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Introduction

0.1. Présentation
La question de l’exercice du droit de vote en droit positif congolais présente
encore les défis jusqu’à l’heure actuel.
L’avènement de la constitution du 18 février 2006 a apporté une série de
réponses aux stigmates de la période coloniale et poste coloniale ou encore
de la dictature ouvrant ainsi la porte aux citoyens de pouvoir s’exprimer sur
le devenir de leur nation. L’avancée de la démocratie dans le monde est l’une
des évolutions les plus importantes… Les élections sont un des fondements
essentiels de la démocratie, et elles sont désormais quasi-universelles.
Depuis 2000. ( )
Fondée sur le droit de chacun de participer à la gestion des affaires
publiques, la démocratie implique l’existence d’institutions représentatives à
tous les niveaux et notamment d’un Parlement, représentatif de toutes les
composantes de la société et doté des pouvoirs ainsi que des moyens requis
pour exprimer la volonté du peuple en légiférant et en contrôlant l’action du
gouvernement () Selon le prescrit de l’article 5 de la constitution qui dispose
la souveraineté nationale appartient aux peuples. Donc tout pouvoir émane
de la volonté du peuple qui exerce par voie de référendum ou élection. La loi
fixe les conditions requises pour les élections.

Le peuple congolais a dorénavant récupéré son statut d’acteur de l’histoire


et non objet de celle-ci c’est-à-dire aucun changement n’est peut-être réalisé
sans lui et en dehors de lui. Cela le pousse continuellement à un
engagement plus plénier dans le but d’aboutir à un changement de leur
condition de vie. L’histoire sociale confirme que les exigences de justice ne
sont pas des obligation intemporelle , fixée une fois pour toutes : ce qui était
considéré auparavant comme une œuvre de charité est maintenant un
devoir de justice , qui s’impose comme cahier de charge du gouvernant afin
de travailler pour satisfaire l’intérêt général , au cas contraire le peuple se
prononcera sur son destin en infligeant à ses gestionnaires la sanction la
plus redoutable l’ors des échéances électorales prochaines, en sa qualité du
souverain primaire.

Le rôle du souverain primaire est un puissant moyen pour forger la cohésion


nationale, son intervention aux urnes ou dans d’autres mécanismes
constitutionnels agit comme une sonnette d’alarme à la conscience
nationale pour passer de l’intérêt privé à l’intérêt général , du coup l’élection
devient un moyen du donner et du recevoir car il n’est fait l’ombre d’aucun
doute que l’élection est de nos jours, un choix démocratique étant définie
selon Lipse, comme un système politique qui à l’intérieur d’un complexe
social, permet le renouvellement légal du personnel dirigeant et comme
mécanisme social qui permet à une grande partie de la population
d’exprimer une influence sur les décisions importantes en choisissant les
responsables. En dépit de ce que cela ne reflète pas la réalité des choses. La
tendance générale est souvent de réduire la démocratie à cette sorte de
mécanique élection.
Et donc, le vote donne aux citoyen une indépendance à la fois vis-à-vis de la
classe dirigeante et à l’ensemble des acteurs politique qui à son tour
changent sa façon de voir le chose et cherchent automatiquement à faire de
la population son principale allié. En dépit du fait que dans la pratique cette
considération accordée à la population (citoyen) revêt un caractère
temporaire : trop souvent avant la prise du pouvoir, car pendant l’exercice
du pouvoir, certains dérapages surviennent foulant au pied tous les
principes directeurs de la bonne marche d’un Etat démocratique.
Mais au-delà de ce méthode peu démocratique le peuple gagne toujours car
l’action populaire est parfois d’une spontanéité historique aux vestiges
intemporel
…Jalouse d’une unité nationale encore fragile et s’efforcent de la protéger…
Et donc l’état de droit demeure le moyen le plus commode pour l’atteinte de
ce vouloir commun du coup cela accorde à la population un double avantage
notamment : L’indépendance civique et politique mais aussi un droit civique
et politique.
L’indépendance politique est une valeur puisqu’elle permet à la population
de prendre toutes ses responsabilités. ( ) Il va sans dire, ces responsabilités
remplit plusieurs fonctions entre autre :
a) La fonction de désignation des gouvernants ;
b) La fonction d’assurer l’alternance et ;
c) La fonction de sanction de sanctionner les gouvernants ()…
Ce qui contredit le principe selon lequel : nul particulier n’a une volonté
supérieure à celle d’un autre, de tel sorte qu’il puisse s’impose à lui contre
son gré. Car la volonté de la population, (souverain primaire) a valeur
supérieure à celle de gouvernant, cela revient à dire que ces fonctions sont
exercées quasiment par le souverain primaire de manière direct, périodique
et discontinue à dire vrai, à chaque convocation du corps électoral. De cette
façon, le souverain primaire s’adonne inlassablement en quête des décisions
impersonnelles abstraites et d’orientations générales qui implique une idée
de la promotion de la démocratie comme valeur indispensable à longue
échéance et susceptible d’engager le destin du pays.
En effet dans un Etat moderne le droit de vote constitue l’un des moyens
d’action ou d’exercice de ses droits garantis et reconnus. Son Domain est à
la fois vaste en ce qu’il intervient toujours par le moyen de vote à la
détermination du régime politique de l’Etat ou de la forme du gouvernent par
le biais du référendum constitutionnel, « Dans une démocratie véritable, le
peuple est souverain et la décision appartient à celui/celle qui vote. »
Dans la même optique, le souverain primaire intervient pour déterminer le
mode d’accession au pouvoir entre autres :
 Le suffrage universel direct ou scrutin direct et
 Le suffrage universel indirect ou scrutin indirect.
Il résulte de ce qui précède, que le droit de vote permet aux citoyen de doter
au pays une constitution contenant un corps de règles qui s’imposent aussi
bien aux administrant eux-mêmes qu’aux administrant. Toutefois, il faut
aussi soulever avec insistance qu’il appert que les effets résultant du droit de
vote donnent un attribut ou un statut privilégier aux citoyens, mais en
aucun cas l’administrant ne peut devenir l’acteur et l’assassin de l’Etat de
droit tel est le cas de ce qui sévit dans les champs politique des oligarques.
L’Etat de droit impose donc un devoir d’ingratitude des uns envers des
autres c.-à-d. pas de passe-droit, ce qui demeure le contraire dans la société
congolaise car évoluant dans un contexte pollué. Il va sans dire que le droit
fondamental peut dans une certaine mesure revêtir des formes multiples et
variées, c.-à-d. il peut connaitre de dérives ou reculs démocratique d’où
l’institution d’une avalanche de mesures pour stopper nettement la
résurgence du vieux démon, un monstre dévastateur qui s’accroit lorsque
l’on confond l’intérêt général à l’intérêt privé. Ces mesures sont semblables
aux mesure de police administrative à titre d’exemple :
 Les contrôles citoyens ;
 Rôles et apport des organisations non gouvernementales
 Garanties politiques et
 Action non gouvernemental.
Il s’agit comme on peut le constater, d’un droit créer, reconnue et entretenue
par l’Etat et le pouvoir public afin de conférer aux citoyens un rôle de
catalyseur, l’aptitude d’être à la fois sentinelle et titulaire de droits et des
obligations, cela nous permet de croire que la promotion de la démocratie
joue et jouera un rôle d’un levier indispensable du maintien d’un équilibre
entre le prolétaires et la classe dirigeante. Des élections démocratiques sont
décisives pour garantir que la volonté du peuple soit respectée lorsqu’il s’agit
de former la législature et le gouvernement à tous les niveaux.
Le processus de transformation du résultat d’un scrutin en mandats
politiques doit se dérouler de manière équitable, impartiale et fiable. Les
citoyens doivent être sûrs que leur volonté collective a été respectée et, de
leur côté, ils accepteront le verdict sorti des urnes .
Cet exercice de droit a créé une catégorie des institution ou structures pour
limiter les excès du pouvoir dans le temps et dans l’espace.
La particularité de ces structures est que ces animateurs ne sont pas liés
aux au gouvernent par un lien de subordination, et ils ne sont pas concernés
par l’article 91 de la constitution. Nous avons notamment :
1. La commission Electorale nationale indépendant (CENI) ;
2. Le conseil supérieur de l’audiovisuel et e la communication et ;
3. Le conseil supérieur de la magistrature
Nonobstant ces garde-fou on peut douter qu’ils soient à la hauteur de cette
mission car la détermination de leur nature pose un sérieux problème en
effet, il existe une zone de flou au départ de leur conception, de même et la
nature de leur compétence est également variée car certains d’entre-deux
détiennent le pouvoir de décisions tels que celles cités en amont et d’autres
ne détiennent que la compétence d’avis à l’instar du conseil supérieur de la
défense ; du conseil économique et social ainsi que du conseil supérieur de
la magistrature particulièrement en matière de grâce présidentielle.

Par ailleurs, bon gré, malgré que la démocratie ou son exercice place les
citoyens au-dessus de la classe dirigeante, il reste que dans la pratique sa
portée est très limitée notamment dans la production des lois, les arrêtés et
jugements des cours et tribunaux, ainsi que certaines nominations qui n’est
reflètent pas nécessairement l’assentiment du peuple, souverain primaire.
Il s’enfèret que la mise en pratique du suffrage universel indirect ou scrutin
indirect (élection des gouverneurs et vices gouverneurs de provinces) créer
un certain cynisme dans le chef de la population du reste souverain
primaire. Toutefois, il appert qu’il n’y a pas de système électoral unique qui
pourrait servir de modèle pour chaque pays. Chaque système présente des
avantages et des inconvénients, et le choix dépend d’un certain nombre de
facteurs, tels que le contexte historique et le système politique et de partis
prenantes.
Malgré ce que les textes légaux et réglementaire disposent, il sied de rappeler
que les systèmes électoraux en République Démocratique du Congo a
toujours des problèmes pour des raisons multiples. Ce n’est plus la volonté
du peuple qui prime au moment de publication ou proclamation des
résultats des élections.
Et cela c’était manifester aux élections de 2006, 2011 et j’en passe.
Voilà pourquoi il nous a poussé d’élaborer un travail scientifique qui porte
sur l’exercice du droit de vote en droit positif congolais comme défis et
perspectives.
0.2 ETAT DE LA QUESTION
La réalisation de tout travail scientifique exige le plus souvent
l’établissement de l’état de la question, l’objectif poursuivis étant celui de
déterminer l’authenticité du document ou l’originalité de la recherche
nouvelle. Ce pourquoi ; dans le cadre de notre recherche, les travaux
antérieurs ont attiré notre attention, il s’agit de :
KANDOLO ON’UTUKU WAKANDOLO dans son mémoire du 3ème cycle
intitulé « l’exercice de droit de liberté publique individuelle et collectif comme
garantie d’une bonne gouvernance en Afrique noire cas de la RDC.
L’auteur a voulu démontrer comment l’exercice de droit individuelle et
collectif garantie d’une bonne gouvernance en Afrique noire en général et
particulièrement en République Démocratique du Congo.
Il s’est intéressé toute au long de son étude de la notion de la bonne
gouvernance dans le cadre de droit de l’homme en précisant que les droits de
l’homme sont partis de la bonne gouvernance d’un pays.
Il conclut que les constitutionnalités ne sont que les mesures de
renforcement de cela.
Nous nous rencontrons à notre prédécesseur du point de vue objet d’étude,
de l’exercice de droit de l’homme.
Nous nous démarquons encore très spécifiquement à notre prédécesseur
parce qu’il s’est spécifié à la notion d’exercice de droit de liberté individuelle
et collectif comme garantie d’une bonne gouvernance en Afrique noire cas de
la République Démocratique du Congo, alors que nous nous parlons de
l’exercice du droit de vote en droit positif congolais.
Pour FWELEY DIANGITUKWA dans son ouvrage intitulé les élections en
Afrique analyse des comportements et piste normatives des gestions de
conflits.
L’auteur à démontrer et analyser les comportements et les pistes normatives
des gestions de conflits en rapport avec les élections en Afrique. Selon
l’auteur les élections s’inscrivent dans la poursuite de la volonté générale
prônée autre fois par Jean-Jacques Rousseau. Mais les comportements des
élus ne coïncident pas aux élections.
Il conclut l’élection exprime le choix des électeurs mais leurs choix ne sont
pas respectés.
Nous avions tous, de manière commune parlés sur les notions des élections
et de droit des citoyens mais nous nous démarquons du point de vue objet
d’étude.
Le prédécesseur a parlé sur les élections en Afrique comme analyse des
comportements et piste normatives des gestions de conflits alors que nous,
nous analysons l’exercice du droit de vote en droit positif congolais comme
défis et perspectives.
0.3. Problématique et Hypothèses

3.1. Problématique
Selon BODARD et TAUPIN, la problématique est définie comme l’art
d’élaborer et posé clairement les problèmes mais aussi de résoudre en
suivant leur transformation dans la réflexion scientifique ou philosophique.
Nul n’ignore depuis 2006 la République Démocratique du Congo a disposé à
sa population une loi de loi autrement appelé la constitution.
A son article 5 qui dispose la souveraineté appartient aux peuples. Ce ne
plus les vœux du peuple qui est mise en application mais ce la volonté de la
personne qui a le pouvoir en main (le Président), les peuples peuvent voter
les candidats de leurs choix mais le jours de la publication de résultat des
élections c’est une autre personne qui passe.
Pendant la dictature les citoyens congolais avaient constaté que ses droits de
vote était hybride d’où, dans le temps il y avait qu’un seul partis politique
partis état. Synonyme de l’omniprésence de la pensée unique Voilà l’une des
raisons qui justifie qu’en République Démocratique du Congo l’exercice de
droit de vote ne pouvait pas s’effectué normalement.
A en juger de cette situation qui handicape l’exercice du droit de vote en
droit positif congolais comme défis et perspectives. Quelques questions
méritent d’être posée dans le cadre de ce travail.
- L’exercice du droit de vote en République Démocratique du Congo est-
il réellement un moyen pour la population d’exercer une influence sur les
décisions importantes en choisissant les responsables ?
- Une élection dont les résultats de vote n’est reflètent pas l’expression
populaire des urnes à quelle conséquence politique ?

3.2. Hypothèse
Quant à MADELEINE GRAWITZ défini l’hypothèse comme « une supposition
du départ d’un point de vue lequel constitue et qu’on appelle le concept
opérationnel ou hypothèse ».
L’exercice de droit de vote en République Démocratique du Congo ne pas
respecter.
Quant à la deuxième question, nous disons il faudrait que les résultats des
élections soit réellement l’expression du souverain primaire.

0.4. Choix et Intérêt du Sujet


L’intérêt de ce travail est traduit par le souci d’avoir une cohérence et une
logique normatives de règle de droit édictée par la constitution , et donc il met
en exergue les droits, leurs titulaires ainsi que les différentes techniques à
observer envie de les exercer, dans la mesure où un titulaire d’un droit ne
peut s’en en prévaloir que lorsqu’il le revendique. L’enjeux est fondée sur le
droit de chacun de participer à la gestion des affaires publiques, pour
promouvoir la démocratie et ses corolaires, qui implique du reste
l’existence…des pouvoirs ainsi que des moyens requis pour exprimer la
volonté du peuple en légiférant et en contrôlant l’action du gouvernement.
Cette Participation à la vie publique et politique est un levier d’un Etat de
droit. Dans ce sens, il est noir sur blanc démontré que le présent travail
présente un intérêt tant théorique que pratique.
Ainsi, nous serons fixés et à mesure de faire un commentaire sur notre
système politique.

a) Méthode et Technique du Travail


Comme l’expose DJANDIMA, la méthode au sens le plus large du terme est
constitué de l’ensemble des opérations intellectuelle par lesquelles une
discipline cherche à atteindre la vérité qu’elle poursuit, le démontrer et la
vérification.
Ainsi, dans le cadre de ce travail, nous avons fait recours à deux
méthodes :
- La méthode exégétique : Qui nous a permis de faire recours aux textes,
lois et publication en lisant pour mieux circonscrire notre travail et le donner
un vrai sens juridique et prouver à nos lecteurs que ceci n’est pas un travail
ramasse mais plutôt le fruit de recherche.
- La Méthode sociologique : Celle-ci nous a permis à mener une étude
sur terrain, en d’autres termes, examiner la pratique et l’applicabilités de ce
droit par les congolais sous l’empire de la constitution du 18 Février 2006
tels que modifié par la loi n°11/002 du 20 Janvier 2011 portant révision des
certains articles de la constitution de la République Démocratique du Congo.
b) Technique Utilisée
Les techniques sont définies comme l’ensemble de procédé exploiter par les
chercheurs dans la phase de collecte de données, qui intéresse son étude.
Ainsi en révoquant la technique de collecte de données, il sera
nécessaire de faire recours tout au long de ce travail à la technique
documentaire.
- La Technique documentaire
Comme dit GRAWITZ, pour arriver à rédiger notre travail, nous nous
sommes servis des documents nécessaires et surtout juridique qui nous ont
permis de mettre nos idées à la disposition de nos lecteurs.
- La technique d’Interview
A travers le jeu de question et des réponses, nous avons interrogé certains
animateurs qui s’occupent de la mauvaise tant politique que celle de la
société civile sur la question sus évoqué et chez eux nous avons quelques
pistes de solution qui nous ont aider à faire notre travail. Néanmoins, nous
n’avons pris en compte que des réponses cadrées et réfléchis qui cadre avec
la matière que nous abordons.

0.5. Délimitation du Sujet

Le présent travail consiste à étudier l’exercice du droit de vote en droit positif


congolais.
Le champ d’action sera délimité dans le temps et dans l’espace. Dans le
temps nous allons étudier la loi à la matière ainsi que ses conséquences ou
effets immédiat depuis son entrée en vigueur jusqu’à nos jours. Et dans
l’espace nous allons nous limiter dans toutes l’étendue du territoire
nationale.

0.6 Objectif global


 L’objectif global est de mettre fin aux cycles électoraux caractérisée par
des tensions et contestions au lendemain de la publication des
résultats ; envie de créer la confiance dans le chef de la population du
reste électeurs sur le respect de son choix démocratique pour assurer
l’émergence du pays au cours d’un quinquennat et /ou d’un décennat
dans l’optique de :
 Renforcer l’état de droit pour justifier l’expression du souverain
primaire contenue dans la constitution du 18 février 2006 en matière
de droits et liberté fondamentale et de justice électorale ;

 Mettre en place des institutions et des normes de compétition


pluraliste et de division des pouvoirs qui renforcent la démocratie en
tant que garantie de sécurité réciproque entre les adversaires
politiques ;

 Éliminer les obstacles juridiques, administratifs, politiques,


économiques et sociaux à une participation politique générale et égale;

0.7 Objectif spécifique


L’objectif spécifique est que les principaux défis liés à l’organisation
d’élections menées dans un état continent aux diversités culturelles
multiples soient inévitablement relevés, pour mener des élections avec
intégrité ; d’où les périodes prêts électorales, électorales et post-
électorales doivent être des moments de sauvegarde et déconsolidation de
la démocratie congolaise, de l’independance et de l’unité nationales ainsi que
du respect de nos diversités et de nos particularités positives dans un climat
de compétitivité car trop souvent ces moments s’avèrent être dans une
certaine mesure des moment des divisions entre peuple, de l’intolérance
politique. Dans le sens de :
 Extirper les obstacles liés à la participation du jeux électoral
(l’exclusion de certaines personnes à cause de ses opinions ou
appartenance politique cas de certains leaders de l’opposition aux
élections de 2018.) ;

 Stopper la confiscation et utilisations des moyens de l’état à des fins


politiques personnelles ;

 Réglementer le financement incontrôlé, occulte et opaque des groupes


politiques ;
CHAPITRE PREMIER : HISTORIQUE SUR LE DROIT DE VOTE

Section 1 : AUX MONDE


Bref aperçu

la démocratie congolaise étant l’une des jeunes démocraties en Afrique et


dans le monde, il nous est donc impossible de parler exercice du droit de vote
en rdc sans faire allusion aux expériences des pays de vielles démocraties
pour mener à bien le présent travail car la loi fondamentale de notre pays a
adoptée certaines éléments de la constitution belge et française ce qui nous
conduit à faire une comparative tout au long du présent chapitre, chose qui
prouve un intérêt pratique dans le cadre de l’étude sous examen.
§1. En Angleterre
Depuis la glorieuse révolution de 1689 qui a mis un terme à la
monarchies absolue, héréditaire, de droit divin la grande Bretagne s’est
dotée d’un régime parlementaire ou l’essentiel du pouvoir appartient au
parlement, c’est-à-dire aux représentant de la nation. Expliquer, exalté par
JOHN LOCKE dans ces deux traités sur le gouvernement civile (1690), le
système fait la fierté du pays.
Le système électoral est un de maillons faibles, dont le carence et les
incohérences sont dénoncées dans le début du siècle. Le parlement est bien
l’instance suprême de décision depuis la déclaration de droit de 1689.
Mais à côté de la chambre de lords, où siège le père du royaume, la chambre
de commune, ou plutôt les recrutements de ces membres, prêtre largement
le flan à la critique : distribution arbitraire de siège, droit de vote réservé à
une oligarchie qui représenté une faible fraction de la population, pas de
scrutin secret pour préserver l’indépendance des électeurs : il ne manque
pas de sujet pour inspirer la plume des pamphlétaires et le pinceau des
satiristes de l’époque.
C’est dans ce contexte que WILLIAM HOGARTH, toujours à l’affût
d’une bonne cause à défendre en fustigeant les travers de ses
contemporains, peint la dernière de ce grande série, humeurs électorales en
1754.
Après avoir examiné ces dernier pour comprendre, il sera nécessaire
de considérer de près les évènements d’avril 1754 qui ont mis en ébullitions
le monde politique bien au-delà de circonscription concerne par le scrutin,
avant de voir la partie qu’on a tiré le peintre, la graffe de l’artiste dans sa
représentation du monde contemporain

a) Le Droit de vote
C’est un autre scandale, il est réservé à ce que l’on appelle « The people »,
mais l’acception du terme est très restrictive à l’époque et en 1694, dans sa
volumineuse bibliotheca politica, JAMS TYRRE prévient ses lecteurs de
l’avant-propos : j’ai souhaité bien compris : quand je fais usage du mot «
peuple », je n’étends point par là le vulgaire ni la multitude mélangée, mais
dans l’état de nature, l’ensemble des hommes et des femmes libre, surtout le
père et le chef de famille.
JOHN TOLAND, éminent représentant de l’église établie, veut aussi
éviter toutes ambiguïté « par les hommes libre, j’entends les mantis, ce qui
sont capable de survenir à leurs propres besoins.
Pas de droit politique pour les autres, ceux qui ne jouissent pas de la même
autonomie financière.
DANIEL DEFOE, qui pourtant n’épargne pas se critiques au système
en vigueur, le soutien en tout cas sur ces points : « je n’accorderez se droit
de vote à l’ensemble de la population, mais aux francs tenanciers les vrais
possédant du pays.
Ce point de vue étant largement partagé par les couches supérieures
de la société, c’est un régime censitaire qu’instaure, en 1711, la loi sur la
propriété comme condition du droit de vote (Property qualification act). Pour
être éligible dans un conté, il faut pouvoir justifier d’une revenue au moins
égale à 6 000 livres ; il en faut 300 pour être candidat dans un bourg ; et
pour être électeur, il faut posséder un bien d’un rapport évalué à 40 Shilings
par an au minimum. Résulta de ce mal thusianisme, une corp électorale
réduit : 85.OOO électeurs dans le bourg, 160.000 dans le comté, au totale
245.000, soit 5,5% de la population.
L’Historien J.H.Plumb peut bien conclure : « l’époque ne croyait pas à
la démocratie.
Et en 1918, la femme britannique obtient le droit de vote à partir de 30 ans
(les hommes pouvaient, eux, voter dès l’âge de 21 ans). L’égalité fût établie
18 ans plus tard, lorsque les femmes furent autorisées à voter de 21 ans en
1928. Ce terme possédait une connotation négative puisqu’il était utilisé par
la presse pour discréditer les femmes dans leurs engagements.
Par extension, le terme est parfois utilisé pour désigner l’ensemble de
militantes pour le droit de vote des femmes dans le monde anglo-saxon. Ce
pendant la question se pose aujourd’hui, de réhabilité le terme des «
suffragiste » à la place de « suffragette » pour éviter tout jugement de valeur
et adopter une appréciation historique neutre.

b) Contexte Historique
Avant la première guerre mondiale, les femmes n’avaient pas le droit de vote
(des exceptions existent cependant : la nouvelle Zélande depuis 1893,
l’Australie depuis 1901, la Finlande depuis 1906, la Norvège depuis 1913 et
quelques états américains).
Au cours du siècle, quelques certes avancées concernant les droits de
femmes avaient été gagnés ou les droit des femmes mariées de disposer de
leurs biens propres, le droit de vote dans certaines élections mineurs, le
droit de faire partie du conseil d’administration d’une école.
En 1832, en Grande Bretagne on avait lancé la première pétition
féministe présenté au parlement en 1851 demandant le droit de vote des
femmes.
En 1873, au Etats-Unis, LILLIE DEVEREUX Blake intervient devant la
commission constitutionnelle de New York en faveur du vote des femmes
avec MATILDA JOSLYN Gage, elle signe la déclaration de droit des femmes
du centenaire du 1876.
En 1876, en France, HUBERTINE AUCLERT fonde la société de droit
des femmes, qui soutient les droits des femmes. Elle devient en 1883 le
suffrage des femmes.
Au royaume uni, en 1897, MILLICENT FAWCETT fonde la national
union Of womens suffrage sociètie dans le but d’obtenir le droit de vote pour
les femmes. Espérant il n’y parvenir pas des moyens pacifiques, Fawcett
donne des arguments pour convaincre les hommes politiques, seul à avoir le
pouvoir de l’octroyés, elle met par exemple en évidence que les femmes
devaient obéir aux lois et donc devraient avoir le droit de participer à leur
élaboration.
En 1905, CHRISTA BEL et ANNIE KENNEY sont arrêté pour avoir créé
des slogans du vote féminin lors d’une réunion politique du parti libérale.
Elles choisissent l’incarcération plutôt que de payer l’amende. Ce le début
d’une suite d’arrestation suscitant une sympathie grandissante du public
pour les suffragettes. Celle-ci se mettent à incendier des institutions symbole
de la suprématie masculine qu’elles contestent, comme une église ou un
terrain de golf réservé aux hommes.
En 1908, au parlement britannique, MURIEL MATTERS et HELEN
FOX s’enchainent à la grille de la galerie des dames, afin d’obscurcir la salle
de travaux parlementaire pour le détachées, il faudra démonter cette grille.
WINSTON CHURCHIL, alors ministre de l’intérieur (1911), se proclame
favorable au droit de vote des femmes, tout en refusant de céder aux actions
illégales, il ne s’oppose donc pas à la multiplication des arrestations. Les
suffragettes ont ce qu’elle considère comme leur première martyre, en 1913
quand EMILY DAVISON est tuée en tentant d’accrocher une écharpe, en
signe de protestation, autour du cou du cheval du roi George V, qui
participait à un derby.
La première guerre mondiale a pour conséquence une importante pénurie de
main d’œuvre masculine lié à la mobilisation et amenés les femmes à
occuper les emplois traditionnellement masculins.
Cela provoque une remise en question des capacités des femmes au
travail. La guerre cause une rupture au sein du mouvement de suffragette.
D’une part le courant dominant représenté par le Women politiques union
d’Emmiline et Christa bel pankhurt appelle à un cessez-le-feu dans leurs
campagnes tant que dure les conflits.
c) Diversité du Mouvement au royaume Unis
Les mouvements pour le droit de vote n’était pas monolithique et était
parcouru par diverses tendances. La plus évidente distingue de la womens
social and political union qui prône la violence comme moyen d’action afin
d’attirer l’attention de médias et le soutient du public en mettant en avant
les sacrifices de ses militantes, et la plupart des autres organisations, le
suffragiste, qui sont légaliste.

§2. AUX ETAT-UNIS


Le droit de vote aux état unis a évolué et s’est modifié par l’ajout
d’amendement à la constitution américaine. A sa naissance, les états unis
sont constitués des treize (13) états, seul les hommes blanc propriétaire ont
le droit de voté.
Il y eu un combat libéral pour atteindre le droit de vote aux autres ethnies.
La constitution américaine a été régie en 1787, cette constitution fonde
un pays fédéral naissant qui fédèrent treize états (les états fondateurs).
Chaque état fédérer procéder alors à une grande marge de manœuvre pour
définir le droit de vote.
De manière générale, en 1787, seuls les hommes blancs qui sont
propriétaires avaient alors le droit de voté. Par ailleurs les lois de certaines
état fondateur (comme la Géorgie ou delawere, impose que les électeurs
soient protestants. Le droit de vote reste alors fortement limité, pour des
raisons raciales ou religieux.
En 1792, le NEW HAMPSHIERE fut le premier état fédéré à atteindre
les droits de vote au non propriétaire et en 1856 dans tous les états fédéré le
droit de vote fut donné à tous les hommes blancs qui ont 21 ans ou plus. En
général le droit de vote concerné aussi les étrangers blancs.
Chaque votant devait justifie sa présence sur le sol américain depuis
une période, qui varie de 6 mois à quelques années selon les états.
Toutes fois en générale les femmes, les afro-américains et les minorités
ethnique été exclue du droit de vote.
Au XIXème siècle, des hommes politique américain menèrent une
réflexion sur la discrimination raciale.
En 1822, les états de New York étendue le droit de vote aux différentes
ethnies sous des conditions restrictives.
En 1870, au XVème amendement demandant d’étendre le droit de
vote, à tout homme sans discrimination pour des raison de race, couleur ou
des condition antérieur de servitude.
En 1882, les Asiatiques furent des nouveau exclus de vote et du droit
à la nationalité. Cette interdiction chinese exclusion act fut aboli qu’en 1943.
En 1888, la floride exclu les afro-américains du droit de vote.
En 1867, le président LINDON JOHSON signant le voting rights act
l’interdictions de toutes restriction raciale de droit de vote.
En 1920, un amendement accordant le droit de vote aux femmes
certaines états comme la Californie ou le Colorado avait déjà pris cette
initiative.
En 1975, la loi sur le droit de vote a été élargie pour inclure des
protections pour les personnes dont la langue maternelle n’est pas l’anglais,
le français, espagnol, chinois, japonais etc… Cela a aidé à garantir les
citoyens dont la langue maternelle n’était pas l’anglais aurait un accès égal
au vote.
En 1982, le congrès à adopté une autre extinction de la loi sur le droit
de vote qui à prolonger la loi de 25 ans supplémentaire et à inclure des
exigences pour que les états prennent des mesures pour rendre le vote plus
accessible aux personnes âgées et aux personnes handicapées.
§3. EN FRANCE
Sous l’ancien régime il y avait une forme de suffrage censitaire même
élargie dans certains cas aux femmes de conseil communaux, des
assemblées provinciales.
En 1789, il s’est tenu les élections des membres des états généraux
convoqué par Louis XVI, les français bien que naturalisé âgé au moins de 25
ans domicilié et inscrit au rôle des impositions sont admises à voté par
suffrage généralement directe au niveau du baillage ou de la sénéchaussée
pour la noblesse et le clergé indirecte à deux degrés pour le tiers état, le
premier étant la paroisse dans les campagnes et le district dans les villes.
Cette élection est la dernière jusqu’à 1945 ou des femmes ont fait partie du
corps électorale. Le blanc de colonie ont fait partie du corps électorale aux
état généraux mais non le noir libre, (esclave affranchies).
En 1791, bien que le suffrage censitaire la France est gouverné par
une monarchie constitutionnelle mise en place par la constitution du
3/09/1791. Dans ce régime la souveraineté appartient à la nation mais le
droit de vote est restreint.
Le suffrage est dit censitaire ; seuls les hommes de plus de 25 ans qui
paie l’impôt direct égale à la valeur de 3 journée du travail ont le droit de
voté.
Ils sont appelés « citoyen actif ». Les autres « les citoyens passif », ne peuvent
pas participer aux élections pas plus que les personnes mise en accusation
et les personnes ruinée. Les femmes et domestique sont également exclu, le
suffrage est aussi indirect car les citoyens actifs élisent des électeurs du
second degré, disposant des revenus plus élevés, qui à leurs tours élisent les
députés à l’assemblée nationale.
En 1799, on a restauré le suffrage masculin dans la constitution de
l’an 8 qui instauré le consulat, c’est un système démocratique factice, car les
citoyens âgés de 21 ans au moins, n’élisent pas des représentants mais se
bornent à approuvé de listes de notabilité.
En 1820, la loi électorale du 20 Juin dit du double vote permet aux
électeurs de votés deux fois le plus riche. Cette loi cherche à avantageux
l’aristocratie. Dans les années 1920 la loi sur le droit de vote des femmes est
voté à six reprises par les députés mais bloqué à six reprises par les
sénateurs et au 1941 une constitution est rédigé pour le gouvernement de
Vichy accordant notamment le droit de vote aux femmes lors des élections
législatifs, mais jamais promulgué.
En 2005, la loi pour l’égalité de droit et de chance, la participation et la
citoyenneté, permet à un juge d’accordé le droit de vote aux personnes
placés sous tutelle.
Mais en 2007 avec la loi portant réforme de la protection juridique des
majeurs le droit de vote des personnes sous tutelles devient la norme.
Section 2 : En AFRIQUE
Dans cette section il sera question de donner l’historique du droit de
vote en Afrique de manière générale mais plus spécifique en République
Démocratique du Congo.
§1. En République Démocratique du Congo
Il sied de noter qu’en République Démocratique du Congo le droit de
vote est reconnu pour la première fois aux congolais, aux hommes de mère
congolaise et ressortissant du Rwanda, Burundi résident au Congo depuis
10 ans au moins, l’âge minimum d’électeur étant fixé à 21 ans accompli. Tels
que prévu par la loi du 23 mars 1960.
La proclamation de l’indépendance du Congo, le colon belge organise
la première élection de l’histoire du Congo : les élection législatif, sénatoriale
et provinciale qui se déroulent du 11 au 22 Mai 1960. Pour cette première
élection, les colons belges optent pour le suffrage universel masculin, pour
toutes les personnes âgées de plus de 21 ans. Il s’agit de doter les six
provinces de l’époque (province de Léopold ville, Katanga, Kivu, Kasaï
Orientale, l’Équateur etc…
La chambre des représentants c’est l’équivalent de l’Assemblée
nationale avec 137 sièges répartis dans 26 circonscription plurinominale
avec possibilité au sein de chaque liste d’effectué un vote préférentiel ; des
sénateurs chaque assemblée provinciale élisaient 14 Sénateurs, dont 3 à 5
parmi le chef coutumier et notable selon les systèmes proportionnels avec
vote préférentiel.
L’exercice par les citoyens de leurs droits sous la deuxième république avait
posé des sérieux problèmes, notamment la difficulté de concilier la
reconnaissance de ces droits par la constitution et leur effectivité dans un
système politique et administratif totalitaire ; un véritable paradoxe entre le
droit et la réalité. (1) B. Omeonga T. cours de droits de libertés
fondamentales, Unikin 2016, P.51
Concrètement, on relève que la constitution du 24 juin 1967 de même que
ses différentes et multiples révisions, organises en faveur des citoyens la
plupart des droits et liberté que les Etats démocratique reconnaissent à leur
citoyen : les droits à la vie, à la propriété dont l’expropriation doit se faire
pour cause d’utilité publique moyennant indemnité compensatoire préalable,
la liberté de mouvement, le droit à l’éligibilité, la liberté de manifestation et
de réunion publiques… (2) idem
Cependant, toutes ces libetés publiques s’exercent dans le cadre
particulierement vérrouillé dominé par le MPR., parti unique, d’abord et,
ensuite, parti-Etat. Du coup, la question de l’éffectivité de ces droits, dont la
plupart sont demeurés des simples crédos, pseudo-droits ou ingéniosités
constitutionelles, se pose. En effet, s’il est de principe qu’entre le droit et la
réalité la règle a toujours été celle d’un mariage-exception, la question se
pose en des termes non identiques : ici, il s’agit d’un antagonisme
difficilement conciliable dû à un régime dictatorial qui, comme le fait
remarquer Evariste Boshab, a fait et fera, pendant longtemps encore, la
honte de l’Afrique subsaharienne(3) E.BOSHAB MABUDJ ma B., «
chronique de la destruction d’un Etat (24 avril 1990-24 avril 1995 » cité par
B. Omeonga T. cours de droits de libertés fondamentales, Unikin 2016, op,
cit
CHAPITRE DEUXIEME : EXERCICE DU DROIT DE VOTE EN
REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO

Bref aperçu
Il sied de noter que dans ce chapitre il est question de démontré comment
s’effectuent l’exercice du droit de vote en droit positif congolais en tant que
défis et perspectives : Dans ce sens, il est impératif de préciser qu’après la
dictature et la transition de 2003, la constitution de 2006 est celle qui à
inaugurer les élection Dont le peuple s’est librement exprimés étant donne que
chaque peuple à le droit et le devoir de se développer selon sa propre
personnalité ( Morale du développement L. VAN BAELEN, Morale du
développement « problèmes des pays en voie de développement p. 93. »
Mais hélas cette volonté librement n’est reflète pas jusqu’ici celle publiée après
la tenue des élections un vrai défi lourd à relever dans un pays dont l’histoire
politique est toujours caractérisée par des surprises et rebondissements. Voilà
pourquoi dans la section première il nous ait demandé de donner la garantie
actuelle du droit de vote c’est-à-dire qu’est-ce qui garantit le droit de vote en
république démocratique du Congo ?
Section 1 : Les Garanties actuelles du droit de vote
§1. La constitution ou loi fondamentale de la RDC
La réponse à cette question la première garantie c’est la constitution du 18
Février 2006 tels que modifié en ce jours reconnait le droit de vote comme
étant une garantie pour les congolais. Donc tous congolais a le droit de voté
âgé de 18 ans révolu la première garantie elle est constitutionnelle. Art.5 qui
dispose « sont électeurs et éligibles dans la condition déterminée par la loi,
tous les congolais de deux sexes, âgées de 18 ans révolus et jouissant de
leurs droit civile et politique.

Tous les citoyens à la possibilité d’élire le candidat de son choix, donc cette
garantie reconnue par la constitution laisse libre cours à toutes électeurs de
voté le candidat de son choix. Ils ont cette garantie, ils ont cette liberté,
l’électeur n’est pas contraint à voter un candidat préalablement imposé mais
ils opèrent son choix sur base d’une litanie des candidats qui se présente
par devers lui il opère son choix. Ce ça la première garantie et il est libre de
voter qui il veux. La condition est que cet électeur ait au moins 18 ans
révolu.
Au regard de la constitution du 18 Février 2006 à son article 72 érige des
conditions pour toutes personnes qui veut se tenir comme candidat aux
élections présidentielle de remplir des conditions évoquées par cet article, il
dispose « nul ne peut être candidat à l’élection du président de la république
s’il ne remplisse pas les conditions ci-après :
- Possède de la nationalité congolaise d’origine
- Être âgée de 30 ans au mois
- Jouir de la plénitude de ses droits civils et politique
- N’est pas se trouver dans un de cas d’exclusions prévu par la loi
électorale.

§2. Les lois électorales


D’une manière générale par rapport à d’autres garanties qui vienne
dans les lois électorales ceux qui sont bénéficiaire de ces garanties ce sont
les partis politiques il y a entre autres le système de seuil c’est-à-dire pour
être ou pour qu’un parti politique soient aligné il faut qu’ils arrivent à
atteindre au moins un seuil électoral ou seuil d’éligibilité.
Ces seuils permettent aux candidats qui se retrouvent dans une même
liste électorale de faire la course ou compétir avec d’autres candidats si les
seuils ne pas atteint vous êtes pas éligible à compétir, vous n’êtes pas
éligible à être voté, a postulé, à concourir aux élections.
Les lois électorales réglementent beaucoup plus les partis politiques et
les candidats. Les lois électorales ne réglementent pas les électeurs et donc
dans les lois électorales nous avons d’une part les partis politiques et d’autre
part les candidats entendus ici par candidat indépendant ce sa la garantie,
dans le seuil électoral si vous remplissez le seuil vous avez la possibilité de
postuler seuil d’éligibilité.
Autres garanties c’est la répartition des sièges, la loi issue sur la
répartition des sièges, on fait une répartition selon les nombres des électeurs
qui se sont faits enrôler dans une circonscription électorale. Par exemple
Kinshasa à quatre circonscriptions : Tchango, Lukunga, Mwamba, Funa au
regard maintenant les nombres des électeurs donc plus il y a beaucoup des
électeurs ou plus les gents se sont fait enrôler, plus il y a possibilité
d’augmenter les nombres de sièges électoraux. Si votre province ou
circonscription à beaucoup d’électeurs vous avez la possibilité d’avoir
beaucoup des députés 4,5,6 si vous vous enrôlés moins vous aurais moins
de députés dans votre province ou circonscription ce sa la garantie
électorale, la garantie que la loi reconnait dans la compétition électorale.
Etant donné l’être humain est au centre de tout, les êtres humains
naissent libre et égaux en dignité et en droit. Toute fois la jouissance de droit
politique est reconnu au seul congolais sauf exception établie par la loi, ce
dernier sont égaux devant la loi et ont droit à une protection égale de loi,
c’est ainsi aucun congolais ne peut en matière d’éducation et d’accès au
fonction publique ni en aucun autre matière, faire l’objet d’une mesure
discriminatoire, qu’elle résulte de la loi ou d’une acte de l’exécutif en raison
de sa religion, de son origine familiale, de sa condition sociale, résidence, des
opinions ou de ses convictions politique etc…
Il sied de noter que ou il a été constaté que malgré la constitution
garantie le droit de vote à tous congolais mais il érige des conditions pour
être un électeur ce d’avoir au moins 18 ans révolu. De même que la
constitution érige encore des conditions pour être appelé à être candidat aux
élections législatives il faut remplir certaines conditions :
- Être congolais d’origine
- Être âgée de 25 ans au moins etc…
Donc les électeurs sont libres lorsqu’il opère leurs choix sur qui il voteront
contrairement au candidat vous ne pouvez pas vous porter candidat en
importe quelle élection sans remplir des conditions sus évoqué à l’article 72,
102 et 106 et ses articles s’applique mutandis à tous candidats.
§3. Méthodologie de répartition des sièges
Etape 1 : Répartition de siège par province
D’une manière générale lorsqu’on fais la répartition des sièges par
province on prend le Quotient électorale fixée égale au nombre total
d’électeur enrôlé en RDC divisée par le nombre total de siège a pourvoi à
l’assemblée nationale.
- Le nombre de siège a pourvoi par province égale au nombre d’électeur
enrôlé 17 provinces divisé par le quotient électorale.
- Si le nombre total de siège ainsi attribué est inférieur à 500, un siège
supplémentaire est attribué à chaque province qui a la décimale la plus
élevée en regard du nombre de siège obtenus, jusqu’à l’obtention de 500
sièges.
Etape 2 : Répartition des sièges par circonscription à l’intérieur de chaque
province
Ici chaque circonscription électorale à droit à un nombre des députés
égale au résultats des opérations suivantes :
- Les nombres des sièges à pourvoir dans chaque circonscription égale
le nombre total d’électeur enrôlé de la circonscription divisé par le même
quotient électorale.
- Un siège est attribué à toutes circonscription électorale qui auraient
un nombre d’électeur inférieur au quotient électorale.
- Si le nombre total de siège ainsi attribué aux circonscriptions de la
province est inférieur au nombre de siège attribué à cette province, un siège
supplémentaire est attribué à chaque circonscription qui à la décimale la
plus élevée en regard du nombre de siège obtenus, jusqu’à l’obtention du
nombre total de siège de la province.
Méthodologie de répartition de siège à élire
Etape 1 : Répartition de siège par province en fonction du nombre d’électeur
enrôlé
selon le tableaux établis dans l’article 145

Conformément à l’article 145 de la loi électorale n°06/006 du 20 Mars


2006 tels que modifier à ce jour dispose que « le nombre de siège a pourvoi
pour chaque assemblée provinciale est de : 1,48 députés provinciaux pour
les provinces de plus de 2.500.000 électeurs enrôlés. Les députés à coopter
sont inclus dans le nombre précisé à cet article. 2,42 députés provinciaux
pour les provinces entre 2.000.001 électeurs enrôlés et 6,18 députés
provinciaux pour les provinces de 500 électeurs enrôlés et moins ».
Etape 2 : Répartition de siège par circonscription à l’intérieur de chaque
province

Ici la répartition ou l’opération effectuée est semblable à la répartition


qu’on a cité ci-haut.
Les nombres des sièges à pourvoir dans chaque circonscription égale au
nombre total d’électeur enrôlé de la circonscription divisé par le quotient
électorale de sa province ; un siège est attribué à toutes circonscriptions
électorales qui auraient un nombre d’électeur inférieur au quotient ;
Si le nombre total de siège ainsi attribué de circonscription de la
province est inférieur au nombre de siège attribué à cette province, un siège
supplémentaire est attribué à chaque circonscription qui a la décimale la
plus élevée en regard du nombre de siège obtenus, jusqu’à l’obtention du
nombre total de siège de la province. Les dispositions des articles 118 et 119
sont applicables mutatis mutandis aux élections des députés provinciaux et
les provinces dont il est question sont celle énumérées à l’article 2 de la
constitution.
A) Différence entre droit reconnus et droits garantis
Comme tout scientifique souple peut déjà constater, les droits garantis sont
ceux accordés à une catégorie des personnes pour une raison de faire assoir
leur autorité sur les deux pieds et donner l’autorité à leur décision tant sur
le plan juridique, politique qu’administratif.
Alors que les droits reconnus sont ceux prônés par des textes légaux
accordés à un peuple pour la raison de la démocratie, d’alternance et du
respect de la personne humaine dans une société démocratique.
Pour des raisons de clarté nous allons appuyer notre argumentaire sur
quelques illustrations ;
 Quant aux droits garantis ; à l’instant des prérogatives accordées au
président de la République qui deux fois le mandant c’est-à-dire une fois
renouvelable, de nommer un premier ministre au sein de la majorité
parlementaire après consultation de celle-ci de convoquer et présider le
conseil des ministres, de promulguer les lois, d’investir les gouverneurs des
provinces ect…
 Quant aux droits reconnus ; nous illustrons certains cas tels que : le
droit à l’enrôlement, au vote, au choix, à l’enseignement au mariage avec la
personne de sexe opposé de son choix, à la liberté d’expression reconnus aux
congolais.
B) Conception Citoyenne
Tout citoyen, étant un fils majeur du pays, considère ses droits
fondamentaux comme une approprié. Et donc voilà comment se présente
cette conception.
Il sied d’abord d’être précis en ce qui concerne cette notion ;
l’approprié ressort en son sein deux concepts « appropriation » qui veut dire
action de se rendre propriétaire et logos (mot grec) qui veut dire
connaissance ou savoir.
En tant que telle, elle s’intéresse à tout fait social en rapport avec
l’appropriation. Cette notion a été utilisée par les citoyens modernes qui se
veulent protecteurs de leurs droits leurs reconnus tant par la constitution
que dans d’autres instructions et textes légaux.
Néanmoins, à ce principe citoyen moderne, une ou plusieurs
exceptions peut surgie telles que : le cas d’expropriation pour cause d’utilisé
publique. Mais, qu’à cela ne tienne le législateur a mis sur pied toutes les
dispositions pour que l’appropriation soit régulière et légale. Toute
appropriation qui ne respecter pas les règles établies est illégale et irrégulière
conformément au droit de propriété.
Si nous pouvons faire un petit recul par rapport aux élections du 30
Décembre dernier y avait plusieurs candidats députés nationaux et
provinciaux ont échoué car leurs partis politique n’ont pas atteint le seuil
électoral pourtant très populaire dans leur communauté.
Selon un constant fait par nos rédactions au lendemain de la
proclamation des résultats du vote, nombreux effets des candidats qui ont
postulé sans savoir que remplir le seuil électoral était une condition légale
pour qu’une liste des candidats puisse participer à la distribution des sièges
dans une circonscription.
Cette ignorance a pour conséquence, d’un côté, plusieurs candidats se
sont retrouvés élus avec des milliers des voix mais ont échoué parce que
leurs partis politiques n’ont pas atteint le seuil électoral alors de l’autre côté,
les candidats qui ont postulé dans les partis politiques remplissant le seuil
ont arrachés les sièges même avec moins de voix.
Selon AUGUSTIN NTAITUNDA , expert en matière électorale au sein de
l’ONG Américain Freedom Housse, les partis politiques devraient au départ
instruire leurs candidats afin sue ces derniers se confrontent à ce jeu
électoral.
« Plusieurs candidats devaient être populaire dans leur circonscription,
mais quand on prend par exemple la province du Sud-Kivu, on a trouvé un
parti qui n’était que populaire dans un territoire ; alors, lorsqu’on totalise les
voix de tous les partis pour calculer le seuil, puisque c’est une condition
pour l’éligibilité, on ne se retrouve nulle part puisque le parti n’a pas obtenu
plusieurs voix, un seuil de 1% du nombre total des suffrages exprimé est
déterminée au niveau national. En clair, pour bénéficier de l’attribution des
sièges, il faudra atteindre ou dépasser ce seuil.
Pour comprendre le seuil de représentation de 1%, il faut considérer ces
partis qui sont appelés à recueillir au moins 1% de suffrage au niveau
national pour être autorisé à siéger ».
Il sied de noter que ou il a été constater seul 66 formations politiques
ont atteint le seuil de recevabilité fixé à 60% pour les élections législatives et
les listes provisoires des candidats aux élections des députés nationaux sont
connus en RDC. En attendant le contentieux 24.295 déclarées conformes
dont 23.653 recevables et 642 irrecevables. Pour les candidatures recevables
selon les chiffres rendus publics par le CENI.
Cette dernière a aussi publié le nombre des formation politiques
éligibles à participes aux élections de Décembre prochain.
Au total, 66 structures politiques ont atteint le seuil de recevabilité et
51 n’ont pas atteint le seuil, a déclaré le président de la CENI, Denis
KADIMA.
En effet, l’art 22 de la loi électorale stipule « sont également
irrecevables, les listes du parti ou du regroupement politique qui n’auront
pas atteint 60% des sièges en compétition. Cette disposition s’applique
locales aux législatives, provinciales, municipales et directs.
Donc comme nous l’avons dit tantôt les électeurs gérés indirectement
la nation au travers leur moyen de vote et lorsqu’il vote c’est pour donner à
la république des animateurs pour pouvoir gérée à leur place. Et en RDC
malgré que les élections ont leur règles mais les règles ne sont pas toujours
respectés et bien que ces règles électorales détermine qui peut voté mais
elles fixent également la procédure de transformation des voix électorales en
sièges parlementaire etc. Toutes ces règles influentes sur les résultats, la
modification de ces règles peut avoir des conséquences négatives fâcheuse
pour une catégorie d’électeur. Or dans la réalité, les règles qui régissent les
lois électorales ne sont pas établies par le peuple ou par les électeurs mais
par le parlement où le parti au pouvoir dispose d’une majorité et cette
majorité agit dans l’intérêt du parti avant d’agir dans l’intérêt du peuple.
Il sied de noter que malgré la constitution garantie le droit de vote
mais le sens donné au vote par les électeurs n’a pas la même signification
sous d’autres cieux où le vote est un moyen de s’exprimer, de demander des
comptes aux dirigeants et sanctionner les gouvernements qui ont mal
travailler.
En Occident bien que le droit de vote est garantis dans leur loi
fondamentale mais le choix des électeurs est respectés.
Cela n’est pas toujours le cas dans un grand nombre de pays africain en
particulier la RDC
Où les choix du peuple ne sont pas toujours respectés le droit positif
dit d’autre chose et ce qui fait dans la réalité actuelle est le contraire. Le
droit de vote fait partie des « droit politiques fondamentaux ».
Il inclut le droit d’élire, c’est-à-dire, selon carré de malberg, « la faculté
pour le citoyen électeur de participer l’émission de son suffrage personnel
aux opérations par lesquelles le corps électoral procède à la nomination des
autorités à élire.
D’une part lorsqu’une personne se porte candidat, le droit de voté ne
peut faire l’objet que de restriction raison raisonnable.
Et les Etats doivent « prendre des mesures concrètes visant à garantir que
toutes les personnes habilitées à voter soient capable d’exercer ce droit ».
Dans ce cas Gitomas en 1997, la cour suprême des droits de l’homme
a repris le point de vue exprimé dans Mathieu Mo Hin and Clefayt V.
Belgium, selon lequel bien que l’art 3 du premier protocole implique des
droits subjectives de vote et de candidature, les dits droit ne sont pas
absolues ; les états peuvent les soumettre à des conditions sachant « qu’il
appartient à la cour de déterminer en dernier ne sont sils condition du
premier protocole ont été respectés.
Elle doit s’assurer que les conditions ne limitent pas les dit droit au
point d’en altérer l’ensemble même et de les rendre inopérant, que les
conditions sont imposées dans un but légitime et que les moyens employés
ne sont pas disproportionnés ».
Section II. Les grands défis de l’exercices du droit de vote
§1. Les Choix :
Il a été constater bon nombre des électeurs n’est savent pas opère un choix
ou n’est savent pas voter un candidat, n’est savent pas voter utile. C’est-à-
dire il n’est vote pas un candidat qui peut résoudre leur problèmes une fois
élus ce ça le plus grand défi de l’exercice du droit de vote. Les électeurs n’est
savent pas voter un candidat qui peuvent satisfaire leurs desiderata une fois
élus. On opère un choix par rapport soit au réalité sociaux et économique,
on opère le choix par rapport au mieux offrant le candidat qui vienne et vous
donne des polos, ils vous donnent des riz, il vous flatte avec l’électricité, il
alimente les courants au quartier ceux celui-là qui est voté et le choix n’est
pas un choix réfléchi et maturément murie, les électeurs opèrent un choix
fantaisie, ce qui fait que les fruits de leurs vote une fois au pouvoir ils n’ont
plus la redevabilité (candidat), il n’est sont plus redevables vis-à-vis de la
population.
§3. Défis liés à la CENI

Ce n’est que par l’impartialité, l’indépendance et un haut degré de


professionnalisme de leurs membres que les commissions électorales, à tous
les niveaux de gouvernance, peuvent parvenir à la transparence et à la
responsabilisation nécessaires et susciter la confiance du public. C’est
pourquoi il importe d’élaborer et de mettre en œuvre des règles cohérentes
régissant les commissions électorales, la méthode de nomination de leurs
membres et l’équilibre de leur composition, ainsi que de les former
convenablement. De sorte que les candidats votés par la population ou le
vrai choix opérer par eux soit réellement celui proclamé par la CENI est
confirmé par la cour Constitutionnelle
En dépit du fait que voté est une chose mais voté utilement en est une autre
ce qui démontre à suffisance que depuis les premières élections à l’heur de
l’actuelle constitution, les choix des électeurs laisse à désirer mais pendant
ce temps l’heures n’est pas à condamner aveuglement lesdits électeurs sur la
qualité de leur choix, car trop souvent les candidats par eux votés sont
vraisemblablement le reflet de l’offre politique disponible dans le champs
politique de l’ère. Et donc le tenir comme le seul responsable de la médiocrité
de la classe dirigeante serait synonyme de méconnaitre les rôles et les
responsabilités de tout un chacun. Rôle qu’il doit réellement jouer étant que
citoyen et comme acteur de l’histoire, devant nécessairement faire face à ses
actes.
L’un des plus grands défis demeure le fait que les élections ne sont pas
toujours transparente, crédible et apaiser ; étant donné que après avoir
proclamé, un candidat non vainqueur, non voté par la population c’est-à-
dire après avoir saboté la volonté du souverain primaire en publiant un
candidat autre que celui qui a été voté par eux automatiquement il y a crise,
cela crée une crise de confiance entre la CENI et la population du coup les
élections perd leurs caractères démocratique libre et apaisé car lorsque un
candidat non voté est proclamé comme vainqueur cela crée de frustrations
dans le chef de la population et automatique le climat politique devient
crispé créant ainsi des foyers des tensions, et de conflits aux conséquences
funeste.
Voilà pourquoi il est impérieux que les résultats des élections soient
réellement l’expression du souverain primaire c’est-à-dire son choix opéré
dans l’urne soit réellement celui proclamé par la centrale électorale est
confirmé par la haute cour.
Dans l’histoire des élections de la République démocratique du Congo
nous avons connu des foyers de tension après la publication des élections de
2006 entre Jean-Pierre Bemba et Joseph Kabila Kabange, la population avait
estimé que son choix n’a pas été respecté ce qui a créé des foyers de tension
de troubles, en 201, la même histoire se répéter c’est-à-dire les candidats
publiés comme vainqueur n’a pas été celui réellement voté par eux et la
même histoire se répéter en 2018. Voilà le plus grand défi à relever c’est
avoir réellement les résultats qui reflète la volonté du souverain primaire.
Car le plus important dans une élection ce n'est pas sa ténu mais c’est la
publication des résultats d’où une élection pour qu’il soit crédible et apaisé il
faut que toute les étapes soit concluante, la vérité des urnes c’est-à-dire
autant l’enrôlement doit être transparent, le scrutin doit l’être également de
même la publication des résultats doit l’être aussi, donc cette étape est tout
de même crucial car celle-ci qui plonge le pays soit dans de crise
interminables, soit dans de conciliabule qui finissent par le partage du
gâteau, voilà pourquoi nous interpelons les uns et les autres de cultivé la
conscience national afin d’éviter l’irréparable.
Section III. Mécanisme de promotion du droit de vote

$1 Les garanties légales


A. Contrôle citoyen

1. Actions du peuple

L’article 64 de la présente constitution donne un certain nombre de pouvoir


à la population afin de résister face à un individu ou un groupe d’individu
qui détient le pouvoir en violation des lois. L’histoire politique récente
confirme que le législateur a voulu promouvoir et assurer la vulgarisation et
permettre au même moment les individus de connaitre leurs droits et savoir
les defenders. Et donc en réalité c’est une sorte de contrôle citoyen qui à
pour but de barrer la route aux velléités dictatoriale
Ce contrôle est exercé par le peuple ou les citoyens en vertu des son droit de
pétition, ou du droit à la désobéissance et du droit de résistance contre
l’oppression, ou droit à l’insurrection. Ce contrôle se réalise par la réaction
de l’opinion publique aux différentes privations ou violations des droits, ou
encore aux différentes violations de la constitution, et permet ainsi aux
citoyens de s’ériger en rempart pour protéger non seulement l’Etat, ses
institutions, sa constitution et leurs droits, car, comme le déclarait Aristote,
il est un droit pour les citoyens de ne pas se soumettre aux lois iniques.
Le droit de pétition est donné d’abord, aux termes des l’article 27 de la
constitution, qui dispose : « tout congolais a le droit d’adresser
individuellement ou collectivement une pétition à l’autorité publique qui y
répond dans trois mois… » (4) B. Omeonga T. cours de droits de libertés
fondamentales, Unikin 2016, op, cit, p170
D’une manière générale, lorsqu’on parle de mécanisme de promotion du
droit de vote on fait allusion au moyen prévus par la constitution pour
promouvoir le droit de vote en RDC et donc les moyens sont nombreuse, y a
d’une part la participation à la vie politique par les citoyens qui constitue le
premier mécanisme parce que les citoyens jouent un rôle primordial en ce
qui concerne le droit de vote, la participation à la vie politique par les
citoyens implique nécessairement que les citoyens puisse prendre part à la
gestion des affaire publique de son pays, de voter et d’être élu voir l’art 21.
Et l’art 25 du pacte international relatif aux droit civil et politiques.
Comme l’a souligné le comité des droits de l’homme, « art 25 appuie le
régime démocratique fondé sur l’approbation du peuple.
Plus précisément, les « élections sont au cours de la démocratie et elles
demeurent le principal moyen d’exercer son droit de participer aux affaires
publiques ».
Les droits en matière de participation ne peuvent faire l’objet que des
restrictions prescrites par la loi, celle-ci ne doivent pas être discriminatoire
et doivent être fondées sur des critères objectifs et raisonnable.
L’exercice du droit de vote ne peut faire l’objet que de restriction
raisonnable, comme la fixation d’un âge minimum.
Les règles et normes internationales relatives à la participation à la vie
politique concernent trois droits fondamentaux c’est-à-dire le droit de
prendre part à la gestion des affaires publiques, le droit de voter et d’être élu
et le droit d’accéder, dans des conditions d’égalité, aux fonctions publiques.
Selon le comité des droits de l’homme, la direction des affaires publiques «
est une notion vaste qui a trait à l’exercice du pouvoir politique. Elle
comprend d’exercice des pouvoir législatif, exécutive et administrative. Elle
couvre les aspects de l’administration générale aux niveaux international,
national, régional et local ».
La déclaration universelle des droits de l’homme établit en autre que la
volonté du peuple est le fondement de l’autorité des pouvoirs publics. Les
droits de l’homme et la démocratie sont étroitement liés.
De même le respect des droits de l’hommes est essentiel pour que la volonté
du peuple soit respectée dans le cadre des processus électoraux.
D’autre part y a la régularité de la révision du fichier électorale. Donc
on sous-entend que s’il y a les irrégularité la CENI ne peut lancer l’opération
de révision du fichier électorale avec des inconformité, la CENI doit tenir
compte d’égalité pour promouvoir le choix de vote parce que la révision du
fichier électorale n’est rien d’autre que la délivrance de cartes électeurs
lorsqu’on dit qu’on doit réviser le fichier électoral c’est-à-dire on doit lancer
l’opération d’identification et d’enrôlement des électeurs.
Alors lorsqu’on enrôle les électeurs on intègre sur le fichier électoral le
nouveau majeur c’est-à-dire des personnes qui auront 18 ans lors de la
tenue effective des élections.
Il en ’est de même de la régularité du cycle électoral tout doit être
respecter pour pouvoir tenir les élection libre et crédible.

 La Transparence du Scrutin
La transparence est un mot clé dans toute discussion sur des élection
démocratique pourtant les exigences de transparence dans les processus
électoraux ne sont pas souvent explorées, l’on peut faire valoir que la
transparence est impliquée dans d’autres droits électoraux.
En effet, il est impossible d’imaginer comment les citoyens pourraient
participer à la direction des affaires de la déclaration publiques, comme
prévu, par exemple, dans l’article 21.
De la déclaration universelle et 25.
Du PIDCP, sauf si les processus qui entourent le gouvernement et les
affaires publiques sont ouverts à la connaissance et à l’examen du public,
plus spécifiquement, il n’est pas possible de savoir si le droit de vote et le
droit d’éligibilité sont garantis par les gouvernements, sauf si les processus
électoraux sont « transparent ».
Le principe de la transparence dans des élections démocratique ne
repose pas uniquement sur telles déduction, même si elles débouchent
logiquement sur la thèse que le principe de transparence est indentifiable
dans la pénombre des droits électoraux figurant dans les obligations des
traités et des engagements des états concernant les élections honnêtes.
Néanmoins, le principe de transparence se fonde plus directement sur
les droits humains et libertés fondamentales internationalement reconnus.
Le fondement de l’exigence de transparence dans les processus
électoraux est la liberté de rechercher, de recevoir et répondre des
informations, qui fait partie intégrante de la liberté d’expression, la liberté de
rechercher, de recevoir et répondre des informations joux un puissant rôle
dans la société, lorsqu’elle est exercée dans le contexte des élections. En fait,
les droits de vote et d’éligibilité ne peuvent pas être exercés sans également
exercer la liberté de rechercher, de recevoir et de répondre des informations
si une élection doit être honnête. Certes une personne ou un parti politique
pourrait théoriquement chercher à être élu et ne pas chercher à répondre.
 Le Multipartisme
Le multipartisme est la caractéristique d’un régime politique où la liberté
d’association permet à plus de deux partis de participer aux débats
politiques et aux élections. C’est un des fondements de la démocratie
représentative.
Le multipartisme implique que les autorités acceptent les sensibilités
politiques qui lui sont étrangères et leurs critiques à son égard, c’est une
garantie pour les citoyens de contrôle des actions médiatiques, avec la
presse libre, mais aussi de pouvoir librement intervenir sur la scène
politique.
$ 2. Les garanties politiques
A. Contrôle parlementaire

1. Contrôle politique

Au nom de la légitime défense de l’ordre constitutionnel, face à un péril, à


une entreprise de la stabilisation, le chef de l’Etat, le gouvernement ainsi que
le gouvernement se mobilisent. En effet, le chef de l’Etat veille au respect de
la constitution et à la continuité de l’Etat, c’est ainsi qu’il a la charge de
protéger la République et dispose, en France le pouvoir de déclencher le feu
nucléaire. Le gouvernement de son coté, dispose d’une panoplie des moyens
exceptionnels pour relever le défi ; et les citoyens ne peuvent demeurer
attentistes, selon la formule héritée de Platon quand ce dernier dit que « ce
ne sont pas les pierres, mais des hommes qui constituent le véritable
rempart des cités ».
Dans leurs relations quotidiennes, le contrôle mutuel auquel se livrent les
pouvoirs publics participe à la protection de la constitution. Pour illustration
aux exceptions d’irrecevabilité que peut soulever le gouvernement à
l’encontre d’une démarche parlementaire (art. 40 et 41, const, Fr et art. 127
const RDC 2003), l’opposition peut rétorquer, entre autres par un rappel au
parlement ou déposer une motion que le texte de loi serait entaché, en tout
ou partie, d’inconstitutionnalité) B. Omeonga T. cours de droits de libertés
fondamentales, Unikin 2016, op, cit, p 176. Ce contrôle rentre dans le
cadre du principe selon lequel : le pouvoir arrête le pouvoir pour justement
faciliter la mise en pratique de l’exercice par la population de ses droit
reconnus et garanties.
2. Actions des institutions d’appui à la démocratie

A. Les ONG
La démocratie participative étant complémentaire de la démocratie
représentative, les organisations de la société civile peuvent être un moteur
pour des élections transparentes et inclusives. Elles peuvent contribuer à
l’instauration de bonnes pratiques électorales dans les domaines du
financement, de la conduite des campagnes et d’un dialogue ouvert, de
l’éducation des candidats et des électeurs, de la représentation et de la
défense des droits électoraux des personnes appartenant à des minorités,
des personnes vulnérables ou issues de groupes défavorisés de la
population, de l’observation des élections ainsi que de la rédaction et de
l’évaluation de la législation électorale. Et donc la démocratie véritable doit
encourager et reconnaître le travail accompli par les organisations non
gouvernementales ou par toute association œuvrant pour la défense des
droits de la personne et des institutions démocratiques, qu’elle soit nationale
ou internationale.

Les observateurs électoraux nationaux – y compris les observateurs non


partisans – jouent un rôle fondamental pour garantir que le processus
électoral se déroule de manière libre et équitable. Ils peuvent jouer un rôle
crucial dans le suivi de la couverture médiatique durant la période préalable
et durant la campagne électorale et immédiatement après. Le Forum
encourage les ONG concernées à intensifier leurs échanges mutuels
d’expériences sur l’observation des élections. Les institutions internationales
et nationales, y compris le Conseil de l’Europe, sont invitées à élaborer des
programmes de sensibilisation et de formation destinés aux observateurs
électoraux nationaux. La confiance dans le décompte et la compilation des
résultats est essentielle. Cela implique la transparence. La présence des
observateurs, des représentants des candidats et des médias doit être
admise ; ils doivent avoir accès aux procès-verbaux. Le Forum demande
qu’une transmission et une publication rapides des résultats soient
assurées, à tous les niveaux, y compris, quand cela est possible, sur
l’internet. La période qui suit immédiatement un scrutin fait partie
intégrante du cycle électoral. Il est essentiel que toutes les parties prenantes
s’engagent à garantir une confirmation et une mise en œuvre pacifiques des
résultats du scrutin grâce à un processus transparent et équitable incluant
un système efficace de recours.
B. LA CENI

Ce n’est que par l’impartialité, l’indépendance et un haut degré de


professionnalisme de leurs membres que les commissions électorales, à tous
les niveaux de gouvernance, peuvent parvenir à la transparence et à la
responsabilisation nécessaires et susciter la confiance du public. C’est
pourquoi il importe d’élaborer et de mettre en œuvre des règles cohérentes
régissant les commissions électorales, la méthode de nomination de leurs
membres et l’équilibre de leur composition, ainsi que de les former
convenablement.

C. CESAC

L’accès équitable aux médias pour toutes les forces politiques en lice
constitue une condition préalable à une couverture équilibrée des élections
et donc au caractère libre et équitable de celles-ci. Les cadres réglementaires
devraient être guidés par les principes de l’égalité d’accès, de la non-
ingérence des pouvoirs publics dans les activités des journalistes et autres
personnels des médias et leur accès à l’information, ainsi que de
l’indépendance éditoriale. 17. Les médias ont des droits, mais aussi des
responsabilités, en particulier pour ce qui est d’un haut degré de
professionnalisme. Cela est d’autant plus important s’agissant des sondages
d’opinion, ainsi que de l’obligation pour les radiodiffuseurs du service public
et, en principe, les diffuseurs privés de couvrir les campagnes électorales et
l’issue des scrutins de manière équilibrée et équitable. Ces responsabilités et
obligations doivent être clairement établies dans le cadre de mesures de
nature réglementaire ou d’autorégulation, elles doivent être respectées par
les médias. Au regard de la pratique les partis politiques sont confrontés à
une diversité de défis et leur rôle dans la société contemporaine évolue.
Toutefois, ils demeurent un vecteur important pour l’expression des choix
politiques. C’est pourquoi la participation des partis politiques aux
processus électoraux devrait être garantie conformément aux
recommandations de l’APCE et de la Commission de Venise, en particulier
en traitant les questions ci-après au regard de normes communes : –
démocratie et transparence au sein des partis politiques ;
– sélection et nomination des candidats ;
– règles claires et équitables pour le financement des campagnes ;
– égalité d’accès aux mass media ;
– système de réclamations et de plaintes permettant une procédure rapide
de résolution des différends ;
– pourvoi des sièges vacants.

$.3. Remède pour la suivie du droit des votes


1. Instauration de vote comme sanction aux actes des autorités
politico administrative

Le vote constitue non seulement un acte de participation des citoyens, il


s’analyse, au regard de ses effets, surtout comme une véritable décision
emportant l’idée d’une sanction ; d’où l’on parle, parfois, en cette matière, de
« vote-sanction ». D’où il est désormais impératif que ceux qui gèrent le
peuple de manière direct cad les gestionnaires des ETD (gouverneurs des
provinces et leurs vices soient également voté par eux afin que ce peuple ait
un droit de regard direct sur leur gestion de la res publica
Car il est un secret pour personne que les gouvernants sont les représentant
de la nation, gestionnaires des affaires publiques conformément au mandat
décidé par les citoyens. Cela fait d’eux comptables de leurs gestions et les
obligent, en quelque sorte, à la reddition des comptes devant les électeurs.
L’acte de vote est alors lourd des conséquences et d’enjeux et procédé à une
véritable distribution des cartes. En effet, l’électeur ne se limite pas
seulement à opérer son choix entre les candidats, les programmes, les
préférences politiques, il utilise aussi son pouvoir des sanctions, car sa
décision vaut à la fois voix et sanction. Cette sanction peut être négative (en
cas de rejet ou refus de mandat ou encore positive en cas d’octroi ou
reconduction de mandat. B. Omeonga T. cours de droits de libertés
fondamentales, Unikin 2016, op, cit, p 102
Il est cependant plus qu’urgent d’instaurer ces mesures qui vise à
sanctionner le mauvais gestionnaire au cours de mandat pour stopper
toutes détérioration de la vie nationale, en procédant par des sondages de
cote de popularité d’une telle ou telle autre autorité afin de le sanctionner.
Conclusion

Somme toute, il n’est fait l’ombre d’aucun doute que l’exercice du droit de
vote continue à être piétine jusqu’au jour d’aujourd’hui. Car en face des
autorités politico-administrative la volonté du peuple demeure le cadet de
leur souci voilà pourquoi, il est plus qu’impérieux que les résultats des
élections soit réellement l’expression du souverain primaire en tenant
compte de la transparence, crédibilité, liberté et apaisement.
Bibliographie
1. Textes légaux
a) Constitution du 18/02/2006 telle que modifier et compléter par la loi
n°11/002 du 20/01/2011 un journal Officiel de la RDC n°spécial 52ème
année
b) loi n°22/029 du 29 Juin 2022 modifiant et complétant la loi n°06/006
du 9 Mars 2006 portant organisation des élections présidentiels, législative,
provinciales, urbaines, municipales et locales telle que modifiée par la loi
n°11/003 du 25 Juin 2011, la loi n°15/001 du 12 Février 2015 et la loi
n°17/013 du 24 Décembre 2017, un journal Officiel de la république
démocratique du Congo n°spécial, le 29 Juin 2022.
c) Charte Africain de la Démocratie des élections et de la gouvernance,
adoptée par la huitième session ordinaire de la conférence tenue le 30
Janvier 2007, à ADDIS ABEBA.
d) Pacte international relatif aux droits civils et politiques.
e) Déclaration universelle des droits de l’homme.
2. Ouvrage
a) F WELEY DIANGITUKWA : les fraudes électorales, éd, l’harmattan
2007.
b) FWELEY DIANGITUKWA : les élections en Afrique analysent des
comportements et piste normatives de gestion des conflits, éd, l’harmattan,
2007.
c) MER LOE PATRICK : Promouvoir des cadres juridiques pour des
élections démocratique, 2008.
d) GUYS. GOOD WIN-GILL : élection libre et réguliers, nouvelle édition
augmentée, 2006.
e) PAMPHIL MABIALA MANTUBA-NGOMA, les élections dans l’histoire
politique de la RDC, éd, Culturelle , Africain, Kinshasa, 2013
f) PASCAL MUKONDE MUSULAY : Droit liberté et devoirs de la personne
et des peuples les ont droits internationale africain, éd, l’harmattan, 2007.
g) MBOKO DJANDIMA : les principes et usages en matière de rédaction
d’un travail universitaire, éd, adèce, Kinshasa, 2004.
h) OMEONGA TONGO (B) : droit et liberté fondamentale, éd, harmattan,
2016
3. Notes des Cours
a. HUGUES SOUMAH, Cours de théorie et doctrine université de LOU
VANIUM, 2001, inédit
b. NZEY MUDIANDAMBU (A), introduction à l’étude du droit public,
privé, premier graduat, faculté de droit, UNIKI,2014, 2015, inédit.
4. WEBOGRAPHIE
a. http : www.Wikipedia.rorg
b. www.Google.com
c. Brekingnews

Table des matières


Introduction 1
0.1. Présentation 1
0.2 ETAT DE LA QUESTION 1
0.3. Problématique et Hypothèses 3
3.1. Problématique 3
3.2. Hypothèse 4
0.4. Choix et Intérêt du Sujet 4
0.5. Délimitation du Sujet 6
CHAPITRE PREMIER : HISTORIQUE SUR LE DROIT DE VOTE 7
Section 1 : AUX MONDE 7
§1. En Angleterre 7
§2. AUX ETAT-UNIS 10
§3. EN FRANCE 11
Section 2 : En AFRIQUE 12
§1. En République Démocratique du Congo 12
CHAPITRE DEUXIEME : EXERCICE DU DROIT DE VOTE EN REPUBLIQUE
DEMOCRATIQUE DU CONGO14
Section 1 : Les Garanties actuelles du droit de vote 14
§1. La constitution ou loi fondamentale de la RDC 14
§2. Les lois électorales 15
§3. Méthodologie de répartition des sièges 16
Etape 1 : Répartition de siège par province 16
Etape 2 : Répartition des sièges par circonscription à l’intérieur de chaque
province 16
Etape 1 : Répartition de siège par province en fonction du nombre d’électeur
enrôlé 17
selon le tableaux établis dans l’article 145 17
Etape 2 : Répartition de siège par circonscription à l’intérieur de chaque
province 17
Section II. Les grands défis de l’exercices du droit de vote 22
§1. Les Choix : 22
§2. Défis liés à la CENI 22
Section III. Mécanisme de promotion du droit de vote 24
 La Transparence du Scrutin 26
 Le Multipartisme 27
 Participation à la vie politique par les citoyens………………..
……………….27
Conclusion et suggestions 28
Bibliographie 29
1. Textes légaux 29
2. Ouvrage 29
3. Notes des Cours
4. WEBOGRAPHIE

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