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Sociologie des organisations

Cours magistral numero 1


le 14/3/07

I. La notion d'organisation

définition : une organisation est un rassemblement d'individu qui se structurent en groupes ordonnés
dans le but de jouer un rôle sur une scene économqiue, sociale ou politique. Pour atteindre ce but,
tout organisation doit s'assurer une certiane perrenité et une certaine efficacité. Elle doit donc faire
en sorte que les individus qui l'a compose et dont les intérêts sont divergents se mobolisent et
coopèrent pour atteindre le but qu'ils se sont ssignés collectivement.
• La sociologie utilise beaucoup la métphore de jouer un rôle sur une scene, c'est le cas dans
une organisation.
• perennité et efficacité : pour qu'une organisation se structure, elle a besoin d'une durée plus
ou moins longue pour que les rôles et les pratiques se définissent. La plupart du temps, les
individus dasn une organisation oeuvre à sa reproduction. Leur objectif est une efficacité
collective. La somme des pratiques individuelles, collectives doivent permettre de faire
mieux que seulement l'adition de pratiques ndividuells. Ce qui fonde l'unité de ces individus
qui ont des intérêtes différents, c'est le but a atteindre.
Exemples d'organisation : l'entreprise (notamment publiques) est l'organisation par excellence, la
plus appréhendée par les sociologues et les économistes. Administrations publiques, institutions
publiques (écoe) associations(ONG) organisations parapubilques. Habitations collectives, armée,
prisons, coopératives, bateaux clubs, partis politiques, organisations terroristes.... Il y a un ensemble
de lieux et de réunions entre les individus qui consituent les organisations. Ces organisations ont 5
prinicpales caractéristiques communes :
• la division des tâches : correspond a l'idée que le travai doit etre réparti entre les individus
de facon précise. C'est ce ui fonde la différence entre un groupe constitué ou non constitué.
Ex d'un parti poitique : dirigeants, cadres, militant de base et sympatisant.
• La distribution des rôles : renvoie à la notion d'acteur stratégique, dont on reparlera plus
tard. Le rôle peut etre donné a un individu ou il peut le prendre. On considere aujourd'hui
que tous les individus ne peuvent pas occuper tous les roles qui existent dans une
organisation. Ils sont rarement interchangeables. Les actions et le comportement des
individus sont determinées par les caractéristiques des roles qu'ils occupent.
• Un système d'autorité : il consiste a mettre en adéquation le comportement des individus
avec les objectifs qui ont été assignés à l'organisation, souvent par ceux qui décident.
Système d'autorité existe toujours mais est plus ou mois formel.
• Un système de communication : ce qui est destiné mettre les individus en relation les uns
avec les autres, ce qui permet l'agir ensemble. Peut etre horizontal, vertical (du haut vers le
bas ou inverse) ou transversal. IL structure les actions des individus et participe a a
structuration de l'organisation. Communication de diagnostic, communication stratégique...
• système de contribution/rétribution : c'est ce qui va préciser aux membres ce qu'ils doivent
apporter à l'organisation et ce qu'ils peuvent attendre en retour. Forme de contrat social
passé entre les membres, mais aussi de l'individu vers l'organisation et inversement. Il y a
différentes formes de contributions : notament le temps. Il existe également diffénrentes
formes de rétibutions : la plus courant est le salaire. Mais elle peut également etre une
rétribution symbilique, la reconnaissance d'une autorité dans l'organisation. On envisage
aussi des formes de sanctions.
Dans ce cadre, la socio des organisation va chercher a comprendre les rapports sociaus générés dans
le cadre organisationel pour mieux choisir les formes d'actions collectives. Les champs de recherche
de la sociologie des organisation ont évolués dans le temps. Au débu, les sociologues se sont
interessé à l'nfluence des structure organisationels sur l'action des individus qui composaient ces
structures. Ensuite, il se sont interessé aux interaction entre les contraintes sociales qui persaint sur
les individus au sein des organisations et à l ibert individuelle. Puis, ils ont abordé les phénomènes
organisationels de maniere plus précise comme quels sont les effetes sur les organisation des prises
de décision?, Le rapport entre les sources du pouvoir et l'autorité.

Pour observer la place de la sociologie des organisations dans le recherceh en science


sociales, il est nécessaire d voir les postualts qu'elle pose au départ:
• 1 postulat : mener des recherches empiriques c'est a dire sur des cas concrets et à prtir de
qeustions simples. Ex : Comment oragniser les services d'une entreprise alors que ces
services sont a la fois associés et concurrents au quotidien? Question de base de Men xho
manage, M Dalton, 1959
• 2 postulat : on épond a un seul soucis, celui de mieux organiser. La socio des organisations
est progressiste, ellle doit servir a mieux gérer.
• 3 postulat : on se doit de proposer des solutions pour améliorer les actions des indivius au
sein des organisations. Les resusltats de la recherche doivent aider a l'acion c'est a dire
rendre plus effeicace les différentes organisations en essayant de comparer différents
moyens de gouverner des humains entre eux.
Cela conduit vite les socilogues a entretenir des relations avec les professionnels des entreprises,
associations, syndicats... et avec les professionnels de l'organisation : manager, cadre superieurs,
gestionnaires, dirigeants d'entreprise. Il y a des confusions entre les modeles de compréhension
porpose a la socio et propre a la gestion. Leurs recherchen n'ont pas les mêmes orientations. En tout
cas, il faut conveni que la sociologie des organisations de fait de son rapprochement avec les
professionales de l'organisation, est d'emblée du point de vue de l'organisateur : c'est ce qu'on lui
reproche.

II. Hisotrique de la sociologie des organisations et principaux courants

La sociologie des organisations apparaît avec le sprémices dans les études menées pas des
ingénieurs a la fin du 19° siecle, avec Taylor et Fayol, pas les entrepreneurs comme Ford et par des
psychosociologue comme Mayo. C'est par la que la sociologie des organisations est directement une
science sociale appliquée. Leur travail onsiste a éudier les grandes entreprises souvent publiques car
de maniere générale, les dirigenats politiques cherchenet a meiux controler la croissance industrielle
et notamment dans les société occidentales : c'est la cas avec la mise en place de l'OST aux Etats
Unis, les études sur la bureaucratie dans la vieille europe. (ex de Fayol et de Weber à partir de
1920-22) La sociologie des organisations correspond a ces 2 poles d'études et de recherche. La
distinction entre les Etats Unis et la France est directement liée aux caractéristiques des société. Auc
EU, la particularité est de devoir faire face à une pénurie de maind'oeuvre dans les entreprises er
admnistrations, ils cherchent donc a améliorer l'éfficacité productive. En europe, le probleme est
diffénrent. Il y a une maind'oeuvre abondante et en parallèle, il y a un pouoir centralisé et des
ingénieurs qui sont fomrés en masse dans des grandes écoles d'état pour travail dans l'administration
publique ou les grandes entreprises. Les chercheurs eurpoéens s'intéressent aux effets néfastes du
capitalisme sur le système bureaucratique.
Dans les années 40, le taylorisme et la bureaucratie vont devenir des modeles d'organisation
du travail. Toute entreprise modrene doit appliquer l'OST, et la bureaucratie comme modele de
gestion. En retour, les entreprises privées et publiques sopnt pretes a financer des études sur la
bureaucratie... et la meilleure gestion car elles doivent trouver des solutions à la complexité
croissante de leurs administrations. Aux EU, c'est parce qu'il y a beaucoup de financement ue les
socilogues se lancent dans le recherche. La discipline débute réellement dans les années 50, dans le
milieu universitaire ( sociologie du travail ). Les 1° sociologues sont Robert K. Merton, James
March, Almin Goultner, H Simon? Beaucoup d'études qui théorisent le systeme d'organisation le
sotn a prtir d'études de cas dans l'armée. Ces auteurs américains prennent comme base de
connaisances les travaux de Taylor, Ford et Mayo et sont influencés par Max Webeer pour qui la
bureaucratie est un instrument de rationnalité et de prévisibilté dans les organisations et pour lui, la
rationnalité au sein des organisations est toujours limitée car la somme des intérêts individuels ne
fait pas l'intérêt colletif.
En france, il y a prinicipalemement un auteur qui met en avant la sociologie des
organisations : Michel Crozier, le phénomène bureaucratique,1963. C'est un condensé d'études
menées par les sociologues des organisations américains car il a fait une partie de ces études à
Harvard. Il étudie le syndicalisme américain et essaie de l'appliquer en France. Il est particuliement
inluencé par March et Simon et va défendre la théorie de l'acteur, du choix stratégique (sociologie
libérale : c'est la sociologie que va placer l'individu au centre de l'ograisation) En faisant ca, il
s'oppose a la sociologie dominante en France dans les années 60 et 70, qui est la sociologie
marxiste, critique. En sociologie, cela se traduit par le déterminise social (P Bourdieu) Donc Crozier
s'oppose au déterminisme social. Il est en rupture avec la sociologie du travail qui elle aussi est
idéologiquement tres ncrée a gauche. Il va dénoncer le système bureaucratique à la francaise ou le
collectif prime sur l'individu ert va venter le régime managerial amériacain. Il défend un modele
culturaliste et défend le mythe américainde la réussite individuelle et se trouve donc l'écart du
monde universitaire. Il est cependant suivi par les gestionnaires car sa thèse explique qu'elle est le
devenir de l'organisation en Europe dans les années 60, notamment pendant les 30 glorieuses : « la
sociologie des organisaions va être un bon vecteur d'amélioration de 'activité en intrduisant de la
psycologie de groupe pour faire adhérer les syndicats et les salariés a la gestion quotidienne de
l'entreprise.
Il crée un centre d'études sociologiques en 1965 : centre de sociologie des organisations dans
lequel il va former plusieurs générations de chercheurs. Le centre est reconnu par le CNRS en 1975.
Mais il ne sont pas acceptés par le monde universitaire dans un premier temps, et donnent donc
leurs cours dans les grandes écoles d'ingénieurs et écoles de commerce. Ils osnt également eng gés
comme experts consultants. Au début des années 90, ils sont en conflit avec les sociologues du
travail. Au tournant des nnées 80, c'est l'age d'or de la sociologie des organisations. Cela correpsont
au tournant du développemt du monde de l'entreprise avec une vague libérale : Reagan, Tatcher,
vague Tapie avec une grosse valorisation de l'entreprise. AU milieu des années 80, une nouvelle
branche apparaît, une nouvelle sous catégorie : les spécialités orientées vers le monde de l'entreprise
prennent de plus en plus de place. (Saint Saulieu, la sociologie de l'entreprise dans les années 85-86
pour qui l'entreprise est une entité autonome er nécessite une individualité sociologique).
A la fin des années 80 et au début des années 90 (fin du monde communiste) on entre dans
une air de privatisation du secteur public ou au moins une application du management privé dans e
secteur public. La bureaucratie n'est plus un modele avec une baisse du rôle de l'état. Le domane
public emprunte le modele de gestion et d'organisation des entreprises privéees : les modèles
d'efficacité, de productivité, de rentabilité, et de gestion en terme de projet et d'objectifs. Cela
s'accompagne d'un certain nombre de recherche en sociologie des organisations sur le modele de
gestion privé/publlic. A partir cela, se developpent des réseaux, des conventions. Depuis le milieu
des années 90, la sociologie des organisations est éclatée en sous branches : socio des réseaux, du
management...

III. Reflexion autour de l'Organisation Scientifique du Travail.

Les deux premiers textes du poly amene une réflexion sur l'OST. A partir du taylorisme, il y a une
division entre le travail de conception et le travail d'organisation. Cette division est au fondement de
la crétion du rôle d'ingénieur organisateur/concepteur. Ils s'attribuent cette compétence en
organisation et sont obligés de penser des executants comme incapables de concevoir. L'executant
est guidé par un comportement quasi instinctif. Il y a une prise de pouvoir de travail intellectuel sur
de conception sur le travail manuel.
Pourquoi la rationnalisation se fait dans certains secteurs et pas dans d'autres? La séparation
exectution/conception est passé dans certains domaines. Mais dans d'autres domaines il y a une
grande opposition de principes moraux.
CM2 socio des organisations
le 21/03/07

Trois études fondamentales de la sociologie des organisations

I. Henry Fayol, l'idéologie de la science administrative

C'est qui porpose une organisation du travail dans les usines et les grandes administrations. Elle
s'appuie sur les apports du tayorisme et du fordisme en y ajoutant une dimmenssions sociale. C'est
la 1° synthèse critique du taylorisme dans l'histoire.
Fayol est ungenieur des mines, et il devient a 46 ans le directeur général de l'usine
métalurgique pour laquelle il travaille. Il est donc un praticien du trvavail com Taylor. Sa doctrine
sera donc fortement influecée par son experience. Il est un des premiers formé comme professionnel
de la direction et souhaite donc professionaliser le travail de direction et d'administration. Le
principal ouvrage de Fayol est publié en 1938 : administration industrielle et générale.
Taylor est égalment ingenieur et s'interesse a ce qu'il se passe dans les ateliers. Le but de ces
écrits est de mettre en place une doctrine de l'ensiegnement de l'dministration. Il essaie de définir les
fonctions de l'organisation et les principes généraux de la bonne administration : une hiérarchie
harmonieuse c'est a dire structurée par une hiérarchie pyramidale. Son livre se compose de trois
parties :
✔ les principes d'administration, ils correpondent a des regles morale qui doivent constituer le
cadre administratif. Ces regles sont sous tendues par différentes caractéristiques de
l'administration : la division du travail, l'autorité, la discipline, l'unité de commandement,
unité de direction, la subordinnation des intérêts particuliers à l'intérêt général, système de
rémunération, une forte centralisation des décisions, un souci d'équité, une place réservée à
l'initiative. Il determine les 6 fonctions essentielles : la fonction technique, l focntion
comerciale, la fonction financière, la fonction de sécurité, la fonction de comptabilité, la
focntion administrative (qui concerne le bon gouvernement des hommes)
✔ la fonction administrative
✔ les éléments d'administration. Elle essaie de définir les éléments de la fonction
administrative : prévoir, organiser, commander, coordoner et controler.
✗ Prévoir : c'st ce qui va permettre au chef d'établir un programme d'action qui peut
exister a partir du moment ou le chef a une connaissance rigoureuse de son
orgnisation. On trouve la l'origine des tabeaux de bord et des anticipation sur la base
d'archivage des anciennes administrations et de la production.
✗ Orgniser : une entreprise, une administration : trouver du personnel, des capitaux, lui
donner des ressources diverses qui lui permettent de réaliser son but. Il suit alors la
conception naturliste orgnanique de l'organisation selon laquelle l'organisation est n
corps social avec des organes qui doivent être en bon état de focntionnement pour
que le corps social fonctionne.
✗ Commander : C'est réussir à faire fonctionner ce coprs scoial c'est a dire savoir
diriger la marche d'entreprsie. Le chef prime dans la décision. Le dirigeant soit
connaître ses subordonnés pour pouvoir leurs déléguer certains taches. Il doit avoir
les qualité pour éliminer les incapables.
✗ Coordonner : coordonner les efforts de maniere à facilier le focntionnement du corps
social pour qu'il atteigne plus facilement les buts qu'il s'est assigné. La principal
craint de Fayol est que les différents services d'une organisation se retrouve en
concurrence les uns avec les autres.
✗ Controler : c'est s'assurer que le programme d'actions oit respecté, que les regles sont
suivies, que les ordres et instructions sont transmis et executés. Fayl considere que la
fonction de contrôle doit être confiée à un persnnel spécialisé qui doit être
indépendant des travailleurs et de la direction. Fayol veut que les cefs vertueux
soient considérés comme des super heros limite pas humains. Le chef vertueux doit
être la réincarnation de Fayol ou de ce qu'il voufrait être : cela est a la base de la
critique crozerienne.

Les 2 premieres parties ne sont pas très bonnes : pleines de jugment de valeurs, d'incohérences et de
contraditctions, lui même n'en est pas tres satisfait.

II. L'analyse weberienne de la bureaucratie.

Weber, économie et société, 1922.


Les thérories de Weber sont reprises aux état unis et on leur accord plus de crédit xar il est
chercheur et non pas praticien, un intelectuel théoricien. Weber consacre un chapitre de son oeuvre
a la théorie des organisations et affirme que la bureaucratie est le modelepar excellence de
l'efficacité. La forme de dominance légale est la seule que l'homme moderne peut accepter. Il
considère qu'il faut créer des idéaux types d'autorité :
✗ l'autorité tradtitionelle est fondée sur une relation personnalisée et de dépendanceentre celui
qui incarne l'autorité et ceux qui s'y soumettent. La sousmission se fait par le respect et en
focntion de la protection qu'il apporte. Ce type d'autorité est proche de celle du
systèmeféodal entre seigneur et ses vassaux. Cette autorité fondée sur e droit soutumier
permet a celui qui l'a détient d'accorder des faveurs et des disgraces comme il veut.
✗ l'autorité charismastique repose sur la valeur exemplaire de la personne qui impose son
autorité. Leader maximo, dirigeant d'une secte.
✗ l'autorité à caractère rationnel légal va inspirer les sociologus américains. Weber défend ce
type d'autoité car il s'agit d'une caractéstique de la bureaucratie. Elle est fondée par le droit
reconnu par tous, défini par un ensemble de regles abstraites. Il s''agit d'une autorité
impersonnelle c'est à dire celui qui obéit se soumet aux reglements, aux droits mais ne se
soumet pas directement à la personne qui incarne l'autorité contrairement aux 2 types
d'autorité cités avant. Ce type d'autorité se carctérise par une hiérarchie des focntions qui va
impliquer un certain contrôle des instances superieures sur les instances inferieures. Cette
hierarchie des fonctions se base sur une hierarchie des compértences qui doit être reconnue
par tous. Les fonctions ne sont pas attachées à des personne, ceux qui les occupent sont
révocabes. Ces personnes occupent une focntion a un moment doné et elles peuvent se voir
retirer leurs focntions au moment ou elles ne sont plus reconnues par tous. Par ailleurs,
toutes les procédures et décisions doivent être écrites (c'est la cartéristique principale de la
bureaucratie.): cela permet que quan quelqu'un quitte sa fonction on puisse transmettre
l'information sur les taches du poste. Cela permet aussi de pouvoir rendre compte.

La bureaucratie est donc le meilleur système pour Weber car elle n'est pas attachée à une personne,
même les chefs sont révocables, ils sont des fonctionnaires comme tous. Chacun doit obéir au
devoir d'une fonction et non pas à une personne. Au moment ou il écrit en 1922, le système
bureaucratique doit être le système de base avec lequel il y aura des regles propres qui serotn
éablies ert suivies par le personnel.
Weber conclue son chapître sur la bureaucratie avce 'idée que le capitalisme industriel ne peut pas
se développer avec de grosses entreprises nationale dirigées. « la seule voie du capitalisme au
développement des organisations est l'autorité rationelle légale. On n'a que le choix entre la
bureaucratisation et la dilétentisation de l'administration. »

III. L'école des relations humaines : l'experience Hawthone

Developpe des théories sur la sociologie industrielle en France et aux Etats Unis notamment sur la
geston du personnel dans les banques ert les grandes entreprises. Les théoris se développent à partir
des années 40 : ils considèrent comme auto-définition qu'on ne peut agir sur le comportement et la
motivation des travailleurs sans prendre en considération la dimmenssion sociale des rapports entre
les individus dans le cadre de leur activité professionnelle. On sous-estime la dimmession sociale
des comportements entre les individus. C'est cela qui leur fait prendre conscience que le système
d'organisation purement mécanique et que l'execution des consignes ne se fait que en échange d'une
rémunération. Un groupe de chercheurs américaine conteste ca et qui consider que jusqu'à eux, la
dimenssion sociale du rapport salarial n'est pas prise en compte.
Elton Mayo (australien) s'entoure d'une équipe de chercheurs et ingénieurs et débutent des études
dans la Western Electric Company dans la banlieue de Chicago qui emploie 24000 ouvriers. Dans
un 1° temps, les dirigeants de la WEC confient l'étude des facteurs humains a des ingénieurs
nternent à l'entrperise. Ils partent de l'hypothèse assez vague que la qualité de l'éclairage dans les
ateliers à une influence sur la productivité du travail. (la productivité du travail augmente quand
l'éclairage est meilleur).
✗ Leur 1° experience se fait entre 1924 et 1927. Les ingénierus von équiper des ateliers
témoins de lumiere plus ou moins forte. Conclusions sont mauvaises : la productivité du
travail ne baisse que a partir du moment ou la lumiere est insufisante pour travailler.
Conclusion apres 3 ans d'enquètes!
✗ La 2nde experience se déroule en 1927. Ils isolent une équipe de 5 ouvrières dans un
petit atelier et vont disposer de materiel d'enregistrement. Les ingénieurs porposent des
meilleures conditions de travail : instaurationde pauses, changement d'organisation de la
journée de travail, différentes formes de rémunération, offre de boissons aux ouvrières
pendant leur travail... Conclusion de la période : la prroductivité du travail a globalement
augmenté de 30% et elle a continué à augmenter quand on privait les ouvrieres de certains
avantages. Les conclusions ne sont donc pas logiques.
Cela dépasse les compétences des ingénieurs et ils décindent de faire appel à l'équipe de Mayo :
William Dickson, Fritz Roethilisberger. Avec Mayo, ils sont reconnus comme le groupe de
Harvard. Dans les ateliers témoins, ils changent les éclairages, l'ogranisation de la chaîne, font une
organisation a la piece et vont constater que la productivité ontinue d'augmenter. Mayo dit que si la
productivité augmente encore, c'est que les ouvrieres entretiennent des relations plutot amicales :
elles produisent donc meiux et plus.
Mayo tire des conclusions :
✔ 1° conclusion : la cause de l'augmentation de la productivité du travail est liée au bon
environnement de travail, aux relations qu'entretiennent les ouvrieres entre elles et avec
leurs superieurs hiérarchiques. Le résultats sont meilleurs car il y a une bonne ambiance de
travail et parce que la direction s'interesse a elles dans le cadre de l'experience.
✔ 2° conclusion : La capacité du rendement en fonction du travail qu'elles estiement honnete
de faire est indépendante de la finance. C'est à dire que dans les ateliers il existe un controle
social collectif des travailleurs les uns avce les autres qui se faite hors du contrôle
hiérarchique.
Ce sont donc les relation interprofessionneles qui sont imortantes à étudier pour comprendre le
travail. Toute entreprise industrielle est conctituée comme un système social c'est à dire une
organisation qui doit être considérée comme un tout car chaque partie qui la compose est en relation
d'interdépendance avec les autres parties. Dans ce cadre, l'entreprise industrielle n'est pas que un
système social, c'est surtout un système coopératif c'est a dire un ensemble de composants
biologiques, materiel, personels et sociaux qui sont mis en relations du fait de l'activité de plusieurs
personne coordonnées en vu d'un objectif défini. Tout système social est constitué d'individus dont
les sentiements et les intérêts sont mutuellement dépendants. On agit car on est en interdépendnace
et la cohérence de l'ensemble est issue de ces interactions. L'entrprise est donc un système social ui
dépend de son environnement.

Paralellement a cela, pour Mayo, l'entreprise est un système social parmi d'autres. Elle
remplit différentes fonctions : la fonction économique c'est à dire qu'elle fournit des bien et services
à son environnement. La fonction de satisfaction de ses membres c'est à dire rémunération de ses
membres et elle leur permet de satisfaire à leurs besoins. Eux même peuvent satsfaire aux demandes
internes. Etabir les fonctions de l'entreprise permet d'établir les 4 logiques d'un système social.
« tous les évenement qui se produisent dans un système vont relever de 4 logiques distinctes. ». Ces
4 logiques vont déterminer et qualifier les actions des individus.
✗ La logique des sentiments : celle des valeurs sociales partagées par les individus et qui se
révèlent dans les interactions.
✗ La logique des couts : celle qui permet de determiner et d'atteindre les buts économiques de
l'organisation. La technique des couts est la convergence entre les logiques humaines et
techniques.
✗ La logique de l'efficacité : celle qui permet d'évaluer et de maintenir les efforts de
collaboration entre les membres à l'interieur de l'organisation. Elle s'organise autour de la
notion de coopération.
✗ La 4° logiqe est celle du systèmes d'idées et des croyances. C'est ce système qui va
permettre d'affirmer les valeurs de l'organisation. C'est valeur le sont sous une forme
idéologiques c'est à dire idéal logique.

Ces enquètes ont été critiquées. On reproche a Mayo l'orientation managerial de son enquète. Sa
rechercehne vaut pas grand chose car il l'a menée pour répondre aux exigences de la direction. Ils
ont tout de suite considéré que les oblectifs étaient immuables.
Dans la lignée de cette critique, on considère que Mayo a adopté le point de vu de la direction dans
la WEC. Il dit que les travailleurs sont lus par la logique des sentiement tandis que les dirigeant sont
mus par la logique d'efficacité.
Enfin, on a critiqué sa méthode. Ses résulats seraient biaisés car les ouvriers étaient informés des
objectifs de la direction et savaient que des chercheurs étaient envoyés par la direction. Les
travailleurs n'étaient pas libres de se soumettre aux condictions de l'enquètes.
Ces critiques contribuent à la suppression des experiences en laboratoire. Apres cela, on favorisera
les observations in situ, dans leur environnement naturel.
Cours magistral 3
Le 28/3/07

Etudes sur la bureaucratie en sociologie des organisations

I. La sociologie des organisations américaine dans les années 40 et 50.

Ces sociologues considèrent que les travaux de Max Weber cont des acquis et en font donc la base
de leur réflexion. Weber a eu une tres grande influence sur des sociologues comme R Merton, Ph
Melznick, Alvin Goulener ou Peter Blau. Ils reprennent l'idéal type traditionnel.
✗ Weber a étudié l'organisation du point de vu de son efficacité. Les sociologues
américains ont un point de vu différent et vont essayer de comprendre, en les identifiant, la
limite de la rationnalité des autres organisations.
✗ Weber s'intéresse surtout aux système bureaucratiques dans la mesurer ou c'était un
modèle structurant pour la société. Merton et les gars cité avant, ont essayé de comprendre
ce qui dans une organisation est est structurant pour les comportements individuels. On ne
se place pas au même niveau.
✗ Weber s'intéresse à la ratinalité de toutes les organisations bureaucratiques. Les
socilogues amériacains vont établir que toutes les organisations sont traversées par des
comportements rationnalistes (bureaucratiques on non) et vont réussir à le cerner en
s'intéressant aux dimenssions formelles et informelles de l'organisation.

On évoquera 3 études principales qui ont être vulgarisées, celles de Michel Crozier et ses
continuateurs.

A. Etude de Robert Merton.

R Merton confronte l'idéal type weberien, à la réalité empirique : c'est son objectif. Il ne va
en réalité que peu le faire. Merton va faire le constat suivant : plus les bureaucrats se rapprochent de
l'idéal type weberien (la rechercehe d'une rationnalié optimale) et plus ces bureaucrates engendrent
des conséquences qui ne sont pas prévues (comme par exemple une paralysie de l'activité de
l'entreprise), plus ils veulent s'en rapprocher. Les conséquences imprévues sont directement liées à
des dysfonctionnements de l'organisation qui sont liés eux-mêmes à des effets de routine au travail
qui va nuire à la rationnlaité et à l'efficacité organisationnelles.
Merton utilise l'idéal bureaucratique rationnaliste sur la base de Weber et la formation d'une
hypothèse : le personnel bureaucratique finit par se comporter d'une certiane manière. Cette manière
d etravailler va permettre a Merton de définir ce qu'il appelle « une personnlaité bureaucratiques ».
Cette personnaité est déternimée par la faon dont la bureaucratie fontionne : ensemble de regles et
de procédures fixant le travail selon un fonctionnement tres strict. On doit travailler selon des regles
pré-établies. La problem, selon Merton, est qu'a force de les respecter, mes normes deviennent
ritualisées (la procédure prime sur l'activité) rigides et le personnel est finalement incapables de
s'adapter au changement. Or selon Merton, toute organisation ne peut survivre que dans une
dynaique, avec des changements dans le temps. Merton amène donc le concept de routine au travail.
Comme Weber, on peut observer une homogénéisation des comportements bureaucrates qui
ntraine une mécanisation. La recherche d'une rationnalité maximale créé l'effet inverse de celui
escompté.

Les limites des travaux de Merton. On lui reproche d'avoir une pproche plutôt
fonctionnaliste de l'organisation pouvant se résumer comme : « alors que les fonctions doivent
permettre à un système de s'adapter son environnement et de s'y ajuster alors que es
dysfonctionnements sont ceu qui empèchent justement à ce système de s'ajuster et de s'adapter à son
environnement.

Des élèves de Merton ou des chercheurs influencés par lui vont essayer de mener des études
monographiques pour tester les hypothèses de Merton. Ils ont l'intention de trouver des terrains dans
la rationalité empirique, ayant les caractéristiques les plus proches de l'idéal type weberien. P
Selznick publie en 1949, TVA and grass roots. Dans cette étude S va réaliser pendant un an une
enquète par des obsrvations directes (1942-43). La TVA est vue comme une nstitution publique à
vocation économique et sociale née dans le cadre du New Deal et qui est gérée par les états féodaux
aux Etats Unis et qui a pour but explicite de favorises le développemetn économique et social des
zones géographiques agricoles pauvres du Tenessee. Elle doit plnnifier l'aménagement du territoire
(mieux réguler le débit des rivieres censées alimenter les parcelles agricoles, orienter les
producteurs agricoles sur les différentes parcelles en foncton de la productivité des terres.) Cette
agriculture a une certaine réputation, elle est censée être totalement indépendante c'est pourquoi il
s'y interesse. C'est un modele d'organisation démocratique et transparent. : il faut se réferer au
niveau de la prise des décisions. Toutes les décisions prises sont écrites, établies elon des regles
sstrictes, cela pour éviter que des décisions soient prises sous le pouvois des grands propriétaire
fonciers et des entrepreneurs locaux, pour qu'ils n'aient pas une trop grande influence sur la gestion
des ressources.
Or Selznick ma montrer que cette bureaucratie, presque un idéale typique, si elle est
democratique mais elle est simplement une démocratie de facade. Elle fonctionne en réalité comme
une oligarchie bureaucratique. Pourquoi? : il fait un constat sur la base de compte rendus de
décisions prises et il se troue que les principlaes décisions prises ont tendace à faviroser les grands
propriétaire fonciers et les entrepreneurs locaux au détriment des petits exploitants. Cela va donc a
l'encontre de son fonctionnement réel (développement plus inégalitaire).

Pourquoi cela passe-t'il comme cela? Selznick va montrer que qu'an sein de cette
organisation il existe une forte délégation de pouvoir : chaque fonction est bien définie et chaque
fonctionnaire se retrouve a faire une activité tres spécilaisée et deconnectée des fonctions de ses
collègues, superviseurs hiérarchiques et de ses subordonnés. Cela crée chez les travailleurs un fort
isolement or cet isolement est propice aux pressions qui sont exercées sur eux et de ce fait Selznick
nous dit que ce fort isolement encourage des groupes d'intérets et de nouvelles formes de cohésion
qui n'existait pas auparavent entre organisations patronales locales, des groupements d'entrepreneurs
locaux. Les individus dans les organisation bureaucratiques ont plutot tendance à privilégier leurs
etre personnels aux dépens des objectifs qu'ils se sont officiellement fixés. Les bust individuels dans
une organisation ne sont pas les mêmes que ceux de l'organisation.
Finalement les organisations sont affectées par des forces qui ne contribuent pas a la
realisation de leurs buts explicits. Les forces ne relevent pas de la rationnalité qui pourtant est a
l'origine de la stratégie formelle des organisations. Par ailleurs, il montre que les aspects formel de
toute l'organisation ne permettent pas de controler tous les aspects non rationnels des
comportements. Les comportements ne se conforment pas forcememnt a ces regles et a ces
procédures. Résorber l'irrationalité des comportements, cela peut se faire sous la forme formelle de
l'organisation. L'ograisation bureaucratique n'endigue pas cette irrationalité des comportements.
Selznick va étblir des pistes de réflexion : sur le fait que les individus ont des émotions, des intérêts,
des sentiments, des croyances qui meur appartiennent et qu'a ce titre la leurs buts ne coincident pas
avec ceux de l'organisation à laquelle ils appartiennent.

B. 2° enquête : celle de Peter Blau 1955, The dynamics of bureaucraty

Il a repris des acquis de Weber, Merton et Selznick. Blau mene son enquète dans 2 services publics
en 48 et 49. Il procède a une observation directe
✗ d'une agence locale pour l'emploi. Son rôle est de mettre en relation l'offre et la demande
d'emploi et aussi de reclasser les personnes dépourvues de travail.
✗ Une agence fédérale ayant pour but fonction de contrôler l'application des lois dans une
entreprise.
Blau décide de focaliser son intérêt sur 24 employés spécialisés dans le reclassement dans le sectuer
de l'habillement. Parmi ces 24, 16 sont chargés de mener des entretiens avec les postulants pour
détemriner leurs professions et qualifications. Au cours de son observation, la direction demande a
Blau de faire des statistiques concernant la production de ces 16 employés. Clau va comparer le
nombre d'offre d'emploi recues pour chaque employé, le nombre de travailleurs interrogés et le
nombre de placement effectués. A partir de ca, il di que les chefs de sectuers mettent en
concurrence des employés de facon informelle. Il constate aussi qye sa propore enquete a tendance
a atiser la concurrence dans ce secteur. Il découvre aussi qu'il existe comme d'autres organisations
bureaucratique des regles tres strictes et des procédures mais elles sont appliquées différement selon
les groupes et cela enfin de l'idée qu'ils se font de l'enquète de Blau.
Certains fonctionnaires coopèrent entre eux et ils s'interessent peut a peu à l'étude de Blau
sur le comportement de ceux qui sont en concurrence et ceux qui coopèrent entre eux. Ces derniers
sont en général plus productifs que ceux qui sont en concurrence et qui respectent les regles a la
lettre. Le non respect des regles et la coopération accélère la ré-insertion des chômeurs. La
compétition entre les individus qui est donc destinée à augmenter leur efficacité et celle de
l'organisation mais finalement ca marche pas. L'organisation est plus efficace quand les règkes sont
continuellement enfreintes.

Conclusion :
✗ Ces 3 grandes études confirment l'existence de dysfonctionnements dans les systèmes
bureucratiques (Merton).
✗ Selznick : ces dysfonctionnements peuvent aller à l'encontre des objectifs assignés à
l'organisation, la TVA
✗ Ou les dysfonctionnements peuvent servir les objectifs qui sont assignés à l'organisation
(Blau ceux qui respectent les règles)

Les individus ne sont pas reductibles à leurs fonctions au sein des organisations. On ne peut pas
comprendre des organisations si on s'intéresse uniquelent à leur organisation formelle.

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