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Groupe N° : Burkina Faso

Unité-Progrès-Justice

Prof :M.ZOUMA
Classe Tle D

MEMBRE DE GROUPE

Nom Prénom
AYARO DESIRE
KANZIE ANNEE MARGUERITE
SCOLAIRE 2021-20222

SIENI DAOUDA
Plan SANKARA ILIASSA
INTRODUCTION
I. Définition et origine de la lutte
1. Origine
2. Définition
3. Règle de lutte
II. Différents sorte de lutte pratiqué dans le monde
1. La lutte libre
2. La lutte gréco-romaine
III. La lutte dans le monde
IV. La lutte dans l'art
V. La lutte traditionnelle et la lutte moderne

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1. La lutte traditionnelle
2. La lutte moderne
VI. Quelques records de la lutte dans le monde
VII. Les bienfaits et les accidents liés à la, pratique de la lutte
1. Les bienfaits de la lutte
2. Les accidents liés à la pratique de la lutte

Conclusion

Source

INTRODUCTION
Tout organisme vivant, du plus petit au plus grand se trouvera à un moment de sa vie la
cible d’un ou plusieurs ennemis, c’est la loi de la nature. Cela peut mettre en jeu sa
survie en tant qu’individu, population et/ou espèce. D’une manière schématique, la lutte
biologique peut être considérée comme une manière d’utiliser les ennemis des espèces,
considérées comme nuisibles, pour en réguler la population en dessous d’un seuil
acceptable. Dans la pratique, la lutte biologique est utilisée depuis les balbutiements de
l’agriculture pour protéger les cultures contre des agresseurs occasionnant de grosses
pertes de récolte.
I. Définition et origine de la lutte
1. Origine
En effet, lors de la naissance des Jeux d'Olympie, la lutte était déjà un sport antique.
Considérée, à raison, comme le premier sport de compétition, la lutte apparaît d'ailleurs
sur des peintures rupestres égyptiennes datant de quelques 5 000 ans. Elle figurait
également au programme des premiers Jeux, en 776 avant J.
2. Définition

La lutte est une discipline sportive et un sport de combat. Il en existe un très grand
nombre de variétés mais on peut en distinguer trois principales : la lutte libre, la lutte
gréco-romaine et la lutte féminine. La lutte est un sport de préhension dont la finalité est

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de renverser l’adversaire au sol au moyen de combinaisons technico-tactiques et de le
maintenir les deux épaules plaquées au tapis : c’est le tombé.Le tombé ne survenant pas
systématiquement au cours d’un combat de lutte, ce dernier étant limité dans le temps,
c’est alors, le lutteur ayant marqué le plus de points qui remporte le combat.Les points
techniques sont attribués en fonction de la complexité et de l’amplitude des
combinaisons technico-tactiques réalisées par chacun des lutteurs au cours du combat.
3. Règle de lutte

Lutte libre : style de lutte où les lutteurs sont autorisés à utiliser les bras, les jambes et
le reste du corps et à se saisir au-dessus et en dessous de la ceinture. Terrain de lutte:
INTERDICTIONS : - Les coups - Toutes les torsions d'articulation - Les saisies de la
tête seule à 2 bras.Sont donc formellement proscrites.
La lutte est un sport de combat encadré par la Fédération Française de Lutte Il existe
trois disciplines principales : la lutte libre, la lutte gréco-romaine et la lutte féminine. Il
existe également des luttes traditionnelles, qui sont très nombreuses. L'objectif de la
lutte est de renverser son adversaire sur le dos, et de plaquer son dos et ses deux épaules
au sol.
II. Différents sorte de lutte pratiqué dans le monde
1. La lutte libre

La lutte libre et la lutte féminine sont deux des trois formes de lutte admises aux Jeux
olympiques, aux côtés de la lutte gréco-romaine. Dans ces sports de combat, le lutteur
ayant mis son adversaire au tapis en lui plaquant les épaules au sol remporte une
victoire par tombé.

2. La lutte gréco-romaine

La lutte gréco-romaine est une forme de lutte dans laquelle les lutteurs ne peuvent
utiliser que leurs bras et ne peuvent attaquer que le haut du corps de leur adversaires,
contrairement à la lutte libre, où ils peuvent aussi utiliser leurs jambes et tenir leur
adversaire en dessous de la ceinture.
Les lutteurs commencent leur assaut debout et essaient d'envoyer leur adversaire au
tapis. Les combattants doivent porter toutes leurs prises au-dessus de la ceinture et
l'usage des jambes, croche-pied et plaquages sont interdits.
III. La lutte dans le monde La lutte dans le monde

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Dans le monde la lutte est une discipline sportive et un sport de combat. Il en existe un
très grand nombre de variétés mais on peut en distinguer trois principales : la lutte
libre la lutte gréco-romaine ) et la lutte féminine . Les championnats du monde de
lutte sont un ensemble de compétitions internationales organisés par la Fédération
internationale des luttes associées. Ils comprennent depuis leur création en 1904 une
compétition de lutte gréco-romaine à laquelle s'est ajoutée en 1951 une compétition
de lutte libre masculine puis en 1987 une compétition de lutte féminine. Ces
championnats se déroulent actuellement tous les ans.

IV. La lutte dans l'art

Questionner la place de l’art en ces termes est alors un phénomène nouveau en Afrique
du Sud. En effet, si l’Art a longtemps été l’apanage des pays du Nord, il a joué un rôle
déterminant dans l’histoire sud-africaine, plus précisément dans la lutte pour la
démocratie. La lutte en art, à l’image de la lutte sportive, elle comprend une discipline
dont la finalité est de renverser l’adversaire sans lui faire de mal et elle a également un
rôle éducatif.

V. La lutte traditionnelle et la lutte moderne


1. La lutte traditionnelle
Lutte Traditionnelle est un style de lutte folklorique ouest-africaine, connu sous le nom
de Laamb au Sénégal, Boreh en Gambie, Evala au Togo et KoKowa / Kokawa dans les
régions haoussa du Nigéria et du Niger, ou simplement Lutte Traditionnelle, au Niger et
au Burkina Faso.
La lutte traditionnelle est pratiquée dans la région de la Boucle du Mouhoun au Burkina
Faso. Elle est organisée pendant la saison sèche, du mois d'octobre au mois d'avril. Elle
possède différents noms et significations selon le village où elle est pratiquée : ouidizon
("fête du nouveau mil" en langue san), fôtou…
Les combats de lutte traditionnelle ont lieu sur la place du village, les jours de marché.
Les lutteurs s’affrontent par catégorie d’âge. Ils défendent leur honneur, celui de leur
famille, de leur quartier ou de leur village. Dans l'arène, les griots sont présents pour
galvaniser les lutteurs et les encourager à se dépasser. Ils chantent les louanges des
lutteurs et sont les détenteurs de l'histoire orale des lignées familiales et du pays. C'est
de cette façon que les lutteurs inscrivent leur nom dans l'histoire sportive de leur village.
2. La lutte moderne

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La lutte chez les Romains se développa sur la base du riche patrimoine des Etrusques et
de la restauration des jeux grecs. La lutte était le sport favori des jeunes aristocrates, des
soldats et des pâtres. Selon Classius Dion, les palestres étaient à l’origine des succès
militaires des Romains. En 393, l’empereur Théodose Ier décréta l’interdiction de tous
les jeux païens et sonna le glas des Jeux Olympiques. En 1904, la lutte libre fut
introduite pour la première fois aux Jeux de Saint Louis et fut disputée uniquement par
des lutteurs américains. Il fallut attendre les quatrièmes Jeux Olympiques à Londres en
1908 pour que les compétitions de lutte soient organisées dans les deux styles.
Aujourd'hui, on dénombre des centaines de styles de lutte différents dans le monde
entier. Et de nombreux pays ont des styles locaux, comme le style Glíma en
Islande, Schwingen en Suisse, la lutte Cumberland en Grande-Bretagne, le Gouren en
Bretagne (France), la Istrumpa en Sardaigne (Italie), le Grech en Tunisie, la Lucha
Canaria aux îles Canaries, la lutte léonaise dans le nord de l'Espagne ou la Lutte
sénégalaise.

VI. Quelques records de la lutte dans le monde

Le plus long match de l'histoire de la lutte moderne eut lieu lors des Jeux olympiques
d'été de 1912 de Stockholm : lors de la demi-finale des moins de 75 kg en gréco-
romaine, l'Estonien Martin Klein et le Finlandais Alfred Asikainen luttèrent sous le
soleil pendant 11 heures consécutives, faisant une brève pause toutes les 30 minutes.
Klein remporta le match, mais ne put se présenter pour la finale prévue le lendemain.
Les officiels se rendirent compte que des modifications de réglementation devaient être
entreprises. Les limites de temps furent introduites pour la première fois lors des matchs
de lutte des jeux olympiques de 1924

VII. Les bienfaits et inconvénients de la, lutte


1. Les bienfaits de la lutte
A. La lutte permet de se contrôler et de se discipliner
La lutte développe le contrôle de l'agressivité. L'obligation de mettre son adversaire sur
le sol peut paraître violent. Mais ces techniques ne sont rien d'autres que des techniques
combattives non agressives, et usées avec maîtrise. La lutte n'est pas un sport violent et
dangereux. Il est néanmoins nécessaire de contrôler ses réactions affectives et
émotionnelles, afin d'encaisser les actions de son adversaire et enfin de pouvoir gagner
le combat !
B. La lutte permet de s'épanouir et de se construire

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La lutte est un sport rigoureux, qui demande patience et concentration. Il permet au
lutteur d'apprendre à se connaître, et à véritablement se retrouver au fur et à mesure de
ses entraînements et donc de sa progression. Cet état d'esprit lui permet ainsi d'être bien
dans sa tête et dans son corps. Il peut ainsi développer sa personnalité, et prendre
confiance en lui.
c. La lutte développe le corps entier
La lutte sollicite l'ensemble des membres du corps. Ce dernier est entièrement mis en
mouvement lorsqu'il s'agit de se protéger et de contrer les attaques de son adversaire !
Le système cardio-vasculaire est également nettement amélioré, ainsi que la motricité.
La lutte permet d'avoir une hygiène de vie saine, comme tout sport.

Cependant, la lutte requiert une préparation physique optimale et rigoureuse. Faire de la


lutte s'apprend et prend du temps.
d. La lutte développe la communication et la sociabilisation
Que ce soit contre son adversaire ou dans un groupe en général, le lutteur est
constamment en contact avec d'autres personnes dans un même environnement. Il doit
ainsi prendre en compte ces personnes, les traiter avec respect et participer à la vie
commune du groupe.

2. Les accidents liées à la pratique de la lutte

En pratiquant la lutte 57% des pratiquants ont eu des accidents traumatiques pendant
la pratique, on peut noter des entorses (30,02%), des fractures (28,16%), des
déboîtements (7,74%), des claquages (7,04%), des courbatures (7,04%), des
traumatismes dentaires (3,52%), des traumatismes crâniens (2,81%), des périostites
(2,81%).
Les os : des fractures peuvent affecter la clavicule, les coudes, les poignets, les mains,
les chevilles et les orteils. Parfois, on observe des traumatismes au niveau du cou.
Les articulations : des entorses et des luxations peuvent toucher l’épaule, le genou
(rupture des ligaments croisés) et le coude, mais aussi le poignet, les doigts, la cheville
et les orteils. Une mauvaise réception est souvent à l’origine d’entorses ou de luxations.
La peau : les frottements sur les tapis peuvent provoquer des brûlures.
Les bronches : des allergies respiratoires se manifestent parfois chez les personnes
sensibles à la poussière des tapis.
Conclusion
En somme, les gens considère aujourd’hui le lutte comme une activité
traditionnelle ,mais de notre point de vu la lutte une activité sportive qui contribue aussi

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comme le autres activés. Grâce aux observations effectués précédemment, on peut
conclure que le sport est essentiel au bien-être et à la santé de l'Homme.
Le sport permet à notre métabolisme de mieux fonctionner car le cœur est plus efficace
et apporte plus d'oxygène, de sang et de nutriments aux muscles et aux organes.

Source

https://www.sportcom.eu/fr/content
https://college-dolto.etab.ac-caen.fr/IMG/pdf/Lutte.pdf
https://www.cairn.info/revue-africultures-2006-1-page-110.htm

ps://college-dolto.etab.ac-caen.fr
https://uww.org/fr/node/997

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