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COURS DE LITTERATURE COMPAREE

SEMESTRE I

Préambule

La littérature comparée commence à intéresser nombre important de chercheurs en littérature


et avoir une place considérable dans les recherches littéraires dès le début de XXe siècle. Elle
élargie son domaine de travail pour comprendre non seulement les relations entre les textes
littéraires, mais aussi la relation de la littérature avec les autres domaines de l’art et de la
connaissance.

La France était le point de départ de cette discipline qui finira par dépasser les frontières de son
espace d’origine pour s’ouvrir sur les différentes littératures ainsi que les autres manifestations
artistiques de tous les pays. C’est dans ce sens et à travers les cours consacrés à cette matière
que nous allons avoir une idée de la littérature comparée.

Pour étudier la production littéraire d’une époque ou d’un espace géographique donnés, les
chercheurs prennent en considération plusieurs aspects. Certains optent pour le texte lui-même
comme point de départ. D’autres voient que l’étude doit absolument s’intéresser à l’auteur et
son milieu. C’est ainsi qu’un nouveau point de vue s’est créé pour étudier le lien entre plusieurs
textes, plusieurs auteurs, littératures et pays afin d’élargir le champ d’échange entre différentes
visions du monde et cultures.

La littérature Comparée : naissance et développement

Un peu d’histoire

La naissance de la littérature comparée ne date pas d’aujourd’hui selon la théorie d’Etiemble,


mais elle date bien de longtemps. Il estime que « Le comparatisme est aussi vieux que la
civilisation écrite : ceux-là faisaient du comparatisme sans le savoir qui, à Sumer, compilaient
voilà plusieurs millénaires des dictionnaires plurilingues ».1

1
Encyclopaedia universalis. V 13. p.
909
Les études comparatistes même modestes se poursuivent également dans la période médiévale 2,
ce qui témoigne de l’originalité de cette discipline et son apport au domaine non seulement
littéraire mais aussi culturel et artistique. Par ailleurs, la nouveauté dans ce domaine est plutôt
son appellation ou sa désignation par un nom qui lui est propre « Littérature comparée ». Les
ouvrages qui témoignent de l’existence et l’ancienneté de cette science ainsi que ses spécialistes
pionniers sont nombreux. Ils évoquent même des noms peu connus de notre époque
contemporaine. Prenons à titre d’exemple les travaux de Pierre Brunel qui cite le nom de Claude
Fauriel comme le premier comparatiste officiel en France :

« On ne sait plus guère aujourd'hui que le premier comparatiste officiel fut dans notre pays
Claude Fauriel. Pour cet homme, qui avait célébré le culte officiel de la Raison au temps de la
Révolution, qui était sur place recueillir les chants des Grecs opprimés par les Turcs, mais qui
avait été aussi le familier de Mme de Staël et l'ami de Manzoni, avait été fondée en 1830 à la
Sorbonne une chaire dite "de littérature étrangère". Il l'occupa jusqu'à sa mort en 1844, mais,
malade, il avait déjà installé à sa place comme suppléant Frédéric Ozanam, qui lui succéda. » 3

C’est dans un cours consacré à littérature française et publié des années plus tard que Villemain
parle à plusieurs reprises de littérature comparée :

« Villemain a donné à la Sorbonne durant le semestre d'été de 1828 et pendant le semestre


suivant un Cours de littérature française dont une partie sera publiée en 1828 et 1829 sur des
sténographies révisées : il y traite de l'influence que l'Angleterre et la France ont exercée l'une
sur l'autre et de l'influence française en Italie au XVIIIe siècle. L'"Avis des éditeurs", en tête du
deuxième volume, indique que l'orientation nouvelle des écrivains au XVIIIe siècle favorisait
"cette étude comparée des littératures, qui est la philosophie de la critique". Le quatrième
volume, contenant la première partie du cours, ne paraîtra qu'en 1838 : Villemain emploie dans
la préface l'expression "littérature comparée"; dans le cours lui-même, professé en 1828, il disait
qu'il voulait montrer "par un tableau comparé ce que l'esprit français avait reçu des littératures
étrangères, et ce qu'il leur rendit". Il avait laissé de côté l'Allemagne, parce qu'il leur redit". Il

2
Ibid
3
Pierre Brunel et Yves Chevrel, Précis de Littérature comparée, PUF. Paris. 1989. P11
avait laissé de côté l'Allemagne, parce qu'il en ignorait la langue et parce que Mme de Staël en
avait déjà exploré les ressources. »4

Par ailleurs, Paris n’était pas le champ unique des études comparatives au XIXe siècle,
JeanJacques Ampère, à Marseille, a également consacrer une grande partie de son travail à la
littérature comparée. Il estime que l’histoire littéraire n’est jamais complète sans
l’accomplissement des travaux comparatifs : « Après Paris, - Marseille, où, à la fin de la
Restauration, se fonde un Athénée, à l'imitation de celui qui dans la capitale avait pris la
succession du vieux Lycée de la Harpe,- c'est-à-dire une sorte de faculté libre, une chaire à
prêcher les idées libérales, sous le couvert des lettres et des sciences. Jean-Jacques Ampère (…)
dès 1826, voulait se consacrer à la "littérature comparée de toutes les poésies. » 5

La littérature comparée a également participé à la de conciliation entre les pays et dépasse ainsi
les frontières. L’exemple le plus frappant est celui des relations franco-allemandes, au
lendemain de la première guerre mondiale. En effet, quelques Français, animés d'une volonté
d'irénisme et de cosmopolitisme, considérèrent que la littérature comparée était l'une des
disciplines les plus propres à ouvrir les frontières.6

La littérature comparée trouve donc un succès non seulement sur le plan populaire et culturel
mais également sur le plan pédagogique. En effet, en 1966 la littérature comparée devient une
matière obligatoire enseignée à l’université pour les deux premières années. Elle fait donc un
grand pas qualitatif et quantitatif selon Daniel-Henri Pageaux :

« En 1966, notre discipline connaissait, au plan pédagogique, un grand saut qualitatif et


quantitatif […] . A la faveur de la réforme "Fouchet", sous l'appellation "histoire littéraire
générale", la littérature comparée devenait littéraire générale", la littérature comparée devenait
matière obligatoire pour les deux premières années, ouvrant largement les programmes et les
esprits aux littératures et aux cultures étrangères. » 7

4
Pierre Brunel, Cl. Pichois, A.-M. Rousseau. Qu'est-ce que La Littérature comparée? Paris. 1983.
P.18.
5
Ibid. pp. 18.19
6
Idem. pp. 23.24
7
Daniel-Henri Pageaux, Avant-propos. In La Recherche en littérature générale et comparée en France,
Aspects et problèmes. S.F.L.G.C. 1983. Paris. pp.3.4.
L’apport de l’enseignement de la littérature comparée à l’université est considéré comme
triomphe qui favorise les opportunités de s’ouvrir sur l’extérieur, sur l’étranger et sur l’Autre.
Dans les domaines littéraires ainsi qu’esthétiques, enseigner le comparatisme sert à mieux
apprécier les textes créatifs et les critiquer objectivement. L’enseignement des méthodes
comparatistes est un enrichissement intellectuel comme le confirme Daniel-Henri Pageaux :

« En dehors du domaine littéraire, on peut penser aussi que l'enseignement comparatiste est loin
d'être sans bénéfice intellectuel : l'aptitude à passer d'un système de normes et de références à
un autre, à s'essayer à la pratique de différents langages, à lier sans cesse analyse et synthèse,
est une de ces qualités qui peuvent trouver un accomplissement, ou un prolongement, dans plus
d'une profession. »8

La littérature comparée : rôle et objectifs

René Etiemble dans son ouvrage clé Comparaison n’est pas raison, résume clairement
l’objectif principale de la littérature comparée dans cette phrase-titre : « La littérature comparée,
c'est l'humanisme. » 9 . Dans le même ordre d’idée, on pourrait considérer que la littérature
comparée est un « nouvel humanisme » 10 pour reprendre l’expression de Sartre employée pour
désigner l'existentialisme. Cet humanisme fait partie de l’humanisme et de l’universalité de la
littérature ainsi que des différentes langues. Ce qui explique le choix de certains écrivains qui
optent pour écrire dans d’autres langues que leur langue d’origines.

L’objectif de l’étude comparée est sans aucun doute la recherche des similitudes et des
différences dans les domaines de l’art et de la connaissance. Son objectif veut aussi attendre
les facteurs responsables de ces similitudes ainsi que de ces différences. Cette tendance tente
de trouver les liens possibles entre les différentes littératures.
C’est ainsi que les analyses comparatives présentent l’image des peuples et des différentes
civilisations connus à travers leurs littératures. Ces analyses tentent aussi de chercher les traits
d’influence et de préciser les auteurs responsables de la corrélation et la transmission
d’éléments de plusieurs littératures.

8
Idem
9
René Etiemble, Comparaison n’est pas raison. La crise de la littérature comparée. Les essais,
Gallimard, Paris,
1963, p.73
10
Pirre BRUNEL, Cl. Pichois, A.-M. Rousseau, Qu'est-ce que La Littérature comparée?, Armand
Colin. Paris. 1983, p.12
C’est ainsi que les études comparatives s’intéressent aux livres traduits et aux agents ; aux
voyageurs volontaires, aux missionnaires, aux guerriers comme aux exilés. L’étude comparée
nous aide à mieux comprendre non seulement l’Autre et sa littérature mais aussi elle contribue
à la compréhension de notre propre identité et notre propre littérature.

La littérature comparée et ses écoles

La France était le berceau de la littérature comparée, elle était la première à apprécier la valeur
de l’héritage commun entre elle et les autres pays européens ce qui crée la base du
comparatisme. C’est dans ce sens que les autres pays européens n’ont pas joué un grand rôle
dans l’épanouissement de cette tendance. L’émergence de cette étude a donc affronté l’obstacle
du nationalisme en Italie dont le programme d'études dans le domaine de la littérature comparée
ne commence qu’au milieu du XIXe siècle. Celui-ci s’est intéressé aux comparaisons littéraires
et à la détection des éléments d'accord et de désaccord entre les phénomènes de la littérature et
s’est terminé par la mise au point de considérer la littérature comparée comme «un moyen
simple de l'histoire des sources".

La littérature comparée rencontre pratiquement le même sort en en Angleterre et en Allemagne.


Mais elle a quand même trouvé son succès grâce aux activités de l’Association internationale
de la littérature comparée (AILC) qui a été fondée en 1955. C’est à partir de cette date que les
travaux de l’association étaient destinés à des conférences et des réunions dans les capitales
occidentales. La conférence de Tokyo en 1991 a marqué un tournant décisif et par l’ouverture
vers le monde au-delà des pays occidentaux. Les comparatistes français s’attachent depuis le
début à l’histoire littéraire, à l’étude des influences, à la recherche du fait, ce qui devient plus
tard les caractéristiques de ce qu’on appelle « l’école française » : « L'Ecole française" a
longtemps passé pour farouchement attachée à l'histoire littéraire, à l'étude des influences, à la
recherche du fait »

A partir des années soixante, des idées américaines qui se caractérisent par l’ouverture vers
l’Autre commence à influencer petit à petit la littérature comparée. René Wellek et H. Remak
ont proposé des théories qui réclament l’étude des relations entre la littérature et les autres
domaines de la connaissance comme l’art (peinture, sculpture, architecture et musique), la
philosophie, l’histoire ainsi que les sciences humaines comme la politique, la gestion, la
sociologie, etc. l’école américaine propose donc de comparer la littérature aux autres champs
de l’expression humaine :

« En réaction tantôt hardie et tantôt mesurée contre une pondération qui a pu paraître pesanteur,
une tradition considérée comme routine, un positivisme devenu scientisme, la littérature
comparée d'Outre-Atlantique a voulu s'appuyer sur deux principes. Le principe moral reflète
l'attitude d'une nation grande ouverte sur l'univers, soucieuse d'accorder à chaque culture
étrangère une sympathie démocratique, mais, en même temps, plus consciente de ses racines
occidentales. Le principe intellectuel permet aux Américains de prendre le recul nécessaire aux
vastes panoramas, depuis l'Antiquité jusqu'au XXe siècle, de préserver jalousement les valeurs
esthétiques et humaines de la littérature encore sentie comme une exaltante conquête spirituelle,
de se lancer dans les expériences de méthode et d'interprétation les plus éclectiques sans crainte
de se fourvoyer. »11

Les deux écoles sont donc complémentaires puisque chacune d’entre elles propose une analyse
du fait littéraire : « En combinant les deux méthodes qui se croient ennemies et qui, en réalité,
doivent se compléter – l'enquête historique et la réflexion critique, ou esthétique- la littérature
comparée aboutirait comme fatalement à une poétique comparée. » 11

La littérature comparée : définitions

Le terme « littérature comparée » a été farouchement critiqué par les chercheurs qui ont
finalement continué à l’utiliser longtemps. En tout cas, grâce à ce manque de précision dans le
terme, la littérature comparée a jouit de cette capacité de produire de nouveaux domaines de la
connaissance, comme l’esthétique de la réception, la traductologie, la stylistique comparée et
la narratologie comparée qui : « étudie les procédés narratifs et la structuration d'ensemble qui
en résulte, selon une méthode et une terminologie particulière. Mais, conformément aux attentes
de son frère siamois, le comparatisme, elle porte sur des corpus multilingues. » 12

Cependant, avant de passer à l’énumération des différentes acceptions données à la littérature


comparée, il est important, à notre sens, de souligner la différence entre la littérature qui est un
art, une créativité, et l’étude littéraire qui n’est qu’une branche de la connaissance : « Ces deux

11
Ibidem
12
Florence Godeau. Narratologie comparée. In La Recherche en littérature générale et comparée en
France en 200, p.254
activités sont bien distinctes : l'une est créatrice, et par là un art; l'autre, sans être à proprement
parler une science, est une branche de la connaissance ou du savoir. » 13

Pour bien placer la littérature par rapport aux autres branches de la science humaine, René

Wellek atteste sa généralité par rapport à l’histoire et à la biographie, ainsi que sa particularité
par rapport à la psychologie et à la sociologie : « La littérature est plus générale que l'histoire
et la biographie, mais plus particulière que la psychologie ou la sociologie. » 14

Dans son premier manuel sur la littérature comparée, Marius-François Guyard écrit en 1951,
que la littérature comparée est en fait l’histoire des relations littéraires internationales : « La
littérature comparée n'est pas une comparaison. Celle-ci n'est qu'une des méthodes d'une science
mal nommée qu'on définirait plus exactement: l'histoire des relations littéraires internationales.
»15. C’est ainsi qu’il emploie le terme "science" pour désigner la littérature comparée. Ce même
terme est également utilisé par Robert Escarpit qui qualifie la littérature comparée de « la
science de la différence » 16. Pageaux, préfère employer l’expression de « la science de l'autre.

Ce qui est important de rappeler c’est qu'il n'y a pas de divergences sans convergences et
inversement, et puisque Etiemble trouve que "L'homme est partout le même", l'étude comparée
tend toujours, en analysant les différentes manifestations artistiques à travers le monde, à
chercher ces différences et/ou ces ressemblances.

Pour A. Peyronie « La Littérature comparée est l'étude du fait littéraire par sa mise en question
à travers une frontière linguistique ou culturelle. » 17 Cette étude qui cherche les différences et
les ressemblances dans la littérature nationale et à l'étranger devient selon Etiemble "la
littérature générale". Goethe, de son coté était le premier à utiliser l’expression de la littérature
internationale, il a toujours voulu réunir toutes les littératures du monde dans une seule «

13
René Wellek, Austin Warren, La théorie littéraire. Traduit de l'anglais par Jean-Pierre Audigier et
Jean Gattégno. Poétique. Seuil. Paris. 1971
14
Ibid
15
Marius-François Guyard. La littérature comparée. Que sais-je? PUF.1er édition 1951. 6ème édition: ,
1er trimestre 1978. Paris, p.5
16
René Etiemble, Essais de littérature (vraiment) générale. 3e Editions, Gallimard. Paris. 1975, p.21
17
Yves Chevrel. La littérature comparée et la quête d'un territoire. In Comparer L'Etranger, Enjeux du
comparatisme en littérature. Sous la direction d'Emilienne BanethNouailhetas et Claire Joubert.
Presses universitaires de Rennes. 2006. France, p.52
littérature internationale » : « Toute littérature, disait Goethe, éprouve périodiquement le besoin
de se tourner vers l'étranger » 18

Dans leur ouvrage Qu'est-ce que La Littérature comparée? P. Brunel, Cl. Pichois, et A.-M.
Rousseau tentent de donner une définition adéquate à la littérature comparée : « La littérature
comparée est l'art méthodique, par la recherche de liens d'analogie, de parenté et d'influence, de
rapprocher la littérature des autres domaines de l'expression ou de la connaissance, ou bien les
faits et les textes littéraires entre eux, distants ou non dans le temps ou dans l'espace, pourvu
qu'ils appartiennent à plusieurs langues ou plusieurs cultures, fissent-elles partie d'une même
tradition, afin de mieux les décrire, les comprendre et les goûter. » 19

Les termes utilisés pour désigner cette discipline ont provoqué longtemps de nombreux débats
et discussions. Etiemble hésite même devant le choix de deux termes : la littérature comparée
ou les littératures comparées et s’interroge : « Faut-il dire : la littérature comparée, ou les
littératures comparées ? Si l’on emploie le singulier, à quoi compare-t-on la littérature ? À
soimême ? À quoi d’autre ? »20

18
Marius-François Guyard, op.cit, p.10
19
Pierre BRUNEL, Cl. Pichois, A.-M. Rousseau, Qu'est-ce que La Littérature comparée?, Armand
Colin. Paris. 1983, p.150
20
Encyclopaedia universalis. V 13. p. 908
Bibliographie

- Brunel Pierre et Yves Chevrel, Précis de Littérature comparée, PUF. Paris. 1989
- Brunel Pierre, Cl. Pichois, A.-M. Rousseau. Qu'est-ce que La Littérature comparée?
Paris. 1983
- Chevrel Yves, La littérature comparée et la quête d'un territoire. In Comparer
L'Etranger, Enjeux du comparatisme en littérature. Sous la direction d'Emilienne
BanethNouailhetas et Claire Joubert. Presses universitaires de Rennes. 2006.
- Encyclopaedia universalis France. Corpus 13. Editeur à Paris. S.A. 1995.
- Etiemble René, Essais de littérature (vraiment) générale. 3e Editions, Gallimard. Paris.
1975
- Etiemble René, Comparaison n’est pas raison. La crise de la littérature comparée.
Les essais, Gallimard, Paris, 1963
- Godeau Florence, Narratologie comparée. In La Recherche en littérature générale et
comparée en France en 200
- Guyard Marius-François, La littérature comparée. Que sais-je? PUF.1er édition 1951.
6ème
édition: , 1er trimester, Paris, 1978.
- Pageaux Daniel-Henri, Avant-propos. In La Recherche en littérature générale et
comparée en France, Aspects et problèmes. S.F.L.G.C. 1983. Paris.
- Wellek René, Austin Warren, La théorie littéraire. Traduit de l'anglais par Jean-Pierre
Audigier et Jean Gattégno. Poétique. Seuil. Paris. 1971
- Bachelard Gaston, L’eau et les rêves, essai sur l’imagination de la matière, Paris, José
Corti, réédition 1994
- Bachelard Gaston, Fragments d’une poétique du feu, 1988
- Bachelard Gaston, La psychanalyse du feu, Paris, folio essai, 1949
- Borges Jorge Luis, Conférences (1967), traduit de l’espagnol par Françoise Rosset,
Paris, Gallimard, coll. Folio Essais, 1995
- Burdin Léon, Parler la mort. Des mots pour la vivre, Paris, Desclée de Brouwer, 1997
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- Chomarat François, « BACHELARD, ou l’écriture de la formule », in Quentin Molinier
(dir), La pensée de Gaston Bachelard, Implications philosophiques – juin 2012, p. 18- 28
- Daoud Kamel, ZABOR ou les psaumes, Alger, Barzakh, 2017
- Galland Antoine, Les Mille et Une Nuits, tome 1
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- Wunenburger Jean-Jacques, « Gaston Bachelard : poétique des images », in Quentin
Molinier (dir), La pensée de Gaston Bachelard, Implications philosophiques – juin 2012, 8-
17
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