1 Definition Et Classification Des Os

Master 2 GC (VOA)
GV 912
2022/2023
CHAPITRE 1
1. DEFINITION ET CLASSIFICATION DES

OUVRAGES SOUTERRAINS
Nesrine_fr10@yahoo.fr
Ouvrages souterrains et tunnels Dr. El Houari N.
Ouvrages souterrains
CONTEXTE GENERAL
Le développement des grandes agglomérations

La densités croissantes de l’urbanisation
Utilisation de plus en plus fréquente du sous sol

Seule solution pour étendre le réseau de communication et de
s’affranchir des encombrements des voiries.
Il est aussi à noter que la décision de la construction d’un

ouvrage souterrain répond presque toujours à des nécessités
d’ordre urbanistique alors que la construction de surface est
plus « libre » ;
en surface on construit presque partout, ce qui n’est pas le cas 2
dans le sous-sol.
OUVRAGES SOUTERRAINS ET TUNNELS Dr. El Houari N.

3
OBJECTIFS DU COURS

Plan du cours
DÉFINITION
RAISONS D’ALLER AU SOUTERRAIN
HISTORIQUE DU SOUTERRAIN
CLASSIFICATION DES OS
RISQUES ET PROBLÈMES DU SOUTERRAIN
OBJETS D’ÉTUDES D’UN OS
SPECIFICITES DES TRAVAUX SOUTERRAINS
LES ACTEURS DU PROJET GC
APPROCHE GEOTECHNIQUE DANS L CONCEPTION D’UN TUNNEL
CONCLUSION
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
5

DÉFINITION
On désigne par ouvrages souterrains des espaces fermés situés

sous la surface du sol.
Ils peuvent avoir été construits soit en souterrains, soit à l'air
libre puis recouverts de remblais (tranchées).
Leur utilisation est très diverse : usines électriques, parcs à
voitures, entrepôts, abris à usages multiples, stockage de
fluides ou de déchets radioactifs, etc.

POURQUOI ALLER AU SOUTERRAIN ?
LE SOUS - SOL :
Un espace qui peut recevoir des infrastructures difficiles,

impossibles ou indésirables en surface.
Offre un espace naturel protégé mécaniquement ET
thermiquement.
Offre l’avantage de protéger l’environnement extérieur des
risques et nuisances liés à certains types d’activités.
Il est généralement invisible, sauf aux points de liaison avec la
surface.
Il Permet de supprimer localement des nuisances (bruit,
pollution)
Il Libère la surface pour d'autres utilisations au profit des
piétons, par l'utilisation en profondeur de plusieurs niveaux, soit
pour les circulations en séparant les trafics, soit pour des parcs 7
de stationnement,


Raisons d’aller au souterrain
occupation protection de
Isolation Sociales
du sous -sol l’environnement
écologie
catastrophes
naturelles L’aspect
séismes visuel
et esthétique
protection
sécurité 9

 Offrant depuis toujours des possibilités de transport, d’abris, de culte, et

d'approvisionnement des eaux…etc., l’être humain a eu une association
étroite avec le sous-sol depuis son évolution.
 Et avec le développement des chemins de fer (XIXe siècle) et de
l'automobile (XXe siècle), les tunnels se sont évolués d’une manière
spectaculaire passant par les grottes construites à la main à des ouvrages
extraordinaires plus longs et plus complexes et même plus dont la plupart
sont réalisés à l'aide de machines surnommées « monstrueuses » : les
tunneliers pressurisés
10

 autonomes, qui peuvent être conçus pour franchir n'importe quel massif que
ce soit roche dure ou sol meuble très peu résistant. Ils peuvent être utilisés
pour creuser des tunnels d'un diamètre de 1m jusqu’à environ 20m tel que le
plus grand tunnelier, Bertha, qui a un diamètre d’environ 19m et a été utilisé
pour le projet de tunnel de remplacement du viaduc d'Alaska Way à Seattle.
 Toutefois, les grandes questions qui se posent : d’où viennent véritablement
ces ouvrages ? Quelle est leur origine et comment pourrait-on expliquer leur
présence sur terre avec exactitude ?!
 Des documents citent cette évolution surprenante en mettant en exergue
l’extraordinaire évolution de ces ouvrages depuis l’âge des pierres jusqu’à
notre époque. Cette dissertation vise à synthétiser ces quelques documents
11
en mettant en accent les ouvrages les plus marquants, ainsi par cela nous
espérons contribuer ne serait-ce qu’un petit peu à cette grande histoire.
 On doit la première définition des tunnels à Charles Saint Laurent (1845) à

travers son dictionnaire encyclopédique où il a défini le tunnel comme
étant :"Passage souterrain construit sous la Tamise à Londres. Ce passage
offre deux conduits parallèles communiquant entre eux par de nombreux
portiques. Il est dû à un ingénieur français, Marc Brunel, qui a dû vaincre
toutes les difficultés d’une si grande entreprise. Au moment où nous
écrivons ces lignes, le tunnel est sur le point d’être terminé".
 On invoquait avant cet ingénieur, particulièrement, le terme souterrain,
galerie ou même mine.
12

 Toutefois, c’est en 1825 que le terme Tunnel ait été exhibé et il n’est que la
traduction anglaise de la "Tonnelle ", nom donné à cet ouvrage et utilisé dès le
XVIème siècle pour désigner une longue voûte en berceau. Selon Jean Péra, ancien
directeur du Centre d’études des tunnels (CETu) et ancien président de l’Association
françaises des travaux en souterrains (AFTES), la tonnelle dérive elle-même de "
tunna ", mot latin populaire d’origine celtique qui désignait d’abord une outre en
cuir, puis une grosse futaille. [2].
 Ainsi, d’après Waldmann (2005), aucun tunnel digne de ce nom n’a existé avant
1825. Plutôt que de parler des tunnels, avant, on parlait de mines (mot d’origine
celtique « mina » dérivant de l’égyptien « Mna » et signifiant la pépite d’or qui
servait à échanger des biens, d’où est venue le terme "monnaie") ou de galeries (tiré
du mot latin médiéval " Galeria " et représentant un chemin souterrain ou couvert 13
pour s’approcher d’un endroit).

 Le premier tunnel creusé date de 2 200 av. JC, creusé suivant la technique
de la tranchée couverte, pour créer un passage souterrain entre le palais
et le temple de Belos, à Babylone.
14

Gadhara Aqueduct, Jordan
15

Marc Brunel, ingénieur français construit a l’aide d’un tunnelier une
galerie piétonne à Londres sous la Tamise (1825-1843).
La stabilité du front de taille est assurée par un soutènement en bois, le
revêtement en briques.
Cet ouvrage a été nommé «La Tonnelle» qui plus tard en français sera
nommé « Tunnel »
16
La Tonnelle à Londres en 1825

C’est la France qui fut pionnière en ce qui concerne la réflexion sur

l’urbanisme souterrain dès le début du siècle passé. Une première
réflexion apparut, il fallait dénoncer l’encombrement anarchique du
sol urbain, proposer d’enfuir la circulation urbaine, et réclamer la
nécessité de penser la surface en même temps que le sous-sol.
A partir des années 70, il fût la création de différents organismes
fédérant les travaux souterrains dans chaque pays.
Ces associations développèrent un objet plus précis : le tunnel et
son exécution.
L’AFTES voit le jour ainsi que l’ITA.
Canada, Australie, Etats-Unis , Japon.
Inauguration de la ligne 1 en juillet 1900

premier train à la station Gare de Lyon
17

En 1900, percer un tunnel de plusieurs kilomètres de longueur requiert
deux choses simples : de la patience et beaucoup de bras.
Loin de toutes les machines modernes, on ne disposait guère que des
outils rudimentaires, et de quelques techniques de percement utilisant
les explosifs.
La dynamite s’avérant très dangereuse à utiliser en ville (conduite de
gaz, vibrations, risques humains très importants…), on se résout à
creuser le tunnel à la main.
Le front de taille, c’est à dire le lieu où le tunnel est percé était attaqué
par des ouvriers maniant pelles et pioches. les débris sont ensuite
évacués par des chariots. Cette technique impose comme contraintes
une certaine profondeur du tunnel, ainsi qu’un terrain assez dur, pour
18
pouvoir supporter les contraintes mécaniques.

•2 Grandes familles
OUVRAGES DE SECTION PLUS

OU MOINS RÉGULIÈRE ET DE
GRANDE LONGUEUR
CAVITÉS SOUTERRAINES ET
STRUCTURES ENTERRÉES
19

CLASSIFICATION DES OS (Barton)
CLASSE DESCRIPTION
A Excavations minières à caractère temporaire
B Galeries hydrauliques, Puits verticaux
C Collecteurs d’assainissement, Galeries de

reconnaissances et galerie pilotes.
D Cavité de stockage, Stations de traitement d’eau,
Tunnels routiers et ferroviaires
E Usines souterraines (plus souvent hydroélectriques),
Tunnels autoroutiers, Galeries du métro, Abries de
défense civile.
F Centrales nucléaires souterraines, Gares souterraines, 20

Salles ouvertes au public (sports, spectacles)

Sol meuble ou roche.
Faible ou forte couverture.
Terrain hors nappe ou aquifère.
Contraintes naturelles normales ou élevées.
21

Risques et problèmes du souterrain
L'accroissement des besoins pesant sur les constructions en sous-sol a

conduit à donner plus d’importance à la prise en compte des risques.
Parmi les différents aspects de nuisances dues aux chantiers et aux

travaux on peut citer:
Risques contractuels(les travaux supplémentaires non budgétisés, ou

des retards dans les travaux).
Conditions de terrain, (caractéristiques géologiques imprévues,
mauvaise évaluation de comportement de terrain ou présence d’eau de
manière plus importante que prévue).
Risques de mauvaise construction, (fuites dans les joints, défaillance
de tunnelier).
Encombrement physique du site (blocage éventuel de la circulation,
des surfaces piétonnes, etc.…) ;
Problèmes liés à l’environnement (nappes, Eau potable...)
22

OBJETS D’ÉTUDES D’UN OS
Dans le projet d’un OS, les principaux objets sont les suivants :
Le choix d’un site, d’un tracé, recherche des difficultés particulières

(failles, venues d’eau, massif gonflant…)
Le choix d’une forme, volume, section type pour assurer la fonction, la

stabilité et l’économie de l’ouvrage
Le choix et le dimensionnement du soutènement à court et à long terme
La sécurité du chantier
Le contrôle du comportement de l’ouvrage pendant et après les

travaux.
L’estimation des coûts (chose difficile)
L’entretien et la réparation de l’ouvrage après la construction pour

faciliter la tâche à l’exploitant.
23

 Ouvrages linéaires réalisés sous couverture:
• Difficultés d’accès, impact sur les avoisinants,
• Travail humain en milieu confiné : pollution, bruit, pénibilité, danger, sécurité…
 Ouvrages construits dans un milieu dont la connaissance reste

imparfaite:
• Aléas géologiques (karst, sillon glaciaire, faille,…) , hydrogéologiques (venues
d’eau,…),
• géotechniques à ne pas sous‐estimer,
• Gestion et contractualisation des risques à prévoir en phase étude,
• Rôle essentiel des reconnaissances.

24

Ouvrage dont la construction fait appel à une succession d’étapes dans le temps
qui vont se répéter tout au long du linéaire (notion de cycles)
25
Importance de recommandations particulières (AFTES) à intégrer en
phases conception, dimensionnement, exécution: www.aftes.asso.fr
Deux grandes familles de

matériaux à considérer:
Les roches: Les sols (« soft soils »):

‐ Une matrice cimenté,
‐ Des matériaux meubles ou
‐ De fortes cohésions inter‐
particulaires faiblement cohérents
‐ Des discontinuités découpant le
‐ De fortes porosités
massif en éléments
‐ Comportement assimilable à
‐ Comportement dicté par celui
celui d’un milieu continu.
des discontinuités du massif
26

Les acteurs du projet GC
Le maître d'ouvrage est celui qui commande le produit.
Son rôle essentiel est de fixer formellement les objectifs du produit à
réaliser en matière de « coût délai performance » :
• Le maître de l'ouvrage est celui qui exprime et formalise le besoin à
satisfaire et les caractéristiques du produit qui lui permettront de
satisfaire à son emploi futur.
• Sur le plan budgétaire, il est celui qui paie l'ouvrage à construire. À
ce titre, il est juge final des arbitrages envisageables entre coûts et
performances.
• Sur le plan calendaire, il est celui qui juge de l'opportunité du projet
par rapport à son calendrier propre, lance sa réalisation, et le clôt en
prononçant la réception.
Le maitre d’œuvre est chargé par le maitre d’ouvrage de:
• Concevoir le projet, s'il est lui‐même architecte ou ingénieur ‐
architecte;
• Élaborer le cahier des clauses techniques particulières (CCTP) et
contrôler la bonne exécution des travaux ;
• Jouer un rôle d’interface entre le MOA et les entreprises chargées 27
d’exécuter les travaux.
L’entreprise est chargée de réaliser les travaux Introduction
APPROCHE GEOTECHNIQUE DANS LA CONCEPTION D’UN TUNNEL
Les moyens d’études et de reconnaissances géologiques,

hydrogéologiques, géotechniques:
28

Le tunnel de base du Saint-Gothard (suisse)
29
TUNNEL DE KHERRATA
30
TUNNEL DE KHERRATA
Ce tunnel réalisé par une société italienne et livré en 1988.
Le tunnel de Kherrata, construit sur la route nationale RN 9 entre Bejaïa et

Sétif pour décongestionner cet important axe routier, est aujourd’hui un
danger permanent pour les automobilistes. La cause ?
 Un manque d’entretien et beaucoup de négligences,
 Éclairage défaillant, ventilation inopérante, infiltration des eaux,

accidents de la route régulièrement.
 A l’intérieur, la fumée des gaz d’échappements réduit considérablement

la visibilité. Le système de ventilation est en panne depuis plusieurs
années. L’éclairage est inexistant.
 Les parois en béton du tunnel, fissurées, laissent passer l’eau qui inonde
la chaussée, surtout en hiver. 31

TUNNEL DE KHERRATA
La situation du tunnel de Kherrata pose en fait le problème de

l’entretien des infrastructures de base que l’Algérie construit
à coups de milliards de dollars. Ce tunnel qui a certes
décongestionné la RN9 sur 6 km, a besoin de grands travaux
de réparation.
La construction d’un deuxième tunnel similaire pour
dédoubler la RN9 sur ce tronçon semble même inévitable
pour fluidifier la circulation entre Bejaïa et Sétif.
32

TUNNEL DE BOUIRA
33
PENETRANTE D’ORAN 34
LES ETAPES D’UN PROJET DE TUNNEL (Résumé)
Schéma type de progressivité des études:
35

VOCABULAIRES DES TUNNELS ET OS
36

VOCABULAIRES DES TUNNELS ET OS
37

CONCLUSION CONCLUSIONS
il faut un bon projet basé sur des reconnaissances

intelligentes, mais aussi un entrepreneur expérimenté et un
maître d’œuvre ou d’ouvrage « majeur » car , encore une fois,
la réalité qui les attends n’est pas et ne pourra être,
entièrement prévue.
Concevoir un projet souterrain est un acte à multiples

dimensions simultanées. Que ce soit pour des raisons de
nuisances ou d’encombrement de la surface, les travaux ne
reçoivent que rarement l’accord du public. Il faut donc
essayer de concilier l'intérêt général et celui des riverains
38
sans perdre de vue l’impératif du développement à long terme
de la ville.
CONCLUSION CONCLUSIONS
« Insuffisance de données et incertitudes (tout ne se

calcule pas!) sont des situations prédominantes en
travaux souterrains, dans ce contexte, le jugement de
l’ingénieur est l’élément essentiel dans la conception et le
dimensionnement, celui-ci vient de l’expérience et de la
capacité d’analyse. De ce point de vue,
les méthodes de calcul sont des outils qui permettent
d’enrichir les réflexions sans jamais remplacer l’intuition
de l’ingénieur »
39

CONCLUSIONS
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
1. Bouvard‐Lecoanet A., Colombet G., Estuelle F., 1992. Ouvrages souterrains:

conception, réalisation, entretien. Presses de l'ENPC, 2è édition.
2. Panet M., 1995. Le calcul des tunnels par la méthode convergence‐
confinement. Presses de l'ENPC.
3. Dossier pilote et publications du CETU: http://www.cetu.equipement.gouv.fr
4. Recommandations AFTES: http://www.aftes.asso.fr (téléchargement
gratuit)
40

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1. DEFINITION ET CLASSIFICATION DES

Le développement des grandes agglomérations

Utilisation de plus en plus fréquente du sous sol

Il est aussi à noter que la décision de la construction d’un

OUVRAGES SOUTERRAINS ET TUNNELS Dr. El Houari N.

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Raisons d’aller au souterrain

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 Offrant depuis toujours des possibilités de transport, d’abris, de culte, et

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 On doit la première définition des tunnels à Charles Saint Laurent (1845) à

OUVRAGES SOUTERRAINS ET TUNNELS Dr. El Houari N.

pour s’approcher d’un endroit).

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Gadhara Aqueduct, Jordan

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La Tonnelle à Londres en 1825

C’est la France qui fut pionnière en ce qui concerne la réflexion sur

Inauguration de la ligne 1 en juillet 1900

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OUVRAGES DE SECTION PLUS

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B Galeries hydrauliques, Puits verticaux

C Collecteurs d’assainissement, Galeries de

F Centrales nucléaires souterraines, Gares souterraines, 20

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Sol meuble ou roche.

Faible ou forte couverture.

Terrain hors nappe ou aquifère.

Contraintes naturelles normales ou élevées.

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L'accroissement des besoins pesant sur les constructions en sous-sol a

Parmi les différents aspects de nuisances dues aux chantiers et aux

Risques contractuels(les travaux supplémentaires non budgétisés, ou

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Le choix d’un site, d’un tracé, recherche des difficultés particulières

Le choix d’une forme, volume, section type pour assurer la fonction, la

Le choix et le dimensionnement du soutènement à court et à long terme

Le contrôle du comportement de l’ouvrage pendant et après les

L’estimation des coûts (chose difficile)

L’entretien et la réparation de l’ouvrage après la construction pour

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 Ouvrages linéaires réalisés sous couverture:

• Difficultés d’accès, impact sur les avoisinants,

• Travail humain en milieu confiné : pollution, bruit, pénibilité, danger, sécurité…

 Ouvrages construits dans un milieu dont la connaissance reste

• Gestion et contractualisation des risques à prévoir en phase étude,

• Rôle essentiel des reconnaissances.

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Deux grandes familles de

Les roches: Les sols (« soft soils »):

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Les moyens d’études et de reconnaissances géologiques,

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Ce tunnel réalisé par une société italienne et livré en 1988.

Le tunnel de Kherrata, construit sur la route nationale RN 9 entre Bejaïa et