L'éducation n'est pas un « travail

». Notre attention doit être

dirigée vers l’enfant et son
développement normal plutôt
que vers ses erreurs. Les erreurs
et le développement ne sont pas
contradictoires. On progresse
grâce à ses erreurs. Ils peuvent
être des moyens de
développement, non pas quand
quelqu’un vient les corriger, mais
quand on l’aide à voir ses
imperfections et à les surmonter
soi-même, progressivement à
son rythme. La fonction de
l'adulte envers l'enfant est d'aider
l'enfant à se développer et non
seulement d'effacer ses erreurs.
Simplement éviter les erreurs, ne
pas commettre d’erreurs, ne
signifie pas nécessairement que
l’on se développe. D’un autre
côté, nous ne voulons pas non
plus dire que la correction soit en
soi un obstacle au
développement. Nous voulons
simplement dire que toute
correction n'est
pas nécessairement une aide au
développement. Certains le font,
d’autres peuvent, d’autres non.
On ne peut pas faire son devoir
d’éducateur en apprenant par
cœur à ne jamais corriger ou à
ne jamais omettre de corriger ni
même quand et quand ne pas
corriger. Nous devons apprendre
à utiliser et développer nos
pouvoirs de discrimination. Nous
devons apprendre à juger
correctement quand la correction
peut être utile et comment et où
la faire, afin qu'elle puisse être
utile. Cela signifie que nous,
adultes, avons beaucoup à
apprendre. Nous ne pouvons
aider l’enfant dans son
développement qu’en
développant notre propre
compréhension, notre
perspicacité et notre maîtrise de
soi. Se changer est difficile
intellectuellement et
émotionnellement. Il n'est pas
facile de contrôler nos émotions
une fois qu'elles sont éveillées et
nous poussent à l'action,
ni de prendre conscience des
limites de notre intelligence une
fois qu'elle s'est forgée une
opinion. La clarté intellectuelle
est une chose, mais agir avec
sagesse n’est pas toujours la
même chose. Nous devons
garder à l’esprit qu’une erreur
n’appelle pas nécessairement
notre action immédiate et directe.
Que même si nous devions
corriger, notre correction ne
devrait de préférence être ni
immédiate et directe, ni
autoritaire et dictatoriale. Notre
autorité doit toujours rester un
moyen pour parvenir à une fin,
elle doit apprendre à servir et ne
jamais oublier qu’elle est
indirecte et non absolue. C'est
immoral pour un individu Joosten
• Erreurs et leurs corrections 219
décider arbitrairement de ce qui
est bien et de ce qui ne va pas.
Nous avons besoin d’une pierre
de touche objective pour
trancher cette question. Si nous
assumons une autorité arbitraire,
individuellement ou socialement,
cela nous fait défaut, ainsi qu'à
l'enfant. Dans notre relation avec
l'enfant, l'autorité absolue réside
dans les lois de la vie en cours
de développement, c'est cette
autorité que nous devons
défendre et représenter. C’est
seulement alors que nous
pourrons utiliser efficacement
l’autorité inhérente à notre plus
grande maturité. En règle
générale, nous devons être
indirects et ne pas faire autorité
dans nos discussions.

Explication :
On a appris que les erreurs
doivent être éviter.
C'est bien de donner des
citations pour montrer que nous
devons être amis avec les
erreurs.
Les erreurs et le développement
ne sont
pas contradictoire, il vont
ensemble.
C'est une façon que les parents
ne comprennent pas.
C'est de cette façon qu'on aide
l'enfant.
Chacun de nous trouvera des
chemins qui nous mèneront...
Nous comprennons que c'est
quelque chose dont nous ferons
fasse.
Notre habitude face à cette
situation démontre comment
nous sommes face aux erreurs.
Pensons à comment nous étions
puni quand nous faisions des
erreurs !!
Quand on s'en rappelle et qu'on
répond à l'enfant d'une autre
manière peut-être difficile
d'amener à boût.
On peut penser qu'un enfant doit
être arrêté quand il fait quelque
chose.
C'est bien de comprendre qui est
l'enfant et de quoi il a besoins.
Ne confondons pas ça avec:
laisser l'enfant faire tous ce qu'il
veut.
Notre travail c'est de voir ce que
fait l'enfant et de décider
comment y répondre.

Dois-je attendre ? Dois-je faire

quelque chose ?
C'est question résonnent
toujours dans notre esprit avec
les enfants.
Dans chaque situation, nous
devons décider comment
répondre.
Nous savons que chaque
réponse doit être positif,
constructif affirmatif.
On affirme ce qu'il font: ooo vous
êtes intéressé par ça.
Constructif : ça doit être quelque
chose qui les aides à se
développer.

2) On ne peut pas mémoriser

quand un enfant fait ça, je dois
faire ça...
Qua.d nous sommes avec les
enfants et qu'on vois des
habitudes sur lesquelles ont ne
sait pas ce qu'on doit faire est
normal.
L'adulte doit être capable de se
maîtriser.
Ce que l'enfant un jour, une
heure sur une place, doit
permettre au guide de connaître
la situation et comment s'y
prendre.
Nous devons répondre l'enfant
favorablement dans la situation
qu'il est.

3) des fois si on voit un enfant

tenir quelque chose qu'il pourrait
détruire, faisons comme si on ne
voyait rien, c'est pas facile de
contrôler nos émotions mais il
est important de faire confiance à
l'enfant car le matériel pourrait
corriger l'enfant mais pas nous.
La façon dont nous sommes
éduquer n'es pas pareil à la
façon dont on doit se comporter
devant l'enfant.
Nous devons être une personne
différente.
La clarté intellectuelle est une
chose mais agir avec sagesse en
est une autre : on sait qu'on doit
répondre de manière positive,
constructif et affirmatif est une
chose, on le sait déjà mais agir
avec sagesse est une autre
chose car nous devons analyser
la situation dans laquelle se
trouve l'enfant, donc nous
devons être patient avec nous
même.
Nous pouvons avoir la
connaissance d'une chose mais
que la pratiquer soit difficile pour
nous.
Les erreurs n'appelle pas tjrs à
une réaction.
C'est pourquoi savoir comment
faire est difficile par rapport à
l'acquisition de savoir.
4) on a besoin d'une pière de
référence objective pour
décider...
On doit pas se baser de la façon
dont on a été éduquer mais
plutôt du besoin de
l'enfant.
Dans notre relation avec l'enfant,
l'autorité absolu réside dans les
lois de la vie en cours de
développement: l'autorité absolu
n'es pas pour le guide mais cela
dépend des lois de la nature et
c'est ce qu'on doit appliquer. De
tous ce que nous faisons, nous
devons nous baser de la nature
de l'enfant mais pas de la nature
de l'éducateur.