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Pour commencer, il et bon de définir ce qu’est le pourvoir

politique. On attend par pouvoir politique un type de pouvoir qu’une personne ou un


petit groupe des personnes soit encore un grand nombre des personnes exercent dans
une société bien déterminée.
Le pouvoir politique est aussi appelé pouvoir public. Il est organisé différemment
d’après certains auteurs en droit constitutionnel.
L’exercice du pouvoir politique en république démocratique du Congo.
Qui exerce le pouvoir le politique ?
Comment s’exerce ce pouvoir politique en république démocratique du Congo ?
Qu’est-ce qui caractérise le pouvoir politique en république démocratique du Congo ?
Qu’est-ce qu’on attend par régime politique ?
Quant à l’intervention du ministre d’aménagement du territoire ( maître GUY
LOANDO )
Dans les lignes qui suivent nous arriverons à répondre aux questions ci-dessus et
d’argumenter sur l’exercice du pouvoir politique en république démocratique du
Congo .

En effet, l’exercice du pouvoir politique en république


démocratique du Congo est à la charge des institutions; le pouvoir politique n’est pas
personnalisé mais institutionnalisé c’est dire le pouvoir sont dans des institutions et
non chez les personnes; concrètement le président de la République démocratique du
Congo est une institution présidentielle, Mr BAHATI est un membre de l’institution
parlementaire. Sur ce point avons nous voulu dire que c’est les institutions qui
exercent le pouvoir politique en république démocratique du Congo tel que encadré
par la constitution du 18 février 2006 ; on explique le droit constitutionnel revêt une
caractéristique très importante dans la mesure où ce droit en cadre de manière
juridique le pouvoir politique. ANSI, le droit const permet de substituer le régime
juridique de la règle de droit à la domination de l’homme par l’homme. C’est de cette
manière que nous pourrons répondre à notre question première poser ci haut en cours
de ce travail.
alors nous passons directement pour répondre à la question suivante comment
s’exerce le pouvoir politique en république démocratique du Congo : le pouvoir
politique en République démocratique du Congo n’est pas exercé des manières dont la
constitution à organiser pour chaque institutions.
Nous nous demandons pourquoi ? Nous répondrons parce que les autorités publiques
congolaises ont du mal à distinguer la chose publique et la chose privée. Ceci est un
point capital à soulevé car c’est de ceci se base l’effondrement des certains domaines
de nôtre pays. La chose publique n’est pas un bien de l’autorité mais de l’État son
service sera pour l’intérêt général. Alors que dans notre pays la chose publique est
utilisée comme si s’était le bien de propre moyen d’une autorité publique. Ces
derniers ont tendance que c’eux qui détiennent le pouvoir politique alors que selon

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notre constitution du 18 février 2006 le pouvoir politique est institutionnalisé. Ceci est
un point qui donne désordre à l’exercice du pouvoir politique en République
démocratique du Congo. Dont les citoyens qui n’ont jamais étudié le cours de science
politique n’arrivent pas souvent à comprendre l’exercice du pouvoir politique dans
nôtre pays.

Qu’est-ce qui caractérise le pouvoir politique en République démocratique du Congo :


le pouvoir politique est caractérisé par la contrainte et son caractère commun. Par la
contrainte on attend par un pouvoir qui impose et qui déroge certains droits des
individus. Quant alors d’un pouvoir commun est celui qui semble des prérogatives
pour tous.
Nous profitons de parler de spécificité du pouvoir politique en République
démocratique du Congo : le pouvoir politique en République démocratique du Congo
est spécifique puisqu’il concerne l’ensemble de la population. Il est incarné par l’Etat
qui peut obtenir de la population ce qu’il souhaite. Puisque le pouvoir politique
concerne tout le monde, les désaccords sont réels ce qui peut entraîner des conflits et
une explosion de la société.
Autre point : Le régime politique en République démocratique du Congo
Il faut d’abord noter que le régime politique ou la forme de gouvernement désignent
l’organisation des pouvoirs et leurs exercices au sein d’une entité politique donnée.
C’est termes renvoient donc à la forme institutionnelle du pouvoir mais aussi à la
pratique découlant de cette forme institutionnelle. Ils dépassent l’étude
constitutionnelle ( qui analyse les structures formelles d’un État ) mais ne sont pas
non plus à confondre avec l’étude des systèmes politiques ( qui est le mode
d’organisation d’un État ).
Comme tout pouvoir, le pouvoir politique impose l’obéissance. Mais il se distingue
des autres types des pouvoirs, et est détenu par des institutions spécifiques.
L’exercice du pouvoir politique en République démocratique du Congo se caractérise
par sa généralité: il s’impose à l’ensemble des individus, des groupes et des
institutions d’un État . Il est Le seul qui puisse exercer ou déléguer la force de
manière légitime : il a le monopole de la contrainte physique .
Mais, pour exercer le pouvoir politique, les gouvernants doivent obtenir la
reconnaissance de leur légitimité . Dans les États modernes, c’est la légalité qui fonde
la légitimité : les individus n’obéissent pas aux gouvernants en tant que personnes,
mais aux détenteurs d’un pouvoir légal.
Dans les États démocratiques, l’exercice du pouvoir politique est encadré par le droit.
En République démocratique du Congo , les institutions politiques doivent respecter
la Constitution, tant dans la conquête que dans l’exercice du pouvoir . Aucune loi,
aucun décret ou arrêté ne peut lui être contraire .
La séparation des pouvoirs protège les libertés des individus. Sous la 3e République,
le pouvoir législatif est confié au Parlement (Assemblée nationale et Sénat), qui vote
la loi . L’initiative des lois est partagée par le Parlement et le Premier ministre, chef
du Gouvernement. Ce dernier partage le pouvoir exécutif avec le president de la

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République, qui est le chef de l’État. Le pouvoir judiciaire est exercé par les justices
judiciaire et administrative, ainsi que par la Cour constitutionnelle, chargé de vérifier
la régularité des élections et la conformité des lois à la Constitution.
La Constitution de la 3e République confie au Président d’importants pouvoirs . Sa
légitimité a été renforcée par l’élection au suffrage universel direct.
Cependant, il n’a pas tous les pouvoirs, ni même l’intégralité du pouvoir exécutif . En
effet, il est contraint de nommer un Premier ministre qui dispose de la confiance de
l’Assemblée, car le Gouvernement est responsable de sa politique devant le
Parlement. L’Assemblée nationale peut le renverser en cas de désaccord politique.
l’Assemblée nationale a de grandes chances d’être de la même tendance politique que
celle du Président. La cohabitation est donc peu probable .
Dans tous les cas, le contrôle mutuel des institutions politiques perdure. Projets et
propositions de lois doivent être votés par les deux assemblées. Comme le Président,
elles peuvent saisir la Cour constitutionnelle lorsqu’elles estiment qu’un texte est
contraire à la Constitution .
Dans une démocratie représentative, les citoyens délèguent leur souveraineté politique
à des représentants qu’ils ont librement élus, selon différents types de scrutins, et les
partis politiques, la société civile organisée et les médias contribuent à la vie
politique.
Le choix du mode de scrutin détermine le résultat d’une élection. Ainsi, l’Assemblée
nationale, par exemple, n’aurait pas tout à fait la même composition si les sièges de
députés n’avaient pas été attribués au scrutin majoritaire à deux tours mais au scrutin
proportionnel à un tour. Elle aurait représenté plus fidèlement la diversité des courants
de pensée politiques au sein des électeurs, mais il n’y aurait pas forcément eu de
majorité politique stable capable de voter les lois.
Le mode de scrutin structure par ailleurs la compétition politique. Le scrutin
proportionnel favorise le multipartisme, le scrutin majoritaire à un tour le bipartisme .
Dans le cas du scrutin majoritaire à deux tours, plusieurs partis politiques peuvent
s’affronter au premier tour, mais ils doivent former des alliances entre les deux tours
pour espérer remporter des sièges .

Pour clore, nous pensons que l’exercice du pouvoir politique en


République démocratique du Congo est basé dans institutions quant à l’encadrement
établi par la constitution du 18 février 2006 mais les hommes politiques ne l’exécutent
pas des bonnes fois. Chose qui fait défaut d’évolution des certains domaines de la
République. La solution que nous proposons est celle d’établir
des normes conditionnelles avant les dépôts des toutes les candidatures des hommes
dirigeants de la république et conditionner les nominations aux postes sensibles de la
république; ça apporterait un changement dans ce pays.

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