gagner avec les gens répond
à ce besoin! »
- PAUL J. MEYER
Fondateur, Success Motivation Institute, Inc., et plus de 40 autres entreprises
Auteur à succès du New York Times
(Dernier livre: Déverrouiller votre héritage: 25 clés du succès)
«Apprendre à gagner avec les gens et développer des relations personnelles solides sont les éléments essentiels d'une vie réussie.
Que vous reveniez aux bases et développiez des compétences relationnelles à partir de zéro, ou que vous peaufiniez simplement
un portefeuille déjà impressionnant de création de relations, ce livre est une lecture incontournable. La compréhension naturelle de
John de la relation humaine est inégalée!

- GREG PROVENZANO
Président et co-fondateur ACN Inc.
«John Maxwell a une compréhension et une solide compréhension des principes que nous devons tous suivre pour
réussir dans la vie. Il combine cette compréhension avec une capacité inégalée à communiquer ces principes.

Gagner avec les gens nous donne un chemin clairement défini vers une vie plus riche et plus épanouissante dans tous nos efforts.

- RON PURYEAR
«Je viens de terminer le nouveau livre de John, Gagner avec les gens. Ce livre est fantastique. . . L'instinct de John est juste sur la cible.
Chaque leader devrait avoir ceci sur sa liste de "lecture obligatoire"! »
- JIM BLANCHARD
PDG, Synovus
«Les gens sont plus importants que les profits. John Maxwell enseigne à garder les choses importantes importantes. Pour
être un gagnant, j'encouragerais la lecture de ce livre de sagesse.
- TRUETT CATHEY
Copyright © 2004 par John C. Maxwell
Tous les droits sont réservés. Aucune partie de ce livre ne peut être reproduite, stockée dans un système d'extraction ou transmise sous quelque forme ou
par quelque moyen que ce soit - électronique, mécanique, photocopie, enregistrement, numérisation ou autre - à l'exception de brèves citations dans des
revues ou articles critiques, sans le autorisation écrite préalable de l'éditeur.

Publié à Nashville, Tennessee, par Thomas Nelson, Inc.

Publié en association avec Yates & Yates, LLP, Avocats et conseillers, Orange, Californie. Sauf indication contraire, les
citations bibliques sont tirées de LA VERSION DU NOUVEAU ROI JAMES. Copyright © 1982 par Thomas Nelson, Inc.

Utilisé avec permission. Tous les droits sont réservés. Citations bibliques notées Le message sont issus Le message: Le Nouveau
Testament en anglais contemporain. Copyright © 1993 par Eugene H. Peterson.

Les livres Nelson Books peuvent être achetés en vrac à des fins éducatives, commerciales, de collecte de fonds ou de promotion des ventes.
Pour plus d'informations, veuillez envoyer un courriel à SpecialMarkets@ThomasNelson.com.
Données de catalogage à la source de la Bibliothèque du Congrès
Maxwell, John C., 1947–
Gagner avec les gens: découvrez les principes des gens qui fonctionnent pour vous à chaque fois / John C. Maxwell.

p. cm.
Comprend des références bibliographiques.
ISBN 0-7852-7636-X (international)
1. Relations interpersonnelles - Aspects religieux - Christianisme. 2. Communication interpersonnelle - Aspects religieux -
Christianisme. 3. Relations interpersonnelles. 4. Communication interpersonnelle. I. Titre. BV4597.52.M394 2005

158,2 — dc22
2004017976
Imprimé aux États-Unis d'Amérique
05 06 07 08 09 QW 9 8 7 6 5 4 3 2
 Gagner avec les gens est dédié à Hannah
Elisabeth Maxwell,
notre deuxième petit-enfant.
Sa personnalité pétillante
a déjà gagné le cœur de ses grands-parents.
C'est notre prière qu'en vieillissant, elle puisse
toujours gagner avec les gens.
 REMERCIEMENTS

Je tiens à remercier:

Charlie Wetzel, mon écrivain

Kathie Wheat, qui fait mes recherches
Stephanie Wetzel, qui vérifie et édite le premier manuscrit
Linda Eggers, mon assistante
 CONTENU

Remerciements
introduction
LA QUESTION DE PRÉPARATION:
SOMMES-NOUS PRÉPARÉS POUR DES RELATIONS?
Le principe de l'objectif: Qui nous sommes détermine comment nous voyons les autres
Le principe du miroir: La première personne que nous devons examiner est nous-mêmes
Le principe de la douleur: Blesser les gens blesse les gens et sont facilement blessés par eux
Le principe du marteau: N'utilisez jamais un marteau pour faire tomber une mouche de la tête de quelqu'un
Le principe de l'ascenseur: Nous pouvons élever ou abattre les gens dans nos relations
LA QUESTION DE CONNEXION:
Sommes-nous prêts à nous concentrer sur les autres?
Le principe général: L'ensemble de la population mondiale - à une petite exception près
- Est composé d'autres
Le principe d'échange: Au lieu de mettre les autres à leur place, nous devons nous mettre
Leur place
Le principe d'apprentissage: Chaque personne que nous rencontrons a le potentiel de nous apprendre quelque chose
Le principe du charisme: Les gens sont intéressés par la personne qui les intéresse
Le principe du numéro 10: Croire le meilleur des gens fait généralement ressortir le meilleur
Personnes
Le principe de la confrontation: Prendre soin des gens doit précéder l'affrontement
LA QUESTION DE CONFIANCE:
Pouvons-nous bâtir une confiance mutuelle?
Le principe du substrat rocheux: La confiance est le fondement de toute relation
Le principe de situation: Ne laissez jamais la situation signifier plus que la relation
Le principe de Bob: Quand Bob a un problème avec tout le monde, Bob est généralement le problème
Le principe d'approche: Être à l'aise avec soi-même aide les autres à être à l'aise avec
Nous
Le principe de Foxhole: Lorsque vous vous préparez au combat, creusez un trou assez grand pour un ami
LA QUESTION D'INVESTISSEMENT:
SOMMES-NOUS PRÊTS À INVESTIR DANS LES AUTRES?
Le principe du jardinage: Toutes les relations ont besoin d'être cultivées
Le principe des 101 pour cent: Trouvez le 1% sur lequel nous sommes d'accord et donnez-lui 100% de notre
Effort
Le principe de patience: Le voyage avec les autres est plus lent que le voyage seul
Le principe de la célébration: Le vrai test des relations n'est pas seulement à quel point nous sommes fidèles
Quand les amis échouent, mais à quel point nous sommes ravis quand ils réussissent
Le principe de la grande route: Nous passons à un niveau supérieur lorsque nous traitons les autres mieux que
Ils nous traitent
LA QUESTION DE SYNERGIE:
Pouvons-nous créer une relation gagnant-gagnant?
Le principe Boomerang: Lorsque nous aidons les autres, nous nous aidons nous-mêmes
Le principe d'amitié: Toutes choses étant égales par ailleurs, les gens travailleront avec les gens qu'ils
Comme; Toutes choses n'étant pas égales, elles le seront toujours
Le principe de partenariat: Travailler ensemble augmente les chances de gagner ensemble
Le principe de satisfaction: Dans les grandes relations, la joie d'être ensemble suffit
Examen final des principes relatifs aux personnes Gagner avec les gens
Remarques
A propos de l'auteur
 INTRODUCTION

W Que faut-il pour gagner avec les gens? Un individu doit-il naître avec une personnalité extravertie ou un grand sens de l'intuition pour
réussir relationnellement? En ce qui concerne les compétences humaines, y a-t-il des nantis et des démunis, et nous devons simplement
accepter les capacités que Dieu nous a données? Quelqu'un qui est doué pour établir des relations peut-il devenir encore meilleur?

La plupart d'entre nous peuvent dire instantanément quand nous sommes en présence d'une vraie «personne humaine». Les personnes ayant
d'excellentes compétences relationnelles se connectent facilement avec nous, nous font nous sentir bien dans notre peau et nous élèvent à un niveau
supérieur. Notre interaction avec eux crée une expérience positive qui nous donne envie de passer du temps avec eux.

Certaines personnes sont si douées pour travailler avec les gens qu'elles devraient être dans un temple de la renommée des relations.
Des gens comme Dale Carnegie, John Wooden, Ronald Reagan et Norman Vincent Peale viennent facilement à l'esprit. De même, il y a
des personnes dont les capacités relationnelles pourraient en faire des candidats à une salle relationnelle de la honte. Leona Helmsley,
Henry Ford (Sr.), Frank Lorenzo et Dennis Rodman ont une telle réputation.

Mais vous n'avez pas besoin de lire l'article ou d'étudier l'histoire pour trouver des exemples d'extrémités relationnelles. Vous devez les gérer
quotidiennement dans votre propre vie: dans la rue, à l'église (peut-être à la maison) et certainement au travail. Jetez un œil aux affirmations
suivantes que les gens déposent sur les candidatures à un emploi qui révèlent leurs lacunes lorsqu'ils traitent avec des gens:

C'est mieux pour les employeurs si je ne travaille pas avec des gens.
L'entreprise a fait de moi un bouc émissaire, tout comme mes anciens employeurs.
Remarque: veuillez ne pas interpréter mes quatorze emplois comme un saut d'emploi. Je n'ai jamais quitté un emploi. Références:
Aucune. J'ai laissé un chemin de destruction derrière moi.
Vous pensez peut-être que certains de ces candidats travaillent maintenant à votre lieu d'embauche!

CERTAINS CONNAISSENT LE SECRET

Quel genre de prix accorderiez-vous à de bonnes compétences relationnelles? Demandez aux PDG prospères des grandes entreprises quelle est la
caractéristique la plus nécessaire pour réussir à des postes de direction, et ils vous diront que c'est la capacité de travailler avec les gens. Interrogez les
entrepreneurs pour découvrir ce qui sépare les succès des échecs, et ils vous diront que c'est une compétence avec les gens. Parlez aux meilleurs
vendeurs et ils vous diront que la connaissance des gens est bien plus importante que la simple connaissance des produits. Asseyez-vous avec des
enseignants et des commerçants, des contremaîtres d'atelier et des propriétaires de petites entreprises, des pasteurs et des parents, et ils vous diront
que les compétences humaines font la différence entre ceux qui excellent et ceux qui ne le font pas. Les compétences humaines sont inestimables. Peu
importe ce que vous voulez faire. Si vous pouvez gagner avec des gens, vous pouvez gagner!

Beaucoup de gens tombent dans le piège de prendre les relations pour acquises. Ce n'est pas bon parce que notre capacité à bâtir et à
maintenir des relations saines est le facteur le plus important dans la façon dont nous nous entendons dans tous les domaines de la vie. Nos
compétences en relations humaines déterminent notre succès potentiel. Robert W. Woodruff, l'homme dont la direction a transformé la
société Coca-Cola d'un petit producteur régional de boissons à une organisation mondiale et une puissance financière, a compris le facteur
humain lorsqu'il s'agissait de réussite. Dans son livre Meilleure performance, l'expert en relations Zig Ziglar cite l'ancien PDG de Coca-Cola
Company. Zig dit que Woodruff avait l'habitude de distribuer une petite brochure qu'il avait créée qui disait:
 La vie est à peu près un travail de vente. Que nous réussissions ou échouons dépend en grande partie de la manière dont nous motiverons les
êtres humains avec lesquels nous traitons à nous acheter et de ce que nous avons à offrir.
Succès ou échec dans ce métier est essentiellement une question de relations humaines. C'est une question de type de réaction à
notre égard par les membres de notre famille, nos clients, nos employés, nos employeurs et nos collègues et associés. Si cette réaction
est favorable, nous réussirons probablement. Si la réaction est défavorable, nous sommes condamnés.

Le péché mortel dans nos relations avec les gens est que nous les prenons pour acquis. Nous ne faisons pas un effort
actif ou continu pour faire et dire des choses qui les rendront comme nous, et nous croiront, et qui créeront en eux le désir
de travailler avec nous dans la réalisation de nos désirs et de nos buts.

Encore et encore, nous voyons les deux les individus et les organisations ne réussissent que dans une faible mesure de leur succès potentiel,
ou échouent entièrement, simplement en raison de leur négligence de l'élément humain dans les affaires et la vie.

Ils prennent les gens et leurs actions pour acquis. Pourtant, ce sont ces gens et leurs réponses

qui les font ou les cassent. 1

TOUT COMMENCE AVEC LES GENS

Tous les succès de la vie proviennent de l'établissement de relations avec les bonnes personnes, puis du renforcement de ces relations en
utilisant de bonnes compétences relationnelles. De même, les échecs de la vie peuvent généralement être attribués aux gens. Parfois,
l'impact est évident. S'emmêler avec un conjoint violent, un partenaire tordu ou un membre de la famille codépendant va causer de grands
dommages. D'autres fois, le problème est moins dramatique, comme aliéner un collègue avec lequel vous devez interagir tous les jours, ne
pas établir une relation positive avec un client important ou manquer des opportunités clés pour encourager un enfant en insécurité.
L'essentiel est le suivant: les gens peuvent généralement faire remonter leurs succès et leurs échecs aux relations dans leur vie.

Quand je pense à mes échecs personnels, je peux retracer la plupart d'entre eux à des individus spécifiques dans ma vie. Une fois, j'ai choisi la
mauvaise personne pour obtenir des conseils financiers et j'ai conclu un accord pétrolier avec lui. Cela m'a coûté 10 000 $, qu'il avait fallu beaucoup de
temps à ma femme Margaret et à moi pour économiser. Une autre fois, j'ai lancé une entreprise et j'ai demandé à un ami de la prendre en charge,
pensant qu'il pouvait y arriver. Mais mon jugement était médiocre, et après seulement quelques années, l'entreprise était plus de 150 000 $ dans le
rouge.
Je ne joue pas la victime et je rejette la faute sur les autres. Je dis plutôt que mon interaction avec les autres est une partie
importante du processus. De la même manière, je ne peux pas m'attribuer le mérite de mes succès. Aucun d'entre eux n'était une
entreprise en solo. Mon interaction avec les autres m'a aidé à réussir. Pour chaque réalisation, je peux regarder en arrière et voir une
relation qui l'a rendu possible. Sans l'aide de personnes comme Elmer Towns, Peter Wagner et Jack Hayford, ma carrière n'aurait
jamais été aussi loin. Sans l'aide de tout un tas de gens chez Thomas Nelson et dans mon entreprise, le groupe INJOY, mon livre Les
21 lois irréfutables du leadership n'aurait jamais été un million de vendeurs. Et la plupart de mes bénédictions financières peuvent être
attribuées à l'aide et aux conseils de mon frère, Larry Maxwell, et de mon ami Tom Phillippe.

Aussi importantes que soient les relations professionnelles, elles sont encore plus importantes personnellement. Ma vie spirituelle
remonte à ma relation avec mon père, Melvin Maxwell. La raison pour laquelle je me sens épanouie chaque jour peut être attribuée à ma
relation avec ma femme, Margaret; elle m'aide à profiter de nos succès. Et je dois donner du crédit pour la vie elle-même à mes relations
avec les autres. Si je n'avais pas rencontré le cardiologue John Bright Cage, je n'écrirais pas cela maintenant. La crise cardiaque que j'ai
subie en décembre 1998 m'aurait probablement tué.
 PLUS QU'UN ADD-ON

Vous êtes-vous déjà retrouvé à faire face à quelqu'un de difficile et à réfléchir, Elle a du talent, mais elle est certainement difficile à travailler, ou
Il est brillant, mais il ne semble s'entendre avec personne? De telles personnes n'atteignent jamais leur plein potentiel parce qu'elles ne
peuvent accomplir qu'une fraction de ce qu'elles pourraient si elles savaient comment gagner avec les gens. Ils ne comprennent pas que de
bonnes relations sont plus que la cerise sur le gâteau dans la vie. Ils sont le gâteau - la substance même dont nous avons besoin pour vivre
une vie réussie et épanouissante.

Alors, que doivent faire les gens s'ils ne possèdent pas de grandes compétences relationnelles? Je dois admettre que l'établissement de
relations me vient naturellement. Je suis né une personne humaine. Mais j'ai aussi travaillé dur pour améliorer mes compétences. J'ai appris
beaucoup de choses sur les autres et sur moi-même en un demi-siècle. Et j'ai traduit ces idées en vingt-cinq principes de personnes qui n'importe
qui peut apprendre. L'individu le plus introverti peut les apprendre et devenir plus une personne humaine. Et quelqu'un avec un talent pour les
gens peut devenir un maître d'œuvre de relations.

Je dis cela parce que ces principes de personnes fonctionnent à chaque fois. Ils s'appliquent que vous soyez jeune ou vieux,
sanguin ou mélancolique, homme ou femme, salarié ou retraité. Je les pratique depuis des décennies et je les ai vus travailler en
voyageant dans des dizaines de pays sur six continents. En suivant ces principes, j'ai optimisé mes chances de succès avec les
autres et j'ai construit des relations positives et saines qui m'ont apporté succès professionnel et satisfaction personnelle.

De bonnes relations sont plus que la cerise sur le gâteau dans la vie. Ils sont le gâteau.

En lisant et en apprenant ces principes relatifs aux personnes, vous verrez que certains d'entre eux relèvent du bon sens. D'autres peuvent
vous surprendre. Peut-être pourriez-vous en douter quelques-uns comme étant un peu trop optimistes. Mais je peux vous dire par expérience, ils
fonctionnent vraiment. Un gourou des relations ne crée pas le principe d'un peuple. Mais pratiquer tous ces principes améliorera votre vie. (Et vous
pouvez être sûr que vous ne serez jamais nominé pour Relational Hall of Shame!)

Cela ne signifie pas que vous aurez une relation fructueuse avec chaque personne que vous rencontrez. Vous ne pouvez pas contrôler la réponse
d'une autre personne à votre égard. Tout ce que vous pouvez faire, c'est devenir le genre de personne que les autres veulent connaître et avec qui ils
peuvent établir une relation.
Dans la vie, les compétences que vous utilisez et les personnes que vous choisissez vous feront ou vous briseront. J'ai divisé les principes du
peuple dans ce livre en cinq questions essentielles que nous devons nous poser si nous voulons gagner avec les gens.

1. Préparation: Sommes-nous prêts pour les relations?

2. Connexion: Sommes-nous prêts à nous concentrer sur les autres?
3. Confiance: pouvons-nous instaurer une confiance mutuelle?
4. Investissement: Sommes-nous prêts à investir dans d'autres?
5. Synergie: Pouvons-nous créer une relation gagnant-gagnant?
Apprenez et mettez en pratique les Principes relatifs aux personnes, et vous serez en mesure de répondre à chacune de ces
questions de manière positive. Cela vous fera réussir sur le plan relationnel. Vous pourrez construire des relations saines, efficaces et
épanouissantes. Et vous avez une chance de devenir le genre de personne qui fait aussi réussir les autres. Quoi de mieux que ça?
 LA QUESTION DE PRÉPARATION:
AREWE PRÉPARÉ
POUR LES RELATIONS?

La personne la plus utile au monde aujourd'hui est la

homme ou femme qui sait s'entendre avec les autres.
Les relations humaines sont la science la plus importante dans la vie.
- STANLEY C. ALLYN
je a passé les vingt-six premières années de ma carrière de pasteur. Je ne connais aucune autre profession aussi exigeante ou intense lorsqu'il s'agit
de travailler avec les gens. Les personnes dans le ministère sont appelées à diriger, enseigner, encadrer, conseiller et réconforter les gens à tous les
âges et à toutes les étapes de la vie, du berceau à la tombe. Nous sommes avec eux pendant plusieurs des moments les plus joyeux de leur vie,
comme le jour où ils se marient ou baptisent un bébé. Et nous sommes appelés pendant leurs heures les plus sombres, comme lorsqu'ils essaient de
sauver un mariage d'un divorce douloureux, vivent la mort tragique d'un enfant ou cherchent des réponses alors qu'ils font face à leur propre mort
imminente.

Au fil des années, j'ai appris rapidement à reconnaître les personnes qui se débattaient sur le plan relationnel. Ils sont venus de
tous âges, formes et tailles. Parfois, lorsque je conseillais une personne célibataire qui ne semblait tout simplement pas pouvoir
trouver une relation de travail, il se lamentait d'être seul et de vouloir se marier. Ce qui est triste, c'est qu'au lieu de se concentrer sur
le mariage, certaines personnes devraient travailler sur leur préparation émotionnelle - la capacité de base à construire une relation
saine.
Avouons-le. Tout le monde n'a pas les compétences nécessaires pour initier, construire et entretenir de bonnes relations saines. Beaucoup de gens
grandissent dans des ménages dysfonctionnels et n'ont jamais de relations positives modélisées pour eux. Certaines personnes sont tellement
concentrées sur elles-mêmes et leurs besoins que d'autres pourraient tout aussi bien ne pas exister. D'autres encore ont été si gravement blessés dans le
passé qu'ils voient le monde entier à travers le filtre de leur douleur. Et à cause d'énormes angles morts relationnels, ils ne savent pas eux-mêmes ni
comment se comporter avec les gens de manière saine.

Il faut des personnes en bonne santé pour établir de bonnes relations. Tout commence là. Je crois qu'il existe des éléments de base
fondamentaux qui préparent les gens aux relations. Ils répondent à la question de l'état de préparation. Les éléments essentiels sont
contenus dans les cinq principes humains suivants:
Le principe de l'objectif: Qui nous sommes détermine la façon dont nous voyons les autres.
Le principe du miroir: La première personne que nous devons examiner, c'est nous-mêmes.
Le principe de la douleur: Les gens blessés blessent les gens et sont facilement blessés par eux.
Le principe du marteau: N'utilisez jamais un marteau pour faire tomber une mouche de la tête de quelqu'un.
Le principe de l'ascenseur: Nous pouvons élever ou abattre les gens dans nos relations. Quiconque manque l'un de ces
éléments essentiels ne sera pas préparé pour les relations. Et en conséquence, il aura des problèmes récurrents à travailler avec les
autres.
Si vous ou quelqu'un que vous connaissez n'arrivez tout simplement pas à établir le type de relations positives que tous les êtres
humains désirent, la raison peut être un problème de préparation. En apprenant ces cinq principes de personnes, vous vous préparerez
à créer des relations positives et saines.
 LE PRINCIPE DE L'OBJECTIF

QUI NOUS SOMMES

DÉTERMINE COMMENT
NOUS VOIR LES AUTRES

Je ne voudrais pas appartenir à un club qui

m'accepterait comme membre.
- GROUCHO MARX
LA QUESTION QUE JE DOIS ME POSER: QUELLE EST
MA PERCEPTION DES AUTRES?
H avez-vous déjà commencé un nouvel emploi et une personne ayant de l'expérience dans l'organisation vous a dit de faire attention à cette
personne ou d'éviter cette personne? Cela m'est arrivé plusieurs fois. Lorsque j'ai pris mon premier poste de leadership professionnel, mon
prédécesseur m'a dit de faire attention à deux personnes: Audrey et Claude. «Ils vous causeront beaucoup de problèmes», m'a-t-on dit. Alors je
suis entré dans mon travail en m'attendant à des problèmes de leur part.

Tout d'abord, j'ai regardé Audrey. C'était une femme forte - et elle avait une forte personnalité. (Il en faut un pour en connaître un!) À ma
grande surprise, travailler avec elle a été une expérience merveilleuse. Elle était confiante et compétente, et elle faisait avancer les choses.
Nous avons eu une bonne relation de travail et elle est devenue une amie de la famille. Et Claude s'est avéré être un vieux fermier qui aimait
l'église. Certes, il était le plus grand influenceur de l'organisation. (Plus de trente-cinq ans plus tard, il l'est toujours.) Mais cela ne m'a pas
blessé. Pourquoi aurais-je dû m'attendre à ce qu'un homme deux fois mon âge qui avait été dans cette église toute sa vie me suive
simplement parce que j'avais un poste de direction et un titre? Je me suis fixé comme objectif de travailler avec Claude, et lui et moi nous
entendions bien.

Lorsque j'ai accepté un poste dans ma deuxième église, encore une fois mon prédécesseur m'a averti: «Attention à Jim. Il vous
combattra sur tout. Donc, la première semaine que j'y étais, j'ai rencontré Jim. Nous avons eu une conversation difficile, mais Jim m'a fait
savoir qu'il aimait Dieu, aimait l'église et était avec moi. Il a fini par être mon gars numéro un pendant les années où j'étais là-bas. Il est allé
au combat très bien - en tant que mon plus grand partisan. Je n'aurais pas pu rêver d'un meilleur membre de l'équipe.

Après avoir accepté le poste dans ma troisième église, le dirigeant qui m'a précédé a proposé de m'asseoir avec moi et de me donner un
avertissement sur ceux qui pourraient me causer des problèmes. Comme cela avait été le cas avec les prédécesseurs dans les deux postes précédents,
son cœur était de m'aider. Mais j'ai respectueusement décliné son offre. À ce moment-là, j'avais exercé la direction depuis assez longtemps pour me
rendre compte que ses gens à problèmes ne seraient pas les miens - et vice versa. Je n'aurais aucun lien avec certaines personnes sur lesquelles il
comptait, et d'autres qui l'ont laissé froid deviendraient probablement des acteurs clés pour moi. Pourquoi? Parce que qui nous sommes détermine la
façon dont nous voyons les autres.

VOUS ÊTES VOTRE OBJECTIF

Un exemple classique de l'impact de la perspective m'est venu à l'esprit lorsque j'étais à l'université. On m'a demandé d'être le meilleur
homme du mariage de mon ami Ralph Beadle. Je suis resté avec lui la nuit précédant la cérémonie, et tôt le matin de son mariage, Ralph a
voulu aller chasser les écureuils. (Je suppose qu'il n'y a rien de tel que de tirer sur de petits animaux pour calmer les nerfs d'un gars.) Ralph
m'a prêté un de ses fusils de chasse, et nous sommes partis dans les bois. Nous nous sommes promenés pendant un moment, mais je n'ai
pas vu d'écureuils.

«Où sont les écureuils?» Je n'arrêtais pas de demander à Ralph pendant que je me promenais, faisant du bruit.
Après avoir posé la question une demi-douzaine de fois, Ralph a finalement dit: «John, tu restes de ce côté-ci des bois, et je vais passer de
l'autre côté. Ralph n'était pas parti depuis deux minutes quand j'ai commencé à entendre bam, bam. Je n'ai toujours pas vu d'écureuils, alors je me
suis assis et je me suis reposé. J'ai commencé à souhaiter avoir apporté un livre avec moi. J'ai commencé à regarder les tamias gambader. Pendant
ce temps, j'entendais de temps en temps des coups de feu. Et j'ai continué à me demander, Sur quoi tire-t-il?

Qui vous êtes détermine la façon dont vous voyez tout.

Quelques minutes plus tard, Ralph s'approcha. Il avait atteint sa limite, et je n'avais même jamais vu un écureuil.

«Comment se fait-il que tous les écureuils soient allumés votre côté?" J'ai demandé.
Ralph secoua simplement la tête et rit.
 Qui vous êtes détermine la façon dont vous voyez tout. Vous ne pouvez pas séparer votre identité de votre point de vue. Tout ce que vous êtes et
chaque expérience que vous avez eue colorent la façon dont vous voyez les choses. C'est votre objectif. Voici ce que je veux dire:

QUI VOUS DÉTERMINE CE QUE TU VOIS

Un Coloradan a déménagé au Texas et a construit une maison avec une grande baie vitrée à partir de laquelle il pouvait voir des centaines de
kilomètres de parcours. Lorsqu'on lui a demandé comment il appréciait la vue, il a répondu: «Le seul problème est qu'il n'y a rien à voir.» À peu près
au même moment, un Texan a déménagé au Colorado et a construit une maison avec une grande baie vitrée donnant sur les Rocheuses. Lorsqu'on
lui a demandé comment il l'aimait, il a répondu: «Le seul problème avec cet endroit est que vous ne pouvez rien voir parce que toutes ces montagnes
sont sur le chemin.»

L'histoire est peut-être un peu exagérée, mais elle souligne tout de même une vérité. Ce que les gens voient est influencé par
qui ils sont. Les gens dans la même pièce regarderont les mêmes choses et verront tout différemment. C'est toujours vrai avec ma
femme, Margaret, et moi. Nous serons à une fête pour discuter avec des gens, et elle viendra et demandera: "De quoi le gars au
pull bleu vous parlait-il?" Je n'aurai aucune idée de qui elle parle. Margaret a un grand sens du style et de la mode. Je ne. Quand je
regarde les gens, je ne vois pas ce qu'ils portent. Ce ne sont que des vêtements pour moi.

Chacun de nous a son propre penchant, et cela colore notre vision de tout. Ce qui nous entoure ne détermine pas ce que nous
voyons. Ce qui est en nous le fait.

QUI VOUS DÉTERMINE COMMENT VOUS VOYEZ LES AUTRES

Un voyageur approchant d'une grande ville a demandé à un vieil homme assis au bord de la route: «Comment sont les gens dans cette ville?»

«Comment étaient-ils d'où tu viens?» demanda l'homme.

«Horrible», rapporta le voyageur. "Méchante, indigne de confiance, détestable à tous égards." «Ah,» dit le vieil
homme, «vous les trouverez pareils dans la ville à venir.
A peine le premier voyageur était-il parti, qu'un autre s'arrêta pour s'informer des gens de la ville avant lui. Encore une fois, le vieil
homme a posé des questions sur les personnes à l'endroit que le voyageur venait de quitter.
«C'étaient de braves gens: honnêtes, industrieux et généreux en faute», a déclaré le deuxième voyageur. «J'étais désolé de
partir.»
Le vieil homme a répondu: "C'est exactement comme ça que vous trouverez les gens ici." La façon dont les
gens voient les autres est le reflet d'eux-mêmes.
Si je suis une personne confiante, je verrai les autres comme dignes de confiance. Si je
suis une personne critique, je verrai les autres comme critiques.
Si je suis une personne attentionnée, je verrai les autres comme compatissants.
Votre personnalité transparaît lorsque vous parlez des autres et interagissez avec eux. Quelqu'un qui ne vous connaît pas
pourrait en dire long sur qui vous êtes sur la base d'une simple observation.

QUI VOUS DÉTERMINE COMMENT VOUS VOYEZ LA VIE

Voici une vieille histoire que j'avais l'habitude de raconter lors de conférences. Un grand-père dormait sur le canapé un jour lorsque ses
jeunes petits-enfants ont décidé de lui jouer un tour. Ils sont allés au réfrigérateur et
sorti un peu de fromage Limburger très malodorant. Ils prirent le fromage et frottèrent tranquillement un peu la moustache de leur
grand-père. Puis ils se sont cachés au coin pour voir ce qui allait se passer.
Après quelques instants, le nez du vieil homme a commencé à se contracter. Puis sa tête se mit à trembler. Et finalement Grand-père
s'est assis bien droit sur le canapé avec un air amer et a dit: «Quelque chose ici pue!
Il s'est levé, s'est traîné dans la cuisine, a pris un profond reniflement et a dit: "Ça pue ici aussi."
À ce moment-là, il décida de sortir pour prendre une bouffée d'air frais, mais quand il prit une profonde inspiration, il y eut à nouveau une
odeur nauséabonde. «Le monde entier pue!» il a déploré.
La morale de l'histoire? Pour une personne avec du fromage Limburger sous le nez, tout pue! La bonne nouvelle pour grand-père est
qu'il peut enlever les trucs nauséabonds de sa moustache avec du savon et de l'eau, et les choses redeviendront douces. Mais une
personne qui a des choses sales à l'intérieur a une tâche plus difficile. La seule façon de changer votre façon de voir la vie est de changer
qui vous êtes à l'intérieur.
Nous avons tous un cadre de référence personnel composé de nos attitudes, hypothèses et attentes concernant nous-mêmes, les autres
et la vie. Ces facteurs déterminent si nous sommes optimistes ou pessimistes, joyeux ou mornes, confiants ou méfiants, amicaux ou
réservés, courageux ou timides. Et ils colorent non seulement la façon dont nous voyons la vie, mais aussi la façon dont nous laissons les
gens nous traiter. Eleanor Roosevelt a déclaré: "Personne ne peut vous faire sentir inférieur sans votre consentement." Ou pour le dire
autrement, selon les mots du psychologue et auteur Phil McGraw, «Vous apprenez aux gens à vous traiter.» Ce que vous enseignez vient de
la façon dont vous voyez la vie. Et comment vous voyez la vie vient de qui vous êtes.

Il y a quelques années, j'ai eu l'occasion d'enseigner le leadership aux Rams de St. Louis de la NFL. L'équipe m'a invité à assister à l'un
de leurs matchs par la suite et j'ai pu m'asseoir avec les conjoints des entraîneurs et des joueurs. Je me suis assis à côté de Kim Matsko,
épouse de l'entraîneur-chef adjoint / entraîneur de ligne offensive des Rams de St. Louis, John Matsko. Pendant que nous bavardions, je lui
ai demandé de toutes les villes où elle avait vécu, quelle était sa préférée? (Elle avait vécu dans de nombreux États: Ohio, Caroline du Nord,
Arizona, Californie, New York et Missouri.) Sa réponse: «Où je vis actuellement.»

«Oh, alors tu aimes mieux Saint-Louis? J'ai dit.

«Non, je n'ai pas dit ça. J'aime le mieux l'endroit où je vis actuellement », a-t-elle répondu. "C'est un choix." Quelle belle attitude!
Si vous pouvez maintenir une telle perspective, vous verrez toujours la vie sous un jour positif.

QUI VOUS DÉTERMINE QUE FAITES VOUS

Dans Animals, Inc., Kenneth A. Tucker et Vandana Allman de l'organisation Gallup racontent une histoire de personnages de basse-cour qui vise
à montrer comment les entreprises gèrent mal leur personnel. Croyant que n'importe qui peut être formé pour faire n'importe quoi, les
responsables de la ferme demandent au bête de somme d'utiliser l'ordinateur. Un mouton timide est encouragé à faire des visites de vente. Et
voici mon préféré: l'épouvantail est envoyé dans le poulailler pour pondre des œufs. Il y travaille toute la journée. Physiquement, il présente une
forme parfaite. Avec des poules tout autour en train de préparer des œufs, il essaie et essaie. Mais à la fin de la journée, épuisé, il n'a pas réussi à
produire un seul œuf.

Vous pensez peut-être, Bien sûr, il ne produit pas d'œuf. Il est assez évident que les poules pondent des œufs, les chevaux tirent des charrues et
les moutons produisent de la laine. Il est facile de voir que la capacité naturelle affecte ce que nous faisons. Mais notre pensée et nos attitudes font
tout autant partie de nous que nos talents et nos capacités. Ils déterminent également ce que nous faisons. On ne peut pas les séparer, et si on
s'attend à des résultats différents de notre maquillage, on va être déçu.

CINQ CHOSES QUI DÉTERMINENT QUI NOUS SOMMES

Quels facteurs entrent en jeu pour déterminer qui vous êtes? Il y en a évidemment beaucoup, mais voici ce que je considère comme le
top cinq:

1. Génétique

Quand Margaret et moi étions jeunes et naïfs, nous pensions que la génétique ne jouait qu'un petit rôle dans la composition d'une personne.
Nous pensions que l'environnement était responsable à 98% de l'identité d'une personne. Élevez vos enfants pour qu'ils soient comme vous, et
ils deviendront comme vous. Ensuite, nous avons adopté nos enfants, Elizabeth et Joel Porter. Nous avons découvert que l'éducation, le
développement du caractère, l'éducation et l'instruction spirituelle jouent des rôles importants, mais certaines choses sont câblées dans les gens
qui seront là, quel que soit leur environnement.

Votre constitution génétique est probablement une bonne et une mauvaise nouvelle. Il y a certaines qualités et caractéristiques que vous
avez obtenues lors de votre création qui sont géniales. C'est vrai pour chaque personne sur la planète. Mais il y a aussi des choses que vous
n'aimez pas. Vous devrez peut-être simplement apprendre à vivre avec eux. Quand il s'agit de problèmes de caractère, travaillez sur vos
faiblesses. Quand il s'agit de talents, suivez vos forces.

Vous n'avez pas le choix sur celui-ci. Vous ne pouvez pas changer vos gènes. Cependant, parmi les cinq principaux facteurs qui déterminent qui
vous êtes, c'est le seul que vous ne pouvez pas changer en faisant des choix. Les quatre autres dépendent, au moins dans une certaine mesure, de
vous.

2. Image de soi

Le poète TS Eliot a observé: «La moitié du mal qui est fait dans ce monde est due à des personnes qui veulent se sentir importantes. Ils ne
veulent pas nuire. Ils sont absorbés par la lutte sans fin pour bien penser d'eux-mêmes. Les gens sont comme l'eau: ils trouvent leur propre
niveau. Une personne avec une image de soi négative s'attendra au pire, endommagera ses relations et trouvera d'autres personnes
également négatives. Ceux qui ont une image de soi positive s'attendront au meilleur pour eux-mêmes. Et ceux qui ont une image de soi qui
est à la fois
positif et précis sont susceptibles de réussir, de considérer les autres comme potentiellement réussis et de se tourner vers d'autres personnes qui
réussissent. Comme l'a dit le psychologue Nathaniel Branden: «Nous avons tendance à nous sentir plus à l'aise, la plupart« à la maison »avec des
personnes dont le niveau d'estime de soi ressemble au nôtre. Les opposés peuvent attirer sur certains problèmes, mais pas celui-ci. "

On raconte qu'Oliver Wendell Holmes marchait dans une rue un jour, et une petite fille l'a rejoint. Lorsque la fille a commencé
à rentrer chez elle, le célèbre juriste a déclaré: «Lorsque votre mère vous demande où vous étiez, dites-lui que vous avez marché
avec Oliver Wendell Holmes.
«D'accord», dit la fille avec assurance, «et quand vos parents vous demandent où vous étiez, dites-leur que vous marchiez avec Mary
Susanna Brown. Maintenant, c'est quelqu'un avec une image de soi positive.

3. Expériences de la vie

Il était une fois un groupe de villageois instruisant leur jeune berger: «Quand tu vois un loup, pleure
Loup et nous viendrons avec des fusils et des fourches.
Le jour suivant, le garçon gardait ses moutons quand il vit un lion au loin. Il a crié: "Lion, lion!" Mais personne n'est
venu. Le lion a tué plusieurs moutons. Le garçon berger était désemparé.
«Pourquoi n'êtes-vous pas venu quand j'ai appelé?» il a demandé aux villageois.
«Il n'y a pas de lions dans cette partie du pays», ont répondu les hommes plus âgés. «Les loups sont ce que vous devez rechercher.»
 Le jeune berger a appris une leçon précieuse: les gens réagissent à ce qu'ils sont prêts à croire. Et ce qui les
prépare à ce qu'ils croient est leur expérience.
N'est-ce pas vrai pour vous? Pensez à certaines de vos expériences d'enfance. Si vous avez eu beaucoup de succès dans le sport,
ils sont probablement devenus une partie importante de votre vie. Si vous vous faites facilement des amis, vous aimez probablement être
entouré de gens. Si vous avez été négligé ou maltraité, cela a eu un autre impact sur vous. Tout ce que vous avez vécu a contribué à qui
vous êtes.
Nous ne choisissons pas tout de nos expériences de vie; c'était particulièrement vrai lorsque nous étions enfants. Mais nous faire choisissez plusieurs
de ceux que nous avons actuellement. Nous choisissons qui nous épousons. Nous choisissons nos métiers. Nous choisissons où prendre des vacances,
faire de l'exercice et ce que nous apprenons. Et les personnes qui ont des antécédents particulièrement difficiles décident de poursuivre ou non des
expériences qui amélioreront leur façon de vivre et de penser. Nous ne pouvons pas annuler nos expériences passées, mais nous pouvons nous
reprogrammer en utilisant de nouvelles.

4. Attitude et choix à propos de ces expériences

Ce qui est encore plus important que de choisir nos expériences, c'est de décider quelles seront nos attitudes face aux expériences que nous vivons.
Comme je l'ai déjà mentionné, nous n'avons qu'un contrôle limité sur ce que nous vivons. Cependant, nous avons un contrôle total sur nos attitudes.
Que nos perspectives soient à la hausse ou à la baisse, en attente ou réticentes, ouvertes ou fermées, c'est entièrement notre choix. Je ne peux
peut-être pas changer le monde que je vois autour de moi, mais je peux changer ce que je vois en moi. Je crois que cette attitude est la deuxième
décision la plus importante que quiconque puisse prendre. (Le plus important est la foi.) Votre attitude vous fera ou vous défait. Ce n'est pas le
résultat de votre naissance, de votre situation ou de votre compte bancaire. Tout est un choix. (Si vous trouvez que c'est un problème difficile, vous
pouvez consulter deux autres livres que j'ai écrits: Échouer en avant ou

L'attitude gagnante.)

Je ne peux peut-être pas changer le monde que je vois autour de moi, mais je peux changer ce que je vois en moi.

5. Amis

Dans un Cacahuètes bande par Charles Schulz, Charlie Brown repose sa tête dans ses mains tout en s'appuyant sur le mur, l'air
misérable. Son amie Lucy s'approche.
«Encore découragé, hein, Charlie Brown? Charlie
Brown ne répond même pas.
«Vous savez quel est votre problème?» Demande Lucy. Sans attendre de réponse, elle annonce: «Tout le problème
avec toi, c'est que tu es toi!»
Charlie Brown dit: «Que diable puis-je faire à ce sujet?»
«Je ne prétends pas pouvoir donner des conseils», répond Lucy. «Je signale simplement le problème!»
Si Charlie Brown voulait s'améliorer, peut-être qu'un point de départ serait de trouver un nouvel ami.

L'une des choses les plus importantes que vous ferez est de choisir vos amis. En tant que parents, Margaret et moi avons attentivement
observé les amis que nos enfants ont choisis. Nous savions que des personnes positives avec un bon caractère aideraient à élever nos
enfants. Les personnes négatives avec un mauvais caractère les abattre. Nous avons toujours fait de notre maison un endroit où nos enfants
et leurs amis voudraient passer du temps afin que nous puissions voir qui les influençait.

Les personnes dont vous êtes le plus proche - et cela inclut particulièrement votre conjoint - façonneront qui vous êtes. N'avez-vous pas vu un
enfant qui a été bon commencer à avoir des problèmes après avoir passé du temps avec des enfants qui ont des problèmes? Et n'avez-vous pas
vu un ami ou un collègue décoller professionnellement après
a commencé à passer du temps avec des gens qui ont étiré son esprit et l'ont mis au défi de grandir? Les personnes avec lesquelles vous
choisissez de passer du temps changeront qui vous êtes. Les paroles de l'auteur et conférencier Charlie «Tremendous» Jones sont vraiment
vraies: la différence entre qui vous êtes aujourd'hui et qui vous serez dans cinq ans sera les gens avec qui vous passerez du temps et les livres
que vous lirez.
La façon dont vous voyez les autres est déterminée par qui vous êtes. Vous ne pouvez pas vous éloigner de cette vérité. Si vous n'aimez pas les
gens, c'est vraiment une déclaration sur vous et la façon dont vous regardez les gens. Votre point de vue est le problème. Si tel est le cas, n'essayez
pas de changer les autres. Ne vous concentrez même pas sur les autres; concentrez-vous sur vous-même. Si vous vous changez et devenez le genre
de personne que vous désirez être, vous commencerez à voir les autres sous un tout nouveau jour. Et cela changera la façon dont vous interagissez
dans toutes vos relations.

QUESTIONS DE DISCUSSION SUR LE PRINCIPE DE L'OBJECTIF

1. Si on vous demandait d'écrire une déclaration décrivant la nature humaine et les gens en général, que diriez-vous?
(Prenez le temps de le faire maintenant.) Décririez-vous votre philosophie comme optimiste, sceptique, hésitante,
détachée, etc.? Que dit de vous votre philosophie personnelle concernant les autres?

2. Décririez-vous votre attitude comme généralement positive ou négative? (Ne vous écartez pas et ne vous qualifiez pas de réaliste. Dans
quelle direction penchez-vous?) Voyez-vous votre attitude comme un atout ou un handicap? Que pourriez-vous faire pour améliorer
votre attitude?
3. Pensez à votre enfance. Quelles expériences vous ont particulièrement marqué en tant qu'individu? Vous ont-ils inspiré à faire
confiance ou à vous méfier des gens? Comment cette perspective a-t-elle coloré vos relations en tant qu'adulte? Si cela a eu un
impact négatif sur vos relations, quelles expériences positives pouvez-vous vivre pour créer une nouvelle histoire plus positive?

4. Êtes-vous d'accord avec l'affirmation selon laquelle la différence entre qui vous êtes aujourd'hui et qui vous serez dans cinq
ans sera les gens avec qui vous passerez du temps et les livres que vous lirez? Quels autres facteurs pensez-vous être tout
aussi (ou plus) importants?
5. Pensez aux qualités personnelles que vous aimeriez cultiver. Listez-les. Créez maintenant un plan de croissance pour développer ces
qualités. Tout d'abord, consacrez du temps à votre calendrier avec des personnes qui possèdent les qualités que vous désirez.
Deuxièmement, sélectionnez un livre par mois à lire pour vous aider à grandir.
 LE PRINCIPE DU MIROIR

LA PREMIÈRE PERSONNE
NOUS DEVONS EXAMINER
EST NOUS

Faire face à des personnes difficiles est toujours un problème, surtout

si la personne difficile se trouve être vous.
LA QUESTION QUE JE DOIS ME POSER:
Ai-je moi-même examiné et pris la responsabilité
de qui je suis?
H Avez-vous déjà connu quelqu'un qui était son pire ennemi, qui réussissait toujours à se court-circuiter lorsque le succès était à portée de
main, ou qui ne semblait pas pouvoir occuper un emploi? Certaines de ces personnes possèdent un grand potentiel mais ne cessent de se
faire exploser. Mais tout le monde avec ce genre de problèmes n'est pas une personne qui ne peut pas avancer dans la vie. Parfois, les gens
qui sont leurs pires ennemis accomplissent de grandes choses tout en se détruisant lentement eux-mêmes et leurs relations avec les autres. Je
pense que Pete Rose est l'une de ces personnes.

UNE ROSE PAR TOUT AUTRE NOM

Quand il s'agit de jouer au baseball, peu de gens se comparent à Pete Rose. Voici quelques-uns de ses records de baseball
majeur:
Plus grand nombre de succès en carrière
(4256) Le plus de matchs joués (3562) Le
plus aux battes (14053)
La plupart des buts totaux par un frappeur de changement (5752)
La plupart des saisons de 200 coups sûrs ou plus (10) La plupart
des saisons avec 600 ou plus aux battes (17)

Record de la Ligue nationale pour la plupart des années jouées (24) 1

Rose, qui a été voltigeur de Gold Glove pendant deux saisons, a également reçu de nombreux prix: il a été nommé recrue
de l'année de la Ligue nationale (1963), la Ligue nationale la plus précieuse.

Player (1973) et MVP des World Series (1975). 2

Mais alors que Pete Rose réussissait sur le terrain de baseball, il échouait dans d'autres domaines de sa vie. Plus précisément, la
chose qui causait le chaos dans sa vie personnelle et qui finirait par mettre fin à sa carrière de baseball était le jeu.

Depuis le scandale des paris sur les World Series au début des années 1900, les ligues majeures de baseball s'efforcent de maintenir le jeu
hors du sport. Dans tous les clubs de baseball des ligues majeures des États-Unis, la règle 21 (d) est affichée là où les joueurs et les entraîneurs
peuvent la voir. La règle stipule:
Tout joueur, arbitre ou officiel ou employé de club ou de ligue, qui pariera une somme quelconque sur un match de
baseball en relation avec lequel le parieur n'a aucune obligation de jouer, sera déclaré inéligible pendant un an.

Tout joueur, arbitre ou officiel ou employé de club ou de ligue, qui doit parier quelque somme que ce soit sur un
match de baseball en relation avec lequel le parieur a le devoir de jouer

doit être déclaré définitivement inéligible. 3

Pete Rose doit avoir dépassé cette règle affichée au moins 3562 fois en tant que joueur, car c'est

combien de matchs il a joué. Il l'a vu au moins 554 fois de plus en tant que manager. 4 Pourtant, il a toujours parié sur le baseball. Et
en janvier 2004, après l'avoir nié pendant quatorze ans, Rose a finalement admis avoir parié sur le baseball, notamment sur sa
propre équipe, les Cincinnati Reds.

ANGLE MORT

Lorsque Pete Rose a commencé à parier sur le baseball en 1987, il a déclaré qu'il «n'avait même pas tenu compte des conséquences». 5 C'était

peut-être juste une étape naturelle dans sa progression en tant que joueur compulsif - une étiquette que Rose dit avec véhémence ne le décrit

pas. 6 Mais comment appelleriez-vous une personne

qui pariaient toute l'année sur diverses activités sportives, mais qui ne pouvait apparemment pas arrêter de jouer même si cela pouvait lui
coûter sa vie, et qui dépensait des sommes ahurissantes en paris? Le bookmaker Ron Peters a déclaré qu'il avait pris plus d'un million de
dollars en paris de Rose. Juste sur le baseball. Juste en un

saison! sept
Comment Rose pouvait-elle ne pas voir ce qui lui arrivait? Pourquoi ne s'est-il pas empêché de jouer au baseball? Comment
pouvait-il continuer à mentir sur ce qu'il avait fait pendant plus d'une décennie? Comment pouvait-il dire que son seul vrai problème était
les amis qu'il choisissait? Comment pouvait-il continuer à dire qu'il n'avait pas de problème? Je crois que la réponse est qu'il était
tellement concentré sur le baseball qu'il ne s'est jamais vraiment regardé dans le miroir et s'est examiné.

REGARDE BIEN

Rose a réalisé qu'il était différent des autres joueurs, mais il s'est rarement arrêté pour se demander si c'était une chose positive ou
négative. Il dit: «Joe Morgan [l'ancien coéquipier de Rose qui est maintenant au Temple de la renommée] avait l'habitude de dire qu'il se
sentait désolé pour moi parce que quand le baseball était fini, je n'aurais plus rien d'autre dans ma vie pour occuper mon temps. Je n'ai
jamais compris la façon de penser de Joe. J'ai toujours pensé qu'il était en quelque sorte moins engagé que moi, qu'il n'aimait pas le jeu
autant que moi.

Qui sain d'esprit pourrait faire passer quoi que ce soit dans la vie avant le baseball? 8
Pendant que Rose jouait, son refus de s'examiner lui-même n'a pas nui à sa carrière, bien que cela ait endommagé ses
relations personnelles. Mais une fois ses jours de jeu terminés, il l'a rattrapé. Rose déclare:

Avec le recul, j'aurais dû prendre un peu de temps pour réfléchir sur ma vie, sur où j'étais et où je me dirigeais. Si j'avais été
un lecteur de livres, j'aurais pu lire comment d'autres personnes célèbres ont géré la retraite. . . J'aurais pu appeler Dick
Butkus et lui demander ce qu'il pensait de sa retraite de la NFL après avoir atteint le statut divin en tant que joueur. J'aurais
pu appeler Terry Bradshaw. .
. Mais je n'ai pas su comment aucun d'entre eux avait géré la retraite parce que je ne leur ai jamais parlé. je

jamais parlé à personne. Ce n'était pas mon style. 9

Dans l'un de ses rares moments de réflexion et d'auto-évaluation authentique, Rose résume la façon dont il s'est comporté: «J'étais au
courant de mes records et de ma place dans l'histoire du baseball. Mais je n'ai jamais été conscient des limites ou capable de contrôler cette
partie de ma vie. Et admettre que j'étais hors de contrôle a été

presque impossible pour moi. J'étais conscient de mes privilèges, mais pas de mes responsabilités. dix À mon avis, il a encore du mal à
comprendre quelles sont ses responsabilités. C'est très difficile à faire quand on n'aime pas se regarder dans le miroir.

LE TEST DU MIROIR

Les gens qui ne savent pas qui ils sont et ce qu'ils font nuisent souvent aux relations avec les autres. La façon de changer cela est de se regarder dans
le miroir. C'est quelque chose que nous devons tous faire. C'est ce que j'appelle le test du miroir. Considérez ces vérités que nous devons apprendre sur
nous-mêmes:

La première personne que je dois connaître est moi-même: la conscience de soi

La nature humaine semble doter les gens de la capacité de mesurer tout le monde dans le monde sauf eux-mêmes. Pete Rose
n'a pas une image claire de lui-même. Il a tendance à se considérer comme un
victime. Rose s'est décrit comme un enfant du mauvais côté des pistes et comme quelqu'un qui s'est débrouillé avec
un talent athlétique moyen. Et il pense que la punition qu'il a reçue (étant
banni du baseball) ne correspond pas à son crime. 11

La nature humaine semble doter les gens de la capacité de mesurer tout le monde dans le monde, mais
se.

Certaines personnes sont dotées d'une conscience de soi naturelle. Thomas Armstrong, auteur de 7 types de Smart, souligne que
ces types de personnes possèdent une intelligence intrapersonnelle. Cependant, devenir conscient de soi n'est pas facile pour la
plupart des gens. C'est un processus - parfois lent - qui requiert de l'intentionnalité.

La première personne avec qui je dois m'entendre est moi-même: l'image de soi

L'auteur Sydney J. Harris a observé: «Si vous n'êtes pas à l'aise avec vous-même, vous ne pouvez pas être à l'aise avec les
autres.» J'irais encore plus loin. Si vous ne croyez pas en vous, vous saboterez les relations.

Pendant des années, j'ai enseigné un concept appelé la loi du couvercle, qui se trouve dans Les 21 lois irréfutables du leadership. Il déclare:
«La capacité de leadership détermine le niveau d'efficacité d'une personne.» Voici ce que je veux dire par là: peu importe à quel point vous
travaillez dur, vous ne pouvez aller aussi loin professionnellement si

vous êtes un pauvre leader. Une entreprise, un service ou une équipe sera toujours retenu par un leader faible. 12
En ce qui concerne les relations, l'image de soi fonctionne de la même manière. C'est le couvercle relationnel. Votre image de
vous-même limite votre capacité à établir des relations saines. Une image de soi négative empêchera même une personne de réussir. Et
même lorsqu'une personne avec une mauvaise image de soi réussit d'une manière ou d'une autre, cela ne durera pas car elle finira par
se ramener au niveau de ses propres attentes. D'une manière rétrograde, c'est un hommage à la confiance en soi de Pete Rose que son
manque de conscience de soi ne l'a pas rattrapé plus tôt.

«Je dis toujours que la relation la plus importante que vous ayez jamais est avec vous-même. Vous avez
Je dois d’abord être votre meilleur ami. »
- PHIL MCGRAW

Psychologue et New York Times L'auteur à succès Phil McGraw déclare: «Je dis toujours que la relation la plus importante
que vous aurez jamais est avec vous-même. Vous devez être votre meilleur

ami d'abord. " 13 Comment pouvez-vous être «meilleur ami» avec quelqu'un que vous ne connaissez pas ou que vous n'aimez pas? Vous ne pouvez pas.
C'est pourquoi il est si important de découvrir qui vous êtes et de travailler pour devenir quelqu'un que vous aimez et que vous respectez.

La première personne à me causer des problèmes, c'est moi-même: l'honnêteté de soi

Le comédien Jack Parr a plaisanté: «Avec le recul, ma vie semble être une grande course d'obstacles, avec moi étant le principal obstacle. Il faisait
une blague, mais ce qu'il dit est toujours vrai pour la plupart d'entre nous. Pete Rose n'est pas seul dans sa capacité à se causer des problèmes.
C'est un problème pour moi. Et c'est pour vous aussi. Si nous pouvions renvoyer la personne responsable de la plupart de nos problèmes, nous ne
pourrions pas nous asseoir pour
semaines. Ce qui peut nous sauver, c'est la volonté de nous regarder dans le miroir et d'être honnête sur nos lacunes, nos fautes et nos
problèmes.
Quelques années après avoir obtenu mon diplôme universitaire, j'ai déjeuné avec un ami qui avait été camarade de classe. Comme moi, il
occupait son premier emploi en tant que pasteur d'une petite église. Pendant que nous mangions, il a commencé à me parler des gens de sa
congrégation. Il a dit qu'il avait un problème avec ce ding-a-ling au conseil de son église et avec ce ding-a-ling dans les réunions de comité et avec
un autre ding-a-ling qu'il conseillait. Après environ le cinquième ding-a-ling, je devenais irrité. Comment pouvez-vous diriger les gens quand vous
ne les aimez pas ou ne les respectez pas? J'ai pensé.

«Fred, tu veux savoir pourquoi tu as tant de ding-a-lings dans ton église? J'ai demandé. Il a arrêté de manger et a dit
avec beaucoup d'intérêt: "Oui, je le ferais vraiment."
«C'est parce que vous êtes le plus grand ding-a-ling de tous.» Il était
choqué.
Peut-être que ce n'était pas ma meilleure heure sur le plan relationnel parce que Fred n'était pas très intéressé par mon explication
après avoir dit cela. Mais il était évident pour un étranger que Fred était le problème. Peu de temps après, il quitta son église et se rendit
dans une autre. Et il ne lui fallut pas longtemps pour penser que sa nouvelle église était également remplie de ding-a-lings.

Ralph Stayer, PDG et propriétaire de Johnsonville Foods, reconnaît: «[C'est la perspicacité] que j'ai réalisé tôt et auquel je reviens
souvent. Dans la plupart des situations, je suis le problème. Mes mentalités, mes photos, mes attentes sont les plus grands obstacles à
ma réussite. Si vous voulez éviter de devenir votre propre pire ennemi, vous devez vous regarder de manière réaliste.

La première personne que je dois changer, c'est moi-même: l'amélioration de soi

Un danger d'enseigner des conférences ou d'écrire des livres comme celui-ci est que les gens commencent à supposer que vous êtes un
expert qui maîtrise tout ce que vous enseignez. Ne le crois pas. Comme vous, je travaille toujours sur mes compétences relationnelles et de
leadership. Il y a des principes dans ce livre que je ne fais pas bien, donc je travaille toujours pour m'améliorer. Et ce sera toujours vrai pour
moi. Si jamais je pense avoir fini de grandir, alors je suis en difficulté.

Dans les cryptes de l'abbaye de Westminster, les mots suivants ont été écrits sur la tombe d'un évêque anglican qui
vécut au XIe siècle:
Quand j'étais jeune et libre, mon imagination n'avait pas de limites, je rêvais de changer le monde. En vieillissant et en devenant plus
sage, j'ai découvert que le monde ne changerait pas, alors j'ai quelque peu raccourci mes vues et décidé de ne changer que mon pays.
Mais elle aussi semblait immobile. Alors que je grandissais dans mes années crépusculaires, dans une dernière tentative désespérée,
je me suis contenté de changer ma famille, les plus proches de moi, mais hélas, ils n'en auraient rien. Et maintenant, alors que je
m'allonge sur mon lit de mort, je me suis soudainement rendu compte: si j'avais seulement changé de moi d'abord, alors par exemple
j'aurais changé ma famille. De leur inspiration et de leurs encouragements, j'aurais pu alors améliorer mon pays et, qui sait, j'ai
peut-être même changé mon monde.

Les gens qui éprouvent souvent des difficultés relationnelles sont tentés de regarder tout le monde sauf eux-mêmes pour expliquer
le problème. Mais nous devons toujours commencer par nous examiner et être prêts à changer les lacunes que nous avons. Le critique
Samuel Johnson a déclaré que «celui qui a si peu de connaissances sur la nature humaine pour rechercher le bonheur en changeant
autre chose que sa propre disposition gaspillera sa vie en efforts infructueux et multipliera le chagrin qu'il entend éliminer.»

La première personne qui peut faire une différence, c'est moi-même: la responsabilité personnelle
Dans Les 17 lois incontestables du travail d'équipe, J'ai écrit à propos de la loi de la signification: «Un est un nombre trop petit pour atteindre la
grandeur.» Je crois sincèrement qu'aucune réalisation significative ne peut être obtenue par un effort individuel. Cependant, je crois aussi que
chaque réalisation importante commence par la vision d'un individu. Cette personne possède non seulement la vision, mais assume également
la responsabilité de la transmettre aux autres. Si vous voulez faire une différence dans ce monde, vous devez prendre la responsabilité de
vous-même.

REGARDER DANS LE MIROIR

Il y a quelques années, lorsque je me suis rendu en Nouvelle-Zélande pour faire une conférence, j'ai séjourné dans un hôtel à
Christchurch. Un soir, j'avais soif et j'ai commencé à chercher une machine à coke. Quand je n'ai pas pu en trouver une et que j'ai vu
une porte marquée «Personnel», j'ai pensé que j'entrerais et voir si quelqu'un pouvait m'aider. Je n'y ai pas trouvé d'hôtellerie ni de
distributeur de boissons, mais j'ai observé quelque chose d'intéressant. En m'approchant de la porte pour retourner dans le couloir,
j'ai découvert que la porte avait un miroir sur toute la longueur avec les mots suivants: «Regardez-vous bien. C'est ce que voit le
client. » La direction de l'hôtel rappelait aux employés que pour remplir leur mission, ils devaient se regarder.

Et c'est vrai pour nous aussi. Le psychothérapeute Sheldon Kopp estime que «toutes les batailles importantes sont menées en soi». En nous
examinant, nous découvrons ce que sont ces batailles. Et puis nous avons deux choix. Le premier est d'être comme l'homme qui a rendu visite à son
médecin et a découvert qu'il avait de graves problèmes de santé. Lorsque le médecin lui a montré ses radiographies et lui a suggéré une intervention
chirurgicale douloureuse et coûteuse, l'homme a demandé: «D'accord, mais combien factureriez-vous pour simplement retoucher les radiographies?»

Le deuxième choix est d'arrêter de blâmer les autres, de se regarder et de faire le travail acharné pour résoudre les problèmes qui nous causent
des problèmes. Si vous voulez avoir de meilleures relations avec les autres, arrêtez-vous, regardez dans le miroir et commencez à travailler sur
vous-même.

QUESTIONS DE DISCUSSION SUR LE PRINCIPE DU MIROIR

1. Si vous demandiez aux membres de votre famille, à vos amis et à vos collègues quelles pratiques et habitudes vous
causent plus de mal que de bien, que diraient-ils? (Si vous avez le courage, posez-leur vraiment cette question.)
Comment ces facteurs affectent-ils vos relations?
2. Quelle est la place de la réflexion personnelle dans le principe du miroir? Dans quelle mesure les gens de notre culture sont-ils susceptibles de
consacrer du temps à l'auto-examen? Expliquez votre réponse. Quand, où, combien de temps et à quelle fréquence examinez-vous votre
personnage, révisez vos habitudes et critiquez-vous vos pratiques? Comment pouvez-vous vous améliorer dans ce domaine?

3. Comment vous décririez-vous? Faites la liste de vos forces et faiblesses. Dans l'ensemble, avez-vous connu plus de victoires ou de
pertes dans la vie? Que pensez-vous que l'avenir nous réserve? Comment votre passé a-t-il coloré votre perspective?

4. L'un des obstacles au mouvement actuel «d'estime de soi» est qu'il encourage les gens à avoir une grande estime d'eux-mêmes,
quel que soit leur caractère ou leur performance. Pourquoi est-il important de s'assurer que l'image de soi est fondée sur la
vérité? Comment se prémunir contre la fausse fierté et avoir encore confiance en soi?

5. Dans quel domaine avez-vous besoin de la plus grande croissance? Comment en avez-vous assumé la responsabilité? Quel est votre plan pour
vous améliorer dans ce domaine? Y avez-vous consacré des ressources et les avez-vous mises sur votre calendrier? Sinon, pourquoi pas?
Comment pouvez-vous vous améliorer dans ce domaine?
 LE PRINCIPE DE LA DOULEUR

BLESSURE DES PERSONNES BLESSÉES

LES GENS ET SONT FACILEMENT

BLESSÉ PAR ELLES

«Soyez vous-même» concerne le

pire conseil que vous puissiez donner à certaines personnes!
LA QUESTION QUE JE DOIS ME POSER:
DOIS-JE BLESSER DES PERSONNES OU
SUIS-JE TROP FACILEMENT BLESSÉ PAR ELLES?
E arly dans ma carrière, j'ai accepté une invitation à diriger une église. C'était une merveilleuse opportunité et c'était dans une jolie ville. C'était une
période passionnante pour Margaret et moi.

MON NOUVEAU PEN PAL

J'étais à l'église depuis seulement dix jours lorsque j'ai reçu un courrier de Tom, un membre de la congrégation. Je l'ai ouvert, j'ai
commencé à lire et j'ai vite découvert qu'il s'agissait d'une transcription dactylographiée du sermon que j'avais prononcé le premier
dimanche. J'ai été étonné - et flatté - que quelqu'un ait pris le temps de capturer chaque mot que j'avais dit. Et puis j'ai regardé plus
attentivement. Les pages étaient couvertes de commentaires. Tom avait écrit en rouge chaque erreur grammaticale, corrigé chaque
mot mal prononcé et souligné tout ce qu'il pensait être une erreur factuelle.

Je pensais que c'était étrange, mais je ne m'en souciais pas trop. Je sais que je ne suis pas parfait et je suis conscient que je fais parfois
des erreurs lorsque je parle. Mais j'ai une image de moi saine, donc je ne me suis pas laissé déranger. Mais la semaine suivante, une autre
enveloppe est arrivée dans le courrier de Tom. Une fois de plus, le message que j'avais prêché le dimanche précédent avait été transcrit. Et
encore une fois, chaque petite erreur était marquée à l'encre rouge. C'est là que j'ai pensé que je ferais mieux de rencontrer Tom et de
découvrir ce qui le tracassait.

Le dimanche suivant, après avoir prononcé le message du sermon, j'ai demandé à quelqu'un de me désigner Tom. Je me suis approché de lui, lui
ai tendu la main et lui ai dit: «Salut, je suis John Maxwell.»
Au début, Tom m'a juste regardé. Finalement, il a dit: «Bonjour, Pasteur. »Et c'est là que j'ai réalisé qu'il n'allait pas me
serrer la main. Puis il tourna les talons et s'éloigna.
Effectivement, quelques jours plus tard, devinez ce que j'ai reçu par la poste? Une autre enveloppe de Tom. J'ai commencé à les appeler ses
«lettres d'amour». J'en ai un chaque semaine avec sa critique approfondie. Voudriez-vous deviner combien de temps j'ai reçu les lettres d'amour
de Tom? Sept ans! Pendant ce temps, il ne m'a jamais volontairement serré la main. J'ai essayé de me connecter avec lui, mais il ne voulait pas
grand-chose à faire avec moi. Dans un seul sujet, je pourrais l'amener à engager une conversation avec moi. Nos enfants ont été adoptés, tout
comme les siens, alors il m'en parlait. Mais il ne voulait pas se réchauffer.

CE QUI SE TROUVE EN DESSOUS

Puis un jour j'ai déjeuné avec un pasteur vétéran. Je lui ai parlé de Tom, des lettres d'amour hebdomadaires que j'ai reçues et de mon
incapacité à convaincre Tom. Mon ami pasteur m'a regardé et a dit: «Tu sais, John, blesser les gens, blesser les gens.» Cette déclaration
est vraiment liée pour moi. «Chaque fois que quelqu'un dit ou fait quelque chose de blessant», a-t-il poursuivi, «vous devez aller sous la
surface.»
J'ai regardé Tom d'une nouvelle manière après ça. J'ai commencé à chercher la cause de sa douleur et j'ai essayé à nouveau de me connecter
avec lui. Enfin, un jour, alors que j'essayais de l'amener à s'engager, il a fait une déclaration qui faisait plus qu'indiquer le problème. Il a dit: «Ne
faites jamais confiance à un pasteur.» Plus tard, j'ai découvert que Tom avait déjà été membre du conseil d'administration d'une église et avait été
maltraité par le pasteur. Il décida dès lors que les pasteurs étaient de mauvaises nouvelles et ne pouvaient pas faire confiance.

Après avoir compris le problème, j'ai pu travailler pour gagner la confiance de Tom. Cela a demandé beaucoup d'efforts, mais au moment où j'ai
quitté Lancaster pour accepter un autre poste de direction, Tom avait surmonté sa méfiance à mon égard. Nous sommes devenus amis. Et non
seulement il était prêt à me serrer la main, mais il me ferait un gros câlin d'ours. À ce moment-là, il avait depuis longtemps renoncé à m'envoyer des
lettres d'amour.

UN PEU DE DOULEUR, PAS DE GAIN

Pour vraiment comprendre le principe de la douleur et qu'il vous aide à traiter avec les autres, vous devez garder à l'esprit quatre vérités:

1. Il y a beaucoup de gens qui souffrent

Il ne faut pas un psychiatre pour voir que beaucoup de gens souffrent aujourd'hui. La chroniqueuse Ann Landers a affirmé qu'un Américain sur
quatre est déséquilibré. (Elle a ajouté que nous devrions regarder nos trois amis les plus proches, et s'ils semblent bien, cela signifie que nous
sommes le seul!)
Bien entendu, le fait que de nombreuses personnes souffrent n'est pas un phénomène nouveau. Au XIXe siècle, le philosophe
Arthur Schopenhauer a comparé la race humaine à des porcs-épics blottis ensemble par une nuit d'hiver glaciale:

Plus il fait froid dehors, plus nous nous blottissons ensemble pour nous réchauffer; mais plus nous nous rapprochons l'un de
l'autre, plus nous nous blessons avec nos piquants acérés. Et dans la nuit solitaire de l'hiver terrestre, nous commençons
finalement à nous séparer et à errer seuls et à mourir de froid dans notre solitude.

Schopenhauer était plutôt pessimiste. Contrairement à lui, je pense qu'il y a de l'espoir pour tout le monde. Mais en même temps, nous ne pouvons
pas être naïfs avec les gens. Un très grand nombre de personnes soignent des blessures profondes.

2. Ces personnes blessées blessent souvent des personnes

Le poète allemand Herman Hesse a écrit: «Si vous détestez une personne, vous détestez quelque chose en lui qui fait partie de
vous-même. Ce qui ne fait pas partie de nous-mêmes ne nous dérange pas. Je partage son point de vue. Lorsque les gens font du mal,
c'est en réponse à ce qui se passe en eux plus qu'à ce qui se passe autour d'eux. Ils ressentent ou croient quelque chose de négatif en
eux-mêmes. Le problème est que les gens qui ne croient pas en eux ne réussiront jamais, et ils empêcheront également ceux qui les
entourent de réussir.

Au début de ma carrière pastorale, j'ai fait beaucoup de conseils, une responsabilité que j'ai finalement confiée aux membres du
personnel parce que je n'en avais pas le tempérament. Mais au fil des ans, j'ai conseillé suffisamment de couples blessés pour observer
que leur interaction suivait généralement un modèle. Émotionnellement, l'un des conjoints «vomissait», puis l'autre nettoyait. Je l'ai vu se
produire encore et encore. Et toujours la personne qui souffrait le plus faisait le plus de tort à l'autre personne.

3. Les gens qui souffrent sont souvent blessés par les gens

Non seulement les personnes blessées blessent les autres, mais elles sont également facilement blessées par les autres. Mon
ami Kevin Myers l'illustre ainsi. Si quelqu'un a un éclat dans son doigt et qu'il lui permet de rester là, son doigt devient enflé et
infecté. Ensuite, si une autre personne la frôle à peine, l'individu hurle de douleur et dit: «Tu me fais mal!» Mais la réalité est que le
problème n'est pas avec la personne qui a innocemment cogné le doigt. C'est avec la personne qui a l'écharde mais qui a négligé
de remédier à la blessure.

La douleur émotionnelle fonctionne de la même manière. Les personnes blessées réagissent de manière excessive, exagèrent
et surprotègent Ils surinfluencent également. J'entends par là qu'ils contrôlent la relation. C'était le cas avec Tom. La vieille blessure
était son conflit non résolu avec un ancien pasteur. Il n'avait jamais enlevé l '«éclat» pour qu'il puisse guérir. Et parce qu'il souffrait, il
a empêché notre relation de
de plus en plus pendant sept ans. C'est toujours ainsi: les relations sont retenues par la personne en moins bonne santé.

Lorsque vous interagissez avec les autres, rappelez-vous ceci: chaque fois que la réponse d'une personne est plus importante que le problème en
question, la réponse concerne presque toujours autre chose.

4. Les personnes qui souffrent se font souvent du mal

Dans une vieille routine comique, un je-sais-tout aime faire la leçon à son ami à la gare où ils attendent pour prendre le train de
banlieue chaque matin. Et à chaque fois que le je sais tout parle, il pique son ami dans la poitrine avec son doigt. Cela, bien sûr,
ne convient pas à l'autre homme. Alors il décide finalement qu'il va y mettre un terme.

Le lendemain sur le chemin de la gare, il rencontre un troisième ami et dit: «Je suis tellement fatigué de ce savoir-tout qui me fait
la leçon et me pique la poitrine. Aujourd'hui, je vais avoir 'im.
«Comment allez-vous faire ça?» demande son copain.
Le premier homme ouvre son manteau pour re-veler trois bâtons de dynamite attachés à sa poitrine. «Aujourd'hui, quand il me
pique», dit-il avec un sourire, «il va se faire sauter la main.

«Celui qui ne peut pardonner aux autres brise le pont sur lequel il doit passer lui-même.
- GEORGE HERBERT

Blesser les gens est souvent comme ça. Ils peuvent blesser les autres, mais ceux qu'ils blessent le plus profondément et le plus souvent sont
eux-mêmes. Le poète George Herbert a déclaré: «Celui qui ne peut pardonner aux autres brise le pont sur lequel il doit passer lui-même.

GÉRER LES PERSONNES BLESSÉES

L'auteur Glenn Clark conseille: «Si vous souhaitez voyager loin et vite, voyagez léger. Enlevez toutes vos envies, jalousies, impitoyable,
égoïsme et larmes. Les gens qui n'ont pas dépassé leur blessure ont du mal à le faire. En conséquence, ils agissent et réagissent
différemment des personnes en bonne santé.
Les gens en bonne santé le sont. . .
plus disposé à changer. plus disposé à admettre
l'échec. plus disposé à discuter des problèmes.
plus disposé à apprendre des autres. plus disposé
à faire quelque chose pour résoudre le problème.

capable de voyager léger.

Les gens font mal. . .
moins disposé à changer.
moins disposé à admettre l'échec. moins disposé
à discuter des problèmes. moins disposé à
apprendre des autres. moins disposé à faire
quelque chose pour régler le problème.

transportant beaucoup de bagages.

 Si vous avez affaire à une personne blessée, ce que nous devons tous faire de temps en temps, je vous conseille de faire ce
qui suit:

Ne le prends pas personnellement

Les gens qui souffrent vont être offensés quand aucun n'est donné. Lorsque vous savez que vous n'avez rien fait de mal, rappelez-vous que ce n'est
pas ce que les autres disent de vous; c'est ce que vous pensez de vous-même. Vous pouvez vous excuser pour leur douleur et ressentir de la
compassion pour leur état, mais vous devriez essayer de ne pas le prendre personnellement. Cela peut être difficile, même pour une personne
ayant une image de soi saine, mais cela en vaut la peine.

Regardez au-delà de la personne pour le problème

Tout comme je l'ai fait avec Tom, vous feriez bien d'essayer de regarder au-delà de la personne et de ses actes blessants et d'essayer de voir ce
qui lui cause de la douleur. Même si vous ne pouvez pas découvrir la source du problème, ce plan vous aidera à aborder la personne avec plus de
compassion.

Regardez au-delà de la situation

Avez-vous déjà eu à passer un coup de fil de mauvaise nouvelle et l'avez-vous redouté, non pas tant à cause des nouvelles que vous deviez livrer,
mais parce que vous redoutiez la réponse de la personne à l'autre bout de la ligne? La semaine dernière, ma femme et moi avons dû passer un tel
appel. Le week-end avait été planifié, mais à la dernière minute, les choses ont changé. Nous avons dû appeler un ami qui serait affecté
négativement par le changement. Nous avons détesté passer l'appel, non pas parce que les nouvelles étaient si mauvaises, mais parce que la
personne n'est pas toujours forte émotionnellement et qu'elle réagirait mal.

Dans de tels cas, essayez de ne pas vous concentrer sur la situation. Souviens-toi juste que ce n'est pas ce qui se passe à toi; c'est ce qui se passe dans
vous qui compte. Essayez de vous élever au-dessus de l'agitation émotionnelle que l'autre personne peut créer.

N'ajoutez pas à leur blessure

La tendance naturelle de beaucoup de gens est de rencontrer le feu avec le feu, la douleur avec la douleur. Mais riposter à une personne blessée, c'est
comme donner un coup de pied à un homme alors qu'il est à terre. L'homme d'État Sir Francis Bacon a déclaré: "C'est certain, qu'un homme qui étudie la
vengeance garde ses blessures vertes, qui autrement guériraient et feraient bien." Si quelqu'un s'en prend à vous, la meilleure chose à faire est de lui
pardonner et de passer à autre chose.

Aidez-les à trouver de l'aide

La chose la plus gentille que vous puissiez faire pour blesser les gens est d'essayer de les aider. Certaines personnes ne veulent pas régler leurs problèmes
et vous ne pouvez certainement pas les forcer à recevoir de l'aide. Mais vous pouvez toujours choisir de tendre la main. Cela peut prendre beaucoup de
temps, comme cela a été le cas avec Tom, mais même des personnes très amères sont connues pour venir.
 ET SI VOUS ÊTES LE UN
QUI EST MAL?

Au début de ce chapitre, la question a été posée: Dois-je blesser les gens ou suis-je trop facilement blessé par eux? Si vous avez répondu oui, vous devez
répondre à une deuxième question: Suis-je prêt à surmonter mes problèmes et à dépasser ma douleur? Voici la clé. La plupart des gens veulent juste une
solution rapide, quelque chose pour leur donner un certain soulagement sur le moment. C'est pourquoi certains choisissent de s'en prendre; cela les fait se
sentir mieux temporairement. D'autres utilisent de l'alcool, de la nourriture, des relations sexuelles ou autre chose pour atténuer la douleur. Mais comme le
dit mon ami Kevin Myers: «Si vous voulez vous rétablir, vous avez besoin de plus qu’une solution. Vous devez devenir en forme. »

Les personnes qui recherchent une forme émotionnelle ne recherchent pas un soulagement momentané. Ils recherchent ce qui est juste. Comment
pouvez-vous dire quel genre de personne vous êtes? Les personnes à la recherche d'un correctif cessent de travailler à résoudre un problème dès que la
douleur ou la pression est soulagée. Les personnes en quête de remise en forme continuent de faire ce qui est bien et de s'améliorer même lorsque
l'inconfort disparaît.
Se plonger dans vos vieilles blessures et vos problèmes émotionnels nécessite souvent l'aide d'un conseiller professionnel et peut être une
proposition compliquée, mais cela en vaut la peine. J'ai récemment lu une histoire qui fournit une bonne analogie pour ce que c'est. En mars 1995, la New
England Pipe Cleaning Company de Watertown, Connecticut, travaillait sous les rues de Revere, Massachusetts, pour nettoyer une conduite d'égout de 10
pouces. Les travailleurs ont trouvé bon nombre des articles habituels qui obstruent ces types de tuyaux. Cependant, ils ont également découvert beaucoup
d'autres choses: soixante et une bagues, des pièces de monnaie anciennes et de l'argenterie. La mauvaise nouvelle est que les ouvriers ont dû faire un
travail désagréable. La bonne nouvelle, c'est qu'ils ont été autorisés à conserver les choses précieuses qu'ils ont découvertes au cours du processus.

Si votre capacité relationnelle est entièrement «obstruée», vous devrez peut-être vous aussi creuser pour arranger les choses. Et vous
devrez peut-être faire face à des trucs assez désagréables. Mais la récompense est que vous pouvez découvrir des trésors dont vous
ignoriez l'existence. Et à la fin de votre dur labeur, vous pouvez développer une saine capacité de relations.

«Si vous voulez vous rétablir, vous avez besoin de plus qu’une solution. Vous devez devenir en forme. »
- KEVIN MYERS

QUESTIONS DE DISCUSSION SUR LE PRINCIPE DE LA DOULEUR

1. Quelle est votre réaction à l'analogie avec le porc-épic de Schopenhauer? Pensez-vous que cela représente fidèlement la façon dont nous nous
répondons les uns aux autres? Avez-vous une meilleure description ou analogie?
2. Êtes-vous d'accord que nous sommes plus susceptibles de réagir négativement à quelque chose chez une autre personne que nous n'aimons
pas chez nous? Explique.
3. Trouvez-vous difficile de séparer la personne ou la situation de la douleur qu'elle provoque? Explique. Quelles stratégies peut-on utiliser
pour y parvenir efficacement?
4. En général, êtes-vous plus susceptible d'être quelqu'un qui blesse involontairement les autres ou qui est blessé par d'autres qui
souffrent? Explique.
5. Comment maintenez-vous la compassion pour blesser les gens sans les encourager à se vautrer dans leur douleur ou à se jeter sur vous? Où
une personne blessée peut-elle obtenir de l'aide? Expliquez les moyens sensibles mais efficaces qui pourraient aider une personne blessée à
obtenir de l'aide.
 LE PRINCIPE HAMMER

N'UTILISEZ JAMAIS UN MARTEAU POUR

METTRE UN VOL SUR LA TÊTE DE

QUELQU'UN

Si vous voulez gagner le monde, faites-le fondre, ne le martelez pas.

- ALEXANDER MACLAREN
LA QUESTION QUE JE DOIS ME POSER: LES AUTRES
DIRAIENT-ILS QUE JE RÉAGISSE TROP DE PETITES
CHOSES DANS UNE RELATION?
M Ma femme, Margaret, et moi nous sommes mariés en juin 1969, et comme la plupart des couples, nous pensions naïvement que rien d'autre que la
douceur de la voile ne nous attendait. Bien sûr, il ne nous a pas fallu longtemps pour nous retrouver dans le genre de désaccords mineurs que vivent
tous les couples, surtout lorsqu'ils s'adaptent pour la première fois à la vie conjugale.

Comme la plupart des gens, je pensais que j'avais raison presque tout le temps, et j'en ai informé Margaret. J'ai toujours été un bon orateur
et je peux être assez persuasif, alors j'ai utilisé mes compétences pour gagner nos arguments. Nous ne nous sommes jamais criés ou criés l'un
à l'autre. C'était toujours très rationnel et contrôlé, mais je me suis toujours assuré de gagner. Le problème était qu'avec mon approche,
Margaret devait toujours perdre.
Nous avons bien fait beaucoup de choses pendant ces deux premières années de mariage, mais ce n'était pas l'une d'entre elles. Sans le
savoir, je battais lentement mais sûrement Margaret émotionnellement. Nous ne serions pas d'accord, je réagirais de manière excessive et je
posais involontairement une autre brique dans le mur qui se construisait entre nous. Je ne savais pas que gagner à tout prix pouvait
éventuellement mettre en péril notre mariage. Puis un jour, Margaret m'a fait asseoir, a partagé ce qu'elle ressentait lorsque nous nous disputions
et a expliqué ce que cela faisait à notre relation. C'était la première fois que je comprenais que je faisais passer les arguments avant de gagner la
relation.

A partir de ce jour, j'ai décidé de changer. Réalisant qu'il était plus important d'avoir la bonne attitude que d'avoir les bonnes réponses,
j'ai adouci mon approche, écouté davantage et arrêté de faire tout un plat de petites choses. Avec le temps, le mur qui avait commencé à se
former est tombé et nous avons commencé à construire des ponts. Et depuis ce temps, j'ai fait un effort conscient pour établir une connexion
chaque fois que je suis en conflit avec quelqu'un qui me tient à cœur.

SI J'AVAIS UN MARTEAU . . .

Avouons-le. En raison de leur personnalité, certaines personnes ont tendance à utiliser un marteau, même lorsque quelque chose de plus doux fera l'affaire.
Ils sont comme Calvin dans cette bande dessinée.

Calvin et Hobbes © 1992 Watterson. Réimprimé avec la permission de UNIVERSAL PRESS SYNDICATE. Tous les droits
sont réservés.
Je dois admettre que je ressemble parfois plus à Calvin que je ne le voudrais. Quand je suis tenté d'utiliser la surpuissance, j'essaie de tempérer mon
comportement en utilisant les quatre Ts suivants. Vous voudrez peut-être les accepter lorsque vous vous trouvez dans une situation similaire.

1. Image totale

Un homme d'âge moyen est entré dans un bar à cocktails et s'est dirigé directement vers le bar. «Avez-vous quelque chose qui
guérisse le hoquet?» demanda-t-il au barman. Sans un mot, le barman tendit la main sous le bar, prit un chiffon de bar humide et
gifla l'homme au visage avec.
"Hey! Quelle est l'idée? » dit l'homme étonné.
Le barman sourit. «Eh bien, tu n'as plus le hoquet, n'est-ce pas? Il a demandé.
«Je ne l'ai jamais fait», a répondu l'homme. «Je voulais quelque chose pour guérir ma femme. Elle est dans la voiture.
 Arrivez-vous à des conclusions bien avant que le problème ne vous soit présenté? C'est un phénomène courant pour la plupart
d'entre nous qui avons de fortes personnalités. C'est pourquoi je me suis entraîné à suivre un processus pour m'empêcher de donner
des réponses aux gens avant qu'ils n'aient fini de poser la question. Quand quelqu'un partage son point de vue avec moi, j'essaye de le
faire. . .
Ecoutez,
poser des questions,
écoute encore,
poser plus de questions,
écoute encore un peu,
puis
répondre.
Je trouve que si je me ralentis, je suis plus susceptible de répondre patiemment et de manière appropriée.

2. Calendrier

J'ai récemment lu une citation attribuée à l'auteur Dan Zadra qui disait: "C'est ce que vous faites, pas quand vous le faites, qui compte." Cela
n'est pas toujours vrai. Si le général n'ordonne pas l'attaque au bon moment, la bataille est perdue. Si le parent n'amène pas l'enfant blessé à
l'hôpital assez rapidement, sa vie pourrait être perdue. Si vous ne vous excusez pas auprès de quelqu'un lorsque vous lui avez fait du tort, la
relation pourrait être perdue.
Agir est aussi important que de prendre les bonnes mesures. Même savoir quand ne pas agir peut être important. La célèbre
hôtesse et écrivaine Lady Dorothy Nevill a observé: «Le véritable art de la conversation n'est pas seulement de dire la bonne chose au
bon endroit, mais de ne pas dire la mauvaise chose au moment tentant.

Aujourd'hui, Kevin McHale est le directeur général des Timberwolves du Minnesota. Avant cela, il était un joueur exceptionnel pour les
Celtics de Boston pendant leurs années de championnat. Il a ceci à dire à propos de son entraîneur des Celtics, KC Jones:

Après chaque défaite, ou chaque fois que quelqu'un avait pris un mauvais tir à la fin du match, il était le premier à marcher, tapoter le gars
dans le dos et dire: «Ne vous inquiétez pas, nous aurons ' em la prochaine fois. Mais il ne viendrait jamais vers vous après que vous ayez
fait quelque chose de bien. Alors, je lui ai posé des questions à ce sujet un soir, et il a dit: «Kevin, après avoir fait le panier gagnant, vous
avez 15 000 personnes qui vous acclament, les chaînes de télévision viennent à vous, et tout le monde vous donne des high-five. Tu n'as
pas besoin de moi alors. Quand tu as besoin d'un vrai ami, c'est quand tu sens que personne ne t'aime.

Il me semble que la cause la plus courante de mauvais timing dans les relations est des motifs égoïstes. (Si vous avez de jeunes enfants,
pensez à leur timing. C'est souvent mauvais, mais c'est parce qu'ils ne pensent généralement qu'à eux-mêmes.) Pour cette raison, lorsque de
petites choses nous dérangent, notre objectif numéro un doit être de mettre de côté nos agendas personnels et de construire la relation. Si vous
avez examiné vos motivations et que vous pouvez être certain qu'elles sont bonnes, alors vous devez vous poser deux questions de timing.
Première, suis-je prêt à affronter? C'est une question à laquelle il est assez facile de répondre, car c'est vraiment une question de savoir si vous avez
fait vos devoirs. Le second est plus difficile: Est-ce que l'autre personne est prête à entendre? Si vous avez jeté une base relationnelle et que vous
n'êtes pas tous les deux dans le «feu de la bataille», la réponse peut être oui.

«Le véritable art de la conversation n’est pas seulement de dire la bonne chose au bon endroit, mais de partir
non dit la mauvaise chose au moment tentant.
- LADY DOROTHY NEVILL

3. Tonalité
Il y avait une fois une mère célibataire avec deux enfants, âgés de cinq et trois ans, qui luttait constamment contre leur mauvaise
langue. Elle a tout essayé pour les faire cesser de jurer, y compris les emmener chez un psychologue pour enfants. Après des
mois de frustration, se dit-elle, Les M & M's n'ont pas fonctionné et n'ont pas non plus ignoré leur comportement. Maintenant, ils
jurent encore plus. Alors je vais traiter ces gars comme ma mère traitait mes frères quand ils juraient.

Le lendemain matin, l'enfant de cinq ans s'est levé et il est allé dans la cuisine. La maman a dit: «Chérie, qu'est-ce que tu veux pour
le petit déjeuner ce matin?»
Il leva les yeux et dit: «Donnez-moi quelques-uns de ces @ # * &%! vieux Wheaties.
Sur ce, elle a écrasé l'enfant, et à travers la cuisine, il a volé. Son frère de trois ans, qui regardait, était stupéfait. Il
n'avait jamais rien vu de tel. Puis sa mère l'a regardé et a dit: «Et que veux-tu pour le petit déjeuner?»

Il la regarda avec des yeux écarquillés et dit: «Eh bien, vous pouvez parier que votre # @ * et je ne veux pas de ces @ # * &%!
Wheaties! »
Les gens réagissent souvent à nos attitudes et à nos actions plus qu'à nos paroles. De nombreux petits conflits surviennent parce que les
gens utilisent le mauvais ton de voix. L'auteur des Proverbes a déclaré: «Une réponse douce

détourne la colère, mais un mot dur attise la colère. 1 N'avez-vous pas trouvé que c'était vrai? Sinon, essayez cette expérience. La prochaine
fois que quelqu'un vous dira quelque chose avec colère, répondez avec douceur et gentillesse. Lorsque vous faites cela, la personne qui a
parlé durement est susceptible d'atténuer, voire d'adoucir, son attitude.

4. Température

À mesure que les esprits montent, les gens sont enclins à larguer des bombes lorsque l'utilisation d'une fronde fera l'affaire. Et cela peut causer beaucoup de
problèmes car la taille d'un problème change souvent en fonction de la façon dont il est traité. En général . . .

Si la réaction est pire que l'action, le problème augmente généralement. Si la réaction est
inférieure à l'action, le problème diminue généralement.
C'est pourquoi j'essaie de suivre une directive auto-imposée que j'appelle la règle de la réprimande: «Prenez trente secondes pour partager vos
sentiments - et puis c'est fini.» Chaque fois que nous laissons une petite chose créer une grande réaction (une qui dure plus de trente secondes), alors
nous utilisons un marteau.
Ma femme, Margaret, et moi nous aidons continuellement à résoudre ce problème. Lorsque nos deux enfants étaient plus jeunes et vivaient encore à la
maison, nous avons utilisé une stratégie chaque fois que nous devions les affronter. Elle et moi nous asseyions côte à côte sur le canapé et nous nous
tenions la main pendant que nous parlions aux enfants. Et si l'un de nous commençait à avoir trop chauffé ou à réagir de manière excessive, l'autre serrait
doucement la main en guise d'avertissement. Au fil des ans, cela nous a souvent empêché de «marteler» verbalement les enfants lorsqu'une approche plus
douce était plus appropriée. Cela a cependant fait des mains douloureuses et meurtries!

ÉCHANGEZ VOTRE MARTEAU POUR UN GANT DE VELOURS

Certaines personnes semblent penser qu'un marteau est bon pour tout et pour tout. Je suppose que vous pourriez dire qu'ils adoptent une approche de
la vie martelée. J'ai observé cette attitude le plus souvent chez les plus performants. Quand ils accordent leur attention à quelque chose, ils y vont à
fond. C'est généralement une bonne approche des tâches. Cependant, c'est une manière terrible de traiter les gens. Comme l'a observé le psychologue
AbrahamMaslow, «Si le seul outil dont vous disposez est un marteau, vous avez tendance à voir chaque problème comme un clou.» Les gens ont besoin
d'un traitement plus judicieux que cela.
 Si vous souhaitez développer un contact plus doux avec les gens, prenez à cœur les conseils suivants:

Laissez le passé rester dans le passé

Deux hommes se plaignaient de leurs femmes. «Quand nous nous disputons», dit le premier homme, «ma femme devient historique.»

Son ami a répondu: "Tu ne veux pas dire hystérique?"

«Non», a répondu le premier, «je veux dire historique. Elle me rappelle tout ce que j'ai fait de mal. Résolvez un problème lorsqu'il se
produit. Et une fois que vous avez fait cela, n'en revenez plus. Si vous le faites, vous traitez quelqu'un comme un clou.

Demande toi, Ma réaction fait-elle partie du problème?

Comme je l'ai mentionné dans le principe de la douleur, lorsque la réponse d'une personne est supérieure au problème, la réponse concerne autre chose.
N'empirez pas les choses en réagissant de manière excessive.

Rappelez-vous que les actions sont mémorisées longtemps après que les mots sont oubliés

Si vous avez un diplôme d'études secondaires ou collégiales, pouvez-vous vous rappeler le message que le conférencier a livré à votre remise de
diplôme? Ou si vous êtes marié, pouvez-vous réciter vos vœux de mariage de mémoire? Je suppose que la réponse aux deux questions est non.
Mais je parie que vous vous souvenez vous être marié et avoir reçu votre diplôme. La façon dont tu traiter les gens resteront avec eux beaucoup plus
longtemps que les mots que vous choisissez. Agir en conséquence.

Ne laissez jamais la situation signifier plus que la relation

Je crois que si je n'avais pas fait de ma relation avec Margaret une priorité plus élevée que d'avoir toujours raison, nous ne serions
peut-être pas mariés aujourd'hui. Les relations sont basées sur le lien. Plus la relation est importante, plus le lien est grand. Il y en aura
plus à ce sujet dans le principe de situation.

Traitez vos proches avec un amour inconditionnel

Parce que la nôtre est une société avec beaucoup d'individus brisés et dysfonctionnels, beaucoup de gens n'ont jamais eu de bons modèles d'amour
inconditionnel. Dans Le vol, John Whit a donné son point de vue sur les lacunes dans notre traitement des personnes importantes dans nos vies:
«Nous bavardons parce que nous ne parvenons pas à aimer. Quand on aime les gens, on ne les critique pas. Si nous les aimons, leurs échecs font
mal. Nous ne faisons pas plus de publicité pour les péchés des personnes que nous aimons que pour les nôtres. »

Admettez les torts et demandez pardon

Le gangster de Chicago, Al Capone, aurait déclaré: "Vous pouvez aller plus loin avec un mot gentil et une arme à feu qu'avec un mot gentil
seul." Malgré l'humour, je peux vous dire ceci: le pardon c'est mieux. Admettre que vous avez tort et demander pardon peut couvrir une
multitude de péchés. Cette approche est également l'un des meilleurs moyens d'essayer de faire les choses correctement lorsque vous
constatez que vous avez utilisé le marteau au lieu du gant de velours.

En lisant ce chapitre, un ami ou un collègue vous est peut-être venu à l'esprit, et vous pensez peut-être: Je connais quelqu'un qui
en a besoin. Avant d'essayer de retirer le marteau de sa main, arrêtez-vous un instant. La première chose que vous devez faire est
de vous regarder.
Le problème avec la plupart des personnes qui utilisent le marteau tout le temps est qu'elles peuvent ne pas savoir qu'elles le font. Un
article récent de l'entraîneur exécutif Marshall Goldsmith a parlé d'un homme du nom de Mike, l'un des meilleurs banquiers d'investissement.
On a demandé à Goldsmith de l'aider parce qu'il était un porteur de marteau. Mike se considérait comme «un guerrier à Wall Street mais un
chat à la maison». Goldsmith a demandé à Mike d'appeler sa femme pour confirmer son auto-évaluation, et à sa grande surprise, elle a dit
qu'il était aussi un idiot à la maison. Lorsque ses enfants ont confirmé son évaluation, Mike a finalement commencé à se voir comme les
autres.

"Vous pouvez aller plus loin avec un mot gentil et une arme à feu qu'avec un mot gentil seul."
- AL CAPONE
Le conseil de Goldsmith est le suivant: «Laissez vos collègues tenir le miroir et vous dire ce qu'ils voient. Si vous

ne les croyez pas, faites de même avec vos proches et vos amis. 2 Si vous faites cela, vous saurez si vous traitez les autres comme des
personnes ou comme des clous. Si vous faites ce dernier, vous devez faire un changement.

QUESTIONS DE DISCUSSION SUR LE PRINCIPE DE HAMMER

1. Dans quelles situations êtes-vous le plus tenté d'utiliser le marteau au lieu du gant de velours? Pourquoi donc? Comment
pouvez-vous anticiper le moment où cela va se produire et le changer?
2. Certaines personnes sont naturellement enclines à regarder le tableau d'ensemble; d'autres sont enclins à se concentrer sur les détails. Lequel
est-tu? Que pouvez-vous faire pour améliorer votre capacité à voir les choses en contexte et vous rendre moins susceptible de sauter aux
conclusions?
3. Pensez à quelqu'un qui est un maître dans l'utilisation du gant de velours. Qu'est-ce qui le rend si bon avec les gens? Que
pouvez-vous apprendre de cette personne?
4. Comment définiriez-vous amour inconditionnel? Qu'est-ce qui empêche d'aimer les autres
inconditionnellement? Comment peut-on aimer les autres sans condition tout en maintenant des normes personnelles et professionnelles
élevées?
5. Que se passe-t-il en vous lorsqu'une autre personne admet un acte répréhensible et s'excuse? Comment cela affecte-t-il
la relation à l'avenir? Si cela a un effet si positif, alors pourquoi sommes-nous si réticents à le faire? Comment surmonter
cette réticence?
LE PRINCIPE DE L'ASCENSEUR

NOUS POUVONS ÉLEVER DES

GENS OU FAIRE DES GENS DANS
NOS RELATIONS

Les gens peuvent être le vent sous nos ailes

ou l'ancre sur notre bateau.
LA QUESTION QUE JE DOIS ME POSER:
LES AUTRES DIRAIENT QUE JE
LES SOULEVER OU LES ENLEVER?
je Dans les années 1920, le médecin, consultant et psychologue George W. Crane a commencé à enseigner la psychologie sociale à la
Northwestern University de Chicago. Bien qu'il fût nouveau dans l'enseignement, il était un étudiant astucieux de la nature humaine, et il croyait
fermement à rendre l'étude de la psychologie pratique pour ses étudiants.

L'un des premiers cours qu'il a enseigné comprenait des étudiants du soir qui étaient plus âgés que l'étudiant moyen. Les
jeunes hommes et femmes travaillaient le jour dans les grands magasins, les bureaux et les usines de Chicago et essayaient de
s'améliorer en suivant des cours le soir.
Après la classe, un soir, une jeune femme nommée Lois, qui avait déménagé à Chicago d'une petite ville du Wisconsin pour occuper
un emploi dans la fonction publique, confia à Crane qu'elle se sentait isolée et seule. «Je ne connais personne, à part quelques filles au
bureau», a-t-elle déploré. «La nuit, je vais dans ma chambre et j'écris des lettres à la maison. La seule chose qui me permet de vivre au
jour le jour est l’espoir de recevoir une lettre de mes amis du Wisconsin. »

UN NOUVEAU TYPE DE CLUB

C'est en grande partie en réponse au problème de Lois que Crane a proposé ce qu'il a appelé le Club Compliment, qu'il a
annoncé à sa classe la semaine suivante. Ce devait être la première de plusieurs missions pratiques qu'il leur donnerait ce terme.

«Vous devez utiliser votre psychologie tous les jours à la maison ou au travail ou dans les tramways et les bus», leur a dit
Crane. «Pour le premier mois, votre devoir écrit sera le Club de compliment.
Chaque jour, vous devez faire un compliment honnête à chacune des trois personnes différentes. Vous pouvez augmenter ce nombre si vous le souhaitez,
mais pour être admissible à une note de classe, vous devez avoir complimenté au moins trois personnes par jour pendant trente jours. . .

«Ensuite, à la fin de l'expérience de trente jours, je veux que vous écriviez un thème ou un article sur vos expériences», a-t-il poursuivi. "Incluez
les changements que vous avez constatés chez les personnes autour de vous, ainsi que

votre propre vision de la vie modifiée. » 1

Certains étudiants de Crane ont résisté à cette affectation. Certains se sont plaints de ne pas savoir quoi dire. D'autres avaient peur
d'être rejetés. Et quelques-uns ont pensé qu'il serait malhonnête de complimenter quelqu'un qu'ils n'aimaient pas. "Supposons que vous
rencontriez quelqu'un que vous n'aimez pas?" a demandé un homme. «Ne serait-il pas sincère de louer votre ennemi?

"Non, ce n'est pas une insincérité lorsque vous complimentez votre ennemi", a répondu Crane, "car le compliment est une honnête
déclaration de louange pour un trait objectif ou mérite qui mérite des éloges. Vous constaterez que personne n'est entièrement dépourvu
de mérite ou de vertu. . . Vos éloges peuvent remonter le moral des âmes solitaires qui sont presque prêtes à abandonner la lutte pour
faire de bonnes actions. Vous ne savez jamais quand votre compliment occasionnel peut attirer un garçon ou une fille, ou un homme ou
une femme

point critique où il jetterait autrement l'éponge. 2

Les élèves de Crane ont découvert que leurs compliments sincères avaient un impact positif sur les gens autour d'eux. Et
l'expérience a eu un impact encore plus grand sur les étudiants eux-mêmes. Lois est devenue une vraie personne qui a éclairé
une pièce quand elle y est entrée. Et une autre étudiante, qui était prête à quitter son travail de secrétaire juridique en raison
d'un patron particulièrement difficile, a commencé à le féliciter, même si au début elle l'a fait les dents serrées. Finalement, non
seulement sa hargne envers elle a changé, mais aussi son exaspération envers lui. Ils ont fini par prendre un véritable goût l'un
pour l'autre et se sont mariés.

Le Compliment Club de George Crane nous semble probablement un peu ringard aujourd'hui. Mais les principes qui la sous-tendent
sont tout aussi solides aujourd'hui qu'ils l'étaient dans les années 1920. L'essentiel est que Crane enseignait ce que j'appelle le principe de
l'ascenseur: nous pouvons élever ou abattre les gens dans nos relations. Il essayait d'apprendre à ses élèves à être proactifs. Crane a
déclaré: «Le monde a faim de reconnaissance. Il a soif de compliments. Mais quelqu'un doit commencer le bal en parlant le premier et en
disant un
belle chose à son compagnon. 3 Il a embrassé le sentiment de Benjamin Franklin, qui croyait: «Comme nous devons rendre compte de chaque mot
inutile, nous devons le faire pour chaque silence oisif.

QUEL TYPE DE PERSONNE ES-TU?

Pendant des années, les psychologues ont tenté de diviser les gens en différentes catégories. Parfois, un poète observateur peut faire un
meilleur travail. Ella Wheeler Wilcox l'a fait dans le poème "Which Are You?"
Il y a deux sortes de personnes sur terre aujourd'hui; Juste deux
sortes de personnes, pas plus, dis-je.
Pas le pécheur et le saint, car il est bien entendu que les bons sont à moitié
mauvais et les mauvais à moitié bons. Pas les riches et les pauvres, car pour
évaluer la richesse d'un homme,
Vous devez d'abord connaître l'état de sa conscience et de sa santé. Pas les humbles et
les orgueilleux, car dans la petite durée de la vie, Qui prend des airs vains, ne compte pas
un homme.
Pas les heureux et les tristes, pour les années de vol rapide. Apportez à chaque
homme son rire et à chaque homme ses larmes. Non; les deux types de
personnes sur terre je veux dire,
Sont les gens qui soulèvent et les gens qui se penchent. Où que
vous alliez, vous trouverez les masses de la terre, toujours
divisées en ces deux classes. Et curieusement, vous trouverez
aussi, je ween, Il n'y a qu'un seul à vingt ans qui penche.

Dans quelle classe es-tu? Êtes-vous en train d'alléger la charge, des

élévateurs surchargés, qui peinent sur la route? Ou êtes-vous un maigre,
qui laisse les autres partager

Votre part du travail, votre inquiétude et vos soins? 4

Ce sont de bonnes questions que nous devons nous poser car nos réponses auront un impact énorme sur nos relations. Je
pense que Wilcox était sur la bonne voie. Les gens ont tendance à ajouter de la valeur aux autres, en réduisant leur charge et en les
soulevant, ou ils enlèvent de la valeur aux autres, ne pensant qu'à eux-mêmes et abattant les gens dans le processus. Mais j'irais
encore plus loin. Je crois que l'intensité avec laquelle nous élevons ou abaissons les autres peut déterminer qu'il y a vraiment quatre types
de personnes lorsqu'il s'agit de relations:

1. Certaines personnes Ajouter Quelque chose à la vie - nous en profitons

Beaucoup de gens dans ce monde désirent aider les autres. Ces personnes sont des additionneurs. Ils rendent la vie des autres plus agréable et plus
agréable. Ce sont les haltérophiles sur lesquels Wilcox a écrit. L'évangéliste DL Moody a conseillé aux gens de le faire. . .

faites tout le bien que vous pouvez, à

toutes les personnes que vous pouvez,
de toutes les manières possibles, aussi
longtemps que vous le pouvez. Moody
était un additionneur.
Les personnes qui ajoutent de la valeur aux autres le font presque toujours intentionnellement. Je dis cela parce que pour ajouter de la valeur aux
autres, il faut qu'une personne se donne d'elle-même, et cela se produit rarement par accident. Je me suis efforcé de
devenir un additionneur. J'aime les gens et je veux les aider. Je me fais un objectif d'être un ami.
Récemment, le PDG d'une grande entreprise m'a invité à parler du leadership de son organisation. Après avoir enseigné à ses cadres
et animé des sessions pour ses managers, j'avais acquis suffisamment de crédibilité auprès de lui pour qu'il veuille faire quelque chose de
bien pour moi.
«John, j'aime ce que tu as fait pour nous», dit-il alors que nous étions assis un jour dans son bureau. «Maintenant, que puis-je faire pour vous?»

«Rien,» répondis-je. "Vous n'avez rien à faire pour moi." La société m'avait bien sûr payé pour les fois où j'avais
parlé, et j'avais vraiment apprécié l'expérience. Son peuple était vif et désireux d'apprendre.

«Oh, allez,» dit-il. "Tout le monde veut quelque chose. Qu'est-ce que tu veux?"
«Écoutez, tout le monde n'a-t-il pas besoin d'un ami facile? Quelqu'un qui ne veut rien? Lui ai-je répondu en le regardant dans
les yeux. «Je veux juste être un ami facile.»
Il a ri et a dit: "D'accord, tu seras mon ami facile." Et c'est ce que je me suis efforcé d'être. L'auteur Frank Tyger dit: «L'amitié
consiste en une oreille bienveillante, un cœur compréhensif et un coup de main.» C'est ce que j'essaye de donner à mon ami.

«L'amitié consiste en une oreille bienveillante, un cœur compréhensif et un coup de main.»

- FRANK TYGER

Il y a des années, mon neveu, Troy, est venu vivre avec notre famille après avoir terminé ses études universitaires et est allé travailler dans une
société de prêts hypothécaires. Troy était intelligent, il était un travailleur acharné et il voulait réussir. Et nous voulions l'aider. Alors je lui ai donné
quelques conseils alors que nous partions vers son nouveau travail. J'ai suggéré qu'il fasse ces choses:

Allez-y tôt et restez tard - faites plus que prévu. Je lui ai conseillé d'arriver au travail trente
minutes à l'avance, déjeunez deux fois moins longtemps et travaillez trente minutes après avoir arrêté de fumer.

Faites quelque chose tous les jours pour aider les gens autour de lui. J'ai suggéré qu'il ajoute de la valeur à la
équipe en ajoutant de la valeur à ses collègues.
Offrez de faire un effort supplémentaire pour le patron. Je lui ai dit de prendre rendez-vous avec son patron et
faites-lui savoir que s'il avait besoin de quelque chose de plus - peu importe à quel point il était subalterne - il était disponible pour l'aider.
Et cela signifiait après les heures ou le week-end.
Ce que je faisais était de donner à Troy une leçon pour devenir un additionneur. Et Troy a ajouté de la valeur aux gens qui
l'entouraient et à l'entreprise - à tel point qu'il a été promu très rapidement et qu'il s'est élevé dans l'organisation avant son trentième
anniversaire.

2. Certaines personnes Soustraire Quelque chose de la vie - nous les tolérons

Dans Jules César, Cassius du dramaturge William Shakespeare affirme: «Un ami doit supporter les infirmités de son ami, / Mais Brutus rend les
miennes plus grandes qu'elles ne le sont. C'est ce que font les soustracteurs. Ils ne portent pas nos fardeaux, et ils alourdissent ceux que nous
avons déjà. Ce qui est triste avec les soustracteurs, c'est que ce qu'ils font n'est généralement pas intentionnel. Si vous ne savez pas comment
ajouter aux autres, vous soustrayez probablement par défaut.

Dans les relations, recevoir est facile. Donner est beaucoup plus difficile. C'est similaire à la différence entre construire quelque
chose et le démolir. Il faut beaucoup de temps et d'énergie à un artisan qualifié pour construire une belle chaise. Il ne faut aucune
compétence pour casser cette chaise en quelques instants.

3. Certaines personnes Multiplier Quelque chose dans la vie - nous les apprécions
Quiconque le souhaite peut devenir un additionneur. Il suffit d'un désir d'élever les gens et de l'intentionnalité pour aller jusqu'au bout.
C'est ce que George Crane essayait d'enseigner à ses élèves. Mais pour passer à un autre niveau dans les relations - pour devenir un
multiplicateur - il faut être intentionnel, stratégique et compétent. Plus une personne possède de talent et de ressources, plus son
potentiel à devenir un multiplicateur est grand.

J'ai de la chance. J'ai beaucoup de multiplicateurs dans ma vie, des gens très doués qui veulent me voir réussir, des gens
comme Todd Duncan, Rick Goad et Tom Mullins. Chacun de ces hommes a un cœur de serviteur. Ils sont les meilleurs dans leurs
domaines. Ils apprécient le partenariat. Ils génèrent toujours de bonnes idées. Et ils sont passionnés par le fait de faire une
différence. Ils m'aident à affiner ma vision et à maximiser mes forces.

Vous avez probablement des gens comme ça dans votre vie, des gens qui vivent pour vous aider à réussir et qui ont les compétences pour vous aider
en cours de route. Si vous pouvez penser à des personnes qui ont joué le rôle de multiplicateur dans votre vie, arrêtez-vous et prenez le temps de les
appeler ou de leur écrire et dites-leur ce qu'elles ont voulu dire dans votre vie.

4. Certaines personnes Diviser Quelque chose dans la vie - nous les évitons

RG LeTourneau, inventeur de nombreux types d'engins de terrassement lourds, dit que son entreprise fabriquait un grattoir connu
sous le nom de modèle G.Un jour, un client a demandé à un vendeur ce que g représentait. Le vendeur, comme beaucoup de gens
dans sa profession, a été rapide et il a répondu: «Le g est synonyme de potins car comme un porteur de conte, cette machine déplace
beaucoup de terre et la déplace rapidement! »

Les diviseurs sont des gens qui vont vraiment «vous emmener au sous-sol», ce qui signifie qu'ils vous feront descendre aussi bas que possible,
aussi souvent qu'ils le peuvent. Ils sont comme le président de l'entreprise qui a envoyé à son directeur du personnel une note disant: «Cherchez dans
l'organisation un jeune homme alerte et agressif qui pourrait me mettre à ma place - et quand vous le trouverez, renvoyez-le.»

Un ami doit supporter les infirmités de son ami, pas les rendre plus grandes qu'elles ne le sont.

Les diviseurs sont tellement dommageables car contrairement aux soustracteurs, leurs actions négatives sont généralement intentionnelles. Ce
sont des personnes blessantes qui se font mieux paraître ou se sentir mieux en essayant de faire faire pire à quelqu'un d'autre qu'eux. En
conséquence, ils endommagent les relations et créent des ravages dans la vie des gens.

AMENEZ LES AUTRES À UN NIVEAU SUPÉRIEUR

Je crois qu'au fond, tout le monde - même la personne la plus négative - veut être un lifter. Nous voulons tous avoir une influence positive dans
la vie des autres. Et nous pouvons l'être. Si vous voulez élever les gens et ajouter de la valeur à leur vie, gardez à l'esprit les points suivants:

Les haltérophiles s'engagent à être encouragés au quotidien

Le philosophe romain Lucius Annaeus Seneca a observé: «Partout où il y a un être humain, il y a une opportunité de gentillesse.» Si vous
voulez élever les gens, suivez les conseils de George Crane. Encouragez les autres et faites-le quotidiennement.

Les haltérophiles connaissent la petite différence qui sépare blesser et aider

Les petites choses que vous faites tous les jours ont un impact plus important sur les autres que vous ne le pensez. Un sourire, plutôt qu'un froncement de
sourcils, peut faire la journée de quelqu'un. Un mot gentil au lieu de la critique remonte le moral d'un individu plutôt que de le tirer vers le bas.

Vous détenez le pouvoir d'améliorer ou d'empirer la vie d'une autre personne par les choses que vous faites aujourd'hui. Les plus proches de vous -
votre conjoint, vos enfants ou vos parents - sont les plus touchés par ce que vous dites et faites. Utilisez ce pouvoir à bon escient.

Les haltérophiles déclenchent le positif dans un environnement négatif

C'est une chose d'être positif dans un environnement positif ou neutre. C'est une autre d'être un instrument de changement dans un environnement
négatif. Pourtant, c'est ce que les haltérophiles essaient de faire. Parfois, cela nécessite un mot gentil, d'autres fois, il faut l'action d'un serviteur, et
parfois cela demande de la créativité.
Le révolutionnaire américain Ben Franklin a raconté dans son autobiographie qu'il avait demandé une faveur pour créer une
connexion positive dans un environnement négatif. En 1736, Franklin était envisagé pour un poste de greffier de l'assemblée générale.
Une seule personne s'est opposée à sa nomination, un homme puissant qui n'aimait pas Franklin.

Franklin a écrit: «Ayant entendu dire qu'il avait dans sa bibliothèque un certain livre très rare, je lui ai écrit une note,
exprimant mon désir de lire attentivement ce livre et lui demandant de me faire la faveur de me le prêter. L'homme était flatté et
ravi de la demande. Il a prêté le livre à Franklin et les deux sont devenus des amis pour la vie.

Les haltérophiles comprennent que la vie n'est pas une répétition générale

Voici une citation que j'ai toujours aimée: «Je m'attends à ne traverser ce monde qu'une fois. Tout bien que je peux faire, ou toute gentillesse que je peux
montrer à n'importe quel autre créature, permettez-moi de le faire maintenant. Laisse moi pas

la reporter ou la négliger, car je ne passerai plus par là. 5 Les gens qui en soulèvent d'autres n'attendent pas demain ou une autre journée
«meilleure» pour aider les gens. Ils agissent maintenant!
Chacun est capable de devenir une personne qui élève les autres. Vous n'avez pas besoin d'être riche. Vous n'avez pas besoin d'être
un génie. Vous n'êtes pas obligé de tout avoir ensemble. Vous devez vous soucier des gens et entreprendre des activités de levage. Ne
laissez pas passer un autre jour sans élever les gens de votre vie. Faire cela changera positivement les relations que vous avez déjà et
vous ouvrira à bien d'autres.

QUESTIONS DE DISCUSSION SUR LE PRINCIPE DE L'ASCENSEUR

1. Les personnes qui ne travaillent pas intentionnellement à ajouter de la valeur aux autres deviennent-elles automatiquement des soustracteurs?
Pourquoi? Quelle est la principale différence entre les additionneurs et les soustracteurs? Explique.
2. Pourquoi les gens deviennent-ils des diviseurs? Le manque de pardon est-il jamais un problème? (George Herbert dit: «Celui qui ne
peut pardonner aux autres brise le pont sur lequel il doit passer lui-même.»)
 choix de devenir un diviseur permanent? Quelles actions au travail ou à la maison avez-vous entreprises qui pourraient être considérées
comme des divisions? Comment pouvez-vous être sûr d'éviter un tel comportement à l'avenir?
3. Êtes-vous d'accord pour dire que les petites choses qu'une personne fait peuvent facilement soulever ou abaisser les autres?
Comment les petites choses affectent-elles un enfant? Les parents sont-ils responsables d'élever leurs enfants ou de les
endurcir? Explique. Si vous êtes parent, vous trouvez-vous plus souvent à encourager vos enfants ou à les discipliner? Si le
changement était bénéfique, que pourriez-vous faire pour vous améliorer?

4. Comment une personne peut-elle soulever ou abaisser les autres sans dire un mot? Comment les expressions faciales d'une personne
pourraient-elles encourager ou décourager les autres? Comment décririez-vous votre expression faciale naturelle? Comment les autres le
décriraient-ils? Comment pouvez-vous le rendre plus ouvert et encourageant?

5. Quelle est la principale différence entre les additionneurs et les multiplicateurs? Quelqu'un peut-il devenir un multiplicateur?
Explique. Combien de fois avez-vous multiplié la valeur dans la vie d'une autre personne? Que devez-vous faire pour devenir un meilleur multiplicateur?

Avant de passer à autre chose, passons en revue les principes des personnes qui se rapportent à la question de la préparation. . .
Le principe de l'objectif: Qui nous sommes détermine la façon dont nous voyons les autres.
Le principe du miroir: La première personne que nous devons examiner, c'est nous-mêmes.
Le principe de la douleur: Les gens blessés blessent les gens et sont facilement blessés par eux.
Le principe du marteau: N'utilisez jamais un marteau pour faire tomber une mouche de la tête de quelqu'un.
Le principe de l'ascenseur: Nous pouvons élever ou abattre les gens dans nos relations.
 LA CONNEXION
QUESTION:
AREWEWILLING
VOUS CONCENTRER SUR LES AUTRES?

Les amis sont faits d'étrangers.

- CULLEN HIGHTOWER
UNE Tous les êtres humains ont le désir de se connecter avec d'autres personnes. Peu importe qu'ils soient jeunes ou vieux,
introvertis ou extravertis, riches ou pauvres, savants ou non éduqués. Le besoin de connexion est parfois motivé par le désir
d'amour, mais il peut tout aussi facilement être provoqué par des sentiments de solitude, le besoin d'acceptation, la quête
d'épanouissement ou le désir de réussir en affaires.

Comment pouvons-nous satisfaire notre désir de relations? Quelle est la meilleure façon de commencer? En d'autres termes, comment pouvons-nous
nous connecter? La réponse est que nous devons arrêter de penser à nous-mêmes et commencer à nous concentrer sur les personnes avec lesquelles
nous souhaitons établir des relations. C'est pourquoi le
La question de connexion demande: «Sommes-nous prêts à nous concentrer sur les autres?»
Pour augmenter vos chances de vous connecter avec une autre personne, vous devez comprendre et apprendre les six principes de personne
suivants:
Le principe général: L'ensemble de la population mondiale - à une petite exception près -
est composé d'autres.
Le principe d'échange: Au lieu de mettre les autres à leur place, il faut se mettre
leur place.
Le principe d'apprentissage: Chaque personne que nous rencontrons a le potentiel de nous apprendre quelque chose.
Le principe du charisme: Les gens s'intéressent à la personne qui s'intéresse à eux.
Le principe du numéro 10: Croire le meilleur des gens fait généralement ressortir le meilleur des gens.
Le principe de la confrontation: Prendre soin des gens doit précéder la confrontation avec les gens.
Lorsque vous cessez de vous soucier autant de vous-même et que vous commencez à regarder les autres et ce qu'ils désirent, vous
construisez un pont avec les autres et vous devenez le genre de personne que les autres veulent côtoyer. Ce sont les clés de la connexion.
 LE PRINCIPE DE LA GRANDE IMAGE

TOUTE LA POPULATION
DU MONDE-
À UNE EXCEPTION MINEURE—
EST COMPOSÉ D'AUTRES

Une personne commence à vivre lorsqu'elle peut vivre en dehors d'elle-même.

- ALBERT EINSTEIN
LA QUESTION QUE JE DOIS ME POSER:
Ai-je beaucoup de mal à mettre
les autres en premier?
W Que faut-il pour changer la perspective des gens et les aider à avoir une vue d'ensemble pour la première fois de
leur vie? Parfois, il se marie. D'autres fois, il divorce. Ou avoir un enfant. L'essentiel est que les gens doivent
comprendre que tout ne les concerne pas.

LECTURE ENTRE LES LIGNES

J'ai récemment lu un article sur l'actrice Angelina Jolie. Le catalyseur de son changement de perspective était un scénario. Jolie, qui a
remporté un Oscar en 1999 pour son rôle dans Fille interrompue, aurait pu être la fille de l'affiche pour une vie à la dérive. Enfant des acteurs
Jon Voight et Marcheline Bertrand, elle avait grandi à Hollywood et se livrait à nombre de ses excès. Elle a été appelée une «enfant
sauvage». Et elle était bien connue pour sa consommation de drogue, son comportement scandaleux et ses actions parfois
autodestructrices. Elle était convaincue qu'elle mourrait jeune.

«Il fut un temps où je n'avais jamais eu de but, je ne me sentais jamais utile en tant que personne», dit Jolie. «Je pense que
beaucoup de gens ont ce sentiment: vouloir se suicider, se droguer ou s’engourdir

parce que vous ne pouvez pas l'éteindre ou que vous vous sentez juste mal et que vous ne savez pas de quoi il s'agit. 1
Le succès au cinéma ne l'aidait guère. «Je me sentais tellement déséquilibrée tout le temps», admet Jolie. «Je me souviens que
l'un des moments les plus bouleversants de ma vie a été après avoir atteint le succès, la stabilité financière et j'étais amoureux, et je
me suis dit: 'J'ai tout ce qu'ils disent que tu devrais être

heureux et je ne suis pas heureux. » 2

Mais ensuite, elle a lu le script pour Au delà des frontières, l'histoire d'une femme vivant une vie de privilège qui découvre le sort
des réfugiés et des orphelins du monde entier. Jolie se souvient: «Quelque chose en moi voulait vraiment comprendre de quoi parlait
le film, ces gens dans le monde, tous ces déplacés

les gens et la guerre et la famine et les réfugiés. » 3 Pendant un an, elle a voyagé à travers le monde avec des travailleurs de l'ONU. «J'ai reçu ma plus
grande éducation de vie et j'ai changé radicalement», observe-t-elle. Elle a visité des camps en Sierra Leone, en Tanzanie, en Côte d'Ivoire, au
Cambodge, au Pakistan, en Namibie et en Thaïlande. Toute sa perspective a changé. Elle a réalisé que le monde entier était composé d'autres
personnes, dont beaucoup se trouvaient dans des circonstances désastreuses, dont beaucoup elle pouvait aider.

Lorsque le Haut-Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés lui a demandé de devenir ambassadrice de bonne volonté en 2001, elle était
heureuse de le faire. Elle a également commencé à donner de l'argent pour aider les réfugiés et les orphelins, dont 3 millions de dollars au programme des
Nations Unies pour les réfugiés. (Elle dit qu'elle fait une "quantité stupide de

argent »pour jouer dans des films.) 4 Et elle a adopté un orphelin cambodgien, Maddox. Récemment Vaut
Le magazine l'a classée parmi les vingt-cinq philanthropes les plus influents au monde. Elle
estime qu'elle donne près d'un tiers de ses revenus à des œuvres caritatives. 5
Jolie met tout en perspective: «Vous pourriez mourir demain et vous avez fait quelques films, remporté des prix - cela ne
veut rien dire. Mais si vous avez construit des écoles ou élevé un enfant ou fait

quelque chose pour améliorer les choses pour les autres, alors ça va mieux. La vie est meilleure." 6 Pourquoi ressent-elle ça? Parce qu'elle a
enfin une vue d'ensemble. Elle a arrêté de se concentrer sur elle-même et a commencé à mettre les autres avant elle-même.

À PARTIR D'ICI, TOUT EST DIFFÉRENT

Quand il s'agit de gagner avec les gens, tout commence par la capacité de penser aux autres qu'à nous-mêmes. C'est le principe le plus
fondamental dans l'établissement de relations. Je sais que cela peut sembler du bon sens, mais tout le monde n'a pas une vue
d'ensemble ou ne pratique pas l'altruisme. Au lieu de cela, trop
les gens agissent plus comme les tout-petits. Leur point de vue peut être mieux exprimé par quelque chose qui a fait le tour par
e-mail:
Si je l'aime, c'est à moi.
Si je peux vous l'enlever, c'est à moi. Si je l'ai eu il y a
quelque temps, c'est à moi.
Si je dis que c'est à moi, c'est à moi.
Si ça ressemble à moi, c'est à moi. Si je l'ai vu
en premier, c'est le mien.
Si vous vous amusez avec, c'est définitivement le mien. Si vous le
déposez, c'est le mien.

S'il est cassé, c'est à vous. sept

Les personnes qui restent égocentriques et égoïstes auront toujours du mal à s'entendre avec les autres. Pour les aider à
briser ce mode de vie, ils ont besoin d'une vue d'ensemble, ce qui nécessite trois choses:

1. Perspective

Les gens qui manquent de perspective sont comme Lucy dans le Cacahuètes bande dessinée de Charles Schulz. Dans une bande, pendant que
Lucy se balance sur la cour de récréation, Charlie Brown lui lit: «On dit ici que le monde tourne autour du soleil une fois par an.»

Lucy s'arrête brusquement et répond: «Le monde tourne autour du soleil? Êtes-vous sûr? Je pensais que ça tournait autour de moi.

Bien sûr, le manque de perspective est généralement beaucoup plus subtil que cela. Je sais que c'était pour moi. Au début de ma carrière de
pasteur, alors que je dirigeais les autres, la question que je me posais continuellement était: Comment ces personnes peuvent-elles aider moi? Je voulais
utiliser les gens pour m'aider à atteindre mes objectifs. Il m'a fallu quelques années pour réaliser que j'avais tout à l'envers et que j'aurais dû demander, Comment
puis je aider ces gens?
Quand je l'ai fait, non seulement j'ai pu aider les autres, mais j'ai également été aidé. J'ai appris ce que l'auteur et expert en gestion William B. Given
Jr. voulait dire quand il a observé: «Chaque fois que vous cherchez trop égoïstement votre propre intérêt, vous n'avez qu'une seule personne qui
travaille pour vous - vous-même. Lorsque vous aidez une douzaine d'autres personnes à résoudre leurs problèmes, une douzaine de personnes
travaillent avec vous. »
La plupart du temps, ce qui nous préoccupe est petit dans le grand schéma des choses. Il y a de nombreuses années, John
McKay, ancien entraîneur de football en chef de l'USC, voulait aider son équipe à se remettre après avoir été humilié 51–0 par
Notre-Dame. McKay est entré dans le vestiaire et a vu un groupe de jeunes footballeurs battus, épuisés et complètement déprimés qui
n'étaient pas habitués à perdre. Il s'est levé sur un banc et a dit: «Les hommes, gardons cela en perspective. Il y a 800 millions de
Chinois qui ne savent même pas que ce jeu a été joué.

Le monde entier - à une petite exception près - est composé d’autres. Et la plupart des gens dans le monde ne vous connaissent pas et ne le feront
jamais. La plupart de ceux que vous connaissez ont probablement des besoins et des problèmes plus importants que vous. Vous pouvez choisir de les
ignorer et de vous concentrer sur vous-même, ou vous pouvez vous remettre de vous-même et apprendre à donner la priorité aux autres.

2. Maturité

Mes petites-filles, Hannah et Maddie, ont trois ans au moment où j'écris ceci. Je viens de passer un merveilleux Thanksgiving avec eux. C'était une
joie de les voir jouer et faire des choses pour eux. Mais je dois dire une chose à leur sujet. Pendant tout le temps que nous étions ensemble, ils
n'ont jamais demandé une seule fois: «Qu'est-ce que je peux faire pour toi, papa?» Ça va pour un enfant de trois ans. Ça ne va pas à trente ans!
 Nous nous attendons souvent à ce que la maturité vienne avec l'âge, mais la vérité est que parfois l'âge vient seul. Une attitude qui dit: «Gagnez du
temps - voyez-le à ma façon» peut durer toute la vie à moins qu'une personne ne choisisse de lutter contre elle.

Il y a plusieurs années, l'auteur et consultant Bob Buford a écrit un excellent livre intitulé Mi-temps. Sa thèse est qu'à l'approche de l'âge
mûr, de nombreuses personnes atteignent une période de malaise qui vient de vouloir plus de sens dans leur vie. Il définit cela comme Mi-temps. Il
dit que la plupart des gens essaient de faire dans la seconde moitié de leur vie ce qu'ils ont fait dans la première moitié, mais plus encore. Au lieu
de cela, la clé d'une mi-temps réussie est de faire le point, de vous concentrer sur votre domaine de force et de faire du don aux autres votre
objectif.

Voici comment Bob décrit la différence d'attitude entre les gens avant et après la mi-temps:

Alors que le soi de la première moitié est petit, le soi de la seconde moitié est grand. La première moitié de soi s'enroule vers l'intérieur,
s'enroulant de plus en plus autour d'elle-même. La seconde moitié s'enroule vers l'extérieur, se dégageant de la paralysie d'un ressort bien
enroulé.
Le petit moi ne contient que vous. Il est fondamentalement aliéné, seul et pathologiquement individualiste. Le moi
plus large est entier parce qu'il est lié à quelque chose de transcendant.

L'auto-transcendance a des jambes; il parcourt la distance et termine la course. 8

Bob décrit la vraie maturité. C'est savoir que le monde ne tourne pas autour de vous. C'est la capacité d'avoir une vue
d'ensemble.

3. Responsabilité

Vous avez peut-être remarqué que le mariage a un moyen d'aggraver le manque de responsabilité d'une personne irresponsable. Les
personnes non mariées sans enfants ont beaucoup plus de liberté que les personnes mariées ou parents. Quiconque se marie dans
l'espoir de conserver le même niveau de liberté qu'il avait quand il était célibataire va mettre son mariage en danger. Pour que le mariage
fonctionne, les deux partenaires doivent être responsables. Les relations de mariage mûrissent lorsque chaque partenaire cesse de
demander,
Que peut faire mon conjoint moi? et commence à prendre la responsabilité de demander, Ce qui peut je faire pour mon conjoint?

Le leadership impose des exigences similaires aux gens. Accepter des responsabilités de leadership pour la première fois expose le niveau
de maturité et le sens des responsabilités d'un individu. Les leaders irresponsables ont une attitude «moi d'abord» et utilisent leur position pour
leur bénéfice personnel. Les leaders responsables ont une attitude «les autres d'abord» et utilisent leur position pour servir les gens, prendre leurs
responsabilités, être un exemple, donner du crédit aux autres et réparer les relations. Les bons leaders comprennent que pour que l'équipe
réussisse, ils doivent donner la priorité aux autres.

OUVRIR LES YEUX À LA GRANDE PHOTO

Si vous souhaitez améliorer votre capacité à voir la situation dans son ensemble et à placer les autres en premier, procédez comme suit:

SORTEZ DE VOTRE «PROPRE PETIT MONDE»

Quand j'étais enfant et que je grandissais dans l'Ohio, je ne savais pas grand-chose du monde. Et cela m'a amené à avoir une vision assez étroite de la vie
quand j'étais jeune. Je me souviens avoir pensé que n'importe qui, quelles que soient les circonstances, pouvait avancer grâce à un travail acharné. Ensuite,
j'ai fait un voyage dans un pays en développement et j'ai vu des gens qui travaillaient beaucoup plus dur que moi mais qui étaient incapables d'échapper à la
pauvreté. Ma façon de penser a commencé à changer à mesure que mon monde s'élargissait.

Pour changer d'orientation, les gens doivent sortir de leur propre petit monde. Si vous avez une vision étroite des gens, allez dans des endroits où vous
n'êtes jamais allés, rencontrez le genre de personnes que vous ne connaissez pas et faites des choses que vous n'avez jamais faites auparavant. Cela
changera votre point de vue, tout comme le mien.

Vérifiez votre ego à la porte

Avez-vous déjà passé beaucoup de temps à parler à quelqu'un avec un grand ego? La bonne nouvelle est que ces personnes ne parlent
jamais beaucoup des autres. (Peut-être est-ce parce qu'ils sont toujours «profonds» dans la conversation!) La mauvaise nouvelle est que si
vous ne voulez pas en entendre parler, vous vous ennuierez très vite.

Un égoïste peut être décrit ne pas comme une personne qui pense trop à elle-même, mais comme quelqu'un qui pense trop peu aux
autres. C'est une bonne description.
Nous croyons souvent à tort que l'opposé de l'amour est la haine. Mais je pense que c'est incorrect. Le contraire d'aimer les autres est
d'être centré sur soi. Si vous vous concentrez toujours sur vous-même, vous ne pourrez jamais établir de relations positives.

Un égoïste peut être décrit non pas comme une personne qui pense trop à elle-même, mais comme quelqu'un
qui pense trop peu aux autres.

Comprendre ce qui permet la réalisation

En fin de compte, les choses qui apportent la satisfaction impliquent les autres. Une personne entièrement concentrée sur elle-même se sentira toujours
agitée et affamée.
Le réformateur anti-esclavagiste Henry Ward Beecher a déclaré: "Aucun homme n'est plus trompé que l'homme égoïste." C'est vrai
parce qu'il se sépare de ce qui compte le plus dans la vie: les gens.
Si vous voulez vivre une vie épanouie, vous avez besoin de relations saines. Et pour construire ce genre de relations, vous devez vous
remettre de vous-même. Adoptez le principe de la vue d'ensemble et rappelez-vous que la population entière du monde - à une petite
exception près - est composée d'autres personnes.

QUESTIONS DE DISCUSSION SUR LE PRINCIPE EN GRANDE IMAGE

1. À quelle étape de la vie de nombreuses personnes commencent-elles à apprendre à penser aux autres? Quels événements incitent souvent les
gens à donner la priorité aux autres? Que se passe-t-il lorsqu'une personne essaie de sauter
 les leçons de vie qui inspirent l'autre esprit? Qu'arrive-t-il aux personnes dont la concentration, le temps et l'énergie sont entièrement
consacrés à eux-mêmes, même dans leurs dernières années?
2. Quelle est la principale différence entre les personnes ayant un grand ego et celles ayant une grande confiance? Pourquoi un gros ego est-il
indésirable? Pourquoi la confiance est-elle souhaitable? Pensez-vous que l'ego et le manque de confiance sont liés? Explique.

3. Décrivez vos expériences de voyage. Quelles destinations ont été similaires à votre propre environnement? Avez-vous
voyagé dans des endroits avec des cultures très différentes de la vôtre? Quelles destinations spécifiques vous ont mis le
plus mal à l'aise? Pourquoi? Avez-vous appris quelque chose en voyageant là-bas? Où aimeriez-vous voyager dans le
futur? Pourquoi?
4. Comment définiriez-vous accomplissement? Une personne sans relations significatives peut-elle
rempli? Expliquez votre opinion. Comment votre opinion affecte-t-elle l'effort que vous consacrez à l'établissement de relations?

5. Pensez aux relations les plus importantes de votre vie. Avez-vous toujours fait preuve d'une maturité et d'une responsabilité
appropriées en eux? Sinon, comment pouvez-vous faire les choses correctement? Que devriez-vous changer vous-même
pour que votre comportement soit approprié à l'avenir?
 LE PRINCIPE D'ÉCHANGE

AU LIEU DE LA MISE
LES AUTRES À LEUR PLACE, NOUS
DEVONS NOUS METTRE
À LEUR PLACE

Parfois, quand vous donnez à quelqu'un

une tranquillité d'esprit, vous perdez votre tranquillité d'esprit.
LA QUESTION QUE JE DOIS ME POSER:
EST-CE QUE J'ESSAYE DE VOIR LES CHOSES DE
POINTS DE VUE D'AUTRES?
S Depuis 1996, j'enseigne le leadership au niveau international à des dirigeants chrétiens par le biais d'une organisation à but non lucratif que j'ai
fondée appelée EQUIP. C'est l'une de mes plus grandes joies et je crois que ses réalisations constitueront une part importante de mon héritage.
Tous les membres de l'équipe EQUIP travaillent d'arrache-pied pour atteindre l'objectif d'élever et d'équiper un million de dirigeants d'ici 2008.

Les Philippines sont un des pays où mes messages ont été bien reçus. Quand j'ai commencé à enseigner là-bas, j'enseignais le
leadership presque exclusivement aux pasteurs philippins et à d'autres dirigeants chrétiens. Cependant, mes livres et autres
matériels ont commencé à se répandre au-delà de la communauté chrétienne dans le monde des affaires. Cela n'a pas été une
grande surprise car une chose similaire s'était déjà produite aux États-Unis et dans plusieurs pays africains. Ce qui m'a surpris, c'est
que le gouvernement philippin s'est intéressé à mes enseignements sur le leadership.

Le secrétaire du pays à l'intérieur m'a contacté pour me dire que le gouvernement voulait envoyer une copie de Les 21 lois irréfutables
du leadership à tous les maires des Philippines. Puis plus tard, il m'a fait savoir qu'ils voulaient également envoyer une copie à chaque
membre du conseil municipal du pays. C'était très humiliant de penser que les idées que j'avais mises par écrit pouvaient être partagées
avec autant de personnes influentes. J'étais heureux de donner ma permission.

UNE VISITE AVEC LE PRÉSIDENT

En janvier 2003, j'ai été invité à rencontrer la présidente des Philippines, Gloria Macapagal-Arroyo. C'était un grand honneur. J'ai
trouvé le président très vif, très chaleureux et très intelligent. (Elle a un doctorat en économie.) Nous avons parlé de leadership et, à
ma grande surprise et à ma grande joie, elle a sorti un exemplaire bien usé de Les 21 lois irréfutables du leadership. Elle m'a dit qu'elle
l'utilisait pour encadrer son cabinet. Pendant un certain temps, elle m'a posé des questions sur le leadership et nous avons discuté de
divers points du livre. Ce fut une expérience totalement agréable.

À la fin de notre temps, j'ai décidé de lui parler de quelque chose qui m'avait marqué. Au cours de mes voyages à travers le monde,
j'avais observé que dans les pays en développement, de nombreux dirigeants profitent de leur peuple. Ceux qui ont le pouvoir profitent
des impuissants. Cette tendance est à son pire dans les pays avec des dictateurs, mais elle semble se produire partout à tous les
niveaux de direction: plus le pays est pauvre, plus les abus sont importants.

J'ai partagé mon observation avec le président et j'ai dit que j'avais vu de nombreux dirigeants utiliser leurs positions pour se valoriser au
lieu d'ajouter de la valeur aux autres. Et j'ai ajouté: «Vous semblez être un leader qui veut vraiment ajouter de la valeur aux autres.»

«Oh, oui», répondit-elle, «mon seul objectif est d'aider les gens de mon pays. J'envisage de ne servir qu'un seul mandat afin
de pouvoir me concentrer sur le service plutôt que sur la politique. D'après ce que j'ai vu et lu, elle ajoute de la valeur et sert
bien.

LA PUISSANCE DE LA PERSPECTIVE

Le succès peut apporter beaucoup de choses: pouvoir, privilège, renommée, richesse. Mais peu importe ce que cela apporte, le succès vient des options. La
façon dont nous utilisons ces options révèle notre caractère. Les gens riches peuvent utiliser leurs ressources au profit des autres ou seulement
d'eux-mêmes. Les personnes célèbres peuvent utiliser leur notoriété pour modeler un bon caractère ou pour se servir elles-mêmes de manière égoïste. Les
dirigeants peuvent prendre des décisions qui affectent les autres positivement ou négativement. C'est à eux de décider.

Au cœur du problème est de savoir si les gens désirent utiliser leur pouvoir pour mettre les autres à leur place ou pour se mettre à la
place des autres. Je crois que la présidente Macapagal-Arroyo essaie de voir les choses du point de vue de son peuple et agit en
conséquence.
 L'éducateur et chimiste agricole George Washington Carver a fait une observation incroyable: «Jusqu'où vous allez dans la vie
dépend du fait que vous soyez tendre avec les jeunes, compatissant avec les personnes âgées, compatissant avec l'effort et
tolérant des faibles et des forts. Parce qu'un jour dans la vie, vous aurez été tout cela. Notre traitement des autres résulte de notre
point de vue sur eux. Le problème est que voir les choses du point de vue d'une autre personne ne vient pas naturellement à tout le
monde. Voici ce que j'ai découvert sur le principe d'échange:

Naturellement, nous ne nous voyons pas et les autres du même point de vue

Hank Greenberg, membre du National Baseball Hall of Fame, a travaillé comme directeur général des Indians de Cleveland après la fin
de ses jours de jeu avec les Tigers de Detroit. Un hors-saison, des contrats ont été envoyés à tous les joueurs de l'équipe pour leur
signature. Plusieurs semaines plus tard, Greenberg a reçu un contrat non signé d'un joueur. Il a envoyé un télégramme au joueur: "Dans
votre hâte d'accepter les termes, vous avez oublié de signer le contrat." Un télégramme du joueur est arrivé le lendemain. Il disait: «Dans
votre hâte de me donner une augmentation, vous avez mis les mauvais chiffres.»

Nous ne nous regardons pas et les autres de la même manière. Les gens se voient naturellement à la lumière de leurs intentions, mais ils
mesurent les autres en fonction de leurs actions. Ou pour le dire comme l'a fait le poète Henry Wadsworth Longfellow: «Nous nous jugeons
par ce que nous nous sentons capables de faire, tandis que d'autres nous jugent par ce que nous avons déjà fait.

Nous essayons naturellement de nous voir sous la lumière la plus positive. Et ce n'est pas grave tant que nous sommes honnêtes avec
nous-mêmes. Mais nous devons vraiment donner aux autres le même bénéfice du doute que nous nous accordons.

Lorsque nous ne voyons pas les choses du point de vue des autres, nous échouons dans nos relations

Une grande partie du conflit que nous vivons dans les relations vient de notre incapacité à voir les choses du point de vue de l'autre
personne, comme l'illustre la blague suivante. Un homme dans un ballon à air chaud s'est rendu compte qu'il était perdu. Il a réduit son
altitude et a repéré une femme en dessous. Il est descendu un peu plus et a crié: «Excusez-moi, pouvez-vous m'aider? J'ai promis à un
ami de le rencontrer il y a une heure, mais je ne sais pas où je suis. La femme ci-dessous a répondu: «Vous êtes dans un ballon à air
chaud planant à environ 30 pieds au-dessus du sol. Vous êtes entre 40 et 41 degrés de latitude nord et entre 59 et 60 degrés de longitude
ouest. "

«Vous devez être ingénieur», a déclaré l'aérostier.

«Je le suis», répondit la femme. «Comment avez-vous su?»
«Eh bien,» répondit l'aérostier, «tout ce que vous m'avez dit est techniquement correct, mais je ne sais pas quoi faire de vos informations, et le fait
est que je suis toujours perdu. Franchement, vous n'avez pas du tout été d'une grande aide. Si quoi que ce soit, vous avez retardé mon voyage.

La femme ci-dessous a répondu: «Vous devez être à la direction.» "Je le suis", a

répondu l'aérostier, "mais comment le saviez-vous?"
«Eh bien,» dit la femme, «vous ne savez pas où vous êtes ni où vous allez. Vous êtes arrivé là où vous êtes en raison d'une grande quantité d'air
chaud. Vous avez fait une promesse, que vous ne savez pas comment tenir, et vous vous attendez à ce que les personnes en dessous de vous résolvent
vos problèmes. Le fait est que vous êtes exactement dans la même position que vous étiez avant notre rencontre, mais maintenant, d'une manière ou d'une
autre, vous avez réussi à en faire de ma faute.
Combien de fois vous êtes-vous retrouvé en conflit avec une autre personne parce que vous voyez les choses d'une manière et qu'il les voit d'une
autre? Pensez-y. Si vous êtes marié, ne rencontrez-vous pas continuellement des conflits potentiels à cause de la façon dont les hommes et les femmes
voient naturellement les choses différemment? Si vous avez des enfants, les frictions ne se produisent-elles pas beaucoup parce qu'elles ne voient pas les
choses comme vous? Même dans un vraiment
environnement de travail positif, les gens ne voient pas tout du même œil. (N'oubliez pas ceci: avant de vous disputer
avec votre patron, regardez bien les deux côtés - son côté et l'extérieur.) Sérieusement, je crois que si les gens faisaient
l'effort de voir les choses du point de vue des autres , 80% de notre conflit relationnel disparaîtrait.

Apprendre à voir les choses du point de vue des autres nous aide à réussir dans nos relations

J'ai lu ce dicton dans un journal de vente: «Si vous vendez à John Smith ce que John Smith achète, alors vous devez voir John Smith à
travers les yeux de John Smith.» Le concept est si simple que nous pensons qu'il est trop évident. Pourtant, beaucoup de gens ne le
pratiquent pas. Ils sont tellement occupés à mettre les autres à leur place qu'ils ne font pas l'effort de se mettre à la place de quelqu'un
d'autre.

COMMENT FAIRE L'ÉCHANGE

Comment devenir meilleur pour faire l'échange, pour voir les choses du point de vue d'une autre personne? Commencez par faire
ces quatre choses:

1. Quittez «votre place» et visitez «leur place»

La meilleure façon d'éviter de marcher sur les orteils des autres est de se mettre à leur place. Dans les années 1930, American Airways,
devenue plus tard American Airlines, a eu un énorme problème avec les plaintes des passagers concernant la perte de bagages. LaMotte Cohn,
directeur général de la compagnie aérienne à l'époque, a tenté d'amener ses directeurs de gare à surmonter ce problème, mais il a vu peu de
progrès. Enfin, il a eu l'idée d'aider le personnel de la compagnie aérienne à voir les choses du point de vue de leurs clients. Cohn a demandé à
tous les directeurs de station de partout au pays de se rendre au siège social de l'entreprise pour une réunion. Ensuite, il s'est assuré que les
bagages de chaque responsable étaient perdus en transit. Par la suite, la compagnie aérienne a soudainement fait un énorme saut d'efficacité
dans ce domaine.

La meilleure façon d'éviter de marcher sur les orteils des autres est de se mettre à leur place.

Comment vous mettez-vous à la place de quelqu'un d'autre? Le maître vendeur Art Mortell offre un aperçu de cela:

J'adore jouer aux échecs. Chaque fois que je perds aux échecs, je me lève constamment, je me tiens derrière mon adversaire et je vois
le tableau de son côté. Ensuite, je commence à découvrir les mouvements stupides que j'ai faits parce que je peux le voir de son point
de vue. Le défi du vendeur est de voir le monde depuis

le point de vue du prospect. 1

Faites tout ce que vous pouvez pour changer votre point de vue. Écoutez les préoccupations des gens. Étudiez leur culture ou leur profession.
Lisez dans leurs domaines d'intérêt. Ou visitez littéralement leur domicile, leur domicile, leur bureau, leur quartier ou leur région. Vous pourriez être
surpris par la façon dont cela modifie votre façon de penser. Vous découvrirez peut-être, comme l'a fait le président Harry Truman, que «lorsque nous
comprenons le point de vue de l'autre. . . comprendre ce qu'il essaie de faire. . . neuf fois sur dix, il essaie de bien faire.

2. Reconnaissez que l'autre personne a un point de vue valide

Les systèmes de croyances et les expériences personnelles des gens sont diversifiés et complexes. Et même si vous travaillez pour voir les
choses du point de vue d'une autre personne, il y aura toujours des divergences d'opinion. C'est d'accord. Mon point de vue n'est pas juste parce
que c'est le mien. Si je travaille pour trouver la légitimité du point de vue d'une autre personne, cela étendra ma réflexion. Et comme l'a dit le
juriste Oliver Wendell Holmes: «Une fois qu'un esprit a été étiré par une nouvelle idée, il ne reprend jamais sa forme d'origine.»

3. Vérifiez votre attitude

Quand il s'agit de voir les choses du point de vue d'une autre personne, l'attitude est énorme. Il est toujours facile de voir les deux côtés d'un
problème qui ne vous préoccupe pas particulièrement. Cela devient beaucoup plus difficile lorsque vous y avez un intérêt direct. Lorsque c'est le
cas, vous êtes souvent plus soucieux de trouver votre chemin que de trouver un moyen de vous connecter avec les autres. Au cœur de cela est
de savoir si vous êtes prêt à changer ou non. Lorsque vous ne voulez pas changer, vous recherchez des différences chez les autres. Lorsque
vous êtes prêt à changer, vous recherchez des similitudes.

4. Demandez aux autres ce qu'ils feraient dans votre situation

La clé du principe d'échange est l'empathie. Et lorsque vous avez de l'empathie avec les points de vue des autres, il devient beaucoup plus facile de
se connecter avec eux. Pourquoi? Parce qu'ils savent que vous vous souciez. Parfois, le moyen le plus simple de le faire est de simplement
demander.
J'ai lu une histoire hilarante qui montre ce qui peut arriver lorsque vous ne faites pas quelque chose d'aussi évident que de demander.
Trois fils ont quitté la maison pour faire fortune et ont très bien réussi. Un jour, les trois frères compétitifs se sont réunis pour discuter des
cadeaux qu'ils offraient à leur mère âgée.
Le premier a dit: «J'ai construit une grande maison pour maman.»
Le second a dit: «Je lui ai acheté une Mercedes avec chauffeur.
«Je vous ai battus tous les deux», a déclaré le troisième. «Vous savez combien maman aime la Bible, et vous savez qu'elle ne voit pas très
bien. Je lui ai envoyé un perroquet brun qui peut réciter toute la Bible. Il a fallu à vingt moines dans un monastère douze ans pour lui apprendre. J'ai
dû m'engager à contribuer 100 000 $ par année pendant dix ans pour qu'ils le forment, mais cela en valait la peine. Maman doit juste nommer le
chapitre et le verset, et le perroquet le récitera.

Peu de temps après, leur mère a envoyé ses lettres de remerciement. Au premier fils, elle a écrit: «Milton, la maison que vous avez construite est
tellement énorme. Je vis dans une seule pièce, mais je dois nettoyer toute la maison. "
Au deuxième fils, elle a écrit: «Marty, je suis trop vieux pour voyager. Je reste à la maison tout le temps, donc je n'utilise jamais la Mercedes. Et le
chauffeur est tellement impoli!
Au troisième fils, son message était plus doux: «Très cher Melvin, tu as été le seul à avoir le bon sens de savoir
ce que ta mère aime. Le poulet était délicieux.
Si vous vous mettez à la place des autres au lieu de mettre les autres à leur place, cela change votre façon de voir la vie, et cela
change votre façon de la vivre. L'auteur et conférencier Dan Clark se souvient que lorsqu'il était adolescent, lui et son père faisaient la
queue pour acheter des billets pour le cirque. Pendant qu'ils attendaient, ils ont remarqué la famille juste en face d'eux. Les parents se
tenaient la main, et ils avaient huit enfants à la remorque, tous bien élevés et tous probablement âgés de moins de douze ans. Sur la base
de leurs vêtements propres mais simples, il soupçonnait qu'ils n'avaient pas beaucoup d'argent. Les enfants bavardaient sur les choses
passionnantes qu'ils s'attendaient à voir, et il pouvait dire que le cirque allait être une nouvelle aventure pour eux.

Alors que le couple s'approchait du comptoir, le préposé a demandé combien de billets ils voulaient. L'homme a fièrement répondu: «S'il vous plaît
laissez-moi acheter huit billets pour enfants et deux billets pour adultes afin que je puisse prendre
ma famille au cirque.
Lorsque le préposé a indiqué le prix, la femme de l'homme a lâché sa main et sa tête s'est baissée. L'homme s'est penché un peu plus
près et a demandé: «Combien avez-vous dit?» Le préposé a de nouveau indiqué le prix. L'homme n'avait manifestement pas assez d'argent.
Il avait l'air écrasé.
Clark dit que son père a regardé tout cela, a mis sa main dans sa poche, a sorti un billet de vingt dollars et l'a laissé tomber
par terre. Son père s'est alors penché, a pris la facture, a tapoté l'homme sur l'épaule et a dit: «Excusez-moi, monsieur, cela est
tombé de votre poche.
L'homme savait exactement ce qui se passait. Il regarda droit dans les yeux du père de Clark, lui prit la main, la serra, et avec
une larme coulant sur sa joue, répondit: «Merci, merci, monsieur. Cela signifie vraiment beaucoup pour moi et ma famille.

Clark et son père sont retournés à leur voiture et sont rentrés chez eux. Ils n'avaient pas assez d'argent pour aller au cirque ce soir-là,
mais cela n'avait pas d'importance. Parce qu'ils s'étaient mis à la place des autres, ils avaient fait quelque chose de plus important.

QUESTIONS DE DISCUSSION SUR LES PRINCIPES D'ÉCHANGE

1. Quels types de choses positives peuvent arriver aux points de vue des gens sur les autres lorsqu'ils voyagent à l'étranger et sont
exposés à d'autres cultures? Quels types de changements pourraient survenir? Comment les idées préconçues peuvent-elles
s'opposer à ces changements positifs?
2. Quels problèmes empêchent les gens de vouloir «sortir d'eux-mêmes» et de voir les choses du point de vue d'une autre
personne? Quels obstacles rencontrez-vous? Qu'avez-vous fait dans le passé pour les surmonter? Que pourriez-vous
faire à l'avenir pour augmenter votre capacité à voir les choses du point de vue des autres?

3. Comment décririez-vous votre attitude générale envers les gens? Supposez-vous automatiquement que les autres ont un point de
vue valable ou pensez-vous toujours que vous avez raison? Explique. Si vous devez faire mieux pour donner aux gens le
bénéfice du doute, comment travaillerez-vous pour vous améliorer?

4. Que se passe-t-il dans les relations lorsque quelqu'un met les autres «à leur place»? Comment quelqu'un peut-il réparer
une relation qui a connu cette dynamique?
5. Êtes-vous doué pour vous concentrer sur les autres? À quelle fréquence demandez-vous aux gens de partager leur point de vue sur un
problème? À quelle fréquence demandez-vous aux autres ce qu'ils désirent? Êtes-vous généralement concentré sur votre programme
ou voyez-vous les choses du point de vue des autres comme une priorité dans votre vie? Vos proches seraient-ils d'accord avec votre
évaluation?
LE PRINCIPE D'APPRENTISSAGE

CHAQUE PERSONNE QUE NOUS RENCONTRONS

A LE POTENTIEL
POUR NOUS APPRENDRE QUELQUE CHOSE

Il y a des gens qui, s'ils ne savent pas,

vous ne pouvez pas leur dire.
- LOUIS ARMSTRONG
LA QUESTION QUE JE DOIS ME POSER:
DOIS-JE APPROCHER DES PERSONNES QUI
SOUHAITENT EN APPRENDRE?
Oui Tu le reconnaîtrais si tu le voyais. Acteur de personnage bien connu, il est apparu dans des dizaines de films et dans de
nombreuses émissions de télévision. Il est apparu comme Guido le proxénète dans Affaire risquée. Il était l'acolyte de Tommy Lee Jones
dans Le fugitif. Il a dépeint le traître Cypher dans La matrice.
Et il a joué Ralphie sur Les Sopranos. Pour ses amis, il est connu sous le nom de Joey Pants. Son vrai nom est Joe Pantoliano.

Joe est né et a grandi à Hoboken, New Jersey. C'était un domaine difficile. Il dit que ses modèles étaient les sages locaux - les gangsters
qui travaillaient avec la mafia. Ses parents ont beaucoup bougé; tous deux étaient des joueurs et, par conséquent, n'étaient pas très doués
pour payer leurs factures. Quand Joe avait neuf ou dix ans, sa mère travaillait comme bookmaker pour gagner de l'argent, et elle utilisait Joe
comme son coureur. Joey Pants semblait destiné à une vie de crime

WISEGUY À LA MAISON

Ce sort était apparemment scellé lorsqu'un cousin éloigné, Florio Isabella, est sorti de prison et a emménagé dans la maison
Pantoliano quand Joe avait treize ans. Florie, comme on l'appelait, était un criminel de carrière. En tant que garçon grandissant dans
la Petite Italie à New York, Florie a livré l'héroïne que ses parents préparaient dans leur appartement d'une pièce. À douze ans, il
vendait le stupéfiant. Il avait passé vingt et un ans de sa vie en prison. Outre le trafic de drogue, il avait commis des vols à main
armée et d’autres crimes graves, notamment le détournement du ferry Hoboken.

Joe se souvient: «Il a immédiatement violé sa libération conditionnelle en retournant à la vie [du crime] avec certains

des gangsters appelés les Paradise Brothers. Je me souviens qu'il a gagné 50 000 $ en espèces. 1 Mais après qu'un des Paradise
Brothers ait été tué en gangland, Florie a réfléchi. La bifurcation de Florie est devenue une bifurcation pour Joe, bien qu'il ne l'ait
pas reconnue à l'époque. Florie aurait pu prendre Joe comme son protégé criminel. C'est ainsi que de nombreux criminels
commencent. Mais le vieux gangster a fait quelque chose de différent. Joe se souvient: «Il a toujours dit:« Chaque geste que je
faisais était toujours le mauvais. Et ça ne sera pas toi. Il était le seul à avoir confiance en moi et à m'encourager à

suit mon coeur." 2

Le cœur de Joe était déterminé à jouer. Mais quand il a eu le courage d'en parler aux gens, ses amis et sa famille l'ont ridiculisé. «Qui
pensez-vous être», lui dit sa mère, «tu veux être acteur? Les gens comme nous ne deviennent pas des acteurs. Les gens comme nous ne vont
pas à l'université. Les gens comme nous ne comprennent pas

devant. Ne secoue pas le bateau, Joey. 3

Mais Florie - la personne la plus improbable de sa vie - lui a appris à être différent du reste de sa famille et des amis avec lesquels il
a grandi. Florie l'a mis en relation avec son premier professeur de théâtre. Lorsque Joe était prêt à quitter la maison et à déménager à
New York, Florie l'a non seulement encouragé, mais lui a également donné de l'argent. Il a conduit Joe au travail le jour où il a joué dans
son premier film - en tant que Les papiers Valachi. Plus important encore, Florie l'a éloigné de la vie de crime qui aurait pu rapporter de
l'argent facile à Joe les sept premières années où il a lutté en tant qu'acteur. «Si Florio Isabella, mon autre père, mon beau-père
honoraire et troisième cousin de ma mère, n’était pas venu sur les lieux à temps», dit Joe,

«[Mon] adresse de retour serait Attica, New York», c'est-à-dire la prison. 4

«En fin de compte,» observe Joe, «il me reste le fait tragique que la seule personne de ma vie qui m'a fait sentir que je pouvais être
quelque chose a fait des choses très terribles. Florie serait, selon certaines normes, considéré comme une personne horrible, qui a
peut-être tenté de rectifier ses actes en aidant à encourager mon

confiance et succès avec son amour inconditionnel. C'était le plus gentil sage que j'aie jamais connu. 5

QUELLE EST VOTRE ATTITUDE?

La vérité est que nous tous, comme Joe Pantoliano, pouvons apprendre des choses dans des endroits improbables et auprès de personnes improbables.
Tout le monde a quelque chose à partager, quelque chose à nous apprendre. Mais ce n'est vrai que si nous avons la bonne attitude.

Quel genre d'attitude avez-vous lorsqu'il s'agit d'apprendre des autres? Toutes les personnes appartiennent à l'une des catégories
décrites par les énoncés suivants:

Personne ne peut m'apprendre quoi que ce soit - Attitude arrogante

Je pense que nous supposons parfois que l'ignorance est le plus grand ennemi de l'apprentissage. Cependant, cela n'a vraiment pas grand-chose à
voir avec l'aptitude à apprendre. N'avez-vous pas connu des gens très instruits et très prospères qui ne veulent pas entendre les suggestions ou les
opinions de quelqu'un d'autre? Certaines personnes pensent tout savoir! Une personne qui crée une grande organisation prospère peut penser
qu'elle ne peut pas apprendre des personnes qui en dirigent une plus petite. Une personne qui reçoit un doctorat peut devenir insensible aux
instructions de quelqu'un d'autre parce qu'elle est maintenant considérée comme une experte. Une autre personne qui est la plus expérimentée
dans une entreprise ou un service peut ne pas écouter les idées d'une personne plus jeune.

Ces personnes ne réalisent pas à quel point elles se font du mal. La réalité est que personne n'est trop vieux, trop intelligent ou trop réussi pour
apprendre quelque chose de nouveau. La seule chose qui peut s'interposer entre une personne et la capacité d'apprendre et de s'améliorer est une
mauvaise attitude.

Quelqu'un peut tout m'apprendre - attitude naïve

Les gens qui se rendent compte qu'ils ont de la place pour grandir cherchent souvent un mentor. C'est généralement une bonne chose.
Cependant, il est naïf pour les individus de penser qu'ils peuvent apprendre tout ce qu'ils doivent savoir d'une seule personne. Les gens n'ont
pas besoin une mentor - ils ont besoin beaucoup mentors. J'ai tellement appris de tant de gens. Les Stobbe m'ont appris à écrire. Mon frère
Larry est mon mentor en affaires. J'ai beaucoup appris sur la communication d'Andy Stanley. Tom Mullins modèle les relations pour moi. Si
j'essayais d'inclure toutes les personnes qui m'ont appris au fil des ans, je remplirais page après page avec des noms.

Tout le monde peut m'apprendre quelque chose: une attitude enseignable

Les personnes qui apprennent le plus ne sont pas nécessairement celles qui passent du temps avec les personnes les plus intelligentes. Ce sont eux qui ont
une attitude enseignable. Chaque personne a quelque chose à partager - une leçon apprise, une observation, une expérience de vie. Nous devons
simplement être prêts à écouter. En fait, les gens nous apprennent souvent des choses alors qu'ils n'ont pas l'intention de le faire. Demandez à n'importe
quel parent et vous découvrirez qu'ils ont appris des choses de leurs enfants, même lorsque leurs enfants étaient des bébés incapables de communiquer un
seul mot. Le seul moment où les gens ne peuvent pas nous apprendre des choses, c'est lorsque nous ne voulons pas apprendre.

Je ne dis pas que chaque personne que vous rencontrez volonté vous apprend quelque chose. Tout ce que je dis, c'est que les gens ont le potentiel de
le faire - si vous les laissez faire.

COMMENT APPRENDRE DES AUTRES

Si vous avez une attitude enseignable - ou si vous êtes prêt à en adopter une - vous serez bien placé pour apprendre des autres. Ensuite, tout ce
que vous aurez à faire est de suivre les cinq étapes suivantes:
1. Faites de l'apprentissage votre passion

L'expert en gestion Philip B. Crosby note: «Il existe une théorie du comportement humain qui dit que les gens retardent inconsciemment leur
propre croissance intellectuelle. Ils en viennent à s'appuyer sur des clichés et des habitudes. Une fois qu'ils ont atteint l'âge de leur confort
personnel avec le monde, ils arrêtent d'apprendre et leur esprit reste inactif pour le reste de leurs jours. Ils peuvent progresser sur le plan
organisationnel, ils peuvent être ambitieux et

impatients, et ils peuvent même travailler nuit et jour. Mais ils n'apprennent plus. 6
C'est parfois le problème avec les personnes qui ont reçu le positions ils ont rêvé ou atteint le buts ils se sont fixés pour
leurs organisations ou ont gagné le degrés ils se sont efforcés. Dans leur esprit, ils ont atteint leur destination. Ils se mettent à
l'aise.

"Lorsque l'élève est prêt, le professeur apparaîtra."

- PLATO

Si vous désirez continuer à grandir, vous ne pouvez pas vous asseoir dans une zone de confort. Vous devez faire de l'apprentissage votre
objectif. Faites cela et vous ne serez jamais à court d'essence mentalement, et votre motivation sera forte. Et ne vous inquiétez pas d'avoir des gens
pour vous apprendre. Le philosophe grec Platon a dit: «Quand l'élève sera prêt, le professeur apparaîtra.»

2. Les gens de valeur

En 1976, j'étais dans ma carrière depuis sept ans et je me sentais bien. À cette époque, les églises étaient souvent jugées par le succès de leurs
programmes d'école du dimanche, et l'église que je dirigeais avait le programme qui se développait le plus rapidement dans l'état de l'Ohio. Et à ce
moment-là, mon église était devenue la plus grande de ma dénomination. Mais je voulais toujours apprendre. Cette année-là, je me suis inscrit
pour assister à une conférence. Il y avait trois orateurs que je voulais entendre. Ils étaient plus âgés, plus performants et plus expérimentés que
moi.
Lors de la conférence, l'une des sessions était un échange d'idées où tout le monde pouvait parler. Je pensais que ce serait une perte
de temps, et j'allais l'ignorer, mais ma curiosité a eu raison de moi. Cela s'est avéré être une véritable révélation. Personne après personne a
partagé ce qui fonctionnait dans son organisation, et je me suis assis là à griffonner des notes et à noter des idées. Il s'est avéré que j'ai
appris plus au cours de cette session que dans toutes les autres combinées.

Cela m'a surpris et j'ai compris plus tard pourquoi. Avant cette conférence, je pensais que seules les personnes plus âgées et plus
performantes pouvaient m'apprendre n'importe quoi. J'étais entré dans cette pièce en accordant très peu d'importance aux autres personnes. Et
c'était une mauvaise attitude. Les gens n'apprennent pas des gens qu'ils n'apprécient pas. J'ai décidé de changer ma façon de penser à partir de ce
jour.

3. Développer des relations avec un potentiel de croissance

C'est vrai que tout le monde a quelque chose pour nous apprendre, mais cela ne veut pas dire que n'importe qui peut nous apprendre
tout nous voulons apprendre. Nous devons trouver des personnes qui sont particulièrement susceptibles de nous aider à grandir - des experts dans notre
domaine, des penseurs créatifs qui nous étireront mentalement, des personnes performantes qui nous inspireront à passer au niveau suivant.
L'apprentissage est souvent la récompense du temps passé avec des personnes remarquables. Qui ils sont et ce qu'ils savent déteignent. Comme Donald
Clifton et Paula Nelson, auteurs de Envolez-vous avec vos forces, observez: «Les relations nous aident à définir qui nous sommes et ce que nous
devenons.»
4. Identifier le caractère unique et les forces des gens

Le philosophe-poète Ralph Waldo Emerson a fait remarquer: «Je n'ai jamais rencontré un homme qui n'était pas mon supérieur en particulier.
Les gens se développent le mieux dans leurs domaines de force - et peuvent apprendre le plus de ceux d'une autre personne. Pour cette raison, vous
ne pouvez pas choisir sans discernement les personnes que vous cherchez à vous enseigner.

Au milieu des années 1970, j'ai identifié les dix principaux dirigeants d'églises du pays et j'ai essayé de prendre rendez-vous pour déjeuner
avec chacun d'eux. Je leur ai même offert cent dollars pour une heure de leur temps - c'était une demi-semaine de salaire à l'époque. Certains
étaient prêts à me rencontrer. D'autres ne l'étaient pas. J'étais extrêmement reconnaissant envers ceux qui l'ont fait.

Ma femme et moi n'avions pas beaucoup d'argent à l'époque, et ces dirigeants vivaient dans tout le pays, nous avons donc planifié nos
vacances pendant plusieurs années autour de ces visites. Pourquoi irais-je si loin pour rencontrer ces gens? Parce que je mourais d'envie
d'apprendre les compétences et les forces uniques qu'ils possédaient. Les réunions ont fait une énorme différence dans ma vie. et tu sais quoi?
La connexion avec des hommes et des femmes formidables continue d'affecter ma vie. Chaque mois, j'essaie de rencontrer quelqu'un que
j'admire et de qui je veux apprendre.

5. Posez des questions

La première année que j'étais à l'université, j'ai pris un emploi à temps partiel dans une usine de casiers à Circleville, Ohio. C'était un endroit où les vaches
étaient abattues et la viande entreposée dans des casiers réfrigérés géants. Mon travail consistait à transporter de la viande fraîchement transformée vers
les zones de réfrigération et à récupérer les commandes de viande pour les clients.
Chaque fois que je suis exposé à quelque chose de nouveau - et c'était un nouveau domaine pour moi - j'essaie d'en savoir plus. Et la
meilleure façon d'apprendre est de regarder et de poser des questions. Je travaillais depuis environ deux semaines lorsque Pense, un vieil
homme qui y travaillait depuis des années, m'a pris à part et m'a dit: «Mon fils, laisse-moi te dire quelque chose. Vous posez trop de questions. Je
travaille ici depuis longtemps. Je tue des vaches. C'est tout ce que je fais - et c'est tout ce que je vais faire. Plus vous en savez, plus ils attendent
de vous. » J'ai eu du mal à comprendre pourquoi quelqu'un ne serait pas veulent apprendre et grandir. Mais évidemment, il s'était engagé à ne
pas changer.

L'écrivain Johann Wolfgang von Goethe pensait qu '«on devrait, au moins tous les jours, entendre une petite chanson, lire un bon poème,
voir une belle image et, si c'était possible, prononcer quelques mots raisonnables». J'ajouterais qu'il faut aussi poser des questions pour
apprendre quelque chose de nouveau chaque jour. La personne qui pose les bonnes questions apprend le plus.

L'apprentissage commence par l'écoute. Mais ça ne s'arrête pas là. Le professeur de théologie Hans Küng a affirmé: «Bien comprendre
quelqu'un implique d'apprendre de lui, et apprendre de quelqu'un correctement implique de se changer soi-même. Le changement est toujours le but
de l'apprentissage. Vous ne pouvez pas avoir de croissance sans changement.

Ce chapitre a mis l'accent sur l'importance d'apprendre des autres. Mais vous ne savez jamais qui pourrait écouter et apprendre
de vous. J'ai découvert cela un jour récemment lorsque Margaret a répondu au téléphone. Elle a parlé au téléphone pendant un
moment, m'a regardé avec sa main sur l'embout buccal et a demandé: «Connaissez-vous un Dick Vermeil?»

Je l'ai pratiquement assommée en essayant d'accéder au téléphone.

Vermeil est une légende du coaching. Il a commencé comme entraîneur au lycée en 1959 et a été entraîneur de football à tous les
niveaux. Il a été nommé entraîneur de l'année à quatre niveaux: lycée, collège, NCAA Division I et NFL. Dans les années 1990, il est sorti
de sa retraite pour entraîner les Rams de Saint-Louis, et en
1999, il remporte le Super Bowl avec eux. Était-ce vraiment Dick Vermeil? Et pourquoi diable m'appellerait-il?

C'était vraiment Dick Vermeil. Il m'appelait à cause de quelque chose que j'avais enseigné pour Maximum Impact, la
leçon sur CD que plus de quinze mille abonnés reçoivent de moi chaque mois. je
avait mentionné que lorsque j'ai lu un excellent livre et que j'en retire beaucoup, je note une note à l'auteur pour lui dire merci et
lui faire savoir ce que le travail signifiait pour moi. Tous les enseignants veulent savoir que leur travail fait une différence.

Le changement est toujours le but de l'apprentissage. Vous ne pouvez pas avoir de croissance sans changement.

Vermeil m'appelait pour me faire savoir qu'il lisait mes livres et recevait mes CD depuis six ans. Il écoute la leçon dans sa
voiture pour aller et revenir de l'entraînement, et il partage parfois les principes avec ses entraîneurs et joueurs. Il voulait juste me
le faire savoir.
Ce fut un réel privilège de discuter avec lui. Ce genre d'encouragement peut dynamiser une personne pendant un mois! Mais cela fait aussi
autre chose: cela prouve le principe d'apprentissage. Si quelqu'un comme Dick Vermeil - un gars qui a remporté le Super Bowl - peut apprendre
quelque chose de moi, alors il est vrai que chaque personne que nous rencontrons a le potentiel de nous apprendre quelque chose.

QUESTIONS DE DISCUSSION SUR LES PRINCIPES D'APPRENTISSAGE

1. Dans quelle mesure la plupart des gens sont-ils ouverts à apprendre des autres? Quel genre d'attitude la plupart des gens
ont-ils? Pensez-vous que la plupart des gens préjugent rapidement s'ils peuvent apprendre quelque chose d'une autre
personne? Si oui, pensez-vous que cela est fait intentionnellement ou non? Explique. Quels facteurs entrent en jeu (comme
l'apparence, la position, le revenu, la race, l'âge, etc.) pour savoir si une personne a quelque chose à offrir? Quels préjugés
pensez-vous toi
pourrait posséder? Comment pouvez-vous les changer?
2. Deux types d'apprentissage sont mentionnés dans le chapitre: l'un concerne le fait d'être ouvert à
apprendre de n'importe qui à tout moment; l'autre a à voir avec le fait d'être stratégique comment nous apprenons et de qui. Quels
types d'avantages êtes-vous susceptibles de recevoir de chacun? Quels sont les plus grands défis auxquels vous pourriez être
confronté pour chacun? Lequel vous plaît le plus personnellement?

3. Quelle est votre philosophie concernant l'apprentissage et la croissance personnelle? Y aviez-vous déjà beaucoup réfléchi? En quoi
diriez-vous que cela diffère des idées énoncées dans le chapitre? Quelles nouvelles idées pouvez-vous facilement adopter et
créer les vôtres?
4. Quel genre de rôle les mentors ont-ils joué dans votre croissance personnelle jusqu'à présent dans votre vie? Décrivez une personne clé de
votre passé qui vous a appris quelque chose d'important. Qui vous aide actuellement à grandir? Avez-vous recherché un seul mentor pour
vous guider ou essayez-vous de vous connecter avec plusieurs personnes? Qui dans votre cercle de connaissances actuel possède une
expertise dans un domaine qui peut vous aider? Que pouvez-vous faire pour obtenir cette aide?

5. Comment allez-vous quand il s'agit de poser des questions? Lorsque vous rencontrez des gens pour la première fois, posez-vous
des questions pour mieux les connaître? Certaines de vos questions suscitent-elles une conversation qui vous apprendra quelque
chose? Et quand vous vous préparez à rencontrer un mentor ou un enseignant: préparez-vous des questions à l'avance pour
utiliser au mieux le temps?
 LE PRINCIPE DE CHARISME

LES GENS SONT INTÉRESSÉS

DANS LA PERSONNE QUI
S'INTERESSE

Vous pouvez vous faire plus d'amis en deux mois

en s'intéressant à d'autres personnes que vous ne pouvez
dans deux ans en essayant d'intéresser d'autres personnes à vous.
- DALE CARNEGIE
LA QUESTION QUE JE DOIS ME POSER: EST-CE QUE JE ME
CONCENTRE HABITUELLEMENT SUR LES AUTRES ET LEURS
INTÉRÊTS OU SUR MES PROPRES?
je En août 2003, Margaret et moi avions réservé pour une croisière Seabourn en Méditerranée. Quand nous sommes arrivés à la zone
d'enregistrement et que nous attendions d'être aidés, une femme qui était juste un peu plus âgée que nous est venue et s'est présentée.

«Salut, je suis Phyllis», dit-elle avec un sourire éclatant. "Quels sont vos noms?" Nous nous sommes présentés. «C'est
tellement agréable de vous rencontrer», dit-elle. «J'ai hâte de mieux vous connaître. Je vous laisse vous enregistrer. A ce soir, à
dîner. "
«Quelle personne engageante», a déclaré Margaret en nous enregistrant et en découvrant où se trouvait notre cabine.

Au moment où nous avions déballé plus tard cet après-midi, j'avais oublié Phyllis. Mais quand nous sommes allés dîner, elle
parlait aux gens. Quand elle nous a vus, elle a souri et est venue nous dire bonjour.

«John et Margaret,» dit-elle, «c'est mon mari, Stanley», et elle a immédiatement commencé à nous engager dans une
conversation. Nous avons fini par dîner ensemble.
"Que faire?" elle a demandé.
«Je suis auteur et conférencier», ai-je répondu. «Cela semble
tellement intéressant. Parle-moi de ça."
Je lui ai parlé de mon parcours et de certaines de mes expériences en posant des questions. Puis elle engagea Margaret
dans une conversation, et bientôt ils parlèrent d'art et d'antiquités.
Au cours des deux jours suivants, j'ai regardé Phyllis et Stanley se présenter aux 120 passagers du navire et se
connecter avec eux. J'ai remarqué l'effort que Phyllis déploie pour que les gens se sentent bien dans leur peau. Elle a initié
la conversation, et quand quelqu'un voulait parler d'elle, elle lui a rapidement retourné la conversation.

Phyllis connaissait le nom de tout le monde et avait quelque chose de gentil à dire sur chaque personne. Après quelques jours, des
gens ont marché autour du navire à sa recherche. Elle était le joueur de flûte. Tout le monde est tombé amoureux d'elle. Dans l'une de nos
conversations, j'ai appris d'elle qu'elle et Stanley étaient à la retraite et qu'ils passaient leur temps de retraite à faire des croisières et à
rencontrer des gens. Ils semblaient passer un moment merveilleux.

À la fin de la croisière, j'ai dit à Phyllis à quel point Margaret et moi l'avons appréciée et lui ai fait savoir que nous aimerions
rester en contact avec elle. Elle fouilla dans une poche et en sortit une carte de visite sur laquelle se lisait le logo du navire ainsi que
l'adresse et le numéro de téléphone du couple. Depuis cette croisière, Phyllis nous a écrit et a lancé une invitation à lui rendre visite
ainsi qu'à Stanley en Floride.
Phyllis et Stanley Hughes
Vos amis de croisière
Phyllis Hughes était une personne aussi charismatique que je ne l'ai jamais rencontrée. Elle était un maître dans la connexion avec les gens. Quel était
son secret? C'est la même chose qu'on m'a enseignée en 1963 lorsque mon père m'a envoyé à mon premier cours de Dale Carnegie: si vous voulez vous
connecter avec les autres, concentrez-vous sur eux, pas sur vous-même.

SIX FAÇONS DE RENDRE LES GENS COMME VOUS (GRÂCE À DALE

CARNEGIE)

Les enseignements de Carnegie en classe et en Comment gagner des amis et influencer les gens m'a profondément impressionné à
l'adolescence. Ils ont eu un tel impact que j'ai travaillé à modeler mes compétences relationnelles sur une grande partie de ce qu'il enseignait. Voici
les six choses suggérées par Carnegie, ainsi que mes explications:

1. Devenir véritablement intéressé par les autres

Quelqu'un a demandé un jour à Perle Mesta, la plus grande hôtesse de Washington depuis Dolley Madison, le secret de son succès en
attirant tant de personnes riches et célèbres à assister à ses fêtes. «Tout est dans les salutations et les adieux», a-t-elle affirmé. À
l'arrivée de ses invités, elle les a rencontrés: «Enfin, vous êtes là!» Alors que chacun partait, elle a exprimé ses regrets en disant: «Je
suis désolée que vous deviez partir si tôt!»

Pendant près de vingt ans, j'ai utilisé la déclaration suivante comme guide et rappel pour interagir avec les autres: les gens ne se
soucient pas de ce que vous savez jusqu'à ce qu'ils sachent à quel point vous vous souciez. Peu importe le pouvoir, l'éducation ou
l'expertise que vous possédez; les gens vous répondront plus favorablement si vous leur faites d'abord savoir qu'ils comptent pour vous en
tant qu'individus.

2. Sourire

Avez-vous déjà vécu l'une de ces réalisations de regard dans le miroir sur vous-même qui a changé votre façon de vivre? J'en ai eu un
quand j'étais en troisième année. Il est venu quand j'étais littéralement debout devant le miroir un matin. J'ai regardé mon visage, et pour
la première fois je l'ai vu comme quelqu'un d'autre pourrait le faire, et j'ai pensé: John, tu n'es pas un beau mec. Je me demandais, Que
puis-je faire pour changer cela?
Puis j'ai souri. Et j'ai pensé, Qui aide! Depuis, je souris.
Un sourire invite. Charlie Wetzel, mon écrivain, a déjà travaillé sur des salons de l'éducation où il vendait des fournitures scolaires aux
enseignants. Quand il travaillait dans le stand, il mettait toujours un point d'honneur à sourire à tout le monde. La plupart des gens marchaient
dans les allées avec les yeux fixés sur les différents produits que chaque fournisseur avait à offrir. Mais Charlie dit qu'une chose intéressante
s'est souvent produite. Beaucoup de gens marchaient dans l'allée, mais à la dernière seconde, lorsqu'ils avaient presque dépassé le stand, ils
levaient les yeux vers lui pendant un moment. Plus de la moitié de ces personnes ont vu son sourire, ont soudainement fait demi-tour et sont
revenues voir ses produits dans le stand. C'était presque comme si une ficelle leur était attachée et les tirait en arrière.

Les gens ne se soucient pas de ce que vous savez jusqu'à ce qu'ils sachent à quel point vous vous souciez.

Charlie n'est pas exceptionnellement beau, donc l'apparence n'était pas la raison du changement soudain. Ses produits n'étaient pas non plus
particulièrement flashy ou colorés. C'était le sourire. (Il a même expérimenté pour vérifier cela. Lorsqu'il établissait un contact visuel sans sourire, les
gens continuaient à marcher.) Si vous voulez attirer les autres vers vous, éclairez votre visage avec un sourire.

3. N'oubliez pas que le nom d'une personne est pour elle le son le plus doux et le plus important

Lorsque j'ai suivi ce premier cours de Dale Carnegie, l'accent mis par l'instructeur sur l'apprentissage des noms m'a vraiment
impressionné. Et à partir de ce jour, c'est devenu une priorité pour moi. Au fil des ans, j'ai utilisé toutes sortes d'astuces pour me souvenir
des noms des gens. Je vais trouver une caractéristique distinctive sur le visage d'une personne et l'associer au nom. Je vais faire un petit
truc avec des mots pour me rappeler un nom.

Quand j'étais le pasteur d'une grande église, j'ai même proposé de mémoriser les noms des personnes désireuses de se faire
photographier au Polaroid. À un moment donné, j'avais environ cinq cents photos à mémoriser. J'avais l'habitude de percer un trou dans
leur coin et de les garder sur de gros anneaux. Je me souviens qu'une fois dans un avion, j'avais sorti quelques bagues de ma mallette
pour pouvoir les revoir et travailler sur les noms.

Un gars assis à côté de moi a demandé: «Que faites-vous?

 «En regardant des photos de ma famille», ai-je répondu sans rien manquer. "C'est un gros famille
», répondit-il.
J'ai continué à feuilleter les photos et j'ai dit: «Ouais, mais attendez juste que nous ayons des petits-enfants.»
Bien sûr, mes efforts pour me souvenir des noms n'ont pas toujours porté leurs fruits. Peu importe vos efforts, vous vous trompez
parfois. Une fois, on m'a demandé de parler à la conférence nationale pour les bretzels de tante Anne. Pendant cinq minutes, j'ai félicité la
fondatrice de l'entreprise, disant aux gens à quel point elle était une merveilleuse dirigeante, et j'ai parlé de l'organisation. Je n'arrêtais pas
de dire à quel point tante Annie était géniale. Puis quelqu'un m'a finalement arrêté et a dit d'un air penaud: «Euh, John. C'est «Auntie Anne»,
pas «Tante Annie». »Je me sentais complètement idiote. J'avais invité les fondateurs Anne et Jonas Beiler chez moi pour le dîner, et je encore
foiré le nom!

4. Soyez un bon auditeur - Encouragez les autres à parler d'eux-mêmes

Le romancier George Eliot a conseillé: «Essayez de vous soucier de quelque chose dans ce vaste monde en plus de la satisfaction de petits désirs
égoïstes. Essayez de prendre soin de ce qu'il y a de mieux dans la pensée et l'action - quelque chose qui est bon en dehors des accidents de votre
propre sort. Regardez sur d'autres vies en plus de la vôtre. Voyez quels sont leurs problèmes et comment ils sont supportés.

Comment prend-on à cœur ce conseil? En écoutant! C'était le cadeau de Phyllis Hughes. Elle était l'une des meilleures auditeurs que je
connaisse. Elle m'a beaucoup rappelé ma mère, Laura Maxwell. Elle est la meilleure auditive que j'aie jamais connue. Non seulement elle a
toujours été là pour moi, mais elle a été une bonne écoute pour de nombreuses personnes. Il y a des années, quand elle était bibliothécaire au
Circleville Bible College, des dizaines de filles la recherchaient et se confiaient à elle parce qu'elle se souciait d'elles et qu'elles savaient qu'elle
écouterait toujours. Margaret dit que cette capacité a fait d'elle une excellente belle-mère.

Deux grands premiers ministres de l'histoire de la Grande-Bretagne sont William Gladstone et Benjamin Disraeli. On raconte qu'une jeune
femme est allée dîner avec eux des nuits successives. Lorsqu'on lui a demandé ses impressions sur les deux hommes, elle a déclaré: «Quand j'ai
quitté la salle à manger après m'être assis à côté de M. Gladstone, j'ai pensé qu'il était l'homme le plus intelligent d'Angleterre. Mais après m'être
assis à côté de M. Disraeli, je pensais que j'étais la femme la plus intelligente d'Angleterre!

5. Parlez des intérêts de l'autre personne

Un jeune couple marié était assis en silence sur une balançoire de porche un soir de juin chaud. La jeune femme a regardé son
nouveau mari et a demandé: "George, tu penses que mes yeux sont beaux?"
«Ouais,» répondit George. Une minute s'écoula. "George, tu penses que mes
cheveux sont beaux?" Encore une fois, George a répondu: "Oui." Plus de
temps passa. "George, dirais-tu que j'ai une silhouette magnifique?" Une fois
de plus, George a répondu: "Oui."

«Oh, George,» elle a jailli, «vous dites les plus belles choses.
Le pauvre George aime sa mariée, mais il n'a pas encore appris à lui parler. Pour gagner dans les relations, une personne doit apprendre
à parler en fonction des intérêts de l'autre personne. C'est vrai lorsque vous rencontrez quelqu'un pour la première fois, et c'est vrai lorsque
vous construisez un mariage.
L'une des clés est ce que l'auteur Tony Allesandra appelle la règle de platine. Vous connaissez probablement la règle d'or: faites aux autres ce
que vous voudriez qu'ils vous fassent. La règle du platine dit: «Traitez les autres comme vous le souhaitez ils veulent être traités. Faites cela, et vous
ne pouvez presque pas vous tromper.
Faites en sorte que l'autre personne se sente importante et faites-le sincèrement

L'essentiel est que vous devez faire en sorte que les autres se sentent importants. Le charme de Phyllis n'était pas une mise. On pouvait dire qu'elle
aimait vraiment les gens. Pour elle, tout le monde était important. Et tout le monde peut apprendre à valoriser les gens et à les faire sentir importants.

Alan Zimmerman raconte l'histoire de Cavett Roberts, un avocat, vendeur et fondateur de la National Speakers Association
que j'ai rencontré et entendu parler au début des années 1970. Zimmerman dit,

«Traitez les autres comme ils veulent être traités.»

- TONY ALLESANDRA

Roberts a regardé par la fenêtre un matin et a vu un garçon maigre de douze ans faire du porte-à-porte pour vendre des livres. Le garçon
se dirigeait vers sa maison. Roberts s'est tourné vers sa femme et a dit: «Regardez-moi simplement donner à cet enfant une leçon sur la
vente. Après toutes ces années à écrire des livres sur la communication, à donner des conférences dans tout le pays, je pourrais aussi
bien partager une partie de ma sagesse avec lui. Je ne veux pas blesser ses sentiments, mais je me débarrasserai de lui avant qu'il ne
sache ce qui s'est passé. J'utilise cette technique depuis des années et ça marche à chaque fois. Ensuite, je reviendrai et lui apprendrai à
gérer des gens comme moi.

Mme Roberts a regardé le garçon de douze ans frapper à la porte. M. Roberts a ouvert la porte et a rapidement expliqué
qu'il était un homme très occupé. Il n'avait aucun intérêt à acheter des livres. Mais il a dit: «Je vais vous donner une minute,
mais je dois partir alors - avoir un avion à prendre.
Le jeune vendeur n'a pas été découragé par le brossage de Roberts. Il fixa simplement l'homme grand, aux cheveux
gris et à l'air distingué, un homme qu'il savait assez connu et assez riche. Le garçon a dit: "Monsieur, pourriez-vous être
le célèbre Cavett Roberts?" À quoi M. Roberts a répondu: «Entrez, mon fils.»

M. Roberts a acheté plusieurs livres au jeune - des livres qu'il pourrait ne jamais lire. Le garçon avait maîtrisé le principe
de faire en sorte que l'autre personne se sente importante, et cela fonctionnait.

C'est une approche à laquelle même les riches et célèbres ou les grands et les forts peuvent rarement résister. 1
Les auteurs Marcus Buckingham et Donald O. Clifton appellent cette capacité «Woo», ce qui signifie gagner sur les autres. Il
croit que les personnes qui ont «Woo» sont attirées par les gens et «veulent apprendre leurs noms, leur poser des questions et
trouver un domaine d'intérêt commun afin [qu'elles] puissent

entamez une conversation et établissez un rapport. " 2 Selon eux, "Woo" est une force naturelle que vous avez ou non. Je crois que c'est vrai. Mais je
crois aussi que toute personne peut développer des compétences relationnelles et apprendre à avoir du charisme.

Quand on parle de charisme, tout se résume à ceci: la personne sans pour autant charisma entre dans un groupe et dit: "Me voici."
La personne avec charisma entre dans un groupe et dit: "Vous y êtes." Presque tout le monde peut apprendre à faire cela.

FROMWOO À VOUS

Récemment, j'ai acheté le livre de Buckingham et Clifton Maintenant, découvrez vos forces, et j'ai passé le test Strengths Finder. Et je dois avouer que
"Woo" était dans mon top cinq. J'ai toujours eu la capacité de convaincre les autres. Mais je n'ai pas toujours eu de charisme, et je vais vous dire pourquoi.
En tant que jeune pasteur à la sortie de l'université, j'ai commis une erreur en essayant d'impressionner tout le monde. J'ai joué l'expert et j'ai
volontairement enseigné au-dessus des têtes des gens. J'ai même porté des lunettes pour essayer de paraître plus vieux et plus intelligent. Aujourd'hui, je
suis gêné par la façon dont je me suis comporté. Mais j'ai appris ma leçon. Je n'ai eu besoin d'impressionner personne. (Ce n'était pas
travailler ou m'aider de toute façon.) J'avais juste besoin de faire savoir aux gens que je tenais à eux et que je voulais les aider.

Si vous voulez être le genre de personne qui fait sourire les autres quand ils vous voient venir, sortez de vous-même,
changez de concentration et s'intéresse aux autres. Faire ces choses changera votre vie.

QUESTIONS DE DISCUSSION SUR LE PRINCIPE DE CHARISME

1. Pourquoi les gens trouvent-ils si difficile de s'intéresser réellement aux autres? Cela a-t-il été un problème pour vous?
Explique.
2. Pouvez-vous penser à quelqu'un que vous connaissez personnellement, qui est charismatique et doué pour se connecter avec les autres?
Décrivez cette personne. Comment vous sentez-vous? Dans quelle mesure le charme de cette personne provient-il du talent naturel et
combien d'actions apprenables? Que pouvez-vous faire pour ressembler davantage à cette personne charismatique?

3. Êtes-vous doué pour vous souvenir des noms des gens? Où se situe cette compétence dans votre liste de priorités? Quelles astuces, le cas
échéant, avez-vous utilisées pour vous aider?
4. Avez-vous déjà fait des «devoirs» pour en savoir plus sur les intérêts de quelqu'un d'autre afin de mieux vous connecter avec cette
personne? Avez-vous trouvé l'expérience agréable ou une corvée? Comment cela a-t-il finalement affecté la relation? Comment
pouvez-vous découvrir rapidement les intérêts d'une autre personne «à la volée» lorsqu'il est impossible ou inapproprié de faire
des recherches? Quels types de questions devriez-vous poser? Comment pouvez-vous utiliser l'observation?

5. Que peut-il se passer quand on utilise des flatteries peu sincères avec une autre personne pour lui faire sentir important? Trouvez-vous difficile
de faire en sorte que les gens se sentent importants lorsque vous ne les admirez pas particulièrement? Explique. Comment pouvez-vous
trouver des moyens authentiques d'exprimer votre appréciation dans de telles situations? Comment pouvez-vous changer votre attitude
envers les personnes que vous n'aimez pas? C
 LE PRINCIPE DU NUMÉRO 10

CROIRE LE MEILLEUR
DANS LES GENS APPORTE HABITUELLEMENT
LE MEILLEUR DES GENS

Éloignez-vous des personnes qui essaient de minimiser vos ambitions.

Les petites personnes font toujours ça, mais ce qui est vraiment génial
vous fait sentir que vous aussi, vous pouvez devenir grand.
- MARK TWAIN
LA QUESTION QUE JE DOIS ME POSER: EST-CE QUE JE
CROIS LE MEILLEUR DES AUTRES?
je n 1995, j'ai vu le film Esprits dangereux, l'histoire inspirante d'une enseignante qui voulait faire une différence dans la vie de ses élèves
adolescentes. Je ne savais pas jusqu'à récemment que l'histoire était basée sur une personne réelle.

QUELQUES BONNES FEMMES

Quand LouAnne Johnson est sortie du lycée, elle a découvert qu'elle n'aimait pas beaucoup l'université. Elle a duré quarante-cinq jours
avant d'abandonner et de s'enrôler dans l'US Navy. Là, elle s'est épanouie. Elle a servi huit ans et, en cours de route, elle a obtenu un
diplôme en psychologie. Puis elle a décidé de rejoindre les Marines américains, a terminé l'école des candidats officiers et a servi comme
sous-lieutenant. Mais neuf ans après le début de sa carrière militaire, Johnson a fait une introspection et a décidé de quitter le service.
Elle voulait quelque chose de plus.

Pendant un certain temps, elle a travaillé pour le New York Times dans les ventes, où elle gagnait un bon salaire. Mais elle n'a pas trouvé cela assez
gratifiant.
«J'avais lu des articles sur des enfants diplômés de l'école qui ne savaient pas lire, ne savaient pas écrire et n'avaient pas les compétences
de base en lecture et en écriture», se souvient-elle. «Je pensais que c'était criminel, si c'était vrai.» Elle a déménagé sur la côte ouest, a accepté
un emploi d'assistante de direction chez Xerox et est retournée au collège pour obtenir sa maîtrise. Son désir était de devenir enseignante. «J'ai
décidé que je préférerais faire

25 000 $ et faites quelque chose de vraiment important. » 1

LA CLASSE DE L'ENFER

Lorsque Johnson a obtenu son diplôme, elle a accepté un poste de stagiaire à la Parkmont High School de Belmont, en Californie, une ville au sud
de San Francisco dans le comté de San Mateo. Cela ressemblait beaucoup à la classe représentée dans le film.

"Ce qu'ils [les administrateurs] n'ont pas dit, c'est que cet enseignant vétéran avait été chassé par ces enfants", a déclaré Johnson. «Ce premier jour, ils
étaient tout simplement sauvages. Ils ont agi comme si je n'étais pas là. Elle est revenue le lendemain avec une grande détermination. Elle a poursuivi: «Je
leur ai dit que j'étais trop jeune pour prendre ma retraite et aussi

veut arrêter. » 2
Elle a rapidement développé des stratégies de connexion avec les étudiants. «J'ai essayé d'utiliser l'humour plutôt que
des menaces», a expliqué Johnson. «Parfois, je me mettais à genoux et disais:

me supplie. C'est tellement peu attrayant. Vous ne pouvez pas être un dur à cuire quand vous souriez au professeur. 3
Mais plus que toute autre chose, sa profonde croyance en ses élèves les a convaincus. Une pratique qu'elle a développée pour le premier jour
de cours - quelque chose qu'elle a appelé son «tour de cartes» - est typique du genre de choses qu'elle a faites. Elle a distribué des fiches aux
élèves pour leur fournir nom, adresse, numéro de téléphone et informations personnelles. Pendant qu'ils complétaient les cartes, elle marcha dans la
pièce avec sa feuille de rouleau, jetant un coup d'œil à leurs cartes pour voir leurs noms, qu'elle mémorisait secrètement.

Au fur et à mesure que chaque adolescente terminait l'information, elle prit chaque carte et remercia individuellement chaque élève. Lorsqu'elle
a eu toutes les cartes, elle a annoncé que les étudiants étaient sur le point de passer leur premier test. Le grognement commença, mais elle leur fit
savoir que le test n'était pas pour eux - c'était pour elle. Si elle pouvait nommer chaque élève, elle gagnerait. Si elle manquait ne serait-ce qu'un seul
nom, chaque élève obtiendrait un A automatique au premier test.

Après avoir nommé chaque élève (ce qu'elle a toujours réussi à faire), beaucoup d'enfants ont été impressionnés. Et elle leur a dit: «Je
connais vos noms parce que vous êtes des personnes importantes pour moi. Quand je

regarde toi, je te vois. Je vous aime bien. Et je me soucie de toi. C'est pourquoi je suis ici." 4
Mettre son argent là où est sa bouche

L'attitude de Johnson ne se limitait pas aux tours de salon, comme celui qu'elle a fait en apprenant les noms des élèves. Elle l'a vécu tous les
jours. Une fois, lorsqu'un étudiant nommé Raul avait une dette de cent dollars dans une rue difficile, Johnson lui a prêté de l'argent. Mais c'était
à une condition. Raul, qui était étudiant en deuxième année, ne pouvait la rembourser que le jour de son diplôme.

Le journal de Raul a révélé l'impact des actions de Johnson sur lui:

La semaine dernière, vous nous avez dit d'écrire dans nos journaux sur la plus belle chose que quiconque ait jamais faite pour nous et j'ai dû
inventer quelque chose parce que personne n'a jamais rien fait de bien pour moi dont je me souvienne avant maintenant. Alors je t'ai écrit un
mensonge. . . Quoi qu'il en soit, ce que vous avez fait hier était la plus belle chose et je pense que vous l'avez fait parce que vous pensez que je
suis merveilleuse, honnête, intelligente et spéciale! (C'est ce que vous nous dites toujours de toute façon et je pense que vous le croyez vraiment.)
Quoi qu'il en soit, je vais travailler plus dur à l'école donc je ne vous laisserai pas tomber parce que si vous pensez que je peux y arriver, je peux

fais-le. 5
Johnson croyait tellement en ses étudiants qu'ils ont commencé à croire en eux-mêmes. Raul, dont le père et la mère avaient arrêté
d'aller à l'école en troisième et en deuxième année, est resté là-bas et a obtenu son diplôme. Il a été la première personne de sa famille à
obtenir un diplôme d'études secondaires.
«Notre équipe avait des attentes élevées pour nos étudiants», a déclaré Johnson, «trop élevées, ont déclaré de nombreuses personnes. Ne
demandez pas trop, préviennent-ils. La réussite des notes et la remise des diplômes suffiraient. Mais nous voulions plus. Nous avons demandé à nos
élèves de venir à l'école tous les jours, de rester à l'écart de la drogue et de l'alcool, de changer leurs mauvaises habitudes, de terminer chaque
classe et devoirs, de résister à la pression de rejoindre des gangs, d'abandonner leurs mauvaises attitudes et de nettoyer leur langue. Nous avons
demandé

tout ce à quoi nous pouvions penser, et ils nous ont donné tout ce qu’ils avaient. 6
«Je pense que c'est presque une déclaration politique d'être enseignant», a expliqué Johnson. «Ce que vous dites, c'est que vous
croyez aux enfants de ce pays et que vous ne les abandonnez pas. C'est presque comme

être volontaire du Peace Corps. » sept Et c'est pourquoi elle a écrit sur son expérience. «J'ai écrit le livre [ Mon groupe ne fait pas ses devoirs] après
avoir travaillé avec des adolescents à risque parce que je m'inquiétais de la facilité avec laquelle les adultes abandonnent les enfants qui ont
commis des erreurs. Si nous les abandonnons, ils abandonnent

se. MAIS, si nous croyons qu'ils peuvent surmonter les défis auxquels ils sont confrontés, ils le croient aussi. » 8 En d'autres termes, Johnson est
convaincu que croire le meilleur des gens fait ressortir le meilleur d'eux-mêmes.

VOUS ÊTES UN 10!

J'embrasse ce principe de tout mon cœur. C'est la raison pour laquelle j'enseigne aux gens depuis plus de trente ans. Je suis convaincu que
tout le monde a un potentiel. Si les gens ne croient qu'en eux-mêmes, ils peuvent atteindre leur potentiel et devenir les individus pour lesquels
ils ont été créés. Et voici comment j'y pense lorsque j'interagis avec les gens: je crois que tout le monde que je rencontre est un 10. C'est
pourquoi j'appelle cela le principe numéro 10.

En 1983, j'ai fait une présentation au Spokane Convention Center qui a souvent été diffusée sur Jim Dobson's Focus sur la
famille programme. Cela illustre probablement le mieux ce que je ressens des gens. Il s'appelait «Cinq choses que je sais sur les
gens» et en voici l'essence:

1. Tout le monde veut être quelqu'un

L'auteur George M. Adams déclare: «Il y a des moments forts dans toutes nos vies et la plupart d'entre eux sont dus à l'encouragement de
quelqu'un d'autre. Je me fiche de la grandeur, de la renommée ou du succès d'un homme ou d'une femme, chacun a faim
d'applaudissements. Ne trouvez-vous pas que c'est vrai? Tout le monde veut que sa vie compte. Tout le monde veut se sentir significatif.
Tu ne ressens pas ça? Alors vous savez que c'est vrai pour tout le monde, même pour ceux qui ne le montrent pas.

2. Personne ne se soucie de ce que vous savez jusqu'à ce qu'il sache à quel point vous vous souciez

LouAnne Johnson a travaillé avec des enfants peu intéressés par l'apprentissage. Dans leur situation, la majorité des élèves ont
abandonné l'école dès qu'ils l'ont pu. Elle a battu ces probabilités en faisant savoir à ses élèves qu'elle se souciait d'eux - vraiment. Et
une fois qu'ils ont compris cela, ils se sont ouverts pour recevoir ce qu'elle avait à offrir en matière d'éducation. Trop souvent, nous
voulons aider les gens avec ce que nous savons au lieu de prendre soin d'eux à cause de qui nous sommes.

3. Tout le monde a besoin de quelqu'un

Il n'y a personne au monde qui n'ait besoin des autres. Si nous sommes honnêtes, le problème n'est souvent pas
qu'il s'agisse nous avons besoin des autres; le problème est, Combien avons-nous besoin des autres?
J'ai récemment reçu un e-mail de mon ami Steve Babby. Il raconte l'histoire d'un enfant nommé Fred, qui a joué dans une équipe de
la ligue de basket-ball d'été entraînée par Corky Calhoun, un ancien joueur universitaire de l'Université de Pennsylvanie. L'équipe de Fred
avait les meilleurs joueurs de la ligue, et il était évident qu'ils étaient destinés à gagner. Mais Corky pouvait voir que Fred avait de sérieux
problèmes avec sa confiance et son image de soi. Corky a mis les joueurs au défi d'aider Fred à croire en lui-même. Donc, chaque fois
que Fred a marqué un panier, ils l'ont félicité avec force.

À la fin de la saison, deux choses se sont produites. L'équipe a remporté le championnat et Fred croyait qu'il était le
meilleur joueur de l'équipe, qu'il était devenu. Fred n'était plus le même après ça, mais il n'aurait jamais pu le faire seul. Il a
fallu l'aide et la croyance d'autres personnes.

4. Quiconque aide quelqu'un influence beaucoup de corps

Lorsque LouAnne Johnson a gagné le cœur de Raul, elle a obtenu le reste de son «groupe» avec lui. Raul était un petit enfant -
quatre-vingt-quinze livres à dix-sept ans (parce qu'il avait mangé des haricots et du riz presque à chaque repas de sa vie). Depuis le lycée,
il avait passé son temps avec trois amis qui le considéraient toujours comme le clown du groupe. Cependant, une fois qu'il a commencé à
étudier dur, son rôle parmi ses amis a changé. Au début, ils en avaient du ressentiment, mais ils ont vite commencé à le voir comme un
exemple. Avant longtemps, ils étudiaient tous et essayaient de s'améliorer.

En aidant Raul, Johnson avait aidé les quatre. Et c'est ainsi que ça se passe souvent. Lorsque vous aidez une personne, cela
déborde dans la vie des autres.

5. Quelqu'un aujourd'hui se lèvera et deviendra quelqu'un

Quand vous croyez aux gens - quand vous voyez chaque personne comme un 10 - chaque jour est un grand jour. Pourquoi? Parce que chaque
matin apporte un jour où la vie de quelqu'un peut changer. Quel merveilleux cadeau! LouAnne Johnson n'avait aucune idée que son offre de
prêter de l'argent à un enfant allait changer sa vie lorsqu'elle
s'est levé ce matin-là. Mais elle considérait chaque jour comme une opportunité de faire une différence. Si vous croyez aux gens, chaque
jour peut vous offrir la même promesse.

C'EST MIEUX DE CROIRE

La vie me tient cette promesse. Je crois vraiment aux gens et je vois ce qu'il y a de mieux en eux. C'est l'une de mes plus grandes forces. Parfois,
cela peut aussi être une grande faiblesse. J'ai parfois trop confiance et je désire donner du pouvoir aux autres avant qu'ils ne soient prêts. Parfois,
cela me cause des ennuis. Mais je suis prêt à vivre avec ce risque parce que les récompenses pour les autres sont si grandes.

Si vous n'êtes actuellement pas quelqu'un qui a une grande confiance dans les gens, pensez à ceci:

Notre déception chez quelques personnes ne devrait pas nous empêcher de croire aux gens

Quand j'étais jeune leader, l'une des premières personnes que j'ai embauchées m'a brûlé. Il n'a pas joué comme il l'aurait dû, puis il a menti à ce sujet
pour couvrir ses morceaux. Et je l'ai cru naïvement. Je suis sorti de cette interaction en me disant, Je ne laisserai plus jamais un membre du personnel
se rapprocher de moi. Mais je ne pouvais pas maintenir cet état d'esprit. Tout d'abord, c'était injuste pour les autres personnes que je dirigerais à
l'avenir. Pourquoi l'échec d'une personne devrait-il affecter la façon dont je traite une autre personne? Deuxièmement, j'ai réalisé que si je gardais les
gens à distance, ils ne pourraient peut-être pas me faire du mal, mais ils ne pourraient pas non plus m'aider.

Si vous avez été blessé ou déçu dans le passé, ne laissez pas cela colorer négativement votre attitude à l'avenir. La plupart du
temps, croire aux gens fait vraiment ressortir le meilleur des gens.

Un cœur confiant est en bonne santé émotionnelle

Dans son livre Le cœur confiant, Le Dr Redford Williams, directeur du Behavioral Medicine Research Center du Duke University
Medical Center, écrit: «Ceux qui ont un cœur confiant sont plus susceptibles de rester en bonne santé pendant la majeure partie de leur
vie et de vivre longtemps.» Il dit qu'un tel cœur "croit en la bonté fondamentale de l'humanité, que la plupart des gens seront justes et
gentils dans leurs relations avec les autres." Un cœur mou est plus susceptible d'être sain.

Nous nous comportons à la lumière de nos croyances

Si vous n'aimez pas les gens ou ne croyez pas en eux, vous ne pourrez pas faire semblant. Les élèves de la classe de LouAnne Johnson lui ont
répondu parce qu'ils pouvaient dire que son affection pour eux était réelle. Ce n'était pas un acte. C'était une action enracinée dans sa croyance
en les gens. Si vous souhaitez ajouter de la valeur aux gens, vous devez d'abord les valoriser.

Un mariage sain repose sur des attentes élevées

Si vous êtes marié, la personne la plus importante à laquelle vous devez croire est votre conjoint. Lors d'une conférence Living
Leadership en 2003, Marcus Buckingham, vice-président senior de la Gallup Organization et auteur de Maintenant, découvrez
vos forces, a déclaré que le signe numéro un d'un
le mariage, c'est que les conjoints se voient plus positivement que les autres. Et chaque fois qu'un partenaire estime son conjoint plus
bas que les étrangers, c'est un signe qu'il y a des problèmes dans la relation.
Mon expérience en tant que pasteur conseillant les gens le confirme. Quand j'ai vu des couples pendant le counseling prénuptial, chaque
personne pensait que l'autre ne pouvait pas faire de mal. Et quand j'ai vu des couples qui envisageaient le divorce, chacun a pensé que l'autre
ne pouvait rien faire de bien.
Chacun de nous doit être réaliste à propos de son conjoint. Personne n'est parfait et personne ne peut rendre une autre personne
heureuse. Mais si vous êtes marié et que vous ne croyez pas en votre conjoint et que vous ne le soutenez pas à 100%, demandez de
l'aide, car votre relation pourrait être en difficulté.

Exprimer sa croyance dans le potentiel des gens les encourage à atteindre leur potentiel

Il ne suffit pas de croire aux gens, de penser qu'ils ont 10 ans. Vous devez exprimer cette croyance. Le philosophe-poète
Johann Wolfgang von Goethe a dit: «Traitez un homme comme il semble être et vous le rendez pire. Mais traitez un homme
comme s'il était déjà ce qu'il pouvait être, et vous en faites ce qu'il devrait être.

L'un des «croyants en les gens» les plus qualifiés que je connaisse est Dan Reiland, qui travaillait avec moi en tant que pasteur exécutif,
puis en tant que vice-président d'une de mes entreprises. Je connais Dan depuis qu'il est stagiaire. Quand il a commencé sa carrière, il croyait
aux gens, mais je ne pense pas qu'il l'a bien exprimé. Maintenant, il est devenu un maître dans ce domaine. Non seulement il le fait tous les
jours, mais chaque année depuis 1987, il a pris une poignée d'hommes avec du potentiel et les a personnellement encadrés. À maintes
reprises, il a vu des gens embrasser leur potentiel et s'épanouir. C'est quelque chose que chacun de nous peut faire, du moins dans une
mesure modeste, si nous sommes prêts à investir dans les gens.

Pensez aux personnes qui ont fait une différence dans votre vie: l'enseignant qui vous a fait croire que vous pouviez réussir; le
patron qui vous a donné une chance de montrer que vous pouviez le faire; le conseiller qui vous a fait savoir que vous aviez ce qu'il
fallait pour changer et avoir une vie meilleure; l'homme ou la femme qui t'aimait assez pour dire: «Oui». Non seulement ils Là à des
moments charnières, dans de nombreux cas, ils établi ces moments charnières de votre vie.

«Traitez un homme comme il semble être et vous le faites empirer. Mais traitez un homme comme s'il était déjà
étaient ce qu’il pouvait être, et vous en faites ce qu’il devrait être.
- JOHANN WOLFGANG VON GOETHE

Dans presque tous les cas où l'impact était positif, la personne croyait en vous. Il ou elle a probablement vu quelque chose en vous que
vous n'avez peut-être même pas vu en vous-même. N'aimeriez-vous pas être cette personne pour les autres? Si la réponse est oui, essayez
d'aimer les autres et voyez-les comme des 10. Si vous avez une famille, commencez par votre conjoint et vos enfants. Et puis élargissez le
cercle à partir de là. Croyez le meilleur des autres et vous en tirerez le meilleur.

NUMÉRO 10 QUESTIONS DE DISCUSSION DE PRINCIPE

1. Quelles sont les caractéristiques d'une personne qui désire faire cavalier seul dans la vie? Nommez certaines choses qui
peuvent provoquer cette attitude. Pourquoi est-il souvent difficile d'aider quelqu'un qui a cet état d'esprit? Si vous avez cet
état d'esprit, en quoi cela vous rend-il difficile d'aider les autres?

2. De quelle manière, à la fois positive et négative, le désir d'une personne d'être «quelqu'un» se manifeste-t-il? En général, votre désir de
reconnaissance ou de signification vous a-t-il conduit dans une attitude positive ou
 direction négative? Comment pensez-vous que cela colore votre réaction au désir d'attention des autres? Cela vous a-t-il rendu
favorable ou plein de ressentiment?
3. Êtes-vous d'accord pour dire qu'avoir un cœur confiant est sain sur le plan émotionnel? Expliquez votre réponse.
4. Où trouvez-vous plus facile de croire aux gens: à la maison ou au travail? Expliquez votre réponse. Comment souhaitez-vous changer?
Quelles mesures positives pourriez-vous prendre pour changer?
5. Citez des façons dont une personne peut Express croyance en les autres. Comment évalueriez-vous votre pratique de
exprimer sa croyance en autrui: pauvre, moyen ou excellent? Pourquoi? Votre famille et vos collègues seraient-ils
d'accord avec vous? Lequel des moyens d'expression cités pourriez-vous adopter et utiliser pour mieux vous exprimer?
 LE PRINCIPE DE CONFRONTATION

PRENDRE SOIN DES PERSONNES

DEVRAIT PRÉCÉDER
CONFRONTER LES GENS

Le conflit est comme le cancer: la détection précoce augmente la possibilité d'un résultat sain.
LA QUESTION QUE JE DOIS ME POSER:
EST-CE QUE JE VEUX ASSEZ
CONFRONTER LA BONNE FAÇON?
Oui Il y a quelques années, lorsque je suis arrivé à l'église Skyline de San Diego, en Californie, pour en devenir le pasteur principal, je suivais le
pasteur fondateur, Orval Butcher. Lorsque j'ai appris qu'il partait à la retraite et que le poste serait bientôt ouvert, certaines personnes m'ont
conseillé de ne pas envisager de le prendre. Dans le monde de l'église, cela peut être très difficile de suivre un pasteur fondateur, en particulier un
pasteur comme le pasteur Butcher, qui y avait servi pendant vingt-sept ans et avait fait un travail merveilleux. Tout le monde aimait Orval Butcher.

UNE QUESTION DE FIDÉLITÉ

Comme beaucoup de dirigeants ou de cadres qui entrent dans une organisation de l'extérieur, j'ai vite constaté que tout le monde n'était pas
immédiatement d'accord avec le changement. Heureusement, parce que les gens étaient très aimables et que le pasteur Butcher avait été un bon
leader, la plupart m'ont accepté. Je me suis rapidement installé et j'ai commencé à nouer des relations.

Un dimanche, quelques mois après mon arrivée là-bas, j'ai remarqué que Sally Johnson était là sans son mari, Joe. Ils avaient
toujours été actifs dans l'église et étaient toujours présents. Et il m'est venu à l'esprit que je n'avais pas vu Joe depuis quelques
semaines. Alors j'ai demandé à Sally comment il allait.
«Eh bien, pour être honnête,» dit-elle, «il a du mal avec les changements ici à l'église, et il ne voulait pas venir.

J'ai immédiatement appelé Joe et lui ai demandé s'il était prêt à me rencontrer.
Quelques jours plus tard, Joe s'est assis avec moi dans mon bureau et j'ai dit: «Joe, comment vas-tu? Sally me dit que vous
avez du mal avec la transition.
«Je suppose que vous pourriez dire ça,» répondit Joe. «Pastor Butcher me manque juste.» «Joe, ai-je
dit, ferais-tu quelque chose pour moi?
"Quoi?" Joe a demandé un peu méfiant.
«Dites-moi ce que vous aimez chez Pastor Butcher.»
Joe avait l'air surpris par la demande, mais il était heureux de se conformer.
«Eh bien,» commença Joe, «le pasteur Butcher a toujours été là pour nous. Il a épousé chacun de nos enfants. Il a enterré ma mère et
mon père. Il a aussi fait les funérailles de mon frère. Joe a ensuite expliqué comment Orval Butcher avait été à leurs côtés pendant les
moments les plus importants de leur vie.
«Il n'est pas étonnant que le pasteur Butcher ait une place si spéciale dans votre cœur», ai-je dit. Joe avait l'air de retenir ses
larmes. «Joe, le pasteur Butcher devrait toujours être votre favori. Et laissez-moi vous dire quelque chose. Je ne serai jamais offensé
s'il l'est toujours numéro un. Je vous donne ma permission pour qu'il soit toujours votre pasteur préféré. Les yeux de Joe étincelèrent et
un poids sembla s'être levé de ses épaules. «Et si jamais il vous reste un peu d’amour, lancez-vous un peu dans ma direction.

Joe était de retour à l'église le dimanche suivant, et il était redevenu son ancien moi. De temps en temps, il se faufilait sur
moi et me faisait un gros câlin en disant: "Pasteur, il me reste un peu d'amour ce mois-ci." Il l'a fait jusqu'au jour de sa mort.

LA VÉRITÉ SUR LES CONFLITS

Mon interaction avec Joe Johnson s'est bien déroulée, mais comme vous pouvez l'imaginer, tous mes conflits ne se sont pas terminés de manière aussi
positive. Comme tout le monde, j'ai eu ma part de confrontations qui se sont mal terminées. Mais la plupart du temps, ils se sont bien déroulés et je vais
vous dire pourquoi. Je les ai abordés avec la mentalité de prendre soin de l'autre personne et d'essayer de l'aider.

J'aurais pu pousser Joe Johnson. J'aurais pu tracer une ligne dans le sable et dire: "Vous me suivez ou bien." C'est ainsi que de nombreux
dirigeants gèrent les choses lorsqu'ils entrent dans une organisation. C'est l'une des raisons pour lesquelles il y a souvent un roulement élevé
lorsqu'un département ou une organisation a un nouveau chef. Ou j'aurais pu simplement abandonner Joe. J'aurais pu dire: «Il faisait partie de la
vieille garde. Il ne le fait évidemment pas
prends soin de moi, alors pourquoi s'embêter? Au lieu de cela, je l'ai reconnu et validé ses sentiments. Ce n'était pas une question de
concurrence. Il aurait été insensé de penser que je pourrais remplacer Orval Butcher dans son cœur. Et il aurait été inapproprié d'essayer. Ce
serait comme un nouveau beau-parent disant de mauvaises choses à propos du parent biologique d'un enfant et essayant de voler son affection.

Je crois que nous savons instinctivement que certaines choses sur les relations sont vraies:

Le conflit est inévitable

Peut-être devrions-nous ajouter le conflit à la mort et aux impôts comme l'une des choses sur lesquelles nous pouvons compter dans cette vie. La
seule façon d'éviter les conflits est de nous isoler de tous les autres peuples de la planète. Bien que si tu as vu le film Naufragé avec Tom Hanks, où
son personnage se dispute avec un ballon de volley, vous savez que même les personnes isolées peuvent trouver un moyen de créer des conflits.

La confrontation est difficile

Dans les conférences sur le leadership, j'avais l'habitude d'enseigner une session entière sur la confrontation. Cela commençait souvent par un
sondage informel pour savoir combien de participants vivaient un conflit permanent avec quelqu'un de leur organisation. Presque tout le monde
l'était. Lorsqu'on leur a demandé combien d'entre eux avaient affronté cette personne, seulement 5% environ levaient la main. Personne n'aime la
confrontation, donc tout le monde l'évite. (Et ceux qui aiment ça ont leurs propres problèmes psychologiques!)

Pourquoi est-ce difficile à affronter? Nous craignons d'être détestés, mal compris ou rejetés. Nous craignons l'inconnu. Nous n'avons pas
l'habitude de partager nos sentiments. Et nous craignons d’empirer les choses. Regardons les choses en face: peu de gens ont appris des
techniques de confrontation saines.

Peut-être devrions-nous ajouter le conflit à la mort et aux impôts comme l'une des choses sur lesquelles nous pouvons compter
cette vie.

La façon dont nous gérons les conflits détermine notre succès dans les situations difficiles

Comment gérez-vous les conflits dans vos relations? Saviez-vous que les conflits s'aggravent toujours lorsque la confrontation ne se fait
pas rapidement et correctement? C'est pourquoi votre approche est importante. Voici un échantillon de stratégies nuisibles que je vois des
gens utiliser lorsqu'ils gèrent un conflit:
Gagnez à tout prix. C'est comme une fusillade à l'OK Corral. C'est rapide, brutal et destructeur.
Faites semblant que cela n'existe pas. Si vous n'entendez aucun mal, ne voyez pas de mal et ne dites pas de mal, le mal ne cessera pas
exister.
Pleurnicher à ce sujet. Les gagnants ne sont pas des pleurnichards et les pleurnichards ne sont pas des gagnants. Jouer la victime
ne guérit pas les conflits. Cela irrite tout le monde.
Gardez le score. Les gens qui gardent un registre des torts ne peuvent jamais recommencer à zéro. Et personne ne peut
jamais être «égal».
Tirez le rang. Utiliser la position ne résout jamais vraiment les conflits. Il le reporte simplement.
Drapeau blanc. Arrêter de fumer est une solution permanente à un problème temporaire.
Aucune de ces approches n'apportera l'aide dont une personne a besoin pour résoudre un conflit de manière saine.
 UNE FEUILLE DE ROUTE POUR UNE CONFRONTATION SAINE

La résolution des conflits n'est pas compliquée. Intellectuellement, c'est simple. Mais émotionnellement, cela peut être difficile. Cela demande de l'honnêteté,
de l'humilité et du dévouement dans la relation. Voici un plan en six étapes pour vous aider à vous attaquer à la tâche de la confrontation:

1. Affrontez une personne uniquement si vous vous souciez de cette personne

Dans de rares cas, les gens doivent affronter une personne dont ils ne se soucient pas, comme dans le cadre de procès judiciaires ou en cas d'abus. Mais
ce ne sont pas des conflits relationnels typiques. Dans presque toutes les situations relationnelles, il est plus productif d'entrer dans une confrontation en
gardant à l'esprit les intérêts de l'autre personne.
Dans le passé, lorsque vous avez tenté de résoudre un conflit avec une autre personne, quel était votre objectif? La sympathie? Un soulagement
rapide? La victoire à tout prix? La prochaine fois, essayez d'y entrer dans le but d'en faire une victoire pour les deux parties. Et si vous essayez de vous
assurer que l'autre personne gagne en premier, alors vous savez que vous avez la perspective la plus avantageuse.

Bo Schembechler, l'ancien entraîneur de football en chef de l'Université du Michigan, a déclaré: «Au fond, vos joueurs doivent savoir
que vous vous souciez d'eux. C'est la chose la plus importante. Je ne pourrais jamais m'en sortir avec ce que je fais si les joueurs sentaient
que je m'en fichais. Ils savent, à long terme, je suis dans leur coin. Lorsque vous vous préparez à affronter quelqu'un, il devrait avoir le
même genre de sens de votre part.

2. Rencontrez-vous dès que possible

Chaque fois qu'un conflit surgit, nous sommes tentés de l'éviter, de tergiverser pour le gérer ou de demander à quelqu'un d'autre de le résoudre pour
nous. Mais la vérité est que chaque fois que vous laissez partir le conflit - pour quelque raison que ce soit - cela ne fait qu'empirer. Si les gens sont
en mesure de commencer à spéculer sur les motivations d'une autre personne ou de comprendre ce qui aurait pu vraiment arriver, ils pensent
souvent au pire. Le report de la confrontation ne fait qu'empirer la situation.

Le consultant Fred Smith, qui a été l'un de mes mentors en leadership, a parlé de son expérience: «Chaque fois que
je suis tenté de ne pas agir dans une situation personnelle difficile, je me demande: Suis-je retenu pour mon confort
personnel ou pour le bien de l'organisation? Si je fais ce qui me met à l'aise, je détourne. Si faire ce qui est bon pour
l'organisation me met aussi à l'aise, c'est merveilleux. Mais si je traite l'irresponsabilité de manière irresponsable, je dois
me rappeler que deux torts ne font pas un droit.

J'ai toujours pris à cœur ce conseil. Je dis à mes collaborateurs que si jamais je rencontre un problème majeur qui les concerne, ils en
entendront parler très rapidement. Je n'ai jamais de problèmes de «sac de jute». Ce n'est jamais une bonne idée de sauvegarder un tas de
choses et de donner ensuite à une personne une leçon d'histoire lors d'une confrontation. Rendez-vous plutôt ensemble tout de suite, face à
face. Si c'est absolument impossible, envisagez une conversation par téléphone. Mais en aucun cas vous ne devez affronter quelqu'un par
e-mail.

3. Rechercher d'abord un accord, pas nécessairement un accord

Un obstacle important à la résolution positive des conflits est d'avoir trop d'idées préconçues dans une confrontation. Il y a un dicton
selon lequel la personne qui donne une opinion avant de comprendre est humaine, mais la personne qui donne un jugement avant de
comprendre est un imbécile.
 Le président Abraham Lincoln était bien connu pour ses formidables compétences relationnelles. Il a fait remarquer: «Quand je
m'apprête à raisonner avec un homme, je passe un tiers de mon temps à penser à moi-même et à ce que je vais dire - et les deux tiers à
penser à lui et à ce qu'il va dire. " C'est une bonne règle de base. Vous ne pouvez pas arriver à comprendre si votre concentration est sur
vous-même. Comme le disait l'ingénieur Charles F. Kettering: «Il y a une grande différence entre savoir et comprendre; vous pouvez en
savoir beaucoup sur quelque chose sans vraiment le comprendre. »

La personne qui donne une opinion avant de comprendre est humaine, mais celle qui donne un
le jugement avant qu'il ne comprenne est un imbécile.

4. Décrivez le problème

Quand c'est à votre tour de parler et de vous faire comprendre, il est important que vous adoptiez une approche positive. Voici ce que je
suggère:
Décrivez vos perceptions. Au début, éloignez-vous des conclusions et / ou des déclarations
sur les motivations de l'autre personne. Dites simplement ce que vous pensez voir et décrivez le problème que vous pensez qu'il cause.

Dites ce que vous ressentez. Si les actions de l'autre personne vous mettent en colère, frustré ou triste,
l'exprimer clairement et sans accusation.
Expliquez pourquoi c'est important pour vous. Souvent, lorsqu'une personne découvre que quelque chose est
priorité à vous, cela suffit à lui donner envie de changer.
S'engager dans ce processus sans chaleur émotionnelle ni amertume est essentiel. Vous n'êtes pas obligé d'éteindre vos émotions;
vous devez simplement vous assurer de ne pas agresser verbalement la personne que vous affrontez.

5. Encouragez une réponse

Ne jamais affronter les autres sans les laisser répondre. Si vous vous souciez des gens, vous voudrez écouter. En outre, comme l'a déclaré le
politicien Dean Rusk, «L'un des meilleurs moyens de persuader les autres est avec vos oreilles - en les écoutant.

Parfois, le simple fait d'avoir la discussion vous aide à réaliser que vos perceptions étaient fausses. Je sais que cela m'est
arrivé. C'est très humiliant quand je réalise je suis le problème. D'autres fois, vous découvrez que vous devez tenir compte des
circonstances atténuantes. Encourager une réponse vous aide à mieux comprendre le problème.

Cela donne également à l'autre personne une chance de traiter le problème émotionnellement. La plupart du temps, lorsque vous
affrontez des gens, ils auront une réaction émotionnelle. Ils peuvent être choqués, se mettre en colère ou se sentir coupables. Ils voudront
peut-être partager ces sentiments avec vous, ou non. Quoi qu'il en soit, vous devez les encourager à vous donner une réponse authentique.
Pourquoi? Parce que s'ils n'ont pas leur mot à dire, ils ne pourront pas avancer vers une résolution du problème. Ils seront tellement
concentrés sur leur réponse qu'ils ne pourront rien entendre d'autre.

En confrontant les gens, j'ai découvert ce qui suit:

50% du temps, les gens ne réalisent pas qu'il y a un problème.
30 pour cent d'entre eux ont réalisé qu'il y avait un problème, mais ne savaient pas comment le résoudre. 20% ont réalisé
qu'il y avait un problème, mais ne voulaient pas le résoudre.
La mauvaise nouvelle est qu'une personne sur cinq ne veut pas chercher une solution positive. La bonne nouvelle est que 80% du
temps, il existe un grand potentiel pour résoudre le conflit.
6. Convenir d'un plan d'action

La plupart des gens détestent la confrontation, mais ils aiment la résolution. Et le seul moyen de parvenir à une résolution est de prendre
des mesures positives. En élaborant et en acceptant un plan d'action, vous mettez l'accent sur l'avenir et non sur les problèmes du
passé. Si la personne que vous affrontez veut changer, elle gravitera vers la possibilité d'améliorer les choses.

Un bon plan d'action devrait inclure ces points:

une) Identification claire du problème
b) Accord pour résoudre le problème
c) Des étapes concrètes qui démontrent que le problème a été résolu
ré) Une structure de responsabilisation, telle qu'une chronologie et une personne responsable
e) Une date limite pour l'achèvement
F) Un engagement des deux parties à remettre le problème dans le passé une fois résolu
Si votre confrontation est formelle, comme dans un milieu de travail, mettez le plan d'action par écrit. Ensuite, vous pouvez toujours revenir à
ce document si la résolution ne se déroule pas comme prévu.
Une confrontation réussie change généralement les deux personnes, pas seulement une. Saviez-vous que les gens commencent à avoir
des opinions similaires les uns des autres avec le temps? Certaines personnes appellent cela la règle de réciprocité. Le changement positif
est la première mesure du succès lors de la résolution d'un conflit par la confrontation. Le second est la croissance continue de la relation.
Chaque fois que vous résolvez vraiment un conflit dans une relation, cela ne nuit pas à la relation; cela renforce en fait le lien entre les gens.

Une confrontation réussie change généralement les deux personnes, pas seulement une.

Mais tout commence par une réelle préoccupation pour l'autre personne. Abraham Lincoln a résumé la situation en disant: «Si vous
voulez gagner un homme à votre cause, commencez par le convaincre que vous êtes son ami sincère. . . Supposez de dicter son
jugement, ou de commander son action, ou de le marquer comme quelqu'un à éviter et à mépriser, et il se retirera en lui-même. . . tu ne
pourras pas plus le percer que pénétrer la carapace dure d'une tortue avec une paille de seigle.

QUESTIONS DE DISCUSSION SUR LE PRINCIPE DE CONFRONTATION

1. Que se passe-t-il lorsqu'une confrontation ne se passe pas bien? Avez-vous été impliqué dans une confrontation qui a mal
tourné? Étiez-vous le confronteur ou celui qui a été confronté? Expliquez ce qui n'a pas fonctionné. Qu'est-ce que cela a
fait à la relation?
2. Diriez-vous que la plupart des gens ont à cœur l'intérêt de l'autre personne lors d'une confrontation? Qu'est-ce
qui motive souvent les gens à affronter les autres? Et vos motivations? Sont-ils généralement altruistes ou
autodéfensifs?
3. Considérez les différentes manières dont les gens réagissent souvent aux conflits potentiels:
Gagnez à tout prix.
Éloignez-vous-en. Faites semblant
que cela n'existe pas. Pleurnicher à
ce sujet.
Gardez le score.
Tirez le rang.
Drapeau blanc.
Dans le passé, quelle approche avez-vous été le plus susceptible d'adopter? Pourquoi? Comment aimeriez-vous gérer les conflits à l'avenir?
Quelles mesures devez-vous prendre pour vous améliorer dans ce domaine?
 4. Que se passe-t-il lorsque la personne à l'origine de la confrontation devient trop émotionnelle? Et quand il ne le fait
pas? Que peut-on faire pour rester émotionnellement équilibré lors d'une confrontation?

5. Que se passe-t-il souvent lorsqu'aucun plan d'action clair n'a été élaboré dans le cadre d'une confrontation? Trouvez-vous
difficile de créer de tels plans? Quels sont certains des obstacles courants? Que se passe-t-il si l'autre personne ne
souhaite pas participer? Comment arrivez-vous à la résolution et à la clôture dans de tels cas?

Avant de passer à autre chose, passons en revue les principes de personnes liés à la question de connexion. . .
Le principe général: L'ensemble de la population mondiale - à une petite exception près -
est composé d'autres.
Le principe d'échange: Au lieu de mettre les autres à leur place, il faut se mettre
leur place.
Le principe d'apprentissage: Chaque personne que nous rencontrons a le potentiel de nous apprendre quelque chose.
Le principe du charisme: Les gens s'intéressent à la personne qui s'intéresse à eux.
Le principe du numéro 10: Croire le meilleur des gens fait généralement ressortir le meilleur des gens.
Le principe de la confrontation: Prendre soin des gens doit précéder la confrontation avec les gens.
 LA QUESTION DE CONFIANCE:
CONSTRUCTION DE CANWE

CONFIANCE MUTUELLE?

La gloire de l'amitié n'est pas la main tendue, ni le sourire

bienveillant, ni la joie de la compagnie; c'est l'inspiration
spirituelle qui vient à quelqu'un quand
vous découvrez que quelqu'un d'autre croit en vous et est
prêt à vous confier une amitié.
- RALPH WALDO EMERSON
W Pourquoi de nombreuses relations se désagrègent-elles? Certains mariages qui commencent avec une grande passion se terminent amèrement. Les
amitiés que les gens espèrent dureront toute une vie échouent et meurent. Les partenariats commerciaux qui ont commencé avec promesse aboutissent à
une conclusion désastreuse. Les raisons de ces pannes sont nombreuses, mais la cause qui l'emporte sur toutes les autres est la confiance brisée.

Comment définissez-vous la confiance? Dictionnaire du nouveau monde de Webster, troisième édition, appels confiance une «ferme conviction ou
confiance en l'honnêteté, l'intégrité, la fiabilité, la justice, etc. d'une autre personne.» Kevin Myers dit: "Vous ne savez peut-être pas ce qu'est la confiance,
mais vous savez ce que ce n'est pas." Si les gens vous mentent, vous volent ou vous font du mal physiquement, vous savez que vous ne pouvez pas leur
faire confiance. Cela est évident. Mais existe-t-il d'autres moyens pour une personne de rompre la confiance? Y a-t-il des choses que les gens peuvent faire
pour rendre une relation indigne de confiance? D'ailleurs, quel genre de personne doit toi être dans une relation afin d'être digne de la confiance d'une autre
personne?

Ces questions sont au cœur des cinq prochains chapitres. Et les principes de personnes qu'ils contiennent vous aideront à répondre à la
question: Pouvons-nous bâtir une confiance mutuelle?
Le principe du substrat rocheux: La confiance est le fondement de toute relation.
Le principe de situation: Ne laissez jamais la situation signifier plus que la relation.
Le principe de Bob: Lorsque Bob a un problème avec tout le monde, Bob est généralement le problème.
Le principe d'approche: Être à l'aise avec nous-même aide les autres à être à l'aise avec nous.
Le principe de Foxhole: Lorsque vous vous préparez au combat, creusez un trou assez grand pour un ami.
 LE CHAMBRE
PRINCIPE

LA CONFIANCE EST LA

FONDATION DE TOUT
RELATION

C'est un plus grand compliment à faire

confiance qu'à être aimé.
- GEORGE MACDONALD
LA QUESTION QUE JE DOIS ME POSER:
Suis-je une personne de confiance?
H C'était un jeune journaliste prometteur. Il était énergique et travailleur. Le directeur de son lycée se souvient: «Il a
toujours été dans le secteur de la presse, même ici. Il a eu un merveilleux,
une persistance positive à son égard que nous admirions tous. 1 À l'Université du Maryland où il est allé à l'école, il était
connu comme un écrivain productif et talentueux. Cette réputation lui a valu un stage d'été de dix semaines dans le plus
grand journal du pays: le New York Times. Là, on dit qu'il a très bien réussi, ayant écrit dix-neuf articles et aidé avec
beaucoup d'autres.
C'était en 1998. L'été suivant, il est retourné à la Fois pour un emploi et a été rapidement promu reporter intermédiaire.
Il a fait le genre de travail qu'un journaliste débutant est assigné, et il a réussi, bien qu'il ait été averti d'être trop bâclé dans
son travail. En janvier 2001, Jayson Blair est devenu reporter à plein temps.

Malgré ses progrès, tout ne se passait pas bien avec Blair. Ses rédacteurs ont continué à le réprimander pour son travail
bâclé. Jonathan Landman, le rédacteur métropolitain du journal, a dit à Blair son

le taux de correction était «extraordinairement élevé par rapport aux normes du document». 2 Cela ne convenait pas à l'éditeur. Comme il l'a dit à son
personnel dans un e-mail: «La précision est tout ce que nous avons. C'est ce que nous sommes et ce que nous

vendre." 3 En raison du talent et du potentiel de Blair, les rédacteurs l'ont fréquemment vérifié et ont travaillé avec lui pour l'aider à
améliorer l'exactitude de ses rapports. Finalement, il a été transféré au département des sports.

D'une manière ou d'une autre, il a été réacheminé des sports vers le bureau national, puis envoyé pour aider à signaler le cas des tireurs d'élite en
Virginie. Rendant des reportages sur des histoires nationales, il s'est épanoui et s'est fait un nom. Il a raconté une énorme histoire sur l'affaire des tireurs
d'élite. Il a rendu compte de la famille du prisonnier de guerre Jessica Lynch, qui a été fait prisonnier en Irak. Et il a écrit de nombreuses autres histoires
très médiatisées.

LE RESTE DE L'HISTOIRE

Mais alors Jayson Blair a eu des ennuis. Grande difficulté. Quelqu'un a remarqué que des parties d'une histoire qu'il avait soumise du
sud du Texas sur la mère d'un soldat américain tué étaient remarquablement similaires à une histoire d'un autre journaliste écrite
plusieurs jours avant la sienne. Un éditeur du San Antonio Express-News, qui avait publié l'histoire originale, a envoyé un e-mail aux
éditeurs à Fois pour les alerter du problème. Cela a incité le journal à examiner de plus près les travaux antérieurs de Blair.

le Fois le personnel a constaté que cent des plus de six cents articles écrits par Blair pour le

Fois avait des problèmes ou avait besoin de corrections importantes. 4 Et près de la moitié des articles qu'il a rédigés pour les missions de reporting
national avaient des problèmes. Mais Blair était coupable de plus que de rapports bâclés. Ancien New York Times Le rédacteur en chef Howell
Raines dit qu'une enquête a révélé un «schéma pathologique

de fausses déclarations, de fabrication et de tromperie. » 5 Blair avait menti à ses patrons, faisant semblant de partir en mission et classant ensuite de
fausses histoires «de première main». Il avait fabriqué des parties d'histoires en utilisant des photos et d'autres sources d'information. Et il avait plagié le
travail d'autres journalistes. Il a même déposé de faux rapports de dépenses pour essayer de couvrir ses traces.

Lorsque l'histoire a éclaté, son impact était énorme. La crédibilité du New York Times était en jeu. 2Représentants au Fois l'appelait
un «énorme œil au beurre noir» et le «point bas» dans les 152-

histoire de l'année. 6 Fois les écrivains ont commenté: «Bien que la tromperie d'un Fois journaliste ne conteste pas le travail de 375 autres personnes, des
experts et des professeurs de journalisme affirment que le Fois doit réparer les dommages

fait à la confiance du public. sept

Blair a démissionné à la suite des révélations. Ses anciens patrons, collègues et amis ne sont plus

lui faisait confiance, et beaucoup ont exprimé sa colère contre lui pour sa trahison. 8 Le journaliste dont il a plagié l'histoire du sud du Texas -
Macarena Hernandez, qui ironiquement avait servi de New York Times stagiaire chez Blair - dit de lui: «Son histoire est celle d'un gars qui
n'a pas respecté sa profession, a trompé ses lecteurs,
a trompé ses rédacteurs en chef et a volé ses pairs. Période. Toute autre façon de voir les choses permet à Jayson Blair

décroché. » 9
Que faisait Blair toutes ces fois où il était censé être en mission? Selon New York Times journalistes, il se cachait dans son
appartement de Brooklyn, fabriquant des histoires et travaillant sur une proposition de livre sur l'histoire du tireur d'élite. Après que
la nouvelle de sa tromperie eut éclaté, il changea de tactique et écrivit à la place sur ses exploits au New York Times. Un écrivain
qui a révisé le livre résultant, intitulé Brûler la maison de mon maître, a appelé Blair un «Pinocchio de classe mondiale» et un
«avoué

menteur en série. » dix L'éditeur du livre s'attendait évidemment à ce qu'il fasse bien, ayant commandé une première impression de
250 000 exemplaires. Mais Temps le magazine a rapporté qu'après avoir été disponible pendant neuf jours, il ne s'est vendu que

1400 exemplaires. 11 Je suppose que cela signifie que personne n'achetait ce que Jayson Blair avait à dire!

Fais-moi confiance

Il est impossible de surestimer l'importance de la vérité en matière de confiance. L'article dans le New York Times qui décrivaient les tromperies
de Blair comprenaient les déclarations suivantes: «Chaque journal, comme chaque banque et chaque service de police, fait confiance à ses
employés pour faire respecter les principes centraux, et l'enquête a révélé que M. Blair avait violé à plusieurs reprises le principe cardinal du
journalisme, qui est simplement

vérité." 12
Si vous résumez les relations à l'élément le plus important, ce sera toujours la confiance - pas le leadership, la valeur, le partenariat ou
quoi que ce soit d'autre. Si vous n'avez pas confiance, votre relation est en difficulté. Voici pourquoi:

La confiance est le fondement de toute relation

Dans Les 21 lois irréfutables du leadership, J'ai écrit à propos de la loi du Solid Ground: «La confiance est la

fondement du leadership. » 13 Dans son livre Devenir un leader, Warren Bennis déclare: «L'intégrité est la base de la confiance, qui
n'est pas tant un ingrédient du leadership qu'un produit. C'est la seule qualité qui ne peut pas être acquise, mais qui doit être gagnée.
Il est donné par des collègues et des adeptes, et sans lui, le leader ne peut pas fonctionner.

Cela peut être dit non seulement des dirigeants et des adeptes, mais aussi de toutes les relations. Développer la confiance, c'est comme
construire un bâtiment. Cela prend du temps, et cela doit être fait une pièce à la fois. Comme dans la construction, il est beaucoup plus rapide et
plus facile de démolir quelque chose que de le construire. Mais si la fondation est solide, il y a de fortes chances que ce qui est construit sur elle
subsiste.

La confiance est le cadre de toute relation

Une relation peut également être décrite comme étant comme une peinture. La confiance est comme le cadre qui l'entoure
- et le maintient ensemble. Il fournit un contexte dans lequel voir l'œuvre d'art. La confiance définit ses limites. Et la confiance le
fixe au mur pour qu'il puisse être apprécié. La confiance fournit une structure émotionnelle.

«L'intégrité est la base de la confiance. . . C'est la seule qualité qui ne peut être acquise, mais qui doit être gagnée. Il est donné
par des collègues et des adeptes, et sans lui, le leader ne peut pas fonctionner.
 - WARREN BENNIS

William M. Boast, auteur de Maîtres du changement, donne son point de vue sur la façon dont les relations sont maintenues ensemble:

La confiance est. . . établi lorsque les paroles et les actes sont congruents. La confiance se développe également lorsque les gens se
sentent en sécurité. Lorsque les pensées et les idées sont abattues et ridiculisées, il ne faut pas longtemps pour se rendre compte
que le climat n'est ni sûr ni propice à vous rendre vulnérable. Les climats défensifs peuvent être atténués en fournissant des
commentaires descriptifs plutôt qu'évaluatifs, en exprimant des sentiments d'attention et d'implication, et en étant disposé à rechercher
activement

écouter, comprendre et utiliser les points de vue des autres. 14

Si vous voulez profiter de la beauté des relations, encadrez-les avec confiance.

La confiance est la hauteur de toute relation

Lorsque deux personnes se font totalement confiance, la relation peut atteindre un niveau d'amitié aussi gratifiant que n'importe quoi dans la vie. Il
atteint les plus hauts sommets. L'écrivain et aumônier de la reine Victoria, Charles Kingsley, a déclaré: «C'est une chose bénie pour tout homme ou
toute femme d'avoir un ami, une âme humaine en qui nous pouvons totalement faire confiance, qui connaît le meilleur et le pire d'entre nous, et qui
nous aime. malgré tous nos défauts.

GAGNER LA CONFIANCE DES AUTRES

Le psychologue et consultant Jack R. Gibb a observé que «la confiance est le résultat d'un risque survécu avec succès». Quelle
merveilleuse description! Quand les autres nous font confiance, ils prennent vraiment un risque. Mais à chaque fois que les gens nous font
confiance et que nous ne les laissons pas tomber, nous réduisons ce risque et construisons la relation. Si vous souhaitez renforcer votre
fiabilité et, par conséquent, vos relations, rappelez-vous ces trois vérités sur la confiance:

1. La confiance commence par vous-même

Shakespeare a écrit: "Ceci avant tout: à toi-même soit vrai, et cela doit suivre, comme la nuit le jour, tu ne peux alors être faux à
personne." Si vous n'êtes pas honnête avec vous-même, vous ne serez pas capable d'honnêteté avec les autres. L'auto-tromperie
est l'ennemi des relations. Cela nuit également à la croissance personnelle. Si une personne n'admet pas ses lacunes, elle ne peut
pas les améliorer.
Tout cela remonte au principe du miroir. La première personne que nous devons examiner, c'est nous-mêmes. Regardez-vous bien.
Êtes-vous honnête avec vous-même sur la façon dont vous vivez votre vie? Votre personnage est-il solide? Est-ce que votre oui veut dire oui
et votre non veut dire non? Respectez-vous vos engagements? Ne demandez pas aux autres de vous faire confiance si vous pensez que
vous pourriez le trahir. Travaillez d'abord sur votre personnage, puis sur vos relations.

2. La confiance ne peut pas être compartimentée

Cheryl Biehl, épouse de l'ami et auteur Bobb Biehl, déclare: «L'une des réalités de la vie est que si vous ne pouvez pas faire confiance à une personne à tout
moment, vous ne pouvez pas vraiment lui faire confiance à tout moment.» Je crois que c'est vrai. Malheureusement, je pense que beaucoup de gens
essaient aujourd'hui de compartimenter leur vie. Ils croient qu'ils peuvent couper les coins ronds ou compromettre leurs valeurs dans un domaine de la vie et
cela n'affectera pas un autre domaine. Mais le caractère ne fonctionne pas de cette façon. Et la confiance non plus.

En 2003, j'ai écrit un livre intitulé Il n'y a rien de tel que l'éthique des affaires. Le principe est que vous ne pouvez pas avoir une éthique
pour votre vie professionnelle et une autre pour votre vie personnelle. Le caractère ne fonctionne pas de cette façon. Si quelqu'un vous
demande de l'aider dans un mensonge, ne croyez pas qu'il évitera de vous mentir chaque fois que cela vous convient. Ce qu'une personne
fera avec toi, il fera aussi à toi. Le caractère d'un individu finit par saigner dans tous les aspects de sa vie.

3. La confiance fonctionne comme un compte bancaire

Mike Abrashoff, auteur de C'est votre vaisseau, déclare: «La confiance est comme un compte bancaire - vous devez continuer à faire des dépôts
si vous voulez qu'elle se développe. À l'occasion, les choses vont mal et vous devrez

faire un retrait. Pendant ce temps, il est assis à la banque et rapporte des intérêts. » 15
Mike a appris cela de ses années comme officier de marine. J'ai appris la même chose en tant que pasteur. Pendant des années lors de conférences
sur le leadership, j'ai enseigné l'idée d'avoir le «changement» dans votre poche sur le plan relationnel. Lorsque vous commencez une relation avec
quelqu'un, vous recommencez avec cette personne. Si la personne est confiante et généreuse, vous pouvez commencer par un peu de changement. S'il est
méfiant ou blessé, vous commencez probablement par aucun. Chaque fois que vous faites quelque chose pour instaurer la confiance, vous mettez le
changement relationnel dans votre poche. Chaque fois que vous faites quelque chose de négatif, vous passez une partie de ce changement. Faites
suffisamment de choses négatives - par manque de caractère ou de compétence - et vous êtes en faillite. Et cela marque la fin de cette relation.

Cette dynamique fonctionne dans tous les domaines de votre vie. Si vous passez tout votre changement avec vos collègues au travail, ils ne
travaillent plus volontiers avec vous. Si vous passez tout votre changement avec votre patron, vous finissez par chercher un autre emploi. Si vous
passez toute votre monnaie avec vos amis, vous passez beaucoup de temps seul. Si vous passez toute votre monnaie avec votre conjoint, vous
vous retrouvez devant un tribunal de divorce.

S'il s'agit d'un nouveau concept pour vous, vous devez vous poser quelques questions à la fin de chaque journée:

Est-ce que je fais des dépôts? Pensez à vos relations les plus importantes. Présentez-vous un comportement digne de
confiance qui met «de l'argent à la banque» relationnel?
Est-ce que je fais des retraits? Avez-vous miné la confiance dans l'une de ces relations importantes? Si tel est le cas, vous devez
essayer de faire les choses correctement. N'attendez pas une autre minute pour prendre les mesures appropriées en procédant comme
suit:
1. Excusez-vous.
2. Demandez-vous pourquoi vous avez rompu la confiance.
3. Corrigez le problème dans votre vie.
4. Reconnaissez qu'il faut plus de temps pour rétablir la confiance que pour la perdre.
5. N'oubliez pas que la confiance est rétablie par des actes, pas seulement par des mots. Faire ces choses ne sera pas gagner votre nouveau
changement, mais cela peut vous empêcher de perdre davantage. Et vous pourriez juste sauver la relation.

Est-ce que je renforce ma confiance? Mike Krzyzewski, entraîneur en chef de basket-ball à l'Université Duke, donne ce conseil: «Si vous
installez une atmosphère de communication et de confiance, cela devient une tradition. Les membres plus âgés de l'équipe établiront
votre crédibilité auprès des nouveaux. Même s'ils n'aiment pas tout de vous, ils diront quand même: «Il est digne de confiance, engagé
envers nous en tant qu'équipe». »Vous pouvez, comme le dit Mike Abrashoff, développer une telle confiance que cela se construit
sans dépôts supplémentaires. Mais cela prend du temps et une cohérence incroyable.
 UN AMI INDEED

En 1978, alors que je commençais à avoir du succès en tant que conférencier et consultant et à toucher un public plus large, mon
ami Tom Phillippe m'a emmené déjeuner un jour et m'a dit: «John, vous allez réussir. Plus vous montez, plus il sera difficile de
discerner les motivations des autres concernant vos relations. Je veux juste que vous sachiez que je serai un ami de confiance.

Et il l'a été. Quand j'ai quitté une position d'impact national dans le monde de l'Église pour redevenir pasteur d'église locale, Tom a
offert de reprendre l'organisation que j'avais créée, et il a continué à fonctionner pour moi jusqu'à ce que je puisse la reprendre. Il m'a
toujours donné de merveilleux conseils, pleins de profondeur et de sagesse. Et il a été là en tant qu'ami pendant les moments les plus
difficiles auxquels ma famille a été confrontée au cours des vingt-cinq dernières années.

La principale raison de tout succès que j'ai obtenu est due à des gens comme Tom. Et j'ai la chance d'avoir de nombreuses personnes de haut
calibre comme lui. Je ferais confiance à toutes les personnes de mon entourage pour ma vie. Ils m'aiment inconditionnellement, embrassent ma
vision, incarnent mes valeurs, me représentent bien aux autres, veillent à mes meilleurs intérêts, disent la vérité quand j'ai besoin de l'entendre, me
soutiennent dans les moments difficiles et me défendent face à mes critiques. Je ne pourrais pas faire les choses que je fais sans eux - et je ne
voudrais pas non plus si je le pouvais.

ET SI VOUS Hésitez à faire confiance aux autres?

J'ai accordé beaucoup d'attention dans ce chapitre au concept de étant une personne de confiance. Mais je reconnais que certaines personnes dignes
de confiance ont du mal à faire confiance aux autres. Peut-être que les gens ont rompu la confiance avec vous. Si tel est le cas, essayez de suivre ces
trois étapes:
1. Pardonne-leur. Parce que vous avez raison, vous avez le pouvoir sur les autres personnes. S'il vous plaît
n'abusez pas de ce pouvoir.
2. Expliquez que la violation doit jamais se reproduira. Pardonner aux autres ne signifie pas permettre
eux pour continuer à vous blesser.
3. Souvenez-vous de leurs meilleurs moments. Nous avons tous nos hauts et nos bas. Il faut de la maturité pour traiter
les gens selon leurs meilleures qualités.
Il y a un grand soulagement à pardonner aux autres. Si vous désirez pardonner et recommencer à faire confiance, prenez à cœur ces paroles d'Henry
L. Simpson, ancien secrétaire d'État américain: «La principale leçon que j'ai apprise dans une longue vie est que la seule façon de rendre un homme digne
de confiance c'est en lui faisant confiance; et le moyen le plus sûr de le rendre indigne de confiance est de se méfier de lui et de montrer votre méfiance.
Comme je l'ai déjà mentionné, faire confiance aux autres est un risque, mais c'est un risque qui vaut la peine d'être pris. Sans confiance, vous ne pouvez pas
construire de relations saines et durables.

Franchir. Je ne dis pas que vous ne serez jamais blessé. Tu pourrais. Mais je peux dire ceci: vous ne ressentirez jamais la joie qui vient
uniquement des relations à moins que vous ne soyez prêt à essayer la confiance.

QUESTIONS DE DISCUSSION SUR LE PRINCIPE DE BEDROCK

1. Comment la réticence à faire confiance aux autres affecte-t-elle la capacité d'une personne à se connecter? Que peut faire quelqu'un qui ne fait
pas facilement confiance aux autres pour changer cette réticence naturelle?
2. Qu'arrive-t-il à une relation lorsqu'une personne fait preuve d'indignité? Décrivez comment les relations se dégradent avec le temps. Une
relation est-elle jamais au-delà de tout espoir? Sinon, expliquez pourquoi. Si tel est le cas, décrivez comment on le saurait. Votre
réponse est-elle la même pour les relations dans tous les domaines de la vie: avec des amis, des collègues, un conjoint, des enfants?
3. Pensez à quelqu'un avec qui vous avez passé une grande partie de votre changement relationnel. Décrivez certaines choses que vous avez
faites qui ont endommagé la relation. Que pouvez-vous faire pour rétablir la confiance et «accumuler» certains changements? Qu'est-ce qui
vous empêche actuellement de faire ces choses?
4. La confiance brisée n'est pas toujours un problème de caractère. Parfois, cela vient d'un manque de compétence ou d'un manque de
communication. Quels problèmes érodent la confiance le plus rapidement? De quel problème une relation peut-elle se rétablir plus
rapidement? Explique.
5. Que se passe-t-il lorsque le cercle intime de quelqu'un contient des personnes indignes de confiance? Comment cela affecte-t-il sa capacité
à réussir? Comment cela affecte-t-il son personnage? Est-il difficile de changer les types de personnes avec lesquelles on s'associe?
Quelles mesures peut-on prendre pour créer un nouveau cercle intérieur?
 LA SITUATION
PRINCIPE

NE JAMAIS LAISSER LA SITUATION

SIGNIFIE PLUS QUE
LA RELATION

Il est plus gratifiant de résoudre

une situation que de dissoudre une relation.
LA QUESTION QUE JE DOIS ME POSER: EST-CE
QUE JE MET PARFOIS DES SITUATIONS AVANT
MES RELATIONS?
W Que feriez-vous si vous aviez l'opportunité d'une vie de réaliser vos rêves, de vous élever et de prendre place parmi l'élite de
votre profession, de devenir un champion? Et si une seule personne se tenait entre vous et votre objectif? Tireriez-vous le
meilleur parti de la situation? Souhaitez-vous saisir le moment? Et si la seule personne sur votre chemin était votre sœur?

LOI SŒUR

C'est la situation à laquelle Serena Williams était confrontée. Si vous êtes fan de tennis, vous savez de qui je parle. Mais même si vous ne suivez pas
le tennis, vous avez probablement encore entendu parler des sœurs Williams ou vu des publicités de chaussures de sport qui les présentent.

Venus et Serena Williams étaient des prodiges du tennis. Leur père, Richard, dit que lorsqu'il a vu l'image télévisée d'une championne
de tennis féminine à l'Open de France de 1978 recevoir un gros chèque, il a décidé que si lui et sa femme avaient plus d'enfants, ils
deviendraient des joueurs de tennis professionnels. Venus est née en 1980 et Serena en 1981. Quand Venus avait quatre ans, Richard
Williams a commencé à lui apprendre le jeu dans un parc à Compton, en Californie. Un an plus tard, Serena a rejoint leurs sessions.

Les filles se sont montrées prometteuses tôt et ont dominé partout où elles ont joué. En 1991, Venus était classée numéro un parmi les
filles de douze ans et moins dans le sud de la Californie hautement compétitif, et Serena était classée numéro un dans la division des dix ans
et moins. Mais au lieu de les garder dans le tennis junior, qui était considéré comme la voie normale pour les pros, Richard les a retirés, a
déplacé la famille en Floride et a inscrit les filles dans une académie de tennis de haut niveau, où elles se sont entraînées pendant quatre
ans.
En 1994, Venus est devenue éligible pour devenir professionnelle et Richard l'a mise dans sa première compétition. Elle a remporté son premier
match, mais a perdu son deuxième face à la deuxième femme au monde. Lorsque les journalistes ont demandé à Vénus comment la perte par rapport aux
défaites précédentes, l'adolescente a expliqué qu'elle ne savait pas
- parce qu'elle n'avait jamais perdu un match auparavant! L'année suivante, Reebok a signé Venus pour un contrat de soutien de
plusieurs millions de dollars. À la fin de 1997, elle était classée soixante-quatrième au monde. Pendant ce temps, Serena se faisait
également un nom. À seize ans, elle a terminé juste en dehors du top 100.

En grandissant, les filles s'étaient entraînées ensemble, s'entraînaient ensemble et jouaient ensemble. Et l'ancienne Vénus a
toujours eu le dessus. Mais ils n'avaient jamais joué l'un contre l'autre dans un tournoi professionnel. Puis en 1998, l'inévitable s'est
produit. Les deux jeunes femmes se sont affrontées au deuxième tour de l'Open d'Australie. Et comme prévu, Vénus a gagné.

«Ce n'était pas amusant d'éliminer ma petite sœur, mais je dois être dur», a déclaré Venus après avoir battu Serena. «Après le match, j'ai
dit: 'Je suis désolé d'avoir dû vous sortir.' Depuis que je suis plus âgé, j'ai le sentiment

Je devrais gagner. 1
Les sœurs Williams ont continué à vivre et à s'entraîner ensemble. Ils ont joué en double ensemble et ont gagné. Et quand ils se
sont rencontrés en finale des championnats de Lipton en mars 1999, c'était un gros problème. C'était la première fois que deux sœurs
s'affrontaient dans un titre de tennis féminin professionnel depuis les sœurs Watson à Wimbledon en 1884. Vénus a déclaré: «La façon
dont nous jouions, c'était inévitable

se rencontrer en finale. Et il est inévitable que nous nous reverrons. 2 Et encore une fois, Vénus a gagné.

QUÊTE DU MEILLEUR

Mais cette année-là, Serena a eu un avant-goût de grands succès lorsqu'elle a remporté l'US Open - c'était la première fois qu'une des deux sœurs gagnait
un tournoi du Grand Chelem. Elle était prête à passer à un nouveau niveau. Serena a déclaré: «Je suis fatiguée de perdre contre des gens que je devrais
battre. Quel que soit mon potentiel, je veux l'atteindre - maintenant. Et si je le fais, je vois

Vénus comme ma plus grande compétition. 3

 Puis en octobre 1999, moins d'un mois après son dix-huitième anniversaire, Serena l'a finalement fait. Elle a battu sa
sœur pour la première fois, remportant la Coupe du Grand Chelem à Munich. Elle a battu Vénus plusieurs fois. En 2002,
Serena est devenue la première joueuse au monde, et en
En 2003, elle signe le plus gros contrat d'endossement jamais réalisé pour une athlète féminine: 40 millions de dollars avec Nike. Et qu'est-ce que
toute cette compétition a fait à leur relation? Ont-ils développé du mauvais sang et en sont venus à se détester? La réponse est non. Tout comme
ils l'avaient fait depuis qu'ils étaient enfants, ils sont restés les meilleurs amis. Ils ont continué à partager leur chambre en tournée. Et quand
Serena a sauté l'Open d'Australie
2004, Venus a raconté à quel point Serena lui manquait.
«La famille passe avant tout, peu importe le nombre de fois que nous nous jouons», dit Serena. «Rien ne va

viens entre moi et ma sœur. 4 Pas de renommée, pas de fortune, pas de rang professionnel. Ils ne laissent aucune situation signifier
plus que leur relation.

LE FAITES VOUS?

Vénus et Serena n'ont pas choisi d'être sœurs. La plupart d'entre nous ne choisissent pas qui est la famille. Mais nous faire
choisissez comment nous traiter notre famille. Nous choisissons si nous entretenons ou négligeons nos relations familiales. Et avouons-le: chaque
famille a quelqu'un qui entretient des relations. La façon dont nous traitons cette personne reste notre choix.

Beaucoup de gens s'attendent à ce que les relations se déroulent sans heurts. C'est vraiment très naïf. Pensez simplement à la façon dont les vœux de
mariage sont écrits. En général, ils lisent quelque chose comme ceci:
Je te prends pour ma femme mariée, pour avoir et pour tenir, à partir de ce jour, pour le meilleur ou pour le pire, pour les plus riches ou les plus
pauvres, dans la joie et le chagrin, dans la maladie et la santé, à aimer et à chérir, jusqu'à ce que la mort fasse nous séparons, et je vous
promets ici ma fidélité.
Les vœux de mariage supposent que la vie est difficile et que des situations se produiront pouvant entraîner la séparation: tristesse, pauvreté,
maladie et temps difficiles. La question est la suivante: quand les moments difficiles viendront, qu'est-ce qui sera le plus important pour nous: la
situation ou la relation?
Prenez un moment pour réfléchir à vos relations. Examinez maintenant les listes suivantes et déterminez quels mots les décrivent
le mieux:
Volatile ou stable
Tromperie ou ouverte
Égoïste ou mature
Drainant ou rafraîchissant
Non sécurisé ou sécurisé
Manipuler ou accepter
Conditionnel ou inconditionnel
Rupture ou liaison
La colonne de gauche décrit l'interaction où la relation fluctue avec la situation. La colonne de droite décrit
l'interaction où la relation est solide, quelle que soit la situation.

PRENEZ LA DÉCISION D'ABORD

Dans mon livre Aujourd'hui compte, J'affirme que les personnes qui réussissent prennent les bonnes décisions tôt et gèrent ces décisions
quotidiennement. C'est vrai en ce qui concerne les valeurs, les priorités, les finances, la foi, la santé et surtout les relations. Garder une relation solide
est une décision. Une des raisons pour lesquelles le taux de divorce est si
Le fait que de nombreuses personnes se marient sans un engagement ferme au début de la relation est de ne jamais
laisser une situation signifier plus que la relation.
Cela dit, permettez-moi de clarifier. Il y a des situations de vie ou de mort où la relation devient secondaire. Lorsqu'un partenaire
est violent, l'autre personne doit se soucier de sa sécurité. Mais la violence n'est pas impliquée dans la plupart des situations où il y a
une rupture relationnelle. Lorsque certaines personnes se trouvent dans une situation où la relation exige un travail acharné, elles
doivent faire des sacrifices personnels, ou elles ne se sentent tout simplement pas assez «heureuses», elles renflouent.

D'autres personnes violent le principe de situation par d'autres moyens. Ils ne peuvent pas abandonner la relation. Au lieu de cela, ils
restent et l'endommagent. Encore une fois, ils accordent plus d'attention à la situation qu'à la relation. J'ai été coupable de cela. En tant que
parent d'adolescents, je laisse parfois la situation devenir trop importante pour moi, et par conséquent, mon insensibilité à mes enfants met à
rude épreuve notre relation. J'ai également violé le principe de situation dans mon mariage. Je vous ai déjà raconté comment j'ai gagné des
disputes mais blessé ma femme, Margaret, pendant nos premières années de mariage. J'ai également laissé les circonstances obscurcir mon
jugement en tant que leader et, par conséquent, j'ai nui à ma relation avec certaines des personnes que je dirigeais.

Les personnes qui réussissent prennent les bonnes décisions tôt et gèrent ces décisions quotidiennement.

Chaque fois qu'une personne fait passer la situation avant la relation, cela se produit pour une raison: la perte de perspective. C'était vrai
quand j'ai commis des erreurs avec ma famille. C'était le cas en tant que leader. Ce sera le cas pour vous si vous violez le principe de situation.
Les gens sont toujours plus importants que de simples choses. Notre propriété, notre position ou notre pouvoir et notre ordre du jour sont
transitoires.

COMMENT PUIS-JE GARDER LA SITUATION DANS UNE PERSPECTIVE APPROPRIÉE?

Pour garder votre perspective et vous éviter de laisser la situation devenir plus importante que la relation, vous pouvez vous poser
plusieurs questions. Je vous suggère de commencer par ces cinq:

1. Est-ce que je vois une vue d'ensemble ou juste une mauvaise image?

Chaque fois que nous vivons une période difficile dans une relation, nous devons nous rappeler pourquoi cette relation est importante pour nous en
premier lieu. Quand un enfant rentre à la maison avec une mauvaise note, quand un conjoint oublie de faire quelque chose de vraiment important
pour nous, ou quand un bon ami nous laisse tomber, nous pouvons nous sentir en colère ou déçus. Mais qu'est-ce que c'est dans le grand schéma
des choses? Qu'échangeriez-vous pour vos enfants? Votre conjoint? Vos amis les plus proches? Rien n'est plus important.

2. Dois-je communiquer la vue d'ensemble avec la mauvaise?

Quand j'étais enfant, mes parents étaient merveilleux pour me communiquer une vue d'ensemble, alors même que je créais une mauvaise
image qui nécessitait correction et discipline. Ils pouvaient me donner une fessée ou me punir quand je le méritais, mais ils m'ont toujours dit
qu'ils m'aimaient. Et quand j'étais assez vieux pour comprendre, ils expliquaient souvent les raisons de leurs actions. Je n'ai pas toujours
apprécié cela à l'époque, mais j'ai réalisé plus tard dans la vie que cela me rendait très en sécurité dans ma relation avec eux. Grâce à leur
point de vue, je n'ai jamais perdu de vue la situation dans son ensemble, même si j'avais été mal.
3. Est-ce une situation ponctuelle ou souvent répétée?

Il y a une grande différence entre une situation qui se produit une fois et une qui se produit encore et encore. Les deux affectent la relation
et nécessitent tous deux un engagement. Cependant, un problème récurrent nécessitera l'engagement de toutes les parties impliquées pour
maintenir la relation et finalement changer la situation.
Par exemple, si un membre d'un couple marié fait une erreur ponctuelle qui lui fait du tort financièrement, il est
relativement facile de la surmonter et de maintenir la relation. Mais si une personne souffle continuellement le budget et
met le couple dans une dette de plus en plus profonde, ce n'est qu'avec un engagement des deux - pour maintenir la
relation et changer leurs actions - leur relation survivra.

4. Dois-je faire de trop de situations un problème de vie ou de mort?

Dean Smith, l'ancien entraîneur en chef de basketball de Caroline du Nord, a observé: «Si vous faites de chaque match une proposition de vie ou de
mort. . . vous serez souvent mort. En d'autres termes, nous devons choisir nos batailles.
Si vous êtes ou avez été parent d'adolescents, vous savez par expérience que cela est vrai. Si vous faites de chaque problème
quelque chose qui vaut la peine de se battre, vous vous battrez tellement contre vos enfants que vous les aliénerez.

Comment savez-vous si vous créez trop de situations de vie ou de mort? Répondez à ces questions:

À quelle fréquence êtes-vous tendu et bouleversé?

À quelle fréquence élevez-vous la voix lorsque vous parlez aux autres?
À quelle fréquence vous battez-vous pour vos droits personnels ou pour ce qui est juste?
Si ces problèmes surviennent jour après jour, votre point de vue peut être faux. Être dans un état d'agitation constant n'est pas une
façon de vivre saine, ni de développer et de maintenir des relations saines.

5. Dois-je montrer mon amour inconditionnel dans des situations difficiles?

Mon ami Tim Elmore m'a raconté l'histoire d'une fille nommée Deanna, une bonne élève du secondaire qui obtenait généralement de bonnes notes. En
tant qu'étudiante préparatoire à l'université, elle s'est inscrite à un cours de chimie et a travaillé dur. Mais pour une raison quelconque, le sujet n'a jamais
cliqué. Et pour la première fois de sa vie, elle a échoué à un cours.

Heureusement, Deanna avait un professeur encourageant. Il croyait en elle et savait que sa mauvaise performance était inhabituelle. Il
était sûr qu'elle réussirait à l'université, mais cela le dérangeait de mettre un F sur son bulletin. Alors, qu'est ce qu'il a fait? Il ne pouvait pas en
bonne conscience lui donner une note de passage. Donc, dans la marge à côté du F, il a écrit: «Nous ne pouvons pas tous être chimistes -
mais, oh, comme nous aimerions tous être Deanna.

À un moment donné, tout le monde fait face à des situations difficiles dans des relations étroites. Mais tout le monde ne gère pas bien ces
situations. Si vous parvenez à communiquer votre amour à vos proches au milieu de la douleur ou des difficultés, vous augmentez
considérablement la stabilité de la relation.
Personne dans ma vie n'a été un meilleur exemple du principe de situation que ma mère, Laura Maxwell. Elle me communiquait
un amour inconditionnel chaque jour de ma vie, et je pouvais lui parler, quoi qu'il arrive. Quand j'étais enfant, en passant par ma
phase la plus ornerie, elle disait souvent quand je partais pour l'école: «John, je veux toujours que tu fasses ce qui est juste. Mais
quoi que vous fassiez, sachez que je vous aime toujours!

J'ai toujours souhaité être plus comme ma mère. Peut-être y a-t-il quelqu'un dans votre vie que vous aimeriez plus ressembler
aussi. Prenez la décision de faire passer vos relations avant les circonstances
la vie. Si vous le faites, vous développerez une confiance plus profonde dans vos relations et elles passeront à un tout autre niveau.

QUESTIONS DE DISCUSSION SUR LE PRINCIPE DE LA SITUATION

1. Quelles pressions de la vie poussent souvent les gens à placer les relations comme une priorité plus faible qu'ils ne le devraient? Dans quelle
mesure êtes-vous enclin à laisser des pressions nuire à vos relations? Que pouvez-vous changer pour briser les schémas malsains?

2. Dans quelles circonstances une relation devient-elle légitimement moins importante que la situation? Que peut-il se passer si
l'on ne redéfinit pas les priorités dans de telles situations?
3. Avez-vous déjà connu quelqu'un qui a fait en sorte que chaque petite chose ressemble à une situation de vie ou de mort? Si oui,
quel a été le résultat? Comment était-ce d'essayer de développer une bonne relation avec lui ou elle? Est-il possible de maintenir
une relation saine avec une telle personne? Explique.
4. Pensez à une relation importante dans laquelle vous avez laissé une situation vous inciter à mal agir. Que se passa-t-il en fin de
compte? Avez-vous réussi à réparer la relation? Avez-vous présenté des excuses? Que pourriez-vous faire maintenant pour
améliorer ou restaurer cette relation?
5. Vos relations avec les membres de votre famille immédiate sont les plus importantes de votre vie. Que signifient ces relations
pour vous? (Si vous n'avez jamais exprimé ces idées et sentiments par écrit, envisagez de le faire maintenant.) Comment
pouvez-vous utiliser ces pensées pour conserver la bonne perspective la prochaine fois que vous serez confronté à une
situation difficile?
 LE PRINCIPE BOB

QUAND BOB A UN
PROBLÈME AVEC TOUT LE MONDE,
BOB EST HABITUELLEMENT

LE PROBLÈME

Tout semble infecté que l'espion infecté, Comme

tout semble jaune à l'œil jaunâtre.
- ALEXANDER POPE
LA QUESTION QUE JE DOIS ME POSER:
SUIS-JE BOB?
O Le 23 juin 1988, Billy Martin a été congédié en tant que directeur des Yankees de New York de la ligue majeure de baseball. Les gérants de baseball
perdent leur emploi tout le temps, donc cela peut ne pas sembler d'actualité. Ce qui était différent, c'est que Martin était renvoyé de son poste de
manager des Yankees pour le cinquième temps!

NEW YORK, NOUS AVONS UN PROBLÈME

Avez-vous déjà connu une personne qui avait des problèmes le suivre partout où il allait? Cela semblait être le cas avec Billy Martin. Lorsqu'il a
été appelé dans les Yankees en 1950 en tant que joueur de deuxième but, il rejoignait l'une des meilleures équipes de tous les temps. Et
Martin, seulement un frappeur de carrière .257, a tenu bon. Il a particulièrement bien performé lors des matchs des World Series et a été
nommé MVP de la série en 1953. Alors qu'il était avec les Yankees en tant que joueur (1950-57), la seule année où ils n'ont pas remporté le
fanion était
1954, l'année où Martin était dans l'armée.
Mais malgré son succès, la vie de Martin n'a jamais été facile. Le problème était qu'il semblait souvent avoir du mal à s'entendre
avec les gens. La raison pour laquelle il a quitté les Yankees après sept saisons est qu'il a été échangé à la suite d'un gros combat dans
une boîte de nuit impliquant d'autres joueurs des Yankees. Ce n'était pas son premier combat, ni le dernier.

Après que Martin ait quitté les Yankees, il a joué pour six autres équipes en quatre ans: les athlètes, les tigres, les indiens, les rouges, les
braves et les jumeaux. Il prend sa retraite en 1961 et devient entraîneur. En 1969, il devient directeur. Mais partout où il allait, des ennuis
suivaient. Il était légendaire pour les combats de poing qu'il a commencé. Le premier d'entre eux a eu lieu en 1952, mais il y en a trop pour les
énumérer. Tobias Seamon de Les nouvelles du matin résume Martin de cette façon:

Les combats et l'insobriété [de ses jours de jeu] ont continué dans la carrière de gestionnaire de Martin. En 1969, pendant son
mandat en tant que directeur des Twins du Minnesota, il a battu son lanceur vedette Dave Boswell et a été renvoyé. En 1974 avec
les Texas Rangers, il a fait sauter le secrétaire itinérant de l'équipe, âgé de 64 ans, dans une bagarre pour un club proposé pour les
épouses de l'équipe. Revenu en tant que manager des Yankees en 1977, il a emmené l'équipe à un titre mondial, mais a été, à un
moment donné, vu se battre avec Reggie Jackson dans la pirogue lors d'un match télévisé à l'échelle nationale, et a de nouveau été
relevé de son poste. En 1979 - à nouveau gérant au Minnesota - il a frappé un vendeur de guimauves.

Le début des années quatre-vingt était habituel pour Martin. Embauché, licencié et réembauché par les Yankees, Martin a bu et s'est débattu de
tous les emplois qu'il a jamais occupés. Ses équipes gagnaient presque toujours, mais le prix à payer pour vivre avec Martin était trop cher. La
star des Yankee, Ron Guidry, a déclaré à propos du manager,

«Si vous approchez bien Billy Martin, il va bien. Je l’évite complètement. 1

Martin a été continuellement expulsé des matchs et souvent suspendu pour son traitement des arbitres. Et il ne s'entendait pas non
plus avec les propriétaires des équipes qui l'employaient. (Il a demandé une fois une prolongation de contrat de cinq ans; à la place, il a
reçu un feuillet rose.) Jim Murray, chroniqueur sportif lauréat du prix Pulitzer, a déclaré à propos de Martin: «Certaines personnes ont une
puce sur l'épaule. Billy a un tout

Cour à bois." 2

Il me ressemble comme un bob

Billy Martin est l'exemple parfait de ce que j'appelle le principe de Bob. C'est une vérité relationnelle que j'ai découverte il y a des années: si Bob
a des problèmes avec Bill, et Bob a des problèmes avec Fred, et Bob a des problèmes avec Sue, et Bob a des problèmes avec Jane, et Bob a
des problèmes avec Sam, alors Bob est généralement le problème .
 Billy Martin semblait avoir des problèmes avec presque tout le monde. Il a été impliqué dans plus de combats que certains
boxeurs professionnels! Pourtant, il n'a jamais indiqué qu'il voyait un problème dans sa conduite. Martin a dit: «Je crois que si
Dieu avait jamais réussi, il aurait été très agressif, le

façon dont je gère. 3 Et pourquoi pensait-il avoir été renvoyé de tant d'équipes? Il a expliqué: «Je me fais virer

parce que je ne suis pas un yes-man. Le monde plein de yes-men. 4

Tous les Bob ne se battent pas comme Billy Martin. (Tous les Bob ne sont pas non plus renvoyés cinq fois du même travail!) Là où
quelqu'un qui enfreint le principe du miroir peut être incapable de construire de bonnes relations, un Bob prend les choses à un tout
autre niveau. Il ne cause pas seulement des problèmes pour lui-même. Il cause des problèmes à tous ceux avec qui il entre en contact.
Alors, comment connaissez-vous un Bob quand vous le voyez? Recherchez les quatre caractéristiques suivantes:

1. Bob est un porteur de problème

Les Bobs du monde transportent des problèmes, et ces problèmes affectent les autres. Je n'ai pris conscience de cette vérité que quelques
années après le début de ma carrière professionnelle. Lors d'une réunion mensuelle du conseil, un membre du conseil évoquait un problème,
disant qu'un membre de la congrégation avait un problème avec quelque chose que je faisais. Immédiatement, trois ou quatre autres membres
du conseil ont dit qu'ils avaient entendu les mêmes types de plaintes. Ma première pensée a été d'examiner mes actions. Après avoir réfléchi,
je croyais toujours que ce que je faisais était juste, mais si tant de gens avaient des problèmes avec cela, je me demandais si je devais y
réfléchir davantage.

Après que ce genre de chose se soit produit plusieurs fois, j'ai pris une décision. J'ai parlé aux membres du conseil et nous étions tous
d'accord: si un membre du conseil entendait une plainte, il devait divulguer qui l'avait déposée.

La prochaine fois que nous nous sommes rencontrés, l'un des membres du conseil a soulevé une plainte qu'il avait entendue. Plusieurs autres
membres du conseil ont confirmé qu'ils l'avaient également entendu. Lorsque le premier membre du conseil a révélé le nom de la personne qui s'est
plainte, les autres ont dit: «C'est la même personne qui s'est plainte à moi.»

J'avais l'impression d'être dans la même situation que le vieux fermier qui s'est rendu chez un restaurateur pour savoir s'il voulait acheter un
million de cuisses de grenouilles. Quand le propriétaire a demandé où il pouvait trouver autant de grenouilles, le fermier a répondu: «J'ai un étang à la
maison juste plein de ces grenouilles. Ils me rendent folle jour et nuit. Après avoir conclu un accord pour plusieurs centaines de cuisses de grenouilles,
le fermier est revenu une semaine plus tard avec deux ensembles maigres de cuisses de grenouilles et un air idiot sur le visage. «Je suppose que
j'avais tort,» balbutia-t-il. «Il n'y avait que deux grenouilles dans l'étang, mais elles faisaient vraiment beaucoup de bruit!»

Cette nuit-là, j'ai appris quelque chose. Non seulement j'ai découvert que nous avions une personne très bruyante, mais j'ai découvert que
les porteurs de problème répandaient leur poison partout. Et devine quoi? Les prochaines fois, un commentaire négatif a été soulevé lors d'une
réunion, nous avons découvert que c'était à nouveau le même plaignant. Si vous êtes un leader et que quelqu'un vous dit qu'il y a «beaucoup de
plaintes», cherchez la source. Il se peut que ce soit une personne qui se plaint beaucoup.

2. Bob est un chercheur de problèmes

Bob aime aussi trouver des problèmes et les exposer aux autres. Il souscrit à la deuxième loi de Chisholm, qui dit: «Chaque fois que
les choses semblent aller mieux, vous avez oublié quelque chose.»
Parce que certaines personnes ont cette tendance, j'ai élaboré une règle pour les membres du personnel. Quiconque m'apporte un problème doit
également apporter trois solutions possibles pour le résoudre. Il ne faut pas beaucoup de talent pour voir un problème. En fait, si vous regardez assez
attentivement, les gens peuvent trouver un problème dans chaque situation. Il faut plus de talent pour résoudre les problèmes. La plupart des Bobs n'ont
aucun intérêt à faire ça.
3. Bob est un créateur de problèmes

Bob crée toujours des problèmes, et il implique généralement les autres dans ce qu'il fait. Il est comme le gars dans la blague ringard qui
se vante auprès de certains amis: «Oui, il y a une fière tradition de combat dans ma famille! Mon arrière-arrière-grand-père a tenu bon à
Bunker Hill. Mon arrière-grand-père s'est vaillamment joint aux troupes pour détruire les Allemands. Mon grand-père était à Pearl Harbor.
Et mon père a combattu les Nord-Coréens. 'Pitié!' fit remarquer l'un de ses amis. "Votre famille ne peut-elle pas s'entendre avec qui que
ce soit?"

J'apprends aux membres de mon organisation qu'ils ont deux choix chaque fois qu'ils rencontrent Bob ou toute autre personne qui crée un
problème. Chaque démarreur de problème est comme un allume-feu. Et chacun de nous est comme une personne portant deux seaux. L'un est
rempli d'eau et l'autre d'essence. Lorsque nous voyons l'étincelle d'un feu problématique s'allumer, nous pouvons choisir de l'éteindre avec de l'eau et
de l'éteindre. Ou nous pouvons jeter de l'essence dessus et aggraver les choses. Si nous voulons contrôler l'ampleur des dégâts que Bob peut faire,
nous devons utiliser l'eau.

"Chaque fois que les choses semblent aller mieux, vous avez oublié quelque chose."
- DEUXIÈME LOI DE CHISHOLM

4. Bob est un récepteur de problèmes

Bob est généralement un destinataire des problèmes des autres, et il encourage les gens à lui apporter plus. Et bien sûr, parfois la
personne est un Bobbie au lieu d'un Bob. Je connais une femme dans une organisation il y a des années; Je l'appellerai «Betty». Après
avoir éteint un tas d'incendies, son superviseur a constaté que chaque problème était lié d'une manière ou d'une autre à Betty. Il l'a
appelée dans son bureau pour avoir une conversation. Il a raconté ce qu'il avait trouvé, elle a admis sa participation et ils en ont parlé.

«Les gens m'apportent leurs problèmes tout le temps», dit-elle. «Je ne les demande pas; ils le font simplement. "Voulez-vous savoir
pourquoi?" Il a demandé.
"Pourquoi, oui," répondit Betty, "je le ferais."
«Les gens vous voient comme un dépotoir», a-t-il répondu. «Les camions à ordures amènent leurs charges de déchets dans un endroit qui accepte les
ordures. Et les gens qui ont des problèmes prennent leurs reproches, potins et grognements à quelqu'un qui l'acceptera. Parce que vous autorisez les gens à
se jeter sur vous et à ne faire aucun effort pour les arrêter, ils continuent de déverser. Et ils ne s'arrêteront pas tant que vous ne leur aurez pas fait savoir
qu'ils ne sont pas les bienvenus. Je suis désolé de dire que j'ai entendu dire que Betty n'avait pas changé. Elle a continué à laisser les gens remonter à son
bureau et à jeter leurs déchets émotionnels sur ses genoux.

QU'EN EST-IL DE BOB?

Alors, que faites-vous si vous avez un Bob ou un Bobbie dans votre vie, quelqu'un qui trouve, crée et propage des problèmes? Considérez
ces suggestions:

Répondez avec un commentaire positif

Quand une personne négative essaie de laisser tomber un problème sur vos genoux, répondez avec quelque chose de positif. Si le commentaire concerne
une situation, essayez de trouver le bon côté. S'il s'agit d'une personne, indiquez un signe positif
trait que vous avez observé.

Montrez votre inquiétude à l'égard d'une personne critiquée

Chaque fois que les motivations d'une personne sont critiquées, le mieux est de lui donner le bénéfice du doute. Personne ne doit prétendre
connaître le cœur d'une autre personne. C'est quelque chose que seul Dieu peut juger. Croyez le meilleur des autres (et exprimez cette
conviction) à moins que les individus ne vous prouvent le contraire personnellement.

Encouragez les étapes vers la résolution

Chaque fois que quelqu'un vous apporte un problème qu'il a avec une autre personne - et qu'il n'a pas personnellement abordé le problème avec
l'autre personne - il se livre vraiment à des commérages. Et si vous écoutez, vous l'êtes aussi.

La meilleure façon de gérer les ragots est de demander au plaignant de parler à la personne avec laquelle il a un problème. Encouragez-le
à se rencontrer en tête-à-tête et à trouver une solution. Et s'il soulève à nouveau la question, demandez-lui carrément: «Avez-vous déjà abordé
cette question avec lui?» Si la réponse est non, refusez d'en discuter.

Demandez à Bob de PENSER avant de parler

Tout le monde ne répondra pas positivement à vos suggestions. Mais si vous avez un lien fort avec Bob ou que vous êtes en
position d'autorité avec lui, demandez-lui de PENSER avant de parler en utilisant cet acronyme:

T Est-ce vrai?
H Est-ce utile? Est-ce
inspirant? N Est-ce
nécessaire? K Est-ce
gentil?
S'il peut répondre par l'affirmative à toutes ces questions, il convient qu'il continue.

Éloignez Bob des autres

L'ancien directeur de baseball des ligues majeures, Casey Stengel, avait de bons conseils sur la façon de gérer les personnes à
problèmes. Il a dit que dans la plupart des équipes, un entraîneur aura quinze joueurs qui traverseront un mur pour lui, cinq qui le
détestent et cinq qui sont indécis. Il croyait que le truc était de garder les cinq qui le haïssaient loin des cinq qui sont indécis.

Si vous supervisez un ou plusieurs Bobs - et que vous ne pouvez pas ou ne voulez pas les supprimer de votre équipe - contrôlez les dégâts en
les isolant. Ne laissez pas leur négativisme se propager.

ET SI VOUS ÊTES BOB?

J'ai beaucoup dit sur ce qu'il faut faire si vous avez un Bob dans votre vie, mais que faire si toi sont Bob? Si vous n'êtes pas sûr, posez-vous ces
questions:
Est-ce que je rencontre une sorte de conflit presque tous les jours? Les gens me
frottent-ils souvent dans le mauvais sens?
Est-ce que de mauvaises choses m'arrivent naturellement? Ai-je
peu d'amis et souhaiterais-je en avoir plus? Ai-je toujours l'air de
dire la mauvaise chose?
Si vous avez répondu oui à plusieurs de ces questions, vous pourriez être Bob (ou Bobbie). Si c'est vrai, souvenez-vous de la première règle des
trous. Lorsque vous êtes en un seul, arrêtez de creuser.
La première chose à faire est d'admettre que vous êtes Bob. La seconde est que vous devez vouloir pour changer votre style de vie. Vous
ne pouvez pas être comme Mme Mohler, qui était jugée pour le meurtre de son troisième mari. Un avocat a demandé: «Qu'est-il arrivé à votre
premier mari?»
«Il est mort d'un empoisonnement aux champignons», a déclaré Mme Mohler. «Et votre
deuxième mari?» a demandé l'avocat. «Il est également mort d'une intoxication aux
champignons», a déclaré Mme Mohler.
«Eh bien, alors,» a demandé l'avocat, «qu'en est-il de votre troisième mari?» Mme Mohler a
répondu: "Il est mort d'une commotion cérébrale." L'avocat a demandé: «Comment est-ce
arrivé?»
Mme Mohler a répondu: "Il ne mangerait pas les champignons."
Changer ne sera pas forcément facile. Et il n'y a pas de solution miracle. Neil Anderson, auteur de
Victoire sur les ténèbres, dit,
Des études ont montré que, dans la maison moyenne, pour chaque déclaration positive, un enfant reçoit 10 déclarations
négatives. L'environnement scolaire n'est que légèrement meilleur; les élèves entendent sept déclarations négatives de leurs
enseignants pour chaque déclaration positive. Pas étonnant que tant d'enfants grandissent en se sentant perdants. Les parents
et les enseignants transmettent cette perception chaque jour dans la façon dont ils parlent à leurs enfants. Ces études indiquent
ensuite qu'il

prend quatre déclarations positives pour nier l'effet d'une déclaration négative. 5
Commencez par suivre les directives que j'ai déjà données. Utilisez les questions PENSEZ avant de parler. Essayez de voir le positif dans
chaque situation. Et demandez aux gens de vous tenir responsable de votre attitude et de vos actions. Personne ne doit être un Bob pour toujours.

QUESTIONS DE DISCUSSION SUR LE PRINCIPE BOB

1. Pourquoi les potins sont-ils si attrayants pour beaucoup de gens? Comment pouvez-vous savoir si quelque chose que l'on vous dit est du
commérage? Que pouvez-vous faire pour empêcher quelqu'un de vous bavarder?
2. Pensez à la dernière fois que vous avez été confronté à un problème lié aux personnes. Comment y avez-vous réagi? Le
problème s'est-il arrêté là ou a-t-il continué à se consumer? Diriez-vous que votre réponse a mis l'eau ou l'essence sur le
«feu»? Pourquoi? Comment auriez-vous pu mieux répondre?

3. Est-ce que chaque personne qui vous pose un problème sans proposer de solution est automatiquement un Bob ou un Bobbie? À quelle
fréquence ce problème est-il une attitude? À quelle fréquence est-ce lié à la formation? Lorsque vous avez correctement formé des
personnes pour rechercher des solutions et qu'une personne insiste pour signaler les problèmes sans proposer de solutions, que devez-vous
faire? Que se passera-t-il si vous ignorez le comportement?

4. Dans le passé, comment avez-vous géré le problème lorsqu'un ami ou un collègue est venu vous dire que quelqu'un d'autre
avait un problème avec quelque chose que vous avez fait? Le résultat était-il positif ou négatif? Qu'est-il arrivé aux
relations? Comment le géreriez-vous à l'avenir?
5. Trouvez-vous difficile ou facile d'accorder aux gens le bénéfice du doute, en supposant que leurs motivations sont bonnes?
Pourquoi? Qu'est-ce qui est pire: accuser une bonne personne de mauvais motifs ou supposer qu'une mauvaise personne a de
bons motifs? Comment votre attitude dans ce domaine affecte-t-elle vos relations? Comment allez-vous vous conduire à l'avenir et
pourquoi?
 L'APPROCHABILITÉ
PRINCIPE

ÊTRE À LA FACILITÉ
NOUS-MÊME AIDE LES AUTRES
SOYEZ FACILE AVEC NOUS

Nous ne pouvons pas faire de plus grand

cadeau aux autres que de les mettre à l'aise.
LA QUESTION QUE JE DOIS ME POSER: MES AMIS
DIRONT-ILS QUE JE SUIS FACILE À APPROCHER DES
PROBLÈMES DIFFICILES?
H avez-vous déjà rencontré quelqu'un de célèbre? Comment était-ce? Était-ce excitant ou s'est-il avéré étonnamment ordinaire?
Avez-vous été déçu ou était-ce encore mieux que ce à quoi vous vous attendiez? Vous êtes-vous connecté avec la personne ou
avez-vous été traité comme une nuisance? Ou étiez-vous tellement intimidé que vous ne pouviez même pas essayer de parler à la
personne? La qualité de toute première rencontre - que les gens soient célèbres ou non - dépend en grande partie de leur accessibilité.

Nous avons tous rencontré des personnes qui semblaient froides et rébarbatives. Et nous avons tous rencontré des gens qui nous traitent comme de
vieux amis dès le premier jour. Ce n'est pas un problème avec seulement des personnes de haut niveau. Dans quelle mesure les personnes les plus
importantes de votre vie sont-elles accessibles? Lorsque vous avez besoin de poser une question à votre patron, est-ce facile ou difficile? Lorsque vous avez
besoin de parler à votre conjoint d'un sujet difficile, vous attendez-vous à un dialogue ou à une bagarre? Pouvez-vous évoquer un problème délicat avec
votre ami le plus proche sans vous soucier d'être expulsé de l'eau?

D'ailleurs, qu'en est-il de vous? Les personnes les plus proches de vous peuvent-elles vous parler de presque tout? À quand remonte la dernière fois
que quelqu'un vous a apporté de mauvaises nouvelles? Ou fortement en désaccord avec votre point de vue sur une question? Ou vous a confronté à propos
de quelque chose que vous avez mal fait? Si cela fait un moment, vous n'êtes peut-être pas une personne très accessible.

Certaines personnes considèrent l'idée de devenir accessible comme frivole; c'est une bonne chose si l'on peut se donner la peine de le
cultiver. Mais vraiment, c'est bien plus que ça. C'est un atout puissant à avoir dans sa boîte à outils relationnelle. Voici l'histoire de quelqu'un qui a
fait de cette qualité un atout de 12 millions de dollars par an!

QUI NE POUVAIT PAS PARLER AVEC ELLE?

Oprah Winfrey appelle cette personne son idole et son mentor. Pendant des décennies, elle a été la personnalité de l'information la
mieux payée à la télévision, faisant plus que Peter Jennings, Dan Rather, Tom Brokaw ou n'importe qui d'autre. Elle a reçu de
nombreux Emmys, un prix Peabody, le prix du président du Overseas Press Club, le prix du diffuseur de l'année de la Société
internationale de radio et de télévision, le prix pour l'ensemble de ses réalisations de l'Academy of Television Arts and Sciences, de
nombreux diplômes honorifiques et son intronisation à l'Académie de Télévision Arts and Sciences Hall of Fame. Ses promotions
durent plus de vingt années consécutives. En 1999, elle a mené le premier entretien avec

Monica Lewinsky, qui est devenue le magazine d'actualités le mieux noté en plus d'une décennie. 1 Elle est Barbara Walters. Et
pourquoi est-elle payée beaucoup d'argent? Car n'importe qui peut lui parler à peu près n'importe quoi. Elle est la journaliste la plus
accessible d'Amérique.

DÉBUT DE L'OBSCURE

Quand Walters a commencé sa carrière, peu de gens auraient deviné son avenir. Walters elle-même a déclaré: «J'étais le genre que
personne ne pensait pouvoir y arriver. J'avais un drôle d'accent de Boston. Je ne pourrais pas

prononcer mes Rs. Je n'étais pas une beauté. 2 Après avoir obtenu un diplôme en anglais du Sarah Lawrence College, elle est allée travailler pour
aider sa famille en difficulté financière. Elle a d'abord travaillé comme secrétaire puis comme écrivain sur Jack Parr et Le spectacle de Dick Van Dyke. Puis
en 1961, elle a eu la chance d'écrire et de faire des recherches pour le Spectacle d'aujourd'hui. Trois ans plus tard, elle a commencé à travailler
devant les caméras sous le nom de «Today girl».

Au cours des treize années suivantes, Walters a construit sa crédibilité en tant que journaliste. Elle était l'une des rares journalistes invitées
à faire le voyage historique en Chine avec le président Nixon en 1972. Et en 1976, elle est devenue la première femme coancheuse d'un
programme d'information du soir sur le réseau. Mais sa plus grande reconnaissance est venue en tant qu'intervieweuse. En fait, Walters a écrit
un livre intitulé Comment parler à pratiquement n'importe qui de pratiquement n'importe quoi.
 Walters a interviewé plus d'hommes d'État et de stars que tout autre journaliste de télévision de l'histoire. Elle a interviewé chaque
président depuis Nixon. Elle a remporté la première interview conjointe du président égyptien Anwar Sadat et du premier ministre
israélien Menahem Begin. Elle a interviewé des dirigeants étrangers tels que Jiang Zemin, Boris Eltsine et Margaret Thatcher et des
personnalités telles que Yasser Arafat, Saddam Hussein, Mouammar Kadhafi et Fidel Castro. Et elle a parlé avec à peu près n'importe
quelle star de cinéma ou de télévision qu'elle voulait.

Bill Geddie, le producteur de ses émissions spéciales télévisées, observe: «Elle a mûri au fil des ans pour amener
les gens à dire des choses en direct qu'ils n'auraient jamais pensé
dire." 3 Walters dit que ses entretiens préférés sont avec des personnes confrontées à une grande adversité, comme Steven McDonald, un policier
paralysé; Dave Dravecky, un lanceur de baseball diagnostiqué avec un cancer; et Christopher Reeve, un acteur maintenant tétraplégique. On dit
que sa compétence en tant qu'intervieweuse vient de l'empathie et de la compassion qu'elle a développées en prenant soin de sa sœur
handicapée, Jacqueline. Ces qualités aident sans aucun doute, mais ce qui se résume vraiment à la confiance. Les gens font confiance à Walters,
alors ils lui parlent.

NE MANQUEZ PAS

Les gens ratent de nombreuses opportunités de connexion et la chance de construire des relations plus profondes parce qu'ils ne se
rendent pas accessibles. Et remarquez que j'utilise délibérément l'expression «se faire eux-mêmes». L'approche n'a pas grand-chose à
voir avec l'audace ou la timidité des autres. Cela a tout à voir avec la façon dont vous vous conduisez et les messages que vous
envoyez aux autres.
Il y a des années, j'ai vu une pièce intitulée «L'art de s'entendre», qui disait:
Tôt ou tard, un homme, s'il est sage, découvre que la vie est un mélange de bons et de mauvais jours, de victoire et de défaite, de donner et de
recevoir. Il apprend que cela ne paie pas d'être une âme trop sensible, qu'il devrait laisser certaines choses passer au-dessus de sa tête comme
de l'eau sur le dos d'un canard. Il apprend que celui qui perd son sang-froid perd généralement, que tous les hommes ont brûlé du pain grillé
pour le petit déjeuner de temps en temps, et qu'il ne devrait pas prendre le grognon de l'autre trop au sérieux.

Il apprend que porter une puce sur son épaule est le moyen le plus simple d'avoir des ennuis, que le moyen le plus rapide de
devenir impopulaire est de raconter des ragots sur les autres, que le Buck-Passing s'avère toujours être un boomerang, que ce
n'est pas le cas. Peu importe qui obtient le crédit tant que le travail est fait.

Il apprend que la plupart des autres sont aussi ambitieux que lui, qu'ils ont un cerveau aussi bon ou meilleur, que le travail acharné, et non
l'intelligence, est le secret du succès. Il apprend qu'aucun homme ne parvient jamais seul à la première base et que ce n'est que grâce à un effort
de coopération que nous passons à de meilleures choses.
Il se rend compte (en bref) que «l'art de s'entendre» dépend à environ 98% de lui-même

comportement envers les autres. 4

Si vous voulez vous rendre agréable et accessible aux autres, vous devez les mettre à l'aise. Voici comment.

COMMENT METTRE LES GENS À LA FACILITÉ

Pensez à toutes les personnes accessibles que vous avez rencontrées et je crois que vous constaterez qu'elles présentent généralement les sept
caractéristiques suivantes:

1. Chaleur personnelle - Ils aiment vraiment les gens

Vous pouvez toujours dire quand quelqu'un n'aime pas les gens. À l'inverse, vous pouvez le ressentir lorsque les individus se soucient réellement des
autres. Ils sont chaleureux et gentils. Et comme le disait Christian Bovee, «La gentillesse est une langue que le muet peut parler et que le sourd peut
entendre et comprendre.»
Il y a un vieux Cacahuètes bande dessinée dans laquelle Charlie Brown dit: «J'aime l'humanité, ce sont juste des gens que je ne supporte pas.» Pour
être accessible, il ne suffit pas d'aimer les gens en théorie. Vous devez générer une chaleur personnelle envers les personnes que vous rencontrez.

2. Appréciation des différences humaines

Je dois admettre qu'il y a eu une période de ma vie où j'avais peu de patience pour les gens qui étaient très différents de moi.
J'avais tendance à mépriser les gens qui n'avaient pas mes forces. Puis j'ai lu

Personnalité Plus par Florence Littauer. 5 Ce livre m'a vraiment ouvert les yeux. Ma femme, Margaret, et moi l'avons lu en même
temps, et nous avons ri en lisant les faiblesses de l'autre et en célébrant les forces de l'autre. En lisant sur chaque type de
personnalité défini dans le livre - mélancolique, colérique, sanguin et flegmatique - nous avons reconnu des amis, des membres de
la famille et nous-mêmes.

«La gentillesse est une langue que les muets peuvent parler et que les sourds peuvent entendre et comprendre.»
- CHRISTIAN BOVEE

J'ai regardé les gens différemment après cela, et j'ai finalement compris que différent était bien. J'en suis venu à apprécier les gens pour
ce qu'ils étaient et ce qu'ils avaient à offrir. J'avais une meilleure compréhension de mes faiblesses et de la façon dont les gens peuvent se
compléter et s'entraider. Non seulement cela m'a fait aimer davantage les gens, mais cela m'a rendu plus sympathique. Apprécier les
différences des autres peut faire de même pour vous.

3. Cohérence de l'humeur

Avez-vous déjà travaillé avec ou pour quelqu'un dont l'humeur était tout le temps de haut en bas, et les gens se rendaient chaque matin au bureau
sur la pointe des pieds et chuchotaient à un collègue: «Comment va-t-il aujourd'hui?» Avec ce genre de personnes, vous ne savez jamais ce que
vous allez obtenir. Et par conséquent, ce genre de personnes n'est jamais accessible.

En revanche, les personnes accessibles affichent une cohérence d'humeur. Ils sont uniformes et prévisibles. Vous savez ce que vous
allez obtenir parce qu'ils sont fondamentalement les mêmes chaque fois que vous les voyez.

4. Sensibilité aux sentiments des gens

Bien que les personnes accessibles soient stables sur le plan émotionnel, cela ne signifie pas qu'elles s'attendent à ce que les
autres le soient. Ils reconnaissent que l'humeur des autres va être différente de la leur. Par conséquent, ils s'accordent aux
humeurs et aux sentiments des autres, et ils ajustent rapidement leurs relations avec les autres. Ils sont comme le capitaine d'un
voilier qui teste le vent et ajuste les voiles en fonction des conditions actuelles pour arriver là où il veut aller.
 Le romancier irlandais George Moore a reconnu que «nos idées sont ici aujourd'hui et disparaissent demain, alors que nos sentiments sont
toujours avec nous, et nous reconnaissons ceux qui se sentent comme nous, et à la fois, par une sorte d'instinct. Lorsque les gens sentent qu'une
autre personne est sur leur longueur d'onde, ils sont plus susceptibles de s'ouvrir à lui parce qu'il semble accessible.

5. Compréhension des faiblesses humaines et de leur propre exposition

Rien n'est aussi rebutant que quelqu'un qui essaie de continuer à prétendre être parfait. Je me souviens d'une fois lors d'une conférence
que j'enseignais, j'ai exhorté les dirigeants présents à admettre leurs faiblesses à ceux qui travaillent avec eux. Pendant la pause, un
homme s'est approché de moi pour me dire qu'il ne pensait pas que ma suggestion était une bonne idée.

«Est-ce que cela ne rendra pas mon peuple incertain de moi?» Il a demandé.
"Non, ce ne sera pas le cas," répondis-je. "Vous voyez, vous opérez sous l'hypothèse qu'ils ne le savent pas déjà."

Le romancier et éditeur Ed Howe a judicieusement conseillé: «Exprimez une mauvaise opinion de vous-même de temps en temps; cela
montrera à vos amis que vous savez dire la vérité. " Les personnes accessibles sont honnêtes quant à leurs capacités et leurs lacunes. Ils
veulent qu'on leur dise non pas ce qu'ils veulent entendre, mais ce qu'ils ont besoin d'entendre. Et ils sont capables de rire d'eux-mêmes. Ils
embrassent ce vieux proverbe chinois: «Heureux ceux qui peuvent rire d'eux-mêmes. Ils ne cesseront jamais de s'amuser. Et parce qu'ils
peuvent admettre leurs défauts, ils n'ont pas de problème à permettre à d'autres personnes d'avoir leurs propres défauts.

Les personnes accessibles sont honnêtes quant à leurs capacités et leurs lacunes. Ils sont prêts à être
dit non pas ce qu'ils veulent entendre mais ce qu'ils ont besoin d'entendre.

6. Capacité de pardonner facilement et demander rapidement pardon

Une compréhension des faiblesses humaines et une volonté de révéler les leurs rendent les gens accessibles humbles. Et parce
qu'ils sont humbles, ils demandent rapidement pardon et l'accordent facilement aux autres.

L'auteur et enseignant David Augsburger a écrit: «Puisque rien de ce que nous entendons n'est jamais irréprochable, et rien que nous n'essayons
jamais sans erreur, et rien que nous accomplissons sans une certaine mesure de finitude et

faillibilité que nous appelons humanité, nous sommes sauvés par le pardon. 6

7. Authenticité

Une chose que Barbara Walters avait l'habitude de se réciter chaque fois qu'elle se sentait mal à l'aise ou en insécurité est une déclaration
que lui a dite Mme Eugene McCarthy: «Je suis comme je suis; Je regarde comme je

Regardez; J'ai mon âge. » sept

Les personnes accessibles sont réelles. Ils sont ce qu'ils sont. En conséquence, ils s'engagent avec les autres à un niveau réel. Ils ne
prétendent pas être quelqu'un qu'ils ne sont pas. Ils ne font pas tout leur possible pour cacher ce qu'ils pensent et ressentent. Et ils n'ont pas
d'agenda caché. Ils disent ce qu'ils veulent dire et pensent ce qu'ils disent. Vous n'avez pas à vous soucier de votre position avec eux.
 L'une des raisons pour lesquelles ils peuvent être authentiques est qu'ils sont en sécurité avec eux-mêmes. Les personnes en sécurité ne se
sentent pas obligées de toujours gagner et n'ont rien à prouver. La sécurité est le plus désarmant de tous les traits. Les personnes accessibles
sont à l'aise avec elles-mêmes et cela met les autres à l'aise.
Je dois dire une dernière chose sur l'accessibilité. C'est la responsabilité de celui qui détient l'autorité! Barbara Walters est la
personne en autorité lorsqu'elle fait des interviews, elle prend donc sur elle d'être accessible. Les patrons doivent assumer la
responsabilité d'être accessibles à leurs employés. Les parents doivent se rendre accessibles à leurs enfants. Et les conjoints
doivent être accessibles les uns aux autres.

Quand j'ai commencé à réussir en tant que pasteur et à recevoir une reconnaissance nationale puis nationale pour mon travail, j'ai
découvert que certaines personnes étaient intimidées par moi. Je pense que la raison principale était ma confiance. Je ne voulais
certainement pas décourager les gens ou les rendre réticents à me parler. J'ai donc travaillé à me rendre plus accessible. J'ai commencé à
apprendre à «marcher lentement à travers la foule», ce qui signifie que chaque fois que je suis parmi les gens, j'essaie de prendre mon
temps pour parler aux gens, me connecter avec eux, être sensible à leurs sentiments, besoins et désirs.

Mon effort a été largement récompensé. J'ai expérimenté la gentillesse des gens, rencontré de nombreux nouveaux amis et
développé de nombreuses relations enrichissantes. Et j'ai pu être moi-même en même temps. Je le recommande fortement.

QUESTIONS DE DISCUSSION SUR LE PRINCIPE D'APPROCHABILITÉ

1. Êtes-vous à l'aise avec vous-même? Êtes-vous fondamentalement en sécurité ou non? Avez-vous confiance en vos capacités ou
avez-vous beaucoup de doute sur vous-même? Vous sentez-vous bien dans votre peau ou souhaitez-vous être plus comme
quelqu'un d'autre? Explique.
2. Êtes-vous d'accord ou en désaccord sur le fait que la personne qui a l'autorité a la responsabilité de mettre les autres à l'aise? Explique.
Que se passe-t-il lorsque la personne la plus faible doit essayer de se connecter avec une personne faisant autorité qui n'est pas
intéressée par la connexion?
3. Comment savoir si quelqu'un a un agenda caché? Quelles sortes de choses se produisent lorsque cet agenda est
révélé? La possibilité d'avoir à faire face à un agenda caché vous rend-elle réticente à être ouverte et accessible?

4. Pensez à une personne de mauvaise humeur avec laquelle vous avez dû faire face dans le passé. Quel genre d'impact les humeurs de cette
personne ont-elles eu sur vous? Comment cela a-t-il affecté la relation? Quand êtes-vous sujet aux sautes d'humeur? Que pouvez-vous faire
pour que vos humeurs fluctuent moins?
5. Beaucoup de gens qui ne sont pas accessibles n'ont aucune idée que les autres les trouvent intimidants ou distants. Faites une enquête à
360 degrés sur votre accessibilité. Découvrez si vos patrons, vos employés, vos collègues et les membres de votre famille vous trouvent
facile de parler. Demandez-leur de vous dire la dernière fois qu'ils vous ont entendu donner une évaluation honnête de vous-même.
Demandez-leur de partager une de vos faiblesses avec vous et voyez comment vous réagissez. Votre réponse en révélera beaucoup.
 LE PRINCIPE DE FOXHOLE

LORS DE LA PRÉPARATION

POUR LE COMBAT, CRÉEZ UN TROU

GRAND ASSEZ POUR UN AMI

Dans la pauvreté et les autres malheurs de la vie,

les vrais amis sont un refuge sûr. Les jeunes, ils gardent à l'écart des méfaits; pour les
vieux, ils sont un réconfort et une aide dans leur faiblesse,
et ceux dans la fleur de l'âge, ils incitent à de nobles actions.
- ARISTOTE
LA QUESTION QUE JE DOIS ME POSER:
Je suis un ami que les autres
DÉPENDRE PENDANT LES TEMPS DIFFICILES?
UNE Il y a quelques années, j'ai entendu le pasteur et le chancelier du séminaire théologique de Dallas, Chuck Swindoll, dire que dans les Marines
américains, on lui avait appris à creuser un trou de fox assez grand pour un ami. Ce commentaire m'a marqué parce que je pensais que c'était une
excellente idée.
Si vous regardez un manuel de formation d'infanterie, vous constaterez qu'il existe plusieurs types de foxholes (ou «trous de combat»
comme les marines les appellent maintenant). Un soldat peut se retrouver dans une «position de combat hâtive», où il se précipite
simplement pour se mettre à l'abri sans avoir le temps de se préparer. Ou s'il a le temps, il peut creuser dans une position pour lui seul.
Cependant, les experts conseillent qu'une «position de combat à un seul soldat. . . n'a pas la sécurité d'un poste de deux soldats. On dit
que le meilleur est un arrangement où trois personnes peuvent se battre ensemble. le Manuel de terrain de l'armée souligne son efficacité:
«Un soldat peut assurer la sécurité; on peut faire un travail prioritaire; et on peut se reposer, manger ou faire de l'entretien. Cela permet
d'accomplir la priorité du travail plus rapidement que dans un poste à un ou deux soldats. Il ajoute également succinctement: «Il est plus
difficile pour l'ennemi de détruire ce type

position. Pour ce faire, l'ennemi doit tuer ou réprimer trois soldats. » 1

Le pouvoir des gens de rester ensemble est vanté depuis des milliers d'années. Salomon de l'ancien Israël a écrit:

Deux valent mieux qu'un,

Parce qu'ils ont une bonne récompense pour leur travail. Car s'ils
tombent, on élèvera son compagnon. Mais malheur à celui qui est
seul quand il tombe, car il n'a personne pour l'aider à se relever.

Encore une fois, si deux se couchent ensemble, ils resteront au chaud; Mais
comment avoir chaud seul?
Bien que l'un puisse être maîtrisé par un autre, deux peuvent lui
résister.

Et un cordon triple ne se brise pas rapidement. 2

Contrairement à Chuck Swindoll, je n'ai jamais servi dans l'armée. Mais il n'est pas nécessaire d'être soldat pour apprécier les avantages
d'avoir de bons amis pendant les périodes difficiles. Cela a de la valeur non seulement dans l'armée, mais aussi à la maison ou au travail.
C'est indispensable même dans le monde high-tech d'Internet. Un bon exemple peut être vu dans l'histoire de la société Yahoo!

AU PREMIER JUSTE DEUX HOMMES DANS LE «FOXHOLE»

Yahoo! a commencé en février 1994 comme le passe-temps de deux étudiants diplômés de Stanford: Jerry Yang et David Filo. Les
deux étudiants en génie électrique ont créé un annuaire pour suivre leurs sites Internet préférés. Avant longtemps, ils ont commencé
à le partager avec d'autres. Au début, il s'appelait «Guide de Jerry sur le World Wide Web». Mais quand Yang a pensé que «David
faisait tout le travail et j'étais

obtenant tout le mérite », il a changé le nom en« Guide de David et Jerry sur le World Wide Web ». 3
Reconnaissant plus tard qu'ils avaient besoin de quelque chose de moins encombrant, ils l'ont simplement appelé Yahoo!
Au début, ils offraient deux services de base: un annuaire de sites Web (semblable à la table des matières d'un livre) et un moteur de
recherche Internet (semblable à un index). Grâce à Yahoo !, les gens étaient enfin mieux à même de trouver des informations spécifiques
sur Internet. À l'automne 1994, plus de 100 000 personnes utilisaient leur service.

Yang et Filo connaissaient une opportunité lorsqu'ils en ont vu une. Ils ont incorporé Yahoo! en mars 1995 et a rapidement obtenu
2 millions de dollars de Sequoia Capital pour financer leur organisation. Les amis étaient prêts à s'engager dans une bataille sur le
marché. Ils pratiquaient déjà le principe de Foxhole, ayant décidé de travailler ensemble. Mais ils savaient aussi qu'ils ne pourraient
pas réussir seuls. Ils ont donc acheté une équipe de direction. La personne qu'ils ont amenée dans l'organisation avec eux pour
devenir PDG
était Tim Koogle (connu sous le nom de TK). Koogle a fait appel à Jeffrey Mallett en tant que directeur de l'exploitation. Les quatre hommes ont travaillé en
étroite collaboration, mais ceux qui ont vraiment fait bouger les choses étaient Koogle, Mallett et Yang. Les gens les appelaient les trois mousquetaires.

«Je suis généralement le pragmatique», a déclaré Mallett, «Jerry est le non attaché et TK fait le

dernier appel. Je sais juste que nous pensons et anticipons toujours nos prochains mouvements. 4 Et quand Yahoo! a dû faire face à «Eisner,
Welch et Gates. . . se déplaçant directement dans notre espace », comme Mallett l'a décrit, ils sont restés ensemble et se sont battus. Alors que
de nombreuses autres sociétés point-com se sont repliées, Yahoo! a continué à aller fort.

Koogle et Mallett ont depuis passé à d'autres entreprises, mais ils l'ont fait sans rancune et sans regrets. Avec Yang
et Filo, ils ont contribué à transformer Yahoo! d'une entreprise de moins de dix employés à une entreprise de plusieurs
millions de dollars cotée en bourse. Aujourd'hui Yahoo! sert le plus grand public mondial - plus de 200 millions
d'utilisateurs chaque mois - et sert
en tant que réseau de marque mondial à ses clients. 5

LES FAITS SUR FOXHOLES

Nous faisons face à de nombreux types de batailles dans la vie, et les «foxholes» que nous habitons parfois se présentent sous différentes formes et tailles.
La maison est la plus importante. (Idéalement, cela devrait toujours être un havre de paix avec des personnes sur lesquelles nous pouvons compter.) Mais
d'autres peuvent inclure une entreprise, une équipe sportive, un petit groupe, un peloton ou autre chose. Et bien sûr, les personnes qui nous accompagnent
dans ces lieux sont aussi variées qu'elles le sont.

Avant d'aller plus loin, je dois partager avec vous trois hypothèses que je fais en écrivant sur le principe de Foxhole:

1. Le foxhole est pour vous et un ami - pas un ami seul. Vous pouvez demander à un ami de vous battre
vous, mais vous ne devriez jamais envoyer quelqu'un d'autre pour combattre vos batailles. Lorsque Jerry Yang et David Filo ont
embauché Tim Koogle, ils n'ont pas abandonné leurs responsabilités chez Yahoo! Ils se sont associés avec lui.

2. Avant la bataille, vous avez développé une amitié. Le principe de Foxhole ne concerne pas
imposer à des connaissances éloignées ou utiliser des personnes. Vous devez être un ami avant de demander l'aide d'un ami.

3. Vous avez également été dans les foxholes de vos amis avec eux. Tu devrais être prêt à te battre pour
tout ami dont vous demanderiez l'aide. C'est ce que font les amis. Le leader des droits civiques Martin Luther King Jr. a déclaré:
«En fin de compte, nous ne nous souviendrons pas des paroles de nos ennemis, mais du silence de nos amis.» Je ne veux jamais
qu'on dise que j'étais un ami silencieux! Après avoir établi cela, voici quelques vérités sur les «foxholes»:

Foxholes sans amis sont malsains

Se séparer des autres et essayer de faire face au monde seul n'est ni sain ni utile. Il y a plusieurs années, j'ai lu une campagne
lancée par le Département de la santé mentale de Californie avec le slogan «Les amis peuvent être un bon remède». Voici
quelques résultats qui ont poussé le ministère à se lancer dans cette initiative:

Si vous vous isolez des autres, vous êtes deux à trois fois plus susceptible de mourir prématurément. Cela est vrai
indépendamment du fait que vous preniez bien soin de vous en faisant de l'exercice et en vous abstenant de fumer.

Si vous vous isolez des autres, vous êtes plus susceptible de contracter un cancer en phase terminale.
Si vous êtes divorcé, séparé ou veuf, vous avez cinq à dix fois plus de chances d'être hospitalisé pour un
trouble mental que si vous êtes marié.
Si vous êtes une femme enceinte sans bonnes relations personnelles, vos chances d'avoir une sorte de complication
sont trois fois plus grandes que celles qui ont des relations solides, même
 étant donné la même quantité de stress. 6

Les expériences Foxhole forgent de grandes amitiés

Dans les années 1980, alors que je cherchais quelqu'un pour m'aider à comprendre comment gérer le travail difficile de pasteur
d'une grande église tout en dirigeant un ministère national, Jack Hayford est entré dans ma vie. Jack, qui est pasteur de l'Église en
chemin à Van Nuys, en Californie, était un bon ami, un conseiller avisé et un mentor altruiste. Je n'aurais pas pu réussir sans son
aide.
Plus d'une décennie plus tard, j'ai mené une bataille beaucoup plus sérieuse: j'ai subi une grave crise cardiaque. Quand Jack en a
entendu parler, il m'a appelé. Il m'a dit que je travaillais trop dur et que je devrais apprendre à dire non aux gens. Et puis Jack a dit quelque
chose que je n'oublierai jamais: «John, je sais que tu trouves difficile de dire non à certaines personnes. Demandez-leur de m'appeler; Je vais
dire non pour toi. Et je vous garderai hors de ces situations. Jack a vraiment été un ami foxhole pour moi. Et récemment, lorsque le gendre de
Jack est décédé subitement, j'ai rampé dans sa foxhole avec lui. C'était le moins que je puisse faire après tout ce qu'il avait fait pour moi.

Vous devriez être prêt à vous battre pour tout ami dont vous demanderiez l'aide. C'est ce que
les amis font.

Foxholes prouve des amitiés

Lorsque vous faites face à des moments difficiles, vous découvrez qui sont vos vrais amis. Lorsque Pepper Rodgers était entraîneur à l'UCLA, il a connu
des saisons difficiles. Se souvenant d'une année particulièrement mauvaise, Rodgers a déclaré à un journaliste: «Mon chien était mon seul ami, et j'ai dit
à ma femme que l'homme avait besoin d'au moins deux amis. Elle m'a acheté un autre chien.

Les faux amis sont comme nos ombres, se tenant près de nous pendant que nous marchons au soleil mais nous quittant lorsque nous traversons à
l'ombre. De vrais amis restent avec nous en cas de problème. Comme le dit le vieil adage: dans la prospérité, nos amis nous connaissent; dans
l'adversité, nous connaissons nos amis.

UN AMI FIDÈLE

On dit que lorsque Benjamin Franklin a signé la déclaration d'indépendance, il a prononcé les mots: «Nous devons, en effet, tous rester
ensemble ou, très certainement, nous allons nous accrocher séparément.» Il comprenait le pouvoir de maintenir des alliances solides
pendant les périodes de grands conflits. De toute évidence, Franklin a été un ami fidèle et un allié fiable de ses compatriotes tout au long
de sa vie.
Vous avez peut-être beaucoup d'amis, mais tous ne seront pas des amis foxhole. D'ailleurs, vous ne serez pas non plus ce genre
d'allié pour tout le monde dans votre vie. Les amitiés Foxhole sont spéciales. Voici cinq choses que vous devez garder à l'esprit avant
d'accepter de vous battre avec quelqu'un:

1. Les amis de Foxhole sont rares

Pendant la guerre civile, le président Lincoln a reçu de nombreuses demandes de pardon de la part de soldats condamnés à mourir pour
désertion. Chaque appel était fréquemment accompagné de nombreuses lettres de témoignage d'amis et de personnalités influentes.

Un jour, le président a reçu un appel de grâce qui s'est démarqué; il est arrivé sans un seul document ou lettre
attestant le détenu. Lincoln a été surpris par cela et a interrogé l'officier responsable à ce sujet. À la stupéfaction de
Lincoln, l'officier de service a déclaré que le soldat n'avait pas un seul ami et que toute sa famille avait été tuée pendant
la guerre. Le président a examiné cette information et a dit à l'officier qu'il rendrait une décision à ce sujet dans la
matinée.
Lincoln a lutté avec le problème toute la nuit. La désertion n'était pas une mince affaire. Annuler une condamnation à mort enverrait
le mauvais message aux autres soldats. Pourtant, il avait du mal à ne pas avoir de sympathie pour quelqu'un d'aussi seul au monde.

Le matin, lorsque l'officier a demandé au président sa décision, il a été choqué d'entendre Lincoln dire que le témoignage
d'un ami avait scellé sa décision sur le soldat en question. Lorsque l'officier a rappelé au président que la demande était
venue sans lettre de référence, Lincoln a simplement déclaré: «Je serai son ami. Il a ensuite signé la demande et a gracié
l'homme.
S'il y a des gens dans votre vie qui iraient se battre avec vous, appréciez-les, car ils sont vraiment rares.

2. Les amis de Foxhole fournissent de la force avant et pendant la bataille

Avoir quelqu'un à côté de vous qui se bat pendant une bataille est d'une grande aide. Mais même avant la bataille, le simple fait de
savoir que quelqu'un croit en vous et se battra pour vous est édifiant. Le philosophe grec Épicure a déclaré: «Ce n’est pas tant l’aide
de nos amis qui nous aide que la certitude qu’ils nous aideront.»

Pensez à un parent, un enseignant, un patron ou un entraîneur qui a fait tout son possible pour exprimer sa croyance en vous. N'était-ce pas génial de
faire confiance? Une telle personne n'a-t-elle pas eu un grand impact sur votre vie? Si c'est le cas, prenez le temps de remercier cette personne. Et faites le
même genre d'investissement de confiance dans les personnes pour lesquelles vous vous battez.

3. Les amis de Foxhole voient les choses du même point de vue

Tracy, cinq ans, a demandé à son père si elle pouvait jouer dans la maison d'un ami qui vivait à côté. Son père lui a dit qu'elle pouvait aussi
longtemps qu'elle était à la maison à six heures pour le dîner.
Quand six heures arrivèrent, Tracy était introuvable. Alors son père a attendu. Après environ vingt-cinq minutes, Tracy
ouvrit la porte d'entrée. Son père, s'efforçant de contrôler son impatience, lui a demandé où elle était.

«Ce n’est pas tant l’aide de nos amis qui nous aide que la certitude qu’ils le feront
Aidez nous."
- ÉPICURE

«Je suis désolée d'être en retard, papa», a-t-elle répondu, «mais la poupée de mon ami s'est cassée alors que je devais partir pour la maison.

«Oh, je vois,» dit son père. «Et je suppose que vous l'aidiez à le réparer? «Non,» répondit
Tracy. «Je l'aidais à pleurer.
 Les gens qui descendent dans la foxhole avec vous voient les choses de votre point de vue et expriment de l'empathie pour votre
situation. Cela en fait non seulement une grande aide, mais aussi un grand confort.

4. Les amis de Foxhole font une différence dans nos vies

Les gens qui mènent les grandes batailles de la vie avec nous ont un impact énorme sur nos vies. J'ai mentionné que j'avais eu une
crise cardiaque le 18 décembre 1998. Tôt le matin, alors que je luttais pour ma vie, un appel téléphonique de mon assistante, Linda
Eggers, a incité un homme que je connaissais à peine à monter dans le trou avec moi et sauve ma vie. Des mois auparavant, j'avais
déjeuné avec le Dr John Bright Cage, un cardiologue de Nashville qui avait proposé de m'aider «de toutes les manières possibles»
parce qu'il était préoccupé par ma santé. Linda l'a appelé, il a appelé un collègue d'Atlanta du nom de Dr Jeff Marshall, et le Dr Marshall
m'a sauvé la vie. C'était un cas où une relation signifiait littéralement la différence entre la vie et la mort.

5. Les amis de Foxhole nous aiment sans condition

On dit qu'un ami est quelqu'un. . .

qui gardera vos secrets et ne les divulguera jamais, même s'il est torturé ou tenté avec du chocolat (ou dans le cas de
ma femme, les beignets Krispy Kreme).
qui détruira tranquillement la photographie qui vous fait ressembler à une baleine échouée.
qui sait que vous ne savez pas de quoi vous parlez mais qui vous permettra d'arriver à cette conclusion de manière indépendante.

qui suit le même régime avec vous - et qui s'en va avec vous aussi.
Les amis de Foxhole sont cela - et plus encore. Ils feraient face à n'importe quel danger avec vous. Ils feraient n'importe quoi pour vous. Ils vous
donneraient tout ce qui leur appartient.
L'auteur et ancien pasteur du City Temple à Londres, Leslie D. Weatherhead, a écrit sur deux amis qui étaient
littéralement des amis foxhole; c'étaient des soldats ensemble. Il a dit que lorsqu'un des soldats était blessé et ne pouvait pas
se remettre en sécurité, son copain est sorti le chercher, contre les ordres de son officier. Il revint mortellement blessé et son
ami, qu'il avait ramené, était mort.
L'officier était en colère. «Je t'ai dit de ne pas y aller», dit-il. «Maintenant, je vous ai perdu tous les deux. Cela ne valait pas la peine."

Le mourant a répondu: «Mais c'était, monsieur, parce que quand je suis arrivé à lui, il a dit: 'Jim, je savais que vous viendriez.' "

Contrairement à ce qu'ont affronté ces deux hommes, les conflits auxquels vous faites face peuvent ne pas être sur le champ de bataille. Ils peuvent ne
pas être la vie ou la mort. Mais quoi qu'il arrive, ne préféreriez-vous pas les affronter avec un ami à vos côtés? Si c'est le cas, soyez un ami foxhole pour les
autres, le genre d'ami en qui les autres peuvent avoir confiance, quoi qu'il arrive.

QUESTIONS DE DISCUSSION SUR LE PRINCIPE DE FOXHOLE

1. Qu'est-ce qui fait qu'une personne est disposée à se battre avec une autre personne? Est-ce toujours pour des motifs
désintéressés? Les motifs comptent-ils? Changent-ils le résultat final?
2. Où l'empathie entre-t-elle en jeu dans le principe de Foxhole? Cela se développe-t-il avant que les gens se réunissent ou après
avoir commencé à se battre? Quels autres facteurs, tels que les valeurs, les priorités, la vision, etc., pourraient entrer en jeu?
 3. Quel genre d'ami avez-vous été avec les autres? Avez-vous été «dans la foxhole» avec un ami, un collègue ou un
membre de la famille? Comment décidez-vous de devenir ce genre d'ami pour quelqu'un?

4. Pourquoi pensez-vous que certaines personnes «grimpent dans le trou du renard» seules? Est-ce quelque chose qu'ils font parce qu'ils
le préfèrent ou parce qu'ils n'ont pas suffisamment construit de relations? Qu'arrive-t-il à une personne qui doit continuellement se
battre seule?
5. Dans quels types de situations êtes-vous plus susceptible de développer une amitié avant de vous battre ensemble? Dans
quelles situations êtes-vous susceptible de vous retrouver à vous battre pour survivre et développer une amitié en cours de
route? Les deux situations mènent-elles à des relations tout aussi profondes ou durables? Explique.

Avant de passer à autre chose, passons en revue les principes de personnes liés à la question de confiance. . .
Le principe du substrat rocheux: La confiance est le fondement de toute relation.
Le principe de situation: Ne laissez jamais la situation signifier plus que la relation.
Le principe de Bob: Lorsque Bob a un problème avec tout le monde, Bob est généralement le problème.
Le principe d'approche: Être à l'aise avec nous-même aide les autres à être à l'aise avec nous.
Le principe de Foxhole: Lorsque vous vous préparez au combat, creusez un trou assez grand pour un ami.
 LA QUESTION D'INVESTISSEMENT:
AREWEWILLING À
INVESTIR DANS LES AUTRES?

Aucun homme ne peut vivre heureux s'il se considère seul;

qui tourne tout à son avantage.
Vous devez vivre pour les autres si vous souhaitez vivre pour vous-même.
- SENECA
je ndividus qui apprennent les principes du peuple qui les préparent à répondre aux questions des trois premières sections de ce
livre -
État de préparation: Sommes-nous prêts pour les relations? Connexion:
Sommes-nous prêts à nous concentrer sur les autres? Confiance:
pouvons-nous instaurer une confiance mutuelle?
- peuvent se considérer en assez bonne forme relationnelle. Ils se seront préparés émotionnellement aux relations en abandonnant
leurs bagages personnels. Ils pourront bien se connecter avec les autres. Et ils seront capables de susciter la confiance lorsqu'ils
traitent avec les autres. La plupart des personnes qui interagissent avec eux les considéreront comme possédant d'excellentes
compétences relationnelles. Cependant, s'ils s'arrêtent là, ils rateront la meilleure partie des relations.

Cela nous amène à la question de l'investissement: sommes-nous prêts à investir dans d'autres? Vous vous demandez peut-être pourquoi je
pense que c'est si important. Vous demandez peut-être même: «Pourquoi quelqu'un prendrait-il le temps et l'énergie d'investir dans les autres?» Pour
découvrir la réponse, pensez à ceci:
Vous pouvez construire une belle maison, mais elle finira par s'effondrer. Vous pouvez
développer une belle carrière, mais un jour ce sera fini.
Vous pouvez économiser une grosse somme d'argent, mais vous ne pouvez pas l'emporter avec vous.
Vous êtes peut-être en excellente santé aujourd'hui, mais avec le temps, il diminuera. Vous pouvez être
fier de vos réalisations, mais quelqu'un vous surpassera.

Tant de gens investissent dans ces choses, mais elles sont transitoires. Alors, dans quoi pouvez-vous investir pour durer?
Personnes! En fin de compte, y a-t-il autre chose qui compte vraiment dans ce monde par rapport aux gens?

Les relations sont comme tout le reste. Le rendement que vous obtenez dépend de ce que vous investissez. Parfois, lorsque je prends la parole lors de
conférences, de jeunes leaders viennent me voir et me disent: «J'adorerais faire ce que vous faites. Comment obtenir un concert comme celui-ci? »

Honnêtement, cette question me fait rire. Parfois, je réponds: «Vous voudrez peut-être faire ce que je fais, mais aimeriez-vous faire ce que
j'ai fait pour faire ce que je fais?» Ils voient les lumières vives et le grand auditorium. Mais ils ne voient pas les décennies que j'ai passées à
enseigner à de petits groupes de personnes par simple amour parce que cela n'a rien payé. Ils ne voient pas les centaines de fois où Margaret
et moi avons transporté des boîtes sales remplies de livres et de cahiers dans et hors des avions avant que nous puissions nous permettre de
louer de l'aide. Ils ne considèrent pas les milliers d'heures que nous avons passées à voyager et les chambres d'hôtel inconfortables et les
mauvais repas. Le vrai travail a toujours été dans les coulisses. Ce qu'ils voient aujourd'hui est vraiment l'aboutissement de trente années de dur
labeur hors des projecteurs.

C'est ainsi que sont les meilleures relations. Ils prennent le travail dans les coulisses. Une fois que vous avez appris à connaître les gens,
apprenez à investir en eux. Les meilleures relations sont toujours le résultat d'un don désintéressé. Les cinq principes relatifs aux personnes
suivants donnent un aperçu de certaines des façons les plus importantes d'investir dans les relations:

Le principe du jardinage: Toutes les relations ont besoin de cultivation.

 Le principe des 101 pour cent: Trouvez le 1% sur lequel nous sommes d'accord et donnez-lui 100% de notre
effort.
Le principe de patience: Le voyage avec les autres est plus lent que le voyage seul.
Le principe de la célébration: Le vrai test des relations n'est pas seulement à quel point nous sommes fidèles lorsque
les amis échouent, mais combien nous sommes ravis quand ils réussissent.
Le principe de la grande route: Nous passons à un niveau supérieur lorsque nous traitons les autres mieux qu'ils ne traitent
nous.
Si vous pouvez répondre à la question d'investissement d'une manière positive, vos relations commenceront à atteindre un tout autre
niveau.
 LE JARDINAGE
PRINCIPE

TOUTES LES RELATIONS

BESOIN DE CULTURE

L'amitié est comme l'argent, plus facile à faire qu'à garder.

- SAMUEL BUTLER
LA QUESTION QUE JE DOIS ME POSER: DOIS-JE
OCCASIONNELLEMENT OU CONTINUELLEMENT
CULTIVER MES RELATIONS?
je n 1997, le journaliste sportif Mitch Albom a écrit un livre intitulé Les mardis avec Morrie. Il contient la sagesse des souvenirs de
Morrie Schwartz, ancien professeur d'université et mentor d'Albom qui mourait de la maladie de Lou Gehrig. Après avoir vu une
interview que Schwartz a faite avec Ted Koppel sur Nightline
en 1995, Albom avait renoué avec Schwartz après une interruption de vingt ans et cultivé une relation plus profonde avec lui. Les
mardis avec Morrie est venu à la suite de leurs réunions. C'était un best-seller en fuite qui est resté sur le New York Times liste des
best-sellers depuis quatre ans. En mars 2004, il avait plus de 5 millions d'exemplaires imprimés, était publié en trente langues
dans trente-quatre pays, et

avait été transformé en un film primé aux Emmy. 1

LA PROCHAINE HISTOIRE

Les lecteurs d'Albom étaient impatients de voir comment il suivrait son best-seller. La plupart des gens voulaient qu'il écrive une
suite. "Après Les mardis avec Morrie, »Dit Albom,« j'ai été inondé d'offres à faire
Les mercredis avec Morrie, les jeudis avec Morrie, Soupe au poulet avec Morrie. J'ai refusé parce que j'avais

dit tout ce que je voulais dire. 2 En conséquence, beaucoup de gens ont été surpris en 2003 lorsqu'il a publié Les cinq personnes que vous
rencontrez au paradis, non pas parce qu'il ne s'agissait pas de Morrie, mais parce que contrairement à ses sept livres précédents, c'était un
roman.
Le livre contient l'histoire d'Eddie, un travailleur du parc d'attractions, âgé de quatre-vingt-trois ans, qui vit ce qu'il croit être
une vie insignifiante, mais apprend son impact après sa mort et son paradis. Ce qui est intéressant, c'est que le livre a été inspiré
par une personne réelle: l'oncle Eddie d'Albom.
Albom décrit Edward Beitchman comme un «homme trapu, à la mâchoire épaisse et à la poitrine de tonneau, né en 1908 de
parents immigrés pauvres dans un quartier d'immigrants pauvres. Il était l'un des neuf enfants, ni le plus jeune ni le plus âgé,
seulement le plus dur. Albom commente: «Il était le champion de mon

arbre généalogique - et plus fort que quiconque que je connaissais. 3

Oncle Eddie était le héros d'enfance d'Albom. Vétéran de la Seconde Guerre mondiale qui travaillait comme chauffeur de taxi et ouvrier
d'usine, Eddie avait affronté un homme dans son taxi qui voulait le tuer. Albom dit que lorsque «le cavalier infâme a essayé de lui trancher la
gorge avec un couteau, [Eddie] a saisi la lame et a serré

si dur, le tueur potentiel s'est enfui. 4 Et Eddie a affirmé que lors d'une opération d'urgence à cœur ouvert, il avait ouvert les
yeux pendant un moment pour voir un groupe de parents décédés au bord du lit qui l'attendait, ce à quoi Eddie a répondu:
«Foutez le camp d'ici, je Je ne suis pas prêt pour vous

encore." 5
Albom a grandi et est devenu un journaliste à succès. Bien qu'il n'ait pas gardé contact avec son mentor Morrie Schwartz, il est
toujours resté en contact avec l'oncle Eddie. Il avait l'habitude d'appeler l'homme plus âgé lorsqu'il voyageait à travers le pays en
mission. Et Eddie, qui, selon Albom, avait vécu une vie de rêves non réalisés, était toujours excité et impressionné par ses
escapades.
L'oncle Eddie a eu un impact profond sur Albom, mais Mitch n'a jamais vraiment fait savoir à son oncle avant de mourir. Albom admet: «Lors de
ses funérailles, j'ai prononcé l'éloge funèbre. Je suis tombé en panne à mi-chemin et j'ai commencé à pleurer de manière incontrôlable. C'était de la
tristesse, oui, mais aussi du regret. Je n'avais jamais dit ça

aimer les choses sur son visage. 6

Toutes les relations ont besoin de cultivation pour se développer. Mitch Albom a maintenu sa relation avec Eddie. Mais il ne l'a jamais
vraiment poussé plus loin qu'il ne l'avait été quand il était enfant. Et maintenant, il se rend compte qu'il a raté une belle opportunité.

«Nous avons tous des gens merveilleux dans nos vies», note Albom, «mais quand ils sont partis, il semble que tout ce que nous pouvons faire, c'est les
manquer. La ténacité tranquille d'Eddie me manque. . . Je me rends compte que je n'ai jamais rencontré personne d'aussi magique que mon oncle me
semblait être un garçon. Il aurait dû le savoir. Et j'aurais aimé l'avoir dit

lui." sept
 COMMENT VA VOTRE JARDIN?

Vous ne pouvez pas négliger une relation et vous attendre à ce qu'elle grandisse. Cela ne veut pas dire que toutes les relations sont les mêmes et
nécessitent la même quantité de temps et d'attention. La nature et le but de la relation détermineront l'énergie et le temps nécessaires pour la cultiver.
Pensez à quelques-unes des nombreuses relations personnelles et professionnelles que vous avez dans votre vie. Combien d'efforts leur
donnez-vous? Les traitez-vous de la même manière? Bien sûr que non. Et tu ne devrais pas. Chaque relation est différente mais peut s'inscrire dans
l'une des trois catégories suivantes:

Certaines personnes entrent dans nos vies pour un Raison

De nombreuses relations sont très courtes et se produisent pour des raisons très spécifiques. Parfois, ils viennent et s'en vont pour toujours.
D'autres fois, ils sont continus mais intermittents. Ces relations n'ont besoin que d'une culture brève et périodique.

Un bon exemple de ce genre de relation est celui avec mon médecin. Je n'aurais jamais rencontré le Dr Jeff Marshall, mon
cardiologue, sans la crise cardiaque que j'ai subie en 1998. Je le considère comme mon ami ainsi que mon médecin, mais je ne
le vois que quelques fois par an . Et c'est toujours lié à ma santé.

La nature et le but de la relation détermineront l'énergie et le temps nécessaires pour

cultivez-le.

Certaines personnes entrent dans nos vies pour un Saison

Un deuxième type de relation ne dure que pendant un certain temps. Ces relations peuvent durer seulement quelques semaines ou
aussi longtemps que plusieurs années. Souvent, ils sont liés à nos circonstances ou situations actuelles. Mais ce n'est pas parce qu'ils
sont temporaires qu'ils ne sont pas importants. La culture des relations devrait correspondre à la saison.

Les relations avec les professeurs et les coachs de nos enfants sont souvent saisonnières. Il en va de même pour de nombreuses relations de
travail. Peut-être travaillez-vous pour un patron que vous aimez, mais le travail est le seul lien. Et lorsque vous passez à un autre emploi, vous avez peu
de raisons ou d'occasions de rester en contact. Parfois, c'est juste la façon dont ces relations fonctionnent.

Certaines personnes entrent dans nos vies pour un Durée de vie

Le troisième type de relation est continu et permanent. Ce sont peu et très spéciaux. Et si nous voulons les garder en bonne santé
et les encourager à grandir, nous devons leur donner une cultivation continue. Sinon, ils risquent de se ratatiner et de mourir.

Nos amitiés les plus proches sont les plus précieuses pour nous et, comme tout ce qui a de la valeur, elles nous coûtent quelque chose.
Nous ne pouvons pas les négliger et nous attendre à ce qu’ils prospèrent. Le dramaturge George Bernard Shaw a écrit une fois à son ami
Archibald Henderson, dans lequel il disait: «Je vous ai négligé de façon choquante ces derniers temps. C'est parce que j'ai dû négliger tout ce
qui pouvait être négligé sans ruine immédiate, et en partie parce que tu es passé dans le cercle d'amis intimes dont on n'a jamais les
sentiments
rêve d'envisager. Shaw a dû se rendre compte que sa relation avec son ami avait désespérément besoin d'attention et il
voulait la sauver. Quel prix pouvez-vous mettre sur une grande amitié?
La relation la plus importante que quiconque a dans ce monde est celle avec son conjoint. Les hommes et les femmes sont si
différents qu'il n'est pas toujours facile de cultiver une très bonne relation. Je suis récemment tombé sur une pièce humoristique qui se
moque des différences entre les sexes:
Un homme paiera 2 $ pour un article de 1 $ qu'il veut; une femme paiera 1 $ pour un article de 2 $ qu'elle ne veut pas.

Une femme s'inquiète pour l'avenir jusqu'à ce qu'elle ait un mari; un homme ne s'inquiète jamais de l'avenir tant qu'il n'a pas une
femme.
Un homme qui réussit est celui qui gagne plus d'argent que sa femme ne peut en dépenser; une femme qui réussit est celle qui peut
trouver un tel homme.
Pour être heureux avec un homme, il faut bien le comprendre et l'aimer un peu; pour être heureux avec une femme, il faut l'aimer
beaucoup et ne pas essayer de la comprendre du tout.
Les hommes mariés vivent plus longtemps que les hommes célibataires, mais les hommes mariés sont beaucoup plus enclins à mourir.
Tout homme marié devrait oublier ses erreurs - il est inutile que deux personnes se souviennent de la même chose.

Une femme épouse un homme en espérant qu'il changera, mais ce n'est pas le cas; un homme épouse une femme en espérant qu'elle ne
changera pas et elle le fait.
Une femme a le dernier mot dans toute dispute; tout ce qu'un homme dit après cela est le début d'un nouvel argument.

Il y a deux moments où un homme ne comprend pas une femme: avant le mariage et après. 8
Socrate a dit: «Mariez-vous par tous les moyens; si vous avez une bonne épouse, vous deviendrez heureux. Si vous en avez une mauvaise, vous
deviendrez philosophe. Choisir le bon homme ou la bonne femme pour se marier est important, mais ce n'est qu'une partie du processus de développement
d'un bon mariage. Avant de nous marier, l'accent est mis sur un futur conjoint. Après notre mariage, c'est sur nous-mêmes. La rencontre fait ressortir le meilleur
- le mariage fait ressortir du repos.
Le mariage, comme toute relation à long terme, nous oblige à le faire. . .
patauger à travers quelques choses qui sont difficiles. travailler pour
de nombreuses choses qui sont nécessaires. attendez certaines
choses qui prennent du temps.
attention aux choses qui peuvent être nuisibles. dites adieu aux
choses personnelles qui sont égoïstes.
Ce sont tous les aspects de la cultivation. Les partenaires du mariage qui ne cultivent pas intentionnellement une relation étroite se
sépareront. C'est triste, mais après cinq ans de mariage, tout ce que certains couples ont en commun est le jour de leur mariage. Certains
mariages peuvent être faits au ciel, mais leur entretien doit être fait sur terre.

Il y a une histoire qui illustre ce que je veux dire. Un homme et une femme qui ne se sont jamais rencontrés auparavant se sont retrouvés
dans le même wagon endormi d'un train. Après leur embarras initial, tous les deux ont réussi à s'endormir - la femme sur la couchette du
haut, l'homme sur la couchette du bas. Au milieu de la nuit, la femme s'est penchée et a dit: «Je suis désolée de vous déranger, mais j'ai
terriblement froid et je me demandais si vous pourriez me passer une autre couverture.

L'homme se pencha et, avec une lueur dans les yeux, dit: «J'ai une meilleure idée. Faisons semblant que nous sommes mariés.

"Pourquoi pas?" gloussa la femme.

"D'accord," répondit-il, "alors procurez-vous votre propre couverture!"

FAÇONS DE CONTINUER À CULTIVER DES RELATIONS IMPORTANTES

Que signifie cultiver une relation? Que ce soit en tant que conjoint, parent ou ami, vous pouvez commencer à cultiver une relation
saine et croissante en vous concentrant sur les six choses suivantes:

1. Engagement

Le chercheur, le Dr Alfred Kinsey, a observé: «Il n'y a peut-être rien de plus important dans un mariage que la détermination qu'il
persiste. Avec une telle détermination, les individus se forcent à s'adapter et à accepter des situations qui, autrement, sembleraient
des motifs suffisants de rupture. Un engagement profond dans la relation est l'un des plus grands atouts qu'un couple marié puisse
avoir. Mais c'est aussi une caractéristique de tout relations profondes.

Le théoricien politique Thomas Paine a affirmé: «Ce que nous obtenons à un prix trop bas, nous l'estimons trop peu; c'est seulement
la cherté qui donne à chaque chose sa valeur. Toute relation durable souffre de tensions et de revers. Et il n'y a pas deux personnes
d'accord sur tout. Même les meilleures amitiés peuvent s'attendre à affronter des conflits. La question est: qu'allez-vous faire en cas de
problème? Dans quelle mesure êtes-vous engagé? Êtes-vous plus déterminé à maintenir la relation ou à éviter les conflits? Votre
réponse pourrait bien déterminer si votre relation est permanente ou simplement temporaire.

2. Communication

Comment une relation peut-elle se former sans communication? Il souvent commence avec une communication facile. Parfois, une étincelle
enflamme facilement une amitié. Il approfondit avec une communication plus difficile. L'auteur Sydney J. Harris estime qu '«il est impossible
d'apprendre quoi que ce soit d'important sur qui que ce soit jusqu'à ce que nous l'amenions à être en désaccord avec nous; ce n'est que par
contradiction que le caractère est révélé. Et c'est
soutenu avec communication intentionnelle.
Plusieurs années après que Margaret et moi nous sommes mariés, j'ai réalisé que lorsque je suis rentré la voir, il n'y avait pas d'excitation
dans notre communication. Elle demandait ce qui s'était passé pendant la journée et je n'étais pas très enthousiaste à l'idée d'en discuter. Ensuite,
j'ai compris pourquoi: au cours de la plupart des jours, j'avais partagé les événements les plus passionnants avec un collègue ou mon assistant. Je
n'étais donc pas très enthousiaste à l'idée de le répéter à Margaret. Je savais que cela devait changer. Ma solution? Chaque fois que quelque
chose d'important ou d'excitant se produit pendant la journée, je note une note à ce sujet sur une carte trois par cinq. Et puis je n'en parle pas aux
autres; Je le garde pour la fin de la journée. De cette façon, Margaret est la première à en entendre parler et elle est le destinataire de mon
enthousiasme.

3. Amitié

Le critique Samuel Johnson a fait remarquer: «Si un homme ne fait pas de nouvelles connaissances au fil de sa vie, il se retrouvera bientôt seul; un
homme, monsieur, devrait garder son amitié en constante réparation. Cela vaut aussi bien pour les anciennes amitiés que pour les nouvelles. Je pense
que nous prenons parfois pour acquis les personnes les plus proches de nous et, par conséquent, nous négligeons d'essayer d'être de bons amis avec eux
en premier.
Pour cette raison, je me rappelle constamment d'être d'abord l'amie de Margaret, avant d'essayer d'être autre chose pour elle.
J'essaie de mettre ses préoccupations en premier. Et quand il y a un conflit entre nous ou si elle a des doutes sur sa décision, je lui
dis: «Je suis ta meilleure amie», pour lui rappeler que je la surveille.
4. Souvenirs

Je crois que les souvenirs partagés sont une merveilleuse source de connexion et de lien pour les gens. Êtes-vous déjà allé à une réunion d'école ou
avez-vous rencontré des amis que vous n'avez pas vus depuis dix, vingt ou trente ans? Qu'est-ce qui vous aide à vous reconnecter presque
instantanément? Ce sont les souvenirs de vos expériences partagées!

«Ce que nous obtenons à un prix trop bas, nous l'estimons trop peu; c'est seulement la cherté qui donne à tout son
valeur."
- THOMAS PAINE

Aujourd'hui, nos enfants ont tous grandi, sont mariés et vivent seuls avec leurs propres enfants. Mais quand ils étaient dans leur
adolescence, comme beaucoup de parents, nous craignions qu'ils ne se déconnectent de nous et ne prennent une direction qui ne leur
convient pas. En même temps, nous savions que nous devions leur donner de plus en plus de liberté pour être indépendants. L'une des
façons dont nous avons maintenu la connexion forte sans essayer de la forcer était de créer une histoire familiale. Nous avons beaucoup
voyagé ensemble et avons fait de nombreuses activités conçues pour créer des souvenirs positifs. Tout cela a donné à nos enfants quelque
chose de positif sur lequel réfléchir quand leur besoin d'indépendance aurait pu les éloigner.

5. Croissance

Benjamin Franklin a déclaré: «Promise peut se faire des amis, mais c'est la performance qui les garde.» Lorsque vous commencez une amitié,
elle est remplie de promesses. Mais vous devez trouver des moyens de le garder frais et fort afin qu'il continue d'avoir du potentiel et pas
seulement de bons souvenirs. Une façon d'y parvenir est de grandir ensemble.

Lorsque j'étais le pasteur principal de Skyline Church à San Diego, quatre membres du personnel ont travaillé avec moi pendant plus de dix ans. C'est
un événement inhabituel dans le monde de l'Église. L'une des raisons était que nous avons choisi de grandir ensemble. Chaque fois que j'allais à un
séminaire ou à une conférence pour ma croissance personnelle, j'emmenais toujours certains de mes collaborateurs avec moi. Ils partageaient
continuellement des choses qu'ils apprenaient avec moi. Et chaque mois, j'ai donné une leçon de développement personnel au personnel. Toutes ces
choses ont créé un environnement passionnant où nous avons aimé grandir ensemble.

6. Se gâter les uns les autres

Voltaire a écrit: «Si la première loi de l'amitié est qu'elle doit être cultivée, la deuxième loi est d'être indulgente lorsque la première loi a été
négligée. Vous ne pouvez pas vous tromper en gâtant qui que ce soit, sauf peut-être vos enfants. Et même cela est difficile à ne pas faire.
J'essaye tout le temps d'offrir de petites gentillesse à mes amis. Margaret et moi essayons continuellement de nous gâter. Et je ne parlerai
même pas de la façon dont nous traitons nos petits-enfants!

Faites savoir à vos amis et aux membres de votre famille à quel point vous vous souciez le plus souvent possible. Ne finissez pas par vivre avec des
regrets comme Mitch Albom à propos de l'oncle Eddie.
Nancy Reagan, épouse du regretté ancien président Ronald Reagan, a déclaré: «Je crois fermement que vous devez nourrir
toute relation. Je fais toujours partie de la vie de mes amis et ils font vraiment partie de ma vie. Une Première Dame qui n'a pas
cette source de force et de confort peut perdre son recul et s'isoler. Ce n'est pas seulement vrai pour les gens aux yeux du public;
c'est vrai pour nous tous. Les amitiés que nous développons avec les autres enrichissent la qualité de nos vies. Mais nous ne
pouvons pas
soutenez-les si nous ne les cultivons pas. C'est pourquoi il est important pour nous de mettre en pratique le principe du jardinage.

QUESTIONS DE DISCUSSION SUR LE PRINCIPE DE JARDINAGE

1. Nommez des façons dont les personnes en couple peuvent communiquer positivement entre elles. Le type de
relation affecte-t-il les types de communication appropriés? Quelles méthodes sont les plus efficaces pour les
relations que vous appréciez le plus?
2. Comment une personne peut-elle faire la différence entre une relation qui est censée durer une saison et une relation qui a le potentiel de
durer toute une vie? Comment certaines de vos relations à long terme les plus importantes ont-elles commencé? Avec qui entretenez-vous
actuellement une relation à court terme qui a un potentiel pour quelque chose de plus profond? Comment pouvez-vous tester les eaux pour
voir si elles peuvent passer au niveau suivant?

3. Comment déterminez-vous avec qui vous passez votre temps? Pensez-vous en termes d'importance de la relation? Accordez-vous
du temps aux personnes les plus importantes et le gardez-vous soigneusement? Ou votre calendrier se remplit-il simplement
selon le principe du premier arrivé, premier servi? Êtes-vous satisfait de ce que vous faites actuellement? Sinon, comment
pouvez-vous l'améliorer?
4. Le chapitre a mentionné l'importance de patauger à travers des questions difficiles. Pourquoi les gens permettent-ils que des
problèmes difficiles ne soient pas résolus dans des relations importantes? Pensez-vous qu'il existe des raisons valables de ne pas
les traiter? Y a-t-il un problème entre vous et quelqu'un d'important que vous n'avez pas abordé mais que vous devriez? Quand
allez-vous vous en occuper?
5. À quand remonte la dernière fois que vous avez gâté votre femme ou un autre significatif? Est-ce quelque chose que vous faites souvent ou n'y
pensez-vous pas beaucoup? Expliquer pourquoi. Que pourriez-vous faire pour vous améliorer dans ce domaine?
 LES 101 POUR CENT
PRINCIPE

TROUVEZ LE 1 POUR CENT AVEC

NOUS ACCEPTONS
DONNEZ-LE 100 POUR CENT
DE NOTRE EFFORT

Si deux hommes sur le même travail sont tout le temps d'accord, alors l'un est inutile.
S'ils ne sont pas d'accord tout le temps, alors les deux sont inutiles.
- DARRYL F. ZANUCK
LA QUESTION QUE JE DOIS ME POSER: PUIS-JE
TROUVER UN TERRAIN COMMUN ET VAIS-JE DONNER
100% DE MON EFFORT?
S Parfois, l'établissement de relations est une bataille difficile et la connexion avec une autre personne peut être particulièrement difficile.

Comment vous connectez-vous avec les gens lorsque vous semblez n'avoir rien en commun avec eux? Pouvez-vous construire des
ponts relationnels dans de telles circonstances? Et si oui, les relations peuvent-elles être saines, durables et productives? Ce sont des
questions légitimes. Avouons-le. Lorsque vous ne voyez pas de terrain d'entente avec une autre personne, ce sera un défi de se connecter.
Alors, comment faites-vous?
La réponse se trouve dans le principe des 101%. Lorsque la connexion est difficile, vous devez trouver la seule chose sur laquelle vous
pouvez vous entendre. Vous pouvez le faire avec à peu près n'importe qui. Le problème est que de nombreuses personnes adoptent
naturellement l'approche opposée; ils recherchent des différences. Pourquoi? Parfois, cela est dû à la compétitivité naturelle; les gens
recherchent souvent un avantage. Parfois, c'est pour se démarquer, pour trouver sa propre particularité. D'autres fois, les gens se concentrent
sur les différences parce qu'ils se sentent menacés par les autres.

Au lieu de cela, pour établir une connexion, les gens doivent trouver un terrain d'entente. La plupart des gens ont de nombreux points communs. Mais
même le couple le plus étrange peut trouver quelque chose sur lequel il est d'accord. Une fois qu'ils le font, ils doivent y consacrer 100% de leurs efforts.
Plus les différences sont grandes, plus il est important de se concentrer sur ce sur quoi ils s'entendent - et plus les efforts doivent être consentis pour y
parvenir. Ce n'est pas toujours facile, mais les avantages peuvent être remarquablement gratifiants. Cette histoire illustre cela.

ALLEZ À L'OUEST, JEUNE HOMME

Charles Howard était l'entrepreneur d'un entrepreneur. En 1903, après avoir servi dans la cavalerie des États-Unis, puis travaillé
comme mécanicien de vélos à New York, Howard décida de chercher fortune dans l'Ouest. Il s'installe à San Francisco et réussit à
ouvrir un atelier de réparation de vélos au centre-ville.
À cette époque, les automobiles constituaient un nouvel ajout (et souvent peu fiable) au paysage. Mais il n'y avait pas d'atelier de réparation
automobile. Pour cette raison, les propriétaires de voitures ont commencé à visiter la boutique de Howard pour demander son aide. Et Howard
était prêt à essayer la réparation automobile. Il n'a pas fallu longtemps à Howard pour voir une belle opportunité. Il a rapidement sauté un train
pour Detroit et a organisé une réunion avec William C. Durant, chef de Buick et futur fondateur de General Motors. Durant a aimé Howard et l'a
engagé. Avant longtemps, Howard détint les droits de franchise pour vendre des Buicks pour tout San Francisco, et en 1905, à l'âge de vingt-huit
ans, Howard ouvrit son premier concessionnaire Buick présentant trois véhicules qu'il avait achetés à Detroit.

Au début, les choses n'allaient pas bien pour Howard, mais après le tremblement de terre et l'incendie de 1906, il a capitalisé sur
le besoin d'automobiles. Entre son nez naturel pour l'opportunité et sa maîtrise de la promotion, il a commencé à voir un grand succès.
En 1909, Howard élargit son rôle dans l'entreprise. Il a acquis le distributeur exclusif de véhicules Buick, National et Oldsmobile pour
tout l'ouest des États-Unis. L'entreprise a rendu le pionnier de l'automobile fabuleusement riche. Et plus tard, lorsque Durant a été
dépassé et a fait face à la faillite, Howard l'a renfloué avec un prêt personnel de 190000 $, que Durant a ensuite remboursé avec des
actions de GM et un pourcentage des ventes brutes. Howard n'aurait pas pu avoir plus de succès. Même le krach boursier de 1929 ne
l'a pas détruit comme tant d'autres.

Au début des années 1930, le vieux cavalier devenu magnat de l'automobile a ravivé son amour des chevaux et un ami l'a
intéressé aux courses de chevaux. Il a décidé que s'il allait posséder des pur-sang, il irait en première classe. Il a acheté quelques
chevaux, puis a cherché un entraîneur. L'homme qu'il a trouvé était Tom Smith, cinquante-six ans, un homme du Far West. Les deux
hommes n'auraient pas pu être plus différents. Là où Howard était un maître vendeur et promoteur, Smith était un homme calme qui
parlait rarement et pouvait passer littéralement des heures et des jours à regarder chaque mouvement d'un cheval. Là où Howard était
un grand homme d'affaires habitué à tout luxe, Smith était un ancien cow-boy habitué à dormir par terre. Smith était un chasseur de
mustang expérimenté et un briseur de chevaux depuis l'âge de treize ans.
Au cours de sa carrière, il avait travaillé comme chasseur de cerfs, contremaître de bergerie, traqueur de lions de montagne, maréchal-ferrant et
dresseur de chevaux. Les Amérindiens l'appelaient le Lone Plainsman.
L'auteur et experte en course Laura Hillenbrand dit de Howard et Smith:
Les deux hommes se tenaient dans différentes moitiés du siècle. Smith était le dernier des vrais pionniers; Howard préparait
Smith's West sous les roues urgentes de ses automobiles. Howard était motivé par l'image; Smith est resté le Lone
Plainsman, soumissionnaire et solitaire. Mais Howard avait la chance d'avoir un œil étrange pour les cavaliers. Il jeta un
coup d'œil à Smith et des instincts résonnèrent dans sa tête. Il a conduit Smith à sa grange et a présenté ses chevaux à leur
nouveau

entraîneur. 1
À ce mélange improbable s'ajoutait un jockey qui avait connu des jours meilleurs. John Pollard était un homme très dur, même dans une
profession d'hommes durs. Non seulement il était un cavalier, mais il avait été un combattant de prix - bien que pas très bon. À cinq pieds sept
pouces, il dominait ses jockeys rivaux. Et comme beaucoup d'entre eux, il a torturé son corps pour maintenir son poids en dessous de 115
livres. En 1928, Pollard avait été l'un des vingt meilleurs cavaliers du pays. Mais ses compétences avaient diminué, et au milieu des années
1930, lorsque Smith l'avait embauché, il gagnait de moins en moins de courses. À ce stade de sa carrière, sa distinction était qu'il était prêt à
monter à cheval que d'autres jockeys avaient peur de toucher.

COMMENT FAIT ILS Se réunir?

Le millionnaire, le pionnier et le chasseur de prix - les trois hommes n'avaient rien en commun, sauf une chose: un cheval de course
apparemment sans valeur que Smith repéra et Howard acheta. Tous les trois avaient la capacité de se concentrer sur la seule chose
qu'ils avaient en commun et non sur leurs différences.
Hillenbrand décrit le cheval de cette façon:
Le corps du poulain, construit au ras du sol, avait toutes les propriétés d'un parpaing. . . Ses jambes trapues étaient une étude
dans une construction malsaine. . . Grâce à son assemblée malheureuse, sa marche était un mouvement étrange, en jambes,
souvent confondu avec une boiterie. . . Son galop était si désorganisé qu'il avait une tendance exaspérante à se frapper la
cheville avant avec son propre sabot arrière. . . Tout ce désagrément n'a pas été aidé par son programme de course. . . Bien
qu'il n'ait que trois ans, il avait déjà couru quarante-trois courses, bien plus que la plupart des chevaux

toute leur carrière. 2

Le nom de l'animal était Seabiscuit. Ce qui ressemblait aux autres à un bourreau incorrigible est devenu l'un des chevaux de course les plus
célèbres du monde - un héros national au milieu de la Dépression alors que les gens avaient besoin d'être élevés. (En 1938, Seabiscuit était le
principal créateur de nouvelles du pays, générant plus de presse que Franklin D. Roosevelt ou Adolf Hitler!) Seabiscuit a non seulement établi un
record de gains, mais dans un duel en tête-à-tête, il a vaincu War Admiral - un gagnant de la triple couronne et l'un des meilleurs chevaux de course
de tous les temps. Ce concours, que la plupart des experts de l'époque croyaient que Seabiscuit ne pouvait pas gagner, est maintenant considéré par
beaucoup comme la plus grande course de chevaux jamais organisée.

QUAND PRATIQUER LE PRINCIPE DES 101 POUR CENT

Il est vraiment remarquable que trois hommes aussi différents aient pu trouver un terrain d'entente, trouver la seule chose sur laquelle ils
pouvaient s'entendre et y investir leur énergie. Mais c'est la valeur du principe des 101%. C'est un outil incroyable dans la boîte à outils
relationnelle de n'importe qui. Cependant, ce n'est pas quelque chose qui peut être retiré et utilisé tout le temps. Je dis cela parce que ce
principe demande un gros engagement de temps, d'énergie et de réflexion. Par conséquent, avant de pratiquer ce principe, vous devez vous
poser quelques questions:
La personne vaut-elle l'engagement?

Chaque personne a de la valeur, mais vous ne pouvez pas donner à chaque personne le temps ou l'énergie que requiert le principe des 101%. Alors,
qui est «digne» de ce genre d'attention? La liste commence par votre conjoint si vous êtes marié. Dans un domaine où vous n'êtes pas d'accord,
utilisez le principe des 101%. (Margaret et moi ne sommes généralement pas d'accord sur mon calendrier, mais nous sommes d'accord pour dire que
nous voulons passer du temps ensemble, alors nous nous concentrons sur cela.) Ajoutez les membres de votre famille à la liste. Si vous possédez
une entreprise et avez des partenaires, ils doivent figurer sur la liste. Après cela, ajoutez vos amis. Au-delà de ce cercle de personnes, utilisez votre
jugement. S'il existe un bon potentiel pour une relation mutuellement enrichissante et que vous pouvez vous permettre de dépenser de l'énergie, vous
voudrez peut-être essayer le principe des 101 pour cent lorsque vous avez du mal à être d'accord.

La situation vaut-elle l'engagement?

La plupart des situations de désaccord sont à court terme. Dans de tels cas, gardez à l'esprit que «cela aussi passera». Lâchez prise et
économisez votre énergie pour des scénarios où votre dépense de temps et d'attention aura un retour à long terme.

Le problème mérite-t-il l'engagement?

Lorsqu'un problème touche à une priorité dans votre vie ou a un impact sur l'une de vos valeurs, utilisez le principe des 101%. Si ce n'est pas le cas,
réfléchissez à deux fois. Et gardez à l'esprit les paroles du pasteur Richard Baxter: «Dans les choses nécessaires, l'unité; dans les choses douteuses, la
liberté; en toutes choses, la charité.

Le retour en vaut-il la peine?

Au cours des trois premières années de la vie de Seabiscuit, de nombreuses personnes ont eu l'occasion de découvrir son potentiel. En fait,
avant que Smith ne l'entraîne, Seabiscuit était dans l'écurie de James Fitzsimmons, l'entraîneur le plus respecté de son époque. Mais
Fitzsimmons avait tellement de chevaux de haut calibre que Seabiscuit ne semblait pas valoir l'effort. Smith a vu les choses différemment et
regardez le retour qu'il a reçu!

UN RENDEMENT DE 101 POUR CENT

La pratique du principe des 101% peut vous être bénéfique de plusieurs manières. En voici six:

1. Il vous permet de jeter les bases du changement

Si vous êtes dans une relation où vous voulez influencer quelqu'un et changer sa façon de voir ou de faire quelque chose, vous ne devriez pas
essayer d'initier le changement dans un domaine où vous n'êtes pas d'accord. Dans les relations, le changement commence toujours par un
terrain d'entente. Lorsque vous pratiquez le principe des 101 pour cent, vous trouvez ce terrain d'entente et vous l'élargissez. Cela devient un
excellent point de départ pour le changement.
2. Il évite les conflits inutiles

J'ai appris qu'il est difficile de discuter avec les gens quand ils ont raison. Lorsque vous vous concentrez sur le domaine où vous êtes d'accord avec
quelqu'un d'autre, vous êtes sur un terrain sûr parce que les deux ont raison. Le général Ulysses S. Grant a déclaré: «Il n'y a jamais eu de temps, à
mon avis, aucun moyen n'a pu être trouvé pour empêcher le tirage d'une épée. Pourquoi créer un conflit si vous pouvez l'éviter?

3. Cela réduit les chances de se faire des ennemis

Ralph Waldo Emerson a observé: «Celui qui a mille amis n'a pas un ami à perdre, tandis que celui qui a un ennemi le rencontrera partout. Ne
conviendrez-vous pas que même un seul ennemi dans la vie est plus que ce que nous voudrions avoir? La meilleure façon de se débarrasser d'un
ennemi potentiel est de faire de lui votre ami. Lorsque vous recherchez les choses sur lesquelles vous êtes d'accord, vous augmentez les chances
de faire exactement cela.

4. Il conserve quelque chose de valeur qui pourrait autrement être perdu

Combien de relations potentiellement enrichissantes avez-vous manquées parce que vous vous êtes concentré sur les différences plutôt
que sur un terrain d'entente? Combien d'amis potentiels vous ont glissé entre les doigts? Combien d'associations professionnelles
productives avez-vous perdu? L'ancien manager des Yankees de New York, Joe McCarthy, a observé: «Tout manager qui ne peut pas
s'entendre avec un frappeur .400 est fou. Si vous voulez rester ouvert à des relations potentiellement enrichissantes, soyez prêt à essayer
le principe des 101%.

5. Cela vous aide à vous sentir bien dans votre rôle dans la relation

La romancière Jane Austen a plaisanté dans une lettre envoyée à sa sœur Cassandra: «Je ne veux pas que les gens soient très agréables, car cela
m'évite la peine de les aimer. Les personnes qui recherchent le pire chez les autres peuvent essayer de se faire avoir l'air mieux par comparaison,
mais rarement se sentir mieux sur la façon dont ils gèrent la relation. En revanche, les personnes qui recherchent le meilleur et se concentrent sur ce
sur quoi elles sont d'accord peuvent être satisfaites de savoir qu'elles ont fait leur part.

6. Il vous permet de tirer le meilleur parti des situations difficiles

Les personnes les plus heureuses ne sont pas forcément avoir le meilleur de tout. Ils ont juste faire le meilleur de tout. L'adoption du
principe des 101% tire le meilleur parti de chaque opportunité relationnelle. Et personne ne peut s'attendre à faire plus que cela.

Les personnes les plus heureuses ne sont pas forcément avoir le meilleur de tout. Ils ont juste faire le meilleur de
tout.

Dans le chapitre sur le principe de la douleur, je vous ai raconté l'histoire de Tom, l'homme qui m'a envoyé une lettre critiquant mon sermon chaque
semaine, que j'ai conquis après plusieurs années d'efforts. La façon dont je l'ai amené à m'accepter a été d'utiliser le principe des 101 pour cent.
Comme je l'ai mentionné, ses enfants et les nôtres ont été adoptés.
La seule chose sur laquelle j'ai pu constater que nous étions d'accord, c'est que les enfants adoptés étaient spéciaux. Donc, chaque fois que nous parlions,
je me concentrais sur nos enfants. J'ai accordé une attention particulière à ses enfants, je les ai félicités chaque fois que c'était possible et je les ai aimés
comme s'ils étaient mes nièces et neveux. Et à tout moment J'allais être avec Tom, si c'était approprié, j'emmenais mes enfants, Elizabeth et Joel Porter,
avec moi.
Les enfants de Tom m'aimaient. Et sa femme s'est rapidement réchauffée. Tom était toujours difficile à casser, mais il ne
pouvait pas tenir indéfiniment. Il est difficile de garder rancune contre quelqu'un que toute votre famille aime, surtout quand cette
personne ne vous a jamais rien fait de mal.
Peut-être avez-vous un «Tom» dans votre vie, quelqu'un avec qui vous ne vous êtes jamais entendus. Vous voyez facilement toutes les faiblesses de la
personne et avez du mal à voir autre chose que des différences. Je vous garantis que vous pouvez être d'accord sur quelque chose. Tout ce que vous avez à
faire est de le trouver. Et une fois que vous le faites, donnez-lui 100% de vos efforts. Vous serez étonné de l'impact que cela peut avoir.

101 POUR CENT DE QUESTIONS DE DISCUSSION SUR LES PRINCIPES

1. Avez-vous déjà rencontré quelqu'un qui semble pratiquer le principe des 101%, une personne qui trouve magistralement le terrain
d'entente dans des relations où les gens ne sont pas d'accord? Si oui, décrivez cette personne. Qu'est-ce que vous admirez chez lui
ou elle? Quelles qualités personnelles possèdent ces personnes qui les rendent si douées pour se connecter avec les autres? Quel
pourcentage de personnes de votre entreprise ou de votre domaine de carrière appliquent ce principe?

2. Pourquoi ne devriez-vous pas automatiquement adopter le principe des 101% dans chaque relation? Quelles relations dans
votre vie justifient son utilisation? Décrivez comment vous allez modifier votre interaction avec l'une de ces personnes.

3. Quelles situations ne valent pas l'effort requis pour mettre en œuvre le principe des 101%? Qui sont? Quels problèmes sont
importants pour vous? Comment ces questions sont-elles liées à vos valeurs et priorités?

4. Avez-vous laissé passer une relation importante entre vos doigts parce que vous ne trouviez pas de terrain
d'entente sur lequel vous connecter? Que manque-t-il en conséquence? Comment pourriez-vous réparer la
relation? Le retour en vaudrait-il la peine? Qu'est-ce qui vous empêche d'agir?

5. Pensez à une relation importante dans votre vie qui a vraiment besoin de changement. Jusqu'à présent, avez-vous utilisé une approche
commune pour construire la relation avant d'essayer d'initier le changement? Sur quelle chose pouvez-vous être d'accord avec l'autre
personne? Comment pouvez-vous utiliser cela comme un tremplin pour améliorer la relation? Comment pouvez-vous alors prendre
des mesures vers un changement qui profitera à vous deux?
LE PRINCIPE DE PATIENCE

LE VOYAGE AVEC
LES AUTRES EST PLUS LENT QUE
LE VOYAGE SEUL

Pour l'amitié de deux,

la patience de l'un est nécessaire.
- ANONYME
LA QUESTION QUE JE DOIS ME POSER:
Est-ce que j'en emmène d'autres avec moi
même si c'est inconvenant?
E de temps en temps, vous lisez une histoire qui semble trop farfelue pour être vraie. C'est le cas de celui-ci sur Larry Walters,
un gars qui a fait le voyage seul. C'est fou, mais vrai:
Le rêve d'enfance de Larry était de voler. Mais le destin a conspiré pour l'empêcher de son rêve. Il a rejoint l'armée de l'air, mais
sa mauvaise vue l'a disqualifié du poste de pilote. Après avoir été renvoyé de l'armée, il s'est assis dans son jardin à regarder
des jets voler au-dessus de sa tête.
Il a fait éclore son système de ballon météo alors qu'il était assis dehors dans sa chaise de jardin Sears «extrêmement
confortable». Il a acheté 45 ballons météorologiques dans un magasin de surplus de la marine de l'armée, les a attachés à sa
chaise de jardin attachée surnommée Inspiration I, et a rempli les ballons de quatre pieds de diamètre avec de l'hélium. Puis il s'est
attaché à sa chaise de jardin avec des sandwichs, du Miller Light et un pistolet à plomb. Il a pensé qu'il ferait éclater quelques-uns
des nombreux ballons quand il serait temps de descendre.

Le plan de Larry était de couper l'ancre et de flotter paresseusement jusqu'à une hauteur d'environ 30 pieds au-dessus de son arrière-cour où
il profiterait de quelques heures de vol avant de redescendre. Mais les choses ne se sont pas déroulées comme Larry l'avait prévu.

Lorsque ses amis ont coupé le cordon d'ancrage de la chaise de jardin à sa Jeep, il ne flottait pas paresseusement jusqu'à 9
mètres. Au lieu de cela, il a filé dans le ciel de Los Angeles comme s'il avait été tiré d'un canon, tiré par un ascenseur de 42 ballons à
l'hélium contenant chacun 33 pieds cubes d'hélium. Il ne s'est pas stabilisé à 100 pieds, ni à 1000 pieds. Après avoir grimpé et grimpé, il
s'est stabilisé à 16 000 pieds.
À cette hauteur, il sentait qu'il ne pouvait pas risquer de tirer sur l'un des ballons, de peur de déséquilibrer la charge et de se
retrouver dans de véritables ennuis. Il est donc resté là, à la dérive froide et effrayé avec sa bière et ses sandwichs, pendant plus de 14
heures. Il a traversé le couloir d'approche principal de LAX, où les pilotes de Trans World Airlines et de Delta Airlines ont transmis par
radio des rapports sur l'étrange spectacle.

Finalement, il a rassemblé le courage de tirer quelques ballons et est descendu lentement. Les attaches suspendues se sont
emmêlées et prises dans une ligne électrique, occultant un quartier de Long Beach pendant 20 minutes. Larry est monté en lieu sûr,
où il a été arrêté par des membres du LAPD en attente. Alors qu'il était emmené menottes aux poignets, un journaliste envoyé pour
couvrir l'audacieux sauvetage

lui a demandé pourquoi il l'avait fait. Larry a répondu nonchalamment: "Un homme ne peut pas rester assis." 1
Heureusement, nous n'avons pas besoin d'aller si loin pour voyager ou pour nous éloigner des gens.

ASTUCES DE VOYAGE

Depuis vingt-cinq ans, j'ai beaucoup voyagé. J'ai perdu la trace du nombre de miles aériens que j'ai parcourus, mais cela doit
être supérieur à 3 millions. J'ai été sur à peu près tous les types d'avions ( sauf une chaise de jardin flottante), dans toutes sortes
de conditions, sur six des sept continents. Et peu importe où j'allais ou ce que je faisais, j'ai toujours trouvé une chose vraie: le
voyage avec les autres est toujours plus lent que le voyage seul.

Je me suis souvenu de cela récemment lorsque je suis allé en croisière avec ma famille. En voyage d'affaires seul, je flambe à l'aéroport,
et je suis dans un avion vraiment rapidement. Je connais les tenants et les aboutissants de la plupart des aéroports, je sais éviter les files
d'attente et je n'enregistre pas les bagages. Et si juste Margaret et moi voyageons ensemble, nous bougeons encore très vite. Après
trente-cinq ans de mariage et de voyage ensemble, nous avons un excellent système. Mais quand nous allons avec toute la famille - deux
enfants, leur conjoint et tous les petits-enfants - croyez-moi, c'est beaucoup plus lent. Et si vous ajoutez mes parents ou Margaret ou l'un de
nos frères et sœurs ou leurs familles, cela se multiplie. J'adore passer du temps avec ma famille et je ne l'échangerais pas, mais je fais de
tels voyages connaissance que nous allons voyager à un rythme lent.

Je dois admettre que la patience n'est pas l'une de mes forces. Chaque jour je me demande, Pourquoi ces gens se déplacent-ils si
lentement? Cela se produit dans la circulation, dans les magasins, au travail, sur le terrain de golf, etc. Un ami de longue date m'appelle le
lapin Energizer. La bonne nouvelle est que même si je n'ai pas
beaucoup d'énergie comme dans la vingtaine, j'ai encore beaucoup d'énergie, même si je suis dans la cinquantaine. La mauvaise nouvelle, c'est que
quand j'étais plus jeune, je projetais constamment une vision pour les gens de mon organisation et les laissais ensuite derrière - pas une bonne chose
pour un leader. J'ai dû apprendre à me connecter avec les gens et à développer la patience. Voici deux étapes essentielles de l'établissement de relations:

Patience sans connexion - la relation manque d'énergie. Connexion sans patience - la

relation manque de potentiel. Connexion avec patience - la relation a de l'énergie et du
potentiel. Si vous voulez que les relations durent, vous avez besoin à la fois d'énergie et de
potentiel.

FAIRE DE LA PATIENCE UNE VERTU

À peu près tout le monde conviendrait que la patience est une bonne qualité; nous l'admirons et le désirons. Ceux d'entre nous qui en ont le plus besoin sont
cependant les moins enclins à le cultiver. Nous avons besoin de patience pour développer la patience. Alors, comment pouvons-nous surmonter ce
catch-22? La réponse est d'élaborer un plan. Voici six étapes que vous pouvez suivre pour devenir une personne plus patiente dans vos relations:

1. Donner la priorité à la patience comme une vertu digne de se développer

Arnold Glasgow a souvent déclaré: «La clé de tout est la patience. Vous obtenez le poulet en faisant éclore l'œuf, pas en le brisant. À
long terme, vous constaterez que la patience avec les gens vous est bénéfique. Mais vous ne verrez peut-être pas de retour tout de
suite. Il se peut que vous deviez attendre. Si vous êtes une personne impatiente et que vous avez du mal à donner la priorité à la
patience maintenant, sachez ceci: les gens autour de vous en bénéficieront immédiatement. Comme l'a noté le philosophe grec
Aristote, «Les plus grandes vertus sont celles qui sont les plus utiles aux autres».

2. Comprenez qu'il faut du temps pour établir de bonnes relations

Tout ce qui vaut vraiment la peine dans cette vie prend du temps à construire, et c'est vrai des relations. Plus il y a de personnes impliquées dans le
cercle relationnel, plus cela prend de temps. Par exemple, pensez au temps qu'il faut à un groupe de travail pour développer des relations et une
chimie. Deux ou trois personnes peuvent se connaître et apprendre à travailler ensemble assez rapidement. Cela prend beaucoup plus de cinq
personnes. Si vous avez neuf ou dix personnes, il leur faut vraiment beaucoup de temps pour se geler. Plus le groupe est grand, plus cela prend du
temps.
Les relations de toute profondeur prennent également du temps. Même dans les meilleures circonstances, comme lorsque vous avez une chimie
instantanée avec une autre personne, il faut encore du temps pour vraiment construire cette relation et la rendre forte. Toutes les bonnes relations prennent
du temps.

«Les plus grandes vertus sont celles qui sont les plus utiles aux autres.»
- ARISTOTE

3. Mettez en pratique le principe d'échange

Pour développer la patience, vous devez apprécier comment les autres pensent et être sensible à ce qu'ils ressentent. Tout le monde pense. . .
 ses problèmes sont les plus graves,
ses blagues sont les plus drôles
ses prières doivent recevoir une attention particulière sa
situation est différente
ses victoires sont les plus exemplaires ses
fautes doivent être négligées
En d'autres termes, chacun de nous pense que notre situation mérite une attention particulière - les gens devraient être très patients avec
nous. Au lieu de cela, nous devrions renverser la situation: nous devrions nous mettre à la place de l'autre personne (comme je l'ai expliqué dans le
principe d'échange), et être très patient avec elle.
La prochaine fois que vous vous sentirez impatient avec quelqu'un qui vous ralentit, pensez à cette histoire: la voiture d'une jeune femme a
calé à un feu rouge. Elle a essayé et essayé de le faire démarrer, mais n'a eu aucune chance. Le feu est passé au vert et elle s'est assise, en
colère et embarrassée, bloquant la circulation. La voiture derrière elle aurait pu faire le tour, mais au lieu de cela, le conducteur a ajouté à sa
frustration en s'allongeant sur son klaxon.

Après une autre tentative désespérée pour démarrer la voiture, elle est descendue et est retournée à l'autre voiture. L'homme a baissé
sa fenêtre de surprise.
«Dites-vous quoi», dit-elle. «Vous allez démarrer ma voiture, et je vais m'asseoir ici et klaxonner pour vous.

4. Réalisez que les gens Avoir et Créer Problèmes

En ce qui concerne les gens, il y a de bonnes nouvelles et de mauvaises nouvelles. La bonne nouvelle est que certaines personnes
dans votre vie vont être la source de votre plus grande joie. La mauvaise nouvelle est que ces mêmes personnes peuvent être la cause
de vos plus grands problèmes. C'est vrai non seulement à la maison mais aussi au travail. Et plus vous montez en leadership, plus les
problèmes sont difficiles. Les conclusions des experts en leadership Warren Bennis et Burt Nanus le confirment. Ils déclarent: «Ce que
nous avons constaté, c'est que plus le rang est élevé, plus l'entreprise est interpersonnelle et humaine. Nos dirigeants passent environ
90% de leur temps avec les autres et pratiquement le même temps à s'occuper de la

désordre des problèmes de personnes. 2

Lorsque vous décidez de développer une relation avec une autre personne, gardez à l'esprit qu'il s'agit d'un forfait. Vous ne pouvez pas prendre
uniquement les bonnes choses et rejeter les mauvaises. Tout le monde a des problèmes, des angles morts et de mauvaises habitudes. Essayez de
donner aux autres le même genre de grâce que vous aimeriez recevoir pour vos lacunes.

5. Identifiez les domaines où les gens ont besoin de patience avec vous

Pendant que nous parlons de lacunes, c'est une bonne idée pour nous de savoir les notres sont. Par exemple, je sais que les personnes les
plus proches de moi ont besoin de patience pour supporter mes idiosyncrasies. Ironiquement, le premier supporte mon impatience! (Je travaille
sur celui-là.) Mais il y en a plein d'autres. Juste pour le plaisir, j'ai demandé à mon assistante, Linda Eggers, de me donner une liste des
domaines dans lesquels elle a longtemps souffert. Cela ne lui a pas pris longtemps. Voici les principales choses qu'elle a mentionnées:

Je perds constamment mon téléphone portable et mes lunettes. Chaque fois que nous
discutons de planification, je veux beaucoup d'options. Je change constamment mes
projets de voyage et mes besoins.
Je me dépasse, et par conséquent, les projets prennent plus de temps que le temps imparti. Je déteste dire non.

Je veux pouvoir l'appeler vingt-quatre heures sur vingt-quatre, sept jours sur sept.
 Je suis sûr qu'il y en a beaucoup plus, mais cela suffit. Si je peux garder à l'esprit que les autres sont patients avec moi dans plusieurs
domaines, cela m'aide à me souvenir d'être patient avec les autres. Cela pourrait avoir un effet similaire sur vous.

6. Reconnaissez que toutes les relations comportent des abandons, des abandons et des concessions

Toutes les relations ont des moments difficiles. Peu importe leur qualité ou leur durée. Et nous ne pouvons pas toujours tout avoir à
notre manière. Nous ferons l'expérience de domaines où nous devons donner:
Il y aura des abandons. Il y aura des choses que j'aime faire mais que je ne devrais pas faire pour le moment. Pour
exemple, quand mes enfants étaient petits, j'ai abandonné le golf. Le jeu prenait trop de temps. Ma
relation avec eux était plus importante.
Il y aura des abandons. Il y aura des choses que je n'aime pas faire mais que je devrais faire en ce moment. Je ne
aime particulièrement faire de l'exercice, mais je veux passer plus de temps sur terre avec ma famille et mes amis. Alors je monte sur le
tapis roulant presque tous les jours.
Il y aura des concessions mutuelles. Il y aura des choses que nous ferons les uns pour les autres en ce moment. je
rappelez-vous une fois que Margaret était allée à une retraite pour femmes, et elle m'a appelé parce qu'elle souhaitait être à la
maison. Après avoir raccroché le téléphone, j'ai décidé de la surprendre en la prenant. C'était à deux heures de route dans chaque
sens, mais le voyage en valait la peine.
Je dois mentionner que personne ne peut vous faire abandonner, céder ou donner et recevoir. Ce sont des activités bénévoles.
Mais si vous voulez que les relations durent, vous devez être flexible. Suivez les conseils de la psychologue Joyce Brothers, qui dit que
les relations doivent suivre l'une des règles de la motomarine: «Le bateau le plus maniable doit céder la place au bateau le moins
flexible.»
En travaillant sur ce chapitre, j'ai pensé à mon entourage, aux personnes les plus proches de moi qui font partie intégrante de ma satisfaction
et de ma réussite. Certains d'entre eux sont plus rapides que moi; certains d'entre eux sont plus lents. Mais avec tous, j'essaye de faire ces
choses:
Servez-les. Laissez-les diriger et faire à leur manière, et aidez-les quand cela aide.
Encadrez-les. Répondez à leurs questions, donnez l'exemple et dirigez ou corrigez seulement quand il le fera
faites une différence.
Valorisez-les. Écoutez leurs idées, respectez leurs positions et ne portez jamais atteinte à leur autorité.
Récompensez-les. Prenez bien soin de ceux qui prennent bien soin de vous.
Voici l'essentiel en ce qui concerne le principe de patience. Si vous voyagez seul, vous pouvez probablement aller plus vite. Mais le
voyage ne sera jamais aussi enrichissant et vous ne pourrez probablement pas aller aussi loin. Avec certaines personnes, nous sommes
patients avec eux à cause de la relation. Avec les autres, nous sommes patients avec eux à cause du retour. Et avec d'autres encore, nous
sommes patients avec eux à cause des deux. Toute relation demande de la patience, mais au final, ça vaut le coup.

QUESTIONS DE DISCUSSION SUR LES PRINCIPES DE PATIENCE

1. Existe-t-il des types de personnalité particuliers qui sont sujets à l'impatience envers les autres? Si oui, décrivez-les. Y a-t-il certains
types qui sont particulièrement lents? Comment ces deux types peuvent-ils apprendre à interagir plus positivement?

2. Pensez aux trois à cinq personnes les plus proches de vous. Depuis combien de temps les connaissez-vous? Comment vos relations ont-elles
commencé? Lorsque vous les avez rencontrés pour la première fois, vous attendiez-vous à ce qu'ils deviennent des amis proches? Dans
quelle mesure votre investissement dans la relation était-il intentionnel? Combien de temps a-t-il fallu pour développer une relation plus
profonde? Auriez-vous pu accélérer le processus ou avez-vous besoin de tout le temps passé?
3. Quels types de situations rendent les gens impatients envers les autres? Quelles situations particulières vous rendent impatient avec
les gens? Comment cela fonctionne-t-il contre vous dans les relations? Comment pouvez-vous changer votre attitude ou vos
actions pour vous rendre moins impatient et mieux rester connecté avec les autres?

4. Dans quels types de relations est-il le plus difficile d'abandonner ce que vous voulez, de céder à ce que veut l'autre personne
et de donner et recevoir afin de faire ce qui est le mieux pour la relation? Où les buts entrent-ils en jeu? Et les valeurs?
Dans quelles situations serait-il mal d'abandonner ou de céder? Qu'est-ce qu'un équilibre approprié de concessions
mutuelles? Comment pouvez-vous vous assurer que la relation ne se déséquilibre pas?

5. Lesquelles de vos bizarreries, idiosyncrasies ou bizarreries pourraient amener les autres à être patients avec vous? (Si vous pensez que vous
n'en avez pas, parlez-en à trois amis proches ou membres de votre famille et demandez-leur de vous dire ce qu'ils sont.) Pourquoi les gens
devraient-ils être patients avec vous dans ces domaines? Le faites vous attendre les autres doivent être patients et prendre cela pour acquis,
ou êtes-vous reconnaissant de leur patience? Explique.
 LA FÊTE
PRINCIPE

LE VÉRITABLE TEST DE
LES RELATIONS NE SONT PAS SEULEMENT
HOWLOYALWE AREWHEN
LES AMIS ÉCHOUENT, MAIS COMMENT
NOUS SOMMES HEUREUX
ILS REUSSISSENT

Les gens moyens ne veulent pas que les

autres dépassent la moyenne.
LA QUESTION QUE JE DOIS ME POSER:
EST-CE QUE JE PROFITE ET RACINE POUR LE
LE SUCCÈS DE MES AMIS?
je Je crois en tous les principes des personnes dans ce livre, et je travaille à les pratiquer chaque jour de ma vie. Mais le principe de
célébration est particulièrement important pour moi personnellement. J'ai eu beaucoup de chance au début de ma carrière. Je sais depuis
que j'ai quatre ans ce que je voulais faire dans la vie. Et j'ai grandi dans une maison avec un père qui avait de l'expérience et du succès
dans le métier dans lequel je le suivrais. La situation est similaire à celle de la famille Manning dans le football. Le quart-arrière à succès de
la NFL Peyton Manning (et son jeune frère, Eli) a grandi dans la maison d'Archie Manning, qui a joué pour les Saints de la
Nouvelle-Orléans. En conséquence, ils ont eu un bon départ dans le football que 99% des autres enfants n'avaient pas.

En plus des expériences et de l'exposition que j'ai reçues en étant simplement avec mon père, j'ai bénéficié de son leadership fort. Il
a été très stratégique dans mon développement, identifiant et encourageant mes forces très tôt. Il m'a envoyé à plusieurs séminaires
Dale Carnegie avant d'obtenir mon diplôme du lycée, a dirigé ma croissance par des lectures approfondies et m'a emmené voir et
rencontrer certains des grands prédicateurs de l'époque. Les avantages que j'ai reçus sont trop nombreux pour être énumérés. Je leur
suis vraiment reconnaissant.

Le résultat de mon éducation a été que j'ai vu le succès au début de ma carrière. J'ai réalisé beaucoup de premières dans ma
dénomination. J'étais la plus jeune personne à être élue à un bureau national. J'ai été le premier pasteur à changer le nom de l'église pour
mieux atteindre la communauté. J'étais le plus jeune à écrire son premier livre. Et j'ai eu la première église qui comptait en moyenne plus de
mille participants chaque dimanche.
Malheureusement, pendant ces premières années, j'aurais pu aussi être le pasteur le plus solitaire de ma dénomination. La bonne nouvelle,
c'est que lorsque j'ai échoué, beaucoup de gens étaient heureux de compatir avec moi. Mais quand j'ai réussi, peu ont célébré. Je pensais que
mes collègues et moi étions dans la même équipe, mais évidemment, ils ne voyaient pas les choses de cette façon. Plusieurs fois, Margaret et
moi avons célébré seuls.

CE QUE J'AI APPRIS SUR LE PRINCIPE DE CÉLÉBRATION

Ces premières expériences nous ont beaucoup appris. Bon nombre des leçons que nous avons apprises sont des choses que vous pouvez également
trouver utiles:

La joie de l'accomplissement est diminuée lorsque personne ne célèbre avec vous

Quand je suis allé à la conférence de ma dénomination après ma première année en tant que pasteur, j'étais excité par les choses qui se
passaient dans mon église. J'aidais les gens et je pensais que je faisais vraiment une différence dans ma communauté. Mon
enthousiasme était sans bornes. À ma grande surprise, personne n'a partagé mon enthousiasme! Les gens semblaient me regarder avec
scepticisme ou dédain. Cela m'a vraiment dégonflé émotionnellement. Les paroles du dramaturge Oscar Wilde étaient vraies: «Tout le
monde peut sympathiser avec les souffrances d'un ami, mais il faut une nature très fine pour sympathiser avec le succès d'un ami.

Après que Margaret et moi en avons parlé, nous avons décidé de ne jamais laisser le manque d'enthousiasme des autres entraver le
nôtre. Et nous sommes également devenus déterminés à célébrer avec des amis quand ils ont réussi - et à être encore plus enthousiastes
quand ils nous ont dépassés!
C'est l'une des raisons pour lesquelles j'aime faire des conférences pour les jeunes leaders. Cela me donne l'occasion de célébrer avec
eux et de défendre leurs succès. Je veux qu'ils se sentent encouragés et continuent à poursuivre leurs rêves. On ne sait pas ce qu'ils
pourraient accomplir en sachant que les autres veulent qu'ils réussissent.

Beaucoup de gens s'identifient à l'échec; Moins de personnes s'identifient avec succès

Il y a plusieurs années, j'ai écrit un livre intitulé Échouer en avant. Alors que je me préparais à y travailler, j'ai donné des conférences sur
le sujet dans tout le pays. Et ce que j'ai trouvé c'est que toutes les personnes s'identifie à l'échec. En fait, quand j'ai dit aux gens qu'ils
devaient apprendre à utiliser leurs erreurs comme tremplins pour réussir en échouer en avant, la réaction du public était audible. Ils
voulaient apprendre à échouer en avant.

Ce que j'ai découvert au fil des années de travail avec les gens est la suivante: vous pouvez peut-être impressionner les gens avec
vos succès, mais si vous voulez les influencer, partagez vos échecs. Tout le monde a échoué, c'est donc un excellent moyen de se
connecter.
Le problème est que parce que les gens s'identifient si facilement à l'échec, ils ont parfois du mal à se connecter avec le
succès. Et s'ils ne s'identifient pas au succès, ils peuvent lui en vouloir.

Ce qui empêche les gens de réussir les empêche souvent de célébrer le succès des autres

Souvent, les mêmes qualités qui empêchent les gens de réussir - insécurité émotionnelle, état d'esprit de rareté,
jalousie mesquine, etc. - les empêchent de célébrer les succès des autres. Ils se comparent constamment aux autres
et se trouvent en manque. En conséquence, ils ont du mal à se dépasser.

Le conférencier professionnel Joe Larson a dit un jour: «Mes amis ne croyaient pas que je pouvais devenir un orateur à succès. Alors
j'ai fait quelque chose à ce sujet. Je suis sorti et j'ai trouvé de nouveaux amis! C'est triste, mais parfois c'est ce qu'il faut.

Les personnes qui célèbrent avec vous deviennent des amis pour la vie

Au cours des premières années de ma carrière, deux personnes en dehors de ma famille qui ont célébré avec nous quand nous avons réussi
étaient Dave et Mary Vaughn. Dave avait quelques années d'avance sur moi dans sa carrière et il était toujours prêt à m'encourager lorsque
j'atteignais un objectif ou passais un cap. Même lorsque mon église est devenue plus grande que la sienne et que j'ai acquis plus de notoriété, il
ne s'est jamais retenu. Et trente-cinq ans plus tard, lui et Mary célèbrent toujours avec nous!

ATTENTION AU MONSTRE AUX YEUX VERTS

En octobre 2003 à Catalyseur, une conférence pour les jeunes leaders organisée par l'une de mes entreprises, Andy Stanley a pris la parole.
Andy est un communicateur efficace et authentique. Il dirige la Northpoint Community Church, l'une des meilleures églises du pays avec une
assistance de plus de quinze mille personnes chaque week-end. (Juste au cas où vous ne seriez pas familier avec le monde de l'église, cela
place Northpoint dans le top 1 pour cent de toutes les églises en Amérique.)

La deuxième session d'Andy portait sur quatre caractéristiques négatives qui peuvent faire trébucher un leader: la culpabilité, la colère, la
cupidité et la jalousie. Andy a avoué qu'il éprouve parfois des moments de jalousie professionnelle en entendant parler d'autres personnes qui
réussissent. Il a dit: «Je dois faire un effort supplémentaire pour célébrer le succès d'autres personnes qui font ce que je fais.»

Ce potentiel de jalousie s'étend même aux amis les plus proches d'Andy, dont Louie Giglio, qui dirige Choice
Resources. Andy a expliqué,
Louie et moi sommes amis depuis la sixième. . . Nous nous sommes rencontrés au camp de jeunes sous un lit superposé pendant que les
personnes âgées se battaient au-dessus de nos têtes. Louie est juste un communicateur phénoménal.
 Quand j'annonce à notre église que Louie Giglio va parler la semaine prochaine, ils commencent tous à applaudir et nous avons
une forte fréquentation dimanche. Et puis pendant quatre ou cinq jours, le reste de la semaine, tout le monde dit: «Oh, Louie,
Louie, Louie.»
Andy a poursuivi en racontant comment Louie enseigne toujours aux foules de capacité lors de ses événements et livre un matériel exceptionnel. Et
chaque fois qu'Andy l'entend parler, de minuscules douleurs de jalousie menacent de relever leurs vilaines têtes.

De tels sentiments pourraient détruire la relation entre Andy et Louie, et cette relation est profonde. Non seulement ils travaillent
parfois ensemble, mais leurs familles sont proches et ils partent même en vacances ensemble. Comment Andy gère-t-il l'envie qu'il
ressent? En célébrant les réalisations de Louie. Lorsque Louie délivre un excellent message, Andy fait tout son possible pour le féliciter
et célébrer avec lui. Et Louie fait de même avec lui. Andy a dit: «Il ne suffit pas de le penser. Je dois le dire parce que c'est comme ça
que je nettoie mon cœur. La célébration est le moyen de vaincre la jalousie.

DEVENIR UN PARTI STARTER

Andy n'est pas seul. Si la plupart des gens étaient honnêtes, ils admettraient des sentiments de jalousie ou d'envie lorsqu'ils sont témoins du succès des
autres, même lorsque ceux qui réussissent sont des amis proches. Je sais que j'ai combattu les sentiments de jalousie. N'avez-vous pas? Alors,
comment apprenez-vous à célébrer avec les autres au lieu de les ignorer ou de les miner? Commencez par faire ces quatre choses:

1. Réalisez que ce n'est pas une compétition

Il est impossible de faire quelque chose de vraiment significatif par vous-même. Il est très difficile de réussir sans aide. Et même si vous
réussissez, vous ne l'apprécierez pas sans amis. La vie est meilleure dans une communauté de personnes que vous aimez et qui vous
aiment aussi.
Lorsque je réfléchis à la valeur de la communauté, de nombreuses pensées me viennent à l'esprit:
Mon succès ne peut être atteint qu'avec les autres. Mes leçons
ne peuvent être tirées que des autres.
Mes faiblesses ne peuvent être renforcées que par les autres.
Mon service ne peut être testé que sous la direction des autres. Mon influence ne
peut être aggravée que par les autres. Mon leadership ne peut être concentré que
sur les autres.
Mon meilleur ne peut être donné qu'aux autres. Mon
héritage ne peut être laissé qu'aux autres.
Alors je devrais m'engager et célébrer avec autres!
D'autres personnes ont un impact sur tous les aspects de la vie. La plupart du temps, je choisis avec mon attitude si cet impact
est positif ou négatif.
L'artiste Bette Midler a déclaré: «La pire partie du succès est d'essayer de trouver quelqu'un qui est heureux pour vous.» Ne considérez pas vos
amis, votre famille et vos coéquipiers comme de la concurrence. Soyez le type rare de personne qui est heureux quand les autres réussissent.

2. Célébrez quand les autres voient le succès

Tout le monde ne voit pas le succès comme vous. Quand il s'agit du principe de célébration, vous devez être prêt à regarder
les choses du point de vue des autres. Quels sont leurs rêves? Quels buts
ont-ils mis? Quelles batailles livrent-ils? Lorsqu'ils réalisent quelque chose d'important
leur, alors célébrez! Et soyez particulièrement prudent lorsqu'un ami accomplit quelque chose que vous avez déjà accompli et que vous trouvez
peut-être vieux. Assurez-vous de célébrer avec enthousiasme. Ne volez jamais le tonnerre d'une autre personne.

3. Célébrez les succès que d'autres ne voient pas encore

Parfois, les gens font de grands progrès et n'en sont même pas conscients. Avez-vous déjà commencé à faire un régime ou à faire de l'exercice et,
après un certain temps, vous avez senti que vous vous débattiez, pour qu'un ami vous dise à quel point vous êtes beau? Ou n'avez-vous pas travaillé
sur un projet et vous êtes senti découragé par vos progrès, mais un ami s'est-il émerveillé de ce que vous aviez accompli? C'est inspirant et ça donne
envie de travailler encore plus. Si vous pas demandez à un ami de faire cela pour vous, alors vous aurez peut-être besoin de nouveaux amis - des gens
qui pratiquent le principe de la célébration.

4. Célébrez le plus avec vos proches

Plus les gens sont proches de vous et plus la relation est importante, plus vous devez célébrer. Fêtez tôt et souvent avec vos
proches, surtout avec votre conjoint et vos enfants si vous avez une famille. Il est généralement facile de célébrer des victoires au
travail ou dans un passe-temps ou un sport. Mais les plus grandes victoires de la vie sont celles qui se produisent à la maison.

Mon ami Dan Reiland dit: «Un véritable ami nous encourage et nous met au défi de vivre nos meilleures pensées, d'honorer nos motifs
les plus purs et de réaliser nos rêves les plus importants.» C'est ce que nous devons faire avec les personnes importantes dans nos vies.

J'ai une confession à faire. Je n'ai pas toujours pratiqué le principe de célébration au travail. J'ai toujours assez bien célébré à la
maison, mais dans les premières années de ma carrière, j'étais très compétitif. J'étais poussé à atteindre et j'étais très conscient de mon
classement par rapport à mes collègues. J'ai pris une joie secrète à regarder mes progrès alors que je grimpais dans ces rangs. Mais au
fur et à mesure que je progressais vers le sommet, quelque chose s'est passé. La réalisation de mes objectifs n'a pas été aussi
enrichissante que je m'y attendais. J'ai senti qu'il manquait quelque chose.

«Un véritable ami nous encourage et nous met au défi de vivre nos meilleures pensées, d'honorer nos plus purs
motivations, et réaliser nos rêves les plus importants.
- DAN REILAND

À la fin des années 80 et au début des années 90, j'ai finalement commencé à changer. Quand j'ai eu quarante ans, j'ai réalisé que pour atteindre mes
objectifs, j'aurais besoin de l'aide des autres. J'ai commencé à développer de manière plus agressive mes employés pour qu'ils dirigent. Au début, mes
motivations étaient quelque peu égoïstes. Mais en aidant les autres à réussir, j'ai trouvé que cela m'apportait une grande joie, que cela me profite
personnellement ou non.
Ce que j'ai découvert, c'est que le voyage est beaucoup plus amusant si vous emmenez quelqu'un avec vous. Il est difficile d'avoir
cette perspective si votre propre succès est la seule chose que vous célébrez. Si vous voulez que les autres réussissent à vos côtés,
vous devez les encourager et célébrer leurs succès. Non seulement cela les incite à poursuivre leurs rêves, mais cela les aide également
à profiter du voyage en cours de route. En commençant à tendre la main et à célébrer les succès des autres, j'ai découvert que le succès
des autres m'apportait plus de joie que mon succès.

Maintenant, j'essaie de célébrer avec autant de personnes que possible - pas seulement ma famille, mes amis et mes collègues les plus proches,
mais aussi les gens plus éloignés de mon cercle. Plus je peux encourager et aider de personnes
pour réussir, mieux je l'aime. Si vous aidez suffisamment de personnes, la fête ne s'arrête jamais.

QUESTIONS DE DISCUSSION SUR LE PRINCIPE DE CÉLÉBRATION

1. Êtes-vous d'accord pour dire que la plupart des gens s'identifient plus facilement à l'échec qu'au succès? Expliquez votre réponse.
Que possèdent les personnes qui s'identifient au succès que les autres n'ont pas? Ont-ils encore besoin de l'encouragement qui
vient lorsque des amis célèbrent leurs succès? Pourquoi?
2. Certaines personnes ont du mal à célébrer même leurs propres réalisations. Pourquoi donc? Comment allez-vous quand
il s'agit de célébrer les succès? Prenez-vous le temps de célébrer la réalisation des jalons et des objectifs? Sinon,
pourquoi pas? Si vous ne reconnaissez pas vos réalisations, serez-vous enthousiaste à l'idée de célébrer celles des
autres? Que devez-vous faire pour changer votre attitude envers vous-même et envers les autres? Si vous célébrez vos
victoires et vos réalisations, combien c'est trop? Pourquoi?

3. Qui célèbre avec vous? Avez-vous des amis, des collègues ou des membres de votre famille qui vous encouragent? Si la réponse
est non, alors vous devez cultiver de nouvelles amitiés avec des personnes qui sont plus encourageantes et qui se concentrent
sur vos forces. Si la réponse est oui, remerciez-les pour leur soutien et assurez-vous de célébrer avec eux.

4. Quelle est votre tendance naturelle: vous engager dans la compétition ou favoriser la coopération? Les gens peuvent-ils être compétitifs et
continuer à pratiquer efficacement le principe de célébration? Les gens peuvent-ils être coopératifs par nature, tout en négligeant de
célébrer avec les autres?
Explique. Que peuvent faire les gens pour favoriser un esprit festif en eux-mêmes, indépendamment
leurs types de personnalité?
5. Pensez aux personnes avec lesquelles vous faites tout votre possible pour célébrer. Y a-t-il d'autres personnes dans votre vie qui
seraient particulièrement encouragées et élevées par la célébration de votre part? Pour qui dans votre vie est-ce votre responsabilité
encourager par la célébration? Qu'aimeriez-vous commencer à faire différemment pour aider les autres à célébrer?
 LA HAUTE ROUTE
PRINCIPE

NOUS ALLONS À UN NIVEAU SUPÉRIEUR

LORSQUE NOUS TRAITONS D'AUTRES

MIEUX QU'ILS NOUS TRAITENT

Gardez un cimetière de taille moyenne dans votre cour arrière, dans

lequel enterrer les fautes de vos amis.
- HENRY WARD BEECHER
LA QUESTION QUE JE DOIS ME POSER:
EST-CE QUE JE TRAITE LES AUTRES
MIEUX QU'ILS ME TRAITENT?
je n 1842, la vie de William Booth, 13 ans, a changé. Son père, Samuel Booth, a perdu son entreprise. L'aîné Booth était autrefois un
fabricant de clous, mais lorsque son métier est devenu la victime de la production de masse, il a démarré une entreprise de petit
constructeur. Malheureusement, les récessions récurrentes ont fait des ravages et Booth a finalement fait faillite. Cela l'a mis, lui et sa
famille, dans des circonstances difficiles. En conséquence, William, qui avait grandi dans une famille avec suffisamment d'argent pour le
faire instruire, fut envoyé pour apprendre un métier. Il a été apprenti chez un prêteur sur gages dans un quartier miteux de Nottingham,
en Angleterre.

«Gagnez de l'argent», était le conseil du père de Booth, décédé en faillite l'année suivante. Booth a appris à gagner de l'argent tout en
apprenant son métier. Mais son apprentissage lui a également donné un autre type d'éducation. Travaillant dans la boutique d'un prêteur
sur gages, il était en contact quotidien avec les pauvres et

dépourvu. Une biographie a noté: «Il a appris par une introduction ce que la pauvreté a fait aux gens.» 1 Ce n'est pas par hasard que
pendant ses années d'apprenti, il est devenu une personne de foi - un chrétien.

UN CHANGEMENT DE CŒUR

En 1849, Booth déménage à Londres et prend un poste dans un prêteur sur gages dans un quartier pauvre au sud de la Tamise.
Mais après seulement trois ans, il abandonna ce métier et devint ministre. Il considérait la foi comme la solution aux problèmes de
ceux qui luttaient pour survivre. Et il s'est lancé dans un

mission permanente qui avait deux objectifs: sauver les âmes perdues et corriger les injustices sociales. 2
Au début, il est devenu un pasteur méthodiste de New Connexion, puis un évangéliste itinérant. Mais en 1865, lorsque des
gens de la région l'entendirent prêcher devant le Blind Beggar Pub dans l'est de Londres, il fut recruté pour faire partie d'un
ministère de tente qui fut appelé la Mission Chrétienne.
De là, Booth a servi les personnes les plus pauvres de Londres. L'East End contenait la moitié des

pauvres, sans-abri et affamés à Londres. 3 Ses premiers convertis faisaient partie des types de personnes les plus désespérés: les
voleurs, les prostituées, les joueurs et les ivrognes. Il essayait de faire une différence, mais ses efforts n'étaient pas appréciés, même
de la part des personnes mêmes qu'il essayait d'aider.
Lui et ses collègues ont été harcelés et brutalisés. Les tavernes locales ont travaillé particulièrement dur pour saper ses efforts. Même
les enfants des rues ont jeté des pierres et des feux d'artifice à travers les fenêtres de leur salle de réunion. L'épouse de Booth, Catherine, a
déclaré qu'il «rentrerait à la maison nuit après nuit, fatigué de fatigue. Souvent, ses vêtements étaient déchirés et ensanglantés, des
bandages enveloppaient sa tête où un

la pierre avait frappé. 4 Mais Booth ne riposterait pas en nature. Et il a refusé d'abandonner.
Booth a travaillé pour nourrir les pauvres, loger les sans-abri et partager sa foi. Son organisation a continué de croître. En
1867, il avait dix travailleurs à plein temps. En 1874, plus de mille volontaires et quarante-deux évangélistes travaillaient avec
lui. En 1878, lors de leur réorganisation, Booth a donné un nouveau nom au groupe. Désormais, l'organisation s'appellerait
l'Armée du Salut.
Malheureusement, cela n'a pas arrêté les adversaires du groupe. Booth a été étiqueté «anti-Christ» par le

réformateur Lord Shaftesbury. 5 Un groupe d'opposition s'est formé pour tenter d'arrêter Booth et ses associés. Ils sont venus pour
s'appeler l'Armée squelette. Un article dans le Poste de l'Est de Bethnal Green en novembre 1882 les décrivait:

Une véritable cohue de «bruts» purs et purs infeste le quartier depuis plusieurs semaines. Ces vagabonds
s'appellent eux-mêmes «l'armée squelette». . . Le but de l'armée squelette était de rabaisser les salutistes en
les suivant partout, en battant un tambour et en burlesquing leurs chants, pour rendre impossible la conduite de
leurs processions et services. . . Parmi la canaille squelette, il y a un grand pourcentage de. . . mocassins et
blackguards inconditionnels. . . [et] la classe peu recommandable de publicains qui détestent le
 Conseil scolaire de Londres, éducation et tempérance, et qui, voyant le début de la fin de
leur trafic immoral [sic], et préparé pour l'entreprise [sic] la plus désespérée. 6
Malgré l'horrible traitement qu'ils ont reçu, les officiers et les volontaires de l'Armée du Salut
persévéré et ils ont aidé des centaines de milliers de personnes. sept Souvent, ils ont converti les personnes mêmes qui les avaient
persécutés.
En 1912, William Booth, alors âgé de quatre-vingt-trois ans, prononça son dernier discours public. Dans ce document, il a déclaré son engagement à
investir dans les personnes:
Pendant que les femmes pleurent comme elles le font maintenant, je me battrai; tandis que les petits enfants ont faim comme ils le font
maintenant, je me battrai; tandis que les hommes vont en prison, entrer et sortir, entrer et sortir, comme ils le font maintenant, je me battrai; tandis
qu'il reste un ivrogne, tandis qu'il y a une pauvre fille perdue dans les rues, alors qu'il reste une sombre

âme sans la lumière de Dieu, je combattrai - je combattrai jusqu'au bout. 8

Trois mois plus tard, il mourut. Comme l'a dit un observateur, le «général» qui avait dirigé l'Armée du Salut pendant plus de trente
ans a été «promu à la gloire».
William Booth a passé sa vie à pratiquer le principe de la grande route. Il traitait continuellement les autres mieux qu'ils ne le
traitaient. Et en conséquence, il a vécu au plus haut niveau, personnellement et professionnellement. J'admire énormément William
Booth, mais je dois dire que je n'ai pas toujours cru au principe de High Road. Quand j'étais adolescent, mon père, Melvin Maxwell,
était président d'un collège biblique. J'ai souvent vu avec frustration le conseil d'administration du collège avec lequel il était difficile de
travailler et le traitait mal. Pourtant, peu importe la façon dont les directeurs l'ont traité, mon père n'a jamais riposté; il a toujours pris la
grande route. À l'époque, sa réponse m'a rendu furieux.

«. . . tant qu'il reste une âme sombre sans la lumière de Dieu, je me battrai.
- WILLIAM BOOTH

En vieillissant et en travaillant avec des personnes plus difficiles, j'ai mieux compris les actions de mon père. J'ai réalisé que si vous jetez de la
boue, vous perdez du terrain. Il n'y a en réalité que trois routes que nous pouvons emprunter lorsqu'il s'agit de traiter avec les autres. Nous pouvons
prendre . . .
la route basse - où nous traitons les autres pire qu'ils ne nous traitent
la voie du milieu - où nous traitons les autres comme ils nous traitent la grande route - où
nous traitons les autres mieux qu'ils ne nous menacent
La faible route endommage les relations et éloigne les autres de nous. La voie du milieu ne peut pas éloigner les gens de nous,
mais elle ne les attirera pas non plus vers nous; il est réactif plutôt que proactif et permet aux autres de définir l'ordre du jour de nos
vies. La grande route aide à créer des relations positives et attire les autres vers nous; il établit un programme positif avec les autres
que même les personnes négatives ont du mal à saper. En m'inspirant de mon père, j'ai décidé de travailler chaque jour à prendre la
route avec les autres.

VOYAGEURS HAUTE ROUTE

La grande route est vraiment le chemin le moins fréquenté. Je dis cela parce que prendre la grande route exige de penser et d'agir d'une manière
qui n'est ni naturelle ni courante. Cependant, ceux qui pratiquent le Principe de la Grande Route deviennent des instruments de grâce pour les
autres et des destinataires de la grâce. Et j'ai observé que les «high roaders» ont plusieurs choses en commun:
Les grands routiers comprennent que ce n'est pas ce qui vous arrive mais ce qui se passe en vous qui compte vraiment

Pendant la guerre civile, le général confédéré WHC Whiting était jaloux du général rival Robert E. Lee. Par conséquent, Whiting
a répandu de nombreuses rumeurs à son sujet. Mais il est arrivé un moment où le général Lee aurait pu se venger. Lorsque le
président Jefferson Davis envisageait Whiting pour une promotion clé, il a demandé au général Lee ce qu'il pensait de Whiting.
Sans hésitation, Lee a approuvé et félicité Whiting. Les autres officiers qui ont assisté à l'échange ont été étonnés. Ensuite, l'un
d'eux a demandé à Lee s'il avait oublié tous les mots méchants que Whiting avait répandus à son sujet.

«Je comprends que le président voulait connaître mon opinion sur Whiting», a répondu Lee, «pas l'opinion de Whiting sur
moi.»
Le présentateur David Brinkley a observé: «Un homme qui réussit est celui qui peut jeter une base solide avec les briques que d'autres lui ont
jetées. C'est ce que font les voyageurs sur la grande route. Ils restent fidèles à leurs valeurs fondamentales et traitent les gens en fonction d'eux, et
non en fonction de circonstances extérieures.

Les grands routiers s'engagent à parcourir continuellement la grande route

Presque tout le monde peut être gentil face à la méchanceté de temps en temps. Il est plus difficile de maintenir une attitude de haute route
tout le temps. Hector LaMarque a fait remarquer: «La plupart des gens font de bons choix tous les jours, mais ils ne font pas assez de bons
choix pour créer une dynamique et obtenir le succès. C'est un bon aperçu de ce qui se passe pour les gens qui prennent la grande route
tout le temps: ils créent une dynamique. Ils cultivent également le succès relationnel. Pourquoi? Parce que répondre au mieux aujourd'hui
les met demain au meilleur endroit.

Les grands routiers voient leur propre besoin de grâce, et par conséquent, ils l'étendent aux autres

J'ai vu une fois un panneau qui disait: «L'erreur est humaine, le pardon, ce n'est pas la politique de l'entreprise. C'est drôle, mais cela fait aussi allusion à
la tendance naturelle des gens à ne pas donner de répit aux individus lorsqu'ils agissent d'une manière qui montre leur fragilité humaine. Avouons-le. Nous
sommes tous humains et faisons des erreurs. Les gens qui prennent la grande route reconnaissent leur humanité, savent qu'ils ont besoin d'une grâce
étendue et sont par conséquent plus susceptibles de l'étendre aux autres.

L'une des histoires les plus dramatiques que j'ai jamais lues illustrant cette idée est venue de la vie de Corrie Ten Boom, auteur de La
cachette. Elle et sa famille ont travaillé avec la clandestinité et ont caché les juifs des nazis dans leur maison pendant la Seconde Guerre
mondiale. Lorsque leurs actions ont été découvertes, ils ont été arrêtés par la Gestapo et envoyés au camp d'extermination de Ravensbruck.
Chacun des membres de sa famille est décédé, et ce n'est qu'à cause d'une erreur de paperasse qu'elle a survécu et obtenu sa libération.

Femme de foi forte, Ten Boom a souvent donné des conférences après la guerre. En 1947, elle est retournée à Ravensbruck pour
parler de la grâce et du pardon de Dieu au peuple allemand. Après avoir parlé, elle s'est retrouvée face à face avec le garde le plus
cruel qu'elle avait rencontré à Ravensbruck.
«Cela ne pouvait pas durer plusieurs secondes qu'il se tenait là - la main tendue», écrit-elle, «mais pour moi, cela me parut des heures alors que
je luttais avec la chose la plus difficile que j'aie jamais eu à faire. Finalement, elle lui tendit la main et lui pardonna. Elle a pris la plus difficile de toutes
les grandes routes.

Les routiers ne sont pas des victimes; Ils choisissent de Servir Autres
Les gens qui empruntent la grande route ne le font pas parce qu'aucune autre route ne leur est ouverte. Ils le font par volonté selon un
désir de servir les autres. Ils sont comme la grand-mère lors de son anniversaire de mariage en or qui a révélé aux invités le secret de
son heureux mariage. «Le jour de mon mariage», a-t-elle dit, «j'ai décidé de dresser une liste de dix des défauts de mon mari que, pour
le bien de notre mariage, j'oublierais. Alors que les invités partaient, une jeune épouse a demandé à la femme plus âgée de nommer
certaines des fautes qu'elle avait négligées.

«Pour vous dire la vérité», a déclaré la grand-mère, «je n'ai jamais réussi à faire la liste. Mais chaque fois que mon mari faisait
quelque chose qui me rendait fou, je me disais: «Heureusement pour lui, c'est l'un des dix!» »Parce que la grande route est en
montée, personne ne l'emprunte par accident.

Les grands routiers se fixent des normes plus élevées que les autres

James Michener, l'auteur de Contes du Pacifique Sud, Texas, Centenaire, Espace, et de nombreux autres romans, était un écrivain prolifique qui a
gagné le respect pour ses prouesses littéraires et son succès commercial. Cependant, il a toujours eu un détracteur qui est resté une épine dans son
côté pendant des années.
Abandonné enfant, l'auteur n'a jamais connu ses parents biologiques. Heureusement, il a été accueilli et élevé comme fils adoptif
par une veuve. Il est devenu un Michener, adoptant le nom de sa nouvelle famille. Mais chaque fois qu'il publiait un nouveau livre, il
recevait de vilaines notes d'un membre du clan Michener. Le parent l'a réprimandé pour avoir sali le bon nom Michener, qu'il a dit que le
romancier n'avait pas le droit d'utiliser, malgré le fait que l'écrivain ait remporté un prix Pulitzer.

Malgré les réprimandes, Michener était d'accord avec une chose que le parent a dit. Le romancier s'est particulièrement souvenu du
commentaire: «Qui pensez-vous être, essayant d'être meilleur que vous?» Dit Michener. «J'ai passé ma vie à essayer d'être meilleur que
moi et je suis le frère de tous ceux qui partagent la même aspiration.

Les gens qui adoptent la haute route font de l'excellence leur objectif. C'est quelque chose qui peut être accompli si nous. . .

se soucier plus que les autres ne le pensent est plus risqué que
les autres ne le pensent est un rêve sûr plus que les autres ne
le pensent pratique s'attendre à plus que ce que les autres
pensent être un travail possible plus que d'autres ne le pensent
nécessaire
Lorsque nous nous conduisons selon nos normes les plus élevées, nous sommes moins susceptibles d'être sur la défensive et de prendre la voie basse
lorsque nous sommes attaqués par d'autres. Je dis cela parce que lorsque vous savez que vous avez fait tout ce que vous pouvez faire, vous pouvez laisser
la critique vous échapper comme la pluie.

Les High Roaders font ressortir le meilleur des autres

Avez-vous déjà entendu la fable du lion et de la moufette? Une mouffette fière, bruyante et particulièrement odieuse a défié un
lion à un combat. Le lion déclina rapidement et catégoriquement le défi.
«Hah!» ricana la moufette. «Tu as peur de me battre!»
«Non», répondit le lion, «mais pourquoi devrais-je te combattre? Tu gagnerais la gloire en me combattant, même si je t'ai
donné le pire coup de ta vie - ce que je ferais. Mais qu'en est-il de moi? Je ne pourrais rien gagner en vous battant. D'un autre
côté, tous ceux que j'ai rencontrés pendant un mois sauraient que j'avais été en compagnie d'une mouffette.

La grande route est le seul chemin qui fait ressortir le meilleur des autres. Le philosophe-poète Johann Wolfgang von Goethe a
conseillé: «Traitez les gens comme s'ils étaient ce qu'ils devraient être et vous les aiderez à devenir ce qu'ils sont capables de
devenir.»
Les High Roaders font ressortir le meilleur d'eux-mêmes

Faire de votre pratique de toujours traiter les autres du mieux que vous pouvez affecte la façon dont vous voyez le monde
- et toi. Le président Abraham Lincoln a déclaré: «Mourir quand je peux, je veux que ceux qui me connaissaient le mieux disaient de moi que
j'ai toujours cueilli un chardon et planté une fleur là où je pensais qu'une fleur pousserait.» C'est ce que le principe de la route élevée fait au
cœur d'une personne au fil du temps: il plante des fleurs là où les mauvaises herbes épineuses ont jadis prospéré. La façon dont vous traitez
les autres est votre déclaration au monde de qui vous êtes. Faites-vous le genre de déclaration que vous désirez?

Si vous ne pratiquez pas déjà le principe de la grande route, j'espère que vous l'adopterez à partir de ce jour. C'est probablement le meilleur
investissement que vous puissiez faire dans une relation. Si vous avez besoin d'un peu d'aide pour vous rendre sur la grande route, suivez ces
«instructions»:
1. Restez sur Kindness Street le plus longtemps possible.
2. Tournez à droite sur l'avenue du pardon.
3. Évitez Get Even Alley parce que c'est une impasse.
4. Montez au sommet de la colline, car vous y verrez la grande route.
5. Prenez-le et restez dessus; et si vous vous perdez, demandez de l'aide à Dieu.
La grande route n'est souvent pas la route la plus facile, mais c'est la seule qui mène au plus haut niveau de vie.

QUESTIONS DE DISCUSSION SUR LE PRINCIPE ROUTIER

1. Comment définiriez-vous le grande route? Pourquoi est-il difficile de prendre la grande route avec quelqu'un
qui prend la route basse avec toi? Quelles actions particulières des autres sur les routes basses trouvez-vous difficiles à
surmonter ou à ignorer?
2. Pourquoi la plupart des gens prennent-ils la voie du milieu? Comment cela affecte-t-il leurs relations? Une personne peut-elle rester sur la voie
du milieu tout en étant un investisseur dans les personnes? Explique.
3. Qu'arrive-t-il aux relations lorsque les gens ont un état d'esprit d'équilibre? Une personne peut-elle désirer se venger dans un
domaine de la vie sans que cela affecte d'autres relations? Qu'est-ce que le désir de vengeance fait à une personne
émotionnellement, physiquement et spirituellement?
4. Décrivez une situation difficile dans laquelle vous avez choisi de prendre la bonne direction dans une relation. Pourquoi était-ce difficile?
Comment avez-vous pu surmonter votre désir de répondre en nature? Est-ce une stratégie que vous utilisez très souvent efficacement?
Où l'avez-vous appris ou comment l'avez-vous développé?
5. Êtes-vous d'accord pour dire que prendre la grande route fait ressortir votre meilleur? Expliquez votre réponse.
Avant de passer à autre chose, passons en revue les principes humains liés à la question de l'investissement. . .
Le principe du jardinage: Toutes les relations ont besoin de cultivation.
Le principe des 101 pour cent: Trouvez le 1% sur lequel nous sommes d'accord et donnez-lui 100% de notre
effort.
Le principe de patience: Le voyage avec les autres est plus lent que le voyage seul.
Le principe de la célébration: Le vrai test des relations n'est pas seulement à quel point nous sommes fidèles lorsque
les amis échouent, mais combien nous sommes ravis quand ils réussissent.
Le principe de la grande route: Nous passons à un niveau supérieur lorsque nous traitons les autres mieux qu'ils ne traitent
nous.
 LA QUESTION DE SYNERGIE:
CANWE CRÉER AWIN-
GAGNER UNE RELATION?

Win / Win est un état d'esprit et de cœur qui

cherche constamment un bénéfice mutuel dans toutes les interactions humaines. . .
Win / Win est basé sur le paradigme qu'il y en a pour tout le monde,
que le succès d'une personne ne se fait pas au détriment ou à
l'exclusion du succès des autres.
- STEPHEN R. COVEY
je Si nous sommes honnêtes à propos des relations, nous admettrons qu'il y a des personnes avec qui nous voulons passer du temps et
d'autres avec qui nous ne voulons pas. Qu'est-ce qui sépare les bonnes relations que nous désirons de celles qui ne font rien pour nous? La
réponse est la synergie. Certaines relations sont gagnant-gagnant. Ils ajoutent de la valeur aux deux parties, et c'est gratifiant.

Je crois que chaque relation a le potentiel être gagnant-gagnant, même si toutes les relations n'atteignent pas cette qualité. Mais lorsque les
deux parties entrent dans une relation avec une mentalité d'investissement - après s'être connectées et bâties la confiance l'une avec l'autre -
une relation gagnant-gagnant est souvent le résultat.
Ce qu'il y a de merveilleux dans les relations gagnant-gagnant, c'est qu'elles peuvent être forgées dans tous les domaines de la vie
et dans toutes sortes de relations: entre maris et femmes, parents et enfants, amis et voisins, patrons et employés. Si les deux parties
maintiennent une attitude généreuse et que leurs besoins sont tous les deux satisfaits, la relation peut devenir quelque chose de
vraiment spécial. La «monnaie» qu'ils se donnent n'a pas à être la même. Ils peuvent s'offrir un amour inconditionnel. Ou une personne
peut fournir une admiration loyale et l'autre une sécurité. L'un peut offrir du mentorat et l'autre de la gratitude. L'un peut créer l'entreprise
et l'autre peut fournir un chèque de paie. L'un peut fournir de l'humour et l'autre peut être un grand public. Tant que les deux personnes
obtiennent des victoires cohérentes dans les domaines qu'elles apprécient, elles développent une synergie.

Les principes relatifs aux personnes suivants répondent à la question: «Pouvons-nous créer une relation gagnant-gagnant?» et aidera tous
ceux qui les pratiquent à créer des relations synergiques.
Le principe Boomerang: Lorsque nous aidons les autres, nous nous aidons nous-mêmes.
Le principe d'amitié: Toutes choses étant égales par ailleurs, les gens travailleront avec les gens qu'ils aiment; tout
les choses n'étant pas égales, elles le seront toujours.
Le principe de partenariat: Travailler ensemble augmente les chances de gagner ensemble.
Le principe de satisfaction: Dans les bonnes relations, la joie d'être ensemble suffit.
À long terme, les relations déséquilibrées ne durent pas. Si une personne fait tout le don et que l'autre fait tout ce qui
reçoit, le donateur finira par s'épuiser. Et ironiquement, le preneur deviendra insatisfait parce qu'il sentira qu'il ne reçoit pas
assez. La seule façon de construire une relation positive, durable et synergique est de s'assurer que tout le monde y gagne!
 LE BOOMERANG
PRINCIPE

QUAND NOUS AIDONS LES AUTRES,

NOUS NOUS AIDONS

Aucun homme ne devient riche s'il n'enrichit pas les autres.

- ANDREW CARNEGIE
LA QUESTION QUE JE DOIS ME POSER:
EST-CE QUE J'EXPÉRIENCE UN RETOUR
QUAND J'AIDE LES AUTRES?
je Dans les premières années de ma carrière, je n'avais pas une vision correcte de la vie. J'ai abordé la vie comme s'il s'agissait d'une machine à
sous. Je voulais y mettre le moins possible et j'espérais toujours décrocher le jackpot. Je suis gêné de dire que j'ai souvent eu une approche
similaire dans mon interaction avec les gens. J'étais plus concentré sur ce que les gens pouvaient faire pour moi que sur ce que je pouvais faire leur.
En conséquence, j'essaierais de faire des «retraits» relationnels sans jamais avoir effectué de «dépôts». Inutile de dire que je n'ai pas eu
beaucoup de succès.

Au fur et à mesure que je passais plus de temps à travailler avec les autres, ma façon de penser a lentement commencé à changer. J'ai commencé à
apprendre le principe de la vue d'ensemble, à voir les gens sous un jour différent et à leur accorder une plus grande valeur. Une fois que mon attitude a
commencé à changer, mes actions ont changé. J'ai commencé à investir dans les gens simplement parce qu'ils avaient de la valeur. Ils étaient importants. Et
j'ai constaté que lorsque je me concentrais sur ce que je pouvais donner plutôt que sur ce que je pouvais obtenir, les gens s'épanouissaient, les relations
mûrissaient et la vie était plus gratifiante. Après avoir commencé à donner mon objectif, j'ai souvent senti que je recevais plus des gens que je ne pouvais
donner.
Au cours de nombreuses années, j'ai commencé à apprendre à investir d'abord et souvent dans les gens. Quelqu'un doit faire le premier pas
dans les relations. Donc, j'ai pensé, Pourquoi pas moi? J'ai commencé à adopter une approche de la vie de donneur, en me concentrant sur ce que je
pouvais donner dans les relations. Et j'ai souvent essayé de le faire sans espérer recevoir quelque chose en retour. J'ai découvert que lorsque
j'ajoutais de la valeur aux gens, beaucoup souhaitaient me redonner de la valeur. Lorsque cela s'est produit, les relations ont développé une synergie
incroyable et sont passées à un nouveau niveau.

Ce qui se passe. . .

Où en êtes-vous au sujet du don aux autres? Je pense qu'il n'y a que trois types de personnes sur ce sujet:

1. LES TAKERS RECEVENT ET NE DONNENT JAMAIS. Beaucoup de gens se concentrent sur eux-mêmes et font rarement tout ce qu'ils
peuvent pour les autres. Ces personnes sont preneurs. Ils ne se soucient que de ce qu'ils peuvent obtenir et ils ne sont jamais
satisfaits.
2. LES COMMERÇANTS RECEVENT ET DONNE PUIS. Certaines personnes se concentrent sur le score. Ils sont prêts à donner, mais
leur motivation première n'est pas d'aider les autres. Ils voient les relations comme un échange. Souvent, ils donnent parce qu'ils
pensent devoir quelque chose à quelqu'un qui les a aidés et qu'ils désirent rendre les choses «égales». J'étais comme ça au début
de ma carrière. J'étais reconnaissant envers les gens qui m'ont aidé, mais je ne comprenais pas la valeur de l'ajout de valeur aux
autres. Et je n'ai pas commencé à donner.

3. LES INVESTISSEURS DONNENT ET PUIS RECEVENT. Dans ce troisième groupe, les gens se concentrent sur les autres. Ils
donnent d'abord et reçoivent ensuite si quelque chose est offert en retour. Ils croient que le succès vient du fait d'être serviable,
attentionné et constructif. Ils désirent améliorer tout et tous ceux qu'ils touchent, et ils comprennent que le meilleur moyen d'y
parvenir est de donner d'eux-mêmes. Ironiquement, en possédant un agenda à donner en premier, ce sont eux qui font le plus
souvent l'expérience de la synergie des relations gagnant-gagnant.

Les personnes qui investissent dans d'autres personnes ont des points communs:

Les investisseurs comprennent que les gens ont une grande valeur

Une fois, lorsque je parlais aux employés de BellSouth, un cadre de l'entreprise a déclaré: «Les gens sont l'atout le plus précieux de notre entreprise.»
J'ai entendu de bonnes et de mauvaises nouvelles dans cette déclaration. La bonne nouvelle, c'est qu'il appréciait vraiment son peuple et se souciait de
son bien-être. La mauvaise nouvelle est que ce qu'il a dit n'est que partiellement vrai. Les gens sont un apprécier actif seulement si nous sommes
disposés à investir en eux. La plupart des gens, s'ils sont laissés seuls, restent sensiblement les mêmes.
Les investisseurs adoptent le principe du boomerang

Les gens qui investissent dans les autres savent que la meilleure façon de s'aider eux-mêmes est d'aider les autres. Ils commencent ce processus
d'investissement en investissant dans les relations. Ils voient tout le monde comme un ami potentiel. Le conseiller et auteur Alan Loy McGinnis a noté:

Lors de recherches dans notre clinique, mes collègues et moi avons découvert que l'amitié est le tremplin de tout autre
amour. Les amitiés se répandent sur les autres relations importantes de la vie. Les personnes sans amis ont
généralement une capacité réduite à entretenir tout type d'amour. Ils ont tendance à vivre une succession de mariages, à
être séparés de divers membres de leur famille et à avoir du mal à s'entendre au travail. En revanche, ceux qui
apprennent à aimer leurs amis ont tendance à faire des mariages longs et épanouissants, à bien s'entendre avec les gens

travailler et profiter de leurs enfants. 1

Les gens ne sont un atout appréciable que si nous sommes prêts à investir en eux.

Lorsque vous investissez dans une amitié, vous ouvrez la porte à l'investissement et, en fin de compte, à la possibilité d'un retour.

Les investisseurs pratiquent le principe de semer et de récolter

Il n'y a jamais eu une personne qui a donné qui n'a pas reçu en retour! Vous ne le croyez peut-être pas, mais c'est un fait. Le principe du
Boomerang est vrai: lorsque nous aidons les autres, nous nous aidons nous-mêmes. Voici pourquoi je dis ça. Chaque fois que vous donnez à une
autre personne, vous recevrez quelque chose en retour qui affecte vos objets de valeur, vos valeurs ou vos vertus.

OBJETS DE VALEUR: les choses qui fournissent une valeur financière. Lorsque les gens pensent recevoir quelque chose en
échange d'un don, leurs pensées se tournent souvent vers des avantages matériels. Parfois, lorsque vous aidez les autres, vous
recevez quelque chose de valeur financière. Mais ce n'est qu'un type d'avantage et peut-être pas le type le plus courant.

VALEURS: les choses qui apportent la satisfaction. Avez-vous déjà donné de manière anonyme? Si c'est le cas, alors vous comprenez que
même si vous n'avez rien reçu de tangible en retour, vous en avez bénéficié émotionnellement ou spirituellement. Chaque fois que vous faites
quelque chose pour réaliser vos valeurs, vous en profitez. VERTUS: les choses qui développent le caractère. De nombreux avantages que
nous recevons en donnant viennent dans le domaine du caractère. Chaque fois que vous surmontez l'inclination d'être avide en donnant, vous
devenez moins égoïste. Chaque fois que vous aidez quelqu'un et que vous ne voyez pas de retour immédiat, vous devenez plus patient. De
telles choses construisent le caractère.

Dans la nature, si vous semez, vous récoltez. Ce que vous récoltez dépend de ce que vous plantez. Et vous récoltez toujours plus tard que vous
semez. La même chose est vraie en ce qui concerne les relations. Comme dans la nature, ils prennent du temps.

Les investisseurs croient qu'aider les autres est le travail divin des gens

Le géant littéraire américain Ralph Waldo Emerson a conseillé:

Ne soyez pas cynique. . . [et] pleurer et déplorer. Omettez les propositions négatives. . . Ne vous gaspillez pas dans le
rejet, n'aboyez pas contre le mal, mais chantez la beauté du bien. . . Ne posez rien qui n'aidera personne. C'est l'une des
belles compensations de la vie qu'aucun homme ne peut sincèrement essayer d'aider autrui sans s'aider lui-même. Pour
aider la jeune âme, pour ajouter
 l'énergie, inspirez l'espoir et soufflez les charbons dans une flamme utile; racheter la défaite par une nouvelle pensée et une action ferme: Ceci,
bien que pas facile, est l'œuvre de l'homme divin. 2

PORTEZ L'INVESTISSEMENT DANS LES AUTRES À UN NOUVEAU NIVEAU

Investir dans les autres est l'une des choses les plus nobles et les plus productives que nous puissions faire. Tout ce que nous pouvons faire pour
aider les autres rend le monde meilleur. Comme l'a dit le président Woodrow Wilson: «Vous n'êtes pas ici simplement pour gagner votre vie. Vous
êtes ici pour permettre au monde de vivre plus amplement, avec une plus grande vision, avec un esprit plus fin d'espoir et d'accomplissement. Vous
êtes ici pour enrichir le monde, et vous vous appauvrissez si vous oubliez la course.

Alors, comment enrichir le monde et devenir quelqu'un qui s'investit dans les autres? Commencez par suivre ces cinq étapes:

1. Pensez d'abord aux autres

De bonnes relations saines et croissantes commencent par la capacité de donner la priorité aux autres. N'oubliez pas le principe de la vue d'ensemble
et travaillez à développer une attitude de gentillesse envers tout le monde. Commencez chaque relation en donnant du respect à l'autre personne,
avant même qu'elle n'ait eu la chance de la gagner. Initiez des actes de gentillesse avec tout le monde.

2. Concentrez-vous sur l'investissement, pas sur le rendement

Le romancier Herman Melville pensait que «nous ne pouvons pas vivre uniquement pour nous-mêmes. Mille fibres nous relient à nos
semblables; et le long de ces fibres, en tant que fils sympathiques, nos actions courent comme des causes, et elles nous reviennent comme des
effets. Nous sommes intimement liés aux autres et nos destinées sont imbriquées. En conséquence, lorsque nous aidons les autres, nous en
profiterons. Mais ce n’est pas là que nous devons nous concentrer.

De bonnes relations saines et croissantes commencent par la capacité de donner la priorité aux autres.

Les investisseurs en personnes sont comme les investisseurs en bourse. À long terme, ils en profiteront, mais ils n'ont que peu de contrôle sur
ce à quoi ressemblera ce retour ou sur la façon dont il se produira. Mais ils pouvez contrôler quoi et comment ils investissent. Et c'est là qu'ils
devraient concentrer leur temps et leur énergie.

3. Choisissez quelques personnes à fort potentiel

En 1995, lorsque j'ai commencé à investir à plein temps dans les gens, je me suis senti appelé à investir stratégiquement dans dix personnes. Mon désir
était de choisir des personnes à fort potentiel et d'investir en elles pour les aider à devenir de meilleurs leaders. La liste des personnes a changé au fil des
ans, mais mon engagement à servir les autres n'a pas changé. Si quoi que ce soit, il s'est intensifié. En 1995, je voulais simplement ajouter de la valeur aux
autres. Maintenant dix ans plus tard, je veux multiplier la valeur aux autres en ajoutant de la valeur aux leaders.

Lorsque les gens se préparent à faire des investissements financiers, les plus sages ne mettent pas tout leur argent dans une seule action ou un seul
fonds. Ils se diversifient en investissant dans plusieurs domaines. (Si vous investissez dans un seul et qu'il
ne fonctionne pas bien, vous avez des problèmes.) Mais les bons investisseurs ne se dispersent pas trop non plus. Ils savent qu'ils ne peuvent consacrer
que peu de temps et d'attention à chaque investissement particulier. Les investisseurs avisés dans les personnes suivent un schéma similaire. Choisissez
seulement autant de personnes que vous pouvez gérer avec intensité, choisissez uniquement des personnes ayant un grand potentiel de croissance et
choisissez uniquement des personnes dont le besoin de croissance correspond à vos dons et talents.

4. Avec leur permission, commencez le processus

Vous ne pouvez pas aider quelqu'un qui ne veut pas de votre aide. Cela semble tellement évident que j'hésite à le dire, mais je pense que je
le dois parce que je vois des gens avec de bonnes intentions essayer d'initier le processus sans obtenir l'adhésion de la personne qu'ils
essaient d'aider.
Dans Les 21 lois irréfutables du leadership, la loi de buy-in dit que les gens adhèrent au leader, puis à la vision. Les relations de
mentorat possèdent une dynamique leader-suiveur. Les personnes encadrées doivent faire confiance et croire en leurs enseignants.
Plus les relations sont solides et plus la confiance est grande, plus la probabilité que le processus d'investissement fonctionne. Mais
cela doit commencer par un accord.

5. Profitez d'un retour en temps opportun

Le poète Edwin Markham a écrit:

Il y a un destin qui nous marque comme frères;
Personne ne va seul:
Tout ce que nous envoyons dans la vie des autres
revient dans le nôtre.
Je suis convaincu que lorsque les motivations des gens sont pures et qu'ils souhaitent véritablement ajouter de la valeur aux autres, ils
ne peuvent pas aider les autres sans en tirer un avantage. Le retour peut être immédiat ou prendre du temps, mais il se produira. Et quand
c'est le cas, la relation commence à résonner avec une synergie.

Vous connaissez probablement l'histoire d'Helen Keller, la fille sourde et aveugle dont la vie a été transformée grâce aux efforts
d'Anne Sullivan. Keller, qui n'avait que sept ans lorsque Sullivan est entrée dans sa vie, vivait presque comme un animal. Mais
Sullivan lui a appris à communiquer et lui a ouvert le monde. Au moment où Keller était adulte, elle était capable de prendre soin
d'elle-même. Elle a ensuite obtenu un diplôme du Radcliffe College et est devenue une célèbre auteur et conférencière.

Ce que vous ne savez peut-être pas, c'est que lorsque Anne Sullivan est tombée malade des années plus tard, la personne qui s'est
occupée d'elle n'était autre qu'Helen Keller. L'aide est devenue celle qui avait besoin d'aide, et celle à qui elle avait une valeur ajoutée s'est
retournée et a ajouté de la valeur pour elle. Investissez dans les autres, et comme un boomerang, il vous reviendra, parfois de la manière la plus
inattendue.

QUESTIONS DE DISCUSSION SUR LE PRINCIPE DE BOOMERANG

1. Dans le passé, comment avez-vous abordé les relations: en tant que preneur, commerçant ou investisseur? Si vous avez été preneur,
pourquoi pensez-vous avoir hésité à donner de vous-même aux autres? Si vous avez été un commerçant, de quelle manière
avez-vous «marqué» avec d'autres personnes? Si vous avez été un investisseur, de quelles manières spécifiques avez-vous
investi dans les autres? Désirez-vous changer la façon dont vous voyez les relations? Si oui, pourquoi?
2. Est-il possible d'ajouter de la valeur aux gens si vous ne les appréciez pas? Expliquez votre réponse. Décrivez les caractéristiques de
quelqu'un qui valorise les gens et accorde la priorité aux autres. Pensez à quelqu'un que vous connaissez qui correspond à ce profil.
Comment vous mesurez-vous?
3. Comment doit-on procéder pour sélectionner les personnes dans lesquelles investir? Quels traits devraient posséder toutes les personnes
investies? Quels besoins ou caractéristiques spécifiques une personne que vous aimeriez encadrer devrait-elle posséder? Pourquoi?

4. Quels sont vos plus grands talents et cadeaux? Ces traits peuvent-ils être partagés? De quelle manière pouvez-vous les utiliser pour ajouter de
la valeur aux autres?
5. Quel est votre plan pour investir intentionnellement dans les autres? Avez-vous déjà un processus en place? Si oui, comment
cela a-t-il fonctionné? Que devez-vous changer? Qu'ont fait les autres qui pourraient fonctionner pour vous? Si vous n'avez
pas encore créé de plan, que pensez-vous qu'il devrait inclure? Avez-vous observé un modèle qui fonctionne? Si oui, quelles
parties allez-vous adopter? Quand commenceras-tu?
 L'AMITIÉ
PRINCIPE

TOUTES LES CHOSES SONT ÉGALES, LES

PERSONNES TRAVAILLERONT AVEC

LES GENS QU'ILS AIMENT;

TOUTES CHOSES NE SERONT PAS

ÉGALES, ILS SERONT TOUJOURS

Le mieux que je puisse faire pour mon ami est simplement d'être son ami.
- HENRY DAVID THOREAU
LA QUESTION QUE JE DOIS ME POSER:
JE SUIS AMI DE
LES PERSONNES AVEC lesquelles JE TRAVAILLE?
je Si vous étiez soudainement confronté à un énorme projet qui avait une échéance difficile et que vous deviez rassembler un groupe de personnes pour
vous aider à le réaliser, à qui demanderiez-vous de l'aide? Souhaitez-vous demander l'aide des personnes de votre bureau qui vous causent le plus de
problèmes? Feriez-vous tout votre possible pour vous associer à des personnes qui vous frottent dans le mauvais sens? Bien sûr que non!

Et si vous preniez conscience d'une opportunité commerciale que vous saviez être la chance d'une vie? Comment la poursuivriez-vous?
Utiliseriez-vous les Pages Jaunes pour trouver des personnes susceptibles de vous aider? Souhaitez-vous publier une annonce dans le journal à la
recherche d'un partenaire commercial? Certainement pas! Vous examineriez mentalement les amis et les associés qualifiés pour aider, et vous choisiriez
les personnes avec lesquelles vous avez les meilleures relations. Et si deux personnes avaient le même niveau de compétence, vous choisiriez la
personne avec laquelle vous aimez le plus travailler.

Tout cela peut vous sembler douloureusement évident en le lisant. Cependant, je crois que la plupart des gens sous-estiment le pouvoir et
l'importance des relations en matière d'affaires et de carrière. Ils essaient d'apprendre la mode la plus récente en matière de gestion. Ils se
concentrent sur la qualité des produits. Ils créent des programmes et des systèmes pour améliorer la productivité ou augmenter la répétition des
affaires. Ils collectent les adresses e-mail. Ces choses peuvent être utiles, mais la vraie clé est les relations. Ne sous-estimez jamais le pouvoir
de l'amitié et de la sympathie lorsqu'il s'agit de faire des affaires.

Pour voir un excellent exemple du principe d'amitié, regardez la vie de Bill Porter. Si jamais il y avait une personne avec des
obstacles pour réussir en affaires, c'était bien elle. Porter est né avec une paralysie cérébrale. Enfant, il était toujours physiquement
derrière ses pairs. Depuis sa naissance, sa main droite a été presque inutile et la communication verbale a toujours été difficile. Les
soi-disant experts pensaient qu'il était retardé et ont conseillé à ses parents de l'institutionnaliser. Ils ont refusé. Au lieu de cela, ils ont
apporté des ajustements majeurs à leur mode de vie, ont travaillé avec lui et l'ont aidé à cultiver son indépendance. Porter a travaillé dur
et a terminé ses études secondaires, recevant son diplôme.

DÉTERMINÉ À LE FAIRE

Après le lycée, il a cherché du travail avec l'aide du département de l'emploi de l'Oregon. Il a accepté un emploi de commis aux stocks et a
été licencié après seulement un jour. Il a travaillé comme caissier pour Goodwill et n'a duré que trois jours. Il a pris des emplois à l'Armée
du Salut travaillant sur le quai de chargement et à l'administration des anciens combattants pour répondre au téléphone. Après d'autres
licenciements, le ministère de l'Emploi l'a jugé «inemployable».

Mais Porter n'abandonnerait pas. Il ne voulait pas vivre sa vie en acceptant un chèque d'invalidité du gouvernement. Lorsqu'il a eu
l'occasion de vendre des articles ménagers pour collecter des fonds pour United Cerebral Palsy, il a adoré. Il a décidé de faire de la
vente sa carrière. Il avait cependant du mal à trouver une entreprise qui lui donnerait un essai. Enfin, il a persuadé le directeur de
Watkins Incorporated de lui donner une chance. On lui a offert à contrecœur un territoire qu'aucun autre vendeur n'accepterait:
travailler pour une commission directe. Porter vendrait des produits ménagers de porte à porte.

C'était dans les années 50. Aujourd'hui, Porter a soixante-dix ans et il travaille toujours pour Watkins. Pendant des décennies, il s'est levé le
matin à 5 h 45, a pris deux heures pour se préparer et s'habiller laborieusement, a attrapé des bus à travers la ville pour se rendre sur son territoire
et a marché de sept à dix milles chaque jour, faisant du porte-à-porte pour vendre des produits tels que la vanille. , épices et détergents. Il a
remporté son premier prix de vente il y a plus de quarante ans et est depuis longtemps devenu le vendeur numéro un de Watkins dans le
Nord-Ouest. À une époque où les vendeurs à domicile disparaissaient, il continuait à prospérer.

Comment a-t-il fait? Son premier atout a toujours été la persévérance. Son deuxième a été l'amitié. Comment pourriez-vous expliquer
autrement le succès continu d'un vendeur que les gens ont du mal à comprendre, vendant des produits qui peuvent être achetés moins chers
dans les magasins discount, étant vendus selon une méthode qui s'est démodée il y a des décennies, d'un homme qui demande à ses clients
de compléter leur propre commande
formes parce qu'il a du mal à écrire? Comme le dit Shelly Brady, qui assiste Porter depuis l'âge de dix-sept ans, «Il s'est faufilé
dans le cœur des gens. 1

LES QUATRE NIVEAUX DE RELATION D'AFFAIRES

Dès que vous comprenez la manière dont les relations affectent les affaires, vous commencez à réaliser que toutes les relations commerciales
ne sont pas créées de la même manière. En étudiant le sujet, j'ai constaté qu'il y avait quatre niveaux:

1. Connaissance des personnes - Votre compréhension des personnes vous aide à développer votre entreprise

Dans l'introduction de ce livre, j'ai discuté de l'importance des compétences relationnelles dans les relations d'affaires. Ils sont absolument
essentiels au succès. Toute la connaissance des produits dans le monde n'aidera personne sans compétences humaines. L'expertise technique
non plus. Pas plus que la capacité de construire une organisation brillamment efficace. Si les individus ne possèdent pas de compétences
relationnelles, ils atteignent très rapidement un plafond d'efficacité.

Une façon intéressante pour certaines personnes de surmonter un manque d'expertise dans les connaissances des gens est de s'associer avec
quelqu'un qui la possède en abondance. Par exemple, des personnes comme Steve Wozniak et Steve Jobs ont réuni des compétences techniques
et des connaissances humaines d'une manière qui a fait des ordinateurs Apple un nom familier.

Je crois qu'il y a des milliers et des milliers de personnes techniquement talentueuses dont les entreprises tourneraient du jour au lendemain
si seulement elles maîtrisaient - ou s'associaient avec quelqu'un qui possédait - les connaissances des gens.

2. Compétences de service - Votre traitement des personnes vous aide à développer votre entreprise

Barry J. Gibbons, auteur de Cette indécision est définitive, affirme: «Entre 70% et 90% des décisions de ne pas renouveler l'achat de quoi
que ce soit ne concernent ni le produit ni le prix. Ils concernent une certaine dimension de la relation de service. » De nombreuses
entreprises reconnaissent aujourd'hui ce fait et, par conséquent, mettent davantage l'accent sur le service à leurs clients. La manière dont
vous traitez les personnes avec lesquelles vous faites affaire compte vraiment, en particulier sur un marché concurrentiel. Plus l'industrie est
compétitive, plus le service est important.

3. Réputation commerciale - Votre réputation en matière de relations vous aide à développer votre entreprise

L'écrivain Howard Hodgson a déclaré: «Quelle que soit votre activité, vous êtes dans une entreprise de relations. C'est pourquoi votre réputation
est votre plus grand atout. » En raison des handicaps physiques de Bill Porter, de nombreuses personnes sous-estimaient ses compétences en
relations humaines - jusqu'à ce qu'elles apprennent à le connaître. Porter savait comment se connecter avec les gens et comprendre leurs
besoins. Pour cette raison, il était un bon vendeur. Il a également conduit son entreprise de telle manière que ses clients toujours obtenu ce qu'on
leur avait promis, quand cela a été promis. Au fil du temps, sa réputation a grandi. Et du coup, il a vendu des produits à trois et parfois quatre
générations de certaines familles!
4. Amitié personnelle - Votre amitié avec les autres construit votre entreprise

Le plus haut niveau de relations d'affaires est atteint lorsque les gens aiment votre entreprise, mais plus important encore, ils vous aiment!
Lorsqu'il existe un lien personnel sincère avec une autre personne, il devient plus fort que tout autre type de lien d'affaires. C'est pourquoi
je dis que toutes choses étant égales par ailleurs, les gens travailleront avec des gens qu'ils aiment; toutes choses n'étant pas égales, elles
le seront toujours. L'amitié fait la différence! Même lorsque les chances sont contre vous, l'amitié à plusieurs reprises vous donnera
toujours l'avantage avec le client. Pourquoi? Les gens aiment être et travailler avec leurs amis.

Même lorsque les chances sont contre vous, l'amitié à plusieurs reprises vous donnera toujours l'avantage
avec le client.

J'ai lu une histoire sur le moment où le général William Westmoreland était au Vietnam, et il examinait un peloton de parachutistes.
Alors qu'il marchait le long de la ligne, il a posé à chacun d'eux une question: «Comment aimes-tu sauter, fils?»

«J'adore, monsieur!» était la première réponse.

«La plus belle expérience de ma vie, monsieur!» s'exclama le prochain parachutiste. Mais quand il est
arrivé au troisième, la réponse du soldat l'a surpris. «Je déteste ça, monsieur», répondit le jeune
homme.
«Alors pourquoi le faites-vous?» demanda Westmoreland.
«Parce que je veux être avec les gars qui aiment sauter.»

LA VALEUR DE L'AMITIÉ

Bien que j'aie examiné le principe d'amitié uniquement dans le contexte des affaires, il s'applique beaucoup plus largement. Les gens
veulent s'engager dans des activités avec des gens qu'ils aiment. Encore une fois, cela semble probablement évident, mais je le mentionne
parce que je veux souligner la valeur - et le pouvoir - de la véritable amitié dans chaque contexte et situation.

Une personne qui avait une vision incroyable des relations était le roi Salomon de l'ancien Israël. On dit qu'il était la personne la
plus sage qui ait jamais vécu. Au cours de sa vie, il a écrit de nombreuses choses sages sur les amitiés, et nous pouvons apprendre
d'elles aujourd'hui. Voici quelques-unes de ces vérités sur les vrais amis:

Les vrais amis sont rares

Salomon a écrit: «Les amis viennent et les amis partent, mais un véritable ami reste à vos côtés comme une famille.» 2 Lorsque vous développez une
amitié profonde avec quelqu'un, appréciez-la, car les vrais amis sont rares. Un vrai ami . . .
est quelqu'un qui vous voit à votre pire mais n'oublie jamais votre meilleur.
est quelqu'un qui pense que vous êtes un peu plus merveilleux que vous ne l'êtes vraiment. est quelqu'un avec qui
vous pouvez parler pendant des heures ou avec qui vous êtes dans un silence complet. est aussi heureux que vous
de votre succès.
vous fait suffisamment confiance pour dire ce qu'il veut vraiment dire quand il vous parle. n'essaie pas
d'en savoir plus, d'agir plus intelligemment ou d'être votre professeur constant.
Bref, un vrai ami est un ami tout le temps. Valorisez les vrais amis que vous avez. Ils sont précieux. Plus important encore, essayez de
devenir un véritable ami pour les autres. Il y a peu de cadeaux plus grands que d'être un ami.
Les vrais amis sont rafraîchissants

Salomon a observé: «Tout comme les lotions et les parfums donnent un plaisir sensuel, une douce amitié rafraîchit

l'âme." 3 Chaque situation de la vie s'améliore lorsqu'un ami est impliqué. Lorsque vous souhaitez partager une expérience amusante,
rien de tel que d'avoir un ami avec vous. Lorsque vous faites face à une crise, un ami partage son poids. CS Lewis a déclaré: «L'amitié
naît au moment où une personne dit à une autre:« Quoi, toi aussi? Je pensais que j'étais le seul. »» Ce genre de connexion est
rafraîchissant, peu importe ce qui se passe dans votre vie.

Comment les autres vous répondent-ils? Quand les gens vous voient venir, s'attendent-ils à être rafraîchis et énergisés? Ou doivent-ils
dépenser de l'énergie pour maintenir leur interaction avec vous? Chacun devrait être une bouffée d'air frais pour quelqu'un dans sa vie.

De vrais amis nous rendent meilleurs

Dans les meilleures sortes d'amitiés, les gens s'améliorent les uns les autres simplement en étant ensemble. Comme

Salomon a dit: «Vous utilisez de l'acier pour affûter l'acier, et un ami en aiguise un autre.» 4
Le constructeur automobile Henry Ford déjeunait avec une personne et lui a demandé: «Qui est votre meilleur ami?» Alors que Ford
attendait sa réponse, l'homme hésita. Il n'était pas sûr.
"Je vais vous dire qui est votre meilleur ami," intervint Ford. "Votre meilleur ami est celui qui fait ressortir le meilleur de
vous."

«L'amitié naît au moment où une personne dit à une autre: 'Quoi, toi aussi? Je pensais que j'étais
le seul.'"
- CS LEWIS

C'est ce que font les vrais amis. Ils font ressortir le meilleur de chacun.

Les vrais amis restent fidèles

Avez-vous entendu celui-ci? Qu'est-ce que vous obtenez si vous croisez Lassie avec un pit-bull? Vous obtenez un chien qui vous mord le visage et
qui va chercher de l'aide. Les vrais amis ne sont pas comme ça. Dans ce monde, il y a beaucoup de gens qui ne se soucient pas des autres.
Salomon a fait remarquer: «Les alpinistes calleux trahissent leur

propres amis; ils poignardaient leurs propres grands-mères dans le dos. 5 Mais les vrais amis restent fidèles quoi qu'il arrive.

L'auteur et pasteur Richard Exley a déclaré: «Un véritable ami est celui qui entend et comprend lorsque vous partagez vos
sentiments les plus profonds. Il vous soutient lorsque vous luttez; il vous corrige, doucement et avec amour, quand vous vous trompez;
et il vous pardonne quand vous échouez. Un véritable ami vous pousse à la croissance personnelle, vous étend à votre plein potentiel.
Et surtout, il célèbre vos succès comme s'ils étaient les siens.

Vous ne pouvez pas entretenir une amitié profonde avec tout le monde, ni essayer. Mais vous devriez cultiver des amitiés authentiques et profondes
avec quelques personnes. Et vous pouvez être une personne amicale, gentille et solidaire envers tous ceux que vous rencontrez. Vous pouvez traiter chaque
personne comme un individu, pas simplement comme un «contact» professionnel. Si vous placez les autres d'abord en tant que personnes et que vous vous
inquiétez ensuite des affaires, vous êtes sur la bonne voie pour mettre en pratique le principe de l'amitié.
 Quel que soit le type d'entreprise ou d'industrie dans laquelle vous vous trouvez, le principe d'amitié peut vous aider. Peu importe
que vous soyez le vendeur ou le client, un patron ou un employé, un cadre ou une mère au foyer. Quel que soit votre travail, les gens
seront plus enclins à le faire avec vous lorsque vous les traitez comme des amis.

QUESTIONS DE DISCUSSION SUR LE PRINCIPE DE L'AMITIÉ

1. Comment savoir quand les gens placent les affaires avant l'amitié? Comment pouvez-vous savoir quand ils abordent les relations
dans l'autre sens? Qu'est-ce qui motive les gens à donner la priorité aux affaires? Qu'est-ce qui motive les autres à placer l'amitié
en premier? Quelle est votre inclination naturelle?
2. Êtes-vous d'accord que si vous regardez les gens d'abord en termes d'amitié et d'affaires ensuite, vous avez une chance
de vous faire un ami et réussir en affaires? Expliquez votre réponse.
3. Tenez compte des quatre niveaux de relations d'affaires: Connaissance des
personnes
Compétences de service
Réputation commerciale
Amitié personnelle
À quel niveau se trouvent la plupart des gens avec qui vous faites affaire? Le fait que la personne soit un collègue ou un client
importe-t-il? Où aimeriez-vous qu'ils soient? Qu'est-ce qui vous empêche de faire passer vos relations d'affaires au niveau
supérieur?
4. Avez-vous déjà travaillé dans une entreprise ou un secteur avec une mauvaise réputation commerciale? Comment était-ce? Est-il
possible de mettre en pratique le principe d'amitié dans un tel environnement? Quels types de choses fonctionnent contre vous dans
une telle situation? Que devez-vous faire pour réussir et mettre en pratique le principe d'amitié?

5. Pensez-vous que les vrais amis sont des personnes qui font ressortir le meilleur de vous? Si oui, comment cela fonctionne-t-il? Les
gens qui font de votre mieux devenir tes amis? Ou parce que les gens sont
vos amis, ils font ressortir votre meilleur? Comment les encouragements et l'affûtage des amis s'appliquent-ils dans
l'environnement de travail?
 LE PARTENARIAT
PRINCIPE

TRAVAILLER ENSEMBLE
AUGMENTE LES CHANCES DE
GAGNER ENSEMBLE

Vous pouvez faire ce que je ne peux pas faire. Je peux faire ce que tu ne peux pas faire.
Ensemble, nous pouvons faire de grandes choses.
- MÈRE TERESA
LA QUESTION QUE VOUS DEVEZ VOUS POSER:
LES AUTRES SONT-ELLES MIEUX EN RAISON DE
LEUR PARTENARIAT AVEC MOI?
S Certaines personnes abordent naturellement la vie avec un esprit de partenariat. Et en conséquence, ils récoltent un succès inhabituel. Benjamin
Franklin était l'une de ces personnes.
Franklin est connu comme un imprimeur, un homme d'État, un inventeur, un écrivain et un père fondateur des États-Unis. Il est
né à Boston, le quinzième de dix-sept enfants, fils d'un fabricant de bougies. Sa scolarité formelle a duré moins de deux ans. À
douze ans, il apprit chez son frère le métier d'imprimeur. À dix-sept ans, sans ressources autres que son talent et son travail
acharné, il a déménagé à Philadelphie pour chercher fortune, en commençant comme imprimeur et journaliste. En 1730, à
vingt-quatre ans, il possédait sa propre entreprise. En 1748, il était assez riche pour prendre sa retraite.

La raison pour laquelle Franklin voulait prendre sa retraite était de se consacrer à la recherche scientifique. Ses expériences
avec l'électricité l'ont rendu célèbre dans le monde entier. À partir des années 1750, il s'impliqua fortement dans les affaires
communautaires et la politique. Encore une fois, ses réalisations étaient incroyables. Il était l'un des rares influenceurs qui ont
façonné la Révolution américaine et la création du nouveau pays. Co-auteur de la Déclaration d'indépendance et de la
Constitution, il est le seul à avoir signé les quatre documents qui ont contribué à la création des États-Unis: la déclaration
d'indépendance (1776), le traité d'alliance, d'amitié et de commerce avec la France ( 1778), le Traité de paix

entre l'Angleterre, la France et les États-Unis (1782) et la Constitution (1787). 1

FABRICANT DE PARTENARIAT

Un examen rapide des réalisations de Franklin pourrait inciter à croire que Franklin était le genre de personne encline à travailler seul.
Rien ne pourrait être plus éloigné de la vérité. Franklin a adopté le principe du partenariat dès le début de sa carrière. Malgré sa maigre
éducation, Franklin était un apprenant à vie. Mais il savait que son plus grand progrès ne viendrait pas de travailler seul. Ainsi, en 1727, à
l'âge de 21 ans, il fonda un groupe appelé le Junto. Franklin l'a décrit comme «un club d'amélioration mutuelle» composé de «la plupart
de mes connaissances ingénieuses». Le groupe d'origine comprenait des imprimeurs, des géomètres, des artisans, un commis et un
marchand. «Nous nous sommes rencontrés les vendredis», a déclaré Franklin. «Les règles que j'ai rédigées exigeaient que chaque
membre, à son tour, produise une ou plusieurs questions sur n'importe quel point de morale, de politique ou de philosophie naturelle, à
discuter par l'entreprise; et une fois dans

trois mois pour produire et lire un essai de sa propre écriture, sur tous les sujets qui lui plaisent. 2 Le Junto de Franklin a finalement évolué pour
devenir l'American Philosophical Society, qui existe encore aujourd'hui.
La lecture de livres constituait une part importante de l'auto-éducation continue de Franklin. Souvent à court de fonds quand il était jeune,
Franklin a proposé une approche de partenariat pour acquérir des livres. Il a convaincu un groupe de personnes de mettre leur argent en commun et
d'acheter une bibliothèque de livres à partager. En 1731, l'idée est devenue la première bibliothèque de prêt du pays.

Franklin a utilisé à maintes reprises une approche de partenariat similaire. En raison de la menace d'incendie à Philadelphie, il a
convaincu un groupe de colons de se réunir pour former le premier club de pompiers volontaires de la ville en 1736. En cas d'incendie
menaçant la propriété d'un membre du club, tous les autres membres viendraient à son aide. En 1751, il a aidé à fonder le premier
hôpital public du pays. En 1752, il encouragea un groupe de colons à partager les risques financiers en s'associant au Philadelphia
Contributorship, la première compagnie d'assurance incendie des États-Unis. Il a amené des gens à travailler ensemble pour embaucher
des balayeurs de rue et employer des policiers locaux. À maintes reprises, Franklin a fait équipe avec d'autres pour que tous puissent
réussir.

Peu importe le succès de Franklin, il n'a jamais abandonné son approche de partenariat pour la réalisation. Il l'a utilisé
à l'échelle nationale et internationale. Lorsque les États-Unis cherchaient à obtenir leur indépendance, leurs fondateurs
savaient que le pays ne survivrait pas sans l'aide et le partenariat d'autres nations. Franklin a été envoyé en Europe en tant
que premier ministre du pays en France. Il réussit à persuader les Français de s'associer à l'Amérique contre les
Britanniques.
Le savant Leo Lemay a qualifié Franklin de «diplomate américain le plus essentiel et le plus titré de tous

temps" 3
Et après que la jeune nation eut obtenu son indépendance et tenta de rédiger sa constitution en 1787, lorsque les
délégués ne purent se mettre d'accord sur la structure de la législature, Franklin proposa le «grand compromis» qui créa
notre structure parlementaire actuelle à deux chambres. Peu d'hommes ont eu un plus grand impact aux États-Unis. Et peu
de gens ont compris le pouvoir du partenariat comme l'a fait Franklin.

APPRENDRE À REGARDER LES AUTRES

Dès sa jeunesse, Ben Franklin a compris que travailler ensemble augmente les chances de gagner ensemble. J'aurais aimé être aussi
sage. Il m'a fallu beaucoup de temps pour apprendre le principe de partenariat. Dans ce domaine de la vie, j'ai traversé quatre étapes:

1. Je veux faire une différence. . .

Comme beaucoup de gens, j'ai commencé ce que j'appelle le stade du moi. Je me concentrais sur moi et ce que je pouvais faire. Cela ne veut
pas dire que je faisais quelque chose de mal. Mes motivations étaient positives. C'est juste que ma perspective - avec mon efficacité - était si
limitée. J'ai travaillé dur et j'ai beaucoup travaillé. Mais je ne pouvais rien faire de vraiment significatif par moi-même. Ce que j'ai découvert et
écrit plus tard Les 17 lois incontestables du travail d'équipe est vraiment vrai: un est un nombre trop petit pour atteindre la grandeur.

Si vous pensez que vous pouvez faire une différence par vous-même, alors vous devez lire les paroles du poète qui a écrit
«L'homme indispensable»:

L'un est un nombre trop petit pour atteindre la grandeur.

Parfois, lorsque vous vous sentez important; Parfois

quand votre ego est en fleur; Parfois, lorsque vous
prenez pour acquis, vous êtes le plus qualifié de la salle.
Parfois, lorsque vous sentez que votre départ laisserait
un trou non remplissable;

Suivez simplement cette instruction simple, et voyez

comment cela humilie votre âme. Prenez un seau et
remplissez-le d'eau, mettez votre main dedans
jusqu'au poignet;
Tirez-le et le trou qui reste, est une mesure de la
façon dont vous vous manquerez.
Vous pouvez éclabousser tout ce que vous voulez quand vous entrez,
vous pouvez remuer l'eau à gogo;
Mais arrêtez-vous et vous verrez dans une minute, que ça
ressemble à peu près à la même chose qu'avant. La
morale de cet exemple pittoresque est de faire de votre
mieux;
 Soyez fier de vous, mais souvenez-vous

Il n'y a pas d'homme indispensable! 4

Ma définition personnelle de moral élevé est «Je fais une différence». Inversement, ma définition de moral bas est "Je ne fais aucune
différence." Si votre sentiment de bien-être personnel est affecté par votre capacité à avoir un impact positif sur les autres, vous devez
penser au-delà de ce que vous seul pouvez faire.

2. Je veux faire une différence avec les gens. . .

Lorsque j'ai commencé à regarder au-delà de moi-même, j'ai découvert que je pouvais aller plus loin et accomplir davantage lorsque d'autres me rejoignaient
dans le voyage. En conséquence, je voulais prendre Tout le monde avec moi. Il ne m'a pas fallu longtemps pour réaliser que c'était une erreur. Voici
pourquoi:
Pas tout le monde devrait faites le voyage - la passion. Avez-vous déjà travaillé avec des personnes qui ont dit
étiez à bord avec vous et croyiez en ce que vous essayiez d'accomplir, mais vous avez continué à les
convaincre de faire leur part? Ces personnes n'ont aucune passion pour le travail. Ils peuvent vouloir faire le
tour, mais ils n'ont aucun intérêt à pédaler. Prenez-les et ils vous épuiseront.

Pas tout le monde veut faire le voyage - attitude. Certaines personnes ne croient tout simplement pas en vous ou
que fais tu. Cela ne veut pas dire que vous vous trompez, et cela ne leur donne pas tort. Cela signifie simplement que vous ne devriez pas
essayer de les emmener avec vous.
Pas tout le monde pouvez faire le voyage - capacité. La différence entre un partenariat et un sauvetage
la mission est la capacité. Certaines personnes peuvent vouloir faire une différence, mais elles n'ont pas la capacité d'influencer ce que vous
faites. Vous ne pouvez pas vous permettre de vous associer à quelqu'un avec qui il n'y a pas de correspondance.

La principale leçon que j'ai apprise au cours de cette phase est que je devrais essayer de construire des relations avec tout le monde, mais je devrais
nouer des partenariats avec seulement quelques-uns.

3. Je veux faire une différence avec les gens qui veulent faire une différence. . .

L'homme d'État anglais Henry Van Dyke a observé: «Dans le progrès de la personnalité, vient d'abord une déclaration d'indépendance, puis une
reconnaissance de l'interdépendance.» Quand j'ai eu quarante ans, je suis entré dans une saison de vie où j'ai enfin commencé à prendre conscience de
cette vérité: ceux qui sont les plus proches de vous déterminent votre niveau de réussite. C'est à ce moment-là que je suis passé du simple fait de travailler
avec de bonnes personnes compétentes à un partenariat avec des créateurs de différence. Et laissez-moi vous dire le secret pour passer au niveau
supérieur dans ce domaine: trouver des personnes compétentes ayant la même passion et la même mission que la vôtre et qui ont également besoin des
autres pour faire la différence. Lorsque vous créez des partenariats avec ces personnes, vous ne savez pas ce que vous pouvez faire ensemble.

4. Je veux faire une différence avec les gens qui veulent faire une différence Faire quelque chose qui fait une
différence

Ce n'est qu'à ce moment de ma vie que je suis entré dans ce que j'appelle l'étape de la signification. J'ai de nombreux partenariats relationnels
enrichissants, et ensemble, nous faisons beaucoup de choses qui ont un impact positif en aidant les autres. Je ne peux rien imaginer de plus
gratifiant.
Le rabbin Harold Kushner a fait remarquer: «Le but de la vie n'est pas de gagner. Le but de la vie est de grandir et de partager.
Lorsque vous reviendrez sur tout ce que vous avez fait dans la vie, vous en aurez plus
satisfaction du plaisir que vous avez apporté dans la vie des autres que vous ne le ferez des temps où vous les avez surpassés
et vaincus.

LA PUISSANCE DU PARTENARIAT

En lisant les pages précédentes, vous avez peut-être remarqué quelque chose à propos de la progression que j'ai vécue:

Je veux faire une différence (self stage). . .

avec des gens qui veulent faire la différence (étape de partage). . . faire quelque
chose qui fait une différence (étape de signification)!
Entre le stade de soi et le stade de la signification se situe le stade du partage avec les gens. Un pouvoir incroyable vient de la
découverte du partenariat avec les autres. Cela peut être l'une des expériences les plus enrichissantes de la vie. Il a tellement d'avantages:

Lorsque vous vous associez à d'autres, vous ne perdez rien

Thomas Jefferson a observé: «Une bougie ne perd rien lorsqu'elle allume une autre bougie.» Telle est la vraie nature du partenariat. Je trouve que
beaucoup de gens ne pensent pas de cette façon. Ils croient que partager signifie perdre quelque chose. Mais je ne pense pas que ce soit vrai.

«Une bougie ne perd rien lorsqu'elle allume une autre bougie.»

- THOMAS JEFFERSON

Chaque personne possède l'une des deux mentalités suivantes: la rareté ou l'abondance. Les gens avec un état d'esprit de rareté croient qu'il y
a tellement de choses à faire, donc vous devez abandonner tout ce que vous pouvez et protéger ce que vous avez à tout prix. Les personnes ayant
une mentalité d'abondance croient qu'il y a toujours assez pour tout le monde. Si vous avez une idée, partagez-la; vous pouvez toujours en trouver
un autre. Si vous avez de l'argent, donnez-en une partie; vous pouvez toujours en faire plus. Si vous n'avez qu'un seul morceau de tarte, laissez
quelqu'un d'autre le manger; vous pouvez en cuire un autre.

Je crois que dans ce domaine, vous obtenez de la vie ce que vous attendez. Vous pouvez accumuler le peu que vous avez et ne plus en recevoir.
Ou vous pouvez donner ce que vous avez, et vous serez récompensé par l'abondance. Votre attitude fait la différence. Donc, si vous vous associez
avec une autre personne et donnez généreusement, d'une manière ou d'une autre, vous allez recevoir plus que ce que vous avez donné.

Lorsque vous vous associez avec les autres, vous vous aidez

Le romancier Mark Twain a déclaré: «La meilleure façon de vous remonter le moral est d'encourager tout le monde. Ce qu'il savait
instinctivement, c'est que lorsque vous aidez les autres, vous vous aidez vous-même. À tout le moins, vous aurez la satisfaction d'aider un autre
être humain. Mais il est plus probable qu'autrement, lorsque vous aidez d'autres personnes, elles désirent se retourner et vous aider.

Richard Shipley, président et chef de la direction de Shipley Associates, offre ce conseil: «Travaillez bien avec les autres pour les aider à remporter
leurs propres victoires; le vôtre suivra. Partagez la propriété avec les bonnes personnes. Vous passerez de nombreuses heures avec ces collègues, alors
sélectionnez les associés avec lesquels vous aimez vraiment travailler. Permettez à vos collègues qui réussissent de partager l'équité de vos efforts
mutuels. »
Lorsque vous vous associez avec d'autres, vous êtes récompensé par l'espoir

En 2003, Dave Sutherland, qui avait été président de l'une de mes entreprises, INJOY Stewardship Services (ISS), était prêt à faire
la transition et à déménager sur la côte ouest où vivent ses enfants et petits-enfants. Dave avait fait un travail formidable en
bâtissant l'entreprise pendant près d'une décennie et je me demandais comment j'allais le remplacer. Il ne m'a pas fallu longtemps
pour comprendre qui devait lui succéder pour diriger l'entreprise: Kirk Nowery.

Kirk, un ancien pasteur, était venu à bord des années auparavant à l'ISS et avait travaillé avec des centaines de pasteurs et d'églises. Il a
une passion pour la valeur ajoutée aux pasteurs, ses compétences sont énormes et personne n'a travaillé plus dur. Et c'est un excellent leader.
Je ne pouvais penser à personne avec qui je préférerais m'associer pour aider les églises à réaliser leur vision. Alors Margaret et moi avons
parlé avec Kirk, et après plusieurs longues discussions, je lui ai proposé le poste.

Quelques jours plus tard, Margaret et moi avons reçu une carte par la poste. Le message imprimé disait: «Pour tout ce qui a été, merci. Pour
tout ce qui sera, oui. - Dag Hammarskjold. En dessous, Kirk avait écrit à la main,
Chers John et Margaret, avec le plus profond respect et honneur, j'accepte.
Ce moment m'a apporté une grande joie et j'étais très reconnaissante. Pourquoi? Parce que je savais que l'avenir de l'ISS était radieux.

Si vous désirez cultiver des relations gagnant-gagnant, adoptez le principe de partenariat. Vous savez probablement dans votre cœur que ce
que vous pouvez faire seul est dérisoire par rapport à ce que vous pouvez faire avec les autres. Les relations les plus enrichissantes sont toujours
les partenariats. J'ai trouvé que c'est vrai dans les affaires, c'est vrai dans le mariage, et je crois que ce sera vrai pour vous.

QUESTIONS DE DISCUSSION SUR LE PRINCIPE DE PARTENARIAT

1. Que signifie pour vous «faire une différence»? Avez-vous réfléchi à la question de savoir si ou comment vous souhaitez faire une
différence dans votre vie? Quel est ton rêve? Quelles mesures devez-vous prendre pour y parvenir?

2. À quel stade se trouvent la plupart des personnes que vous connaissez: le stade du soi, le stade du peuple ou le stade de la signification?
Comment pouvez-vous dire? Tout le monde doit-il passer par les deux premiers avant d'entrer dans le troisième? À quelle étape êtes-vous
actuellement? Expliquez votre réponse.
3. Quel contrôle avez-vous sur les personnes avec lesquelles vous travaillez le plus étroitement? Cela a-t-il un impact sur votre
capacité à atteindre vos objectifs et à réaliser vos rêves? Si vous avez peu de contrôle, que pourriez-vous faire pour changer
cette situation? Dans quels domaines pourriez-vous actuellement vous entourer de personnes qui font la différence? Comment
pouvez-vous trouver des personnes ayant la même passion, une même mission, des talents et un besoin de partenariat?

4. Décrivez un mariage qui fonctionne comme un véritable partenariat. Quels sont les avantages d'une telle relation? Que se passe-t-il
lorsque les partenaires du mariage ne travaillent pas ensemble? Si vous êtes marié, décrivez votre attitude à l'égard du partenariat
matrimonial. Décrivez celui de votre conjoint. Que pouvez-vous faire tous les deux pour augmenter votre capacité à travailler
ensemble?
5. Les leaders devraient-ils essayer de cultiver des partenariats relationnels avec des personnes qui travaillent avec eux?
Explique. Si oui, quand cela serait-il approprié? Si vous êtes un leader, avec quels types de personnes vous êtes-vous
entouré? Pensez-vous que vos proches travaillent avec
vous ou travailler pour toi? Qu'aimeriez-vous changer, le cas échéant, dans la façon dont vous interagissez avec eux?
 LA SATISFACTION
PRINCIPE

DANS DE GRANDES RELATIONS,

LA JOIE D'ÊTRE ENSEMBLE
EST ASSEZ

Une joie partagée est une joie doublée.

- JOHANN WOLFGANG VON GOETHE LA
QUESTION QUE JE DOIS ME POSER:

Mes amis les plus proches

apprécient-ils juste d'être avec moi?
ré Depuis quatorze ans que j'ai dirigé mon église à San Diego, chaque mois de décembre, nous organisons une grande émission caritative pour atteindre
la communauté et collecter des fonds pour une fondation locale pour la maltraitance des enfants. J'ai toujours participé, agissant en tant que maître de
cérémonie et parfois en faisant un camée comique dans l'une des scènes. La plupart des années, nous avons fait au moins vingt-quatre représentations.
Ce fut une expérience exaltante, mais épuisante.

Avant chaque représentation, je sortais et réchauffais la foule en parlant à tout le monde et en interagissant avec le public.
Une des choses que j'aimais faire était de trouver dans le public le couple qui était marié le plus longtemps. Je me souviens
encore du couple qui a détenu le record de toutes les années où je l'ai fait. Ils étaient mariés depuis soixante-dix-sept ans!

Alors que le couple se levait et que le public les applaudissait, leurs yeux pétillaient.
"Voulez-vous que je vous donne deux conseils de mariage?" Ai-je demandé, faisant rire rapidement le public.

Le vieux monsieur m'a regardé, a souri et a dit presque confidentiellement: «Ça va de mieux en mieux.

LA PLUS GRANDE SATISFACTION

La plupart d'entre nous admirons et respectons les personnes qui entretiennent des relations solides et durables. Un mariage de plus de soixante-quinze
ans est remarquable. Et les amitiés de toute nature qui durent des décennies font l'envie de beaucoup.

L'une des grandes amitiés d'Hollywood, ville souvent critiquée pour sa superficialité, s'est développée entre George Burns et
Jack Benny. Le mariage de trente-huit ans de Burns avec Gracie Allen (jusqu'à sa mort en 1964) était admirable. Mais son amitié
avec Jack Benny a duré encore plus longtemps. Après la mort de Benny en 1976, Burns a caractérisé leur relation de cette façon:

Jack et moi avons eu une merveilleuse amitié pendant près de cinquante-cinq ans. Jack ne m'a jamais abandonné pendant que je chantais une
chanson, et je ne l'ai jamais abandonné pendant qu'il jouait du violon. Nous avons ri ensemble, nous avons joué ensemble, nous avons travaillé
ensemble, nous avons mangé ensemble. Je suppose que pour beaucoup de

ces années, nous avons parlé chaque jour. 1

Je pense que nous aimerions tous avoir une relation comme celle de Benny et Burns ou celle d'un couple marié plus âgé que nous
avons rencontré. Mais comment y arriver? La fondation est construite sur tous les principes de personnes précédents dans ce livre.
Une relation durable commence par une relation saine. Au-delà de cela, je pense que quatre facteurs contribuent à créer le bon climat
pour des relations où le simple fait d'être ensemble suffit:

1. Les souvenirs partagés créent un environnement lié

En mars 2004, Margaret et moi avons fait un voyage de dix-sept jours en Afrique avec EQUIP, l'organisation à but non lucratif que j'ai fondée pour
enseigner le leadership à des personnes à l'étranger. C'était un voyage épuisant. Nous avons parcouru de longues distances vers quatre pays différents
du continent. De nombreux matins, nous étions debout à sept heures du matin, et nous sommes allés sans interruption jusqu'à minuit ou 1h00. Pendant
ces deux semaines et demie d'enseignement, nous n'avons eu qu'une seule pause. Nous avons fait un safari de deux jours pour voir la magnifique faune
du pays de la brousse.

Une personne qui nous a accompagnés lors de ce voyage était Tom Mullins. Tom est un bon leader et un pasteur très
réussi d'une grande église de Floride, et il aidait l'équipe avec les responsabilités d'enseignement. Tom et moi sommes amis
depuis environ huit ans, et plus je le connais, plus mon respect et mon affection pour lui sont devenus profonds.
 L'après-midi où nous sommes rentrés à Atlanta en provenance d'Afrique, Margaret et moi nous sommes traînés à la maison depuis l'aéroport et nous
nous sommes couchés. Tout ce que nous voulions, c'était dormir. Même le lendemain, nous étions toujours en décalage horaire et épuisés. Alors que je
m'assis à mon bureau pour trier le courrier et rattraper mon travail, j'ai reçu un coup de fil. C'était Tom. Cela ne faisait qu'un jour que nous nous étions vus,
mais déjà il voulait se remémorer. Nous avons ri de notre safari. (Les autres touristes sont venus chargés d'appareils photo coûteux avec des objectifs
zoom, tandis que Tom et moi n'étions armés que d'un appareil photo jetable!) Nous nous sommes souvenus du voyage difficile. Et nous nous sommes
émerveillés de la réponse des milliers de personnes à qui nous avons enseigné.

"John," dit finalement Tom, "recommençons!" Tom et moi n'oublierons jamais ce voyage ensemble. Et les souvenirs que nous
partageons fourniront à jamais un lien commun entre nous.
Ces types d'expériences sont inestimables dans nos relations les plus profondes. Margaret et moi avons essayé de créer de nombreux
souvenirs avec nos enfants alors qu'ils grandissaient. Et depuis le moment où nous nous sommes mariés, nous nous sommes engagés à faire
tout ce qu'il faudrait pour que lorsque nous créerions nos plus beaux souvenirs, nous serions ensemble.

2. Grandir ensemble crée un environnement engagé

Dans les années 1970, lorsque nous vivions à Lancaster, dans l'Ohio, Margaret et moi nous sommes impliquées dans notre première entreprise.
Elle et deux amis ont décidé qu'ils voulaient devenir partenaires et ouvrir une boutique de fleurs. Nous n'avions pas d'argent à l'époque, nous
avons donc créé un plan d'affaires et parlé à un banquier local d'un prêt. Je me souviens encore très bien d'être assis en face de lui dans son
bureau.
«Il y a de bonnes et de mauvaises nouvelles», a-t-il déclaré. «La bonne nouvelle est que je vais vous accorder le prêt.» Nous étions ravis. «La
mauvaise nouvelle, c'est que si vous êtes comme la plupart des nouveaux propriétaires d'entreprise, votre partenariat sera rompu dans quelques années.
Beaucoup commencent ensemble; peu restent ensemble. »
Cela peut être dit de toutes sortes de relations. Les débuts et les fins sont souvent beaucoup plus faciles que le travail acharné de
maintenir une relation. Pourquoi?
Les relations de départ possèdent le excitation de départ ensemble. Les relations continues
possèdent engagement de collage ensemble. Les relations durables possèdent le joie de rester
ensemble.
Alors, quel est le pont qui traverse le fossé entre les relations qui commencent ensemble et celles qui restent ensemble? La réponse est la
croissance. Les gens qui grandissent ensemble s'engagent davantage les uns envers les autres. Et ils sont généralement plus heureux aussi.

En vérité, toutes les relations se développent - elles se séparent ou se développent ensemble. Si nous avons l'intention de grandir
ensemble, alors nous sommes beaucoup plus susceptibles de rester ensemble. Malheureusement, ce que le banquier nous a dit à Lancaster
s'est avéré vrai. À la fin de la deuxième année, l'un des associés n'était plus engagé dans l'entreprise et s'est retiré.

3. Le respect mutuel crée un environnement sain

Le respect dans une relation crée un environnement sain parce qu'il produit deux choses. Premièrement, cela crée la confiance et, comme vous le
savez, la confiance est le fondement de toutes les relations. Deuxièmement, cela engendre la servitude. Les gens ne peuvent presque pas
s'empêcher d'aider et de servir quelqu'un qu'ils respectent profondément. Et comme l'a dit Albert Einstein, "Seule une vie vécue pour les autres
vaut la peine."

4. L'amour inconditionnel crée un environnement sûr

L'auteure pour enfants Dinah Maria Mulock Craik a écrit: «Oh, le confort inexprimable de se sentir en sécurité avec une personne;
n'ayant ni à peser les pensées ni à mesurer les mots, mais à les déverser tous, tels qu'ils sont, paille et grain ensemble, sachant
qu'une main fidèle les prendra et les tamisera, gardera ce qui vaut la peine d'être gardé, et ensuite, avec le souffle de gentillesse,
épatez le reste. Quand quelqu'un vous aime sans aucune condition ni agenda personnel, c'est la chose la plus libératrice au monde.
Cela crée un environnement sûr où que vous soyez.

Récemment, Margaret et moi voyagions ensemble dans un avion, et nous avons entamé une conversation avec un autre couple
assis en face de nous. Quand la femme a demandé: «Où est la maison?» sans même y penser, j'ai dit: «Où qu'elle soit», désignant ma
femme. Et c'est vrai. Margaret m'aime inconditionnellement. Je peux être moi-même avec elle comme je ne le suis avec aucune autre
personne au monde. Elle est mon refuge. Il n'y a rien de plus doux dans cette vie que l'amour inconditionnel de votre ami le plus proche.

Je me sens très chanceux d'avoir Margaret. Je dis tout le temps aux gens que la plus grande décision que j'ai jamais prise a été de lui
demander de m'épouser. J'y pense quotidiennement. Et j'essaye de lui dire aussi souvent que je peux. Le jour de la Saint-Valentin 2004, je lui ai
écrit une note sur notre relation. Elle m'a donné la permission de le partager avec vous:

Margaret,
Il y a environ quarante ans, nous avons commencé à sortir ensemble. Bien que chaque année semble passer plus vite que la
précédente, nos vies sont remplies de souvenirs. A cinquante-six ans, j'en ai oublié beaucoup, mais les spéciaux sont encore
aujourd'hui très réels pour moi. Je me demande: «Les souvenirs étaient-ils spéciaux à cause de ce que nous avons fait ou parce que
nous les avons vécus ensemble?» La réponse est . . . tous les deux. La particularité était plus grande parce que nous étions
ensemble.
Quand nous serons séparés, j'attends avec impatience notre temps de téléphone chaque soir. C'est le clou de ma journée. Pourquoi? Est-ce
parce que nous partageons tous les deux notre liste de choses qui nous sont arrivées ce jour-là? Non, c'est parce que nous sommes à nouveau
ensemble.
Je me souviens très bien de l'anticipation que j'ai ressentie lorsque nous faisions la cour alors que je conduisais de
Circleville à Chillicothe pour une soirée avec vous. J'avais hâte d'attendre! Les années n'ont pas diminué l'attente de vous
revoir après mon départ. C'est pourquoi je vous appelle en quittant l'aéroport en rentrant chez moi. Margaret, la joie que vous
affichez quand vous me revoyez est restée forte pendant toutes ces années. Chaque fois que j'appelle, vous répondez au
téléphone avec une excitation qui m'exprime que je suis aimé.

Je n'oublierai jamais la fois où vous avez vendu certains de vos manuels de l'État de l'Ohio et acheté un ticket de bus pour que vous
puissiez me surprendre et que nous puissions passer une soirée ensemble. Ou le temps que vous avez voyagé du Népal à Delhi pour passer
une nuit supplémentaire avec moi. Ces efforts supplémentaires pour être ensemble sont ce qui a rendu notre mariage si réussi.

Une relation ne reste jamais la même. Il se rapproche ou se rapproche. Quarante ans après le début du nôtre, nous aimons toujours être
ensemble. Promenons-nous dans la boîte aux lettres.
L'amour,
John
Faire un tour à la boîte aux lettres pour nous, c'est passer du temps ensemble juste pour le plaisir. Et c'est ce que procurent toutes les
bonnes relations: la joie.
J'espère que vous avez des personnes dans votre vie avec lesquelles vous pouvez partager le principe de satisfaction. Si vous le faites, soyez
reconnaissant. Si vous ne le faites pas, commencez par mettre en pratique les principes des personnes dans ce livre. Ensuite, cultivez des relations de
réconfort dans lesquelles vous créez des souvenirs partagés, grandissez ensemble et vous vous accordez mutuellement respect et amour inconditionnel.
Faites cela, et ce n'est qu'une question de temps avant de ressentir la joie qui vient de relations profondes et durables.

Quand quelqu'un vous aime sans conditions ni agenda personnel, c'est le plus
libérer la chose dans le monde.
 QUESTIONS DE DISCUSSION SUR LE PRINCIPE DE SATISFACTION

1. Une personne peut-elle être distante tout en développant une relation gagnant-gagnant enrichissante? Expliquez votre réponse. Quel
est le prix qu'une personne doit payer pour développer des relations profondes? Qu'est-ce qui rendrait le prix à payer pour vous?

2. Pensez aux personnes que vous connaissez personnellement qui entretiennent une bonne relation depuis plus de vingt
ans. (Il peut s'agir de tout type de relation, comme un couple marié, des partenaires commerciaux ou des amis.)
Décrivez leur relation. Que font-ils pour maintenir la relation? Que pouvez-vous apprendre d'eux?

3. Dans les relations avec un haut degré de sécurité, comment le respect mutuel et l'amour inconditionnel entrent-ils en jeu? Pensez
à la relation la plus proche de votre vie. Vous sentez-vous en sécurité avec cette personne? Pouvez-vous dire tout ce que vous
voulez? Pouvez-vous exprimer vos sentiments? Êtes-vous à l'aise avec les longs silences? Sinon, comment pouvez-vous
changer l'environnement et le rendre plus positif?

4. Décrivez quelques façons dont les couples mariés peuvent grandir ensemble pour s'assurer qu'ils ne se séparent pas. Est-il difficile
d'intégrer la croissance dans un mariage? À quels défis ou obstacles la plupart des couples sont-ils confrontés? Comment
peuvent-ils les surmonter? Quelle est la récompense de la persévérance? Avez-vous réussi dans ce domaine dans votre
mariage?
5. Comment les expériences partagées et leurs souvenirs ont-ils affecté vos relations les plus proches? Décrivez un souvenir qui vous tient
à cœur. Vos amis ou membres de votre famille apprécient-ils les mêmes souvenirs? À quelle fréquence parlez-vous d'eux et les
revivez-vous? Pensez-vous que cela serait bénéfique? Dans quelle mesure êtes-vous intentionnel de créer de nouveaux souvenirs
ensemble? Comment pouvez-vous vous améliorer dans ce domaine?
 EXAMEN FINAL DU
PRINCIPES PERSONNELS POUR
GAGNER AVEC LES GENS

LA QUESTION DE PRÉPARATION:
SOMMES-NOUS PRÉPARÉS POUR DES RELATIONS?

Le principe de l'objectif: Qui nous sommes détermine la façon dont nous voyons les autres.
Le principe du miroir: La première personne que nous devons examiner, c'est nous-mêmes.
Le principe de la douleur: Les gens blessés blessent les gens et sont facilement blessés par eux.
Le principe du marteau: N'utilisez jamais un marteau pour faire tomber une mouche de la tête de quelqu'un.
Le principe de l'ascenseur: Nous pouvons élever ou abattre les gens dans nos relations.

LA QUESTION DE CONNEXION:
Sommes-nous prêts à nous concentrer sur les autres?

Le principe général: L'ensemble de la population mondiale - à une petite exception près -

est composé d'autres.
Le principe d'échange: Au lieu de mettre les autres à leur place, il faut se mettre
leur place.
Le principe d'apprentissage: Chaque personne que nous rencontrons a le potentiel de nous apprendre quelque chose.
Le principe du charisme: Les gens s'intéressent à la personne qui s'intéresse à eux.
Le principe du numéro 10: Croire le meilleur des gens fait généralement ressortir le meilleur des gens.
Le principe de la confrontation: Prendre soin des gens doit précéder la confrontation avec les gens.

LA QUESTION DE CONFIANCE:
Pouvons-nous bâtir une confiance mutuelle?

Le principe du substrat rocheux: La confiance est le fondement de toute relation.

Le principe de situation: Ne laissez jamais la situation signifier plus que la relation.
Le principe de Bob: Lorsque Bob a un problème avec tout le monde, Bob est généralement le problème.
Le principe d'approche: Être à l'aise avec nous-même aide les autres à être à l'aise avec nous.
Le principe de Foxhole: Lorsque vous vous préparez au combat, creusez un trou assez grand pour un ami.

LA QUESTION D'INVESTISSEMENT:
SOMMES-NOUS PRÊTS À INVESTIR DANS LES AUTRES?

Le principe du jardinage: Toutes les relations ont besoin de cultivation.

Le principe des 101 pour cent: Trouvez le 1% sur lequel nous sommes d'accord et donnez-lui 100% de notre
effort.
Le principe de patience: Le voyage avec les autres est plus lent que le voyage seul.
Le principe de la célébration: Le vrai test des relations n'est pas seulement à quel point nous sommes fidèles lorsque
les amis échouent, mais combien nous sommes ravis quand ils réussissent.
Le principe de la grande route: Nous passons à un niveau supérieur lorsque nous traitons les autres mieux qu'ils ne traitent
nous.

LA QUESTION DE SYNERGIE:
Pouvons-nous créer une relation gagnant-gagnant?

Le principe Boomerang: Lorsque nous aidons les autres, nous nous aidons nous-mêmes.
Le principe d'amitié: Toutes choses étant égales par ailleurs, les gens travailleront avec les gens qu'ils aiment; tout
les choses n'étant pas égales, elles le seront toujours.
Le principe de partenariat: Travailler ensemble augmente les chances de gagner ensemble.
Le principe de satisfaction: Dans les bonnes relations, la joie d'être ensemble suffit.
 REMARQUES

introduction

1 . Zig Ziglar, Top Performance: Comment développer l'excellence en vous-même et en autrui ( New York: Berkley Publishing
Group, 1991), italiques ajoutés.

Le principe du miroir

1 . «Pete's Records» www.peterose.com (consulté le 20 janvier 2004).

2 . Pete Rose, www.baseball-reference.com (consulté le 20 janvier 2004).
3 . Lieber et Neff, «The Case Against Pete Rose».
4 . Rose, www.baseball-reference.com (consulté le 20 janvier 2004).
5 . «Pete Rose:« Je parie sur le baseball »», extrait de Ma prison sans barreaux, dans Sports illustrés,
5 janvier 2004, www.si.com .
6 . Craig Neff et Jill Lieber, «Rose's Grim Vigil», Sports illustrés, 3 avril 1989,
www.si.cnn.com (consulté le 5 janvier 2004).
sept . Lieber et Neff, «The Case Against Pete Rose».
8 . «Pete Rose: 'Je parie sur le baseball.'»
9 . Ibid.
dix . Ibid.
11 . Ibid.
12 . John C. Maxwell, Les 21 lois irréfutables du leadership ( Nashville: Thomas Nelson,
1996).
13 . Phil McGraw, La solution de poids ultime ( New York: Free Press, 2003), 25.

Le principe du marteau

1 . Proverbes 15: 1.
2 . Marshall Goldsmith, «Comment apprendre la vérité sur vous-même», Compagnie rapide, octobre
2003, 127.

Le principe de l'ascenseur

1 . George W. Crane, Entretiens radio du Dr Crane, vol. 1 (Mellot, IN: Hopkis Syndicate, Inc.,
1948), 7.
2 . Ibid., 8–9.
3 . Ibid., 16.
4 . Ella Wheeler Wilcox, «Qui êtes-vous?» Custer et autres poèmes ( Chicago: WB Conkey Company, 1896), p. 134.
 5 . Anonyme.

Le principe général

1 . «Rencontrez la nouvelle Angelina Jolie» www.cnn.com/2003/showbiz/movies/10/25/jolie.ap

(consulté le 13 janvier 2004).
2 . "L'enfant change tout", ABCNews.com , 17 octobre 2003.
3 . Ibid.
4 . Ibid.
5 . Ibid.
6 . «Rencontrez la nouvelle Angelina Jolie.»
sept . Auteur inconnu.
8 . Bob Buford, Mi-temps ( Grand Rapids: Zondervan, 1997), 138.

Le principe d'échange

1 . Art Mortell, «Comment maîtriser le jeu intérieur de la vente», vol. 10, non. sept.

Le principe d'apprentissage

1 . Tom Seligson, «Comment un Wiseguy m'a mis droit», Parade, 18 janvier 2004, 18.
2 . Ibid.
3 . Joe Pantoliano avec David Evanier, Qui est désolé maintenant ( New York: Plume, 2002), 243.
4 . Ibid., 14.
5 . Ibid., 289.
6 . Philip B. Crosby, La qualité est gratuite: l'art de garantir la qualité ( New York: Mentor Books, 1992), 68.

Le principe du charisme

1 . Reproduit avec la permission de «Dr. Zimmerman's Tuesday Tip », un bulletin hebdomadaire sur Internet, www.drzimmerman.com
, Astuce n ° 171, 23 septembre 2003.
2 . Marcus Buckingham et Donald O. Clifton, Maintenant, découvrez vos forces ( New York: Free Press, 2001), 116.

Le principe du numéro 10

1 . Marilyn Haddrill, "Lessons in Learning: Ex-Marine-devenue enseignante façonne sa classe de lycée difficile," Chicago
Tribune, 3 mars 1996, http://internet.cybermesa.com (consulté le 22 janvier 2004).

2 . Ibid.
3 . Ibid.
 4 . LouAnne Johnson, Les filles à l'arrière de la classe ( New York: St.Martin's Press, 1995),
61.
5 . LouAnne Johnson, Esprits dangereux ( New York: St.Martin's Press, 1993), 7.
6 . Johnson, Les filles à l'arrière de la classe, ix – x.
sept . Haddrill, «Lessons in Learning».
8. LouAnne Johnson, "Ma Détachement Ne pas Faire Devoirs,"
http://members.authorsguild.net/louanne/work4.htm (consulté le 22 janvier 2004).

Le principe du substrat rocheux

1 . Dan Barry et autres, «Correcting the Record: Times Reporter Who Resigned Leaves Long Trail of Deception», New
York Times, 11 mai 2003, http://query.nytimes.com (consulté le 9 mars 2004).

2 . Elizabeth Kolbert, «Tumult in the Newsroom», New yorkais, 30 juin 2003,

www.newyorker.com (consulté le 9 mars 2004).
3 . Barry et al., «Correcting the Record».
4 . Paul D. Colford, «More Blair Faults at Times», Nouvelles du New York Daily, 13 juin 2003,
www.nydailynews.com (consulté le 9 mars 2004).
5 . Barry et al., «Correcting the Record».
6 . Peter Johnson, «Les dirigeants du Times abordent le scandale de Blair», USA aujourd'hui, 14 mai 2003,
http://usatoday.printthis.clickability.com (consulté le 9 mars 2004).
sept . Barry et al., «Correcting the Record».
8 . Ibid.
9 . Macarena Hernandez, "Ce que Jayson Blair m'a volé et pourquoi je ne pouvais pas l'ignorer",
Washington Post, 1er juin 2003, www.washingtonpost.com (consulté le 9 mars 2004).
dix . «Brûler la maison de mon maître: ma vie au New York Times» Éditeurs hebdomadaires, 8 mars 2004, 58.

11 . "Nombres," Temps, 29 mars 2004, 19.

12 . Barry et al., «Correcting the Record».
13 . Maxwell, Les 21 lois irréfutables.
14 . William M. Boast avec Benjamin Martin, Maîtres du changement ( Provo, UT: Executive Excellence Publishing,
1997).
15 . D. Michael Abrashoff, C'est votre vaisseau ( New York: Warner Business, 2002), 65.

Le principe de situation

1 . "Willams Sisters Display Loving Brother Rivalry at Australian Open", Jet, 9 février 1998,
www.findarticles.com (consulté le 5 février 2004).
2 . L. Jon Wertheim, «Nous vous l'avons dit» Sports illustrés, 5 avril 1999,
http://sportsillustrated.cnn.com (consulté le 4 février 2004).
3. Chronologie: Vénus et Serena Williams,
http://sportsillustrated.cnn.com/tennis/features/williams/timeline (consulté le 4 février 2004).
4 . Wertheim, «Nous vous l'avons dit».

Le principe de Bob
 1 . Tobias Seamon, «The All-Bastard Athletic Club», Les nouvelles du matin, 10 juin 2002,
www.themorningnews.org/archives/personalities (consulté le 28 janvier 2004).
2. Des sports Illustré, 30 Mars 1981, cité sur
http://espn.go.com/classic/s/quotesbmartin000806.html (consulté le 23 janvier 2004).
3 . Ibid.
4 . Entretien, New York Times, 15 juillet 1982.
5 . Neil T. Anderson, Victoire sur les ténèbres ( Ventura, Californie: Regal Books, 1990).

Le principe d'approche

1 . «Biographie de Barbara Walters», us.imdb.com/name/nm0910181/bio (consulté le 19 février

2004).
2 . Tina Gianoulis, «Barbara Walters», Encyclopédie Saint-Jacques de la culture populaire, 2002,
www.findarticles.com (consulté le 17 février 2004).
3 . Ibid.
4 . Association de la fonction publique de l'Alberta Nouvelles.
5 . Florence Littauer, Personality Plus: Comment comprendre les autres en se comprenant soi-même
(Grand Rapids, MI: Fleming H. Revell, 2003).
6 . Citations contemporaines de Simpson.
sept . Barbara Walters, Comment parler avec pratiquement n'importe qui de pratiquement n'importe quoi ( Garden City, NY: Doubleday,
1970), xv.

Le principe de Foxhole

1 . Manuel de terrain de l'armée numéro 7–8, quartier général, département de l'armée, Washington, DC, 22 avril 1992, www.adtdl.army.mil/cgibin/
atdl.dll / fm / 7-8 / ch2.htm # s2p6 (consulté le 17 mars
2004).
2 . Ecclésiaste 4: 9–12.
3 . Tom et David Gardner, «Entretien de Motley Fool Radio avec Yahoo! Cofondateur Jerry Yang, » www.fool.com/Specials/1999/
sp990303YangInterview.htm (consulté le 11 mars 2004).
4 . Jon Swartz, "L'autre duo dynamique de Yahoo: Jeff Mallett et Tim Koogle ont transformé le service en site
Web le plus populaire", Chronique de San Francisco, 6 août 1998,
www.sfgate.com (consulté le 12 mars 2004).
5 . http://docs.yahoo.com/info/pr/faq.html (consulté le 12 mars 2004).
6 . Robert Lauer et Jeanette Lauer, Bassins versants ( Boston: Little, Brown, 1988), 69.

Le principe du jardinage

1 . «Mitch Albom Bio», www.albom.com (consulté le 11 mars 2004).

2 . Tracy Cochran, «Tout le monde compte», Éditeurs hebdomadaires, 18 août 2003,
www.publishersweekly.com (consulté le 12 mars 2004).
3 . Mitch Albom, «Il était un champion», Parade, 14 septembre 2003, 4–5.
4 . Ibid., 4.
5 . Cochran, «Tout le monde compte».
6 . Albom, «Il était un champion», 5.
sept . Ibid.
 8 . Auteur inconnu.

Le principe des 101%

1 . Laura Hillenbrand, Seabiscuit: une légende américaine ( New York: Random House, 2001), 29.
2 . Ibid., 33–34.

Le principe de patience

1 . «Lawn Chair Larry: 1982 Honorable Mention,» www.darwinawards.com/stupid/stupid1997- 11c.html (consulté le 10

février 2004).
2 . Warren G. Bennis et Burt Nanus, Leaders: les stratégies pour prendre en main ( New York: HarperBusiness, 1985), p.
52.

Le principe de la grande route

1 . Richard Collier, Le général à côté de Dieu: l'histoire de William Booth et de l'Armée du Salut ( Londres: Collins
Clear-Type Press, 1965), 27.
2 . Steve Artus, «Général William Booth - Armée du Salut», Claves Regni, Octobre 1994,
www.stpetersnottingham.org (consulté le 25 février 2004).
3 . «William Booth», www.spartacus.schoolnet.co.uk /rebooth.htm (consulté le 25 février
2004).
4 . «Le fondateur - William Booth», http://archive.salvationarmy.org.uk (consulté le 25 février
2004).
5 . Charbonnier, Le général à côté de Dieu, 110.
6 . «The Skeleton Army», www1.salvationarmy.org/heritage.nsf (consulté le 15 mars 2004).
sept . "L'histoire," www.salvationarmyusa.org (consulté le 25 février 2004).
8 . Artus, «Général William Booth - Armée du Salut».

Le principe du Boomerang

1 . Alan Loy McGinnis, Le facteur d'amitié ( Minneapolis: Forteresse d'Augsbourg, 1979), 9.

2 . Cité dans Patrick Flaherty, Loi scoute: Citations pour la vie ( Iowa City: Penfield Books, 2002),
29.

Le principe de l'amitié

1 . Bethany Broadwell, «Bill Porter: Selling His Uplifting Attitude», 9 août 2002,
www.ican.com/news/fullpage.dfm (consulté le 4 mars 1004).
2 . Proverbes 18:24 Le message.
3 . Proverbes 27: 9 Le message.
4 . Proverbes 27:17 Le message.
5 . Proverbes 16:29 Le message.
Le principe de partenariat

1 . «Ben Franklin en tant que père fondateur» http://sln.fi.edu/franklin/statesman/statsman

(consulté le 1er mars 2004).
2 . «Ben Franklin: Networker», www.pbs.org /benfranklin/13_citizen_networker.html (consulté le 1er mars 2004).

3 . «Ben Franklin: France», www.pbs.org /benfranklin/13_citizen_france.html (consulté le 1er mars 2004).

4 . Anonyme.

Le principe de satisfaction

1 . OS Hawkins, Abattre les murs et construire des ponts ( Nashville: Thomas Nelson,
1995), 27.
 A PROPOS DE L'AUTEUR

John C. Maxwell, connu comme l'expert américain du leadership, s'adresse en personne à des centaines de milliers de
personnes chaque année. Il a communiqué ses principes de leadership aux entreprises Fortune 500, à l'Académie militaire des
États-Unis à West Point et à des organisations sportives telles que la NCAA, la NBA et la NFL.

Maxwell est le fondateur de plusieurs organisations, dont Maximum Impact, qui se consacrent à aider les gens à
atteindre leur potentiel de leadership. Il est l'auteur de plus de trente livres, dont
Développer le leader en vous, votre feuille de route pour réussir, et le New York Times plus vendu
Les 21 lois irréfutables du leadership, qui s'est vendu à plus d'un million d'exemplaires.
 Faire ressentir aux autres

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clés du cœur des autres Encourager les rêves
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brigadier-général Leo A. Brooks, Jr., Le 68e commandant du Corps des cadets des États-Unis à West Point; et Michael Duke, Président
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