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Cours de Mécanique des fluides

Deuxième année
ESPA
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Dynamique (suite)
Chapitre 10

THEOREME D’EULER
EXPRESSION DU THEOREME DES QUANTITES DE MOUVEMENT
Hypothèses
On suppose admis :
 La notion de masse
 L’existence d’un référentiel spatial R dit galiléen par rapport auquel on calcule les accélérations
absolues
 Le caractère absolu de la variable temps t accessible partout simultanément
Les fluides en mouvement sont homogènes et incompressibles ; ils sont en écoulement permanent et
conservatif dans le référentiel R.

A. FORMULATION DU THEOREME D’EULER


I. Rappels : théorème des quantités de mouvement
On admet que les forces sont représentées par des vecteurs glissants ou torseur des forces Ŧ
 En mécaniques des solides
Le principe fondamental de la dynamique s’écrit :
   Ŧ m  
Ŧ Fext a

  
Ŧ Fext
d
dt

Ŧ m Va  (1)

m    dtd Ŧ  m V 
Ŧ a a

Ŧ  m V  : dérivée par rapport au temps du torseur des quantités de mouvement  m V 


d
a a
dt
 En mécanique des fluides
    dtd Ŧ  V d 
Ŧ Fext a (R ) (2)
dV : élément de volume de fluide
 : symbole d’équivalence

II. Théorème d’EULER sur un filet fluide dS1

On considère une portion de tube de courant élémentaire dS1’


délimitée par les sections dS1 et dS2 à l’instant t. A
l’instant t + dt, celles-ci se retrouvent en dS1’ et dS2’. VA F1

L’écoulement étant permanent, la quantité de mouvement


des particules contenues dans le volume commun aux
positions du filet fluide à l’instant t et t + dt reste dS2
invariable.
dS2’

VB F2

Figure 1
Ainsi :

   
d Ŧ m Va = Ŧ  V d t + dt - Ŧ  V d t  
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d Ŧ m Va  =  dS 2 VB dt VB -  dS1 VB dt VA ( 3 )

dQv = VA dS1 = VB dS2 : débit volumique dans le tube de courant élémentaire.


En divisant la relation ( 3 ) par dt et en introduisant le débit, on obtient le théorème d’EULER :

 
Ŧ Fext  dQv VB  VA   (4)

En passant aux éléments de réduction – résultante et moment- , l’équivalence des torseurs exprimée
précédemment se traduit par :
 =
ℛ Fext  dQv VB  VA   (5)
  
ℳo Fext = ρdQv OB  VB  OA  VA  (6)

III. Généralisation du théorème d’EULER


1. Extension à une section finie
La démarche est identique à celle de la généralisation du théorème de BERNOULLI.
Il s’agit de procéder à une sommation sur les sections des tubes de courant élémentaires.

dl2
F2

. VB F1 dl1

S2 S2’ S1
S1’ VA
Figure 2

Remarque
Dans la sommation des forces extérieures aux tubes de courant élémentaires, les forces de pression et de
viscosité intérieures au tube de courant fini disparaissent car constitue un torseur équivalent au torseur nul.

2. Ecoulement en conduite
On considère le volume de fluide limité par la conduite et les deux sections S1 et S2.
Dans l’hypothèse simplificatrice de répartition uniforme de vitesses au niveau de S1 et S2, on aboutit à :

 
Ŧ Fext 
 Q U 2 U1  (7)
Remarque importante
Le théorème d’EULER s’applique aussi bien à l’écoulement des fluides réels que des fluides parfaits.

Bilan des forces extérieures


La résultante des forces de pression atmosphérique sur la surface latérale est nulle
 Force de pesanteur
 Forces de pression effectives sur S1 et S2 , respectivement : p1 S 1 n1 et - p 2 S 2 n 2
 F : force exercée par la paroi solide de la conduite C sur le volume de fluide contenu dans le
système.

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Si R désigne la résultante des forces exercées sur la paroi solide de la conduite C par le fluide, le principe de
l’action et de la réaction permet d’écrire :
F + R =0 (8)
B. APPLICATIONS DU THEOREME D’EULER

Le théorème d’EULER est fréquemment utilisé pour déterminer la force exercée par une paroi solide sur un
fluide, F , ou, en utilisant le principe de l’action et de la réaction, la force R qu’exerce le fluide sur la paroi
solide.

Règles à suivre
1) Faire un schéma et isoler le fluide à étudier
2) Définir un système de référence approprié
3) Faire l’inventaire des forces extérieures s’exerçant sur le système fluide
4) Ecrire la relation vectorielle donnant le 1er élément de réduction du théorème d’EULER
5) Projeter la relation sur les axes du référentiel
6) Faire appel au principe de l’action et de la réaction pour déterminer
7) Effectuer les calculs dans des systèmes d’unités cohérents

I. Réaction d’un jet issu d’un réservoir

Rappels
Au point A : pA = patm ; VA = 0 A
Au point M : pM = patm ; VM = V
V  2 g zA  zM   2 gh h

 Le système à considérer est le fluide limité h


par les parois du récipient plus le jet
jusqu’à la section contractée. M

 Inventaire des forces extérieures


ur
P : force de pesanteur V
F : forces de pression exercées par le milieu
extérieur sur le système de fluide, c’est-à-
dire, les parois du réservoir
Figure 3
Jet issu d’un orifice d’un réservoir

 Théorème d’EULER : P  F   Q V  VA 


 Projections
- sur l’axe Ox : Fx =  Q V = F
- sur l’axe Oy : Fy = P
- sur l’axe Oz : Fz = 0
Q =  V  Fx =   V2

On appelle réaction du jet la force opposée à Fx i subie par le réservoir de la part du jet. C’est la force que
nous avons appelé R dans le paragraphe précédent.
Rappelons l’expression de la vitesse du jet : V2 = 2 g h
Ainsi, nous obtenons la relation : R = - 2  g h  i
Conclusion

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R tend à faire déplacer le réservoir en sens inverse du jet.

II. Réaction dynamique d’un fluide sur un coude

- n2 n1
y

p1 Fp1 Fp 2 p 2
U1
S 1 n1

S 2 n2

U2

O x

Figure 3
Coude
 Système à étudier : fluide de la conduite compris entre les sections S1 et S2
 Bilan des forces extérieures
P : force de pesanteur
Les forces pressantes exercées par le reste de fluide sur le système :
p1 S 1 n1 sur S1
- p 2 S 2 n 2 sur S2
F : forces exercées par les parois du coude sur le fluide

 Théorème d’EULER appliqué au système


P + p1 S 1 n1 - p 2 S 2 n 2 + F =  Q ( U 2 - U 1 )

P + p1 S 1 n1 et - p 2 S 2 n 2 + F =  ( Q U 2 - Q U 1 )

P + p1 S 1 n1 et - p 2 S 2 n 2 + F =  ( S2 U2 U 2 - S1 U1 U 1 ) =  ( S2 U 2 n 2 - S1 U 12 n1 )
2

F = (  S2 U 2 + p 2 S2 ) n 2 - (  S1 U 12 + p1 S1 ) n1 - P
2

 La force subie par le coude de la part du fluide obéit au principe de l’action et de la réaction :
R = (  S1 U 12 + p1 S1 ) n1 - (  S2 U 2 + p 2 S2 ) n 2 + P
2

De l’expression précédente, on déduit alors que R est dirigée vers l’extérieur du coude.

- Si le coude se trouve dans un plan horizontal xOy, alors Rz = P, P étant le poids de fluide contenu dans les
branches formant le coude.
- Si la section de la canalisation est constante : S1 = S2 = S  U1 = U2 = U
Le théorème de BERNOULLI reste applicable loin du coude :

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p* +  U² = constante  p1 = p 2 = p*
2
Par suite : R = (  S U² + p* S ) ( n1 - n 2 ) + P
- Si l’on néglige les effets de la pesanteur : P  0 
R est dirigée vers l’extérieur du coude suivant le vecteur n1 + ( - n 2 ).

III. Action d’un jet sur une plaque plane. Déflecteur


Soit un jet bidimensionnel arrivant horizontalement sur une plaque plane fixe avec une vitesse V . On
suppose que le fluide n’est dévié que dans une seule direction grâce à l’épaulement EF. Au niveau des
sections AB et CD où les lignes de courant sont rectilignes, les vitesses sont égales puisque l’écoulement a
lieu à la pression atmosphérique, donc constante et en admettant que les frottements sont négligeables.
 Système : délimité par ABCD
 Bilan des forces extérieures sur ABCD
P : force de pesanteur (poids du liquide)
patm dS : force de pression élémentaire sur un élément de fluide de surface dS en contact direct avec
l’atmosphère
(p + patm) dS : force de pression sur un élément de fluide de surface dS en contact avec la plaque
La résultante des forces patm dS appliquée à toute la surface de référence ABCD est nulle. La force
pressante qui s’exerce sur le fluide se réduit alors à ∫p dS
Posons alors : F = (∫p dS ) n
 Théorème d’EULER : P  F  Q  V    
  V entrant
sor tan t 
 Projection suivant l’horizontal Ox : Fx =  Q ( V cos - V )
La composante horizontale de l’action du jet sur la plaque est alors :
Rx =  Q V ( 1 - cos )
Si  = 90°  Rx =  Q V
Si  = 180°  Rx = 2  Q V

Dans le dernier cas, le jet est renvoyé dans sa direction initiale (Figure 5) et l’action du jet est maximale.
Ce phénomène est utilisé dans les turbines hydrauliques PELTON mais, dans certaines machines, il faut tenir
r
compte de la vitesse relative linéaire u des augets. On établit alors :
Rx = 2  Q ( V – u )

D V V

patm C

B V u
V patm
Figure 4 Figure 5

IV. Perte de charge dans une variation brusque de section


a. Elargissement brusque
A la sortie de la portion de conduite de section S1, il se forme un jet, le fluide ne suivant pas
immédiatement les parois du tube S2. Il y a décollement des lignes de courant et formation d’une zone de

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fluide « mort » soumis à un intense mouvement tourbillonnaire, mais la pression étoilée reste la même dans
toute la section BA et A’B’. A une distance suffisante du raccord (20 X D2, diamètre de la section 2), la
uur
vitesse devient uniforme, U 2 , ainsi que la pression.

B S2 C

S1 A ↺↺↺

A’
p*
1 ↻↻↻
B’ C’ p 2
Figure 6

Hypothèses
uur
Nous admettons que la vitesse U1 est uniforme et qu’il n’y a pas de frottements le long des parois
BC et B’C’. Dans ces conditions, les pertes de charge de produisent au niveau de l’élargissement
brusque AB et A’B’ (perte d’énergie mécanique en chaleur).
Soit H les pertes de charge entre S1 et S2
1 1 2
(g) H = ( p1 + U 1 ) - ( p 2 + U 2 )
2

2 2
p  p2
  U U 2
2 2
H  1  1
g 2g

Détermination de : p1 - p 2
Appliquons le théorème d’EULER au système ABCC’B’A’.
- F : forces pressantes exercées par le fluide sur les parois

R = - F = (  U 12 + p1 ) S1 n1 - (  U 2 + p 2 ) S2 n 2 + P
2

Projection suivant l’axe horizontal Ox :


Rx = - Fx = (  U 12 + p1 ) S1 - (  U 2 + p 2 ) S2
2

Or Fx = ( S2 – S1 ) p1
- ( S2 – S1 ) p1 = (  U 12 + p1 ) S1 - (  U 2 + p 2 ) S2
2

( p1 - p 2 ) S2 =  U 2 S2 -  U 12 S1
2

Compte tenu de la conservation de la masse : Qv  S1U 1  S 2 U 2


S
U 2  1 U1
S2
( p1 - p 2 ) =  ( U 2 - U2 U1 ) =  U2 ( U2 – U1 )
2

Compte tenu de cette relation, on écrit :

H 
 U1  U 2 
2

2g

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Exprimée en unité de pression, cette perte de charge s’écrit encore :

  U1  U 2 
2
p 
2

Réaction que produit sur la conduite le mouvement du fluide au cours de cet élargissement brusque :
Rx = ( S1 - S2 ) p1
b. Rétrécissement brusque

D
B

S1 A

U1 A’ C
D’ U S2
B’ C’
U2
Figure 7
L’expérience montre :
 L’existence d’une perte de charge entre DD’ et CC’, une section située à quelques 20 X D 2
de AA’
 Une contraction de l’écoulement en aval de AA’ et la formation d’un jet de section 
 Entre DD’ et  : la perte de charge est négligeable
 La perte de charge localisée entre  et DD’ se présente comme celle qui se produit au niveau
d’un élargissement brusque. Ainsi :

H 
 U  U2 
2

2g
En introduisant le coefficient de contraction Ce, on obtient :


2
U2  1 
2
H 
  1  avec Ce 
2 g  Ce  S2
Ce est toujours inférieur à 1 mais sa valeur numérique dépend du rapport et de l’angle de
raccordement AA’
S
Angle de raccordement vif :   1  1  0,6  Ce  1
S2
Raccordement arrondi : Ce = 1
R = (  S1 U 12 + p1 S1 ) n1 - (  S2 U 2 + p 2 S2 ) n 2 + P
2

V. Théorie des hélices (théorie unidimensionnelle)


Une hélice est une roue munie d’aubes profilées permettant :
o Soit de mettre un fluide en mouvement : ventilateur, avion, hélicoptère ;
o Soit de transformer en énergie mécanique de rotation de l’énergie cinétique d’un fluide :
moulinet, éolienne…

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On admet que le fluide (l’air par exemple) qui traverse le cercle de l’hélice se trouve, loin en amont,
dans un cylindre de section S1, à la vitesse uniforme V1 et, loin en aval, dans un cylindre de section
S2, à la vitesse uniforme V2. Les lignes AND et BMC constituent les contours de ce fluide dans la
région intermédiaire. Le long du contour règne la pression atmosphérique.
Théorème des quantités de mouvement :
uur
F : force exercée par l’hélice sur le fluide ; par raison de symétrie, elle est axiale
 
uur uur uur
F   Q V2  V1
uur
L’air traverse le plan de l’hélice avec la vitesse V qui reçoit donc la puissance :

 
uur uur uur uur uur
P  F .V   QV V2  V1
Cette puissance est égale à la variation de l’énergie cinétique de la masse d’air passant de AB à CD :
V V2 
2
P Q 2  1 
 2 2 
On en déduit alors :
V V 2
V  1
2
Si l’on introduit la surface balayée par l’hélice :
V V
QSV S 1 2
2
Variation de pression se produisant au passage de l'hélice
V 12 V2
pa    p1  
2 2

V2 V 22
p1    p2  
2 2

p   V 22  V 12 
2
Hélice d’aéromoteurs
Si par vent constant (V1 constante), on cherche dans quelles conditions la puissance recueillie est
maximale, on trouve :
1 16  S V 13  S V 13
V 2  V1 P max  P max  0,6
3 27 2 2
8
La puissance recueillie ne peut dépasser les de l’énergie cinétique que le fluide possède avant de
9
traverser le moulin.
Exemple :
Soit une éolienne constituée d’une hélice de 20m de diamètre entraînée par un vent de 8m.s-1.En
admettant que l’on puisse obtenir la moitié de la puissance maximum théorique, l’installation doit
fournir :
1 3,14  8
3

P  0,5P max  0,3  3.000kgf .m2  40ch


8 2

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VI. Théorème de KUTTA-JOUKOVSKI
1. Définitions
Soit un obstacle cylindrique placé dans un écoulement permanent incompressible et de vitesse
uniforme V à l’infini. Soit  la circulation qui existe autour de l’obstacle. On définit :
1. La résultante F des forces appliquées qui se décompose en :
o Traînée T parallèle à V ;
o Portance P perpendiculaire à V .
2. Le couple résultant C des forces appliquées
Pour un fluide parfait : T  0
La portance n’existe que s’il y a une circulation autour de l’obstacle.
Cas d’un obstacle cylindrique
L’axe du cylindre est perpendiculaire à V . Par unité de longueur :
P   V 
C’est le théorème de KUTTA-JOUKOVSKI

Pour un fluide visqueux, on écrit :


S V2
T  Cx 
2
S V2
P  Cz 
2
S V2
C  Cm  L
2
S est le maître couple de l’obstacle (sauf dans le cas d’une aile d’avion) ;
L est une longueur caractéristique de celui-ci ;
Cx, Cz et Cm sont des coefficients (de traînée, de portance et de moment) sans dimension
dépendant de la forme géométrique de l’obstacle et du nombre de REYNOLDS de l’écoulement :
V L
Re  

K
Pour Re petit : C x  et T  K '  LV
Re
K et K’ sont des constantes ne dépendant qu de l forme géométrique du corps.
Quand Re est grand, la traînée est la somme de deux traînées :
o Celle des frottements visqueux que l’on peut calculer quand on connaît l couche limite qui
se développe autour du corps
o Celle de forme, en général beaucoup plus grande que la précédente et qui dépend
notamment de l’importance du sillage de l’obstacle
o
2. Obstacles de la première catégorie (type sphère ou cylindre)
a. Résistance de la sphère de diamètre D
 D2
Section : S 
4

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V D
Nombre de Reynolds : Re 

24
 Re p 0, 2  Cx  : T  3  DV : formule d STOKES
Re
24  3 
Re p 5  Cx  1  Re 
Re  16 
27
 4 p Re p 500  Cx  0,84
Re
500 p Re p Rec  Cx  0, 44
Re  Rec  Cx  0,14
Rec est un nombre critique compris entre 105 et 106 ; il dépend de la turbulence du fluide libre et de
la rugosité de la surface de la sphère. La discontinuité de Cx au passage de rec correspond à un
brusque changement de la forme de sillage.
b. Résistance du cylindre
8
Re p 0, 2  Cx 
Re  2, 2  Log Re 
V D
Re  : 10 p Re p Re  Cx 1 à 1, 2
3


Re f Rec  Cx  0,35
Rec est un nombre critique compris entre 105 et 106
Pour Re  10 : des tourbillons se détachent derrière le cylindre avec une fréquence n telle que :
nD
 0, 2 pour 500  Re  200.000
V
Si le cylindre est de longueur finie, la valeur du coefficient Cx est inférieur aux valeurs précédentes
tant que :
1  Re  Rec

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