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LES DIFFÉRENTS

TYPES D’ORGANISATIONS
PAR PASCAL14/06/2019

Les sciences de gestion ont pour objet l’étude de l’action conduite de façon
collective par des groupes humains organisés. Elles s’appliquent aux
organisations dans toute leur diversité, qu’elles soient issues du secteur
marchand ou non marchand (entreprise, association, organisation publique). En
analysant les ressources internes (humaines, financières, technologiques) et
l’environnement (sociétal, économique, politique etc.), elles apportent au
management des connaissances sur les dimensions humaines et technologiques
des organisations et constituent, par la diversité de son champs d’étude, une aide
à la décision.

Les sciences de gestion sont donc structurées par l’étude interdisciplinaire de la


résolution de problèmes et de la prise de décision dans les organisations
humaines. Elles intègrent le marketing, la stratégie, la finance, les ressources
humaines et l’analyse organisationnelle, les systèmes d’informations et l’analyse
de données. Elles s’inspirent aussi d’autres disciplines comme la sociologie, la
psychologie afin d’appréhender le fonctionnement et les aspirations des acteurs
au sein d’une action collective.

Les organisations, dont les sciences de gestion sont l’étude, sont diverses. On
peut les distinguer par leur régime juridique ou leur finalité. L’initiative d’un groupe
peut appartenir à des personnes privées, et c’est alors une organisation dite de
droite privée, comme à L’État, et on parlera alors d’organisations publiques. Le
régime juridique impacte la gouvernance et le fonctionnement des organisations,
il est donc incontournable.

De même, les frontières entre acteurs privés et publics s’estompent. L’État n’a
pas le monopole de l’intérêt général, de même les entreprises n’ont pas le
monopole de la production de biens et de services marchands. On retiendra donc
une autre distinction, celle de la finalité des organisations.
1/ LES ORGANISATIONS DE DROIT
PRIVÉ
A/ L’ENTREPRISE
L’entreprise de droit privé se définit par une fonction économique de production
de bien et de services marchands, qui induit un but lucratif, à savoir la recherche
d’un gain, d’un bénéfice. La finalité principale d’une entreprise est de réaliser du
profit. De manière traditionnelle, les entreprises produisent des biens et des
services marchands. (Un bien est un produit tangible que l’on peut stocker, un
service est un produit intangible et non stockable.) Par marchand, on entend que
l’entreprise vend les biens à un prix supérieur à leurs coûts.
Source

En effet il s’agit de biens économiques : ils nécessitent un travail humain pour


être produits, il faut payer pour se les procurer et ils sont disponibles en quantités
limitées (il s’agit de tous les produits et services fabriqués et vendus).

B/ LES ASSOCIATIONS
L’association est une mise en commun de moyens dans un but autre que le
partage des bénéfices. La loi de 1901 dispose ainsi qu’une association peut être
créée quel que soit son objet social tant que ce dernier n’est pas illicite. Par
conséquent, il existe de nombreuses associations dans des domaines très variés.

La forme associative autorise, pour faciliter la réalisation de ce but d’intérêt


général, l’organisation à percevoir des dons et legs de tiers, avec une incitation
fiscale pour les associations reconnues d’utilité publique. De même, des
personnes peuvent travailler au sein d’une association de manière bénévole,
c’est à dire non rémunérée, dans certaines limites (absence de lien de
subordination juridique, que vous découvrirez en terminale).

On assimile souvent une association à une activité non marchande, mais une
association peut exercer une activité marchande à la condition de ne pas
partager les bénéfices réalisés entre ses membres, mais pour financer de
nouvelles actions dans le cadre de son objet social. Une association poursuit un
but non lucratif, contrairement aux entreprises, et produit en premier lieu des
services et des biens non marchands.

En 2018, en France, 170 000 associations sont employeuses et 1,1 million sont
non employeuses. Elles fonctionnent grâce à 2,2 millions de salariés et 21
millions de participations bénévoles, un même bénévole pouvant s’investir dans
plusieurs associations.
2/ LES ORGANISATIONS DE DROIT
PUBLIC
A/ L’ÉTAT
L’État est une forme que la société adopte pour s’organiser et se gérer, en lui
attribuant l’ensemble des pouvoirs d’autorité et de contrainte collective que la
nation possède sur les citoyens et les individus en vue de faire prévaloir ce qu’on
appelle l’intérêt général.

L’État produit des biens et des services non marchands, tels que le système
éducatif public, les hôpitaux… qui permet ainsi aux individus d’accéder à une
formation gratuitement ou en échange du paiement d’un droit d’inscription très
inférieur aux frais de fonctionnement des établissements scolaires.
Plusieurs administrations peuvent intervenir dans la production de ces services
publics non marchands :

 les administrations publiques centrales (le ministère de la Justice, par


exemple) ;
 les administrations publiques locales (régions, communes…) ;
 les administrations de Sécurité sociale.
Les services publics sont organisés autour de trois principes à valeur
constitutionnelle

L’égalité
Tout individu a droit à l’accès aux services publics. Pour assurer cette égalité,
l’accès est non marchand, et l’État doit assurer la présence de ces services sur
l’ensemble du territoire.

La continuité
Le service public répond à un besoin d’intérêt général sans interruption. Ce
principe permet ainsi d’interdire le droit de grève à certains agents comme les
infirmiers, les policiers…

L’adaptabilité
Le service public doit s’adapter aux évolutions de la société, des techniques et
des besoins des usagers.

B/ LES ENTREPRISES PUBLIQUES


Les entreprises publiques sont des entreprises dont l’État est actionnaire
principal. Comme toute entreprise, elle produit des biens et des services
marchands et sa vocation est lucrative. Cependant, la présence de l’État
détermine un mode de gouvernance particulier.

Secteur public et service public ne se confondent pas. En effet, les activités de


service public peuvent être prises en charge par des organismes privés. Le «
périmètre » du service public est donc plus large que celui du secteur public.

2/ LA DISTINCTION DES
ORGANISATIONS PAR LEURS
FINALITÉS
Les organisations publiques et les organisations de la société civile partagent un
but commun, l’intérêt général, ce qui les différencie des entreprises dont le but est
lucratif. L’entreprise peut avoir d’autres finalités que la réalisation de profits,
même si cette préoccupation reste majeure. Les entreprises s’engagent alors
dans une responsabilité sociale. La RSE n’est pas en contradiction avec la finalité
de profit de l’entreprise. Au contraire, malgré les investissements engagés,
l’entreprise peut y trouver une nouvelle source de bénéfices par une meilleure
compétitivité. Elle peut y être contrainte par les consommateurs, qui la menacent
d’un boycott ou devant le risque de voir son image de marque durablement
dégradée.

En interne, cette mission s’applique à améliorer la qualité des relations au sein de


l’entreprise par des actions de promotion et de participation des salariés, le
développement de leurs compétences, le respect de normes de santé et de
sécurité, l’égalité des sexes, l’intégration et la protection des jeunes, des
personnes souffrant d’un handicap…

Mais l’entreprise peut avoir pour mission de prendre en compte les externalités
négatives générées par son activité (destruction de ressources, pollution etc.).
Elle peut ainsi opter pour une stratégie prenant en compte l’utilisation des
matières premières plus naturelles (Nutella avec de l’huile de palme
responsable), traitement des déchets (Nespresso qui recycle les capsules
usagées), la réduction des dépenses énergétiques, etc.

3/ LE MODE DE GOUVERNEMENT
DES ORGANISATIONS
A/ DÉFINITION DU CONCEPT
« La gouvernance de l’organisation est le système par
lequel une organisation prend des décisions et les applique
en vue d’atteindre ses objectifs. La gouvernance de
l’organisation peut comprendre à la fois des mécanismes
formels de gouvernance, reposant sur des processus et des
structures définis, et des mécanismes informels, émergeant
en fonction des valeurs et de la culture de l’organisation,
souvent sous l’influence des personnes qui dirigent
l’organisation. […] Ces systèmes sont dirigés par une
personne ou par un groupe de personnes (propriétaires,
membres, mandataires sociaux ou autres) détenant le
pouvoir et ayant la responsabilité d’atteindre les objectifs de
l’organisation. »

Norme Iso 26000


La gouvernance est donc basée sur le pilotage d’une organisation, à travers la
mise en œuvre d’une organisation de l’action collective, définie par des objectifs
permettant de réaliser la finalité de l’organisation par l’exploitation des ressources
de l’organisation. Le gouvernement de l’entreprise implique un mode de
désignation d’un dirigeant, qui est lié par ses parties prenantes.

B/ L’ENTREPRISE
L’influence de l’âge et de la taille de l’entreprise sur sa gouvernance

Le dirigeant est celui qui est à la tête de l’entreprise. Son appellation varie selon
les statuts de l’entreprise (gérant, président, directeur général, PDG…). Il élabore
la stratégie de l’entreprise, organise et coordonne la production de biens et de
services et les différents services de l’entreprise, et optimise le fonctionnement
des différentes fonctions de l’entreprise.

Le gouvernement d’une entreprise est largement déterminé par sa taille. Dans les
petites entreprises, l’enjeu est la répartition du travail, quand des structures plus
grandes et complexes l’enjeu réside dans la coordination et la communication
entre les différentes fonctions de l’entreprise.

En France, 96% des entreprises sont des micros entreprises, sans effectif, et
majoritairement unipersonnelle (pour simplifier). Le dirigeant est aussi sa force de
travail. Son pouvoir est total, sa délégation est nulle. Il s’est auto-désigné.
Plus l’entreprise se développe, plus ses besoins de financement augmentent.
L’entrepreneur individuel passe alors en société. Les apporteurs de capitaux, en
assemblée générale, vont alors désigner le dirigeant.

Dans la plupart des formes de sociétés, le plus grand apporteur de capital détient
le plus de voix. Le principe en effet n’est pas un homme une voix, mais autant de
voix que l’associé en détient. Ainsi dans une entreprise où un associé est
majoritaire (plus de 50% des parts sociales), il va être certain d’obtenir le pouvoir
de direction de l’entreprise, car sa responsabilité ne pourra être mise en jeu. Ce
fonctionnement permet au dirigeant de s’appuyer sur une minorité d’apporteur de
capitaux, si leurs voix suffisent à emporter la majorité.

Dans l’hypothèse d’une société où le gérant est minoritaire, il va être désigné par
ses associés ou ses actionnaires (l’équivalent d’associé dans une société de
capitaux type SA). Il peut alors être révoqué si ses décisions de gérant ne sont
pas satisfaisantes, il devra prendre en compte les intérêts des actionnaires pour
conserver son poste de dirigeant car il est responsable de sa gestion. Les intérêts
des salariés, nombreux, peuvent alors être contradictoires avec les intérêts des
actionnaires (cf. le partage de la valeur ajoutée).

Dans les grandes entreprises et certaine entreprise de taille intermédiaire, le


gérant n’est pas associé de l’entreprise. Les actionnaires vont tenter alors de
partager un intérêt commun, en faisant varier sa rémunération en fonction de la
valeur de l’entreprise par l’octroi d’actions gratuites ou à prix préférentiel (stock
option).

En société, les actions du dirigeant sont contrôlées par l’assemblée générale. Les
actionnaires disposent d’un droit d’information sur la gestion menée par le
dirigeant et d’un droit de vote qui lie le dirigeant.

Cette nuit…

– Renault reporte sa décision sur la proposition de fusion


avec Fiat Chrysler (FCA) à la demande de l'État français

– FCA retire son offre de fusion avec Renault, jugeant qu'il


ne parviendrait pas à obtenir un accord du gouvernement
français#AFP via @Daniel_AFP

— Yann Schreiber (@YannSchreiber) June 6, 2019


Ce droit de vote portent sur la révocation d’administrateurs, la rémunération du
dirigeant, mais aussi de plus en plus sur la gestion. Cette confusion entre contrôle
et ingérence dans la gestion de l’entreprise fait peser le risque de ne privilégier
que les actionnaires quand le dirigeant doit aussi être attentif au devenir des
salariés, des collectivités locales, des clients et de l’environnement.

C/ L’ÉTAT
Les dirigeants ici ne sont pas élus, mais nommés par le pouvoir exécutif. Le
dirigeant aura alors pour mission d’appliquer la politique définie par le
gouvernement.

Pour les collectivités territoriales, ce sont les assemblées qui désignent le


dirigeant (on n’élit pas un maire, on élit une liste). De même pour les conseils
départementaux et les conseils régionaux.

La gestion des ressources humaines diffèrent selon le type de fonction publique


(État, collectivité locale, fonction publique hospitalière), mais aussi par rapport à
une entreprise. Les agents de la fonction publique sont recrutés sur concours et
bénéficient du statut de la fonction publique. Les procédures de recrutement sont
plus longues, il n’y a pas de possibilité de licenciement, mais les agents sont
soumis à des obligations dérogatoires au droit du travail auquel sont soumis les
salariés (devoir de réserve, interdiction du droit de grève pour certains, les
rémunérations sont fixées par décret etc…). Les ressources sont également
déterminées par le vote de la loi de finance.

D/ LES ASSOCIATIONS
L’association est dirigée par un président, obligatoirement bénévole, et élu par
ses membres lors d’une assemblée générale sur le principe d’un homme une
voix. Les voix ne sont pas réparties en fonction des apports des bénévoles de
l’association. Elle présente ainsi un caractère démocratique. Le dirigeant ne peut
se contenter de l’approbation d’une minorité de bénévole pour valider ses actions,
mais de leur majorité.
4/ LA STRUCTURE DE PROPRIÉTÉ
A/ CONCEPT
La structure de propriété désigne le mode de répartition de la propriété du
patrimoine d’une organisation.

La nature des propriétaires de l’organisation (État, salariés, investisseurs


institutionnels ou individuels, structure familiale…), influence la gestion de
l’organisation.

B/ L’ENTREPRISE
L’entreprise est propriétaire de ses ressources, mais l’entreprise est également la
propriété indivise de ses associés/actionnaires. Ainsi, si l’entreprise a un
patrimoine net d’un million d’euros, un actionnaire à 10%, possède 10% de la
valeur de l’entreprise.

Lorsque le capital de l’entreprise est majoritairement détenu par les membres


d’une même famille, les décisions de gestion sont de manière générale orientées
vers le long terme et favorise une stabilité de l’entreprise. Leur développement
est parfois plus lent mais présente une grande pérennité.
Les grandes entreprises sont souvent détenues par des investisseurs
institutionnels (fonds de retraites, compagnies d’assurances…) mais aussi par
des fonds d’investissements (hedge funds). Blackrock inc. est le principal
actionnaire de Total avec 6,5%. Une partie du capital peut être aussi détenue par
une entreprise partenaire, comme le cas de Renault avec Nissan.

Les entreprises publiques sont détenues majoritairement par l’État. Cela influence
également la gestion de l’entreprise, sur des choix de gestion comme
l’implantation d’une usine, pour des considérations politiques de développement
territorial et de croissance économique, ce qui est reproché à certaines
entreprises chinoises, excessivement soutenues par l’État chinois.

C/ L’ÉTAT
Les services publics sont en principe la propriété de l’État, dont le patrimoine non
financier est estimé à 2 028 milliards d’euros et 1 300 milliards pour les actifs
financiers. Dans le cadre de délégation de service public, la mission est confiée à
une entreprise privée, qui est chargée de réaliser des investissements qui
appartiendront à l’État au terme du contrat. De même, pour les partenariats
publics privés, où le bien appartient à l’entreprise privée qui en loue l’usage à
l’État sur une durée définie contractuellement et qui en récupère la propriété au
terme du contrat.

D/ LES ASSOCIATIONS
Les associations, déclarées, ont la personnalité morale et sont propriétaires de
leur patrimoine. Ce patrimoine n’appartient pas à ses membres. En cas de
dissolution d’une association, les membres de l’association ne peuvent pas
procéder à la répartition de ces biens entre eux sous peine de voir cette opération
qualifiée, d’un point de vue juridique, de partage des bénéfices (qui est contraire
à l’objet de l’association). Pour éviter cette qualification les biens restants sont en
pratique transmis sous forme de dons à des fondations ou des associations ayant
un objet similaire et ce conformément aux dispositions prévues au sein des
statuts ou à la décision de l’assemblée générale des membres.

5/ UNE ACTION COLLECTIVE


ORGANISÉE
A/ L’ACTION COLLECTIVE
L’action collective est l’ensemble des actions convergentes
menées par une pluralité d’agents sociaux en vue
d’atteindre un certain objectif.
Le groupe se définit comme l’association de plusieurs personnes qui collaborent
de façon régulière ou temporaire pour atteindre des objectifs communs.

Une action collective est donc l’ensemble des opérations réalisées par des
agents/individus au sein d’un groupe. Un groupe se distingue ainsi d’une foule
par l’existence d’un objectif commun à ses membres et de leurs interactions pour
y parvenir. L’objectif ici exprime le but déterminé d’une action qu’un groupe
souhaite atteindre. La définition et la mesure de l’atteinte de l’objectif au moyen
d’indicateurs garantiront le bon déroulement de l’action à conduire.
B/ LA COORDINATION DES AGENTS PAR
FONCTION
Chaque individu composant un groupe possède des qualités et des compétences
qui lui sont propres. La spécialisation des agents favorise donc la réalisation des
objectifs de l’organisation. Cependant plus la taille de l’organisation est
importante, plus la gestion se complexifie et plus le besoin de coordination se fait
pressant pour être efficace. L’organisation va se structurer ainsi par fonction : les
nombreuses tâches réalisées par l’entreprise peuvent faire l’objet d’un
regroupement selon leur objectif.
C/L’ARTICULATION DES FONCTIONS PAR LA
CIRCULATION DE L’INFORMATION
Pour fonctionner efficacement, les entreprises doivent organiser la
communication entre les différentes fonctions. En effet, l’information est au cœur
de la prise de décision de tout salarié car chacun d’eux doit pouvoir disposer au
moment voulu de l’information qui lui permettra d’effectuer les tâches qui lui
incombent. Les entreprises doivent mettre en place un système d’information (SI),
c’est-à-dire un ensemble organisé de ressources (matériels, logiciels, personnel,
données et procédures) qui permet de regrouper, de classifier, de traiter et de
diffuser de l’information en fonction des besoins des utilisateurs et sur différents
canaux.

D/L’APPORT DU MANAGEMENT
Cette coordination est effectuée grâce au management, qui est l’ensemble des
techniques d’organisation et de gestion d’une organisation. Le management a
cependant un domaine d’intervention bien plus large qu’une simple planification
de la production d’un bien ou d’un service. Le management est d’abord le
gouvernement des organisations. Il consiste à gérer une production collective en
tenant compte d’une multitude de contraintes (financières, humaines, juridiques,
environnementale etc.) Il s’exerce au quotidien, par la prise de décisions de
gestion courante, mais il intègre également une dimension stratégique qui peut se
révéler cruciale pour l’organisation.

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