Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
Origine, déclenchement et
contagion
Plan de la présentation
Introduction des exemples historiques
Origines de la crise
Les solutions ?
INTRODUCTION - DES EXEMPLES
HISTORIQUES
I - LA TULIPMANIA
Pays-Bas, 1634-1637, bulbes de tulipes
connaissent une envolée de leur cours
Pourtant, Garber note que les Tulipes:
Ne sont pas indispensables pour l’homme
Arrivent au XVIè siècle (orig. Turquie)
Marché des bulbes car non périssables
Adoption par les classes aisées
Prix en fonction des “dessins” de la fleur
TULIPAMIA
CONSEQUENCES A MLT :
Neal (1990):
• UK: Bubble Act de 1720 = >Limitation des sociétés par action
• France: Méfiance à l’égard des banques durant des décennies
• Développement de la notion de bulle
• Currency school domine le banking school
Auteur : D. Landry
Krach de Wall Street
Effondrement de la
valeur des actions
Entreprises : Particuliers :
difficultés ou faillites Chute des revenus
Auteur : D. Landry
Krach de Wall Street
Effondrement de la
valeur des actions
Banques :
difficultés ou faillites
Entreprises : Particuliers :
difficultés ou faillites Chute des revenus
Auteur : D. Landry
Krach de Wall Street
Effondrement de la
valeur des actions
Banques :
difficultés ou faillites
Entreprises : Particuliers :
difficultés ou faillites Chute des revenus
Auteur : D. Landry
Krach de Wall Street
Effondrement de la
valeur des actions
Banques :
difficultés ou faillites
Entreprises : Particuliers :
difficultés ou faillites Chute des revenus
Auteur : D. Landry
Krach de Wall Street
Effondrement de la
valeur des actions
Banques :
difficultés ou faillites
Entreprises : Particuliers :
difficultés ou faillites Cela provoque une Chute des revenus
hausse massive du chômage jusqu’à 25
%
(près de 13 millions de chômeurs) en
1932 Chômage :
Production :
en baisse en hausse
Auteur : D. Landry
Krach de Wall Street
Effondrement de la
valeur des actions
Banques :
difficultés ou faillites
Entreprises : Particuliers :
difficultés ou faillites Chute des revenus
Production : Chômage :
en baisse en hausse
Auteur : D. Landry
Krach de Wall Street
Effondrement de la
valeur des actions
Banques :
difficultés ou faillites
Auteur : D. Landry
Krach de Wall Street
Effondrement de la
valeur des actions
Banques :
difficultés ou faillites
Auteur : D. Landry
Krach de Wall Street
Effondrement de la
valeur des actions
Banques :
difficultés ou faillites
Production : Chômage :
en baisse en hausse
Auteur : D. Landry
Rapatriement des
La crise s'exporte dans le monde car capitaux américains
Krach de Wall Street placés en Europe
les banques américaines rapatrient leurs
Effondrement de la
capitaux, provoquant desvaleur
faillites bancaires
des actions
Banques :
difficultés ou faillites
Production : Chômage :
en baisse en hausse
Auteur : D. Landry
Rapatriement des
Les importations américaines s'effondrent, capitaux américains
mettant en difficulté
Krachles
de pays qui
Wall Street placés en Europe
dépendent de leurs exportations
Effondrement devers
la les
valeur des actions
Etats-Unis (ex.: café sud-américain...) Chute des
importations
américaines
Banques :
difficultés ou faillites
Production : Chômage :
en baisse en hausse
Auteur : D. Landry
Rapatriement des
capitaux américains
Krach de Wall Street placés en Europe
Effondrement de la
valeur des actions
Chute des
importations
américaines
Banques :
difficultés ou faillites
Production : Chômage :
en baisse en hausse
Auteur : D. Landry
En 1931, des chômeurs anglais font la queue pour trouver un job dans les docks.
La crise de Wall Street de 1929 a précipité l'économie mondiale dans la récession.
Les taux pratiqués sur le marché subprime sont bien plus élevés que sur le
marché prime. Un écart de 2 ou 3 points est fréquent
Subprime<620
Définition d’un « Subprime »
Définition et caractéristiques FICO
II - Fonctionnement système Mortgage
Subprimes
Rappel historique
La garantie Hypothécaire
LA
RESERVE LE LES
MARCHE BANQUE
FEDERAL
IMMOBILIE S
E
R
LES
MENAGES
AMERICAIN
S
A RISQUE
Origines de la crise
cycle 1 (2000 – 2004)
EVENEMENTS Chute des valeurs technologiques du Nasdaq (2000)
Attentats terroristes (2001)
Prêtent généreusement
BANQUES Risque soutenu car le prêt est gagé sur la valeur de l'immobilier
Difficultés des
banques à recouvrer
leur créance
Origines de la crise - Des chiffres
Emprunteur américain
Achat d’un bien immobilier
Etablissement de crédit
Prêt subprime
Banque d’Investissement
Titrisation du prêt subprime
Les engagements des banques
En milliards de dollars,
en 2007
A - Qu’est-ce que la titrisation ?
Définition & Procédé
Investisseurs
B - Raisons de la titrisation
Vente à de multiples investisseurs :
Transformation d’actifs peu liquides en valeurs mobilières
facilement négociables Nouvelle source de financement
Objectif de la notation :
Apporter une information essentielle aux investisseurs
potentiels qui n’ont :
ni le temps de s’investir dans l’examen d’un
Objectif :
Réhausser la qualité de l’opération du point de vue du risque crédit
supporté par l’investisseur :
Sert de « tampon » ou « réserve » et absorbe les premières pertes en
cas de défaut
Constitution de la réserve :
Réserve d’argent à disposition du SPV. Par exemple: prêt subordonné
accordé par le cédant. Premier risque de l’opération porté par le cédant.
ou
Classes d’obligations subordonnées à toutes les autres obligations.
Réhaussement de crédit
II - Transmission de la crise par le
biais des CDO
Situation initiale : montage du CDO
Etape 1 : cession du portefeuille Etape 2 : le SPV acquiert le Etape 3 : les tranches sont
de créances/d’obligations à portefeuille et émet des tranches souscrites par des investisseurs
l’initiateur de CDO en contrepartie
Fonds Fonds
Cédant Véhicule émetteur (SPV) Investisseurs
Actif Passif
Portefeuille d’actifs Tranche senior AAA
(créances et/ou obligations) Portefeuille de Tranches de 88 M€
Cession du référence 100M€ CDO 100M€ Rendement Euribor + 50 bp
portefeuille
Cession du Emission des Tranche mezzanine BBB
portefeuille tranches de CDO 5 M€
Rendement Euribor + 300 bp
Débiteurs cédés
Tranche equity non notée
7 M€
Rendement non prédéfini
Mécanisme de contagion par les CDO
Malgré tous ses efforts, une question hante les marchés financiers :
que peut bien faire la Réserve fédérale maintenant ?
Malheureusement, pas grand-chose. En tous cas, pas toute seule.
Pour beaucoup d'économistes, de droite comme de gauche, la Fed est
proche d'avoir épuisé ses capacités d'intervention. Kenneth Rogoff,
professeur à Harvard et ancien économiste en chef du Fonds
monétaire international, résume leurs points de vue... en s'excusant
d'être aussi pessimiste : « Nous avons dépassé le point où la politique
monétaire peut être d'une quelconque efficacité. La crise actuelle ne
peut plus être résolue que par injection d'argent public pour sauver
l'industrie du financement de l'immobilier. Mais avant que cela soit
politiquement acceptable, il faut s'assurer que les banques ont payé
pour leurs erreurs. » Les économistes américains seraient-ils devenus
trop noirs, après s'être persuadés que les nouvelles techniques
financières de diffusion du risque avaient rendu les marchés
inébranlables ?
Une nationalisation à l’américaine, par
Paul Jorion
Pour éviter que l'éclatement de la bulle du crédit immobilier américain ne fasse s'effondrer
le système bancaire, toutes les solutions sont envisagées, même les plus radicales.
L'hypothèse qui circule aujourd'hui aux Etats-Unis, dans le cas où la situation deviendrait
incontrôlable, est celle d'un rachat massif par le gouvernement des produits financiers
basés sur les crédits immobiliers ou "mortgage backed securities" (MBS). L'Etat apporterait
sa caution et cela permettrait de régler le problème, récurrent depuis l'été, du financement
des établissements bancaires dont les bilans portent des actifs dont il est devenu
impossible d'établir la valeur. Kenneth Rogoff, ancien économiste en chef du Fonds
monétaire international (FMI) et professeur à Harvard, chiffre
entre deux et trois mille milliards de dollars (jusqu'à deux mille
milliards d'euros) le coût d'un tel rachat. Il estime que la perte
serait d'au moins 500 milliards de dollars pour le contribuable
américain. "On serait dans la même logique, mais à une tout
autre échelle, que le renflouement et la liquidation des Caisses
d'épargne américaines à la fin des années 1980 à la suite déjà
d'une crise immobilière", explique M. Rogoff. Cela permettrait
de donner une valeur aux crédits immobiliers et de chiffrer
définitivement les pertes bancaires, ce qui rétablirait la
confiance.
Source : le monde
Bibliographie
Recherche économique
Sites Internet
Rue89 - Comment la crise de l'immobilier américain
peut se propager, Thomas Lardeau et Christope
Strassel – 06/08/2007