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LA RÉACTION ÉQUILIBRÉE MÈNE À L’INDÉPENDANCE ÉNERGÉTIQUE

Cette étude de la faisabilité d’équilibrer la réaction à une action, permet de démystifier les
fantasmes sur l’énergie. Le principe est similaire aux systèmes à contrepoids, sans toute fois utiliser
les forces gravitationnelles. Il s’applique à toutes les actions ou la réaction se manifeste entre deux
pièces mobiles, étirement, compression, induction électromagnétique…
Le référentiel de la réaction est alors les deux pièces mobiles.

EN PHYSIQUE C’EST QUOI L’ÉNERGIE ?


l’énergie est une transformation en un laps de temps, soit de matière, soit de position ou de
valeur d’un vecteur ; d’un état primaire à un état secondaire. Les trois transformations peuvent-être
simultanées. Il est donc impossible de conserver cette transformation, car il est impossible de
conserver le temps. Nous pouvons relativement conserver le potentiel d’énergie, état secondaire
après transformation, pétrole, charbon, condensateur, accus, …
L’énergie ne peut être crée n’y détruite, nous ne faisons que la constater, la remarquer.
Les autres termes sont relativement impropres à l’énergie, tel que :
_ Produire, on ne produit pas d’énergie, nous ne faisons que la remarquer, la percevoir.
_ Utiliser, c’est user, c’est détruire, l’énergie ne peut être détruite, nous ne faisons qu’en profiter.

DIVISER LA RÉACTION EN 2 FORCES ÉGALES ET OPPOSÉES

Il faut un épicycloïde non inverseur à deux axes de


sortie, comme celui si-contre. Le prote satellites est fixe
sur la carcasse. Les axes de sortie tournent dans le
même sens.
Un rapport multiplicateur de 2 fournie un différentiel de
rotation entre les axes égale à la rotation du moteur.
≠ω = 2ω – ω = ω

Ce différentiel de rotation (≠ω) impose que la partie tournant deux fois moins vite, ait une masse
d’un poids quatre fois supérieur, à celle tournant deux fois plus vite ; afin que les deux masses en
mouvement aient la même énergie cinétique. Chaque pièce mobile recevrait de ce fait la réaction
divisée en deux forces égales et opposées.
Les pignons sur les axes de sortie, peuvent entraîner chacun une pièce mobile en relation avec
l’action à réaliser, étirement, compression, en fonction du sens de rotation du moteur.
Pour mieux comprendre. Il faut imaginer que les pièces mobiles sont deux voitures séparées d’une
distance (d), roulant dans le même sens à des vitesses différentes. Inévitablement la distance (d)
augmentera ou diminuera en fonction qu’elles roulent en marche avant ou en marche arrière.
L’action d’étirement ou de compression peut alors être réalisée entre ces voitures, donc également
entre les pièces mobiles.
L’obstacle principal est le poids imposé pour avoir la même énergie cinétique entre les pièces
mobiles, afin que les forces de réaction, soient égales et opposées, F = (-F’)
Ces forces parcourraient inévitablement la même distance (x = x’) en (t) secondes, mais leur vecteur
seraient de sens opposé. Leur énergie (ou puissance qui est l’énergie en une seconde) serait alors
égale est de signe mathématique contraire. Ce qui donnerait : (F*x*t) + ((-F)*x’*t) = 0

La réaction égale à zéro, est incapable de s’opposer à l’action. La motricité ou action, alors égale
aux pertes mécaniques, ferait varier la distance (d). Le bilan des énergies serait égal à zéro.
L’action est facilitée, similaire aux systèmes à contrepoids, quelque soit la valeur de la réaction.

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INDUCTION ÉLECTROMAGNÉTIQUE et RÉACTION ÉQUILIBRÉE
Dans un alternateur en charge, une force mécanique (réaction), s’oppose à la force motrice sur l’axe
de l’alternateur. En installant l’inducteur sur l’axe de sortie tournant à 2ω et l’induit sur l’axe
d’entrée tournant à ω, l’alternateur est alors bis-rotors. Le (≠ω) entre le rotor inducteur et le rotor
induit, permet l’induction électromagnétique dans le même environnement qu’actuellement.

DIVISER LA RÉACTION À LA CHARGE DE L’ALTERNATEUR BIS-ROTOR (ABR)


L’excitation est à aimants permanents.
L’épicycloïde est non-inverseur de rapport 0,5
Les bobinages induits, ont l’avantage d’optimiser les deux polarités du
flux inducteur. Leur circuit magnétique augmente le poids du rotor induit
le plus lent. Qui doit avoir une masse d’un poids quatre fois supérieur au
rotor inducteur. Afin que les rotors aient la même énergie cinétique si le
rapport de vitesse entre les rotors est de 0,5.
En charge, le couple mécanique (réaction) opposé au (≠ω) entre les
rotors, se répartirait en deux couples égaux et opposés pour tenter de
synchroniser les rotors. (F*r*(≠ω)) + (-F’*r*(≠ω)) = 0
La réaction égale à zéro ne peut plus influencer la motricité qui
n’assume que les pertes mécaniques.
Les phénomènes d’induction resteraient efficaces, car le flux inducteur
(ΔΦ/Δt) reste effectif, grâce au delta (t) assumé par la motricité.
Bien évidemment, le rendement tel que (Pu/ Pa) ne s’applique pas à ces
systèmes. Un bilan des énergies est plus approprié. Bilan qui doit être
égale à zéro, car rien ne se perd rien ne se créée.

D’OÙ VIENT L’ÉNERGIE ? Si (E) représente le terme énergie.


1) Pour les systèmes à contrepoids l’énergie vient de la force de gravité.
_ (E du poids en mouvement) + (-E du contrepoids en mouvement) = 0
_ (E motrice) + (-E des pertes mécaniques) = 0
Bilan égale zéro, la loi de la thermodynamique est respectée, bien que l’action soit plus facile.

2) Pour la réaction à l’étirement et à la compression, elle vient de la résistance des matériaux.


_ (+E de déformation (réaction/2)) + (-E de déformation (réaction/2)) = 0
_ (E motrice) + (-E des pertes mécaniques) = 0
Bilan égale zéro, la loi de la thermodynamique est respectée, bien que l’action soit plus facile.

3) Pour l’induction électromagnétique, l’énergie de la charge vient du (ΔΦ/Δt) inducteur.


L’énergie de la réaction vient du courant induit.
_ Les aimants maintiennent le flux inducteur (Φ).
_ La motricité maintient le (Δt), qui ne s’oppose pas à la motricité.
_ L’induction ((ΔΦ/Δt) inducteur), est donc garantie pour assumer l’énergie de la charge.
_ Le couple mécanique (réaction) opposé au (≠ω), est divisé en 2 couples (C et C’) égaux et
opposés sur les rotors. (C*(≠ω)) + (-C’*(≠ω)) = 0, la réaction est donc incapable de s’opposer à
l’action qu’est la motricité.
_ (E du (ΔΦ/Δt) inducteur) + (-E transformée par la charge) = 0
_ (E motricité) + (-E des pertes mécaniques) = 0
Bilan égale zéro, la loi de la thermodynamique est respectée, bien que l’action soit plus facile.

Le bilan des énergies dans les 3 cas, égale zéro. Le principe permettrait des économies d’énergie.
Les conséquences économiques, environnementales et sociales, seraient importantes.

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Exemple non exhaustif de maquette pour expérimentation.

La plus grande difficulté est de réaliser l’inducteur et


l’induit. Il est possible pour une personne très bien équipée,
de prendre un alternateur actuel, désolidariser le stator de la
carcasse pour le transformer en rotor ; y adapter un axe et
réaliser l’équilibrage de cet ancien stator transformé en
rotor. L’entraînement par chaînes éviterait le glissement du
aux courroies.
Deux raisonnements possible pour calculer l’effet du
couple mécanique de la réaction à la charge.
Ce couple se divise en deux couples mécaniques (C et C’)
égaux et opposés sur les rotors pour tenter de les
synchroniser. Sous condition d’une même énergie cinétique
des rotors.
1)_ Soit : On considère que ces couples sont du signe
mathématique positif. Cependant ils sont opposés l’un par
rapport à l’autre. Il faut donc les soustraire pour obtenir le
résultat dynamique de leur effet.
Ce qui donne : (+C*≠ω) - (+C’*≠ω) = 0

2)_ Soit : On considère que ces couples sont de signe mathématique contraire, car leur direction est
opposée. Il faut donc les additionner pour obtenir le résultat dynamique de leur effet.
Ce qui donne : (+C*≠ω) + (-C’*≠ω) = 0
Si non, nous aurions en (1) et en (2) : (+C*≠ω) + (+C’*≠ω) > 0 ou (+C*≠ω) - (- C’*≠ω) > 0
Impossible car l’épicycloïde est non inverseur, les engrenages seraient détruits avant qu’un des axes
ne tourne. Axe qui de toute façon ne pourrait pas tourner car les engrenages seraient détruits.
De plus, le quel des couples pourrait être menant sur l’autre. Ils sont tous deux égaux et opposés.

Nous serions bien en présence d’un système à réaction équilibrée, qui nous permettrait de
profiter plus facilement de l’énergie électrique, à l’instar des systèmes à contrepoids.
Les forces électromagnétiques et gravitationnelles, sont deux des quatre forces fondamentales
qui régissent tout l’univers.
Actuellement, l’induction est effective, que l’inducteur ou l’induit, soit sur le rotor ou le stator
d’un alternateur.
Ce que nous obtenons avec le contrepoids pourrait être valable avec l’induction, car actuellement
le (ΔΦ/Δt) inducteur n’est pas influencé par le couple mécanique de la réaction à la charge.
Je me base sur les faits avérés des alternateurs actuels, pour élaborer mon raisonnement.
La force électromagnétique, serait à l’origine de l’énergie électrique, tout comme la force
gravitationnelle est à l’origine de l’énergie du poids et du contrepoids en mouvement.
La force de gravité à pour origine la masse de la matière, dont on profite de l’énergie.
La force électromagnétique à pour origine l’induction, dont on profiterait de l’énergie.
Pour le poids et le contrepoids, nous acceptons le profit d’énergie avec la gravité, dans un laps de
temps, car nous sommes limités par la distance. Le référentiel est alors la terre et les poids.
Pourquoi éviter d’envisager le profit d’énergie avec la force électromagnétique, en continue, car
le mouvement serait rotatif. Le référentiel serait alors les deux rotors.
Le temps ne demande pas d’énergie supplémentaire pour être. Alors que l’univers demande
l’énergie du Big-Bang pour exister dans le présent. Car passé et futur sont absents du présent.
Intuitivement, l’univers ne pourrait pas exister sans le temps. Alors que le temps (concept non
encore définit) pourrait être (exister) sans l’univers.

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INDÉPENDANCE ֤ÉNERGÉTIQUE

Cette partie aborde l’autonomie d’énergie en optimisant : les éléments factuels suivants, ainsi que
les éléments probables de l’ABR.
Les aimants permanents d’un alternateur actuel maintiennent l’excitation.
Le delta (t) est maintenu par la motricité.
Le couple mécanique de réaction à la charge, n’influence pas le flux inducteur.
Que l’induit ou l’inducteur soit sur le rotor ou le stator le résultat est le même.
La charge totale d’un alternateur actuel peut être égale à plusieurs charges différentes. L’une des
charge peut être un moteur électrique.
Le couple mécanique de réaction à la charge de l’ABR devrait être équilibré dans l’épicycloïde.
Cette réaction mécanique à la charge, n’influencerait pas la motricité.
Les condition d’inductions sont les mêmes que celles d’un alternateur actuel. C’est la garantie d’un
même résultat de puissance utile à ΔΦ/Δt inducteur et bobines induites de même conception.

L’ABR EN AUTONOMIE D’ÉNERGIE


Que la charge totale soit la somme de plusieurs charges ou d’une seule, l’intensité totale du courant
induit resterait responsable de la réaction, qui tenterait de synchroniser les rotors. Réaction
responsable donc des couples mécaniques équilibrés entre les rotors. Le profit d’énergie (charge)
plus important que l’action (motricité) permettrait l’hypothèse d’une autonomie d’énergie. Car la
motricité compenserait uniquement les pertes mécaniques.
Pour cela, une partie de la charge (profit) serait dérivée sur la motricité (action) de l’ABR.
L’énergie viendrait toujours du (ΔΦ/Δt ) inducteur de l’ABR, dont l’énergie induite (charge) serait
supérieure à l’action (motricité).

Bien entendu le rendement ne s’applique pas aux systèmes à réaction équilibrée. Nous n’appliquons
pas le rendement (Pa/Pu) aux systèmes à contrepoids, bien que nous profitons de l’énergie du poids
et du contrepoids en mouvement. L’essentiel est que le bilan des énergies soit égal à zéro.

Synoptique de l’ABR en autonomie d’énergie.

L’une des flèches rouges (réaction/2) serait de sens contraire par rapport à la motricité. C’est la
tentative de synchronisation des deux rotors par la réaction, qui détermine cela. C’est forces
mécaniques de réaction/2, égales et opposées, seraient équilibrées dans l’épicycloïde non inverseur.
C’est un fait avéré dans les épicycloïdes actuels.

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BILAN DES ÉNERGIES EN AUTO-ALIMENTATION

L’environnement et les conditions propices à l’induction sont les mêmes dans un alternateur actuel
comme dans l’ABR. Je prends donc les caractéristiques d’un alternateur à aimants permanents,
exemple : 18 KW, rendement de 95 %.
Puissance absorbée : (18/95)*100 ≈ 19 KW
Avec une motricité de 80 % de rendement il faut apporté : (19/80)*100 ≈ 24 KW

Pour l’ABR, avec des pertes mécaniques dans l’épicycloïde de 5 % il faudrait apporter :
Puissance absorbée par l’épicycloïde : (19/100)*5 = 0,95 KW
La réaction, n’influencerait pas la motricité, les 950W seraient donc la puissance utile du moteur.
Puissance apportée par la motricité, 80 % de rendement : (0,95/80)*100 ≈ 1,2 KW
En prévoyant 1,8 KW pour le contrôle et la charge des accus nécessaires au démarrage, ce serait 3
KW prélevés sur la puissance en sortie de L’ABR en auto-alimentation.
Profit de puissance en auto-alimentation : 18 – 3 = 15 KW
Le rendement ne s’applique pas aux systèmes à réaction équilibrée, c’est plus approprié de
considérer un coefficient de facilité (Cf) : Cf = 15/3 = 5 sans unité

Bilan des énergies dans l’ABR plus l’épicycloïde : La lettre (E) représente le terme énergie.
(E charge totale) = (E charge utile + E contrôle et accus + (E motricité = aux pertes mécaniques)
(E inducteur) = (E de charge totale)
(E inducteur) + (-E de charge totale) = 0
Le bilan égale zéro, la loi de la thermodynamique est respectée, bien que l’action soit plus facile.

C’est peut-être plus aisé d’appréhender le principe en considérant que la motricité est alimentée par
des accus, chargés par l’énergie de l’ABR. Ainsi l’énergie électrique de la motricité ne vient pas de
l’ABR mais des accus. La motricité serait alors à courant continu.
Fondamentalement le principe reste le même, cependant, je pense que la compréhension est plus
facile.

Tout comme la gravité, le magnétisme n’est pas détruit si nous en profitons.

Si vous le souhaitez, contactez moi sur ma boite mail : j.lefebvre436@laposte.net

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