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DM de philosophie.

Texte numéro 1 :
Question 1 :
Tout d’abord un préjugé est un jugement sur quelqu’un ou quelque chose, formé par
des critère positifs ou négatifs, qui peuvent orienter notre pensée sur cette personne
ou sur cette chose. Nous pouvons associer le préjuge à « croire », du repères
croire/savoir, car un préjugé c’est croire quelque chose a laquelle on ne détient pas
vraiment de preuves concrète et qui ne sont pas forcément vrai, car c’est seulement
ce que l’on croit. Alors que si on devait associer le préjugé à « savoir », ça ne serait
plus un préjugé mais une réalité, car le savoir c’est quelque chose de concret avec
des preuves solides, d’après le repère : « quand je sais, je sais ce que je sais, je sais
que je sais mais aussi pourquoi je sais ».
Dans cette extrait, Gramsci veut voir dépassé le préjugé sur la philosophie. Il veut
montrer que la philosophie n’est pas quelque chose que seules les personnes très
intelligentes peuvent pratiquer. Comme il nous le dit dans la cette citation :« l’activité
intellectuelle propre d’une catégorie déterminée de savants spécialisés ».

Question 2 :
Les enjeux que Gramsci aimerait voir disparaitre, c’est le fait que chaque personne
est libre de penser « chacun à sa manière » sans en avoir conscience. Car la plupart
des gens ne pas forcément bien, comme il le dit dans son texte « sans en avoir une
conscience critique, sans souci d’unité ». Ce qui nous laisse entendre que les
Hommes ne sont pas conscients qu’ils aient le droit de penser.

Question 3 :
Gramsci définit la philosophie comme quelque chose dont tout le monde dispose, et
que tout le monde a le droit de penser. D’où sa citation : « tout le monde est
philosophe, chacun a sa manière, il est vrai, et souvent de façon inconsciente ».
C’est-à-dire, que chacun peut penser d’une façon quelconque mais déterminée sur la
manière dont laquelle la philosophie est représenté et comprise dans le monde « est
contenue une conception du monde déterminée ».

Question 4 :
Dans ce texte, le préjugé qui a été mis en avant pas Russell, c’est également la
philosophie mais cette fois si elle est représentée comme quelque chose ne servant
pas vraiment à grand-chose, comme il le dit : « la philosophie n’est rien d’autre qu’un
jeu innocent mais frivole ». Dans la citation « l’art de couper les cheveux en quatre »
Russell explique, que les Hommes pensent que ce n’est rien qu’une science qui sert
juste à nous compliquer la tâche. Il explique aussi qu’il faut des connaissances
impossibles pour la pratiquer.
Question 7 :
Pour ma part je pense que dans un premier temps, oui, la philosophie et appelée à
disparaitre dans le sens ou beaucoup de personne pensent que la philosophie ne
peut être pratiquer seulement par de grand savant et également que tout le monde
ne pense pas comme il le devrait. Dans un autre sens, la philosophie sera toujours
d’actualité car il y’aurait toujours des personnes pour philosopher et apprendre cette
science aux autres génération futur.
Question 8 :
La citation « c’est dans son incertitude même que réside largement la valeur de la
philosophie » est paradoxal autrement dit elle est contradictoire car elle insiste
encore une fois sur le fait que la philosophie est basé sur quelque chose de pas sûr,
ne répondant pas réellement a la question que nous attendons comme Russell le
dit : « nous l’avons vu dès le début de ce livre : à peine commençons-nous a
philosopher que même les choses de tous les jours nous mettent sur la piste de
problèmes qui restent finalement sans réponse ».
Question 9 :
Dans la citation « celui qui ne s’y est pas frotté traverse l’existence comme un
prisonnier : prisonnier des préjugés du sens commun, des croyances de son pays ou
de son temps, de convictions qui ont grandi en lui sans la coopération ni le
consentement de la raison » Russell par des personnes n’ayant pas philosopher on
le constate avec « celui qui ne s’y est pas frotté » en parlant de la philosophie. Dans
cette citation, il dit qu’une personne n’ayant pas essayer de philosopher ce trouve
coincés entre les préjugés négatifs et ce qu’on lui dit sur la philosophie. Ces
personnes pensent surtout qu’elles ne peuvent pas penser.
Question 10 :
Dans cette citation « elle détruit le dogmatisme arrogant de ceux qui n’on jamais
traversé le doute libérateur, et elle maintient vivante notre faculté d’émerveillement
en nous montrant les choses familières sous un jour inattendu » Russell explique
que toutes les vérités incontestables qui font que quand nous sommes sûr de
quelque chose on ne cherche pas savoir la vérité. C’est ce que la philosophie
cherche à détruire, d’où le « dogmatisme arrogant ». Mais Russell parle aussi de
« doute libérateur » c’est le doute de ceux qui pense que la philosophie ce sont des
réponses à des questions pas si vrai que ça.
Question 11 :
Tout d’abord, le mot étonnement vient du latin populaire extonare, qui lui-même
provient du latin classique adtonare, attonare. Le verbe étonner signifie alors «
frapper de la foudre ». Jeanne Hersh écrit que « l’étonnement est essentiel à la
condition d’homme » car comme elle le dit, s’étonner c’est dans la nature des
hommes « savoir s’étonner, c’est le propre de l’homme ». Ne pas s’étonner c’est
comme ne pas savoir philosopher c’est avoir sa propre pensée, son propre avis sur
quelque chose.
Question 12 :
Selon cet extrait, les hommes du XXème siècle on tendance a moins s’étonner car
comme l’auteur le dit « nous vivons l’âge de la science » c’est-à-dire que nous
pensons tout savoir, que notre savoir est basé sur de chose fondées et concrètes.
Alors qu’être étonner c’est être amenée à philosopher « tel est chez l’homme le
processus créateur, capable d’amener le lecteur à philosopher lui-même ». Mais
nous savons que d’après le préjugé encore actuel aujourd’hui, qui a été démontré
par Gramsci, philosopher autrement dit faire de la philosophie c’est seulement
accessible aux personnes intelligentes et aux savants.
Question 13 :
La philosophie et la science ne sont pas incompatibles au contraire elles sont
complémentaires. Car comme on le voit dans le texte 2 l’étude des cieux faisait autre
fois partie de la philosophie avant de devenir une science ou encore l’étude de
l’esprit humain qui est aujourd’hui devenu la psychologie scientifique. En revanche il
faut comprendre que de nos jours la philosophie et la science sont deux choses
assez distinct et il ne faut pas les confondre.

Question 14 :
D’après la citation « il nous faut dépouiller l’arrogance adulte, qui considère tout le
passé avec condescende, du haut de la magnificence de la science moderne ».
Jeanne Hersh nous dit qu’il faut redevenir enfant « c’est ce que nous devons devenir
pout comprendre de quoi il s’agit » pour pouvoir philosopher, elle nous dit d’essayer
de comprendre « comme des enfants ».

Question 15 :
Peut-on vivre sans philosopher ?
Tout d’abord, philosopher c’est mettre en œuvre une certaine démarche de l’esprit
car comme l’a dit le philosophe des Lumières Kant : « l’étudiant qui sort de
l’enseignement scolaire était habitué à apprendre. Il pense maintenant qu’il va
apprendre la philosophie, ce qui est pourtant impossible car il doit désormais
apprendre à philosopher ». Philosopher c’est également mettre à l’œuvre son esprit,
le questionner, également questionner sa pensée.
Vivre sans philosopher c’est comme mener une vie remplie d’incertitude. Comme le
dit un autre philosophe, Descartes : « c'est proprement avoir les yeux fermés sans
tacher de les ouvrir que de vivre sans philosophie ». Descartes explique aussi que la
philosophie n’apporte pas seulement des connaissances mais qu’elle est importante
pour vivre une vie comme d’homme pleinement normal.
Il n’est donc pas possible de vivre sans philosopher car toute personnes peut
philosopher. Pour moi la philosophie n’est pas seulement une chose basée sur
quelque chose de concret, ce n’est pas seulement un savoir ou une science.
Philosopher c’est pouvoir travailler, pratiquer ça penser sur tout et rien. Chaque
personne en est capable car tous les jours nous le faisons c’est presque obligatoire,
nous nous posons des questions soi-même et personne ne va nous interdire. Par
exemple quand on se demande ce que nous allons manger, c’est philosopher. Tout
au long de notre journée on philosophe car on se pose tout au long de la journée
plein de petite question.

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