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غي دي موباسان
تأثير رواية القالدة على األدب العالمي
إعداد الطالب
محمود عبد العظيم الهمالي
سنة دراسية
2022-2023
Remerciements
2
Sommaire
I. Introduction .................................................................................................. 4
II. Problématique .............................................................................................. 9
III. Guy De Maupassant ................................................................................... 10
IV. Début de sa vie ............................................................................................ 10
V. Les grands romans de Maupassant .......................................................... 12
VI. La Parure .................................................................................................... 14
VII. Résumé de la Parure : ......................................................................... 14
VIII. Une analyse La Parure ........................................................................ 17
IX. L'impact des histoires de Maupassant sur la littérature arabe moderne
19
X. L'impact des nouvelles de Maupassant sur la littérature russe ............. 20
XI. Le Pardessus : ............................................................................................. 21
XII. Résumé du Pardessus: ......................................................................... 21
XIII. Conclusion ............................................................................................ 29
XIV. Bibliographie ........................................................................................ 30
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Introduction .I
La Littérature comparée
La littérature comparée est l'étude de la littérature hors des frontières d'un pays.
particulier, l'étude des relations entre la littérature d'une part et d' autres
domaines de connaissances et de croyances comme les arts et la philosophie
d'autre part, en somme, la littérature comparée est la comparaison de la
littérature avec d'autres littératures et avec d'autres littératures et la comparaison
de la littérature avec d'autres domaines de l'expression humaine.
Cette science littérairea été établie pour la première fois en France en 1827 du
siècle dernier Les écrivains français comprenaient des érudits littéraires,
étudiant les littératures de différents pays et les comparant avec la littérature
française, après avoir suivi l'exemple du savant littéraire français Abel
Villmann, qui fut le premier innovateur de cette science. Il fut le premier à
l'appeler littérature comparée sans savoir que le monde entier le suivrait et
étudierait la littérature comparée.
L'école romantique en est venue à voir la littérature dans une perspective plus
profonde, en renouvelant que la science de la littérature ne se limite pas aux
frontières d'un pays particulier, mais est plutôt continue et étroitement liée à la
littérature d'autres pays.
4
On peut donc dire que :
3- La littérature comparée fait la distinction entre ce qui est local et ce qui est
commun chez les humains et identifie les liens et les similitudes entre les
différentes littératures et entre la littérature et d'autres domaines
1- L'épopée est un très long texte poétique dans lequel la vérité se mêle à
beaucoup de fiction, de faits et de mythes, et en fait une histoire connectée, et il
est important de la transférer du monde réel vers un autre monde plus vaste.
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4- Le roman : Les critiques littéraires et les historiens ont appelé le terme roman
une longue histoire et attribuent la différence entre eux au fait que chacun d'eux
est proche de la réalité. Et cela s'est produit dans notre réalité, et selon les
anciennes histoires arabes, on prétend que la littérature occidentale a été
influencée par : Les Mille et une nuits.
1-L’école française
2- L’école américaine
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3- L’école russe
L’école russe, est originaire des pays d'Europe de l'Est et de Russie, sa vision
holistique de l'univers, de la société, de la culture et de la littérature, où l'école
considère que la littérature comparée est principalement basée sur la
philosophie, et se caractérise par ses différentes modèle culturel du point de vue
des écoles de littérature américaine et française.
Quels sont les livres les plus importants qui ont établi la
littérature comparée
L'un des livres les plus importants qui ont établi la littérature comparée
La littérature comparée de Van Tejem : cet ouvrage a été publié en 1931. Le
livre a été publié en 1951. Retrouvez Van Tej dans cet ouvrage en précisant le
nombre de chercheur comparatif et sa cible, et en insistant sur l'importance de la
bibliographie .Le livre de René Welk est considéré comme le meilleur livre du
genre. C'est un livre académique composé de 339 pages et divisé en sept
chapitres et deux annexes, dont les plus importantes sont Influence et Tradition.
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3. Il dépeint le cours des littératures mondiales dans leurs relations les uns avec
les autres : il se réfère aux choses en quoi les peuples et les nations sont
similaires, qui sont des tendances humaines et humaines, et s'occupe ensuite de
renforcer cette similitude, en raison de son importance dans l'ouverture
croissante. Et la communication entre les peuples.
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Problématique .II
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III. Guy De Maupassant
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l'écrivain. Chaque fois que Flaubert séjournait à Paris, il invitait Maupassant à
déjeuner le dimanche, lui faisait la leçon de prose et corrigeait ses exercices
littéraires de jeunesse. Il l'a également présenté à certains des plus grands
écrivains de l'époque, tels que Émile Zola, Ivan Tourgueniev, Edmond
Goncourt et Henry James. "C'est mon disciple et je l'aime comme un fils", a
déclaré Flaubert à propos de Maupassant. C'était une description succincte d'une
double relation : si Flaubert a inspiré l'écrivain Maupassant, il a aussi donné
l'enfant d'un mariage brisé avec un père adoptif. La mort subite et inattendue de
Flaubert en 1880 est un coup dur pour Maupassant. Zola décrit le jeune
Maupassant comme un « formidable rameur capable de ramer cinquante milles
sur la Seine en une seule journée pour le plaisir ». Maupassant était un
amoureux passionné de la mer et des rivières, ce qui explique le cadre d'une
grande partie de sa fiction et la prédominance de l'imagerie nautique. Malgré
son manque d'enthousiasme pour la bureaucratie, ses années de fonctionnaire
sont les plus heureuses de sa vie. Il consacre une grande partie de son temps
libre à la baignade et aux expéditions en bateau sur la Seine. On peut voir dans
une histoire comme Mouche (1890; Fly) que ces dernières étaient plus que de
simples expéditions en bateau et que les filles qui accompagnaient Maupassant
et ses amis étaient généralement des prostituées ou de futures prostituées. En
effet, il ne fait guère de doute que les premières années à Paris ont été le début
de sa promiscuité phénoménale. Lorsque Maupassant était au début de la
vingtaine, il a découvert qu'il souffrait de la syphilis, l'une des maladies les plus
effrayantes et les plus répandues de l'époque. Le fait que son frère soit décédé à
un âge précoce de la même maladie suggère qu'elle pourrait avoir été
congénitale. Maupassant refusa catégoriquement de se faire soigner, de sorte
que la maladie allait assombrir sa maturité et s'accentuer par la neurasthénie, qui
avait également affligé son frère. Durant son apprentissage chez Flaubert,
Maupassant publie un ou deux récits sous pseudonyme dans d'obscures revues
provinciales. Le tournant intervient en avril 1880, un mois avant la mort de
Flaubert. Maupassant était l'un des six écrivains, dirigés par Zola, qui ont
chacun contribué une nouvelle sur la guerre franco-allemande à un volume
intitulé Les Soirées de Médan. L'histoire de Maupassant, Boule de suif, n'était
pas seulement de loin la meilleure des six, c'est probablement la plus belle
histoire qu'il ait jamais écrite. Dans ce document, une prostituée voyageant en
autocar est traitée avec amitié par ses compagnons de voyage français, qui sont
impatients de partager ses provisions de nourriture, mais alors un officier
allemand arrête l'autocar et refuse de le laisser continuer jusqu'à ce qu'il l'ait
11
possédée; les autres passagers l'incitent à le satisfaire, puis l'ostracisent pour le
reste du voyage. Boule de suif incarne le style de Maupassant par son économie
et son équilibre.
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VI. La Parure
La Parure une nouvelle de 1888 de l'écrivain français Guy de Maupassant. Il est
connu pour sa fin de torsion (fin ironique), qui était une caractéristique du style
de Maupassant. La nouvelle a été publiée pour la première fois le 17 février
1884 dans le journal français Le Gaulois.
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La soirée arrive enfin et Mathilde resplendit de mille feux. Personne n’égale sa
beauté, et elle se fait remarquer par tous les hommes présents. Même le
Ministre. On sent que c’est la nuit de sa vie. Les barrières sociales sont tombées,
et elle peut se pavaner à sa guise. Pour l’époque, être reconnue par tous comme
splendide, raffinée et gracieuse était la reconnaissance suprême pour une femme
mondaine. Et Mathilde l’a atteinte, contrastant terriblement avec son mari qui
s’est endormi depuis minuit, ne prenant pas part à sa gloire.
Elle danse et s’amuse jusqu’à plus de quatre heures du matin, avant qu’à
nouveau, elle soit confrontée à la dure réalité de son rang. Il fait froid dehors, et
elle n’a pas de riche fourrure dans laquelle s’emmitoufler. Elle rejette les
vêtements trop simples avec lesquels son mari essaie de la recouvrir. Dans sa
peur d’être démasquée par les riches, elle s’éloigne tant du lieu de la réception
qu’ils n’ont plus de fiacres à appeler. Ils marchent un moment à pied dans Paris,
grelottants, avant de tomber sur un vieux coupé noctambule qui accepte de les
conduire jusqu’à chez eux. Le mari est anxieux car la nuit est bientôt finie et il
doit travailler dès le lendemain matin. Mathilde, elle, est remplie d’amertume à
l’idée que la soirée soit déjà terminée, et que cela se soit fini de façon misérable
à arpenter les rues à pieds ainsi.
Arrivés chez eux, ils découvrent avec effroi que Mathilde a égaré la magnifique
rivière de diamants. Ils ont beau la chercher parmi tous les plis de ses
vêtements, ils ne la trouvent point. Le mari se met à faire le chemin inverse avec
l’espoir d’y tomber dessus. Ils alertent les journaux, la préfecture de police, les
compagnies de petites voitures, en promettant une récompense. Mais rien n’y
fait, la parure reste introuvable.
Mathilde se trouve dans un piteux état. Son mari prend les choses en main. Il
leur faut gagner du temps. Pour cela, sa femme doit écrire à Mme Forestière
pour lui dire qu’elle a cassé la fermeture de la rivière de diamants, et que,
nécessitant réparation, son bijou lui sera rendu plus tard.
Le couple ramène l’étui de satin qui contenait la rivière au joaillier qui
effectivement le reconnaît de sa fabrication, cependant, il les avertit qu’il n’y a
pas dans son registre de mention de l’achat du bijou. Les Loisel sont obligés de
parcourir toutes les bijouteries pour en trouver un semblable. Ils finissent par
trouver un chapelet de diamants qui pourrait convenir au prix de 36 000 francs.
Toutes les économies de M. Loisel sont utilisées, et le couple s’endette auprès
d’organismes et de particuliers pour pouvoir payer le reste. Mathilde ramène le
nouveau bijou chez son amie, qui lui dit, froissée, qu’elle aurait pu le lui rendre
avant.
Le couple endure ainsi dix années de dur labeur. Mathilde connaît alors une vie
bien pire que celle qu’elle avait vécue jusqu’alors. Elle se voit obligée de vivre
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comme une nécessiteuse. Ils renvoient la bonne, changent de logement. Elle fait
le ménage, les corvées, la cuisine. Son mari se lance à corps perdu dans
l’entreprise également. Il ne compte plus les heures supplémentaires, travaille
même de nuit comme copiste pour pouvoir boucler leurs fins de mois difficiles.
Ils essaient de gagner du temps, de marchander le moindre sou.
Avec l’usure, au bout de dix ans, Mme Loisel parait vieille. Elle s’habille
désormais comme une miséreuse, elle ne prend plus soin de son apparence
comme autrefois. Il lui arrive encore parfois de repenser à la fameuse soirée,
celle où elle avait été si rayonnante avant que la tragédie n’arrive et fasse tout
basculer.
Un beau jour, elle recroise Mme Forestière, toujours fringante, jeune et
séduisante, sur les Champs-Elysées. Elle l’aborde et son amie a du mal à la
reconnaître après tant de changements physiques et vestimentaires. Mathilde lui
raconte alors combien elle a eu la vie dure à cause de la rivière de diamants
perdue, mais annonce avec fierté qu’elle et son mari ont réussi à tout
rembourser et qu’ils ne doivent plus rien à personne.
La chute de la nouvelle tombe quand Mme Forestière lui prend les mains et lui
annonce très émue que le bijou qu’elle lui avait prêté était un faux, et qu’il
valait tout au plus 500 francs.
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VIII. Une analyse La Parure
En tant qu'écrivain dans la France du XIXe siècle, Maupassant écrit dans un
style appelé réalisme littéraire. L'exemple le plus clair de ce style se trouve dans
le dernier tiers de l'histoire, lorsqu'il décrit la vie pauvre et active des Loisel.
Maupassant oppose cela à la description presque romantique de la fête à
laquelle assistent les Loisel, à laquelle Mathilde porte le collier titulaire. Tout
comme le genre a joué un rôle important dans la société française du XIXe
siècle, il en va de même dans "Le collier". Les femmes des classes moyennes et
supérieures ne travaillaient pas, mais étaient plutôt prises en charge par leurs
maris. Ainsi, de nombreux problèmes des Loisel sont liés à l'argent. Non
seulement Mme. Loisel amère de son incapacité à améliorer sa classe sociale,
mais les Loisel valorisent également des choses différentes, ces valeurs étant
mappées en fonction du sexe. Invitée à la fête, Mme. Loisel se met à pleurer,
demandant à son mari de lui prêter de l'argent pour une nouvelle robe, car les
vêtements et les bijoux étaient des indicateurs particulièrement importants du
statut des femmes. En revanche, M. Loisel se dit qu'il avait voulu économiser
cet argent pour acheter une nouvelle arme, une activité virile qu'il aurait pu
utiliser pour nouer des liens avec des amis masculins et se détendre de son
horaire de travail chargé. La beauté est traitée dans "Le Collier" tantôt comme
objective et tantôt comme assez subjective, en fonction de la classe sociale.
D'une part, Maupassant écrit que la beauté était la façon dont les femmes
pouvaient faire progresser leur place dans la société. D'autre part, Mme. Loisel
voit Mme. Le collier de Forestier est aussi beau en grande partie à cause de sa
valeur supposée et du capital social qu'il procure. A la fête, il est dit que Mme.
Loisel se sentait et avait l'air très belle, et que beaucoup d'hommes désiraient
danser avec elle. Dans ce cas, le lecteur doit se demander si cela est dû à sa
beauté naturelle, à la tenue de classe supérieure qu'elle a pu acquérir pour
l'événement, ou peut-être simplement à sa confiance en ses vêtements. Jusqu'à
la fin de l'histoire, Mme. Loisel n'est pas présenté comme un personnage
particulièrement sympathique ou sympathique. Un exemple de Mme. Les
défauts de Loisel surviennent alors que le couple vient de rentrer de la fête :
Mme. Loisel dit : « J'ai - j'ai - je n'ai plus le collier de Mme Forestier. ce qui
s'est passé, refusant d'admettre qu'elle a perdu le collier. En installant
l'éventuelle ironie d'une de ses terminaisons classiques, Maupassant prend soin
d'écrire que le collier « leur a semblé exactement comme celui qu'ils avaient
perdu » (p.36). Cela ne suffit pas à alerter le lecteur sur l'ironie éventuelle, mais
cela montre l'incapacité du couple à distinguer les deux colliers précisément
17
parce qu'ils n'étaient pas habitués à prodiguer des bijoux. Cela soulève à son
tour la question de savoir si Mme. Forestier aurait reconnu la substitution ; bien
qu'elle ne laisse pas entendre qu'elle reconnaît une différence en voyant le
remplaçant pour la première fois et semble sincèrement surprise lorsqu'elle
entend Mme. L'histoire de Loisel après dix ans, il est suspect qu'une femme
d'une classe supérieure ne soit pas capable de faire la différence. Enfin, le fait
que les personnages ne découvrent jamais ce qui est arrivé au collier indique le
caractère aléatoire de la vie et l'importance des circonstances. Comme l'écrit
Maupassant : "Comment se serait-il passé si elle n'avait pas perdu ce collier ?
Qui sait ? Qui sait ? Comme la vie est singulière et pleine de changements !
Comme une petite chose en ruinera ou en sauvera une !" (p.37) Cette morale de
l'histoire peut être considérée comme une critique de l'importance de la classe
sociale, puisque l'histoire démontre qu'un simple accident ou une circonstance
imposée à une personne (puisque le collier aurait pu être volé
intentionnellement) peut condamner une personne à une mode de vie différent.
En même temps, Maupassant démontre que la classe sociale n'est pas corrélée
au bonheur, comme Mme. Loisel semble plus satisfaite de sa vie et de son
mariage lorsqu'elle est dans la classe pauvre que lorsqu'elle se comporte comme
une femme de la classe moyenne ou supérieure.
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IX. L'impact des histoires de Maupassant sur la littérature
arabe moderne
Le voyage de Mahmoud Taymûr s'est fait grâce aux conseils de son frère
Muhammad Taymûr, qui l'a invité à lire les créations de l'écrivain français Guy
de Maupassant, qui l'a lu et l'a admiré et a été influencé par ses écrits. Le journal
de "Al-Fajr" a publié pour lui en 1925 l'histoire "Al-Usta Hassan réclame son
salaire", et elle a été écrite sous le titre "Écrit par Mahmoud Taymûr,
Maupassant égyptien".L'histoire de la première nouvelle qu'il a écrite remonte à
1919 après JC, elle a donc été changée en arabe standard. Il a réécrit les
histoires qu'il a écrites en langue vernaculaire et est devenu un membre éminent
de l'Académie de la langue arabe en 1949. Le nombre de romans qu'il a publiés
a dépassé la cinquantaine d'ouvrages, dont certains ont été traduits dans
différentes langues "car ils tournent autour de questions modernes,
patrimoniales et historiques, en plus de récits inspirants de ses voyages, tels que:
"Mouches" le Sphinx, Cent Jours, Soleils et Nuits, ou des romans qu'il a écrits
sur des personnalités pharaoniques, comme « Cléopâtre à Khan El Khalili ».Le
vocabulaire de la vie quotidienne dans la société égyptienne, et a pu formuler
les fils de ces images dans un réseau cohérent et passionnant d'intrigues
artistiques et de sensibilisation littéraire des composants et des éléments des
techniques de narration dans le nouveau, tels que: Son leadership français était
la chose la plus importante que rêvait Muhammad Taymour de réaliser
l'égyptianisation de la littérature française, qu'il a connue et influencée pendant
son séjour de trois ans en France, se déplaçant entre Paris, la capitale, et Lyon
dans le sud. Muhammad Taymour a écrit sept nouvelles :
6- « Seigneur, pour qui as-tu créé cette bénédiction ? 1er octobre 1917.
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7- « Il était un enfant et devint un jeune homme » - novembre 1917
Anton Tchekhov :
Il n’a vécu que 44 ans : une vie brève, durant laquelle il assiste à une extraordinaire
floraison dans la littérature russe, puisqu’il est le contemporain de Dostoïevski,
Tolstoï, Gorki…
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XI. Le Pardessus :
Le Pardessus (en russe : Шинель) est une nouvelle écrite par le grand romancier
russe Nikolai Gogol, frère d'Anton Tchekhov. Publié en 1842. Il raconte
l'histoire des armoiries de l'homme Akakiy Akakievitch. C'est une histoire
humaine dont le célèbre romancier Tourgueniev a dit : « Nous sommes tous
sortis du manteau de Gogol.
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toujours ses documents avec diligence et soin. Mais à certains moments où les
jeunes fonctionnaires vont trop loin, Akaky leur crie de le laisser tranquille. Le
Narrateur dit qu'une fois, un jeune fonctionnaire nouveau au bureau était si ému
de pitié qu'il se souvenait des exclamations d'Akaky longtemps après, entendant
dans sa voix les mots "Je suis ton frère". Chaque fois qu'il se souvient d'Akaky,
le jeune homme est rempli de honte devant la brutalité et l'inhumanité de
l'homme.Akaky aime tellement son métier de copiste qu'il en fait toute sa vie. Il
prend plaisir à lire différents documents et à recopier soigneusement chaque
lettre. Mais il n'est jamais promu - une fois, un réalisateur qui souhaitait
récompenser Akaky pour son travail acharné lui a ordonné d'ajouter quelques
petites modifications à un document, mais Akaky est devenu nerveux et a
demandé de copier quelque chose à la place. Après cet incident, personne n'a
proposé de promouvoir Akaky à nouveau. Au-delà de la copie, dit le Narrateur,
"rien d'autre n'existait en ce qui le concernait". Akaky néglige son apparence et
ne prête jamais attention à ce qui se passe autour de lui. Il ne remarque jamais le
goût de sa nourriture, et après être rentré chez lui et avoir dîné, il continue de
copier les papiers qu'il a apportés du travail. Parfois, lorsque ses collègues
officiels socialisent au théâtre ou à un dîner, Akaky est à la maison, écrivant et
attend avec impatience la copie du lendemain.Le Narrateur dit qu'Akaky est «
parfaitement satisfait de son sort », mais que Saint-Pétersbourg abrite un
obstacle majeur pour ceux qui gagnent le bas salaire de quatre cents roubles par
an : le froid du nord. Akaky, après avoir été puni par ce rhume, décide qu'il est
temps pour lui de se remettre un nouveau pardessus. Le manteau actuel d'Akaky
a été la cible de nombreuses blagues dans son département, car il est moche,
mince et en lambeaux. Le commis décide d'apporter le manteau à Petrovich, le
tailleur, pour le faire réparer. Dans un aparté, le Narrateur décrit Petrovich
comme un tailleur décent, mais un gros buveur. Quand Akaky arrive dans la
chambre de Petrovich, le tailleur essaie avec colère d'enfiler une aiguille.Akaky,
notant que Petrovich semble être sobre, craint qu'il ne soit pas en mesure de
négocier aussi efficacement. Il commence nerveusement, incapable de terminer
sa phrase. Petrovich prend son manteau et l'examine. Après un certain temps, il
secoue la tête et déclare qu'il est impossible de réparer. Il insiste sur le fait
qu'Akaky doit avoir un nouveau manteau. La déclaration du tailleur inquiète
Akaky, car il n'a pas d'argent pour un nouveau manteau. Étourdi, il se concentre
sur l'image d'un général sur la tabatière de Petrovich. Un carré de papier a été
collé là où le visage du général devrait être. Petrovich dit à Akaky qu'un
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nouveau manteau lui coûtera cent cinquante roubles. Akaky, après avoir d'abord
voyagé dans la mauvaise direction, rentre chez lui hébété
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qu'Akaky doit organiser une soirée. Akaky est extrêmement embarrassé jusqu'à
ce qu'un haut fonctionnaire, un assistant en chef, propose d'organiser la fête à la
place et invite tout le monde à prendre le thé ce soir-là. Les autres officiels
acceptent son invitation et font pression sur Akaky pour qu'il vienne aussi.
Akaky passe le reste de la journée de très bonne humeur. De retour chez lui, il
compare sa nouvelle cape à l'ancienne, riant de la différence. Après le dîner, il
ne fait aucune copie, mais se repose jusqu'à la tombée de la nuit, puis se dirige
vers la soirée. Le Narrateur ne se souvient pas où la fête a eu lieu, mais affirme
que le greffier en chef adjoint vivait dans un quartier riche de la ville, loin de la
maison d'Akaky. Akaky doit traverser un quartier faiblement éclairé avant
d'arriver dans les rues lumineuses et animées du quartier du greffier en chef
adjoint.Akaky regarde avec admiration la haute société qui peuple les rues
autour de lui. Il n'est pas sorti la nuit depuis des années. Il regarde dans une
vitrine et voit une photo d'une belle femme affichant un pied nu, comme
derrière elle, un homme la regarde à travers une porte. Akaky rit et avance. Le
Narrateur se demande pourquoi Akaky a ri à ce moment-là : peut-être était-ce
parce qu'il avait rencontré quelque chose d'inconnu, ou, comme d'autres
fonctionnaires, il était amusé par les coutumes françaises, ou bien il ne pensait à
rien de particulier.Akaky atteint l'appartement du sous-chef et raccroche son
pardessus. Il entre dans la salle principale et est accueilli par une scène animée
pleine d'officiels, de tables de jeu et de conversations. Akaky n'est pas sûr de la
façon dont il devrait se comporter, mais ses collègues l'accueillent joyeusement
et se pressent dans l'antichambre pour revoir sa cape. Akaky est ravi de leurs
compliments, mais peu de temps après, les officiels retournent à leurs jeux de
cartes, laissant Akaky seul. Se sentant mal à l'aise et accablé, Akaky s'assied
dans la stupeur. Il est fatigué et veut partir, mais ses pairs le poussent à boire du
champagne. Akaky se sent mieux après avoir bu un verre, mais comme il est
minuit, il décide de se faufiler hors de la fête. À son grand désarroi, il découvre
que son pardessus est allongé sur le sol de l'antichambre. Akaky le ramasse, le
brosse et quitte l'appartement. Akaky quitte la fête heureux. Dans un élan de
fantaisie, il court après une dame qui le croise dans la rue, mais s'arrête
immédiatement et marche à nouveau tranquillement dans la rue, ne sachant pas
pourquoi il courait. Les rues deviennent désertes et sombres. Le quartier festif
où il se trouvait se transforme en un quartier plus pauvre de maisons basses et
de lampes tamisées. Il pénètre dans une place vide, au milieu de laquelle se
trouve une loge de gardien. Akaky a soudainement peur en entrant sur la place.
Il ferme les yeux, souhaitant passer au plus vite. Lorsqu'il ouvre les yeux, il se
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tient soudain devant deux hommes barbus. L'un des voleurs s'empare de son
pardessus. Akaky est sur le point de crier à l'aide, mais l'autre voleur menace de
le frapper. Les hommes prennent sa cape et le poussent au sol, et Akaky perd
connaissance.Lorsqu'il récupère, Akaky court vers le gardien au milieu de la
place. En sanglotant, il crie au gardien d'avoir complètement ignoré son
braquage. Le gardien répond qu'il a vu deux hommes l'arrêter sur la place, mais
qu'il a supposé qu'ils étaient amis. Il recommande qu'Akaky signale le vol à la
police dans la matinée. Akaky rentre chez lui couvert de neige, un gâchis
complet. Il frappe à sa porte et sa logeuse répond. Elle est choquée de le voir
dans cet état et, après avoir entendu son histoire, lui dit de s'adresser
directement au commissaire de police du district, car les policiers locaux ne
manqueront pas de l'ignorer ou de le tromper. La propriétaire croit que le
surintendant est un homme bon, puisqu'il va à l'église tous les dimanches et
sourit amicalement à tout le monde. Sur ce, Akaky se rend dans sa chambre. Le
lendemain matin, Akaky se rend chez le surintendant, mais on lui dit que le
surintendant est endormi. Akaky revient à dix heures, mais le fonctionnaire est
apparemment toujours au lit. A onze ans, il est informé que le commissaire n'est
pas chez lui. Il revient dans la soirée, mais les commis du fonctionnaire refusent
de le laisser entrer dans l'antichambre. Akaky dit obstinément qu'il doit voir le
surintendant en personne et qu'il vient d'un ministère à titre officiel. Les
greffiers lui permettent enfin de voir le surintendant. En entendant l'histoire
d'Akaky, le surintendant commence à interroger Akaky au lieu de se concentrer
sur le crime commis. Pourquoi Akaky est-il rentré si tard chez lui ? Faisait-il
quelque chose d'illégal cette nuit-là ? Akaky, abasourdi, part sans s'assurer l'aide
du surintendant. Ce jour-là, Akaky ne se rend pas dans son service, mais il se
présente au travail le lendemain matin dans son vieux pardessus. La nouvelle de
son manteau volé s'est répandue dans le département, et si beaucoup le
plaignent, certains se moquent encore de lui. Ils jettent ensemble une petite
somme d'argent pour Akaky. L'un des commis, souhaitant sincèrement l'aider,
lui conseille de ne pas se rendre à la police : même si un policier retrouvait le
manteau, celui-ci resterait en garde à vue à moins qu'Akaky ne puisse apporter
la preuve légale qu'il en était le propriétaire. Au lieu de cela, Akaky devrait faire
appel à "une certaine personne importante" qui pourrait vraiment influencer la
situation.Akaky décide de demander l'aide de la personne importante. Le
Narrateur déclare que le titre officiel de cette Personne Importante n'est pas
connu. Nous savons, cependant, que cet individu n'est devenu que récemment
une personne importante, et jusqu'alors il avait été « une personne sans
25
importance ». La personne importante augmente son importance en faisant
respecter une étiquette stricte parmi ses subordonnés. Les signalements doivent
transiter par les canaux appropriés, en passant par plusieurs étapes
bureaucratiques avant de lui parvenir. Le Narrateur commente que toute la
bureaucratie russe fonctionne de cette manière, chaque homme imitant son
supérieur immédiat. La personne importante, poursuit le narrateur, a des
manières grandioses et exagérées. Ses conversations sont principalement
composées de trois phrases : « Comment osez-vous ? » « Savez-vous à qui vous
parlez ? » et « Savez-vous qui se tient devant vous ? » Bien qu'il soit
fondamentalement une personne gentille, son rang confond son comportement.
Lorsqu'il communique avec des personnes de rang inférieur, il reste
généralement silencieux, ne sachant pas comment interagir avec ses inférieurs
affectera sa réputation.Lorsqu'Akaky rend visite à la personne importante, le
fonctionnaire discute avec un vieil ami et utilise l'arrivée d'Akaky pour
démontrer sa propre importance. La Personne Importante dit à sa secrétaire
qu'Akaky peut attendre, juste pour montrer à son ami combien de temps les gens
doivent attendre dans son antichambre. Après un certain temps, il convoque
Akaky et s'adresse à lui grossièrement. Akaky, sans voix, tente d'expliquer que
son pardessus a été volé et qu'il sollicite l'aide du fonctionnaire. Offensé par la
familiarité du greffier inférieur, la personne importante dit à Akaky qu'il aurait
dû passer par les voies bureaucratiques appropriées. Akaky lui dit qu'il pense
que les secrétaires sont "un peu peu fiables". The Important Person, indigné,
déplore l'impertinence de la jeune génération de fonctionnaires, alors même
qu'Akaky a déjà la cinquantaine. La personne importante crie après Akaky
jusqu'à ce qu'il trébuche hors du bureau, se sentant faible.Akaky, se sentant
engourdi, rentre chez lui dans une tempête de neige. Le lendemain, il est pris de
fièvre. Sa maladie s'intensifie rapidement, et lorsqu'un médecin le voit, il
déclare Akaky incurable. Le médecin dit à la propriétaire de commander un
cercueil bon marché, car Akaky ne pourra pas se permettre un plus cher. Le
Narrateur se demande si Akaky a entendu le médecin proclamer sa mort. On ne
sait pas, dit-il, car Akaky est à ce moment-là en délire. Akaky a des visions de
Petrovich, des voleurs et de son vieux pardessus. Dans son délire, il s'excuse
auprès de la Personne Importante, mais commence alors à jurer. Sa voix
descend en phrases absurdes tournant autour de son pardessus.Akaky meurt
finalement et est enterré. Personne ne fait l'inventaire de ses biens, car il n'a pas
d'héritiers et n'a presque rien à transmettre. Saint-Pétersbourg continue,
remarque le Narrateur, comme si Akaky n'avait jamais existé. Il n'était pas
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intéressant en tant que personne ou en tant qu'objet d'étude. Il était
complètement médiocre, bien que vers la fin de sa vie, son nouveau pardessus
« apparut soudainement, égayant sa misérable vie pour un instant de fuite… ».
Plusieurs jours après sa mort, le service d'Akaky envoie un portier chez lui pour
enquêter sur ses allées et venues. Après avoir appris qu'il est décédé, son service
le remplace le lendemain par un nouveau fonctionnaire avec une écriture
légèrement différentePeu de temps après la mort d'Akaky, une rumeur se répand
dans la ville selon laquelle un fantôme est apparu sur le pont Kalinkin à la
recherche d'un pardessus volé et enlevant la cape de chaque homme qui passe.
Un fonctionnaire reconnaît le mort comme étant AkakyAkakievich. Des
fonctionnaires de tous grades rapportent que leurs manteaux ont été volés et
qu'ils ont été exposés au froid glacial de Saint-Pétersbourg. La police a presque
réussi à capturer le fantôme : dans un épisode, un policier a surpris Akaky en
train de voler une cape et a ordonné à deux de ses camarades de tenir Akaky
pendant qu'il prenait du tabac. Mais alors que le policier ouvrait sa tabatière, le
fantôme a éternué et a rempli les yeux des trois policiers de poudre. Puis il a
disparu. Après cela, le fantôme d'Akaky commence à apparaître même au-delà
du pont Kalinkin, terrorisant tout le monde autour de lui.Le Narrateur reporte
notre attention sur la Personne Importante. Il note qu'après avoir expulsé Akaky
de son bureau, la personne importante s'est sentie coupable et a souvent pensé
au greffier par la suite. Une semaine plus tard, il envoie un fonctionnaire à la
maison d'Akaky pour voir s'il peut aider, et est troublé d'apprendre que l'homme
est mort. Dans l'espoir de se distraire, la personne importante se rend à une fête
chez un ami ce soir-là. Tout le monde y a le même rang que lui, donc il se sent
complètement libre et passe un merveilleux moment. À la fin de la soirée, il
décide de ne pas rentrer chez lui, mais plutôt de rendre visite à une de ses amies.
Le Narrateur mentionne que le fonctionnaire est un bon mari et père, mais
malgré le fait qu'il soit satisfait de sa vie de famille, il veut toujours avoir une
maîtresse. Le personnage important monte dans son traîneau et ordonne au
cocher de le conduire chez sa maîtresse. Il réfléchit joyeusement aux
événements de la soirée, bien que ses pensées soient parfois interrompues par le
vent froid.Soudain, la Personne Importante sent une main sur son col. Il se
retourne et voit un homme de petite taille vêtu d'un vieil uniforme :
AkakyAkakievich. Le fantôme est très pâle. Akaky ouvre sa bouche à l'odeur
putride et exige que le fonctionnaire abandonne son pardessus. L'important,
absolument horrifié, jette sa cape sur Akaky et ordonne à son cocher de le
reconduire chez lui au plus vite. Le lendemain matin, la fille de la personne
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importante commente qu'il a l'air très pâle. Le fonctionnaire ne répond pas et ne
dit à personne ce qui lui est arrivé cette nuit-là. L'événement l'affecte
profondément, cependant, et il commence à se comporter plus modestement,
traitant ses subordonnés avec plus de respect. À partir de ce jour, le fantôme
d'Akaky n'est plus revu, bien que beaucoup prétendent qu'il apparaît toujours
dans la banlieue de Saint-Pétersbourg.
28
Conclusion .XIII
29
Bibliographie .XIV
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