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SUPPORT DE FORMATION
RESUME DE LA FORMATION
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INTRODUCTION ………………………………………………… 3
CONCLUSION………………………………………………………. 22
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1. CIVISME
Le civisme est la vertu qui qualifie la bonne conduite des personnes envers
l’Etat et la communauté. Il est l’exercice du respect à l’égard de la
République et de ses lois. Autrement dit, le civisme est le respect et le
dévouement à l’égard de « la chose publique ».
2. INCIVISME
L’incivisme serait par conséquent le fait de ne pas respecter les lois et les
règlements établis au sein d’une collectivité ou d’un Etat. C’est se rebeller
contre les valeurs citoyennes, les autorités et les institutions.
3. SERVICE CIVIQUE
4. CITOYENNETE
La citoyenneté est un statut conféré à un individu par un État qui reconnaît
en lui un membre à part entière de la nation, lui octroyant des droits
civiques, politiques, sociaux et économiques, ainsi que des devoirs envers
l'État et la société. Elle englobe le droit de vote, le droit à la protection
juridique et diplomatique, le droit à l'éducation et à l'accès aux services
sociaux, tout comme l'obligation de respecter les lois, de contribuer au
bien commun par les impôts et, dans certains cas, de participer à la défense
nationale. La citoyenneté est également un concept sociologique décrivant
l'appartenance d'un individu à une communauté politique, où il ou elle
participe activement à la vie publique, contribuant ainsi à la formation des
politiques et à la prise de décision collective. En tant que concept
philosophique, la citoyenneté est liée à l'idée de participation active à la
société, encourageant l'exercice de la liberté individuelle dans le respect
des droits d'autrui et de l'intérêt général.
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1. EDUCATION CIVIQUE
L’éducation civique constitue l’une des composantes du civisme. Elle vise
à assurer à l’apprenant une formation historique, morale et sociale qui le
prépare à accéder à la dignité de citoyen et à assurer socialement et
politiquement comme tel.
2. CIVILITE
Elle doit être distinguée du civisme. Elle renvoie au respect des règles « du
bien vivre », le respect du code du « savoir vivre » et des bonnes mœurs.
Elle est la politesse et la courtoisie dans le comportement et dans les
paroles, qui témoignent d'une considération respectueuse envers autrui
dans la vie en société. Elle se manifeste par le respect des normes sociales,
des règles de politesse et des convenances qui facilitent l'interaction
harmonieuse entre les individus. La civilité est souvent considérée comme
le ciment des relations sociales, permettant une coexistence pacifique et
constructive, même en présence de désaccords ou de différences. Elle
implique une écoute attentive, le dialogue et une ouverture à la
perspective de l'autre, tout en mettant de côté l'agressivité et les
comportements offensants. La civilité est essentielle dans une société
pluraliste; elle encourage le respect mutuel et la tolérance, et elle est
fondamentale pour le maintien d'une démocratie saine où les citoyens
peuvent interagir de manière productive et bienveillante. En somme, la
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3. PATRIE
Étymologiquement, le mot "patrie" dérive du latin "patria", qui signifie
littéralement la terre des pères, évoquant une connexion profonde avec le
sol sur lequel nos ancêtres ont établi leurs racines, ont vécu, et dont
l'héritage nous a été transmis. Ce concept s'enrichit d'une forte dimension
affective, car il englobe l'amour atavique, c'est-à-dire un sentiment
profond et souvent inexprimé qui se perpétue de génération en
génération. La patrie représente donc bien plus qu'un simple lieu
géographique; elle symbolise un héritage culturel, historique et
émotionnel partagé. Elle est le terreau des traditions, des langues, des
coutumes et des souvenirs qui façonnent l'identité collective d'une
communauté. À travers la notion de patrie, se transmet une conscience
commune, le désir de préserver ce qui a été construit par les aïeux et le
devoir de le perpétuer pour les descendants, en y ajoutant la marque de
notre propre passage et en le défendant si nécessaire.
4. PATRIOTISME
Pour comprendre ce concept, il faut partir de l’idée que la patrie constitue
une seconde famille. De ce fait, nous avons à l’égard de notre patrie, des
devoirs analogues à ceux que nous avons à l’égard de notre famille
biologique. C’est tout le sens du patriotisme qui évoque l’amour de la
patrie. Un amour qui peut pousser au sacrifice de soi pour sa défense.
5. NATIONALISME
C’est l’exaltation du sentiment national. L’attachement passionné à la
nation à laquelle on appartient, accompagné parfois de xénophobie et
d’une volonté d’isolement. Le nationalisme est une doctrine, une attitude
politique motivée le plus souvent par la volonté de domination, l’esprit de
revanche ou la peur des dangers extérieurs.
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7. XENOPHOBIE
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I. LES ARMOIRIES
1. Description
Le décret n° 64-237 du 26 juin 1964 modifiant le décret n° 60-78 du 8 février
1960 portant création des armoiries de la République de Côte d'Ivoire
définit en son article 2 les armoiries de la sorte : "Blason de sinople à la tête
d’éléphant, l’écu surmonté d’un soleil issant éclipsé d’or rayonnant de neuf pièces
or. À dextre et à senestre deux arbres or et l’inscription argent « République de
Côte d'Ivoire » sur listel or".
Ce décret précise donc que les armoiries de Côte d’Ivoire sont composées
de six éléments :
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2. Signification
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NB : Le portrait du Chef de l’Etat doit être affiché, bien en vue, dans tous
les bureaux de l’administration publique.
1. Description
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a) La couleur ORANGE
b) La couleur BLANCHE
c) La couleur VERTE
L’espérance
DRAPEAU HAMPE
60x90cm 4m
80x120cm 4à5m
100x150cm 5à6m
120x180cm 6à8m
150x225cm 8à9m
200x300cm 9 à 12 m
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L’UNION signifiant :
Solidarité,
Fraternité,
Altruisme,
Hospitalité,
Tolérance,
Bienveillance.
La DISCIPLINE signifiant :
Respect,
Ponctualité,
Courtoisie,
Patience,
Non-violence,
Prudence.
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V. L’HYMNE NATIONAL
1. Présentation
L’Hymne National de la Côte d’Ivoire, l’Abidjanaise, a été adopté par
la loi n°60-207 du 27 juillet 1960, soit dix (10) jours avant l’accession du
pays à l’Indépendance.
La loi n° 2016-886 du 08 novembre 2016 portant constitution de la
République de Côte d’Ivoire reprend celle de 2000 et dispose en son
article 48, aliéna 2 que « l’Hymne de la République est l’Abidjanaise ».
Rédigée par l’Abbé Pierre Marie COTY et composée par l’Abbé Pierre
Michel PANGO, l’Abidjanaise est un chant solennel en l’honneur de
notre Patrie. Le Ministre Mathieu Ékra rajouta quelques modifications
aux paroles.
L’Hymne National de la Côte d’Ivoire se présente sous la forme d’un
poème lyrique d’inspiration très élevée comprenant cinq (05) couplets.
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L'Abidjanaise
Premier couplet
Premier refrain :
Deuxième couplet
Deuxième refrain :
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Troisième couplet
Cinquième couplet
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Il faut croire en ces valeurs, les adopter et les considérer comme des
PRINCIPES VITAUX, recteurs du comportement de chaque ivoirien, grille
de lecture et guide de chaque pensée et action.
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