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Notions de base de
l’ATOMISTIQUE
2 Octobre 2023
1
I) Historique et description du modèle de
l’atome
2 II) Structure électronique
a) couches et sous couche électroniques
b) Structure électronique (configuration électronique)
Principe d'exclusion de PAULI
Principe de stabilité
Plan
Règle de HUND
Règle de KLECHKOWSKI
3 III) CLASSIFICATION
PERIODIQUE
Description de tableau périodique de
MENDELEIEV
La Classification périodique moderne
Les Familles d’éléments
Quelles informations nous apportent la
4 Conclusion
classification ?
Evolution des propriétés des éléments
I) Historique et
description du modèle
de l’atome
1. La naissance de l’idée d’atome
Au Ve siècle av. J.-C., le savant grec Leucippe, puis son
élève Démocrite ont l’intuition que toute matière est
constituée de petits grains invisibles et insécables qu’ils
appellent atomes.
3. La renaissance de la théorie
atomique
1805 :
John Dalton, physiciens britannique (1766-
1844), suppose l’existence des atomes et
suppose qu’il en existe plusieurs types, qui
permettent d’expliquer les propriétés de la
matière
1902 :
Suite à la découverte de l’existence des
électrons en 1897, J-J. Thomson (1856-1940),
physicien britannique propose un modèle
de l’atome appelé le « pudding aux
électrons » : l’atome est une boule
électriquement neutre remplie d’une
substance chargée positivement et
d’électrons chargés négativement.
1909 :
E. Rutherford, physicien britannique (1871-
1937), propose un modèle planétaire de
l’atome ; il compare l’atome au système
solaire : l’atome est constitué d’un noyau,
autour duquel gravitent les électrons. Le
noyau est environ 105 fois plus petit que
l’atome, donc l’atome est essentiellement
constitué de vide
1913 :
Modèle de Bohr (1885-1962) : Les électrons
tournent autour de l’atome selon des orbites
de rayon défini, pas tous identiques, et pas
toutes contenues dans le même plan
Le modèle probabiliste le modèle actuel : Les
physiciens du 20e siècle ont admis que la notion
d’orbite n’a plus de sens pour un électron dans un
atome : les électrons tournent autour de l’atome de
façon aléatoire et désordonnée : on parle « de chance
de trouver l’électron à une distance donné du noyau ».
II) Structure électronique
1) Les nombres quantiques (couches et sous couche
électroniques )
1.1) Le nombre quantique principal n
On appelle niveau (ou couche) l’ensemble des électrons
correspondants à une valeur de n:
Le niveau K correspond à n=1
Le niveau L correspond à n=2
Le niveau M correspond à n=3
Un niveau n peut contenir jusqu’à 2n2 électrons
Les électrons occupent les niveaux d'énergie les plus bas dans la
limite des places disponibles.
2.3) Règle de HUND
A l'état fondamental, quand les électrons se placent dans une
sous-couche multiple (p,d, f), ils occupent le maximum d'orbitales
de même énergie avec des électrons célibataires qui ont des spins
parallèles (même valeur de s).
1s1 1s2
2s1 2s2 2p1 2p2 2p3 2p4 2p5 2p6
3s1 3s2 3p1 3p2 3p3 3p4 3p5 3p6
4s1 4s2 3d1 3d2 3d3 3d4 3d5 3d6 3d7 3d8 3d9 3d10 4p1 4p2 4p3 4p4 4p5 4p6
5s1 5s2 4d1 4d2 4d3 4d4 4d5 4d6 4d7 4d8 4d9 4d10 5p1 5p2 5p3 5p4 5p5 5p6
6s1 6s2 5d1 5d2 5d3 5d4 5d5 5d6 5d7 5d8 5d9 5d10 6p1 6p2 6p3 6p4 6p5 6p6
7s1 7s2 6d1 6d2 6d3 6d4 6d5 6d6 6d7 6d8 6d9 6d10 7p1 7p2 7p3 7p4 7p5 7p6
4f1 4f2 4f3 4f4 4f5 4f6 4f7 4f8 4f9 4f10 4f11 4f12 4f13 4f14
5f1 5f2 5f3 5f4 5f5 5f6 5f7 5f8 5f9 5f10 5f11 5f12 5f13 5f14
La troisième ligne devrait contenir les éléments
correspondant au remplissage de la couche M (n=3) soit 18
au total : 3s2 , 3p6 et 3d10
1s1 1s2
2s1 2s2 2p1 2p2 2p3 2p4 2p5 2p6
3s1 3s2 3p1 3p2 3p3 3p4 3p5 3p6
4s1 4s2 3d1 3d2 3d3 3d4 3d5 3d6 3d7 3d8 3d9 3d10 4p1 4p2 4p3 4p4 4p5 4p6
5s1 5s2 4d1 4d2 4d3 4d4 4d5 4d6 4d7 4d8 4d9 4d10 5p1 5p2 5p3 5p4 5p5 5p6
6s1 6s2 5d1 5d2 5d3 5d4 5d5 5d6 5d7 5d8 5d9 5d10 6p1 6p2 6p3 6p4 6p5 6p6
7s1 7s2 6d1 6d2 6d3 6d4 6d5 6d6 6d7 6d8 6d9 6d10 7p1 7p2 7p3 7p4 7p5 7p6
4f1 4f2 4f3 4f4 4f5 4f6 4f7 4f8 4f9 4f10 4f11 4f12 4f13 4f14
5f1 5f2 5f3 5f4 5f5 5f6 5f7 5f8 5f9 5f10 5f11 5f12 5f13 5f14
La quatrième ligne devrait contenir les éléments correspondant au remplissage de la
couche N (n=4) soit 32 au total : 4s2 , 4p6 , 4d10 et 4f14
Pour des raisons de commodité (manque de place) les sous-couches f sont placées
en bas et à droite du tableau périodique.
1s1 1s2
2s1 2s2 2p1 2p2 2p3 2p4 2p5 2p6
3s1 3s2 3p1 3p2 3p3 3p4 3p5 3p6
4s1 4s2 3d1 3d2 3d3 3d4 3d5 3d6 3d7 3d8 3d9 3d10 4p1 4p2 4p3 4p4 4p5 4p6
5s1 5s2 4d1 4d2 4d3 4d4 4d5 4d6 4d7 4d8 4d9 4d10 5p1 5p2 5p3 5p4 5p5 5p6
6s1 6s2 5d1 5d2 5d3 5d4 5d5 5d6 5d7 5d8 5d9 5d10 6p1 6p2 6p3 6p4 6p5 6p6
7s1 7s2 6d1 6d2 6d3 6d4 6d5 6d6 6d7 6d8 6d9 6d10 7p1 7p2 7p3 7p4 7p5 7p6
4f1 4f2 4f3 4f4 4f5 4f6 4f7 4f8 4f9 4f10 4f11 4f12 4f13 4f14
5f1 5f2 5f3 5f4 5f5 5f6 5f7 5f8 5f9 5f10 5f11 5f12 5f13 5f14
La cinquième ligne devrait contenir les éléments correspondant au remplissage
de la couche O (n=5) soit 50 au total : 5 s2 , 5 p6 , 5 d10 , 5 f14 et 5 g18
(En fait les niveaux g n’existent pas pour les éléments connus actuellement et il
n’y a pas lieu d’en tenir compte.)
1s1 1s2
2s1 2s2 2p1 2p2 2p3 2p4 2p5 2p6
3s1 3s2 3p1 3p2 3p3 3p4 3p5 3p6
4s1 4s2 3d1 3d2 3d3 3d4 3d5 3d6 3d7 3d8 3d9 3d10 4p1 4p2 4p3 4p4 4p5 4p6
5s1 5s2 4d1 4d2 4d3 4d4 4d5 4d6 4d7 4d8 4d9 4d10 5p1 5p2 5p3 5p4 5p5 5p6
6s1 6s2 5d1 5d2 5d3 5d4 5d5 5d6 5d7 5d8 5d9 5d10 6p1 6p2 6p3 6p4 6p5 6p6
7s1 7s2 6d1 6d2 6d3 6d4 6d5 6d6 6d7 6d8 6d9 6d10 7p1 7p2 7p3 7p4 7p5 7p6
4f1 4f2 4f3 4f4 4f5 4f6 4f7 4f8 4f9 4f10 4f11 4f12 4f13 4f14
5f1 5f2 5f3 5f4 5f5 5f6 5f7 5f8 5f9 5f10 5f11 5f12 5f13 5f14
La sixième ligne devrait contenir les éléments correspondant au
remplissage de la couche P (n=6) soit 72 au total :
6s2 , 6p6 , 6d10 , 6f14, 6g18, 6h22
1s1 1s2
2s1 2s2 2p1 2p2 2p3 2p4 2p5 2p6
3s1 3s2 3p1 3p2 3p3 3p4 3p5 3p6
4s1 4s2 3d1 3d2 3d3 3d4 3d5 3d6 3d7 3d8 3d9 3d10 4p1 4p2 4p3 4p4 4p5 4p6
5s1 5s2 4d1 4d2 4d3 4d4 4d5 4d6 4d7 4d8 4d9 4d10 5p1 5p2 5p3 5p4 5p5 5p6
6s1 6s2 5d1 5d2 5d3 5d4 5d5 5d6 5d7 5d8 5d9 5d10 6p1 6p2 6p3 6p4 6p5 6p6
7s1 7s2 6d1 6d2 6d3 6d4 6d5 6d6 6d7 6d8 6d9 6d10 7p1 7p2 7p3 7p4 7p5 7p6
4f1 4f2 4f3 4f4 4f5 4f6 4f7 4f8 4f9 4f10 4f11 4f12 4f13 4f14
5f1 5f2 5f3 5f4 5f5 5f6 5f7 5f8 5f9 5f10 5f11 5f12 5f13 5f14
Classification Et Configuration Electronique
Si on connaît la place dans la classification, on en déduit immédiatement
la configuration électronique (et inversement)
1s1 1s2 13 14 15 16 17 18
2s1 2s2 2p1 2p2 2p3 2p4 2p5 2p6
3s1 3s2
3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 3p1 3p2 3p3 3p4 3p5 3p6
4s1 4s2 3d1 3d2 3d3 3d4 3d5 3d6 3d7 3d8 3d9 3d10 4p1 4p2 4p3 4p4 4p5 4p6
5s1 5s2 4d1 4d2 4d3 4d4 4d5 4d6 4d7 4d8 4d9 4d10 5p1 5p2 5p3 5p4 5p5 5p6
6s1 6s2 5d1 5d2 5d3 5d4 5d5 5d6 5d7 5d8 5d9 5d10 6p1 6p2 6p3 6p4 6p5 6p6
7s1 7s2 6d1 6d2 6d3 6d4 6d5 6d6 6d7 6d8 6d9 6d10 7p1 7p2 7p3 7p4 7p5 7p6
4f1 4f2 4f3 4f4 4f5 4f6 4f7 4f8 4f9 4f10 4f11 4f12 4f13 4f14
5f1 6f2 6f3 6f4 6f5 6f6 6f7 6f8 6f9 6f10 6f11 6f12 6f13 6f14
Bloc s
Bloc p
H He He
Li Be Bloc d B C N O F Ne
Na Mg Al Si P S Cl Ar
K Ca Sc Ti V Cr Mn Fe Co Ni Cu Zn Ga Ge As Se Br Kr
Rb Sr Y Sr Nb Mo Tc Ru Rh Pd Ag Cd In Sb Se Te I Xe
Cs Ba La Hf Ta W Re Os Ir Pt Au Hg Tl Pb Bi Po At Rn
Fr Ra Ac
Ce Pr Nd Pm Sm Eu Gd Tb Di Ho Er Tm Yb Lu
Th Pa U Np Pu Am Cm Bk Cf Es Em Md No Lr
Bloc f
Cas de l’Hélium : Bien qu’appartenant au bloc s (1s2), celui-ci est placé dans le
bloc p (groupe des gaz rares).
Les Familles d’éléments
Certaines familles ont reçues des noms particuliers à connaître.
Ligne = période
1 18
H 2 Colonne = famille (ou groupe) 13 14 15 16 17 He
Li Be B C N O F Ne
Na Mg 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 Al Si P S Cl Ar
K Ca Sc Ti V Cr Mn Fe Co Ni Cu Zn Ga Ge As Se Br Kr
Rb Sr Y Sr Nb Mo Tc Ru Rh Pd Ag Cd In Sn Sb Te I Xe
Cs Ba La Hf Ta W Re Os Ir Pt Au Hg Tl Pb Bi Po At Rn
Fr Ra Ac
Ce Pr Nd Pm Sm Eu Gd Tb Di Ho Er Tm Yb Lu
Th Pa U Np Pu Am Cm Bk Cf Es Em Md No Lr
A- Les alcalins :
Ce sont les éléments de la première colonne mis à part
l’hydrogène.
Légende :
B-Les halogènes :
Ce sont les éléments de l’avant dernière colonne de la
classification.
Ils ont sept électrons sur leur couche externe, ils vont
donc facilement gagner un électron supplémentaire pour
donner des ions de charge -e : F-, Cl-, Br- et I-.
Légende :
C- Les gaz rares ou nobles :
Ce sont les éléments de la dernière colonne de la
classification.
Ce sont les éléments chimiques les plus stables, ils sont
inertes chimiquement.
Légende :
Quelles informations nous apportent la classification ?
A-Masses molaires :
La première chose que nous irons chercher dans la
classification, ce sont les données de masses molaires
atomiques.
K Ca Sc Ti V Cr Mn Fe Co Ni Cu Zn Ga Ge As Se Br Kr
Rb Sr Y Sr Nb Mo Tc Ru Rh Pd Ag Cd In Sn Sb Te I Xe
Cs Ba La Hf Ta W Re Os Ir Pt Au Hg Tl Pb Bi Po At Rn
Fr Ra Ac
Ce Pr Nd Pm Sm Eu Gd Tb Di Ho Er Tm Yb Lu
Th Pa U Np Pu Am Cm Bk Cf Es Em Md No Lr
Les non‐métaux
(partie droite du tableau): 2 familles importantes: les halogènes (colonne 17) et les
chalcogènes (colonne 16)
Les non‐métaux ont tendance à capter des électrons supplémentaires dans les
réactions chimiques pour atteindre la configura1on électronique du gaz rare qui les
suit
Formation d'anions (Ex: Cl [3s² 3p5 ] Cl - )
Règle de Sanderson : Un élément est métallique si le nombre d ’électron de sa
couche de n le plus élevé est inférieur ou égal au numéro de sa période.
(sauf H et Ge)
3 Na Mg Al Si P S Cl Ar
4 K Ca Sc Ti V Cr Mn Fe Co Ni Cu Zn Ga Ge As Se Br Kr
5 Rb Sr Y Sr Nb Mo Tc Ru Rh Pd Ag Cd In Sn Sb Te I Xe
6 Cs Ba La Hf Ta W Re Os Ir Pt Au Hg Tl Pb Bi Po At Rn
7 Fr Ra Ac
Classification périodique simplifiée
1 18
H 2 13 14 15 16 17 He Seuls les blocs s et p y figurent.
Li Be B C N O F Ne
Na Mg Al Si P S Cl Ar
K Ca Ga Ge As Se Br Kr
Période 2 : Li - Be - B - C - N - O - F - Ne
Période 3 : Na - Mg -Al - Si - P - S - Cl - Ar
LA REGLE DE L’OCTET
Les gaz rares présentent une grande inertie chimique, ils ne donnent
pratiquement aucune réaction .
On les appelles parfois gaz nobles car ils refusent de se mêler aux autres
éléments dans des composés chimiques.
Ils semblent même répugner à s’unir entre atome du même élément puisqu’il
s’agit de gaz monoatomiques.
n s2 n p6
Règle de l ’octet :
Un atome ou un ion qui présente une structure électronique similaire à celle
des gaz rares en s2 p6 (soit 8 électron = octet sur sa couche de valence)
présentera une stabilité particulièrement importante.
Cette règle permet de prévoir facilement l’ion le plus stable des éléments des blocs
s et p.
Pour les éléments trop éloignés de la structure des gaz rares (blocs d et f et
colonne 14) cette règle ne s ’applique pas aussi simplement.
IONS LES PLUS STABLES DES ELEMENTS s et p
1 2 13 14 15 16 17 18
s1 s2 p1 p2 p3 p4 p5 p6
H He
Li Be B C N O F Ne
Na Mg Al Si P S Cl Ar
K Ca Ga Ge As Se Br Kr
Rb Sr In Sn Sb Te I Xe
Cs Ba Tl Pb Bi Po At Rn
Fr Ra
47
Evolution des propriétés des
éléments
charge effective
Propriétés énergétiques
∗2
Énergie des orbitales de valence 𝑍
𝐸 =−13 ,6 × 2 𝑒𝑛( 𝑒𝑉 )
𝑛
Énergie d’ionisation
L’énergie d’ionisation EI (ou potentiel d’ionisation) est l’énergie
minimale
à L’énergie fournir pour arracher
𝐴( 𝑔un électron à l’atome à l’état gazeux dans
−
+ ¿ +1 𝑒 ¿
) 𝐴
son état fondamental.
Plus l’énergie des OA de valence est basse, plus l’énergie d’ionisation est grande.
Energie d’attachement et affinité électroniques
L’énergie d’attachement électronique E att est l’énergie libérée lors de
l’addition d’un électron à un atome à l’état gazeux dans son état fondamental.
− −
𝑨+ 𝟏 𝒆 𝑨
L’affinité électronique AE est l’opposée de l’énergie d’attachement
électronique. − −
𝑨 𝑨+𝟏 𝒆
AE = - E att
• En général, E att < 0 donc AE > 0
• Evolution dans la classification périodique plus difficile à interpréter. Retenir que
globalement AE augmente de la gauche vers la droite.
Electronégativité
L’électronégativitéest la capacité d’un atome à attirer vers lui
les électrons des autres atomes avec lesquels il est engagé par
des liaisons covalentes.
Différentes échelles :
• Échelle de Mulliken : est proportionnel à (EI + AE).
• Échelle de Pauling : [(A) - (B)] dépend de l’énergie de liaison origine
conventionnelle : fluor : (F) =4
Rayons atomiques et
Rayon atomique
ioniques
Par définition, le rayon atomique est le rayon de l’OA de valence
Il donne une estimation de la taille de l’atome.
Attention : penser qu’un atome qui possède plus d’électrons qu’un autre
possède nécessairement un rayon plus grand est une idée fausse.
Rayon ionique
• Les anions sont en général plus gros que les cations
• Le rayon d’un anion est plus gros que celui de l’atome neutre qui lui correspond
• Le rayon d’un cation est plus petit que celui de l’atome neutre qui lui correspond.
Plus on enlève des électrons et plus le rayon est petit.
CONCLUSION
La classification périodique est l’outil principal du chimiste