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PARTICIPATION CITOYENNE DU CHRETIEN DANS LA

GOUVERNANCE PAYS, CAS DES ELECTTIONS


A l’Eglise CBFC MAKALA

PAR Me PRINCE WEMBOLENGA KAMANA

FORMATEUR EN DEVELOPPEMENT PERSONNEL, EN LEADERSHIP TRANSFORMATIONNEL ET MOTIVATEUR CHRETIEN


Profil du Formateur

Me Prince WEMBOLENGA KAMANA


Né à WEMBONYAMA, Province du Sankuru, le 09 Août
Licence en Droit Public International 1988
---------------------------------- Congolais
Diplômé d’Etat en Pédagogie-Education Marié
Physique Père de 4 enfants
Secrétaire de Cabinet Adjoint du Président de la CENI (Octobre 2012- Juillet 2013) ;
Expert-Juriste à la CENI de Juillet-Septembre 2013 ;
Expert pour le compte de World Council of Churches concernant les questions liées à la jeunesse 2014 ;
Rapporteur du groupe thématique chargé de l’accompagnement des églises au sein du processus électoral pour World Council of Churches 2014 ;
Expert-formateur au Forum National/COE-CETA tenu du 29-30 Avril 2014 ;
Stewart au FORUM/ EDAN-ASTHEOL sur le lancement du Programme de Master en Transformation Sociale tenu à L’UPC du 08-09 Avril 2014
Assistant Juridique CJPSC ECC
Président JVD Asbl
Point focal Congolese Integration Network/USA en RDC et Hearth For Congo/DRC
Plan

1. Attentes des participants


2. Introduction

Fondement juridique

Objectifs du module

1. Définition des concepts (participation, citoyenneté, chrétienté, gouvernance et élections)


introduction
Fondement juridique
Article 24 de la Constitution de la République Démocratique du Congo du
18 février 2006, telle que modifiée à ce jour.

alinéa 1:
Toute personne a droit à l’information.
alinéa 2:
La liberté de la presse, la liberté d’information et d’émission par la
radio et la télévision, la presse écrite ou tout autre moyen de
communication sont garanties sous réserve du respect de
l’ordre public, des bonnes mœurs et des droits d’autrui.
Article 5: De la Souveraineté

La souveraineté nationale appartient au peuple.


Tout pouvoir émane du peuple qui l’exerce directement par
voie de référendum ou d’élections et indirectement par ses
représentants.
Modifiée par la Loi n° 11/002 du 20 janvier 2011 portant
révision de certains articles de la Constitution
de la République Démocratique du Congo
du 18 février 2006
OBJECTIFS DU MODULE
 L’objectif général de ce module est de :

préparer les formés à participer à la vie publique(expression des


valeurs démocratiques) en renforçant leurs connaissances sur les
principes et valeurs citoyens en vue de favoriser l’adoption de
comportements responsables (éthique et civique) et acquérir le sens des
responsabilités individuelles et collectives dans l’exercice de leurs droits et
devoirs de citoyens.
 Permettre aux participants de jouer leurs rôles d’acteurs en apportant
une contribution positive et efficace aux actions du gouvernement et des
autorités locales ».
 Susciter de l’intérêt au sein des participants en particulier et de toute la
population sur la gouvernance des politiques publique.
I. LE CHRÉTIEN ET LA CITOYENNETÉ
Qui est chrétien? Le chrétien se considère-t-il pleinement comme citoyen, si oui comment ? Est
il pleinement considéré comme citoyen ? Et aujourd’hui est-ce évident dans la compréhension de la démocratie ?
Et qu’en est-il dans d’autres espaces géographiques ?

- Dans le Nouveau Testament, la question de la citoyenneté APPARAÎT AUTOUR DE LA FIGURE DE PAUL. D’une
part, lorsque Paul est arrêté à Jérusalem, suite à des accusations de certains Juifs et transféré à un tribunal romain
pour atteinte à l’ordre public, il revendique sa citoyenneté romaine, et donc son droit a être jugé selon les normes du
droit à Rome (Ac 22,25). D’autre part, dans ses lettres, on trouve une double affirmation. Paul invite les croyants à être
soumis aux autorités publiques (elles sont établies par Dieu) et à respecter la loi civile (si on fait le bien il n’y a pas lieu
de craindre les magistrats) (Rm 13,1-3). Et il précise : « Il est nécessaire de se soumettre, non seulement par crainte
de la colère, mais encore par motif de conscience. C’est la raison pour laquelle vous payez des impôts » (13,5-6 ; cf.
Tt 3,1). On peut dire que, pour Paul, le croyant est un citoyen comme les autres, avec les mêmes obligations.

- Le chrétien est un citoyen comme les autres, appelé à vivre en vérité les vertus civiques. L’enseignement de l’Église
insiste sur la responsabilité personnelle, sur les exigences de justice et d’honnêteté, etc. Il insiste sur l’engagement
dans la vie sociale et politique. Il est vrai qu’historiquement l’Église catholique a eu du mal à reconnaître comme
valeurs les droits de l’homme, la démocratie, la liberté de conscience, etc., en un mot l’esprit de la modernité
occidentale. De ce point de vue, Vatican II a représenté un véritable tournant, une conversion. On peut dire que la lettre
à Diognète trouve pas mal d’échos dans l’Église contemporaine.
CITOYEN

Le citoyen est défini comme UNE PERSONNE JOUISSANT, DANS L’ÉTAT


DONT IL RELÈVE, DES DROITS CIVILS ET POLITIQUES, ET NOTAMMENT
DU DROIT DE VOTE. La citoyenneté relève donc d’un ensemble de droits et de
devoirs : droits civils fondés sur des libertés individuelles comme la liberté de
conscience et d’expression, la liberté d’aller et venir…, DROITS POLITIQUES
COMME CELUI DE PARTICIPER À LA VIE POLITIQUE ET D’ÊTRE CANDIDAT
À TOUTES LES FONCTIONS PUBLIQUES. En contrepartie, le citoyen A
L’OBLIGATION DE RESPECTER LES LOIS, DE PARTICIPER AUX DÉPENSES
COLLECTIVES en fonction de ses ressources et de DÉFENDRE LA SOCIÉTÉ
DONT IL EST MEMBRE, SI ELLE SE TROUVE MENACÉE.

Le citoyen n’est pas seulement un sujet de droit individuel, IL EST AUSSI LE


DÉTENTEUR D’UNE PART DE LA SOUVERAINETÉ POLITIQUE et c’est
l’ensemble des citoyens, constitués en collectivité politique ou en « communauté
de citoyens » qui, par l’élection, CHOISIT LES GOUVERNANTS ET SON MODE
DE GOUVERNANCE.

Les révolutionnaires définissent LE CITOYEN COMME CELUI QUI SAIT


S’ABSTRAIRE DE SES PARTICULARITÉS POUR PARTICIPER À L’INTÉRÊT
GÉNÉRAL.

Citoyenneté, civisme, civilité… Ces trois termes ont une étymologie commune : «
civis », la cité. Ainsi, le statut de citoyen NE SE LIMITE PAS À SON VERSANT
POLITIQUE, mais revêt aussi UN CARACTÈRE MORAL PROPRE AU « VIVRE
ENSEMBLE » et à la civilité reposant sur le respect d’autrui et des lois. Mais être
citoyen, c’est aussi faire PREUVE DE SOLIDARITÉ.
PEUT-ON ETRE CITOYEN SANS ENGAGEMENT ?

La citoyenneté se définit par la


participation à la vie de la
cité.
II. LA GOUVERNANCE
LA GOUVERNANCE RENVOIE À L‘ACTE DE GOUVERNER.
Il s‘agit d‘administrer et de diriger un Etat. Etymologiquement, la gouvernance dérive d‘un verbe grec KUBERNÂN qui signifie
piloter un navire ou un char. Ce concept fut utilisé pour la première fois de façon métaphorique par Platon pour désigner le fait de
gouverner les hommes. Il a donné naissance au verbe latin GUBERNARE, qui revêtait les mêmes significations et qui, par le biais
de ses dérivés, dont GUBERNANTIA, a lui-même engendré de nombreux termes dont GOUVERNER.

A ses origines, gouverner semble supposer l‘existence d‘ UN GUIDE POUR PILOTER LES
HOMMES, UN
ETAT. Avec le temps, la gouvernance a ÉVOLUÉ VERS LA BONNE GOUVERNANCE
pour DONNER
PLUS DE PLACE AU CITOYEN. Ainsi, L‘INDIVIDU, MEMBRE DE LA COMMUNAUTÉ, A ÉTÉ
PLACÉ AU CENTRE DU PROCESSUS DÉCISIONNEL. Ce n‘est plus le guide qui dirige seul
mais LA COMMUNAUTÉ QUI DIRIGE À TRAVERS SES REPRÉSENTANTS.
Le débat sur la gouvernance se concentre en grande partie sur les facteurs d‘efficacité des institutions et des règles qui
gouvernent la société : LA TRANSPARENCE, LA PARTICIPATION, LA RÉACTIVITÉ, L‘OBLIGATION DE RENDRE DES
COMPTES ET L‘ETAT DE DROIT. Même si la bonne gouvernance n‘est pas synonyme de démocratie, les deux concepts sont
cependant intimement liés et soulignent l‘importance de la place du citoyen dans l‘élaboration des règles devant régir la société et
dans le processus de prise de décision.
A. Olukoshi cité par S. Bellina, H. Magro et V. Villemeur (2008, p15) rappelle dans ce même ordre d‘idées qu‘il ne faut pas
confondre gouvernance et démocratie même si la forme idéale de gouvernance est démocratique dans son contenu. Sans aller
dans une discussion conceptuelle large, ces deux concepts convergent et TENDENT À METTRE LE CITOYEN À L‘AVANT-
GARDE DANS L‘EXERCICE DU POUVOIR ET DANS LE PROCESSUS DÉCISIONNEL. Cependant, les théoriciens
s‘accordent sur le fait que LA NOTION DE BONNE GOUVERNANCE EST PLUS LARGE QUE CELLE DE LA
DÉMOCRATIE. Il existe des Etats dits démocratiques mais où la bonne gouvernance pose des questions. En effet, plus
largement, la bonne gouvernance renvoie à la notion de BONNE GESTION DES RESSOURCES DISPONIBLES EN Y
ASSOCIANT EFFECTIVEMENT LE CITOYEN.
III. LA PARTICIPATION CITOYENNE DANS LA
GOUVERNANCE PUBLIQUE
LA CITOYENNETÉ FAIT ÉGALEMENT RÉFÉRENCE À LA PARTICIPATION ET À
L’ENGAGEMENT DE L’INDIVIDU DANS DES ACTIVITÉS COLLECTIVES OU VISANT L’INTÉRÊT
GÉNÉRAL :
1. réunions de quartiers,
2. bénévolat dans une association,
3. manifestations,
4. consommation responsable,
5. tri sélectif des déchets…
La démocratie participative incarne LE DÉVELOPPEMENT DE NOUVELLES FAÇONS DE
PARTICIPER À LA VIE DE LA CITÉ ET NOTAMMENT, DE DIALOGUER AVEC NOS
REPRÉSENTANTS.
Les pratiques de la citoyenneté prennent donc aujourd’hui des formes concrètes différentes dans nos
pays démocratiques. Démocratie représentative, démocratie sociale et démocratie participative
cohabitent et sont complémentaires. L’ERREUR SOUVENT COMMISE EST D’OPPOSER LA
DÉMOCRATIE REPRÉSENTATIVE À LA DÉMOCRATIE PARTICIPATIVE. Or la démocratie
participative NE VIENT PAS CONCURRENCER la démocratie représentative MAIS BIEN
L’ALIMENTER DE SES IDÉES ET DE SES MÉCANISMES D’EXPRESSION ET DE DIALOGUE.
Ainsi, D.-P. Decoster, spécialiste du développement local, considère que ces deux formes de
démocratie se renforcent et peuvent cohabiter afin de rendre les personnes et les élus
copropriétaires, ce qui signifie également coresponsables, de la Cité et de ce qui s’y passe
A. RÉPUBLIQUE ET DÉMOCRATIE : QUELLE PLACE OU
ROLE POUR LES CITOYENS ?
Les mots « RÉPUBLIQUE » ET « DÉMOCRATIE » sont souvent perçus comme des
synonymes. Or il est important de ne pas les confondre et de comprendre ce que chacun
recouvre. La démocratie est le régime dans lequel l’exercice du pouvoir repose, directement ou
par représentation, SUR LE PEUPLE.
« Dans la Rome antique, RES PUBLICA désignait l’ensemble des affaires politiques et par
suite le gouvernement, qu’il fût monarchique, aristocratique ou démocratique : la condition
était que LES CITOYENS Y EUSSENT UNE PART. (…) Les modernes ont pensé la
« république » mais avec un déplacement : pour Jean-Jacques Rousseau, qui traduit
République par CIVITAS, l’organisation civique est un régime politique, qu’il oppose aux
monarchies, où les habitants sont des sujets et non des citoyens, sont soumis à un roi et non à
la loi qu’ils ont eux-mêmes décidée.
Ainsi, la république dans sa définition la plus simple est une « FORME DE POUVOIR
EXÉCUTIF AVEC UN CHEF D’ÉTAT NI VIAGER, NI HÉRÉDITAIRE ». On voit bien ici que la
république se définit d’abord comme UNE ALTERNATIVE À LA MONARCHIE.
B. LES 12 PRINCIPES DE LA BONNE GOUVERNANCE
CHAQUE PAYS A DES
GOUVERNANTS QU’IL MÉRITE
SOMMES-NOUS EFFECTIVEMENT UN ÉTAT DÉMOCRATIQUE?

LA DEMOCRATIE C’EST D’ABORD UN


ESPRIT, UNE MANIÈRE DE VIVRE ET
FINALEMENT UNE CULTURE
DÉFINITIONS DE LA DÉMOCRATIE
Ce mot signifie au sens large « le gouvernement du peuple »
opposé à la monarchie (gouvernement d’un seul) et à l’oligarchie
(gouvernement de quelques-uns).
Pour Abram Lincoln, le mot démocratie veut dire: « gouvernement du
peuple par le peuple et pour le peuple ».
La signification de distinctive de l’expression réside dans son
deuxième terme « Gouvernement par le peuple ». L’idée ici est
que le peuple choisit ses gouvernants et ceux qui incarnent son
idéal, ses aspirations, sa vision de société et ses attentes. La
démocratie suppose donc la participation effective de la
population aux choix qui engagent la société.
FORMES ET PILIERS DE LA DÉMOCRATIE
FORMES:
Démocratie directe (de mise dans las communautés peu
nombreuses); cas des cantons suisses, organisations socio
professionnelles (ordres des médecins, avocats, CJPSC, DEMIAP, et
autres. Elle n’est possible que lorsque les membres peuvent se
réunir à un seul et même endroit.
Démocratie indirecte ou représentative ( la plus courante, le peuple
élit lui-même ses représentants).
PILIERS (Voir l’ouvrage de Howard Cincotta intitulé « Qu’est-ce que la Démocratie ?)
Voici quelques piliers à valeur morale à savoir :
ÉGALITÉ, LIBERTÉ, JUSTICE DISTRIBUTIVE, PARTICIPATION,
TOLÉRANCE, MAITRISE DE SOI, COHÉRENCE, SOLIDARITÉ,
VOLONTÉ, INFORMATION.
BREF APERCU SUR LES ELECTIONS
Des ÉLECTIONS QUI DONNENT LA PAROLE AU PEUPLE CONSTITUENT
ESSENTIELLEMENT UN IMPORTANT PROCESSUS DE GESTION DES CONFLITS
SOCIAUX, par le biais DES DÉBATS ET DES PROCESSUS DÉCISIONNELS PACIFIQUES
IMPLIQUÉS…
Les processus électoraux représentent UNE MÉTHODE SÛRE, PRÉVISIBLE ET LÉGALE
D’ARBITRAGE des conflits politiques et sociaux à travers LE CHOIX DE REPRÉSENTANTS
OU LA RÉSOLUTION DÉFINITIVE DE CERTAINES QUESTIONS SOUMISES AU JUGEMENT
DE LA COMMUNAUTÉ (COMME LORS DE RÉFÉRENDUMS)/EN DEMOCRATIE IL Y A
TOUJOURS UN CHOIX A OPERER. IL N’EST PAS INDIQUE DE DIRE: « JE N’AI PAS DE
CHOIX ». C’EST UN SIGNE DE L’IRRESPONSABILITE CITOYENNE.
Lorsque des élections sont organisées de façon crédible, elles imprègnent le gouvernement
d’une LÉGITIMITÉ OBTENUE GRÂCE AU CONSENTEMENT DU PEUPLE, …et à améliorer le
niveau du développement humain par le biais d’UNE GOUVERNANCE EFFICACE.

http://www.leganet.cd/Legislation/Droit%20Public/Divers/LO.13.012.19.04.2013.htm
QUELS QUE TEXTES JURIDIQUES NECESSAIRES EN LA MATIERE

Une LOI ORGANIQUE est une loi relative à l'organisation des pouvoirs administratifs  (fonctions législative, juridictionnelle, gouvernementale et
administrative). La constitution peut être considérée comme un type particulier de loi organique. Certains pays ont toutefois une définition plus
spécifique des lois organiques. Une loi organique est une loi prévue comme telle par le texte constitutionnel. À cette définition formelle peut s'ajouter une
définition plus concrète : l'objet d'une loi organique est généralement de préciser l’organisation et le fonctionnement des pouvoirs publics, en application
d’articles de la Constitution. LES LOIS ORDINAIRES interviennent dans les domaines de la loi définis à l’article 34 et sont adoptées à l’issue de la navette
parlementaire. Parmi les lois ordinaires, on distingue les lois de finances, les lois de financement de la sécurité sociale  et les lois de programmation. Ces
dernières déterminent les objectifs de l’action de l’État.

LES SOURCES NATIONALES DU DROIT ELECTORAL CONGOLAIS


Les sources nationales du droit électoral sont de deux ordres. Les unes sont d’ordre légal alors que les autres sont d’ordre
réglementaire.
Le cadre légal
Le cadre légal relatif à l’organisation des élections de 2018-2019 en RDC s’appuie essentiellement sur les textes repris dans le
tableau ci-dessous :
• La Constitution de la République démocratique du Congo du 18 février 2006, modifiée par la loi n° 11/002 du 20 janvier 2011
portant révision de certains articles de la Constitution de la République démocratique du Congo.
 La loi organique n°13/012 du 19 avril 2013 modifiant et complémentant la loi organique n° 10/013 du 28 juillet 2010 portant
organisation et fonctionnement de la Commission électorale nationale indépendante (textes coordonnés).
 Loi organique modifie et complète la Loi organique n° 10/013 du 28 juillet 2010 portant organisation et fonctionnement de la
Commission Electorale Nationale Indépendante./ Garantir une plus grande implication des parties prenantes au processus
électoral dans la promotion de l’intégrité électorale.
 La loi organique n°13/026 du 15 octobre 2013 portant organisation et fonctionnement de la Cour constitutionnelle.
 La loi n°06/006 du 9 mars 2006 portant organisation des élections présidentielle, législatives, provinciales, urbaines, municipales
et locales telle que modifiée par la loi n°11/003 du 25 juin 2011, la loi n°15/001 du 12 février 2015 et la loi n°17/013 du 24
décembre 2017.
Problèmes/ ELECTIONS 1957 A CE JOUR
SCHEMA CRITIQUE DES ELECTIONS
L’expertise, l’expérience et l’observation nécessaires pour
résoudre ces problèmes urgents et de nombreux autres
existent déjà.
Ce qui nous retient est l’absence de leadership capable de
stimuler la volonté politique permettant de faire naître des
solutions.
LE MONDE TRAVERSE DONC UNE CRISE DU
LEADERSHIP,
ET NON DE LA CONNAISSANCE.
L'ancien secrétaire général des Nations unies,
Kofi Annan, le 16 octobre 2012, à New York. 
MICHAEL LOCCISANO/AFP
Notre MOTIVATION :

« LE TEMPS PUNI SEVEREMENT LA


PROCRASTINATION ET LA PARESSE »

« PAS ETRE TOUJOURS EN POSITION DE


‘FIGURANT’; SOIS TOUJOURS EN POSITION D’
‘ACTEUR’ AU DEVELOPPEMENT ».

CAR, TU N’ES PAS NE PAR HASARD (Jérémie 1, 5)


Me Prince WK

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