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L’EXPOSER DE LA DEFENSE

Merci monsieur le président du jury de la parole accordé, monsieur le président du jury, honorable
membre du jury…

Notre thématique tourne autour de la problématique des forces et les faiblesses de la démocratie
cas de la république démocratique du Congo : il nous revient de résumer les points essentiels.

La problématique de notre travail reposé sur les interrogations ci-après : Mais les questions que
nous nous posons sont celles de savoir quelles sont les caractéristiques positives qui soutiennent la
démocratie dans le et quelles les limites qui l’entravent ?

Quelle peuvent être les enjeux de la démocratie en RDC ?

En effet, nous avons émis les hypothèses suivantes, pour ce qui est de notre première question ; la
majeure partie visent la participation des peuples à la démocratie; c'est ce qui fait que les congolais
ont du mal à croire à la démocratie; l’hypothèse formulée sur la démocratie en république
démocratique du Congo et malgré son nom et sa constitution démocratique, le pays fait face à de
nombreux défis qui comportent la véritable pratique de la démocratie. Ces défis comportent la la
corruption généralisée, l’instabilité politique, les conflits armés, les violations des droits de l’homme
et les inégalités socio-économiques procéder à la vérification de nos hypothèses nous avons recouru
aux méthodes et techniques.

Méthode exégétique, elle nous a permis de connaître l'esprit que contiennent les différents
instruments juridiques en rapport avec le sujet. C'est la pensée, le contenu qui enchaîne l'interprète
et non le texte qui se trouve être le contenant. Il ne s'agira donc pas seulement de chercher le texte
et ce qu'il traduit, mais plus de l'esprit du législateur sans se détacher du contexte social.

Nous avons trouvé la nécessité de recourir à la technique d’observation directe, laquelle nous a
permis d’être en contact avec sont objets d’étude ou le milieu dans lequel le se produit afin d’en
extraire les renseignements pertinents à sa recherche

Grâce à cette technique nous avons observé la société congolaise en général et mode de
fonctionnement ces institutions en particulier, pour nous permettre d’analyser la démocratie et
effets sur les citoyens en RDC.

Pour bien approfondir le thème de notre recherche, le présent travail a été subdivisé en deux
chapitres. En effet, le premier est consacré à l'étude de la généralité et la deuxième porte sur les
forces et les faiblesses de la démocratie cas de la Républiques Démocratique du Congo.

Tout au long de ce travail, nous avons cherché de vérifier notre hypothèse telle que nous a été posée
par les questions de départ, problématique. Pour ce faire la méthode structuraliste nous a aidés à
distribuer les places et fonctions aux citoyens congolais à la prise des décisions d'intérêt général.

L'étude sur les « les forces et les faiblesses de la démocratie : cas de la RDC » a porté sur deux grands
chapitres. Dans le premier chapitre sur « les Généralités », il était question pour nous de définir la
démocratie, présenter ses caractéristiques, principes essentielles, typologies et de savoir si la
démocratie en RDC n'était qu'un fruit de l'illusion des congolais ou une réalité. Deux éléments ont
retenu notre attention dans le cadre de cette section sur la démocratie. D'une part la définition
proposée par Martin Seymour Lipset sur la démocratie. Il l'a défini comme étant « un système
politique qui, à l'intérieur d'un complexe social, permet le renouvellement légal du personnel
dirigeant, et comme un mécanisme social qui permet à une très grande partie de la population
d'exercer une influence sur les décisions importantes en choisissant les responsables ».

D'autre part, en faisant un repère sur la démocratie en RDC, nous sommes convaincu que la
démocratie existe en RDC, en partant de l'idée selon laquelle : « dans une démocratie le pouvoir
appartient au peuple qui l'exerce directement par référendum et indirectement par le biais de ses
représentants ». En ce sens que nous sommes en troisième République et la Constitution qui régit
cette République est le fruit du référendum organisé les 18 et 19 septembre 2005, et les
représentants des congolais exercent un pouvoir à son nom car mandaté par lui, en législature de
2006 et celui actuel de 2018.

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