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Neurobiologiques
Projet de fin d’étude
o Âge moyen du début : 55 à 70 ans, mais il existe des formes à début précoce (20-40 ans),
des formes juvéniles (< 20 ans) et des formes tardives (> 70 ans).
o C’est la deuxième cause de handicap neurologique chez le sujet âgé (après les AVC).
o Il existe des facteurs exogènes capables de déterminer une maladie de Parkinson (le MPTP).
o L'hypothèse actuelle penche pour une vulnérabilité anormale, génétiquement déterminée des
neurones dopaminergiques, à des facteurs environnementaux variés.
o Ainsi une personne n’hériterait pas de l'état de la maladie en soi, mais plutôt d’un ensemble de
traits de sensibilité à certains facteurs environnementaux.
Les travaux de recherches sur la MP
• Face au poids sanitaire que représente la MP nous avons
sélectionné quelques articles qui démontrent les exploits
scientifiques sur la maladie.
• Ces travaux de recherches visent tout d’abord sur l’étiologie,
puis sur les outils clinique et paraclinique permettant une étude
plus avancée et précise sur la physiopathologie.
• Et pour finir les différents techniques pouvant contribuer au bien
être des patients parkinsoniens socialement .
Aspects neurobiologiques de MP
Description
Atteinte dopaminergique
Les neurones nigrostriés se
projettent sur le noyau caudé
et le putamen à partir du
locus niger et libèrent la DA,
un neurotransmetteur
permettant entre autres le
contrôle du mouvement, dans
le striatum.
Aspects neurobiologiques de MP
Description
Biosynthèse et catabolisme
Aspects neurobiologiques de MP
Description
Fixation aux récepteurs dopaminergiques
• Les récepteurs de la famille D1 ( D1 et D5) ont
un effet excitateur
• Celles de la famille D2 (D2, D3, D4) ont un
effet inhibiteur
Recapture de la DA dans l’espace
synaptique
La recapture et l’équilibre de la DA sont assurés
par transporteur DAT
Aspects neurobiologiques de MP
Description
Dopamine et MP
• Cette dépigmentation se
caractérise par une diminution
de DA dans le striatum.
Dans cette pathologie, la dégénérescence de neurones dopaminergique laisse place aux scientifiques
beaucoup de recherches notamment chez l’homme mais également chez l’animal en particulier les
rongeurs.
Des nombreuses expériences ont été effectué chez l’animal avant d’être extrapolées chez l’homme car
l’animal constitue un modèle parfait pour les expériences anatomopathologiques et ça permet de
constituer un cause à effet.
Des expériences qui ne peuvent par être effectuées directement chez l’homme pour des raisons d’étiques
comme la thérapie génique.
Toute fois la complexité du cerveau humain nous anème à nous poser la question suivante : Est-ce que ces
expériences effectuées chez l’animal peuvent être appliquées chez l’homme sans contestations?
Conclusion
• La MP est neurovégétative et touche plus les hommes que les femmes et
sans étiologie connue sans doute défauts d’outils permettant une étude
plus poussée.
• Elle est une affection fréquente dont le diagnostic est purement clinique
et certaines symptômes varient d’un patient à un autre.
• Le traitement est substitutif dont l’efficacité est limitée dans le temps.
• Néanmoins l'utilisation de cellules souches susceptibles de se différencier
en cellules sécrétrices de dopamine et la thérapie génique expérimentées
sur des modèles animaux suscitent de nouveaux espoirs.
Merci Pour Votre
Attention