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Cr2O72- libère des protons H+, c’est un acide ; CrO42- est la base conjuguée.
E(V)
1,5
Cr2O72-
1
CrO42-
0,5
Cr3+
0
0 2 4 6 8 10 12 pH
-0,5 Cr(OH)3(s)
2+
Cr
-1
Cr(s)
-1,5
A l’équilibre :
14 3
C r2 O 7 2 H S O 4 2 H
2 3 0, 06 2 0, 06
E (C r2 O 7 / Cr ) log E (S O 4 / HSO 3 ) log
HSO 3
2
6 C r 3 2
14 3 9
C r2 O 7 2 H S O 4 2 H
2 3 0, 0 6 2 0, 0 6
E (C r2 O 7 / Cr ) lo g 2
E (S O 4 / HSO 3 ) lo g 3
3
6 Cr 6 H S O 3
2 3 2
E (C r2 O 7 / Cr ) E (S O 4 / H S O 3 ) 0, 01 log K 2
1, 33 0,17
log(K 2 ) 116 .
0, 01
K2 = 10116 > 104 >>1. La réaction est quasi-totale.
E(V)
HClO
Cl2
1,42 V
Cl- CLO-
pH
7,5
CNO-
CN-
Les domaines de stabilité de CN - et ClO- sont disjoints. ClO - oxyde CN- de façon quasi-
totale suivant la réaction : CN- + CLO- = CNO- + Cl-.
Cl2 est très toxique, il ne faut pas acidifier une solution d’eau de Javel.
Q7. e
I
I E.réf : électrode de référence au calomel saturé ou au
mA sulfate mercureux par exemple.
mV
I
C.E. : Contre-électrode en graphite ou platine par
exemple.
Q8. Pour que le potentiel de l’électrode de référence soit le plus stable possible, il faut
qu’elle soit parcourue par aucun courant. L’impédance du mV doit être extrêmement
grande devant l’impédance du système : (E.T. + électrolyte + C.E et générateur).
Q11. C’est un couple rapide. J est perceptible dès que E E°. Dit autrement, il n’y a pas de
surtension cathodique ou de palier horizontal proche de la zone J = 0.
Plus Ecathode < -0,6 V, plus la densité de courant est importante, plus le débit de charge
est important, plus vite se fait la réduction.
Attention, à ne pas trop baisser E cathode pour ne pas réaliser en parallèle une réduction
concurrente ou atteindre un palier de diffusion.
Q13. m(Au(s)) récupérée est proportionnelle à It = JSt, donc à e.t donc à l’énergie. S n’a
pas, à l’ordre zéro, d’influence sur le coût énergétique de la récupération de l’or. A
l’ordre 1, il doit y avoir un peu plus d’effet Joule.
3 dt 3 3
e 2r 0
2
dv 1
v g (1 ) avec c
dt c 0 9
e 2gr 0 e
2
dv
A la vitesse limite 0 soit v l g c (1 ) (1 ).
dt 0 9 0
On a 0 e , v l 0 .
-2 -1 -2 -1 -3 -3
Q16. jD D grad (n (z)) ; jD en particules.m .s ou m .s ; n(z) en particules.m ou m ;
D en m2.s-1.
L’inhomogénéité de concentration est à l’origine du phénomène de diffusion.
dn dn vl
Q17. En régime permanent j jD 0 Soit nv l D 0 dz
dz n D
vl
n ( z ) n 0 ex p ( z) .
D
n(z)
z
vlz vld b
1 db n0 db n 0D N 0d b v l
Q18. N 0 n (z )dz dz 1) soit n 0
D
e (e D
v ld b
.
db 0 db 0 dbvl
D (e D
1)
2
db db
Q19. S et D .
vl D
D
D dbvl S
Q20. Clarification de l’eau si N0 >> n0. On a soit n 0 N 0( D
)
S D S
e 1
D
S D
Clarification de l’eau si ( D
) 1 , soit 1 ou S D .
S
S
e 1
Lb
Q21. Temps de traversée du bassin : T .
u
Pour une clarification dynamique, il faut que les particules touchent le fond du bassin
avoir de l’avoir traversé. Soit S T .
d’où : Pr eçue ( t ) .
0c
2 4 4
E0 S 36.10 .20.10 36.20 20
Moyenne temporelle : Pr eçue 7
7
7
10 W
8
2
E0 S
NRJ annuelle reçue : EAR = Pr eçue t = t
2 0c
7
E élecP 3, 6.10
Nombre de foyers : Nfoyer = 3
7200 ou 7000 foyers.
W élec 5.10
Partie IV – Séparateur à courants de Foucault
Q24. dFL j B d E B d B 0 V ( t ) cos( t kx )e y B 0 cos( t kx )e z d
k
1
Avec le modèle ponctuel ( 3 suggéré, il vient :
k
2
FL B 0 V ( t ) cos ( t kx ) e x
2
k
V (t) , on a : FL ( t ) B 0 2 co s ( t k x ) e x
2
Avec
k k
Et FL B 0 2 e x
2k
a
Q25. Ec W (FL ) FL .d l a B 0
2
0 2k
aB 0
2
V1 V0
2
et V3 = V0
km
Q26. Les particules du type 1 et 3 ont un mouvement parabolique une fois avoir quitté le
convoyeur. On récupère les particules du type 1 dans le bac le plus à droite.
Sortie du convoyeur
Type 3 Type 1
Q27. Les particules du type 2 sont attirées par la zone de fort champ magnétique, elles restent
ensuite presque collées dans cette zone. On les recueille sur le tapis ou dans un bac situé
à la verticale de celle-ci.
Tableau :
Point 1 Point 2 Point 3 Point 4
T(°C) 100 370 100 100
P (bar) 10 10 1 1
h (kJ.kg-1) 400 3200 2700 400
Etat Liquide Vapeur sèche Vapeur Liquide saturé
saturante (xv=1) (xv = 0)
w iT h2 h3
;
q GV h 2 h1
Pélec 250 -1
Q31. On a Dm.wiT = PT Pélec Dm 0, 5 kg.s .
w iT 500
Partie VI – Machine synchrone
Q32. B n’est pas uniforme, les lignes de champ ne sont pas équidistantes.
Q33. LdC
H.d l i1 ( t ) d’où H air * 2e H fer * L fer i1 ( t )
B B B 0 i1
Q34. * 2e * L fer i 1 ( t ) qui devient * 2e i1 ( t ) et B .
0 0 r 0 2e
Q35. Graphe
Bspire( )
-
-
Q36. On additionne les champs créés par les trois spires décalées de .
6
Bspires( )
- -
On obtient :
B3spires( )
- -
Q37. B s B 1 B 2 K I m ax [cos( s t ) cos sin( s t ) sin ]e r
B s K I m ax cos( s t )e r B s 0 cos( s t )er .
La dépendance en s t montre qu’il s’agit d’un champ tournant à la vitesse angulaire
sez .
1
Q38. W m (B s B r ) d
2
volum e
2 0 entrefer
Alternateur
moteur
Pour un fonctionnement moteur stable, il faut que sur une perturbation frein, (le rotor
prend du retard et 0 diminue), z m o yen augmente et que sur une perturbation motrice (le
rotor prend du l’avance et 0 augmente), z m o yen diminue soit 0 ,0 .
2
Moteur stable : 0 ,0 .
2
Fin