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Cette étude de la faisabilité d’équilibrer la réaction à une action, permet de démystifier les
fantasmes sur l’énergie. Le principe est similaire aux systèmes à contrepoids, sans toute fois utiliser
les forces gravitationnelles. Il s’applique à toutes les actions ou la réaction se manifeste entre deux
pièces mobiles, étirement, compression, induction électromagnétique…
Le référentiel de la réaction est alors les deux pièces mobiles.
Ce différentiel de rotation (≠ω) impose que la partie tournant deux fois moins vite, ait une masse
d’un poids quatre fois supérieur, à celle tournant deux fois plus vite ; afin que les deux masses en
mouvement aient la même énergie cinétique. Chaque pièce mobile recevrait de ce fait la réaction
divisée en deux forces égales et opposées.
Les pignons sur les axes de sortie, peuvent entraîner chacun une pièce mobile en relation avec
l’action à réaliser, étirement, compression, en fonction du sens de rotation du moteur.
Pour mieux comprendre. Il faut imaginer que les pièces mobiles sont deux voitures séparées d’une
distance (d), roulant dans le même sens à des vitesses différentes. Inévitablement la distance (d)
augmentera ou diminuera en fonction qu’elles roulent en marche avant ou en marche arrière.
L’action d’étirement ou de compression peut alors être réalisée entre ces voitures, donc également
entre les pièces mobiles.
L’obstacle principal est le poids imposé pour avoir la même énergie cinétique entre les pièces
mobiles, afin que les forces de réaction, soient égales et opposées, F = (-F’)
Ces forces parcourraient inévitablement la même distance (x = x’) en (t) secondes, mais leur vecteur
seraient de sens opposé. Leur énergie (ou puissance qui est l’énergie en une seconde) serait alors
égale est de signe mathématique contraire. Ce qui donnerait : (F*x*t) + ((-F)*x’*t) = 0
La réaction égale à zéro, est incapable de s’opposer à l’action. La motricité ou action, alors égale
aux pertes mécaniques, ferait varier la distance (d). Le bilan des énergies serait égal à zéro.
L’action est facilitée, similaire aux systèmes à contrepoids, quelque soit la valeur de la réaction.
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INDUCTION ÉLECTROMAGNÉTIQUE et RÉACTION ÉQUILIBRÉE
Dans un alternateur en charge, une force mécanique (réaction), s’oppose à la force motrice sur l’axe
de l’alternateur. En installant l’inducteur sur l’axe de sortie tournant à 2ω et l’induit sur l’axe
d’entrée tournant à ω, l’alternateur est alors bis-rotors. Le (≠ω) entre le rotor inducteur et le rotor
induit, permet l’induction électromagnétique dans le même environnement qu’actuellement.
Le bilan des énergies dans les 3 cas, égale zéro. Le principe permettrait des économies d’énergie.
Les conséquences économiques, environnementales et sociales, seraient importantes.
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Exemple non exhaustif de maquette pour expérimentation.
2)_ Soit : On considère que ces couples sont de signe mathématique contraire, car leur direction est
opposée. Il faut donc les additionner pour obtenir le résultat dynamique de leur effet.
Ce qui donne : (+C*≠ω) + (-C’*≠ω) = 0
Si non, nous aurions en (1) et en (2) : (+C*≠ω) + (+C’*≠ω) > 0 ou (+C*≠ω) - (- C’*≠ω) > 0
Impossible car l’épicycloïde est non inverseur, les engrenages seraient détruits avant qu’un des axes
ne tourne. Axe qui de toute façon ne pourrait pas tourner car les engrenages seraient détruits.
De plus, le quel des couples pourrait être menant sur l’autre. Ils sont tous deux égaux et opposés.
Nous serions bien en présence d’un système à réaction équilibrée, qui nous permettrait de
profiter plus facilement de l’énergie électrique, à l’instar des systèmes à contrepoids.
Les forces électromagnétiques et gravitationnelles, sont deux des quatre forces fondamentales
qui régissent tout l’univers.
Actuellement, l’induction est effective, que l’inducteur ou l’induit, soit sur le rotor ou le stator
d’un alternateur.
Ce que nous obtenons avec le contrepoids pourrait être valable avec l’induction, car actuellement
le (ΔΦ/Δt) inducteur n’est pas influencé par le couple mécanique de la réaction à la charge.
Je me base sur les faits avérés des alternateurs actuels, pour élaborer mon raisonnement.
La force électromagnétique, serait à l’origine de l’énergie électrique, tout comme la force
gravitationnelle est à l’origine de l’énergie du poids et du contrepoids en mouvement.
La force de gravité à pour origine la masse de la matière, dont on profite de l’énergie.
La force électromagnétique à pour origine l’induction, dont on profiterait de l’énergie.
Pour le poids et le contrepoids, nous acceptons le profit d’énergie avec la gravité, dans un laps de
temps, car nous sommes limités par la distance. Le référentiel est alors la terre et les poids.
Pourquoi éviter d’envisager le profit d’énergie avec la force électromagnétique, en continue, car
le mouvement serait rotatif. Le référentiel serait alors les deux rotors.
Le temps ne demande pas d’énergie supplémentaire pour être. Alors que l’univers demande
l’énergie du Big-Bang pour exister dans le présent. Car passé et futur sont absents du présent.
Intuitivement, l’univers ne pourrait pas exister sans le temps. Alors que le temps (concept non
encore définit) pourrait être (exister) sans l’univers.
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INDÉPENDANCE ֤ÉNERGÉTIQUE
Cette partie aborde l’autonomie d’énergie en optimisant : les éléments factuels suivants, ainsi que
les éléments probables de l’ABR.
Les aimants permanents d’un alternateur actuel maintiennent l’excitation.
Le delta (t) est maintenu par la motricité.
Le couple mécanique de réaction à la charge, n’influence pas le flux inducteur.
Que l’induit ou l’inducteur soit sur le rotor ou le stator le résultat est le même.
La charge totale d’un alternateur actuel peut être égale à plusieurs charges différentes. L’une des
charge peut être un moteur électrique.
Le couple mécanique de réaction à la charge de l’ABR devrait être équilibré dans l’épicycloïde.
Cette réaction mécanique à la charge, n’influencerait pas la motricité.
Les condition d’inductions sont les mêmes que celles d’un alternateur actuel. C’est la garantie d’un
même résultat de puissance utile à ΔΦ/Δt inducteur et bobines induites de même conception.
Bien entendu le rendement ne s’applique pas aux systèmes à réaction équilibrée. Nous n’appliquons
pas le rendement (Pa/Pu) aux systèmes à contrepoids, bien que nous profitons de l’énergie du poids
et du contrepoids en mouvement. L’essentiel est que le bilan des énergies soit égal à zéro.
L’une des flèches rouges (réaction/2) serait de sens contraire par rapport à la motricité. C’est la
tentative de synchronisation des deux rotors par la réaction, qui détermine cela. C’est forces
mécaniques de réaction/2, égales et opposées, seraient équilibrées dans l’épicycloïde non inverseur.
C’est un fait avéré dans les épicycloïdes actuels.
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BILAN DES ÉNERGIES EN AUTO-ALIMENTATION
L’environnement et les conditions propices à l’induction sont les mêmes dans un alternateur actuel
comme dans l’ABR. Je prends donc les caractéristiques d’un alternateur à aimants permanents,
exemple : 18 KW, rendement de 95 %.
Puissance absorbée : (18/95)*100 ≈ 19 KW
Avec une motricité de 80 % de rendement il faut apporté : (19/80)*100 ≈ 24 KW
Pour l’ABR, avec des pertes mécaniques dans l’épicycloïde de 5 % il faudrait apporter :
Puissance absorbée par l’épicycloïde : (19/100)*5 = 0,95 KW
La réaction, n’influencerait pas la motricité, les 950W seraient donc la puissance utile du moteur.
Puissance apportée par la motricité, 80 % de rendement : (0,95/80)*100 ≈ 1,2 KW
En prévoyant 1,8 KW pour le contrôle et la charge des accus nécessaires au démarrage, ce serait 3
KW prélevés sur la puissance en sortie de L’ABR en auto-alimentation.
Profit de puissance en auto-alimentation : 18 – 3 = 15 KW
Le rendement ne s’applique pas aux systèmes à réaction équilibrée, c’est plus approprié de
considérer un coefficient de facilité (Cf) : Cf = 15/3 = 5 sans unité
Bilan des énergies dans l’ABR plus l’épicycloïde : La lettre (E) représente le terme énergie.
(E charge totale) = (E charge utile + E contrôle et accus + (E motricité = aux pertes mécaniques)
(E inducteur) = (E de charge totale)
(E inducteur) + (-E de charge totale) = 0
Le bilan égale zéro, la loi de la thermodynamique est respectée, bien que l’action soit plus facile.
C’est peut-être plus aisé d’appréhender le principe en considérant que la motricité est alimentée par
des accus, chargés par l’énergie de l’ABR. Ainsi l’énergie électrique de la motricité ne vient pas de
l’ABR mais des accus. La motricité serait alors à courant continu.
Fondamentalement le principe reste le même, cependant, je pense que la compréhension est plus
facile.
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