Vous êtes sur la page 1sur 6

ORTHOGRAPHE D'USAGE

123« Leçon. — § 1. Lettres finales.


268. On connaît ordinairement quelle est l a consonne
muette de la fin d'un mot, par le mot qui en dérive. — Ex. :
Zono, longueur; brigann, brigandage ; an:, artiste; tas, tas-
ser; borb^ border ; fam^ famine ; / Î N , finir ; p/omB, plombier.
269. L'e muet termine : ! • Les noms féminins dont le son
final est é. — Ex, : Croisée, pensée, idée. — Sont exceptés
les noms en té et en tié. — Ex. : Cité, humanité, pitié.
Les noms en té s'écrivent néanmoins avec Ye muet final,
s'ils expriment la contenance ou s'ils dérivent d'un parti-
cipe passé. — Ex. : Une assiettée, une pelletée, une char-
retée; la dictée, la montée, la portée.
2° Les noms féminins dont le son final est i. — Ex. :
Jalousie, envie. — Excepté : brebis, fourmi, merci, nuit,
perdrix, souris.
268. Gomment connaît-on ordinairement la consonne muette de la fin d'un mot?
269. Quels noms termine Ye muet? = Trouver le radical du mot. — Rebuter,
REBUT ; couper, COUP. — Allée, ALLER ; facilité, F A C I L E ; modestie, MODESTE.

I. Radical. — Trouver le radical du mot.


I. Galoper galop. 2. Ranger rang. 3. Entrée entrer*
Champêtre champ. Garantie garant. Docilité docile.
Chantre chant. Amasser amas. Arrivée arriver.
Sanguin sang. Fusiller fusil. Jalousie jaloux.
II. Accord de l'adjectif. — Trouver l'adjectif réclamé par le sens,
LE PAON
1. Il n'est point d'oiseaux sur qui la nature ait versé ses tré-
sors avec plus de profusion : la taille grande, le port imposant,
la démarche fière, la figure noble, les proportions du corps élé-
gantes et sveltes; tout ce qui annonce un être de distinction lui
a été donné. Une aigrette mobile et légère, peinte des plus riches
couleurs, orne sa tête et l'élève sans la charger.
2. Son incomparable plumage semble réunir tout ce qui flatte
nos yeux dans le coloris tendre et frais des plus belles fleurs,
tout ce qui les éblouit dans les reflets pétillants des pierreries,
tout ce qui les étonne dans l'éclat majestueux de l'arc-en-ciel.
III. T r a d u i r e p a r le passif. — Véducatton cultive... Les facul-
tés de l'âme sont cultivées par l'éducation. Les corps sont rendus
plus sains et plus robustes par la frugalité. L'âme est souvent
corrompue par les grandeurs du monde. Le langage des cieux est
entendu par les peuples les plus grossiers et les plus barbares.
Conjuguer être estimé de tous aux temps du subjonctif. — Que je sois estimé
de tous,... que nous soyons estimés... Que je fusse estimé... Que j'aie été estimé...
Que j'eusse été estimó,... que nous eussions été estimés...
Analyse. — Aimer ses parents est un besoin du cœur. — Faire le bien "est
le moyen de gagner son prochain, = Aimer, v. tr. prés, del'inf. suj. de est; —
parents, ne. m. p. e* dir, de aimer; — besoin, ne. m. ai. de aimer.
124« Leçon. — Lettres finales. Lettres initiales. 201
270. Les noms dont le son final est a u s'écrivent géné-
ralement par eau. — Ex. : Bureau, tableau.
Il faut en excepter : Esquimau, étau, landau...; fléau,
préau, fabliau, gluau, gruau, aloyau, boyau, hoyau,
joyau, noyau, tuyau.
271. Les voyelles nasales an, en, in, on, un, s'écrivent
avec une m devant b, m, p. — Ex. : Ampoule, emblème,
immense, ombre, humble.
Sont exceptés : bonbon, bonbonnière, embonpoint, néan-
moins, et la terminaison inmes des verbes : nous tînmes,
nous vînmes.
270. Quelle est l'orthographe des noms dont le son final est au?— 271. Quand
est-ce que les voyelles nasales an. en, in, on, un, s'écrivent avec une m? =z
Former un composé à l'aide des préfixes en,in. — Barque,EMBARQUER ; propre,
IMPROPRE; boUe, EMBOÎTER; manche, EMMANCHER.

I. Dérivés. — Former un diminutif en eau.


l.Arc arceau. 2. Renard renardeau. -3. Solive soliveau.
Table tableau. Chèvre chevreau. Cercle cerceau.
Bande bandeau. Jambon jambonneau. Four fourneau.
Plume plumeau. Pigeon pigeonneau. Arbre arbrisseau.
Tonne tonneau. Souris souriceau. Lion lionceau.
H. A c c o r d du v e r b e a v e c le sujet. — Trouver un verbe pronominal.
(suite). .
LE PAON
1. Tel parait à nos yeux le plumage du paon, lorsqu'il se pro-
mène paisible et seul dans un beau jour de printemps ; mais s'il
éprouve quelque vive émotion, toutes ses beautés se multiplient :
, ses yeux s animent et prennent de l'expression, son. aigrette
9

s'agite sur sa tête; les longues plumes de sa queue déploient,


en se levant, leurs richesses éblouissantes.
2. Sa tête*et son cou, se renversant noblement en arrière, se
dessinent avec grâce sur ce fond radieux, où la lumière du soleil
se joue en mille manières, se perd et se reproduit sans cesse,
et semble prendre un nouvel éclat plus doux et plus moelleux,
de nouvelles eouleurs plus variées et plus harmonieuses.
G U É N E A U DE MONTBEILLARD.
III. T r a d u i r e p a t le passif. — Tout le monde méprise... Les
:

hâbleurs sont méprisés de tout le monde. Les hommes héroïques


sont formés par la vérité seule. Les applaudissements et les huées
ont été souvent excités par les mêmes causes, d'un siècle à l'autre.
Les héros sont immortalisés par les poètes. Les noms de Charle-
magne et de saint Louis seront répétés toujours avec admiration.
Conjuguer se flatter à tort à toutes les 3** personnes. — Il se flatte à tort. Ha
ta flattent à tort... Il se flatta... Il s'est flatté, ils se sont flattés... Qu'il se flattât...
Analyse. — La nature et le temps obéissent à la Providence. — La paresse
tt lo désœuvrement aboutissent à la misère. = Nakire, ne. f. s., sujet partiel
éft obéissents — Providence, np. f. s. a, ind. de obéissent.
126* Leçon. — § 2. Réduplication des consonnes. 205
272. On ne double b , d, g, que dans les mots suivants et
leurs dérivés : Abbé, gibbosité, rabbin, sabbat; — addition,
reddition ; — agglomérer, agglutiner, aggraver, suggérer.
273. Au commencement d'un m o t , on double :
c dur après la syllabe oc. — Ex.: Occasion, occuper. — Excepté:
ocre, oculiste, et leurs dérivés.
f après les syllabes af, bouf, dif, ef, of, suf, souf. — Ex. : Affaire,
bouffon, difficulté, effort, offre, suffixe, souffle. — Excepté : afin,
Afrique; éfaufiler; soufre, soufrer.
1 après la syllabe il. — Ex.: Illettré, illimité. — Excepté : île, ilot,
Iliade, Ilion, ilote, ilotisme.
m après les syllabes com, im. — Ex.: Commis, immensité. — Ex-
cepté : coma, comédie, comestible, comète, comice, comité; image,
imiter, et leurs dérivés.
r après la syllabe ir. — Ex. : Irrésolu. — Excepté : ire, irascible,
iris, ironie, ïroquois, et leurs dérivés.
274. On double ordinairement la consonne dans les termi-
naisons en elle, ette, onner.— Ex.: Ombrelle, assiette, donner.
272. Dans quels mots double-t-on b, d, g? — 273. Quand double-t-on au com-
mencement d'un mot les consonnes c, f, l, m, r? —274. Dans quelles terminaisons
double-t-on ordinairement la consonne? = Former un composé à l'aide d'un pré-
fixe.— Fusion, D I F F U S I O N ; lettré, ILLETTRÉ; mobile, IMMOBILE.

L Préfixes. — Former un composé à l'aide d'un préfixe.


1. Légal illégal. 2.hisibleillisible. 3. Réflexioniwéflexion.
Médiat immédiat. Tiédir attiédir. Cumuler accumuler.
Pointer appointer. Facile difficile. Brouiller embrouiller.
Patient impatient. Piété impiété. Mobile immobile.
IL Accord du verbe a v e c le sujet* — Trouver le verbe réclamé par le sens.
FIN DE L'HIVER
La même sagesse qui, à l'entrée de l'hiver a fait croître le
froid par degrés, le fait diminuer peu à peu, §t cette saison rigou-
reuse tend insensiblement sur sa fin. Déjà le soleil s'arrête plus
longtemps sur l'horizon, et ses rayons agissent plus fortement
sur la terre. Les flocons de neige cessent d'obscurcir l'atmosphère,
les nuits ne sont plus accompagnées d'une gelée blanche que fait
disparaître le soleil du midi. G.-DESPRÉAUX.

III. T r a d u i r e p a r le passif... — Les maximes


qu'on énonce
décèlent.... Les sentiments du cœur sont décelés par les maximes
qu'on énonce. La gêne est produite par le luxe. Les hommes
modestes sont estimés de tout le monde. Les plus humbles vertus
seront un jour récompensées par le Seigneur. La peine n'est
comptée pour rien, quand elle est couronnée de succès.
Conjuguer s'appuyer sur Dieu à toutes les l " personnes. — Je m appuie
r

•ur Dieu, n. n. appuyons... Je me suis appuyé, n. n. sommes appuyés...


Analyse. — Travaillons à nous instruire et à former notre volonté. — Exer-
çons-nous à exprimer correctement notre pensée. ~ Travaillons, v. int. prés,
de l'impér. 1 " pers. du p.; — à, prép. qui fait rap. instruire k travaillons ; —
instruire, v. pron. préa. ie Vint. c. ind. dô travaillons.
r
206 427« Lece». —Reduplicati on des consonnes.
Former à l'aide d'un préfixe un verbe dérivé du nom ou de l'adjectif. —Faire
ertoàv'quer tyu'oh double la consonne ait coMmencemèrit du \wot.
¥11 effiler. 'tfYànfc 'affranchir. Croc accrocher*.
Pauvre appauvrir. Climat acclimater. Fade <affad.tr.
Afortel immortaliser. Commode 'accommoder. Feuille effeuiller,
v

Troupe • attrouper. Mission 'ctimïnissiontter. ï d f m e di/former*


I. D é r i v é s . — former le dTérivé en elle, et te-, tr.

ï.- 'Lance lancette. 3. i&ftifc banquette,


'Cafeque casquette. ïour tourelle,
Boule boulette. Bande bandelette,
'Table tablette. touche •couchette,
Citron dtronnelfo. 3ûche bûchette.
2. 'Part pawéïle. %. Tison tisonner.
Pince pincette. Chiffon 'éhiffonriêf.
Chambre chàmbrette. Bourgeon 'bourgeonner.
Poutre poutrelle. Frisson frissonner.
Planche planchette. .'Sillon sillonner.
îl/Aecôïd'cKi v e r b e Uvfefe'le sujtet.—TrouVer'ie Véitoe<rteélamS'parleséns.
'(suite).
'FIN DE L ' H i V É R
H. Itelï <fet*tef*« 'setefa, les brouillards et 4efc Wpfctfr* se dis-
persent et se rèpuhdént éti pluiesïeiHilês. 'La t e n ^ , ^ l u s ' l é g è r e ,
plus meuble, se prête iplus facilement à être humectée.; >les
semences commencent à pousser ; les branches, qui,paraissaient
mortes, s ornent de tendres bouton^, et divers brins d'herbe
y

se hasardent à se montrer.
2. On voit les pr4parëttifs que,fait la'tiaturetenttxre laiiguisàarfte
pour rendre aux prairies leur parure, aux arbres leurs feuilles,
aux jardins leurs fleurs'; elle travaille en silence &'ramener le
printemps, quoique les tempêtes, la grêle et les nuits froides y
«apportent quelques obstacles. Bientôt elle perdra son 'aspect
Uigubre, et la terre à nos yeux reparaîtra dansUoiite sa beauté.
COUSIN-DESPRÉAUX.

'Remplacer J E par Koûls. — Se ine suis 'réjoui... Nous nous


'sommes réjouis, quand nous avons vu le succès couronner notre
'travail. Nous nous sommes alors félicités des efforts que nous
avons faits, fct nous avons oid)lié les peines que nous avons
éprises. -Nom n?avonsiplus pensé qu'aux '.résultats obtenus, aux
éloges et alix.^rix qdi >noits cn\l'récompensés de nofe fatigues, Vît
"tous ont dédommagés de nos sacrifices. Quelle joie «notes avons
tprocuréeh nos parents quand MOUS four avons offert noscouronnes!
Conjuguer êire protégé par la lot aux temps" du subjonctif.• — Que je sois
p r o t é g é p a r la loi.... Que riotfs'soyons protégé*»..." Que j e tuss e p r o t é g é . . . Que* j'aie
é t é p r o t é g é . .. Que nous eussions été protégés...
Analyse. Nous croyorfs alséntcrn: ce Vjui noùà fait plaisir. — ^Vous ïafoes
Volontiers ce qni vous r a p p o r t e un gain, W&us, pr. p e r s . ' l pers. «dutn-». p.
r -

suj. d e croyons ;—croyons, V. tr. p r é s , d e î'ittdic. 8* pers,-du p . ; — aisé-


T

mant, adv.-mod. croyons ; — ce, pr. <dém. m.-s. c. dir. de croyons ; — nous,
pr. pers. pers. du m. p. c. 4nd.< de 'fait.
128* Leçon. — § 8. Emploi de» signes orthograph. — Accents. 207
2f5. On ne met pas l ' a c c e n t a i g u sur Ye fermé qui
précède IV et le z finals. — Ex. : Rocher, nez.
276. On met l ' a c c e n t g r a v e sur Ye ouvert qui précède
une syllabe muette. — Ex. : Prophète, clientèle, complète-
ment.
277. On ne met pas d'accent sur Y e ouvert bref qui pré-
cède le t final. — Ex. : Lacet, objet, décret.
On n'accentue jamais Ye suivi d'une consonne doublée, ou
d'une consonne qui se prononce dans la même syllabe, ou
d'un x, ou d'une consonne finale sonore. — Ex. : Semelle,
mettre, espoir, Mexique, mer, sel, chef.
Mais on écrit : lè-vre, mc-tre, rè-gle, etc.
275. Dans quels cas ne met-on pas l'accent aigu ? — 276. Dans quels cas met-on
l'accent grave T — 277. Dans quels cas ne met-on pas l'accent grave ? = Trouver
dee noms se terminant en ez, er ( r ne se prononçant pas ) , ère » ège > ette > er,
(r sonore). — Nez, horloger, prière, collège, recette, liier. *

L E fermô. E ouvert. — Trouver un qualificatif et le mettre au pluriel.


1. Hommes fiers. 3. Vols sacrilèges. 5. Pins élancés.
Rochers escarpés. Religieux profès. Lois étemelles.
Contrées étrangères. Portes cochères. Fautes passagères.
2. Fruits amers. 4. Cerfs légers. 6. Pages commencées.
Tonneaux percés. Lexiques complets. Barrières fermées.
Paroles discrètes. Cartes routières. Mères inquiètes.
II. Accord d u . v e r b e a v e c le sujet. — Trouver le verbe réclamé par le sens.
LES AGRÉMENTS DE LA CAMPAGNE
Venez donc jouir des agréments qui ne sont goûtés que par
le vrai sage. La douce lumière du soleil nous appelle dans les
champs; c'est là qu'une joie pure nous est réservée; c'est dans
ce vallon fleuri que nous allons adresser un hymne au Créateur.
Gomme le souffle du zéphyr agite doucement chaque rameau,
chaque feuille de ces buissons 1 Bois touffus, vallées charmantes,
et vous, montagnes, que la nature pare de ses dons, votre aspect
récrée nos sens et flatte notre cœur ; vos attraits ne doivent rien
à l'art, et ils effacent l'éclat des jardins. C O U S I N - D E S P R É A U X .
m. M e t t r e a u pluriel. — Les succès que nous avons pour-'
suivis, les richesses que nous avons acquises, les charges dont
nous nous sommes vus revêtus, les prospérités dont nous avons
été comblés, les plaisirs que nous avons goûtés, n'ont pu satis-
faire pleinement nos désirs. Seules, les joies, les consolations qui
nous boni réservées dans les cieux pourront remplir nos cœurs.
Conjuguer savoir la leçon à l'impératif et au subjonctif. — S a c he la leçon...
Que je bâche... que nous sachions... Que je susse... Que j*aiesu... Que j'eusse su..,
A n a l y s e . L a charité veut que nous évitions les m é d i s a n c e s . L a jusfi<w
detti&niie qud nous payions nos d e t t e s . = Charité , ne. f.s. suj. de veut; — que t

conj. lie les deux propos. ; — évitions, v. tr. prés, du subj. p e r s . du p.


208 129 Leçon. — Apostrophe. — Trait d'union.
e

278. On élide de l'article et du pronom la, devantnme


voyelle ou une h muette. — Ex. : Venvie, je Habhorre,
L ' h u m a n i t é , je ilhonore.
279. On elide :
1° De le (article et pronom), je, me, te, ce, ne, que, de
et jusque, devant une voyelle ou une h muette. — Ex. :
Uenfant, Vhomme, je Vai vu, j'arrive, tu m'écoutes.
%° De lorsque, puisque et quoique, devanti/, elle, on, un, une.
3° De l'adjectif féminin grande, dans grand'mère, grande
messe, grand* classe, etc.
280. On met un trait d'union :
1° Entre le verbe et le pronom personnel qui le suit comme
sujet ou complément. — Ex. : Viendrai-jeì Dites-le-lui.
* 2° Entjre les diverses parties d'un adjectif numéral qui sont
chacune moindres que cent.—Ex. : Dix-sèpt mille cinq cent
* soixante-dix-huit. — On excepte vingt et un, trente et un, etc.
On tolère la suppression du trait d'union dans les deux cas.
278. Dans quels cas élide-t-on l'aÌ — 279. Ye? — 280. Dans quels cas
emploie-t-on le trait d'union ? == Former un verbe composé en faisant précéder
le verbe donné d'un autre mot. — Louer, SOUS-LOUEH : ouvrir, ENTR'OUVP^H
I. A p o s t r o p h e et trait d'union* — Former un nom composé, en faisant pré-
céder le nom d'un autre mot.
I . Route grand'route. 2. Ciel arc-en-ciel.
Chose grand chose.
9
Œuvre chef-d'œuvre.
Mère grand'mère. Major sergent-major
Tante grandmante. Cour basse-cour.
Classe grand'classe. Fleur chou-fleur.
II. Accord du v e r b e a v e c le sujet. — Trouver le verbe reclamò par le sens.
LES AGRÉMENTS PE LA CAMPAGNE (suite).
Le grain mûrit, et bientôt il invitera le laboureur à y porter
la faux. Les arbres couronnés de feuilles ombragent les collines
et les campagnes. Les oiseaux jouissent de leur existence; ils
chantent leurs plaisirs; leurs accents expriment ou la.tendresse
ou la joie. Le paisible cultivateur voit renouveler ses trésors;
l'odieuse calomnie, l'orgueil et les noirs soucis, dont l'habitant
des villes est trop souvent dévoré, ne viennent point troubler le
repos de ses matinées ni peser sur ses nuits. COUSIN-DESPRÉAUX.

III. M e t t r e le n o m b r e en toutes lettres. — En mil huit cent


soixante-dix la France a subi de terribles désastres. C'est du
vingt et un septembre mil sept cent quatre-vingt-treize jus-
qu'au vingt-six octobre mil sept cent quatre-vingt-quinze que
la Convention gouverna la France. La première croisade eut
lieu de tm7 quatre-vingt-seize
4
à mil cent.
Conjuguer bénir Dieu à la 1 " et à la 3« personne da pluriel de chaque temps.
— Nous bénissons Dieu, ils bénissent Dieu... Nous avons béni
Analyse. — Chacun a bonne opinion de son esprit. — On garde un précieux
souvenir d'une Darole bienveillante. = Chacun, pr. ind. m. s. suj. de a.

Vous aimerez peut-être aussi