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AUCUN ENDROIT SÛR

Des vies brisées, des soins de santé sur le point de s'effondrer ­ vous ne pouvez pas résoudre ce problème assez vite

Une lettre au maire Gregor Robertson par

Olga Sheean
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Thèmes principaux de ce document :

Ignorés, exclus et incapables – des citoyens contraints de fuir ....................................... ......................3

Preuves d’effets nocifs : faits en bref.................................................. .................................................................. .....5

Faits scientifiques versus manipulations politiques et désinformation .............................................. ............................7

Effets physiques du DME............................................................ .................................................................. ......................13

Les principaux symptômes de l’EHS ............................................ .................................................................. ......................13

Points de repère importants sur la bouée de sauvetage des CEM ............................................ ......................................................16

Droits de l’homme et méfaits humains.................................................. .................................................................. 17

Questions auxquelles vous et le gouvernement devez répondre............................................ ......................................20

Un avant­goût de ce qui nous attend : le coût réel du rayonnement électromagnétique................................... ...........23

Les scientifiques appellent à davantage de mesures de protection, compte tenu des preuves croissantes des risques liés aux CEM.........24

Également envoyé à :

• Premier ministre Justin Trudeau • David Eby,

député • Hedi Fry, député •

Elizabeth May, députée

• Joyce Murray, députée • La

Fondation David Suzuki

• Dr Erica Mallery­Blythe, PHIRE/Radiation Research Trust • Dr Dietrich Klinghardt,

Klinghardt Academy • Elizabeth Kelley, directrice, EMFscientist.org • Dr

Joel Moskowitz, Sécurité contre les rayonnements électromagnétiques,

saferemr.com • The Vancouver Sun

• Actualités métropolitaines

• Le Globe and Mail

• Le Tyee

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15 juin 2016
Cher Monsieur Robertson,

En 2003, alors que je travaillais pour l' Organisation mondiale de la santé (OMS) à Genève, la directrice générale, le Dr Gro
Harlem Brundtland, a démissionné parce que les radiations des téléphones portables la rendaient malade.
Avec d’innombrables autres médecins, chercheurs et scientifiques, Brundtland a déclaré que « la recherche montre les effets
délétères » de l’utilisation de téléphones portables et d’autres appareils émettant des radiations. « Il ne s’agit pas d’une
technologie innocente1 », affirme­t­elle. C’est une vérité gênante que nous ignorons parce que nous sommes si loin dans le
terrier de la vie sans fil.

Votre campagne visant à bombarder la ville avec des rayonnements nocifs (appelés de manière bénigne Wi­Fi) démontre
clairement que vous n'êtes pas informé des effets nocifs scientifiquement prouvés du Wi­Fi non ionisant/non thermique et des
autres rayonnements électromagnétiques (EMR). Cela montre également qu’en tant que fonctionnaire élu, vous n’avez pas fait
preuve de diligence raisonnable. En promouvant le Wi­Fi gratuit comme une amélioration positive pour la communauté, vous
avez amené les gens à croire qu'il n'y avait aucun danger et qu'ils pouvaient utiliser leurs différents gadgets électroniques à leur
guise, sans se soucier des autres (bébés, enfants). , passagers en transit, voisins, etc.) affectés par ces mesures.

Ignorés, exclus et incapables : des citoyens contraints de fuir

Pour cette raison, je suis obligé de quitter Vancouver, où je vis depuis 1992. Je fais partie d'un nombre rapidement croissant de
personnes atteintes d'hypersensibilité électromagnétique (EHS), et je ne peux plus tolérer les radiations qui bombardent nos
plages. centres communautaires, bibliothèques, cafés, écoles, cabinets de médecins et même hôpitaux. Vous apprécierez peut­
être l'ironie de quelqu'un qui se remet d'une opération au cerveau à VGH pour l'ablation d'un neurinome de l'acoustique
potentiellement mortel, tout en étant bombardé par le même rayonnement connu pour avoir causé la tumeur en premier lieu.

Je préférerais ne pas en acheter un autre.

La ville la plus verte du monde ? Les zones bleues indiquent la couverture Wi­Fi par l'un des nombreux fournisseurs de services Internet de Vancouver.

1 Voir : http://bit.ly/1V7KBvd pour une entrevue avec Brundtland sur les effets du DME.

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S'asseoir sur la plage, être dans la nature, faire du vélo, aller voir un film, faire du shopping en ville, rencontrer des amis dans les cafés et

parcourir la bibliothèque étaient des choses simples que j'appréciais mais que je ne peux plus faire confortablement. Loin de rendre la ville plus

conviviale, vous en avez fait un piège mortel pour ceux qui sont sensibles aux champs électromagnétiques (CEM). Rien que dans mon quartier,

je connais plusieurs autres personnes souffrant d’EHS, dont une pratiquement confinée à la maison.

Nulle part où aller en toute sécurité, et aucun moyen sûr d'y arriver

Avec le Wi­Fi désormais disponible dans les taxis, les coopératives de covoiturage, les bus, les trains, les ferries et la plupart des compagnies

aériennes commerciales, il n’existe pas un seul moyen de transport public que les personnes atteintes d’EHS puissent utiliser en toute sécurité.

(Plus précisément, il n'existe pas un seul moyen de transport public que toute personne possédant des globules rouges et un système nerveux

central puisse utiliser en toute sécurité.) Ils ne peuvent pas voyager, rendre visite à leur famille, partir en vacances ou même sortir de la ville

irradiée qui les rend malade… sans tomber encore plus malade. N'ayant aucun endroit sûr où aller ni aucun moyen sûr d'y arriver, les personnes

atteintes d'EHS ont effectivement été bloquées, abandonnées et immobilisées par les gouvernements municipal, provincial et fédéral.

Les personnes atteintes d’EHS sont les indicateurs biologiques indésirables de la façon dont
nos vies criblées de radiations sont devenues malsaines et non durables.

Il y a une raison pour laquelle les personnes atteintes d'EHS sont largement ignorées, au­delà du fait que la plupart sont trop incapables ou

épuisées pour lutter contre le statu quo. Nous sommes les « canaris dans la mine de charbon » – les précurseurs de ce qui va arriver – et

personne ne veut être dérangé par des faits qui feraient éclater sa bulle électronique.

Ça te dit quelque chose? C'est ce que Shaw fait. Telus plus!

Compte tenu du vaste ensemble de preuves scientifiques des dommages causés par le Wi­Fi et d'autres formes de DME, il est clair que vous,

le gouvernement et les fournisseurs de services tels que BC Hydro, Telus, Shaw et Bell avez complètement manqué à votre responsabilité de

reconnaître les dangers et prendre les mesures appropriées pour protéger notre bien­être.

Je ne sais pas ce qui est le plus répréhensible : nier qu'il existe un danger, alors que vous savez le contraire, ou ne pas vous informer en

effectuant les recherches appropriées. S'appuyer sur des informations trompeuses et inexactes promues par les prestataires de services est

inacceptable, en particulier de la part d'un maire élu dont la promesse électorale incluait « la protection de la santé humaine ».

En fait, vous favorisez le mal. De nombreuses jeunes mères portent leur bébé — et leur téléphone portable —

dans une écharpe de portage. Toute une génération de bébés est exposée à des niveaux dangereusement élevés de rayonnement provenant

de téléphones portables qui ne sont même pas à un pouce de leur petit corps. Si ces radiations nuisent aux adultes d’âge mûr (et nous le

savons), qu’est­ce qu’elles font à ces nourrissons fragiles ?

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« [Santé Canada] vous donne des informations partielles ou erronées [sur la

sécurité des rayonnements Wi­Fi pour les enfants]. Parce qu’il existe un consensus
scientifique selon lequel les micro­ondes [utilisées pour le Wi­Fi] provoquent des
effets biologiques. […] Et il n’y a aucune preuve que ce soit sans danger pour les enfants.

—Dr Zory Glaser (PhD), ancien chef du laboratoire de micro­ondes de la marine américaine et conseiller de la FDA,
siéger au Comité des normes techniques de radioprotection des produits électroniques

Preuve d'effets nocifs : faits en bref*

• Il y a maintenant 10 milliards de fois plus de rayonnements dans notre environnement qu'auparavant.

dans les années 1960.

• Si la tendance actuelle se poursuit, 50 % de la population d'Autriche, de Californie, d'Angleterre, d'Irlande, d'Allemagne

et de Suède ressentira les effets du rayonnement électromagnétique d'ici 2017. Le Canada ne sera pas différent.

• Swisscom, l'entreprise suisse de télécommunications, affirme que le rayonnement sans fil non thermique « a un effet
génotoxique », causant « des dommages évidents au matériel héréditaire [ADN] » et un « risque accru de cancer ».

• Le DME affecte négativement les cellules sanguines de TOUS les individus, qu'ils ressentent
effets ou non.

• Le DME endommage les membranes cellulaires, provoquant une fuite de calcium et créant de nombreux problèmes
de santé, tels qu'une altération des fonctions cérébrales, l'autisme, l'infertilité, l'EHS, l'hypocalcémie, des
dommages à l'ADN, des problèmes thyroïdiens, l'ostéoporose, des déséquilibres endocriniens, une démence
précoce, l'asthme, des troubles neurologiques et plusieurs sensibilités chimiques.

• L'autisme chez les enfants double tous les cinq ans, parallèlement à l'augmentation du DME, et il existe désormais
une chance sur 50 qu'un enfant développe ou naisse avec l'autisme en Amérique du Nord.

• Presque chaque année de chaque école primaire en Amérique du Nord compte au moins un enfant autiste – un
trouble presque inconnu il y a une génération (http://
usat.ly/NZXM1i).

• Le rayonnement électromagnétique brise la très importante barrière hémato­encéphalique, provoquant la mort des
neurones, ce qui peut entraîner une démence précoce et la maladie d'Alzheimer.

• Seulement 5 minutes d'exposition au Wi­Fi peuvent provoquer une mutation cellulaire, une oxydation et des rouleaux.
qui sont tous associés à la maladie et à l'affection.

• L'exposition cumulée moyenne du corps entier à partir d'un compteur intelligent à 3 pieds est environ 100 fois
supérieure à celle d'un téléphone portable (voir https://goo.gl/Po9e6K, à la minute 2.17).

* Voir ailleurs dans ce document pour les références aux études/données confirmant ces faits.

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Même si j'ignorais les effets néfastes des radiations, mon corps en enregistre les effets physiques chaque fois que je me
trouve à proximité d'un signal Wi­Fi ou d'un téléphone portable. Depuis que j'ai acheté un appareil de mesure qui détecte les
radiofréquences (RF) et d'autres formes de rayonnements nocifs, j'ai enfin établi le lien de causalité entre le rayonnement Wi­
Fi et mes symptômes : maux de tête, tension, problèmes neurologiques, « zapping » électrique, prématurés. vieillissement,
stress oxydatif élevé, insomnie et fatigue que je vis depuis des années. Ce sont les biomarqueurs/symptômes classiques de
l’EHS, reconnus par les experts médicaux et les chercheurs du monde entier.

Pénétrant instantanément le ciment, le métal, le plastique, les vêtements, les voitures, les os, les
muscles, les tissus et la peau, le rayonnement électromagnétique nous affecte tous en quelques minutes.

L'hypersensibilité électromagnétique apparaît en deux temps, explique le Dr Dominique Belpomme, oncologue français. « La
première phase est induite par l’exposition à une fréquence EMF spécifique, soit une exposition aiguë ou chronique, comme
parler au téléphone portable 20 minutes chaque jour. Les premiers signes d'hypersensibilité [due à l'utilisation du téléphone
portable] sont des douleurs et une sensation de chaleur dans l'oreille. Dans la deuxième phase, la maladie s'installe. C'est
alors qu'on devient intolérant à toutes les fréquences.»

Il était une fois...

…la Terre était plate. Fumer était bon pour toi. La thalidomide était excellente contre les nausées matinales.
L'amiante est une excellente isolation. L’énergie nucléaire était la voie à suivre. Les cultures OGM étaient une aubaine pour
les agriculteurs du monde entier. Et les huiles hydrogénées constituaient un choix rentable. Aujourd’hui, nous disposons de
réseaux Wi­Fi et mobiles, qui nous connectent à tout le monde, partout, à chaque seconde de chaque jour… et créent une
prolifération omniprésente, pratiquement inévitable, sans précédent, incontrôlée, incontrôlée et en escalade rapide des
radiations dans notre environnement. Mais ne vous inquiétez pas ; le maire de Vancouver dit que c'est sécuritaire!2

Comme bon nombre de ces affirmations infondées, le Wi­Fi est désormais présenté comme une technologie sûre et bénéfique
dans des études et des relations publiques parrainées par l’industrie. Par conséquent, les médias ont présenté de nombreux
rapports trompeurs, inexacts et incomplets sur les rayonnements Wi­Fi, affirmant qu'il n'y avait aucune relation causale
apparente et qu'il n'y avait aucune preuve étayant les expériences des personnes atteintes d'EHS.3 De telles affirmations
révèlent simplement l'ignorance des journalistes. des dernières recherches ­ et peut­être de leur propre histoire d'amour
addictive avec leur iPhone. Certains ont affirmé que les réactions aux rayonnements électromagnétiques sont
psychosomatiques, ce qui est une insulte aux innombrables individus qui n'avaient aucune idée que les DME étaient à l'origine
de leur maladie et n'ont découvert la « relation causale » très claire qu'après des années de recherche, de déficience
fonctionnelle, d'énormes dépenses et erreur de diagnostic.

Néanmoins, de telles théories sont susceptibles d’être extrêmement rassurantes pour ceux qui ne connaissent pas les FAITS.

2 Voir http://bit.ly/1svnHmQ pour un petit échantillon de preuves convaincantes du contraire.

3 Voir, par exemple, http://bit.ly/1RNGwe0.

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Fait scientifique versus manipulation politique et désinformation

SPIN : Le rayonnement Wi­Fi non ionisant ne génère pas suffisamment de chaleur pour causer des dommages et,
par conséquent, cette forme de rayonnement non thermique n'est pas nocive pour les humains.

FAIT : Des études scientifiques – et l’industrie des télécommunications elle­même – confirment que les
rayonnements non thermiques sont nocifs pour le corps humain.4

• « Un faible rayonnement électromagnétique non ionisant dans l'environnement peut être lié à davantage de
« maladies modernes » que même les pessimistes ne le croyaient possible », explique le Dr Andrew Goldsworthy.
"La science moderne peut désormais commencer à expliquer comment."
(Pour plus de détails, voir : http://bit.ly/1taEDi3.)

• L'Académie américaine de médecine environnementale rapporte que : « des études épidémiologiques démontrent
que des effets biologiques nocifs importants se produisent lors d'une exposition aux RF non thermiques » (http://
bit.ly/24XtIpS).

• Une demande de brevet de Swisscom indique clairement que le rayonnement sans fil non thermique « a un effet
génotoxique … provoqué par une voie non thermique » et que « lorsque les cellules sanguines humaines sont
irradiées par des champs électromagnétiques, des dommages évidents au matériel héréditaire [ADN] ont été
démontré [with] des indications d’un risque accru de cancer. Le brevet international (http://bit.ly/1OQbG4V), déposé
en 2003, concernait une technologie permettant de réduire « l'électrosmog » des réseaux locaux sans fil, destinée
à réduire les risques de cancer associés à une exposition non thermique aux rayonnements micro­ondes.

(Pour plus de détails, voir : http://bit.ly/1BCVa0W.)

• Une étude épidémiologique britannique (confirmée par des résultats suédois, japonais et italiens) montre une
association entre l'utilisation à long terme d'un téléphone portable et les neurinomes acoustiques (http://
microwavenews.com/uk­study­points­acoustic­neuroma). Bien que les névromes de l'acoustique (qui se développent
sur le huitième nerf crânien/auditif) soient « bénins », ils peuvent quand même vous tuer.

Une étude de 25 millions de dollars menée par le Programme national de toxicologie des NIH a
révélé que les rayonnements radioélectriques des téléphones portables provoquaient deux types
de tumeurs : le gliome et le schwannome [neuromes acoustiques].

http://goo.gl/eN6hKo

4 Le Dr Andrew Goldsworthy a produit des comptes rendus convaincants et complets des multiples effets des CEM, faisant référence à
70 études scientifiques), les dangers du smog électromagnétique et les raisons pour lesquelles le corps est affecté de la sorte (voir http://bit.ly/
1PlASJZ ; http://bit.ly/28ltGL9 ; et http://bit. ly/1taEDi3).

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SPIN : Les rayonnements à très basse fréquence (ELF) n’ont pas d’effets significatifs sur la santé.

FAIT : Les champs électromagnétiques les plus nocifs pour les humains sont ceux de la gamme ELF ainsi que les
fréquences radio pulsées ou modulées en amplitude par ELF (voir http://bit.ly/1PlASJZ pour les trois points suivants).

• Il a été scientifiquement prouvé que les rayonnements ELF endommagent les membranes cellulaires, provoquant
une fuite de calcium et créant de nombreux problèmes de santé, tels qu'une altération des fonctions cérébrales,
l'autisme, l'infertilité, l'EHS, l'hypocalcémie, des dommages à l'ADN, la démence précoce, l'asthme et de multiples
sensibilités chimiques.

• Le rayonnement électromagnétique peut briser la très importante barrière hémato­encéphalique, provoquant la

mort des neurones, ce qui peut entraîner une démence précoce et la maladie d'Alzheimer.

• Les cellules des glandes sont particulièrement sensibles aux radiations, qui peuvent endommager la thyroïde et le
système endocrinien, perturbant ainsi le métabolisme. Il a été démontré que même une exposition à court terme

aux rayonnements d’une tour de téléphonie cellulaire augmente les niveaux de cortisol, tandis qu’une exposition à
long terme entraîne une augmentation permanente de l’adrénaline.

• Les CEM perturbent la production de mélatonine, le seul antioxydant du corps, ce qui entraîne des niveaux élevés
de radicaux libres nocifs/de stress oxydatif et un vieillissement accéléré.5

• Les fuites de calcium vers l'intérieur des neurones du cerveau stimulent l'hyperactivité et rendent le cerveau moins
capable de se concentrer sur les tâches, ce qui entraîne un trouble déficitaire de l'attention avec hyperactivité
(TDAH). 6

« Les directives internationales d’exposition aux champs électromagnétiques

doivent être renforcées pour refléter la réalité de leur impact sur notre
corps, notamment sur notre ADN. Il est grand temps de s’attaquer aux
effets néfastes sur la santé et la biologie. Il faut réduire l’exposition
en établissant des lignes directrices plus protectrices » (voir annexe 1).

5 Henshaw, DL et Reiter, RJ (2005). Les champs magnétiques entraînent­ils un risque accru de leucémie infantile via une perturbation de la mélatonine ?
Supplément bioélectromagnétique 7 : S86­S97.
6 Beason et Semm, 2002 ; Krey et Dolmetsch, 2007, Volkow et al, 2011.

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SPIN : Il n'existe aucune preuve médicale démontrable des dommages causés par le Wi­Fi ou le Smart.
mètres.

FAIT : Les effets néfastes des rayonnements RF des téléphones portables, du Wi­Fi et des compteurs intelligents
peuvent désormais être médicalement démontrés.

• Les dommages causés aux globules rouges par une brève exposition aux rayonnements RF peuvent être observés
via une analyse de cellules sanguines vivantes (microscopie à fond noir), qui révèle une mutation cellulaire, une
oxydation et des rouleaux (agrégation de globules rouges) (https:/ /youtu.be/y4JDEspdx58).

• Seulement 5 minutes d'exposition aux rayonnements Wi­Fi entraînent des dommages cellulaires associés à des
processus pathologiques (voir : https://vimeo.com/100623585, à la minute 4.48).

• Selon le rapport BioInitiative, 7 effets biologiques se produisent en quelques minutes et à de

très faibles niveaux d'exposition aux CEM et aux rayonnements RF, similaires à ceux liés à l'utilisation de téléphones
portables et sans fil, ainsi qu'à l'exposition aux antennes­relais de téléphonie mobile (tours de téléphonie cellulaire),

au Wi­Fi et aux services publics sans fil. produire une exposition du corps entier. Il a également été démontré que
les expositions chroniques au niveau des stations de base entraînent des maladies (//bit.ly/1Xn4ZIV).

« L'OMS continue d'ignorer les recommandations de sa propre agence et

privilégie les lignes directrices recommandées par la Commission internationale
de protection contre les rayonnements non ionisants (ICNIRP). Ces lignes
directrices, élaborées par un groupe autosélectionné d’initiés de l’industrie, ont
longtemps été critiquées comme étant non protectrices » (voir annexe 1).

7 Le rapport BioInitiative 2012 a été préparé par 29 auteurs (dont 10 MD, 21 PhD, 3 MsC, MA ou MPH) de 10 pays (Autriche,
Canada, Danemark, Grèce, Inde, Italie, Russie, République slovaque, Suède et ETATS­UNIS). Parmi les auteurs figurent le président
du Comité national russe sur les rayonnements non ionisants et un conseiller principal de l'Agence européenne pour l'environnement.

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SPIN : Seuls les individus vulnérables, hypersensibles ou faibles sont concernés.

FAIT : Il a été médicalement prouvé que les effets néfastes du DME se produisent dans tous les corps
humains.

• Le Dr Erica Mallery­Blythe, ancienne médecin d'urgence désormais spécialisée en EHS, affirme que ces
effets se produisent même chez ceux qui ne présentent pas de symptômes, et que beaucoup d'entre nous
peuvent être électro­hypersensibles sans s'en rendre compte. « Tout le monde a le potentiel de devenir
électro­hypersensible [puisque] chaque cellule de notre corps, de notre cerveau ou de notre système
nerveux dépend de signaux électriques » (http://www.dailymail.co.uk/femail/article­2331369) .

• D'innombrables autres médecins (tels que le Dr Dietrich Klinghardt8 et le Dr Andrew Goldsworthy)

confirment que le DME affecte les cellules sanguines de tous les individus, endommageant finalement leur
système nerveux, leur cerveau, leurs organes reproducteurs et leur santé physique.

MYTHE N°5 : Les effets supposés du DME sont intangibles et ne peuvent être mesurés objectivement.

FAIT : Des médecins et des chercheurs ont identifié des biomarqueurs des CEM

intolérance – indicateurs biologiques des dommages causés par les DME, que l'on retrouve chez toute
personne souffrant de sensibilité aux CEM, ainsi que chez ceux qui n'avaient aucune idée qu'une telle chose
existait ou qu'elle pouvait les rendre malades.

• Il a été constaté que l'exposition a un impact néfaste sur la mélatonine, la sérotonine, la dopamine,
l'adrénaline, le cortisol, la testostérone, la progestérone, les hormones thyroïdiennes T3 et T4 et l'ACTH
plasmatique (qui régule le cortisol) (http://bit.ly/1rXJUcC et http ://www.magdahavas.com/), parmi tant
d'autres (voir schéma sur les principaux effets physiques).

• Le Dr Dietrich Klinghardt9 teste des biomarqueurs particuliers chez les personnes touchées par la pollution
CEM : une augmentation des marqueurs d'inflammation (TGF­Beta 1, MMP­9 et cuivre, qui montre une
inflammation chronique, une anomalie hormonale et une anomalie des neurotransmetteurs) (http://bit. ly/

1Sc8I8G).

• D'autres tests médicaux pour détecter les effets des CEM comprennent l'analyse des cellules sanguines
vivantes, l'analyse du cerveau et du système nerveux et l'analyse cardiaque (https://www.emfanalysis.com/
ehs­biomarkers/).

8 Le Dr Dietrich Klinghardt, MD, PhD, est fondateur de la Klinghardt Academy (États­Unis), de l'American Academy of Neural Thera­
py, directeur médical de l'Institut de neurobiologie et clinicien principal au Sophia Health Institute (État de Washington). Il est également
fondateur et président de l'Institut de neurobiologie (en Allemagne et en Suisse). Voir https://youtu.be/PktaaxPl7RI et http://
www.klinghardtacademy.com/
9 Voir https://youtu.be/PktaaxPl7RI et http://www.klinghardtacademy.com/.

dix
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SPIN : Lorsqu'on demandait aux personnes atteintes d'EHS de détecter la présence de rayonnements de
téléphone portable, derrière un rideau ou une porte fermée, elles ne pouvaient souvent pas dire quand le
rayonnement était présent, ou elles réagissaient même si le téléphone portable n'avait pas été allumé. ce qui
prouve que tout est dans leur tête.

FAIT : Cette approche a depuis été invalidée, pour plusieurs raisons. De nombreuses personnes atteintes
d'EHS peuvent ressentir physiquement les rayonnements RF, même si elles ne savent souvent pas que c'est
ce qu'elles ressentent. Cependant, même ceux qui ne ressentent rien sont toujours affectés au niveau
cellulaire.

• La plupart des gens ne ressentent rien puisque l'effet se produit au niveau cellulaire, au­delà de leur
conscience. Les effets ne se feront sentir que chez les personnes dont le système nerveux est sensibilisé ou
chez ceux chez qui la force/la durée de l'exposition a créé des symptômes physiques.

• Affirmer que les gens réagissent physiquement à la simple suggestion d'une exposition aux CEM révèle
simplement une ignorance, non seulement de la manière dont les CEM affectent le corps humain au niveau
cellulaire, mais aussi de la nature humaine elle­même. Si vous avez peur des araignées, des hauteurs ou des
petits espaces et qu'on vous dit qu'on pourrait vous donner une tarentule, vous placer sur une falaise ou
enfermé dans un placard, vous ressentirez instinctivement de l'anxiété, de la transpiration et d'autres réactions
physiologiques au stress, que ce soit. ces menaces se sont matérialisées ou non. Pourtant, le danger posé
par le DME est bien réel et la crainte qu’il suscite est fondée.

• Comme le souligne le Dr Mallery­Blythe : « L'hypersensibilité électromagnétique est un problème

physiologique et non psychologique [et] elle peut être considérée soit comme une maladie, soit comme un
super­sens, selon l'environnement de l'individu, bien qu'elle soit essentiellement les deux »(https://vimeo.com/
100623585).

• Le Dr Dominique Belpomme, oncologue français, abonde dans ce sens : « Nous savons avec certitude que
l'hypersensibilité électromagnétique n'est pas psychosomatique. »

Si vous ne ressentez pas les effets, vous ne vous en soucierez pas.

Si vous ne vous en souciez pas, vous ne regarderez pas.

Si vous ne regardez pas, vous ne verrez pas.

Si vous ne voyez pas, vous ne croirez pas.

Mais la preuve est là.

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SPIN : Les fournisseurs de services affirment que le rayonnement du Wi­Fi, des téléphones portables et des compteurs

intelligents est sûr, et les médias n'ont rien rapporté de concluant, il n'y a donc pas lieu de s'inquiéter.

FAIT : Des milliers d’études scientifiques attestent des dommages causés par les RF et d’autres formes de rayonnement.

• Les résultats de bon nombre de ces études ont été publiés dans des revues médicales et scientifiques réputées telles

que The Lancet, l'International Journal of Neuroscience, le Journal of Applied Sciences Research, Electromagnétique

Biology and Medicine et

NeuroToxicologie, entre autres (http://nutritionalbalancing.org/center/environment/

articles/emf­emr­health­effects#ref).

• Des études révèlent des effets biologiques néfastes liés aux fréquences Wi­Fi (2,4 ou 5 GHz), avec des expositions

<16 V/m (comme celles d'un appareil compatible Wi­Fi) : http://bit.ly/1jsIPUp.

• Une étude de 25 millions de dollars menée par le Programme national de toxicologie des NIH a révélé que les

rayonnements radiofréquences des téléphones portables provoquaient deux types de tumeurs : le gliome et le
schwannome (neuromes acoustiques).10

• « Les CEM provoquent des effets majeurs dans le cerveau », explique le Dr Dominique Belpomme, oncologue.

« Le plus important d’entre eux est l’ouverture de la barrière hémato­encéphalique. Cela permet au mercure, aux

organochlorés et à d’autres polluants de pénétrer dans le cerveau, où ils provoquent diverses maladies

neurodégénératives. »11

• Alors que certains reportages dans les médias s'efforcent de prouver que le DME ne nous nuit pas, des médecins et

des spécialistes du monde entier aident discrètement ceux dont la vie a été déchirée par le phénomène bien réel et

dévastateur de l'hypersensibilité électromagnétique.

Pour une chronologie de la prise de conscience croissante des décisions historiques concernant l'EHS, voir : http://www.

emfwise.com/awareness.php.

• Le professeur agrégé Dr Olle Johansson, neuroscientifique à l'Institut Karolinska en Suède qui étudie les effets

biologiques des rayonnements RF sans fil depuis plus de 30 ans, prédit un « changement de paradigme » dans les

attitudes à l'égard des CEM. Notre environnement contient actuellement environ 10 milliards de fois plus de rayonnements

RF que dans les années 60. « Si cet environnement est sûr », dit Johansson, « nous parlons d'environ 15 000 à 25 000

articles publiés dans des revues scientifiques à comité de lecture qui sont tous faux. Cela n’est jamais arrivé auparavant.

10 www.saferemr.com/2016/05/national­toxicology­program­finds­cell.html
11 Voir : http://goo.gl/RCiYLa

12
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Principaux effets physiques de l'EMR12

1. Une perturbation du système nerveux, qui envoie le corps dans une réaction perpétuelle de combat ou de fuite et l’empêche

de se reposer, de se réparer, de guérir ou de se régénérer normalement.

2. Production réduite de mélatonine, l' hormone du sommeil du corps, nécessaire à des cycles de sommeil sains. La mélatonine

est également le seul antioxydant naturel du corps. Lorsqu’il est épuisé, il provoque un stress oxydatif et un vieillissement

accéléré dû aux radicaux libres nocifs.

3. Système immunitaire affaibli, sous la forme d’une diminution des cellules tueuses naturelles et d’autres dommages aux

globules blancs.

4. Problèmes de reproduction dus à la stérilité, à l’infertilité et aux perturbations hormonales.

5. Rupture de la barrière hémato­encéphalique, entraînant la mort des neurones, pouvant entraîner

à la démence précoce, à la maladie d'Alzheimer, au TDAH et à l'autisme.

6. Augmentation du métabolisme cérébral du glucose, également liée à la maladie d'Alzheimer (connue sous le nom de

« diabète du cerveau »).

7. Le stress oxydatif et l'inflammation chronique, qui affectent tous les organes du corps, provoquant de nombreuses

affections dégénératives et autres telles que le cancer, le diabète, l'ostéoporose, les maladies cardiaques, le

vieillissement rapide et l'arthrite.

8. Inhibition des mécanismes de réparation, empêchant le corps de récupérer ou de guérir

normalement.

Les principaux symptômes de l’EHS

• Insomnie/troubles du sommeil

• Maux de tête, douleurs vives, picotements, engourdissements

• Pression dans la tête/la gorge/la poitrine/les oreilles, acouphènes

• Vertiges, problèmes d'équilibre

• Bourdonnement électrique ou « zapping » dans la tête

• Troubles visuels/auditifs, irritation des yeux

• Perte de mémoire à court terme, blocage mental/de pensée, problèmes de concentration

• Éruptions cutanées, eczéma

• Déshydratation chronique, soif insatiable

• Altération de la fréquence cardiaque, palpitations, anomalies de la tension artérielle

• Tremblements, tics, convulsions

• Fatigue extreme

• Dysfonctionnement articulaire, douleurs musculo­squelettiques

• Sensibilité accrue aux produits chimiques et/ou allergies

• Surcharge sensorielle, incapacité à se reposer/se détendre/guérir

12 Diagnostic et prise en charge de l'hypersensibilité électromagnétique (EHS) : aperçu rapide pour un public mixte – une
présentation très informative du Dr Erica Mallery­Blythe à la convention de la British Society of Ecological Medicine en mars 2014 (https://vimeo.
com/100623585).

13
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Semble familier?

Si vous ressentez l’un de ces symptômes, ce n’est peut­être pas dû à un rayonnement électromagnétique.
Cependant, la probabilité qu'ils soient provoqués ou exacerbés par le DME augmente chaque jour, même si la plupart de ces effets
sont mal diagnostiqués, ne sont pas diagnostiqués et/ou sont « traités » avec des médicaments. Selon le Dr Mallery­Blythe,
certaines caractéristiques de l'EHS nécessitent une prise en charge en urgence, comme les convulsions, les douleurs cardiaques
thoraciques et les arythmies malignes, entre autres. Il existe également certains signes caractéristiques de l'EHS, dit­elle, tels que
des points chauds du corps présentant une sensibilité accrue (comme l'oreille droite, suite à l'utilisation d'un téléphone portable, ou
la main droite, suite à l'utilisation d'une souris d'ordinateur) ; sensibilité chimique; et un soulagement temporaire du bain/douche, qui
a un effet d'ancrage sur le corps.

Est­ce que cela vous énerve ?

L'incidence des maladies neurologiques chroniques augmente rapidement, l'autisme chez les enfants doublant tous les cinq ans,
selon le Dr Dietrich Klinghardt.13 Et il sait pourquoi. "La seule chose qui correspond à l'augmentation exponentielle des maladies
neurologiques chroniques est l'exposition accrue aux champs électromagnétiques d'origine humaine, en grande partie dans la
gamme des hautes fréquences provenant des rayonnements des téléphones portables, du réseau Tetra [...]. Des compteurs
intelligents..." Avec des références, une expertise et des spécialisations médicales trop étendues pour être énumérées, le Dr

Klinghardt est une autorité reconnue en matière d'EHS et de nombreuses maladies (SLA, Parkinson, SEP, autisme, etc.) qui
explosent de manière incontrôlable en raison de la prolifération généralisée des radiations. Il a identifié les biomarqueurs de l'EHS,

ajoutant considérablement aux recherches menées au cours des 80 dernières années, la plupart montrant des dommages
biologiques causés par l'EMR. « En tant que scientifique, vous n'avez pas besoin de chercher très loin », dit­il.

Jusqu'où les « scientifiques » travaillant pour Telus, Bell, Shaw, BC Hydro, vous ou Justin Trudeau ont­ils regardé, M. Robertson ?
Les preuves sont désormais si vastes et convaincantes qu’il serait difficile pour tout chercheur assidu de ne pas être intimidé par le
volume considérable de données. Les prestataires de services et les politiciens qui ignorent ces preuves cruciales rendent un très
mauvais service aux humains partout dans le monde, tout en vilipendant, condescendant et insultant les personnes atteintes d’EHS.

Vous me dégoûtez!

Je suis désolé de le dire comme ça… mais ne devriez­ vous pas M'excuser ? Vous — mon voisin, mon collègue, mon ami, les
voyageurs qui m'entourent dans l'autobus, les six autres personnes dans l'ascenseur avec moi et vous — le maire de Vancouver —
rejetez tous des quantités massives de radiations dans notre environnement commun, ce qui vous l'avez rendu si malsain que je ne
peux plus l'habiter.

Soyons absolument clairs à ce sujet : je ne suis pas le problème. Je ne suis qu'un symptôme de ce qui ne va pas.
Ce n'est pas l'individu qui est malade, handicapé ou dysfonctionnel en raison de la « sensibilité » aux CEM ; C'est le

13 Voir https://youtu.be/PktaaxPl7RI

14
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environnement. En Suède, les personnes atteintes d'EHS ne sont pas considérées comme souffrant d'une maladie mais d'une déficience

fonctionnelle résultant de l'environnement inhospitalier dans lequel elles vivent (voir par exemple : http://1.usa.gov/1TYtbib).

Devenir plus vert... ou simplement plus malade ?

Pendant que vous et Justin Trudeau concentrez diligemment vos efforts sur la réduction des effets du changement climatique, vous souhaiterez

peut­être considérer la réalité bien plus urgente signalée par le Dr Robert O. Becker, MD et scientifique, deux fois nominé pour le prix Nobel :

« …le plus grand L’élément polluant de l’environnement terrestre est la prolifération des champs électromagnétiques » [CEM], qui est « bien

plus importante, à l’échelle mondiale, que le réchauffement et l’augmentation des éléments chimiques dans l’environnement ».

Certains médecins EHS affirment que 80 % de toutes les maladies sont associées aux rayonnements électromagnétiques. On dit que les maux

de tête, l’inflammation, l’insomnie, le TDA/H, les troubles neurologiques et d’innombrables autres affections sont causés ou exacerbés par

l’augmentation des niveaux de rayonnement dans notre environnement.

Il a été démontré que même l’autisme se développe chez les enfants nouvellement exposés au Wi­Fi.

Avant même de parler à leurs patients, les médecins disposant d’une connexion Wi­Fi ou d’un
téléphone portable dans leur cabinet violent effectivement leur serment de ne faire aucun mal.

15
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Points de repère importants sur la bouée de sauvetage des CEM

• « Des études montrent que 10 à 50 % de la population [en France, soit 30 millions de personnes] pourraient
devenir très intolérants aux CEM dans les 25 à 50 prochaines années », affirme le Dr Dominique
Belpomme, oncologue français,14 mais cette projection est déjà (en 2016) très obsolète.

• Les chiffres sont bien plus élevés, affirme le Dr Erica Mallery­Blythe, sur la base de nouvelles données
montrant que les effets du DME se feront sentir beaucoup plus immédiatement – d'ici 2017 – chez environ
50 % de la population en Autriche, Californie, Angleterre, Irlande, Allemagne et Suède – et même cette
projection est peut­être une grave sous­estimation.

• La Suède a officiellement reconnu l'EHS comme un handicap fonctionnel en 2002. Conscients que ce n'est
pas l'individu qui est malade, mais l'environnement, les Suédois disposent de communautés spéciales
sans CEM, de mécanismes juridiques et de subventions gouvernementales pour les personnes atteintes d'EHS.

• Le Wi­Fi a été interdit/sévèrement restreint dans de nombreuses écoles en Suisse, en France, en Allemagne
et dans d'autres pays européens.

• En 2009, le Parlement européen a voté pour que les personnes atteintes d'EHS soient reconnues
comme handicapé.

• En 2011, l'OMS/Centre international de recherche sur le cancer (CIRC) a classé les rayonnements RF comme
potentiellement cancérigènes pour l'homme (Groupe 2B), sur la base d' un risque accru de gliome (un type
malin de cancer du cerveau), associé à l'utilisation de téléphones sans fil. . Il a également été constaté que
les névromes acoustiques résultent du rayonnement Wi­Fi
exposition.

• Un tribunal du travail espagnol a déclaré un professeur d'université frappé d'incapacité permanente par l'EHS,
en 2011.

• En mai 2015, Lloyd's de Londres a informé les écoles britanniques qu'elle excluait la couverture de
responsabilité pour les blessures « résultant de ou contribuées à des champs électromagnétiques, des
rayonnements électromagnétiques, de l'électromagnétisme, des ondes radio ou du bruit », ce qui signifie
que les responsables de l'école pourraient être personnellement responsables de exposer les enfants/le
personnel et le personnel aux rayonnements micro­ondes (http://bit.ly/1XX2Qo4).

• Les autorités canadiennes ont dû brièvement « voir la lumière », en juin 2007, lorsque la Commission
canadienne des droits de l'homme a approuvé une politique sur les sensibilités environnementales qui
reconnaissait également l'EHS comme un handicap. De toute évidence, cette prise de conscience initiale
a depuis été annulée par de puissantes forces politiques et industrielles.

14 Voir http://goo.gl/RCiYLa

16
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Droits de l’homme et méfaits humains

La Politique sur les hypersensibilités environnementales stipule que « les personnes vivant avec des
hypersensibilités environnementales ont droit à la protection de la Loi canadienne sur les droits de la personne,
qui interdit la discrimination fondée sur le handicap. La Commission canadienne des droits de la personne […]
traitera toute plainte de toute personne qui croit avoir été victime de discrimination en raison d'une sensibilité
environnementale. Comme les autres personnes handicapées, les personnes hypersensibles à l’environnement
sont tenues par la loi d’être adaptées » (http://www.chrc­ccdp.gc.ca/sites/default/
files/policy_sensitivity_0.pdf) (pour plus de détails, voir l’Annexe 1).

Conformément à la Convention des Nations Unies relative aux droits des personnes handicapées, 15
Le Canada a l'obligation de respecter les principes suivants (particulièrement pertinents pour l'ESS) :

un. Respect de la dignité inhérente, de l'autonomie individuelle, y compris la liberté de faire ses propres choix, et de
l'indépendance des personnes ;
b. Non­discrimination ;

c. Participation et inclusion pleines et effectives dans la société ;

d. Respect de la différence et acceptation des personnes handicapées comme faisant partie de la diversité humaine
et l'humanité;
e. Égalité des chances ;
F. Accessibilité;

Il doit également entreprendre :

un. Adopter toutes les mesures législatives, administratives et autres appropriées pour la mise en œuvre
des droits reconnus dans la présente Convention ;
b. Prendre toutes les mesures appropriées, y compris législatives, pour modifier ou abolir les lois, réglementations,
coutumes et pratiques existantes qui constituent une discrimination à l'égard des personnes handicapées ;

c. Prendre en compte la protection et la promotion des droits humains des personnes handicapées dans toutes les
politiques et programmes ;
d. S'abstenir de se livrer à tout acte ou pratique incompatible avec la présente Convention et veiller à ce que les
autorités et institutions publiques agissent conformément à la présente Convention ;

e. Prendre toutes les mesures appropriées pour éliminer la discrimination fondée sur le handicap par toute personne,
organisation ou entreprise privée ;

Les dispositions de la Convention s'étendent à toutes les parties des États fédéraux, sans aucune limitation ni
exception. Afin de promouvoir l’égalité et d’éliminer la discrimination, le Canada (avec les autres signataires)
doit prendre toutes les mesures appropriées pour garantir que des aménagements raisonnables soient fournis.

15 Voir : http://goo.gl/aEJF1

17
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Selon le Code des droits de la personne de la Colombie­Britannique, les propriétaires, les prestataires de services et autres
décideurs ont l'obligation légale d'accommoder les personnes handicapées , y compris les EHS.

Quels aménagements proposez­vous aux personnes atteintes d’EHS ?

Où pouvons­nous profiter en toute sécurité des commodités accessibles à tous

les autres habitants de la ville, sans être incapables, exclus ou autrement
discriminés en raison du rayonnement Wi­Fi ?

Quelles mesures prenez­vous pour éliminer la discrimination à l’égard des

personnes atteintes d’EHS, de toutes les manières décrites ici ?

«…les personnes atteintes d’électrohypersensibilité fonctionnelle [ont le droit]

de vivre une vie égale dans une société fondée sur l’égalité.»

—Dr Olle Johansson, neuroscientifique

à l'Institut Karolinska de renommée mondiale en Suède

Si l'EHS résulte de la réaction naturelle du corps à un rayonnement électromagnétique nocif (comme le démontre une
analyse sanguine16), alors la discrimination des personnes souffrant de cette « déficience fonctionnelle » nie les principes
fondamentaux de la physiologie humaine, ce qui constitue une discrimination contre le corps humain lui­même.

Bien qu'être exposé à des radiations nocives sans son consentement et hors de son contrôle constitue clairement une
violation des droits humains, il est difficile de déterminer combien de ces droits sont violés. Il y a le droit à l'égalité des
chances, le droit de subvenir à ses besoins, le droit d'accéder à tous les services et commodités disponibles pour les
citoyens non­EHS, le droit à une bonne santé, le droit de vivre dans un environnement sûr, le droit de choisir si d'être exposé
à des radiations nocives et peut­être même le droit d'exister, compte tenu de ce qui précède. Cela pourrait même être
considéré comme un déni de notre humanité même, étant donné notre réaction naturelle aux radiations et l’inévitable point
de basculement du corps vers l’intolérance à des niveaux sans cesse croissants. Nous avons tous des seuils d’intolérance
– à l’égard de l’alcool, du sucre, des substances cancérigènes et des toxines, ainsi qu’à l’égard des politiciens comme
Harper ou de tout autre fonctionnaire qui ne sert pas nos meilleurs intérêts.

16 Effets observables du rayonnement RF/MW des compteurs intelligents : mutation cellulaire, oxydation et rouleaux (agrégation de globules
rouges), démontrés par l'analyse de cellules sanguines vivantes (microscopie à fond noir). Voir https://goo.gl/Nvdpgz.

18
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Prélude à la pathologie

C'est en réalité très simple, et tout se résume à ceci : les cellules sanguines humaines sont affectées par les CEM. Vanter des
normes « sûres », contester l’angle des droits de l’homme ou recourir à une approche juridique transparente pour tenter de
réfuter le préjudice causé est inutile et hors de propos. N’importe qui peut placer une goutte de son sang sous un microscope
puissant et constater par lui­même les dégâts causés, comme l’ont fait de nombreux profanes, chercheurs et médecins, dont
l’auteur à succès, le Dr John Gray. "En cas d'exposition élevée aux CEM, les cellules sanguines deviennent lentes et
congestionnées", dit­il. «Quand j'ai entendu parler de cette recherche [EMF], je suis sorti et j'ai acheté un microscope coûteux
pour tester cela. J’ai vu cela de mes propres yeux. Les cellules endommagées (indiquant une oxydation, une mutation cellulaire
et la formation de rouleaux) sont les précurseurs de maladies. Aucune autre preuve n’est requise. Bien qu’il s’agisse
certainement d’une question juridique, il s’agit avant tout d’une question physiologique et humanitaire.

Soyons personnels...

Que faudrait­il pour que vous reconnaissiez les dangers du DME ? Si votre fille Hanna développait l'autisme, le TDAH ou peut­
être même la SEP, est­ce que cela suffirait ? Et si vous commenciez à ressentir des symptômes inexplicables, au point que
vous ne puissiez plus travailler ou fonctionner normalement ? Cela vous semble­t­il une question trop personnelle ? Chaque
minute de chaque jour, je suis exposé à des radiations intenses, omniprésentes et incontournables, sanctionnées et promues
par vous, avec des effets progressivement néfastes sur mon corps et ma vie. Il n'y a rien de plus personnel que ça, Gregor.

Explorons quelques faits scientifiques supplémentaires. Savez­vous quelle quantité de rayonnement est émise par votre
téléphone portable, votre ordinateur portable, votre iPad ou votre téléphone sans fil ? Et si vous êtes exposé à plusieurs signaux
Wi­Fi à la fois, provenant de plusieurs sources, savez­vous quelle quantité de rayonnement cela représenterait ?

J'ai interrogé un physicien à ce sujet, et voici ce qu'il m'a répondu :

Lorsque l’on examine la force du signal sur les téléphones ou les routeurs, le nombre de barres n’est pas
linéairement lié à la force du champ. Ainsi, la barre 4 peut être 10 fois plus résistante que la barre 3, qui peut
être 10 fois plus résistante que la barre 2, qui peut être 10 fois plus résistante que la barre 1. Cependant, la
barre 5 peut être 1 000 à 100 000 fois plus résistante que la barre 4. En réalité , un signal peut être de 19 mW/
m², un autre de 13 mW/m² et les autres d'environ 2 mW/m², les 10 signaux s'enregistrant sous forme de 4 barres.
Votre exposition totale serait alors de 48 mW/m². [De nombreux chercheurs/
les médecins spécialisés en EHS recommandent des niveaux ne dépassant pas 1 mW/m² pour une exposition
prolongée, mais ce chiffre est dangereusement élevé pour ceux qui sont sensibles et ressentent les effets à des
niveaux aussi bas que 0,0020 mW/m².] Puisque le nombre de barres est arbitraires et peuvent couvrir une large
gamme d’intensités de signal, il n’existe pas de moyen simple de les ajouter. Plus la durée/force du signal est
grande, plus il interagit avec votre corps.

19
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Cela soulève de nombreuses questions sur l'augmentation rapide des niveaux de rayonnement RF dans les espaces publics
et sur ce que vous faites pour limiter le rayonnement avant qu'il ne devienne intolérable pour la plupart des êtres humains.

Questions auxquelles vous et le gouvernement devez répondre

• Compte tenu des données ci­dessus, comment pouvez­vous déterminer le niveau de rayonnement Wi­
Fi n'importe où, à tout moment, si vous ne savez pas combien d'appareils sont utilisés ni à quelle
puissance ?

• Quel est le niveau actuel de rayonnement Wi­Fi au centre­ville, dans la bibliothèque publique, à
l'hôpital général de Vancouver ou dans une résidence à logements multiples où chacun possède
son propre routeur Wi­Fi, son téléphone portable et d'innombrables autres appareils sans fil
générant leur propre des signaux forts ?

• Est­ce que vous/votre équipe suivez les niveaux ? Quand et comment les mesurer ? Et les entreprises
doivent­elles vous informer si elles « passent au Wi­Fi » et augmentent la charge cumulée
existante, dans un endroit donné ?

• Faites­vous tous ces tests et recherches en secret ou la nuit ? Ou vous fiez­vous à ce que d'autres ont
signalé comme étant « sûr » ? (Je ne vous ai jamais vu, ni aucun autre agent public, porter un
appareil de mesure RF pour tester les niveaux de rayonnement Wi­Fi autour de vous.)

• Pouvez­vous me dire à quelle quantité de rayonnement je suis exposé, à un moment donné et dans
un endroit donné ? Savez­vous ce qui est sain ou tolérable pour moi – pour mon corps particulier,
avec ses caractéristiques et tolérances uniques et individuelles ?
M’appellerez­vous lorsque les niveaux dépasseront ce que vous pensez que je peux personnellement
tolérer ?

• Qu'en est­il lorsque je suis dans un ascenseur avec 8 autres personnes, utilisant toutes leur iPhone,
qui génère des niveaux dangereusement élevés de rayonnement radiofréquence, avec une portée
de 20 à 40 pieds, dans un espace minuscule de 8' x 10', dépassant de loin ce qui pourrait être
considéré comme sain pour quiconque ?

• Que recommandez­vous au nombre de plus en plus grand de personnes comme moi qui ne peuvent
consulter un naturopathe, ni même se rendre à VGH, puisque le WiFi est désormais partout, grâce
à vous ? Que leur suggérez­vous de faire si la consultation du corps médical aggrave l’état pour
lequel ils recherchent une aide médicale ?

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• Réalisez­vous que vous ne connaîtrez jamais l'impact total de votre campagne, car beaucoup de
personnes atteintes d'EHS sont tellement incapables qu'elles ont fui la ville, sont trop malades pour
riposter ou ne peuvent même pas utiliser leur ordinateur ?

• Assumez­vous la responsabilité du fait que vous avez non seulement permis à tous les citoyens d'être
bombardés de rayonnements nocifs, indépendants de leur volonté, mais que vous les avez
également amenés à croire que les rayonnements Wi­Fi sont sûrs et qu'ils peuvent utiliser leurs
nombreux appareils électroniques. appareils aussi souvent qu'ils le souhaitent, sans aucun effet néfaste ?

• Dans votre rôle de fonctionnaire, êtes­vous sûr de pouvoir me dire ce que je peux ou ne peux pas faire
en toute sécurité, même si vous n'avez pas effectué les recherches nécessaires ?
Parmi les milliers d’études médico­scientifiques confirmant les effets néfastes du DME, combien
avez­vous réellement lu ?

• Est­il possible de faire de Vancouver « la ville la plus verte du monde » tout en la bombardant
simultanément du type de rayonnement dont il a été démontré qu'il empêche la croissance saine
des plantes et des arbres, sans parler des êtres humains ?17

• Qu'en est­il de la croissance explosive des nouvelles technologies et gadgets Wi­Fi ?

avec des voitures sans fil autonomes bientôt sur le marché ? Avez­vous établi le niveau auquel le
rayonnement ambiant devra être plafonné, pour éviter une épidémie catastrophique de maladies,
d'invalidités et de troubles neurologiques ?

• Avez­vous estimé le coût de cette situation pour le système de santé, qui sera en fin de compte payé
(financièrement et par d'innombrables autres moyens) par tous les Canadiens ?

Les preuves scientifiques des dommages causés par

les rayonnements électromagnétiques sont irréfutables.

Il n’y a plus de doute, juste un déni.

17 Voir : http://bit.ly/1dy9fwt et http://goo.gl/PO2yiV.

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J'aimerais sincèrement savoir pourquoi vous pensez que vous — ainsi que Shaw, Bell, Telus, BC Hydro, etc. — pouvez violer mes droits

les plus fondamentaux en tant qu'être humain, en me soumettant à des radiations nocives, sans ma permission et hors de mon contrôle,

provoquant des perturbations fonctionnelles. déficience, perte auditive, dérégulation du système nerveux, perturbation neurologique,

lésions organiques, douleur, isolement social, perte financière, vieillissement rapide, maladie et désespoir. S'il vous plaît aviser.

Même si cela me met à juste titre en colère, je regrette également de ne pas avoir pris cela beaucoup plus au sérieux, bien plus tôt que je

ne l'ai fait. Même si je pouvais sentir un bourdonnement électrique dans ma tête, lorsque j'étais exposé aux signaux Wi­Fi, je ne savais

pas que j'avais un névrome de l'acoustique qui s'y développait, ni même que de telles choses existaient. Mon ignorance et mon manque

de conscience m'ont coûté cher.

Je vous exhorte à ne pas commettre la même erreur.

Sincèrement,

Olga Shean

olga@olgasheean.com

PS : Je vous demande respectueusement de ne pas insulter mon intelligence, d'augmenter mon stress ou de diminuer davantage mon

espérance de vie en diminuant, en rejetant ou en invalidant les dangers très réels, en escalade rapide, non surveillés et incommensurables

des rayonnements électromagnétiques, ou le vaste corpus médical et irréfutable. preuves scientifiques attestant de son impact néfaste

sur la vie humaine.

PPS : J'oubliais presque : où dois­je envoyer la facture ? Au cours des quatre dernières années seulement, j'ai dépensé plus de 25 000 $

en spécialistes, tests médicaux, thérapies, suppléments et tissus et dispositifs de protection contre les CEM. Être incapable de travailler

normalement depuis que j'ai subi une opération au cerveau m'a coûté au moins 250 000 $. Les coûts permanents pour ma relation, ma

santé, mon bien­être, mes amitiés, mes affaires, ma vie sociale, ma mobilité, ma longévité et ma qualité de vie sont inestimables. Mais

arrondissons le tout à 2 millions de dollars. Dois­je vous envoyer la facture directement, afin que vous puissiez la partager avec vos amis

de Shaw, Bell, Telus et BC Hydro ?

S'il vous plaît laissez­moi savoir.

22
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Un avant­goût de ce qui nous attend : le coût réel du rayonnement électromagnétique

Les données disponibles indiquent que, si la tendance actuelle se poursuit, 50 % de la population de nombreux pays

développés ressentira, d’ici 2017, les effets des rayonnements électromagnétiques.

Le Canada ne fait pas exception. Dans la seule région métropolitaine de Vancouver, près de 1,3 million de personnes

seraient touchées, et voici quelques­uns des changements auxquels vous pouvez vous attendre :

• l'incidence des maladies augmentera considérablement

• Les coûts des soins de santé vont monter en flèche

• Les services de santé et les services gouvernementaux seront incapables de faire

face. • L'absentéisme augmentera de façon exponentielle.

• Les performances, l'expertise, la concentration et la concentration en souffriront.

• davantage d'erreurs humaines et d'accidents se produiront dans tous les domaines de la vie

• des pénuries de main d'œuvre qualifiée/non qualifiée • les entreprises

vont échouer/faire faillite • l'incidence de l'autisme

chez les enfants va monter en flèche • de plus en plus de personnes

prendront des médicaments pour essayer de contrôler les symptômes • les jeunes auront de

plus en plus de problèmes hormonaux/d'infertilité • les adultes vieillira rapidement et quittera le

marché du travail plus tôt • un pourcentage croissant de la population

bénéficiera d'une pension d'invalidité ou d'une pension

• Les propriétaires ne pourront pas rembourser leurs prêts

• Les économies locales et nationales souffriront

• les marchés vont s'effondrer ou s'effondrer •

des procès, des procès, des procès...

23
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Annexe 1 : Les scientifiques réclament davantage de mesures de protection, compte tenu des preuves croissantes des risques liés aux CEM

En mai 2015, 190 scientifiques de 39 pays ont soumis un appel aux Nations Unies, aux États membres de l'ONU et à l'Organisation mondiale
de la santé (OMS), leur demandant d'adopter des directives d'exposition plus protectrices aux champs électromagnétiques (CEM) et à la
technologie sans fil du visage. de preuves croissantes de risque.

Tous les scientifiques ont publié des articles évalués par des pairs sur les effets biologiques ou sur la santé des rayonnements non ionisants,
une partie du spectre CEM qui comprend les champs de fréquences extrêmement basses (ELF) utilisés pour l'électricité ou les rayonnements
radiofréquences (RF) utilisés pour le sans fil. communications.
L'appel a été lancé par le Dr Martin Blank, qui possède plus de 30 ans d'expérience dans la recherche sur les champs électromagnétiques à
l'Université de Columbia et est ancien président de la Société internationale de bioélectromagnétique. Il donne une explication convaincante
de la crise sanitaire majeure à laquelle nous sommes confrontés en raison des niveaux croissants de pollution environnementale provenant de
sources croissantes et croissantes de CEM.

L'appel appelle à des mesures de précaution, pour limiter l'exposition aux CEM et pour éduquer le public sur les risques pour la santé, en
particulier pour les enfants et les femmes enceintes, et demande aux Nations Unies,
L'OMS, le PNUE et les États membres de l'ONU doivent :

• faire face à la crise de santé publique émergente liée aux téléphones cellulaires, aux appareils sans fil, aux compteurs de
services publics sans fil et aux infrastructures sans fil dans les quartiers ; et
• Exhortons le Programme des Nations Unies pour l'Environnement (PNUE) à entreprendre une évaluation d'alternatives aux
normes et pratiques d'exposition actuelles qui pourraient réduire considérablement l'exposition humaine aux
rayonnements non ionisants.

« Les directives internationales d'exposition aux champs électromagnétiques doivent être renforcées pour refléter la réalité de leur impact sur
notre corps, notamment sur notre ADN », déclare le Dr Blank. « Il est grand temps de s’attaquer aux effets néfastes sur la santé et la biologie.
Nous devons réduire l’exposition en établissant des directives plus protectrices.

L'appel met en lumière les positions contradictoires de l'OMS sur les risques liés aux champs électromagnétiques. Le Centre international de
recherche sur le cancer de l'OMS a classé les rayonnements radiofréquences comme « cancérogènes possibles » du groupe 2B en 2011, et
les champs de fréquences extrêmement basses en 2001. Néanmoins, l'OMS continue d'ignorer les recommandations de sa propre agence et
privilégie les lignes directrices recommandées par la Commission internationale des radiofréquences. Protection contre les rayonnements
ionisants (ICNIRP). Ces lignes directrices, élaborées par un groupe autosélectionné d’initiés de l’industrie, ont longtemps été critiquées comme
étant non protectrices.

Le Dr Joel Moskowitz, PhD, de l'Université de Californie à Berkeley, déclare : « Les directives de l'ICNIRP établissent des normes d'exposition
pour des seuils d'échauffement des tissus à haute intensité et à court terme. Celles­ci ne nous protègent pas des expositions chroniques de
faible intensité courantes aujourd’hui.

L'appel appelle l'ONU à renforcer ses avis sur les risques liés aux CEM pour les humains et à évaluer l'impact potentiel sur la faune sauvage
et d'autres organismes vivants sous les auspices du Programme des Nations Unies pour l'environnement, conformément aux données
scientifiques démontrant le risque, résolvant ainsi cette incohérence. .

Voir : http://www.emfscientist.org et http://goo.gl/sLi7Uu

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Annexe 2 : Extraits du rapport de la Commission canadienne des droits de la personne,

Hébergement pour les sensibilités environnementales : perspective juridique

« …l'interdiction de discrimination prévue par la Loi s'applique à tous les employeurs, fournisseurs de biens, de services,
d'installations ou d'hébergement et aux organisations d'employés relevant de la compétence fédérale de la Commission canadienne
des droits de la personne.

« Le Comité ad hoc sur les troubles d'hypersensibilité environnementale, présidé par l'ancien juge George M. Thomson, a défini
les hypersensibilités environnementales comme suit :

un trouble multisystémique chronique (c'est­à­dire persistant pendant plus de trois mois), impliquant généralement
des symptômes du système nerveux central et d'au moins un autre système. Les personnes affectées sont
fréquemment intolérantes à certains aliments et réagissent négativement à certains produits chimiques et à des
agents environnementaux, seuls ou en combinaison, à des niveaux généralement tolérés par la majorité…
L’amélioration est associée à l’évitement des agents suspectés et les symptômes réapparaissent avec une
réexposition.

« Les personnes sensibles à l'environnement subissent des réactions indésirables aux agents environnementaux en dessous du
niveau jugé dangereux ou susceptible d'affecter les personnes. Les causes, symptômes et déclencheurs des sensibilités
environnementales varient d’un individu à l’autre. Les agents environnementaux déclencheurs sont répandus dans tout
l’environnement bâti et comprennent les champs électromagnétiques et les produits chimiques présents dans les matériaux de
construction, les meubles, les produits de nettoyage et de copie, les parfums et les pesticides.

« …il ne fait aucun doute que les individus ressentent des symptômes physiques dus aux agents environnementaux. Même si les
sensibilités environnementales étaient déclenchées par un problème psychiatrique, la garantie de la Loi en matière
d'accommodement sans préjudice excessif et de non­discrimination serait également applicable, quoique potentiellement avec
différentes formes d'accommodement. Bien que cet article utilise le terme « sensibilités environnementales », de nombreux autres
termes font référence à des conditions identiques ou similaires, notamment « sensibilité chimique multiple (MCS), « blessure
chimique », « syndrome des bâtiments malsains », « maladie environnementale », « pollution environnementale » . hypersensibilité »,
« sensibilité aux champs électromagnétiques (CEM), » « syndrome de la guerre du Golfe », « trouble de sensibilité
environnementale », « maladie du 20e siècle » et « allergies environnementales ». En raison de la variation des déclencheurs et
des symptômes, il est préférable de faire référence aux sensibilités au pluriel plutôt qu’au singulier.

« [Au Canada], les plaignants sont tenus de fournir un minimum de preuves médicales pour établir qu'ils sont considérés comme
des personnes handicapées, et les personnes hypersensibles à l'environnement n'ont pas besoin de prouver la véracité de leur
état. En fait, les tribunaux ont spécifiquement statué que l’incapacité de la communauté médicale à diagnostiquer une maladie ou
à en identifier la cause n’a aucune incidence sur le fait qu’une personne souffre d’un handicap, dans la mesure où ses déclencheurs
peuvent être identifiés. L’analyse vise plutôt à se concentrer sur les besoins d’adaptation de la personne et sur le comportement
de l’employeur ou du fournisseur de services.

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