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ONG sont comme les auxiliaires de l’état qui supportent le domaine social – des organisations
qui prolifèrent énormément dans le monde actuellement. Le but est de connaître la situation
des différentes ONG dans le cadre professionnel)
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Sujets :
Les trois premiers : identifier quels devraient être le contenu essentiel, puis qui les
élaborent, comment s’élabore ces trucs et comment se passe la validation (par qui ?) une
fois élaborée. Il faut préciser les mentions obligatoires et celles facultatives dans un statut,
règlement intérieure ou codes de conduite. Aussi, il faut savoir que ça peut évaluer –
lorsque ‘on veut changer ou amender ces écrits comment ça se passe.
Création d’une ONG : identifier, voir comment se créer une ONG, les points et
étapes de création d’une ONG (démarche de reflexion ou création au niveau des
individus ou l’idée et comment matérialiser ca et voir administrativement comment
ca se crée à Madagascar els papiers et procédures et tout)
Typologie des ONG : types d’ong existant dans le monde, quels sont leurs buts,
champs d’action + typologie sur Madagascar . et choisir une ONG quelconque à
présenter (parler de tout ca)
Objectif :
Nous faire comprendre ce qu’est une ONG et quelle est l’origine, leurs relations avec
les autres institutions, leurs environnements,
Ainsi que la compréhension de l’ONG, la différence par rapport aux autres types
d’organisation –
Ensuite on va voir comment gérer une ONG proprement dit (enjeux, les opportunités,
les menaces…)
Plan :
Cela fait plus de 3 décennies qu’il y a des ONG – et ce depuis la fin de la Deuxième
guerre mondiale – et nous pouvons compter plus de 10 millions d’ONG au niveau local ou
international ; et surtout dans les pays en voie de développement.
Dans une vision économique, les ONG constituent la 5ème économie dans le monde
(à part l’agriculture et tout) car il faut savoir qu’elles apportent de l’argent tà l’organisation
elle-même mais aussi à l’Etat malgré le fait que ce sont des organisations à but non lucratif.
Pourquoi ? ce que les ONG perçoivent font partie des balances de paiements dans la finance
dans un Etat. L’une des ressources financières de l’ONG sont les Dons ou les financements
venant d’individu ou d’un bailleur – et ces ressources sont enregistrés par la Banque Central
d’un Etat comme de l’argent perçu par l’Etat – écrit comme faisant partie de la « comptabilité
nationale » mais aussi parce qu’elle va contribuer au développement économique du pays – à
la fin de tout programme il y a une évaluation des résultats qui contribue à la production et à
l’augmentation du PIB du pays ; (ils ont des employés aussi ce qui fait diminuer le taux de
chômage d’un pays aussi qui fait partie des indicateurs macro-économiques d’un pays
permettant d’évaluer l’état économique d’un pays quelconque.)
Dans le monde, une personne sur trois a fait des donations pour les ONG car les
individus pensent pouvoir céder une partie de leurs richesses vu les situations dans le monde –
sachant aussi que l’une des plus grandes ressources des ONG est constituée par les Dons
recueillis à travers le monde ; (ex : les retraités, certaines personnes riches cèdent leurs
richesses, leurs entreprises à la cause humanitaire…). Ce n’est pas qu’une question d’argent,
nous comptons parmi les dons : le matériel, immobilier, mais aussi donner son TEMPS dans
le cadre du volontariat ou bénévolat mais dans le monde, il y a une personne sur 4 qui
s’implique de cette manière.
N’oublions pas que les ONG ne se concentrent pas uniquement sur les pays pauvres
mais aussi sur une plus grande échelle surtout dans le domaine environnemental (avec la
situation marquée par l’écoterrorisme mis en œuvre par les activistes pour attirer l’attention
du gouvernement sur les réalités existantes), les questions de droits de l’Homme sachant que
les ONG sont plus efficaces, ont plus de poids pour faire avancer les choses.
Ce sont des acteurs essentiels et domine plus de place dans la société quelque soit le
domaine – et on ne peut même plus se passer d’eux – car ils se sont professionnalisés un peu
plus et peuvent réellement rivaliser avec les entreprises et les Multinationales sachant qu’ils
ont des spécialistes même plus compétents que dans les autres firmes. Ce sont en fait de réels
multinationales ; leurs professionnalisations découlent des nombreux besoins des bénéficiaires
qui se sont accentués et diversifiés mais aussi en raison des grandes exigences de ces derniers.
(Ex : distribution de riz au niveau d’un Fokontany – avec l’évolution des exigences, les
bénéficiaires mettent l’accent sur la qualité du riz, avec le mode de conditionnement pour
faciliter, établissement des listes et nécessité des études pour cerner les réels besoins de la
population…). Pour ce faire, ils doivent recruter des personnes spécifiques et compétentes en
raison du nouveau style professionnel du management ; si on parle de la gestion il y a
actuellement des méthodes, des logiciels, des styles de management comme dans les
entreprises privées. Il y a une concurrence qui s’élève entre les ONG et les entreprises privés
sur les questions RH, salariales et condition de travail etc.
les organisations
organisations
fondations non
religieuses
gouvernementales
ONG de droits
humains
ong de
développement
ong
environnemnetales
Les ONG font aussi parties des SOCIETES CIVILES (forces vives de la nations) : les
organisations non gouvernementales et à but non lucratifs. Ce sont les organisations qui
défendent les intérêts et les valeurs de » leurs membres ou les personnes cibles de ces
dernières. Elles sont aussi basées sur des considérations d’ordre éthique, culturelle,
religieux, politiques (idéologique ou stratégies), philanthropiques.
LA SOCIETE CIVILE :
Les sociétés civiles sont des organisations INDEPENDANTES : le pouvoir de décider par
soi-même sans être influencé par quoique ce soit ou par d’autres personnes – il faut une
grande affirmation de soi. Elles sont indépendantes de l’Etat, des organisations économiques,
(ex : même si l’organisation reçoit une subvention de l’Etat, et si celui -ci décide quelque
chose qui n’est pas conforme aux valeurs de l’ONG elle est capable de dire NON sans prendre
en compte le fait que l’Etat lui procure un quelconque financement)
Suite cours Anja Miora (forme et fonction société civile – organisation de la société civile)
B. LES ONG
Créée vers 1945 après la II -ème guerre à la suite de laquelle Europe a subit de grands
dégâts économiques et sociaux – et malgré l’appui des USA, ça ne suffisait pas à relever
l’Europe. Il y a eu alors de nombreuses initiatives privées qui se sont émergée surtout aux
USA. De plus, à cette période il y a eu la création de la société des nations (origine des
nations unies) – en même temps vers les années 1945 – 50 les nations unies a été crée pour
régulariser les relations internationales, créer des lois internationales pour qu’il n’y ait plus de
guerre et permettre les négociations en période conflits inter- pays.
Il a ensuite continué en usant de son influence en tant que business man – et a discuté
avec certains chefs d’Etat et propose des moyens pour réguler les guerres – il a conclu avec
eux un mémorandum qui définissait ce qui devrait être accompli pendant la guerre pour éviter
les grands ravages de la guerre : première ébauche du droit international humanitaire
(droit des guerre – on ne s’entretue pas tout court on prend en compte l’humanité et il y a des
lois qui définissent les caractéristiques d’un civil, d’un combattant, qui tuer et non, mais aussi
qui a le droit de port d’arme ou non, les questions de prisonniers de guerre qui ont aussi des
droits eux-aussi, et d’autres loi du type portant sur les droits et lois de la guerre). Le CICR
faisait partie des seuls à pouvoir visiter les prisons (autres que les organisations de Caritas
catholique ou médecin sans frontières actuellement) pour observer les conditions de détention
des gens.
Cet organisme possède une certaine main mise sur les guerres et quelque soit le lieu en
crise ou en guerre, nous pouvons croiser le drapeau du CICR levé.
o Délivrent des services pour la communauté qui ont dans le besoin ; on crée une ONG
à partir d’un besoin social au sein de la communauté- pour y répondre -et il doit avoir cet
objectif pour aider la communauté : IMPLEMENTATION. Dans ce sens il se doivent de
Mobiliser des ressources afin de pouvoir réaliser les activités et atteindre les objectifs qui
sont définis.
o FONCTION DE PLAIDOYER : inciter, faciliter ou contribuer pour le changement
positif et durable pour les bénéficiaires i.e. grâce aux services et activités normalement on
devrait voir et sentir les changements positifs ;
o Organisation partenaire dans le seul où il doit collaborer avec d’autres partenaires ou
acteurs et créer des synergies avec soit des organisations publiques, privées… pour
réaliser les activités et atteindre les objectifs.
ONG du Nord :
o ONG qui travaille pour les pays pour la population du Nord mais souvent ils
travaillent dans les pays en voie de développement. Ils n’ont pas les réseaux de
travailleurs, d’information et manque d’implantation là où ils veulent travailler
sachant que le terrain leurs est encore inconnu. Ils vont alors faire appel aux acteurs
locaux (ONG ou association locale) pour réaliser les projets qu’ils souhaitent
réaliser : manque de connaissance du terrain et du milieu au contraire des ONG
locales.
o Grande faciliter d’accès aux informations, au financement
o Ils ont une grande notoriété établie qui joue énormément dans la recherche de
financement
o Ont une grande notion de professionnalisme dans la réalisation de leurs activités
o Ont une grande capacité d’investissement (facilité d’accès aux donateurs)
Ces ONG du Nord convoitisent beaucoup les ONG locales qui ont une maitrise du terrain et
ont un grand réseau. Le Cas des ONG locales ou du SUD est tout à fait le cas contraire de la
situation de celles du Nord avec le manque de professionnalisme, de notoriété, etc…
ONG du Sud :
Dans la majorité des cas, les ONG sont plus locales. Et les ONG international ont
pourtant la plus grande notoriété.
Ce sont des organisations qui font parties prenantes des enjeux internationaux donc
qui peuvent influer le cours des relations internationales et les décisions prises dans les
grandes réunions. (Ex : cas des Cop 27). Dans ce sens, il y a même des Etats qui utilisent des
ONG de leurs propres pays pour développer leurs réseaux en fait ; (c’est la SOFTPOWER :
moyens non coercitifs pour développer leurs influences dans le monde – ils utilisent ainsi les
ONG internationale à ces fins)
Leurs poids, leurs effectivités ? cela dépend de leurs notoriétés qui est dépendant de
leurs poids en termes d’effectivité ou de réalisation des choses – question de ressources
financières croissante, quand elle travaille dans un grand nombre de pays ou question
d’universalité, mais aussi de leurs réseaux d’influencer ou leurs facultés de plaidoyer auprès
des gouvernements et des organisations internationale (le lobbying est important surtout grâce
aux capacités des chefs de l’ONG) = ADVOCACY NETWORK ; . Il faut savoir que leurs
notoriétés dépendent grandement de leurs professionnalismes ET ECRITURE DE LA
NORME S (travail avec des normes établies comme le cas de la norme sphère dans le monde
de l’humanitaire).
C. PARTIES PRENATNES
1. DONATEURS
SUITE COURS ANJA MIORA
Les ONG sont financées essentiellement par les donateurs tels que :
2. LES MÉDIAS :
A) RÔLES
Ils informent la population ou les bailleurs, ou les institutions sur les situations de
crises quelconques. C’est essentiel pour les ONG car quand elles informent elles
mettent en avant une situation ou une crise qui nécessite une intervention par un
projet. Ce qui n’est pas vraiment le cas à Madagascar et il n’y aucune connaissance
des réalités à l’égard des bailleurs et tout.
Elles rapportent aussi les actions des ONG en situation des crises.
Critiques des institutions : leurs stratégies, professionnalismes, pratique sur le terrain
Lorsqu’on cité par les médias sur les résultats des activités :
3. INTER-ONG
RELATIONS ENTRE ONG car nous ne travaillons pas seul dans un domaine d’intervention
ou sur un même programme, ou une même zone de mise en œuvre – on parle alors de :
o Tout projet a une vocation altruiste c’est la base de la création des ONG.
o On y met en avant l’idéalisme et ce sont souvent des militants qui se battent pour
des causes communes altruistes (+esprit bénévole)
o Contrairement aux objectifs des entreprises, le management ou le principe de
management des ONG se diffère – celui- ci est plus PARTICIPATIF dans le sens où
c’est un ensemble de personne qui la crée – et principe de management plus proche
du bénéficiaire
o Nécessité du professionnalisme, formalisation, hiérarchie dans le management des
ONG – ce sont les exigences des parties prenantes – et c’est dur d’équilibrer l’esprit
altruiste et le professionnalisme (comment manager les employés afin de mener à bien
les activités de l’ONG)
1. LES EMPLOYES
Il faut savoir que ce sont Souvent ce sont les bénévoles qui siègent dans le conseil
administratif et qui exécutent les activités de l’ONG.
Lorsqu’on est employés au sein d’une ONG nous n’avons pas les mêmes valeurs entre
Volontaires et salariés, qui ont des objectifs différents- l’un de satisfaction morale, et l’autre
satisfaction monétaires. Il faut de bonnes stratégies de management pour éviter et régler les
conflits surtout au niveau de la prise de décision, la mise en œuvre des actions ou le suivi- ce
qui ensuite crée des conflits au niveau de la motivation (il y aura plus de frustration car les
volontaires vont croire qu’on privilégie les salariés et tout)
o Redevabilité : devoir de rendre compte aux bailleurs, aux bénéficiaires (car ce sont
eux qui sont à la base de l’identification de l’idée de projet) mais aussi auprès du
gouvernement ou institution publique du territoire d’intervention.
o Transparences : fait face au manque de professionnalisme souvent – c’est pourtant
juste rendre accessible un maximum d’informations à toutes les parties prenantes (sur
l’ONG, sur son personnel, sur ses projets – faciles d’accès et disponibles à tout
moment
o Collecte de fonds : on ne peut pas travailler et atteindre les objectifs si on n’a pas de
financement pour réaliser les activités. Les défis majeurs sont les questions de
communication et marketing au sein de l’ONG) pour pouvoir réaliser une collecte de
fond comme il le faut.
o La professionnalisation : un défi surtout pour les ONG locaux dans le SUD- nous
pouvons parler du paradoxe des volontaires et les rendre professionnels – il faut savoir
que ceux qui ont en a donner (compétences, temps ou argent) ne se lancent
aucunement dans le volontariat. Donc les volontaires disponibles doivent suivre un
renforcement des Volontaires ce qui nécessite des fonds (de l’argent que les bailleurs
ne donnent presque jamais). Aussi, plus on est professionnel, plus il y a de la notoriété,
plus on a la confiance des parties prenantes et des bailleurs de fonds – ce qui nous rend
plus indépendant pour éviter de n’avoir qu’un seul bailleur et de la laisse monopoliser
les décisions et les activités.
Ce sont les 4 points essentiels à voir, à affronter pour gérer une ONG.
BASE DU MANAGEMENT
Souvent nous parlons de management d’une entreprise pour faire plus de profit et produire à
moindre coût : ce qui est une vision occidentale et capitaliste.
Le management n’est pas vraiment le management dans une ONG car on est plus focalisée
sur la réalisation des activités pour aider autrui-
Le management de l’organisation et la professionnalisation n’est pas vraiment une
priorité surtout à Madagascar
Fonds disponibles incertains
Budgets très serrés
Difficulté à décentraliser quand l’ONG a des ramifications.
Les ONG pensent que le principe du management va à l’encontre de leurs valeurs –
car on se dit que management rime avec profit et gestion des travaux
PERSONNALITÉ JURIDIQUE
Il n’y pas vraiment différentiation entre ASSOCIATION et ONG à mada ; c’est un organisme
en fait qui est constitué par un ensemble de personne avec les mêmes valeurs ou même
objectifs. (CONSTITUE EN SOCIETE)
Sans personnalité morale (la personne morale c’est l’ONG elle-même) car les
administrateurs sont des bénévoles et sont entièrement responsables conjointement des
affaires de l’ONG (pas un seul responsable mais l’ensemble des administrateurs)
CONSTITUTION
Statut ou constitution qui régis la vie de l’ONG et qui est la base de la création de l’ONG. Il y
a la structuration de l’organisme (définition et description des structures nécessaires à
l’ONG) décidée par les membres.
CONSEIL DE DIRECTION
Il est :
En effet, ce sont les VOLONTAIRES qui en sont membres, mais surtout les MEMBRES
FONDATEURS. Ce sont des personnes non-rémunérée. Ces membres font le suivie des
exécutions des décisions prises par le conseil (ils font le suivie de la mise en œuvre de celui-
ci)
Certaines ONG nomment des personnes spécifiques ou des membres d’Honneur en fonction
de leurs compétences (pour asseoir la notoriété) sachant qu’elle est connue par les bailleurs
(tels que les chefs d’entreprises, les Hommes politiques ou autres) ; ils nomment aussi un
président du conseil de direction pour faciliter la communication et les relations publiques et
qui est lui aussi l’interlocuteur principale du directeur général ou exécutif. Il est aussi le
trésorier qui gère les fonds propres et contrôle les transactions financières.
Il faut savoir que Lorsque l’ONG obtient un fond c’est le directeur administratif et financier
qui en fait le suivie. Par contre Si ce sont les fonds propres de l’ONG (cotisation, revenus
propres à l’ONG) c’est le président qui le gère.
Une ONG a une ORGANISATION BICEPHALE (orientation stratégiques – géré par les
volontaires ou la gouvernance de l’ONG et l’autre partie est l’organe exécutif ou le
management des décisions prises par le premier organe– qui gère les fonds et les activités –
composés de salariés recruté)
conseil
d'administar
tion
directeur
Délégation de général
pouvoir Obligation de rendre
compte
directeur
directeur
des
financier
orpérations;
chef de équipe de
projet finance
Conseil de direction : volontaire ne vont pas travailler au sein de l’ONG tous les jours car ils
ont leurs propres occupations ; ce sont les personnes salariées qui gèrent l’ONG grâce aux
décisions prises et orientations données par le CD. (REVER)
Directeur général : responsable de tous les salariés, exécuter et FAIRE EN SORTE QUE CE
REVE SE REALISE
Elle existe des contrôles et des suivies des ressources ; leurs planifications, organisations et
contrôle de leurs utilisations.
DÉFINITION DU MANAGEMENT
Art de diriger une organisation i.e. une compétence qui permet à tout individu d’effectuer
cela
Art de prendre des décisions nécessaires : ce n’est pas facile de faire cela car cela consiste à
avoir tous les outils d’analyse et les informations et tout
C’est une démarche globale pour un individu qui va diriger l’organisation, qui repose sur 4
pilier des fonctions principales d’un manager :
Piloter (comme piloter un avion ou une voiture) : fixer une destination ou un objectif,
mettre en place et fixer une stratégie pour atteindre des objectifs cohérents avec les
stratégies en question et le but, mais aussi savoir contrôler ou évaluation (évaluation à
l’instant To avant qu’ONG commence à mettre en œuvre le projet ou évaluation de la
situation originelle, évaluation à mi-parcours entre le temps on doit vérifier et
identifier l’état d’évolution et le chemin que l’on suit et revoir les stratégies si
nécessaire) les résultats (ce que l’on est en train de faire) si cela correspond aux
objectifs et savoir se corriger si on ne va pas droit.
Organiser : savoir répartir et coordonner le travail ou les missions définie au début.
En définissant les tâches tout d’abord et les détails ou les décompositions du travail,
répartir les tâches entre les individus qui composent l’équipe et puis coordonnée les
tâches (pour voir si y a pas de redondance hoe misy mitovy tâche ataony et que les
membres ont le même timing)
Animer : on est avec une équipe et chacun a sa propre motivation et ses problèmes qui
fait varier ses humeurs ; on doit alors apprendre à considérer toutes les facettes de
chaque individu dans une équipe afin que chacun puisse aller dans le même sens, en
même temps avec la même quantité d’effort. Il faut savoir que si on n’est pas
synchronisé comme quand on rame un kayak, on tourne en rond. Comment ? Il faut
mettre en place des actions de formations et de renforcement de capacité (mettre à
même niveau d’information, équipement et connaissance les membres de l’équipe),
mettre en place un système d’évaluation sur les efforts et acquis, résultats de chacun
par rapport aux objectifs définis pour chacun – ce qui parfois peut insinue sanctionner
positivement (féliciter pour le moduler plus) ou sanctionner négativement (aider à se
surpasser et à faire mieux par la suite). Il faut aussi motiver en innovant aussi c’est
important. Avoir une bonne ambiance de travail et un environnement travail pour
que chacun puisse s’épanouir et donner 100% de soi.
Diriger proprement dit (une équipe) : savoir prendre les décisions pour réaliser les
objectifs, ce qui inclue la capacité à collecter les informations nécessaires avec des
outils performant autour d’un sujet quelconque, et les analyser mais aussi les exploiter
pour prendre la décision.
MANAGEMENT STRATÉGIQUE :
Rappelons que l’environnement des ONG est assez compétitif et les problèmes
s’accroissent ce qui exige du professionnalisme. De ce fait les ONG sont soumises à des
impératifs en termes d’efficacité, professionnalisme, adaptabilité, politique, législative,
culturelle dans les pays d’intervention. C’est pour cela que nous soulevons la question de
management stratégique – avoir un plan stratégique : qui coordonne les futures actions et
visions de l’ONG sur 5 à 20 ans surement ou plus. (une logique empruntée aux entreprises
commerciales.)
Objectif de MS pour ONG : pour rendre pérenne l’organisation et la rendre prospère dans un
environnement dynamique et complexe (avec la grande concurrence existante). Il permet à
l’organisation de ne pas s’éparpiller et de cadrer mais aussi spécifier le chemin à suivre (la
stratégie) pour ne pas perdre du temps ou à tourner en rond.
La vision qui sera ensuite traduite en mission (c’est le rêve des dirigeants de l’ONG)
La mission de l’ONG ou le métier de l’ONG (on crée l’ONG et pourquoi faire ? –
quel métier choisir pour réaliser la vision ou le rêve en question)
Choisir le portefeuille d’activités en fonction du marché (quelles sont les activités à
mettre en place pour réaliser la mission- et on doit bien analyser le marché du domaine
humanitaires, social et de développement -car il y a une multitude d’activités à faire –
analyser les tendances et les futures tendances du marché pour choisir les activités à
mettre en place).
Rechercher les combinaisons optimales entre les ressources et les activités
choisies (c’est là que repose l’avantage concurrentiel de l’ONG -sachant qu’il faut
savoir se démarquer sur le marché)
Identifier les attentes des parties prenantes : qui sont les parties prenantes de
l’ONG, savoir quels seraient leurs attentes – PP = cibles, bailleurs, les donateurs,
l’Etat, …
Trouver ou chercher les moyens d’actions (moyens utilisés, ressources nécessaires
pour mettre en place les actions, ainsi que les compétences nécessaires = capacité
stratégique ; sans quoi on ne peut pas mettre en œuvre les actions de l’organisation –
elle fait que l’ONG est capable de réaliser sa mission et atteindre ses objectifs)
PLAN STRATÉGIQUE
Nb : quand on parle de l’ONG avec les parties prenantes, on se réfère souvent au plan
stratégique élaborée – toute organisation doit en avoir une pour être crédible, digne de
confiance et professionnel, ainsi que pour garantir sa réussite.
Un plan à long terme (moyen-terme) sur plus de 3 ans. Il résulte du processus ci-dessus.
Il guide et encadre le développement de l’ONG et de plusieurs plans opérationnels à partir de
ce PS – un plan détaillé des actions quotidienne. C’est la référence (comparaison entre l’Etat
originel et ce qui a été planifié et réalisé) pour l’élaboration, mise en œuvre et évaluation des
actions de l’ONG. Une référence pour les membres et pour le corps dirigeant ainsi que pour
les parties prenantes pour évaluer l’ONG à l’égard de la réalisation des ses objectifs.
Il faut savoir qu’un plan évolue dans le temps et dans l’espace et c’est en fonction de son
environnement externe et interne qu’il change.
Un PS implique les choix fondamentaux de l’ONG : choix quant à la la mission, les
objectifs qui constituent la vision, le choix des cibles directs ou indirects, et comment trouver
et attirer les ressources nécessaires pour mettre en œuvre ses objectifs et comment celles-ci
vont être utilisées.
Il faut que tout le monde évoque et identifie ensemble les problèmes réels de la
communauté d’intervention : constat d’ensemble sur le problème sur lequel se
focaliser.
Il faut avoir une vision commune de ces problèmes (compréhension et mêmes
interprétations sur un problème) - quoi exactement
Tout le monde doit être prêt et s’engage à aborder le problème et adhérer à cette
mission.
Même niveau d’information sur le constat et tout. (Harmonisation)
Il faut qu’il y ait des ressources DISPONIBLES pour élaborer un PS. (en temps,
matériel, RH, logistique, financièrement,…)
LIMITES D’UN PLAN STRATEGIQUE
Il peut être fait à la va-vite, sous pression, … et autres raisons qui peuvent entrainer des
limites :
o Coût de l’élaboration du PS peut être plus important que les bénéfices ou résultats qui
pourraient ne pas être à la hauteur de cette élaboration
o Un système D (= ady gasy = au lieu d’utiliser les moyens tokony ho izy dia on
emploie des méthodes et outils non conventionnels, pas adéquats pour régler le
problème – ex : ONG tsy mahita financement et comme solution au lieu d’améliorer le
PS qui va mobiliser énormément de ressources, on va juste une levée de fond) peut
être préférable que qu’un PS
o On ne considère pas les problèmes de l’élaboration
o C’est dangereux quand il n’y a pas d’adhésion totale des membres à la PS –
l’application du PS est improbable du fait de ce manque satria izay tsy tia dia manao
izay tsy ahampatanteraka azy.
Facteurs qui influent sur les choix stratégiques : mission sociale, attentes des parties
prenantes et l’environnement qui entoure l’organisation ;
Le fait que les résultats correspondent aux facteurs du tout début, cela renforce la légitimité de
l’organisation.
C’est un processus circulaire car à chaque fois qu’on a un problème ou quand on a envie on
peut vérifier le fonctionnement de l’organisation au cours de sa vie et voir sir le PS
correspond aux aspirations de l’ONG elle-même.?????????
Questionnement de base :
Pourquoi devons nous développer un plan stratégique ? (Tout le monde doit être là
pour entendre ça)
Qui sommes-nous ? (Qui est l’ONG)
Où voulons nous être dans 5 ans/ 15 ans/ ou autres ?
Comment y serons-nous au cours des cinq prochains années (pour identifier les
orientations stratégiques de l’ONG)
Un plan stratégique doit être correctif et itératif (aller-retour suivant les étapes dans
l’élaboration du PS par tous les membres).
ETAPES
Période DE
préparation
la mise en
oeuvre du diagnostique
plan
élaboration
analyse
du PS
ETAPE 1 : DIAGNOSTIQUE
Examine l’adéquation de la situation de l’ONG à son environnement
Analyser les situations externe et interne actuelles de l’organisation et de son
environnement
Identifier les enjeux critiques auxquels l’ONG devrait faire face
DIAGNOSTIQUE INTERNE
On effectue une Etude de l’environnement (afin d’avoir une image vue par l’externe -
enquêtes des bénéficiaires, les parties prenantes, étudier le marché ou le domaine
d’intervention de l’ONG, étude d’opportunité qui signifie analyse l’évolution des autres ONG
dans le même secteur
Afin de pouvoir identifier les stratégies adéquates pour l’avenir de l’ONG. A partir de
l’analyse de ces données on aura une nouvelle vision (surement) en premier lieu dans le PS
(comment l’ONG veut elle que le monde soit ? ex : un monde sans SIDA) et ensuite on
détermine la mission (à quoi sert l’ONG pour avoir le monde décrit dans la vision – comment
faire pour changer ce monde). Il ne faut pas oublier qu’il faut aussi ressortir les valeurs qui
sont chères à l’ONG ou pour les personnes qui y travaillent. (Comment se définie la culture de
l’ONG (occidentale, …) ; on peut aussi les déterminer en connaissant l’histoire de l’ONG par
exemple. Et finalement il faut connaitre le métier ou le savoir-faire de l’ONG (compétence à
mettre en œuvre et sur quel territoire (à décrire dans PS en premier lieu qui sont issu du
diagnostic et puis de l’analyse : vision- mission- valeur- métier-cible ou public -).
A partir des analyses on devrait tirer les principes d’actions des ONG (à quoi s’engage
l’ONG) (ex : respect du genre
Après tout cela, on va les transformer en programme d’actions soit en projet d’actions
grâce a certains outils.
Rappel : Pour mettre en place une stratégie Stratégie : on doit faire un diagnostic afin
de déterminer la vision, la mission, identification des valeurs chères aux fondateurs et cultures
mais aussi métier (le savoir-faire de l’ONG) – tout cela constitue le projet associatif de
l’Organisation.
L’analyse donne en plus les principes d’action (comment va-elle faire pour mettre en
œuvre ses objectifs, missions, etc…
Principe d’action :
Ambitions
Spécificité de l’ONG
Tous ces points sont définis dans le projet associatif qui est le fondement de l’organisation – il
faut tous les membres de l’ONG doivent s’en imprégner.
Mission représente les moyens pour atteindre la vision. La mission traduit la mission et
la raison d’être de l’ONG. (ex : pour atténuer la souffrance des plus démunies – il fa
travailler dans le domaine humanitaire)
VALEURS cadre les acteurs et les actions dans la mise en œuvre en tant que principes
éthiques partagés par les parties prenantes (ex : on s’inspire par exemple des valeurs de
l’islam, solidarité et du respect de la dignité humaine, la valeur de partage, fraternité)
PRINCIPES D’ACTION qui sont les principes qui vont guider les actions : ex :
neutralité (pas que question de position politique ce qui n’est pas neutre), indépendance
(pouvoir décider sans être influencé par qui que ce soit ou quoi que ce soit), impartialité,
respect, responsabilité, prise de risques.
ORIENTATION STRATEGIQUE
Explorer plusieurs scénarii ou situation future de développement de l’ONG (dans 3 ou 5
ans) et étudier les faisabilités des différents scénarios (les problèmes, les opportunités offertes
par celles-ci). On va prendre une décision « quel scénario choisir » et pour arriver à ce stade
on doit cadrer les critères de choix. Le scénario choisi sera ensuite décliné en
ORIENTATION STRATEGIQUE. (qui sont les axes de développement de l’ONG sur une
période de quelques années) (ex de scénarii : développer un partenariat privilégié avec une
entreprise, 2- mutualiser voire fusionner avec une autre organisation 3- devenir une SCIS afin
d’intégrer les salariés. )
L’idée est de transformer les points faibles en points forts et utiliser la compréhension
de l’environnement pour renforcer les points forts.
Lorsque les forces correspondent (lorsqu’on voit qu’avec les forces de l’ONG on peut
saisir les opportunités existantes) aux opportunités, comme orientation stratégique, il est
pertinent de se développer, de communiquer, d’investir dans le domaine de différenciation de
l’ONG. (Ex : l’ONG a une grande force pour convaincre les personnes et l’opportunité de
financement et que l’une des actions à faire est de sensibiliser- elle peut saisir cette
opportunité)
Que les forces correspondent aux menaces – on doit renforcer les acquis on va travailler
dans le même domaine avec les mêmes savoir-faire.
Faiblesse et menaces misy liens - il faut se repositionner (quelles sont less autres
alternatives de l’ONG)
Les objectifs stratégiques précisent les orientations fixées, elles sont mesurables aussi.
Elles doivent être SMART : spécifique avec une description des résultats à atteindre et des
cibles, mesurable avec des indicateurs et des critères nécessaires, acceptable pour le public et
les partenaires, temporel ou inscrit dans le temps, … il faut de nombreux OS.
MANAGEMENT OPÉRATIONNEL
Gestion quotidienne des actions et des problèmes de tous les jours, et assurer le
fonctionnement quotidien de l’ONG.
Nb : souvent, les ONG ne mettent pas en place de plan stratégique mais s’arrête au
management opérationnel pour des raisons de manque de vision long terme – ce qui rend
l’ONG non pérenne sur le territoire ou sur le marché.
Rappelons que les donateurs demandent souvent les plans stratégiques de l’ONG pour
analyser les objectifs à long termes afin de voir la cohérence de ces derniers avec les
orientations stratégique du bailleur en question pour l’octroi des financements.
Il y a les Back donors qui sont les financeurs des grands bailleurs qui vont gérer ces
fonds et qui avec les bailleurs sont à la base de leurs orientations stratégiques. (Il faut savoir
analyser ce marché du financement, donation, tendance en matière de financement comme la
cas des changements climatiques… )
Elle est particulière sachant qu’elle comporte 3 types de RH qui ont des statuts différents ce
qui nécessite un système de gestion différentes.
Il y a une difficulté au niveau des dirigeants surtout au niveau des salariés – difficulté sur
le statut des dirigeants (sachant que ce sont les employeurs). Il faut savoir qu’Un membre et
un volontaire ne perçoivent aucun salaire tout au contraire des salariés – des fois les membres
ont un complexe (dirigent l’ONG sans rien percevoir). Cela peut créer des conflits entre
volontaires et salariés.
Les volontaires perçoivent des indemnités et non les salariés (hébergement et trois repas
par jours) - les inégalités qu’ils ne comprennent pas souvent crée des démotivations par
exemple. POURQUOI, ? parce qu’on n’explique pas assez les différences de missions, de
statuts de chacun, ce que chacun y gagne et pourquoi certains ne touche ou touche pas de
contrepartie. Souvent les volontaires en voyant les intérêts des salariés ils sont tentés à devenir
des salariés.
Pour les VOLONTAIRES, ils sont libres de choisir du temps qu’ils donnent à l’ONG –
tout au contraire des SALARIES qui sont sensés venir au travail 8h et sont donc extrêmement
présents dans la structure et les Volontaires décident mais non les chefs exécutifs. On
constate en effet des niveaux d’implications et d’attente différentes. Le GRH doit alors savoir
gérer le temps du personnel au sein de l’ONG en fonction des disponibilités des volontaires
pour distribuer les tâches quotidiennes par exemple.
Volontaires Salariés
Statut Statut
Esprit de militantisme : motivée par le fait Focus sur la mission et la qualité de travail
d’agir pour le bien d’autrui fourni
Y a un cadre pour la gestion des volontaires Régis par le code du travail : contrat de
mais c’est pas vraiment formel (aucune travail
subordination juridique) – contrat
d’engagement
TYPES DE VOLONTAIRES
Un volontaire est une personne qui en dehors de ses activités habituelles offre
sont temps et son service sans attendre une contrepartie avec la ferme conviction d’agir pour
le bien de la communauté, tout en trouvant dans son dévouement une source de satisfaction
personnelle. (Motivation : agir pour le bien d’autrui).
Bénévole de gouvernance : élu ou nommé soit au conseil d’une section, région ou zone,
soit au conseil des gouverneurs à l’échelon national
Membres ; jouit d’un statut juridique- il a le droit de voter et d’être élu aux organes de
direction
Titre du poste
Rôle du bénévole
Service et/ou programme
Lieu de travail
Raison d’être du poste
Relations internes et externes
Tâches et responsabilités
Qualifications
Engagements en temps
Possibilités de formation
Renseignements complémentaires
2. Recherche de volontaire : interview et vérification de compétence (pour avoir des
volontaires de qualité et adéquat) + recrutement
3. Orientation des volontaires : pour connaitre les valeurs de l’ONG et l’orienter sur les
tâches à faire
4. Formations correspondantes aux tâches à faire
5. Supervision du travail ( qui va superviser ? souvent ce sont les salariés généralement
–)
6. Rembourser les dépenses et payer les assurances : comment sont leurs assurances
7. Dossier du volontaire : informations sur lui que l’on va archive au sein de l’ONG
8. Mettre en place un système de reconnaissance ou de distinction
Souvent on trouve des opportunités comme les appels à financement – qui souvent
sont la base de la création d’une ONG
Frais de base : coût non connecté aux activités de l’ONG (organisation d’une
assemblée générale - location du bureau –
Les activités : programme ou projet (qui sont souvent financés par les bailleurs)
Frais de fonctionnement : couts liés à la mise en œuvre de l’organisation (frais à
prendre en charge pour le faire fonctionner – salaire ou cout de transport)
On parle plus généralement des Cout direct (directement liés à la réalisation des projets) et
cout indirect.
Sans restriction
financement financement
général principal
fonds de fonds de
projet programme
Avec restriction
Nb : Les fonds les plus répandus sont les fonds avec restrictions sur le marché de l’aide
internationale
DURABILITÉ FINANCIÈRES
Comment trouver – quelles sont les stratégies pour trouver des financements au fur et à
mesure et après la fin des projets ou programmes :
Pour être toujours au service de ses bénéficiaires (aux vulnérables) sur le long terme
Pour ne pas cesser les activités parce qu’on n’a plus de fond.
Pour avoir une autonomie financière pour couvrir les dépenses de bases avec des
revenus auto-générés (sans dépendre des bailleurs de fond)
Diversification de financement
Disponibilité de fonds sans restriction (pour être plus libre d’action)
Disponibilité de réserve financière (que l’organisation met de côté)
Relation forte avec les parties prenantes (sachant que les ONG ou les bailleurs sont en
relations pour avoir une position plus privilégiée)
Pour la survie -sachant que les ONG vivent de l’argent des bailleurs surtout ici – les dirigeants
doivent maitriser et comprendre les instruments de gestion financières et en faire plein usage.
Pour ne pas gaspiller les ressources, et atteindre les objectifs et engagements tenus
vis-à-vis des partenaires.
Aider les ONG à rendre compte aux donateurs et aux bailleurs de fonds ainsi qu’aux
autres partenaires – quant à l’utilisation des fonds – et vis-à-vis des communautés
cibles (une facette réellement négligée)
Aider l’ONG à avoir un bon point – une preuve à priori pour les potentiels
partenaires – garantie essentielles quand on souhaite demander financements ou
collaborations.
Il faut savoir que c’est un avantage concurrentiel. Un atout dans la compétition et la
recherche des ressources financières qui se font rares.
Assure la pérennité de l’ONG et de ses activités.
Ce n’est pas que tenir des livres de compte mais cela consiste aussi à la justification et aux
contrôles des mouvements financier. En effet, Il y a des procédures à suivre pour la mise en
oeuvre des activités, pour les différents achats du quotidien …. Tout cela est défini dans le
« MANUEL DE PROCEDURE » -
Gestion des ressources rares :
Gestion des risques (identification et prévision des risques internes ou externes qui
peuvent menacer le fonctionnement ou l’existence même de l’ONG – établir des
systèmes pour le contrôle financier)
Gestion stratégique : (ne pas perdre de vu le tableau général – chaque activité a un
budget attribué – et avoir une vision à long terme – fuinancer l’ong au-delà de
sfinancement existant)
Gestion par objectifs ( la gestion financière exige que l’on apporte toute son attention
aux objets des projets de l’organisation – il faut gérer finnaicèrement l’ong suivant les
objectifs inscrit dans le plan stratégique et les projets en question)
planifier:
élaboration
des budgets
réviser: suivi
des budgets
Ex : le plan stratégique se finance à 100 millions d’ariary – et il faut convaincre – et une fois
les fonds obtenus on passe à la mise en œuvre de tout ce qui a été écrit dans la planification
des activités et financières – (sachant qu’on a déjà identifié les questions d’inflation et tout) –
réviser consiste à faire le contrôle de ce qui a été réalisé ( comparaison de ce qui a été planifié
et ce qui a été effectué et voir les écarts à expliquer) – et après il faut voir les actions
correctives à l’égard du contrôle. Certes, le plus important c’est de bien planifier.
LE CONTRÔLE FINANCIER
Situation dans laquelle les ressources financières de l’organisation sont utilisés correctement
et efficacement – c’est quand les systèmes et procédures ont été établi pour s’assurer que les
ressources financières de l’ONG sont utilisées correctement.
Quand il n’y a pas de contrôle financier ou quand c’est mauvais – les biens de l’ONG seront
menacé de vol, abus, fraude – il se doit alors d’être mis en place étant très importants.
PRINCIPE DE LA GESTION FINANCIÈRE
Transparence : toutes les informations financières de l’ONG doivent être mise à jour
tout le temps et doivent être accessible à tous et à tout moment.
Cohérence :il devrait y avoir des normes et principes qui vont permettre de créer un
système de gestion financière adaptée à l’ONG
Toutes les transactions financières doivent être justifiées.
Documentation normalisée : on parle des normes pour tous les documents (ex :
factures – il faut mentionner dans le manuel de procédure ce qui doit être contenu dans
ce document)- utiliser les plans comptables adaptés à celui des partenaires ou
bailleurs.
La sauvegarde : garder les ressources de l’organisation – en termes de données nous
parlons de l’archivage. Il devrait y avoir un document qui indique l’utilisation de ces
ressources. C’est là - dans les accords contractuel- où sont inscrits les principes
d’utilisation du fond (ex : le bailleur exige que l’on fasse des rapports financiers tous
les trois mois) - comment on utilise les ressources, les matériels (ex : les matériels
roulants doivent être utilisés à des fins de services et non personnel) – la sauvegarde
sont les règles qui vont permettre l’utilisation des biens de l’ONG.
Obligation de rendre compte : (déjà expliqué)
Intégrité : toute personne qui gère un fond quelconque doit être honnête
intellectuellement (le sérieux que tout le monde doit avoir dans la gestion des fonds).
Et ce pour éviter les risques de fraudes ou d’abus. On s’assure de cela durant les
enquêtes de moralité ou encore durant les interviews de recrutement.
Le financement non déficitaire : s’assurer d’avoir les fonds nécessaires pour réaliser
les activités et ce, avant même d’annoncer aux gens vulnérables que le projet va
commencer.
Les documents comptables : pas de système financier uniforme à tous – y a des
éléments de base juste pour assurer la bonne gestion financière - toute organisation
doit enregistrer toutes les informations financières. Ils permettent de savoir si les
objectifs ont été atteints.
La planification financière : la traduction financière du plan stratégique – le plan
financier va être traduit en budget qui est le détail financier de toutes les activités.
Suivi financier : quand on a budget et il y a les détails des dépenses à faire ainsi que
les ressources que l’on possède dedans – ainsi faire le suivi c’est de comparer ces deux
derniers (comme le suivi d’un compte en banque)
Contrôle interne : c’est le système qui nous permet de contrôler la gestion en interne
de l’ONG (pour protéger ses biens et ses ressources des différents risques) – cela va
prévoir si les risques vont surgir ou non.
En résumé, les pierres angulaires (doc comptables, planification, suivi financier et contrôle
internes) doivent être mis en place tous les uns comme les autres et bien utilisés comme il le
faut, pour que le contrôle financier soit efficace et ce qui mène à une satisfaction des
partenaires et cibles.
Prise de note vendredi 6 janvier 2023 (rappel sur les exposés)
Doivent être adopté par tous les membres lors de l’assemblée générale
Les bailleurs de fonds ont des cycles de financement tous les ans ;
Financement par subvention : par appels à projets (les bailleurs publient des
annonces suivant les domaines d’intervention de ces derniers comme le cas du global
fund) – les dirigeants des ONG doivent mettre sur pied un veil pour les voir les fonds)
ou encore par financements directs auprès des bailleurs de fonds (collaboration
bilatérale). Ce premier type de financement repose sur les projets élaborés ou
proposés- qui souvent domine dans le monde des Organisations non
gouvernementales.
Financement propre : qui correspond à l’argent propre de l’ONG grâce aux cotisations
des membres, l’utilisation des ressources propres de l’ONG (ex : immobilisation
qu’elles louent), ainsi que par le fundraising (qui correspond a priori à la collecte de
fonds par l’organisation d’évènements). A coté du premier type, on peut utiliser ces
fonds à n’importe quelle fins – au contraire des restrictions autour des subventions.
FUNDRAISING
C’est un processus qui consiste à solliciter les privés ou individus à donner de l’argent à
l’ONG – les particuliers comme les entreprises sous la forme de « sénat » par l’intermédiaire
des accords entre les deux partis-
Ce n’est pas seulement de la collecte de fonds dans un sens que c’est tout aussi mettre en
place une relation de confiance à long terme entre ONG – donateurs ; c’est un travail de
longue haleine pour instaurer un climat de confiance entre les donateurs.
Il faut convaincre les donateurs des causes défendues et des actions de l’ONG – il est ainsi
plus facile à l’individu de donner de l’argent à l’ONG.
C’est fait pour attirer des contributions volontaires auprès des communautés.
Il faut que les actions de l’ONG soient connue de tous, qu’il y ait transparence quant à leurs
gestion afin de stimuler une image positive de l’ONG pour motiver le soutien et avoir la
confiance de la communauté.
C’est une activité qui implique une équipe entière dans le cadre de l’ONG – dans l’intérêt
général de la communauté pour avoir un revenu structural et pour fournir un cashflow
additionnel – tout en pouvant être autonome et avoir une communication avec des
actionnaires.
Il y a aussi le STREETFUNDING : l’ONG envoie des volontaires dans la rue pour les
convaincre à donner de l’argent.
Sujet – étude de cas individuel : rédiger et faire PDF à envoyer par email ( date limite pour le
31 janvier avant minuit)