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EXAMEN DE SEDIMENTOLOGIE GRADE PGEN

I. Une turbidité comprend ordinairement 5 divisions, caractérisez chaque division et


déterminez la nature et la structure de sédiment correspondant ?

R/ les 5 divisions d’une turbidité superposée correspondant à des niveaux successifs dont
l’énergie est décroissante :

- Division a (intervalle a) : c’est la division basale massive ou à granoclassement normal


avec à la base des figures d’érosion tels que les flutes, grooves, galets mass, et comprend
des sables de taille moyenne assez souvent accompagnée de débris grossiers (galets,
gravier). Le régime hydrodynamique est violent et correspond à l’énergie nécessaire à la
formation d’ancidures ;
- Division b (intervalle b) : c’est la division inférieure à lamines parallèles constituée
d’une alternance de niveau arithmétiques de granulométrie plus ou moins fine. Il s’agit
de sable de taille moyenne, évoluant verticalement vers les sables fins. Le passage de la
division à la division b est souvent graduel ;
- Division c (intervalle c) : c’est la division à lamination obliques avec rides de courant
plus ou moins déformées en couches contournées (convoletes). Ce niveau comporte des
silts et d’argiles, son contact avec la division b est souvent net ;
- Division d (intervalle d) : c’est la division supérieure à lamination parallèles formées de
lamines silto-argileuses plus ou moins visibles. La base est souvent nette
- Division e : c’est la division pélitique. Elle est généralement formée de boues argileuses
à calcaire dépourvu de structure sédimentaire discernable, et fréquemment bioturbée de
manière croissante vers le haut la transition avec la division précédente est graduelle.
Cette division correspond néphéloïde de fond. Elle est également enrichie par les apports
de décantation qui correspondent en fait à la reprise de la sédimentation pélagique
II. Les algues :
a) Donnez et commentez leurs rôles dans la sédimentation carbonatée ? ;
R/ le rôle des algues dans la sédimentation carbonatée est connu depuis le précambrien où
elles participent soit comme débris, soit comme pièges à sédiments ou encore comme
organismes perforants.

b) Donnez les différentes familles d’algues et déterminez-en les environnements


respectifs ?
R/ ces organismes connaissent une grande diversité qui permet de distinguer :
- Les algues rouges (Rhodolphysées) : qui se développent surtout dans les eaux chaudes
(carbonifère à actuel) ;
- Algues vertes (Chlorophycées) : qui existent depuis le Paléozoïque et caractérisent les
milieux d’eaux douces et saumâtres (ex. les Characées), les milieux tropicaux lagunaires
ou de petits fonds (Dasycladacées) ou encore les petits fonds des plates-formes
carbonatées (Codiacées) ;
- Les algues bleues (Cyanophycées) : reconnues pour leur rôle dans la formation de
stromatolithes et de tapies algaires (algal mats), mais aussi la formation d’une couche
micritique sombre à la periphérie de nombreux fragments calcaires. A cette liste il faut

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ajouter les Coccolithophoridés (Chrisophycées) qui sont des Algues planctoniques


flagellées développées depuis le Jurassique.

III. La distribution des calcaires océaniques dépend en premier lieu des conditions de
dissolution, Donnez les zones (régions) qui remplissent les conditions ?
a) Favorable à la précipitation et à la préservation (conservation) du calcaire et dite
pourquoi ?
R/ les zones qui remplissent les conditions favorables, la dorsale et ses versants, les rides
aséismiques de l’Atlantique Sud, parce que la teneur en calcaire augmente sensiblement sur
les zones relativement peu profondes et situées à l’abris d’importants apport terigènes (2000-
3000m-hauts fonds)
b) Défavorable à la précipitation et à la préservation du calcaire et dite pourquoi ?

R/ les zones qui remplissent les conditions défavorables : l’embouchure de grands fleuves
aussi que les zones de haute latitude où circulent des eaux profondes froides parce que ces
zonez sont celles où la teneur en calcaire diminue car n’étant pas calme recevant aussi
d’importants apports terrigènes.
IV. Expliquer pourquoi :

a) L’aragonite est très rare dans la série ancienne ? ;

R/ l’aragonite est très rare dans la série ancienne parce que c’est un minéral peu stable (sauf
sous haute pression) qui tend par conséquent à évoluer en calcite.
b) La dolomite est rarement observée dans les séries marines (mais plus fréquent dans le
sédiment lacustre ?
R/ la dolomie est rarement observée dans les séries marines mais plus fréquents dans le
sédiment lacustre parce qu’au laboratoire on constate que la dolomite se forme rapidement à
partir de la calcite dans une solution de MgCl 2, et CaCl2 mais dépourvu de
sulfates. Cette action inhibitrices des ions sulfates ( ) serait responsable.

c) La teneur en silice est faible dans les eaux de surface et qu’elle est en revanche plus
importante dans les eaux profondes ou elle est mieux préservée ?
R/ La teneur en silice est faible dans les eaux des surface, les eaux profondes où elle est mieux
préservé parce :

- D’une part en surface l’essentiel de la silice dissoute est extraite et fixée (consommée)
par l’activité biologique (organismes à test siliceux)
- Et que d’autre part, la baisse de la température qui règne dans les eaux profondes.

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I. Parlez des structures et élément figurés des carbonates ?


R/ Une observation simple des roches carbonatées montre que celles-ci sont généralement
caractérisées par un aspect figuratif qui leur est particulier, les différenciant ainsi des roches
détritiques terrigène. Les éléments figurés carbonatés sont donc formés par tous les matériaux
carbonatés manifestement transportés ou bien individualisés par toute structure particulière
qui permet de les distinguer du fond de la roche. Il s’agit principalement de la structure
algaires, des structures ovoïdes, des déjections et agrégats divers, mais également de
squelettes (coquilles) d’organisme et de débris calcaire divers. On distingue

les structures algaires : elles sont œuvre des algues bleues qui participent à la
formation de tapis algaires et stromatolithes. Elles peuvent être observées dans les
zones intertidales et supra-tidales, dans les marées et les bordures des lacs de certaines
régions de basse altitude ;
structure ovoïdes : ce sont des structures nodulaires communément appelées ooïdes.
Ce sont des grains sphériques ou subsphériques constitués d’un nucléus de nature et
forme quelconque et d’un cortex. Ils comprennent les oolithes, les sphérulites et les
bahamites et leur genèse est à mettre au compte des processus physico- chimiques
dans les secteurs de haute énergie hydrodynamique,mais aussi à une évolution
diagénetique des sédiments calcaires ;
Les déjections et agrégats : dans le milieu marin de nombreux organismes produisent
des déjections fécalles pui se déposent dans les fonds marins des régions tempérées
chaudes. Elles sont riches en argiles, on peut citer : Crustacés, Gastéropodes,
Pélécypodes, Polychètes benthiques ;
Les Bioclastes et les lithoclastes : tout élément fossile entier ou en fragment d’origine
végétale ou animale enrobé ou non par une matrice (gangue) carbonatée s’appelle
bioclaste tandisque les lithoclastes : c’est l’ensemble des débris des roches ou de
sédiments calcaires de taille et de nature variables comprenant les intraclasts et les
extraclasts.
II. Donnez et expliquez les structures et principaux types des minéraux argileux ?
R/les principaux
o éléments chimiques qui composent les minéraux argileux sont le
l’agencement de ces éléments en couches octaédriques (O) et en couches
tétraèdres (T) conduit à une structure en feuillets. C’est pourquoi les minéraux argileux
appartiennent à la grande famille des silicates en feuillets ou phyllosilicates (phyllon =
feuille). Les tétraèdres son construits autour du entouré des ions oxygènes, tandis que les
octaèdres
sont dominés par qui peut être remplacé (substitué) par Les ions
hydroxydes ( équilibrent la charge/ deux motifs d’association des couches tétraédriques et
octaédriques sont possibles : motif TO ou 1/1 et motif TOT ou 2/1.
L’intervalle (Espace) entre deux feuillets voisins est dit interfoliaire. Cet espace peut être soit
vide, soit occupé par des cations (anhydres, hydroxylés ou échangeables hydratés) ou par une
couche octaédrique supplémentaire. La classification des minéraux argileux est obtenue en
tenant compte du type de motif d’association, du remplissage interfoliaire et de l’occupation
des sites octaédriques. Dans le cadre des associations minérales issues de l’altération, on
distingue :

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Les phyllosilicates à deux couches (TO ou 1/1) ex : Kaolinite


(Si2O5)Al2(OH)4
Les phyllosilicates à trois couches (TOT ou 2/1) ex : smectites, montmorillonite,
vermiculite, beidellite, illite
Les phyllosilicates à quatre couches (TOTO ou 2/1/1) : ex : chlorite
Les espèces intermédiaires : ce sont des minéraux interstratifiés formés des feuillets
élémentaires de nature et de propriétés différentes. Ex : illite-vermiculite,
illitesmectite, kaolinite-smectite.
Les pseudo-phyllites : silicates constitué de pseudo-feuillets TOT. Ce sont des argiles
fibreuses. Ex : palygorskite, sepiolite.
III. III. La distribution des calcaires océaniques dépend en premier lieu des conditions de
dissolution, Donnez les zones (régions) qui remplissent les conditions ?
c) Favorable à la précipitation et à la préservation (conservation) du calcaire et dite
pourquoi ?
R/ les zones qui remplissent les conditions favorables, la dorsale et ses versants, les rides
aséismiques de l’Atlantique Sud, parce que la teneur en calcaire augmente sensiblement sur
les zones relativement peu profondes et situées à l’abris d’importants apport terrigènes (2000-
3000m-hauts fonds)
d) Défavorable à la précipitation et à la préservation du calcaire et dite pourquoi ?

R/ les zones qui remplissent les conditions défavorables : l’embouchure de grands fleuves
aussi que les zones de haute latitude où circulent des eaux profondes froides parce que ces
zonez sont celles où la teneur en calcaire diminue car n’étant pas calme recevant aussi
d’importants apports terrigènes.
IV. Soit une séquence rythmique constituée des couches sombres et claires : a)
Donnez le nom de cette séquence (ensemble) sédimentaire ?
R/Varves
b) Donnez (expliquez) les conditions de formation des couches sombres ?

R/ sous les conditions glaciaires, l’alternance des couches sombres et claires est contrôlée par
la fonte des glaciers. La couche sombre est riche en argile et se forme au cours de l’hiver
(saison sèche), l’apport en sédiment est très réduit et le matériel fin en suspension s’accumule.
c) Donnez les minéraux (matériaux caractéristique des couches sombres ?

R/ Carbonatée, apipe, Les lithoclastes : ensemble des débris des roches ou de sédiments
calcaires de taille et de nature variables comprenant intraclsate et extraclsts

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V. Expliquez :
Rhodolphycées : sont des algues rouges qui se développent surtout dans les eaux
chaudes.
Pisolithes : sont des individus de taille supérieure à 2mm d’origine essentiellement
diagenetique dans un cortex des oolithes formés de couches concentriques.
Sebkhas : c’est un processus d’évaporation des eaux souterraines dans les sols ou
sédiments sableux (ou lagunes côtières des pays chauds).
Radiolaires : sont des protozoaires planctoniques et marins,
Rampe carbonaté : c’est un type particulier de la plate-forme ouverte qui descend
régulièrement en pente douce dans le bain sans rupture topographique
Cyanophycées : algues bleues reconnue pour leur rôle dans la formation de
stromatolithes et de tapies algaires.

I. L’altération de feldspaths peut conduire à la formation de la Gibbsite. Donnez les


différents stades de transformation et les minéraux correspondant à chaque stade ?
R/

La bisiallitisation : au cours de laquelle la silice et les cations basiques ne sont pas


totalement lessivés, ce processus conduit à l’édification de silicates phylliteux de type
2/1 (ex : montmorillonite, illite, vermiculte) altération de l’orthose.

Orthose Eau Illite Solution


La monosiallitisation : correspond à une hydrolyse plus poussée. Les cations
basiques sont totalement éliminés et une partie importante de la silice est entrainée. Ce
mécanisme conduit à la formation des silicates argileux de type 1/1 (ex. kaolinite)

Orthose Eau Kaolinite Solution

L’allitisation : le resultat d’une hydrolyse totale. La silice et le cation (alcalin)


sont évacués alors que l’aluminium précipite sur place. Ils se forment les produits
résiduels qui s’accumulent sur place et correspondent à des hydroxydes d’aluminium
du type gibbsite ou de la boehmite

Orthose Eau Gibbsite Solution

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II. Donnez (dessinez et commentez les différents types des rides ?


R/
Lits plans (plats) sans mvm. : ils caracterisent les fonds soumis à des très faibles
courants. Ce sont des milieux dominés par la décantation
Petites rides ou simplement rides (ripples) : ce sont des petites structures asymétriques
fréquentes dans les rivières et sur les plages (zones d’action des marées, vagues) ;
Mega-rides ou grandes rides de courant : se développent dans les rivières au lit
sableux, les chenaux de marée et même sur les plages graveleuses ;
Antidunes : ce sont des rides souvent symétriques dont la longueur d’onde est en phase
avec celle du courant ondulatoire violant qui les détermine. Leur nom vient du fait
qu’elles progressent souvent dans le sens opposé à celui du courant (longueur
quelques cm à plusieurs m, dans les petits fonds soumis à des courants intenses (ex.
chenaux des courants de marée, rivières graveleuses en crue, caniveaux après les
pluies) ;
Chute (seuils) et pools (mouuilles) : ils correspondent à un écoulement de haut régime
et à la formation des lits presque plans. Ils sont suivis en aval par des pools
caractérisés par une épaisseur importante de l’écoulement fluide. Le régime de haute
énergie dont ils découlent provoquent des transports, des érosions et des dépôts très
irréguliers et discontinus.

III. La sédimentation carbonatée dans le domaine néritique est l’œuvre des organismes
benthiques. Déterminez les différentes associations (assemblages) faunistiques et
caractérisez leur environnement respectif ?

R/ on a l’association :
- A Foraminifère benthiques et Mollusques (FORAMOL) : caractérise un environnement
tempéré frais et comprend également les Bryozoaires, les Crustacés cirripèdes et les
algues rouges dans certaines conditions les Bryozaoires peuvent jouer un rôle important
par rapport aux foraminifère on parlera alors de Bryomol. Les assemblages Foramol et
Bryomol sont principalement constitués de calcite et de calcaire magnésien.
- A Algues Vertes (Chlorophycées) et Coreaux Hermatypiques (Zoathaires) qualifiée de
(CHLOROZOAN) : typique d’un environnement chaud (t°. Dans les conditions
de très forte salinité ( réalisées dans les mers tropicales. Les algues vertes
peuvent resister au détriment des Coreaux qui peuvent disparaitre. On parlera de
CHLORAXGAL, les assemblages Chlorozaon et Chloraxgal sont principalement
constitués d’aragonite et de Calcite magnésienne.

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IV. Organisation spatiale des éventails détritiques ?

R/ les éventails détritiques présentent classiquement 3 unités qui s’organisent de la manière


suivante, du haut vers le bas de la marge continentale.
Eventail supérieur (upper fan) :se trouve dans l’axe du dispositif d’alimentation (ex :
système de canyons). Il comporte principalement un chenal ou système de chenaux plus
ou moins sinueux très encaissés par rapport à ses berges ou levées.
Eventail moyen ou médian (mid fan ) : constitue le domaine de lobes sédimentaires
nourris par les apports du chenal principal qui se résoud en un réseau de chenaux ramifiés
plus ou moins sninueux parfois anastomosés.
Eventail inférieur (Low fan) : situé à l’aval du cône détritique, s’étend largement au pied
du talus continental en formant un glacis progressant vers la plaine abyssale adjacente
(ex : cônes du Gange et de l’Indus). Sa pente est faible, sa surface légèrement concave
peut être parcourue de chenaux rares et mal individualisés. Les apports gravitaires se
limitent à des turbidités distales alternat avec des hémipélagites qui tendent à accoïtre en
épaisseur et en fréquence vers l’aval.
V. Quelque de définition :
L’allitisation : c’est le résultat d’une hydrolyse totale. La silice et les cations (alcalins) sont
évacués alors que l’aluminium précipite surplace ;
Aggradation : la transformation des mx argileux qui consiste en la fixation des ions presnts
dans la solution ;
Rholphycée : sont des algues rouges qui se développent surtout dans les eaux chaudes ;
Clorophycées : sont des algues vertes qui existent depuis le paléozoïque et caracterisent les
milieux d’eaux douces et saumâtre.
Cynophycées : algues bleues reconnue pour leur rôle dans la formation de stromatholithes
et de tapies lagaires ;
Coccolithophoridés (Chrisophycées) : algues planctoniques flagellés développées depuis
le jurassique ;
Pisolithes : sont les individus de taille superieure à 2mm d’origine essentiellement
diagenétique dans un cortex des oolithes formés
de couches concentriques ;
Oolithes : qui forment les ooïdes sont des structures constituées par un cortex formé de
couches concentriques dont les individus de taille supérieur à 2 mm sont
appelés pisolithes.
Ooïdes : sont des grains sphériques ou subsphériques constitués d’un nucléus de nature et
forme quelconque et d’un cortex.
Le spherulithes : individus à un cortex à structure radiaire, les bahamites ou pseudooolithes
ont un cortex micritique dépourvue de structure.
Peloïde : sont de déjection produit constituer ou désagréger en grains homogènes sans
nucleus ou squelette (sans structure interne)
Les bioclastes : tout élément fossile entier ou en fragment d’origine végétale ou animale,
enrobé ou non par une matrice (gangue) carbonatée ;
Les lithoclasts : l’ensemble des débris des roches ou de sédiments calcaires de taille et de
nature variables comprenant les intraclasts et les extraclasts.
Intraclasts : particules détritiques calcaires ou des fragments des roches calcaires
(carbonatées) pénécontemporaines de la sédimentation et généralement

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peu consolidées au moment de leur dépôt arraché de parties contigües du


fond de la mer et redéposées pour former un nouveau sédiment
Les extraclasts : sont des fragments de roche calcaire provenant d’une ancienne source
située en dehors et sans relation avec leur dépôt ou ils sont transportés
Lysocline : la profondeur à laquelle on observe un brusque accroissement des phénomènes
de dissolution (e pour la calcite vers 4000m)
Niveau de compensation de la calcite : la profondeur à laquelle les processus de
dissolutions ont totalement compensé l’apport de calcaire provenant de la production de
surface
Les radiolaires : sont des protozoaires planctoniques et marins,
Les diatomées : algues marins et planctoniques mais également d’eau douce et benthique
Sebkhas : c’est un processus d’évaporation des eaux souterraines dans les sols ou sédiments
sableux (ou lagunes côtières des pays chauds.
Désagrégation mécanique : elle est liée au climat et est le fait des écarts de températures
qui peuvent être considerables dans les desery
Thermoclastie : l’alternance répétée de températures elevées et moyennes ;
Cryoclastie : l’alternance gel-dégel)
Hydrolyse : c’est l’action de l’acide carbonique sur des mx riches en cations

Rampe carbonaté : c’est un type particulier de la plate-forme ouverte qui descend


régulièrement en pente douce dans le bassin sans rupture topographique

Epilimnion : c’est la préservation de la matrice organique produit dans les eaux de surfaces

Hypolimnion : sont des eaux de fond qui sont très appauvries en oxygène et en nutriment ce
qui réduit la vie benthique

Sapropels : type de sédiment composé essentiellement de la matières organique,


reconnaissable à la formation des boues organiques

Dissolution : consiste en la décomposition d’un minéral en ses ions constitutifs

L’oxydation : elle est réalisée lorsqu’il y’a perte d’électrons lors de la formation de
nouveau corps

L’hydratation : c’est une réaction qui se réalise lorsqu’un minéral incorpore (gagne)
une ou plusieurs molécules d’eau dans sa structure cristalline.
Bissialitisation : au cours de laquelle la silice et les cations basiques ne sont pas
totalement lessivés.

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VI. La Silice, donnez : a) condition de précipitation dans le condition continental b)


condition de dépôt dans le domaine marine c) organisme fixateurs d) roches résultante
R/ A. La précipitation de la silice n’intervient qu’exceptionnellement dans les milieux
naturels superficiels, toute fois cette précipitation peut s’observe dans certain lac de région
intertropicales à la suite d’une forte évaporisation l’alcalinité des eaux augmenté
sensiblement (ph qui peut atteindre 9) plusieurs silicates suffisamment concentrés peuvent
précipiter sous forme de gel de cristobalite
B. En milieu marin, les eaux superficielles sont sous-saturées en silices ce qui entraine une
dissolution des test (constitues d’opale) d’organisme et la libération d’acide silicique
SiO2+2H2O -------« H2SiO4
C. Les organisme fixateur de la silice dissoute comprennent principalement les diatomées
et les radiolaires, spongiaires, silicoflagelle
D. Les roches siliceuse chimiques et principalement celle d’origine biochimique pouvant
être groupées sous le nom de charts. Ceux-ci peuvent constituer soit des bancs continus,
soit des accidents siliceux dans les grés et surtout dans les calcaires (silex, chailles,
meulières
VII. Transport des particules
A. Rôle de transport des particules dans le sédiment
R/ Le rôle de transport dans le processus sédimentaire est capital, ce rôle est tributaire des
gents tels que l’eau, l’air (vent) la glace (gracier), la gravité (mécanismes gravitaires)
B. Les facteur ou éléments qui interviennent dans le transport des particules
R/ les facteur qui interviennent sont : la densité, la viscosité, la vitesse et la force, la taille, la
forme et les propriétés de surface des grains
C. Types de transport
R/- Le charriage également appelé roulement (Rolling) implique un contact entre les
particules arrachées et un fluide et inclut un glissement qui peut également affecter les
éléments aplatis
- La saltation : c’est le déplacement par bonds successifs ; les grains quittent le fond
brutalement par un angle important sous l’action du courant puis retombe plus lentement et
de manière plus ou moins continue
- La suspension : c’est un déplacement qui se fait au-dessus du fond, les grains sont
déplacé en pleine eau selon des trajectoires irrégulières.

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