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IGNIS

Et si l’on n’avait pas compris le réel message ?

Cette question me harcèle sans cesse, le message de prophètes antiques et de


chercheurs de l’absolu ainsi que de sages peut-il avoir été tronqué pour ne faire
que de la pantomime du réel message d’origine ?
La plupart des religions n’en étaient pas elles n’avaient pas d’étiquettes du
moins au départ puis … elles se sont « adaptés » au pays aux mœurs aux
coutumes dite de païens dans lequel elles ont évoluées pour un bien commun
soi disant pour « religare » en grec « unir, relier »ce qui veut dire religion mais
pas pour la vérité celle d’origine qui elle n’est pas ni commerciale ni bâtie sur
des us et coutumes elle est telle quelle est sans truchements ni artifices pour
« faire plaisir » et surtout elle ne veut pas séduire car séduire serait mentir et
mentir c’est mal , la vérité la vraie sans masques sans aucuns truchements elle
est comme un poison oui un poison pour l’ego quelle enflamme par inoculation
indispensable pour une prise de conscience .
que l’on ingère la gnose qui bouleverse un tas de données non spirituelle,et fait
tourner la tête et les bases de l’entendement humain , remets tout en questions et
fait plonger tête la première dans l’absolu , la vérité la « franche vérité»fait peur
surtout aux religieux car elle est de type poétique , inspirée non préméditée elle
est directe comme une flèche au cœur de l’être, c’est pour cela qu’un poète
déplait à un philosophe trop réfléchi trop structuré non voué au sentiments mais
à la raison surtout les philosophes de métier bien souvent plus que réellement
passionnés ils ne veulent que tirer des avantages pécuniers ils sont les salariés de
la pensée agrégée comme si la pensée pouvait être mise en boîte mais bon il faut
bien de tout pour faire une structure d’enseignement mais ils ne devraient pas se
dire des penseurs ou philosophes s’ils ne prouvent pas comme tout le monde
qu’il peuvent penser par eux même plus que de vouloir s’intéresser aux êtres
avec le cœur ils deviennent des suppléants d’une sorte de religiosité administrée
comme d’autres institutions a caractère pseudo religieux des statu quo , car les
passionné les vrais n’ont leurs succès que bien plus tard voir après leur mort car
ils restent bien souvent incompris car ils veulent donner le message qui
« empoisonne une structure » qui elle ne veut pas évoluer mais rester dans des
normes instituée jusqu’au bout de leur vie ils lutterons donc pour faire de leur
entourage souvent des disciples qui continuerons dans leur voie a peine tracée
qui n’est pas avec l’avis de tous et provient du cœur comme les prophètes dans
l’antiquité .
les religieux institués et multiples de par la complication que trouve l’homme à
vouloir interpréter et vouloir fonder de par ses concepts alors qu’il ne devrait pas
en faisant cela le message de base est dénaturé tout ces religieux qui en bonne
volonté masquée prouvent qu’ ils ne se comprennent même pas entre eux et
que le message en parabole a longtemps perdu de sa consistance par la dureté
d’entendement à ne pas vouloir commencer par eux même car ils sont trop non-
spontanés et extérieurs au système de vie du coeur auquel ils vivent en leur
époque et bien souvent ils ne veulent ni voir ni entendre mais veulent diriger et
veulent s’y impliquer s’y imbriquer en se créant un groupe de passe droit et
d’avantages sociaux mieux vaudrai qu’ils fassent politiciens cela serait plus
sincère il n’y a pas dans leur démarche de don de soi , ce ne sont pas des
innovateurs ; L’un (le professionnel) pasteurisé ou clérical voir même un
professeur de philosophie qui est l’enseignement de la sagesse soit disant
incarnée et pour ce qui touche de la chrétienté de représentants de valeurs figée
comme des statue mais cela pourrait être aussi l’imam ou le grand prêtre de
n’importe quelle religion adulé par une foule alors qu’il ne doit normalement ni
trop apparaître ni vouloir être un symbole car là est le danger être imagé mais
devrait être juste un conseilleur médiatiseur « de la voie » qui elle se doit d’être
individuelle par une aide sans contrôle ni vénération d’un être humain
«un padré » qui bien croit maîtriser quelque chose qu’il ne ressens que peu
puisqu’il devrait agir sans vouloir « le paraître »puisque vraiment le paraître ne
lui laisserait presque plus de temps pour continuer « sa voie »à lui qui ne devrait
non plus s’arrêter jamais car la voie du milieu est un mouvement continuel de
remise en questions et d’introspection , de recherches et de volonté d’acquérir de
plus en plus de connaissance (Gnosis en Grec) quand à l’autre (l’inspiré)
l’inconnu celui qui se replis sur lui-même et ne sort de son cœur que pour guidé
l’autre par des phrases pleines de sagesse sans aucune prétention de soi ni
volonté d’enrichissement ou de vénération de soi par d’autres individus ce qui
lui paraîtrait comme un non sens et non positif pour sa quête partagée , non car
après ses conseils il vous laisserai dans l’expectative de commencer par vous-
même et vous mettrait devant votre responsabilité ;le travail c’est soi même en
son cœur que l’on peut le faire il n’y a pas de solutions de facilités ni
d’échappatoires virtualisées ni de projections affectives ni de négations de
l’œuvre sur soi sinon on est dans une erreur .
le conseilleur est inspiré et il regorge en son cœur d’une source intarissable de
mots , d’idées de concepts qu’il peine à retransmettre tellement c’est une
nébulosités de renseignements qui sort de lui comme un fleuve de connaissance
par la profondeur de son être reconnecté à l’essence divine universelle que tout
le monde ressens volontairement ou non par une recherche d’équilibre de vie qui
ne peut se passer de métaphysique et qui s’il les extériorise ne font pas
l’unanimité bien au contraire car il déplace des murs de l’entendement humain
égocentrique alors que l’autre le plagiste ne fait que regarder analyser ce qui lui
a été enseigné sans en comprendre bien souvent le sens caché et profond qui
devrais le faire tressaillir de joie et d’allégresse le sens de la réalité profonde à
un réel enseignement profond.
Il (le professionnel) de la santé de l’âme ne devrait réconforter l’ego de tous s’il
fait ainsi il se ment à lui-même et ment à tous aussi.
un vrai philosophe devrait être comme un sage qui ressent la vision profonde
d’enseignements et connaît ce que veut dire être inspiré pour ensuite attendre la
maturation de son inspiration au fond de son cœur pour la faire germer , mais
pour cela il ne faut vouloir de suite ni être presser car ce qui dépasse
l’entendement se doit d’être aussi poétique au fond nébuleux au départ et concis
par travail d’un conscience appliquée et s’il veut exprimer les choses du fond de
son cœur il doit être ces deux êtres à la fois inspiré et structuré l’un laissant
reposer l’autre comme une longue attente pour obtenir une substance , fait de ces
deux ambivalences qui s’il arrive à faire transmettre aux autres et comment les
faire transmettre sans que cela ne soit ni nébuleux (trop difficile
d’interprétation)ni creux sans profondeur car si non inspiré trop pensé par les
autres par soi donc manquant de « vrai » et non pas enrichissant un vide alors
qu’inspiré le sens d’un message est arrivé a maturité plein de valeurs immenses
par une longue concertation en soi même ,les transmettre doit se faire
simplement en parlant comme le Christ « par métaphores » ,les anciens sages
parlaient toujours par métaphores la métaphore est l’outil le plus affûté sur pour
se faire comprendre de tous et cela dans toutes les dimensions de l’entendement
humain car cela touche au coeur.
N’être même qu’un médiocre poète c’est déjà être plus proche de la vie et sa
valeur qu’un rhétoricien et de la beauté de la vie voir l’essence cent fois mieux
qu’un débateur langoureux n’aimant que lui-même et rien de la nature qui le
bouleverse, cela ouvre la voie la poésie est le début de la voie divine pour que le
cœur explose et voit au-delà des sens alors qu’un philosophe plat et blasé lui ne
croit plus en rien et dit que tout est illusion seulement qu’illusion ,il y a certes
plus que les sensations mais il à croit à tort que tout « ne vaut plus la peine
d’être vécu » et passe à côté de la vie s’en en avoir ni en vouloir eu de ces
illusions alors qu’il aurait du commencer par cela :être « l’illuminé » pour se
rendre compte par une forme de mysticité qu’il y plus encore au-delà des sens
qu’il a rendu perceptif à l’extrême, c’est une erreur d’appréciation du départ et le
chemin pour le non inspiré qui passe plus dans des foutues turpitudes
intellectuelles que des bonheurs d’apprendre simplement en vivant la vie et ses
sens cachés par ce que peu donner de meilleur la vie de tout les jours un acte
simple est plus de sens que mille paroles, il se complique l’existence alors que
l’existence peut se percevoir simplement juste en ouvrant son cœur a la valeur
de la parabole en exprimant du vécu et ensuite par une inspiration posée au fond
de lui faire une analyse pour en traduire une explication humanisé d’un
entendement dépassant la logique , l’un cherche dans ce qui a déjà été exploré et
ré exploré de multiples fois alors que l’autre le poète celui qui fait peur et n’est
apparemment pas logique lui tire de la substance directement de son inspiration
de la substance sans défauts d’appréciations soupçonneuses.
la vérité platonique qui à été incluse dans la théologie a voulu tuer le côté inspiré
de la bible et de ses enseignements profonds et métaphysique qui touche l’être
en ses sentiments .
Pourquoi me diriez vous ?
Pour faire d’une inspiration une institution froide et commerciale.
On grandit et évolue dans le milieu dans lequel on est élever et on nous inculque
des idées des des stéréotypes de vie que l’on nous enseigne par habitude pas par
envie de transmettre et cela est valable pour toutes confessions de foi, il suffit de
faire comme tout le monde et ainsi ressembler a une communauté en tout pays si
vous n’êtes pas dans une majorité de foi partagée vous êtes reclus et un peu mis
à l’index d’une vive participation active.
Tout est du commercialisable, c’est dur de faire ce constat mais c’est une
réalité .quel est le réel chemin si cela ne passe pas par une forte introspection,
le : commence par toi-même, regardes ta poutre dans ton œil,ou encore connais
toi toi-même.
Et si tout le monde trichait , truquait les le vrai but de la foi réelle qui passe par
l’introspection pour ne faire fit que de celle qui est facile et large ,pleine de rites
d’habitudes ,devenir sourd et aveugle au réel enseignement de base trop dur , qui
paraît trop inaccessible et surtout qui brise l’ego ,car c’est le but et surtout le
message premier briser de fausses apparences non pas remplacer un rouage par
un autre plus « adaptable »a de nouvelles mœurs mais réellement commencer
par soi .
Et si tout le monde triche à quoi servent tout ces simagrées ?
Il y a des chefs spirituel qui ne connaissent rien et surtout ne veulent rien
comprendre du monde de la réalité de l’invisible ils en ont peur alors qu’ils sont
les guides, ils sont aveugles alors qu’ils sont sensés donner la voie quelle ironie
tout de même, par contre si vous leur parlez du dernier modèle de portable là
c’est moins nébuleux ils s’y entendent mais ne parlez pas trop de spirituel ils
vous prendrait pour un détraqué, et pourtant …
Mieux vaut passer pour un fou que d’être dur et froid comme du marbre.
Le vrai message n’était –il pas commences par toi-même ?-par toi-même bon
sans mais oui là est le début d’une vraie philosophie équitable pour tous par son
propre entendement on peut saisir les choses qui n’ont plus besoins de discours
langoureux et bien souvent creux d’un élan de soi.
Les religieux cherchent qu’un confort de l’ego car il se cache derrière son
appellation contrôlée pour éviter de se mettre en avant dans sa recherche qui
devrait commencer par lui-même par un réel effort de lui au fond de lui-même.
Il semble que tout soit fait pour faire faire au autres des liturgies et des prières
belles à entendre semblent être la récitation hebdomadaire avec le cycle par
ordre chronologique d’importance classé de participants voulant s’affirmer en
tant qu’élite spirituelle (en apparence ) à un ensemble comme les bras droit d’un
chef religieux qui détiendrait les clés du savoir universel lui un « homme »alors
qu’ils sont sensés prier pour les autres et Dieu le père universel alors qu’ils ne
font que bien se faire voir par leur entourage déjà sélectionner par leur groupe
souvent par des positions sociales et économique comme si Dieu ne s’en
moquait pas du côté pécunier des choses bien trop humaines…mais comment
peut on prier sans y mettre du cœur et avec une pensée de l’intérieur de son
coeur et sans être inspirer ?
Cela est bien souvent le cas à mon sens mieux vaut une prière du cœur sincère
qu’une récitation hebdomadaire d’un perpétuel ressassement de même choses
qui sont belles à entendre mais qui ne sont que de vaines répétitions l’esprit
universel n’est pas sourd.
Le sens poétique est du cœur et cela est la voie qui mène a une libération de soi
et d’une autorité patriarcale inutile car de vouloir un contrôle sur ses émotions et
sur les autres de pouvoir exprimer les leurs, contrôle qui empêche de donner et
d’ouvrir ses possibilités du cœur c’est comme étouffer une fleur, Iéshoua avait le
cœur pur, il ne parlait qu’en paraboles pour faire comprendre son message sous
divers angles et ingérable par tous, les prophètes de chaque continents eux aussi
étaient clairs il parlait d’une union et d’une stabilité du tout par une volonté
universelle « Dieu amour ».
L’amour est le point commun de toutes religions ou en est-il aujourd’hui ce fort
point commun ? N’avons-nous pas compris les multiples messages ?
Tout n’est-il devenu que comme une immense pièce de théâtre de représentation
sans compréhension pour une recherche plus identitaire de chaque pays plus que
pour une réelle envie de savoir, de volonté d’aller en avant en donnant de son
temps pour une recherche intérieure ?
Cela m’est venu cette idée comme cela et cela me fait peur de voir que l’on peut
en toute légitimité vivre sans commencer par soi jamais faire l’autocritique de
départ pour une amorce de quête se laisser aller à une dérive de la pensée pour
ne pas se voir intérieurement ni vouloir donner de soi , faire que ce qu’il est
instituer et participer à la commercialisation d’un domaine non
commercialisable en faisant croire que donner beaucoup à une chef religieux
c’est se sentir moins fautif d’erreurs et d’actes manqués voir à s’instituer comme
confesseur « obligé » nouveau Papa pour un individu infantilisé pour son bien et
pour faire fructifier celui des autres …
La religion est le pire anathème du chemin intérieur , quoiqu’il y ai des religieux
persuadés de bien faire ce sont ceux qui sont le plus
« manipulables »généralement c’est ce qui peut les excuser de toutes leurs
pratiques presque idolâtres et ils le font de bon cœur alors je les positionnerai
comme les simples d’esprits qui eux sont vraiment excusable de se laisser
manipuler par des chefs religieux qui bien souvent abusent d’eux et leur
demande de « participer »moyennant une bonne rémunération bien souvent pour
leur petit confort personnel, nouvelle voiture , appartement de fonction et
avantages multiples jusqu’à demander de se faire enlever des contraventions par
des »connaissances » mais là c’est une question d’étique personnelle fais ce que
je dis mais pas ce que je fais mon amis devrait être leur devise. Et parfois même
un athée fait plus d’introspection qu’un religieux croyez moi car se remettre en
question se n’est pas se cacher derrière un confesseur agréé ni faire des
simulacres pour se blanchir une fois par semaine.
Un athée crois aux valeurs du cœur bien souvent sans se rendre compte que c’est
Dieu qui est l’origine du cœur de l’être car il est blessé par une religion fermée
aux choses du cœur en ce sens il faut les excuser car ils ne voient pas se qu’ils
ont à l’intérieur sauf parfois ils comprennent qu’une essence anime leur envie de
bonté et chaleurosité, et ils sentent un début de savoir qu’y a-t-il vraiment
derrière le miroir des apparences ?
Mais risquent de tomber dans les mailles de religieux qui sont tendues tout
autour que je nomme sans hésiter des prédateurs plus que des biens faiteurs ceux
qui donnent d’eux même ne portent pas des costumes cravate ni roulent en
Mercedes ils donnent au maximum de ce qu’ils peuvent et cela se voit exemple
Labé pierre pourtant religieux mais crédule dans les bienfaits qu’il veut apporter
alors un simple vaut mieux que mille compliqué qui font de la manipulation leur
outil de travail pour eux même…

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PHILOESIE

Ne faut-il pas créer un nouveau mot adéquat,


Toi nouvelle et ancienne « scienca della natura »,
Car apparemment tout le monde te négligea ;
Et du mot philosophie rien de toi ainsi ne resta.
Nous avons oublié l’essentiel de cette science,

Pour parler beaucoup plus que l’on ne pense ;


Alors que l’on en a oublié ta saine présence ;
Toi « l’inspiration » cette capitale instance.

Quels sots de faire valoir que des mots,


Et des critiques devenus des dévots ;
On en a oublié de boire ainsi ton eau.

Eau capitale de connaissance et de prescience,


Que l’on obtient des fois sans que l’on ne pense ;
Mais que l’on comprend méditant la transe ;
Tout par réflexions devient une présence.

Les mots deviennent vivants et non pédants,


Ils vivent bougent et sont vraiment vivants.
Plus besoin de grands et vains éloquents ;
Puisque l’essence des choses on comprend.

Merci à toi de revenir avec ton nouveau nom,


Pour qu’enfin ta valeur nous comprenions ;
Et qu’à ta voie nous nous appliquions ;
Et que jamais ainsi ton sens ne soit perdu.
Socrate mon ami tu l’avais bien su...

Le véritable :

La question est à quoi donc se fier à notre époque ou tout semble confus et
prolifèrent en interprétations.
En commençant par soi même que me dit ma conscience ?
Que doit je faire si ce n’est le bien pour recevoir du bien en mon cœur les actes
ne valent-ils pas plus que mille paroles ?
Un sourire une aide a un inconnu n’est ce pas cela avoir du cœur ?
Tendre la main à un nécessiteux n’est pas là être une âme charitable ?
Sans que cela ne se voit non pas la peine et sans mots de trop ni phrases inutiles
être la représentation du message du cœur celui que toute les religions tentent de
fuir par ce que cela ne rapporte pas à leur propre caisse mais la vide plutôt alors
c’est pour elles un dilemme.
Certains voulaient séparer l’esprit du corps en devenant ascétique mais ils n’ont
pas compris que le corps et lié comme par un mariage a l’esprit et le mépriser
c’est se mépriser soi même sans aussi tomber dans le culte du corps cher à nos
Grecs de l’antiquité qui eux par le culte au corps négligeaient la pensée et ne se
respectaient même plus en tant qu’individus et se vouaient à faire n’importe
quoi.
L’essentiel est l’équilibre de l’un par rapport à l’autre le juste équilibre c’est « le
connais toi toi-même ».
Tout enseignement portant sur une métaphysique se voulait libératoire de
stéréotypes et de forces opprimantes pour l’individu que cela soit par un système
social ou économique et familial , l’individu devait se libérer mentalement de
chaînes , mentalement il est très dur pour un riche de se libérer de chaînes
matérielles par exemples car se seront elles qui lui donne une
« apparente »bonne santé psychologique et une certaine contenance par rapport
a ses proches et amis alors qu’il ne se connaît toujours pas lui-même et ressens
un vide à son cœur bien souvent mais cela ne se dit pas ni ne se montre cela se
ressens si on est ami avec un de cela et cela est bien triste de ne pas pouvoir se
libérer de chaînes qui à la fin d’une existence finissent toujours par tomber mais
bien souvent trop tard sans que l’on est pu commencer à gravir la montagne de
l’entendement humain et du chemin intérieur qui n’a jamais été exploré.
Car les richesses que l’on peut trouver en s’intériorisant sont elles des richesses
inestimables car on les garde en franchissant la porte de la courte existence
humaine qui n’est pas plus d’un jour sur mille ans pour notre esprit qui lui est
bien plus que l’on ne pourrait le croire voué par nature à être un éternel nuage de
particules de pensées et d’énergie de vie qui ne s’enrichit qu’avec la
connaissance et la maîtrise de la connaissance de la vie laquelle peut faire de son
cors l’expression d’une maîtrise « avérée » en contrôlant son corps l’esprit
montre ses capacités a contrôler ce qu’il habite provisoirement et qui ne le
perturbe pas dans sa quête en avant de soi vers le futur soi détacher de sa matrice
corporelle qu’il habite pour se connaître lui-même et faire l’expérience » d’un
toucher existentiel ».
Le toucher c’est ressentir la vie et cette expérience notre esprit individuel ne la
fait qu’une fois alors pourquoi devrait-il s’attacher à de choses matérielles et
trop vouloir s’en nourrir et en posséder alors que l’on ne sait même plus ce que
l’on a tellement on est remplis de choses superflues non vraiment nécessaires
alors qu’il devrait vivre en juste équilibre de ses besoins de se qui lui est
nécessaire et s’apercevoir que ce superflu que l’on pourrait même oublier lui il
pourrait convenir au nécessaire d’un autre individu moins fourni en biens
matériels donc apprendre a donner n’est pas être plus heureux que posséder
inutilement pour soi , car voir le bonheur de partager n’est ce pas le début d’une
réelle réalisation des enseignements sages jugés comme quasis mystiques à notre
époque ?
La charité, et la preuve d’un travail sur soi déjà exécuté et si l’on donne notre
nécessaire partagé là on touche du doigt l’amour du cœur le vrai.
Car donner le superflu c’est un peu trop facile et ne demande pas un réel effort
de soi.alors que donner de son indispensable en secret et un trésor à mes yeux.
Le superflu ne demande pas un sacrifice de soi lui alors que le don de soi réel et
ressenti par l’oubli de son ego doit être le support d’une réalité du cœur
exprimée.
C’est pour cette raison que ce qui est apparent n’est pas forcément « du cœur »
une réelle valeur il faudrait voir au fond de l’être pour savoir lequel est sincère
et donne de lui-même et lequel n’est pas sincère et ne cherche que la bonne
réputation plus que le don par amour profond

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Ce qui est caché de soi même est danteste :


Comme cet iceberg l’homme ne voit : que ce qui dépasse de sa conscience en
surface …
Le vrai chemin des sages celui menant à l’individuation permet de se réaliser
dans une quasi-totalité et la totalité supra réalité dépasse toutes espérances c’est
par cette photo que l’on peut réaliser toute la démesure de son soi intérieur qui
sommeille dans le conscient mais qui est le tout de l’inconscient par ce que nos
rêves et notre suggestivité inconscient qui lui est une sorte de gouvernail du
conscient et qui nous contrôle en totalité inconsciemment mais sûrement aussi
sûrement que le bloc « non apparent » de l’iceberg.
Car que cela soit par des rêves qui par la profondeur modifient des attitudes et
des réactions car le tout est dirigé par l’iceberg du fond de lui-même dans sa
totalité avec toutes les fluctuations et mouvements que cela engendre.
Le rêve est le »lien »du bloc inconscient avec tout la nature et l’universel « la
mer »,il est « magnétique »et sa trame est unie comme cet iceberg est unit à
l’eau dans lequel il baigne complètement, c’est elle qui le fait dériver d’un côté
ou de l’autre par vents et marées de l’existence .
L’homme ne se connaît presque jamais en sa totalité tellement l’oeuvre est
grande pour sonder la profondeur de l’âme seuls quelques sages y sont parvenus
un peu… et Christ lui par naissance divine l’a fait naturellement étant
« complet »dans sa perception du tout et son enseignement métaphorique fait et
structuré de paraboles par lui nous donne réellement la clé du mystère de la
profondeur de l’être qui n’attends que de se déployer de bas en haut .
mais sans réveil sur soi(la clé) même comment cela pourrait-il être possible ?
Dieu mis la sagesse dans le secret du cœur Job 38 :36
Elle est la « sophia clé » tant désirée de tout penseurs simplement dans le cœur
ils tournent vire et bien souvent se perdent dans des déraisonnements qui les
rends inhumains et froid de sentimentalité des penseurs déshumanisés alors
qu’un poète le lien il le réalise lui directement que cette sagesse vient du cœur il
le ressent il le vie comme une fleur qui se doit d’éclore vers le soleil.
Toi qui connais le cœur de chacun Chroniques 06 :30
Oui toi notre père universel tu connais ce qui a été déposé en notre cœur et tu
sais a quel point de développement chaque individu se trouve.
Tu vois ou personne ne vois et sais ce que personne ne sais tu est la mer de la
connaissance humaine.
Car il faut prendre conscience que chacun à son chemin à faire et ses étapes
individuelles à franchir des étapes graduées et cela ne dépends que de soi et de
son attitude à vouloir avancer car s’il n’y a pas mouvement en avant il n’y pas
d’évolution ; toute vie est mouvement et une vie spirituelle aussi car c’est le
spirituel qui dirige le physique qui n’est que la pointe de l’iceberg.
Donc comme se déploie la fleur de bas en haut c’est ainsi que doit se faire
l’introspection, d’abords par une analyse de soi profonde touchant le germe qui
fissuré par la conscience réveillée fera éclore la future fleur qui peut s’épanouir
au soleil de l’immensité de Dieu et en ressentir sa chaleur régénératrice.
L’homme est à même de pouvoir en se connaissant lui-même par une maîtrise
de soi par une onde céleste sur sa fleur du cœur pouvant retransmettre une
énergie infinie et contrôler le monde physique,cette onde est la prise de
conscience de l’inconscient immatériel dans lequel on baigne tout à fait et dans
lequel un ’lien’ peut être possible ce lien est l’éveil de soi tout comme Pierre
marcha sur l’eau et de pouvoir par la voie Christique gnose incarné et
prophétisée longtemps à l’avance par les anciens.
Le déshonneur me brise le cœur, et je suis malade ; j’espère un signe de pitié ,
mais rien !
Des consolateurs je n’en trouve pas.
Ils mettent du poison dans ma nourriture,
Et, pour apaiser ma soif, ils m’abreuvent de vinaigre.
Que leur table soit un piège devant eux, et dans leur prospérité un filet ! Psaume
69 :21-23
Il est fait état de la prophétie de la venue de Christ et de la malédiction sur les
religieux races de vipères qui prospèrent sur les dépouilles de leurs victimes
innocentes et qui n’hésitent pas à spolier la veuve et l’orphelin se sont les pires
car ils ont la possibilité de faire le bien mais choisissent le mal en le faisant
passer pour du bien ; l’enseignement est clair commences par toi-même soit à
l’écoutes de ton prochain comme s’il s’agissait de toi-même,sois amour par ta
prise en considération du lien qui uni tout homme le lien de vie du cœur par
l’énergie qui anime chacun et qui est identique et tout en chacun donnée .
Le filet de religions est large car la religion en toute sortes est un piège pour
ceux qui ont du cœur et qui aiment la vie et donc leur prochain vivant comme
eux même.
Races de vipères vous qui avez appris a fuir la colère a venir ? Matthieu 03 :07
La colère étant d’avoir rejeter la pierre d’achoppement « de la foi du cœur »
l’amour, ils ont trahis en connaissance de cause ils n’aurons pas d’excuse sur la
pesée de leur actes ils ne font que tuer l’amour du cœur et la réalisation
réellement Christique de l’individu par un voie normalement du cœur.
L’homme est immense en lui-même et il ne veut ou même fuit cette prise de « la
réalité » sur lui-même, le chemin est étroit tout les guides spirituels ne l’on
jamais caché mais cela mène à une réalisation de soi par le cœur de soi.
Car se prendre en compte soi même c’est forcément rechercher le meilleur qui
sommeille en soi et cela provient forcément du cœur, car du cœur vient la
lumière du ciel de cette mer éthérique en un mouvement intérieur allant projeter
le fil avec le haut qui n’attends que chacun de nous prenions compte de notre
valeur déposée qui ne désire que nous permettre cette action de bas en haut pour
être un vivant conscient de sa proximité avec la plénitude céleste. Mais cela
n’est pas en relation avec tout concepts actuels de vie car ce n’est pas une réalité
physique ni palpable mais qui se ressens intérieurement et intensément
seulement si l’on s’en donne la peine et les moyens par la volonté de soi volonté
de s’affranchir soi même de devenir libre d’attaches qui elles aussi ne sont que
matérielles agissant sur le mental et qui sont un frein plus qu’autre chose , mais
cela les religieux ne le dirons pas ils n’aiment que trop leur petit confort
personnel basé sur la matérialité pour savoir sans vouloir guider vers cette voie
trop étroite pour eux qui restent au seuil et qui préfèrent la voie royale sans
spiritualité basée sur rien que du palpable sans donner de bon cœur ni être vrai
en si ce n’est que par des masques.
Leurs masques sont de la tricherie pure et simple un piège pour tout quêteur de
vrai et un fossé dans lequel on peu facilement tomber ,la recherche doit se
ressentir si l’on est en conflit avec son cœur et que l’on agit en prenant
conscience que cela n’est plus que des actes répétitifs religieux donc creux de
sincères et inestimables valeurs du cœur mieux vaut se retirer d’un groupe qui
ne veut pas partager mais ne veut que contrôler l’individu et manipuler sa vie
cela va de la religion gargarisante et spalmodiante sans profondeur n’agissant
que par habitude et pour faire comme tout le monde et se sentir inclus dans une
communauté alors que le but primal était de s’individuer par un travail sur soi
mis cela a été depuis longtemps « oublié »jusqu’à une sectarisation
hermétique ,clan fondé sur des critères sociaux sans aucunes prise en compte du
cœur ni de la fraternité entre individu et n’hésitant pas a décaper ses membres
pour le bien être de ses dirigeants , décaper dans tout les sens du terme physique
par ce qu’il faut demander des permissions pour agir dans un quotidien
dépersonnalisé ,spirituel car il ne faut plus faire selon comme on ressens du fond
du cœur mais selon des stéréotypes établis , liturgies obligées donnant la
direction pour être de mieux en mieux « accepter » voir impliqué pour le bon
fonctionnement d’une usine ou le palpable et monétaire a remplacé l’axe qui
devait être « la charité »pour être le superficiel et l’ordonnance.
Je suis absolument contre toutes formes de religions et de vulgarisation de
spiritualité car c’est un peu comme si l’on voulait mettre en boîte un réalité
vivifiante et vraie pour quelle moisisse et se putréfie dans de ridicules non sens
construits sur des actes répétés vides de toutes sincérités en cela les religions se
rejoignent elles empêchent l’individu de commencer par lui-même en l’incluant
dans un système dépersonnalisant qui ne lui donnera même pas la possibilité de
voir comment il peut être au fond de lui-même et de le rendre impersonnel et
intolérant pour les autres formes religions par ce qu’il se croit détenir la vérité et
devient haineux en croyant être « amour » du prochain quelle ironie quel
cauchemar sorte de rêve dont il ne peut sortir qu’en s’excluant de son groupe
auquel il se trouve englué profondément et inconsciemment comme si l’on avait
mis de l’encre autour des iceberg formant un groupe pour empêcher de voir la
limpidité de la mer de connaissance de choses du cœur qui se trouve voilé a
l’entendement devenu l’inverse de l’effet désiré au départ sans aucune élévation
de l’entendement possible par cette encre glue collante d’appartenance sans
espérance d’enrichissement de son cœur et de la réalité non visualisé de la
similitude des êtres en leur humanité similaire , les religions sont une
déstructurations de la valeur humaine et de son unification devenue floue par ce
qu’elle sont contre l’essor intérieur de l’individu.
Car si l’individu s’élève il peut e voir lui-même tel qu’il est et les autres par un
détachement sur lui-même et un rattachement aux autres par une prise de
conscience de similitudes d’ avec lui-même .
C’est pour cela que les sages n’étaient pas inclus dans des formes religieuses qui
ne sont que des pantomimes non réellement une spiritualisation de l’homme
mais un dés-appartenence sans prise de conscience.
Rendre à césar ce qui lui appartient ne voulait pas dire se faire le gardien des
biens d’autrui par leur sentiment d’appartenances donnant tout que dans un sens
sans partage ni sentiments les rendant comme des pantins inhumains ne
considérant plus les autres comme des frères mais comme des apports pour une
machine à gagner des dividendes , l’argent et la spiritualité ne font pas bon
ménage l’argent tue l’esprit et le réel amour du prochain , un vrai spirituel serait
un homme « entier » étant prêt a sauter sur n’importe quelle occasion pour
rendre service au prochain en difficulté voir même jusqu’ à donner « sa
chemise ».
Mais cela n’est pas une vision utopique ?
Non pas que je mets en doute que cela existe mais si peu…
Surtout à notre vingt et unième siècle qui est loin d’être l’époque ou l’amour du
prochain serait réel c’est bien souvent que « le chacun pour soi et Dieu pour
tous » voire même on spolie Dieu pour le sombre vide des athées qui permets
toutes actions sans remords si ce n’est qu’une conscience un peu titillée mais si
anesthésiée par des illusions de conceptions de désirs égocentrique que l’on ne
voit que son bien à soi sans voir la misère de l’autre .
C’est le résultat de l’individualité à son paroxysme individualité rattachée a ses
dirigeants par une bonne participation du fonctionnement du système d’état et le
sentiment d’être utile alors que l’on est exploité, on fini par le peu qui reste en sa
possession par devenir si égoïste que l’on peut même regarder les informations
montrant la mort et la misère sans pour cela avoir une quelconque compassion et
continuer à manger ce qu’il y a dans son assiette avec le même appétit. moi cela
fait longtemps que je ne regarde quasiment plus la télé et préfère écouter les
nouvelles le matin par la radio et cela fait froid dans le dos toutes ces nouvelles
alors je me passe des images surtout en mangeant croyez moi on vit une époque
ou l’on désire vous anesthésier de la réalité en mélangeant réalité et fiction en
donnant les nouvelles juste avant un film comme cela les deux sont confondus
dans une sorte de répétitivité journalière et banale c’est dingue de devenir peu à
peu insensible il faut se détacher de la télé elle est la nouvelle drogue du peuple
avec ses débilités et ses anesthésies du cerveau sur la vie qui elle continue
dehors sans que vous y participiez ni que pendant ce temps vous ne vous
instruisiez , la télé c’est à dose homéopathique que je la regarde quand elle veut
bien montrer quelque chose de sensé et au plus cela va plus il n’y a que des
futilités l’intellect n’est plus gage de réussite pour les émissions quelle tristesse

Volonté d’état d’endormir son peuple ?
La culture est mal perçue par les jeunes qui ont honte d’aller dans une
bibliothèque pour ne pas casser leur image d’incultes heureux j’en ai eu
l’exemple avec un gamin qui m’a accompagné et qui m’a dit « tu sais c’est la
première fois que je mets les pieds dans cette bibliothèque je tiens à ma
réputation ! »
Quelle réputation ? Celle de ne pas vouloir lire ? S’instruire ?
Voilà ou nous mène nos dirigeants peu à peu a une inculture voulue pour sans
doute mieux diriger doivent –ils se dire mais attention la tension d’une certaine
révolte contre un système dur et froid se fait de plus en plus sentir alors je crois
qu’ils se sont plantés en voulant faire passer la culture comme quelque chose qui
est futile et moins agréable que la télé qui fait arrêter l’individu de penser et le
subjugue et l’endort mais le réveil peut être violent surtout dans des villes ou le
taux de chômage des jeunes et de plus en plus fort .
La mort de Dieu de Nietzsche à été une rébellion contre un état religieux mais
une écha tombe de la culture par un je m’en foutisme culturel par la croyance à
Darwin et son sentiment de n’être qu’un animal pensant et devant être par désir
de puissance celui qui réussit sans aucun sentiment ni scrupules n’hésitant plus
pour toutes extrémité puisque Dieu est mort alors la spiritualité n’est bonne à
rien et mon nouveau dieu c’est l’argent et ses représentants ms chefs d’états qui
eux aussi mentent volent et spolient alors plus de freins plus de limites
raisonnables et surtout plus aucunes compassions .
Mais le vide du cœur avec le mal de vivre du siècle se fait de plus en plus fort et
les dépressions de plus en plus multiples car l’home malgré lui cherche un
pourquoi et un comment à son existence son cœur lui fait mal.

C’est apparemment la science cette même science qui voulait ignorer l’existence
de Dieu et par ses thèses cassait le fait que l’homme puisse être spirituel cette
même science qui réalise par des études plus en avant que finalement l’homme
par ses archétypes et sa profondeur commune à toute l’humanité a besoin d’être
spirituel cela lui ouvre les méninges ils en ont fait même des scanners pour
authentifier cette réalité !

Etrange paradoxe les scientifiques volant à la rescousse de la religion, en fait ce


qui était voulu c’était de mettre fin à une institution forcée sur l’individu et en ce
fait c’est une bonne chose que la religion ne soit plus d’état .

Ce que dit la science actuellement :

Cette question audacieuse est au coeur d'une nouvelle branche des


neurosciences, la neurothéologie. Depuis une trentaine d'années, des
scientifiques "traquent" Dieu dans le cerveau. Deux chercheurs de l'Université
de Pennsylvanie ont mis au point un procédé qui permet de visualiser les régions
du cerveau impliquées dans l'expérience mystique. Le docteur Eugène d'Aquili,
anthropologue des religions et son collaborateur le docteur Andrew Newberg,
neurophysiologiste ont fait passer des IRM à des moines bouddhistes en pleine
prière. Ils ont filmé avec des caméras à positons (un appareil ultra sophistiqué
d'imagerie cérébrale) les zones qui s'activent durant la prière. Les cobayes
avaient accepté de tirer sur une cordelette (libérant un traceur radioactif dans
leurs veines) dès qu'ils pensaient avoir atteint le sommet de leur recueillement
afin que les chercheurs puissent enregistrer les bouleversements qui se
produisent à ce moment précis dans le cerveau. Les mêmes tests ont été
effectués sur des volontaires d'autres obédiences religieuses (notamment
une franciscaine). A chaque fois, quelle que soit la religion, les faisceaux de
neurones situés dans le lobe pariétal supérieur, (vers le haut et l'arrière du
cerveau) s'éteignent. Or ce sont des neurones connus pour traiter les
informations sur l'espace et le temps. Si l'influx sensoriel n'accède plus à cette
zone, le cerveau ne peut que se percevoir comme un tout sans fin, lié à toute
chose. Or le sentiment de se libérer des limites de son identité pour se perdre
dans plus grand que soi est le dénominateur commun aux expériences
mystiques. Ecoutons quelques témoignages recensés par Patrick Jean-Baptiste
dans La Biologie de Dieu, comment les sciences du cerveau expliquent la
religion et la foi :

" Les frontières autour de moi se dissolvaient, je me sentais profondément relié


à tout " ; " J'ai ressenti un sentiment de communion, une paix, une ouverture, la
sensation d'être tantôt centré dans le silence et le vide absolu, tantôt rempli par
le présence de Dieu comme s'il infiltrait tout mon être. "

La religion polymorphique est « l’hérésie primale» mais croire en un dieu


unique est une ancienne vue oubliée.

La science le réalise peu à peu par une approche scientifique de la relience


de l’homme au divin et c’est tant mieux le Dieu creux des athées n’est que
douleurs et peines et déstabilité par un non sens de l’homme envers lui-même au
fond de soi…

La neuroscience progresse peu à peu en ayant changé son fusil pour une fleur en
ce qui est du domaine de son opinion envers « la croyance » et les découvertes
affluent en un bon sens constructif pour la raison d’être de l’homme sur cette
terre et je pense que l’on finira par tomber tous d’accord dans le fait que
l’homme a besoin d’avoir une quête individuelle et qu’il a besoin d’avoir une
réalisation de soi par une approche métaphysique de l’existence par ce que c’est
à la pointe de sa conscience de vouloir aller au-delà de la raison en la
surpassant .

La relience à l’esprit universel devient peu à peu une réalité envisageable et


nécessaire car inconsciemment nous la cherchons que nous soyons scientifique
ou artistes autres tous absolument tous en ressentons l’appel du fond de notre
conscience souvent révélé par nos songes.
Jung qui ne se voulait pas philosophe mais psychologue à pourtant touché du
doigt ce que des penseurs comme Bergson ou Teilhard de Chardin avaient décrit
et envisagé là actuellement cela devient

une réalité palpable et quantifiable matériellement par des preuves scientifiques,


l’esprit universel apparaît dans l’aurore de notre humanité en apparaissent pour
notre bien commun à tous.

Le désir profondément ancré dans le cœur de l’homme et qui agit sur


l’inconscient collectif , ce désir d’aller en un « avant »et inscrit en nous tous et
peu à peu nous en verrons éclore le bourgeons de la fleur d’or de l’humanité
j’en suis persuadé .

Tout est une question de structuration et maturation de la pensée en sa globalité


mais cela est en bonne voie, il faudra juste à un moment donné le réaliser et être
convaincu de notre responsabilité commune pour la survie de tout notre globe
responsabilité passant par le respect.

Expérience réelle faite à new York par le Pr.Libet


La conscience en quelque sorte en avance sur le temps

La description des expériences du Pr. Libet au Mont Jérusalem Hôpital de New


York demanderait plusieurs pages. On compare les temps que met un sujet à
réagir quand on lui pique le doigt et quand on lui pique la zone du cerveau
correspondant à ce doigt. L'expérience est difficile à renouveler, il faut qu'un
opéré du cerveau accepte de jouer les cobayes. Il en ressort une conclusion
étonnante : tout se passe comme si la conscience était capable d'anté-dater ce qui
arrive à notre corps. Si Libet a raison, les mots que vous lisez en ce moment
même arrivent en fait à votre cerveau une demi seconde plus tard que vous ne
vous l'imaginez. Notre conscience se serait arrangée (dans un but de stricte
survie) pour que nous ayons tout le temps une petite avance sur les événements.
Si la conscience peut avoir, ne serait-ce qu'une demi seconde d'avance sur les
processus neuronaux, cela ruine toutes les théories des Marvin Minsky et autres
Jean-Pierre Changeux : la conscience devient en effet une entité autonome,
indépendante des lois de l'espace-temps et de l'énergétique.
Cette expérience montre que le cerveau est un support de la conscience non
par son administrateur ce qui réellement un bouleversement de notre ancienne
conception terre à terre scientifique et remets en avant le fait que notre corps est
en quelque sorte « habité » par un esprit donc notre conscience manipule notre
corps avec les possibilité qui s’offrent à elle et elle s’arrange avec le support
qu’elle possède du mieux qu’elle peut mais c’est bien notre conscience que tire
les ficelles de notre entendement croyez moi.
Nous sommes tous une entité indépendante qui « habite »notre corps pour y
faire l’expérience de la vie.

Cette expérience nous la vivons chaque seconde avec une certaine anticipation
par ce que l’esprit perçoit plus vite que le filtre que représente notre matière
dans laquelle nous somme des locataires , le fait qu’une preminiscence des
évènement puisse se faire à longtemps été étudié et nous en avons aujourd’hui
une preuve scientifique , preuve que l’esprit « meut la matière » et c’est lui qui
lui donne toute sa stabilité nécessaire pour sa structure sinon elle retournerai
immédiatement pour de la poussière et l’esprit lui s’envolerai…

La nouvelle science cognitive permets d’aller plus en avant pour une étude
rationnelle de l’individu et ouvre la porte par sa mise en relation de plusieurs
sciences se complétant sur le fait réel d’une inconscience collective et un surmoi
individuel peu à peu les écrits de grands penseurs deviennent une réalité
ressentie en un époque différente par le us et coutumes et surtout ou cela ne sera
pas censuré par des dirigeants peu scrupuleux du moins je l’espère car le fait que
l’homme réalise toute l’ampleur de sa spiritualité est souvent un frein à un
entendement de pouvoir mis en place , que cela politique ou religieux cela se
ressemble étroitement d’ailleurs , l’homme sera spirituel en un futur c’est sa
survie qui en dépends ni plus ni moins que sa propre survie…

Suite par un autre expérimentateur :

Le Dr Persinger stimule ses lobes temporaux avec un champ électromagnétique


très faible, comparable à celui d'un écran d'ordinateur. Des électrodes sont
placées sur la tête de Michel pour suivre l'activité des ondes cérébrales. Il est
privé du sens de l'ouïe et de la vision. Le Dr Persinger stimulera son cerveau
pendant 20 minutes.

Michel Rochon décrit ce qu'il vient de vivre...


" La première partie était très visuelle. J'ai également perdu la sensation de mon
corps. Je sentais que je flottais. La première chose que j'ai vue a été une
éclatante spirale violette au centre de mon champ visuel. Elle est devenue très
intense et très lumineuse. Et de son centre est soudainement apparu le visage
d'un enfant. Je ne sais pas combien de temps cela a duré, mais c'était simplement
le visage d'un jeune enfant qui me souriait. Et puis il a disparu. J'ai été
terriblement impressionné. "
- Michel Rochon, journaliste
" Le fait que nous puissions reproduire cet état en laboratoire nous indique qu'il
y a quelque chose dans le cerveau qui le provoque, et cela ne me surprend pas.
Or, la question est de savoir quel stimulus peut en être responsable ? "

" En laboratoire, j'utilise des champs magnétiques. Mais quel stimulus pourrait
avoir cet effet dans la nature ? Est-ce l'activité géomagnétique
terrestre par exemple ? Nous savons que, lorsqu'il y a une augmentation de
l'activité géomagnétique, les gens ont plus de chances de vivre des apparitions.
Durant la nuit, entre deux heures et quatre heures, ces expériences ont été
associées à un proche parent décédé, à un extraterrestre ou à Dieu. Je crois que
l'expérience de Dieu est le résultat d'une structure intrinsèque au cerveau, un
processus probablement essentiel pour la survie et l'évolution de la race
humaine.

-survie de la race humaine par des archétypes primordiaux étudiés par JUNG
la fameuse rosaxis et le fait de réaliser par un ressouvenir archétypal en notre
ADN comme une sorte de plan existentiel pour soi et pour l’humanité et aussi la
réalisation inconsciente par des rêves ou illusions que nous avons un lien avec
des visiteurs de l’espace les anges du ciel venus sur leurs chars de feu comme
dans Ezécchiel et relaté dans la genèse sous le nom d’héolims (fils de Dieu). Et
le fait que l’esprit ne meurt pas et reste uni a ses proches par leur aide lors de la
désincorporation de notre enveloppe.

Le corps notre corps et une sorte « de symphonie »dont nous sommes les
héritiers cette symphonie est le legs de toute notre passif qui sommeille en nous
et se révèle par « la ressouvenance » inconsciente ou parfois perçue brièvement
consciemment car cela est encodé en nos gènes comme une gravure sur un
compact disc et nous en avons certaines perceptions parfois et le fait de remettre
en route la relience avec Dieu par la méditation remets en quelque sorte en avant
ces mêmes souvenirs enfouis pour que nous puissions en prendre conscience
non plus sous la forme inconsciente et suggestive du rêve mais par une volonté
perceptive voulue.

Le fait de retrouver un rattachement au grand architecte de l’univers par une


connection divine permets l’activation de ces ressouvenirs d’un passé qui nous
constitue en notre totalité ,passé rattaché aux écrits bibliques de genèse et qui est
commun a toutes histoires anciennes sur la conception du monde de la venue
d’anges du ciel et sur l’élaboration de la vie sur terre , toutes les civilisations ont
quasiment les même archétypes d’histoires retransmissent de siècles en siècle et
ont tous eu la perception d’un régisseur unique du grand tout seule l’appellation
est différente mais l’étude étymologique donne sur les noms multiples de Dieu
la même traduction celle d’un créateur du grand tout représenté par la forme
« rosaxis »du cercle ou tout gravite autour de son centre , il y a même des
dessins préhistoriques montrant cette vision archétypale.

Quand aux histoires sur les visiteurs du ciel vu les circonstances actuelles de
ridiculisation de présences et de venues non expliquées il vaut mieux se montrer
prudent mais tout de même interpeller par beaucoup d’évènements non
expliqués tout de même.

On arrivera je n’en doute pas à lever un voile de plus en plus pesant sur tout ces
évènements dont beaucoup je pense ne demandent qu’à être authentifier.

N’a-t-on pas truqué le message de base ?

Ne nous sommes nous pas « arrangés » pour interpréter une réalité adaptée à
notre société pour faire que tout le monde y trouve son compte et se sente l’âme
légère ce qui est une hérésie en soit du message « original »plus mystique et
profond.

Là est la grande erreur qui a produit tant de religions à profusion alors qu’il ne
devrait par notre message basique tendre vers un universel et atemporel message
du cœur de l’être compris.

C'est-à-dire qu’il n’y a pas un message adaptable mais un message à recevoir,ce


qui est complètement et diamétralement différent.

nous avons tendance à créer une image de ce qui nous arrange pour ne pas
« voir »et entendre ce qui touche à la conscience de notre être intérieur là est le
blême de toutes ces religions instituées pour le peuple pour se servir du peuple
comme l’on ouvre en quelque sorte une « boutique » et c’est assez grave par
rapport au message disons primal de tout les prophètes et modèles qui ne sont
« pas vus » ni « compris » car nous interprétons et en avons la fâcheuse et
désopilante habitude , c’est notre nature de nous cacher la vérité qui dérange nos
eus et coutumes qui elles nous arrangent.

Ainsi peut-on être religieux sans être aucunement spirituel ?oui je le pense il n’y
a rien de plus facile que de suivre des rites et des répétitivités qui ne sont que
des pantomimes et des parodies plus qu’une sincère implication quoique cela
n’est pas ressentit ou perçu par tous de la même manière on peut très bien y
croire fortement sans que nous n’ayons compris pourquoi nous le faisions si ce
n’est que par habitude et symbolicité et sentiment d’appartenance à un groupe
d’individu avec lesquels nous vivons .

Mais cela n’a rien à voir avec la spiritualité car la spiritualité est du fond de soi
elle n’est pas une politique ni une adhésion, elle est intérieure et profonde « le
commence par toi-même « est faussé dés le départ pour que tous soyons content
de participer à une messe ou une cérémonie.

Le message lui était différent il était : te connais tu toi-même ?

Qui est tu au fond de ton cœur ?arrives tu a vouloir arrêter tes tendances
caractérielles et tes mauvaises habitudes ? te contrôles tu vraiment du fond de
toi ?

Beaucoup de ces questions restes à l’index et l’aimable participation religieuse


et plate est souvent choisie pour ce qu’elle est plus simple et adaptée à la vie de
tout en chacun sans remises en cause de son soi interne mais juste en passant
une bonne couche de gargarisme collectif pour calmer ses remords internes sans
vouloir se changer vraiment.

Le message religieux a oublié l’essentiel : son cœur de l’être

Ce point G qu’il faut savoir saisir et entreprendre un travail dessus alors que tous
en avons la charge et la responsabilité interne, mais cela ne se voit pas donc
c’est masquage pour le commun des mortels et il est plus facile d’être « vu
bien » que d’être soi même sans costumes ni façades.

Les messages de bases n’étaient pas pour faire des commerces non.

Mais pour être vécus par soi comme un cheminement de l’être car regardons
bien tous les modèles pour se remettre en question intérieurement n’en ont tirés
aucunes gloires de leur vivant bien au contraire ils on souvent été « mal vus »
car inadaptés à la société qui prône l’égocentrisme et l’individuel au dépit des
autres voire au détriment de la vie des autres sans aucunes scrupules.

La religiosité à adapté par un truchement conceptuel ,un message simple à


transmettre mais difficile à ivre pour un message compliqué à comprendre mais
facile à vivre par un brouillard répandu sur l’entendement humain , brouillard
masquant la vérité saine qui c’est retrouvée noyée dans de multiples habitudes
complètement inutiles pour la réalisation de base qui est ton toi interne et vécu .

Car faire semblant sera toujours plus facile que de vouloir plonger au fond de soi
et surtout cela ne dérangera aucunement tout trafics d’influences ni tricheries
abusives sur des êtres abusés en toute bonne foi par aveuglement de conscience
délibéré.

Donc l’homme est comme quelqu’un qui se défile devant le miroir de lui-même
et préfère tourner la tête et faire ce que l’on lui a appris à faire semblant d’être et
semblant de faire pour étouffer « sa conscience »plus qu’autre chose étant juste
pour paraître alors qu’il n’est pas .

Donc nous nous mentons à nous même en général si l’on est religieux on y croit
mais on est pas on ne fait que faire des actes répétés et non ressentis pour notre
petite vie d’un tout les jours ordonné et bien rangé pour faire fonctionner une
sorte d’industrie de l’âme basée sur la surface d’un lac sur lequel nous aurions
répandus du mazout pour masquer le fond .

Apocalypse veut dire « voile » nous y sommes donc sous ce voile de


l’entendement humain sans nous en rendre compte mais ressentant un mal de
vivre du siècle qui fait fonctionner l’industrie pharmaceutique par la vente
d’antidépresseurs et de somnifères pour dormir vraiment si la conscience nous
titille un peu .

La religion est la mort assurée de l’être intérieur de l’homme elle est la pire des
choses car elle nous fait nous mentir à nous même de bon gré , elle est bien
rodée en ce principe depuis des lustres ces dirigeants ont mis le mécanisme qu’il
faut pour que cela n se défausse pas même l’athéisme participe à son bon
fonctionnement par une implication humaniste continuité reliée a son membre
comme un doigt à sa main qui est religieuse , un doigt qui nie sa main est un
sot , mais cela amène d’autres formes d’adeptes qui enrichisse un système de
pouvoir déjà que trop ancré dans nos mœurs et habitudes .

Il est normal d’être asservi, il est normal d’être un sujet d’un système e de s’y
sentir bien car en attendant la conscience elle, elle continue à dormir.

Nous sommes en général comme des somnambules dans un système préformé,


en sortir c’est comme prendre un poison mortel et il faut vraiment une volonté
forte de changer pour arriver à l’extrémité d’une volonté sociale.

Beaucoup entendent mais ne comprennent ni ne voient, peu arrive à entrevoir et


peu arrive à commencer le chemin de l’être intérieur qui demande juste un
sacrifice non pécuniaire ni matériel un sacrifice difficile et long, le sacrifice de
ce que l’on ne veut à aucun prix lâcher, ce sacrifice indiscernable et
volontairement enfouis c’est soi même, sa propre image de soi.

Et c’est ce qu’il y a de plus dur le lâcher « de soi »le lâcher prise.


Le moi est ce qui court circuite l’universalité et le sentiment ressenti à notre
espace et terre, il empêche la connection divine vécue et l’éveil de soi , c’est
l’habit sale qui colle à la peau et qui paralyse les mouvements de l’être , c’est
tout ces petits rien qui font que l’on ne se donne pas vraiment la peine ni qui
donne la volonté interne .

C’est plus facile de jouer une pièce de théâtre que de vivre à l’intérieur de soi le
message donné, c’est comme ouvrir un fossé aux habitudes et jeter
l’entendement dans une turpitude de ressentiment et de mal être car on
commencerai à « se voir »au fond de soi comme un visiteur dans un panorama
de montagnes dont le fond de la vallée serait un lac qui paraîtrait si profond et si
plein de mystères.

Ce lac il faut y aller mais avant il faut comprendre pourquoi y aller pour y
plonger.

Y plonger c’est s’oublier et le mouvement donnant la nécessaire pulsion de soi


pour le faire est dur a trouver , on a bien trop peur de se perdre soi même et
d’être vu « nu » en quelque sorte car le lac dénude le moi .

Non vraiment nous sommes loin de vouloir comprendre ce qu’il faut faire on
préfère nager là ou on à pieds c’est tellement plus facile de s’ébrouer au bord du
lac en y aillant pieds.

On veut le salut intérieur sans « efforts » comme si c’était un produit de


supermarché consommable à moindre frais en promo. Alors que le travail lui le
vrai travail est une complète remise en cause de soi mais cela est dur et
contraignant certes…

Société ou l’on croit que tout s’achète ou tout est a disponibilité sans rien faire si
ce n’est que suivre un stéréotype de vie basé non sur le spirituel mais sur le
négociable et commercialisable une utopie donnée pour faire plaisir à tous en
surface, mais la surface est noire et dessous l’inconscient fait voir de multiples
choses qui grouilles et de multiples moi que l’on ne reconnaît pas mais qui font
que l’on est instinctivement poussés a faire certaines choses.

Alors que ces choses font parties de l’inconscient intérieur qui n’est autre que
soi dans sa totalité perçue comme multiple car non comprise par soi même et
surtout délaissée par ce qu’elle fait peur.

On à peur que du côté cacher de soi même celui ou il faut plonger pour le
percevoir.
Si l’on plonge en remontant on dira : -mais vous ne voyez pas ni n’entendez !
Où sont les hommes ?

Mais plonger c’est ouvrir la boite de pandore de l’humanité et l’on s’en tient
bien souvent à patauger en surface et faire beaucoup de bruit pour donner
l’impression que l’on arrive au contrôle et que l’on est « si fort » du moins en
apparence…

Si tout ceux qui ont voulus nous donner la voie revenaient ils pleureraient de
chagrin de voir tout ce que l’on a fait de leur enseignements mais ils ne
reviendrons pas sauf un qui lui est ce que nous ne comprenons pas du moins pas
intérieurement bien souvent.

L’homme se suffirait-il à lui-même ?

Non sinon il ne créerait pas toutes ces mascarades pour se faire du bien et passer
le temps en gesticulant en attendant l’inexorable passage obligé de toute
l’humanité, le passage dans le tamis cosmologique et implacable qui de toute
façon nous fera voir ce que l’on ressens de cet absolu dont on a tant peur mais
qui pourtant nous attends tous et pourrait être notre salut .

L’être humain se créer des illusions pour se masquer le cœur cela en est ainsi
depuis le début des temps immémoriaux nous n’y pouvons rien car l’homme à
peu de ce qu’il pourrait développer de son cœur mais cela lui paraît tellement
immense qu’il préfère ses idées et images figées qui le rassure.

C’est tellement plus confortable de vivre de faux semblants et de fausses


interprétations de dogmes primordiaux et puis surtout on ne prends que ce qui
donne une bonne conscience du moins en surface c’est dans le naturel inhérent à
l’homme que de vouloir contrôler et figer mais pas d’aller dans la recherche que
l’on se devait de faire pour le salut de soi même en commençant par soi même,
c’est tellement plus facile de voir ce que font les autres et de ne pas se regarder.

Oui vraiment tout les messages de bases pour trouver la voie ont été barrés,
camouflés excamotés pour ne laisser que l’accès à la grande autoroute de la
superficialité.

Car le cœur de soi est une porte sur l’inconnu et l’homme n’aime pas ce qu’il ne
peut pas toucher ni voir physiquement, car ce qui est capital n’est pas visible
matériellement mais avec le cœur .alors il se cantonne au bord de son lac
intérieur et agite ses bras pour se donner l’air de contrôler la nage dans cette
étendue de lui-même dont il parle en se faisant passer pour très spirituel comme
s’il connaissait ce qu’il ne touche qu’à peine…
Alors que le spirituel se passe de mots il faut le vivre c’est tellement simple à
dire et dur à gravir ces mots qui sont comme une montagne.

L’homme religieux

Il fait tout comme il connaissait tout mais ne le fait que par habitude , l’habitude
est la surface des choses , une surface tellement noire qu’il ne risque pas de se
voir à l’intérieur de lui-même , il joue un rôle et se rôle il le joue bien tout le
monde y croit du moins en apparence car au fond tout le monde devine que l’on
ne peut parler de choses profondes avec un religieux mieux vaut parler de
choses futiles qu’utiles pour l’esprit car le religieux interprète mal la quête d’un
frère qui le devine s’avère réelle elle alors il risque d’être jaloux au fond , alors
gare à ses interprétations elle risques de faire un effet destructeur pour l’autre
car il ne comprendra pas qu’un individu sorte de l’autoroute des faux semblants
car cela lui fait peur d’une part et d’une autre vous n’êtes plus en conformité par
rapport à une idéologie de groupe contrôlable .

Le religieux fait son devoir par coutume et ses coutumes passent par des
pratiques mécaniques pas de profondeurs de l’être dans la religiosité qui elle se
contente de l’opacité de surface ou il pourra agiter ses bras pour faire semblant
de savoir nager là ou en fait il n’a de l’eau que jusqu’au genoux.

La religion tue l’esprit de l’homme peu à peu insidieusement c’est pour cela que
l’homme le ressentant à pratiquer tant de scissions depuis fort longtemps car il
tente désespéramment de sortir de lui-même et de ses scléroses mais il n’y
arrive qu’un peu au début de la scission ou il ressentira une once de cette liberté
qui lui fait défaut pour ensuite malgré lui car la profondeur lui fait peur il
recommencera les même schèmes dans cette nouvelle corporation qui redevient
inexorablement religieuse ce qui est fort triste .

Nous ne pouvons pas changer les choses ni l’humanité mais pouvons


commencer par nous même, individuellement sans avoir peur de choquer car
vivre intérieurement une expérience se passe de mots ; et ne se partage que peu
si ce n’est qu’avec un entourage intime et discret. car l’amnégation de la religion
est tellement forte à l’encontre de la quête intérieure qu’elle est comme une sorte
de mur infranchissable, ou le dialogue entre un religieux et un spirituel est
tellement distorssionné que l’on ne pourra même pas y faire passer un mot
audible de soi vers l’autre sans qu’il prenne à mal votre désir de vouloir le voir
grandir , car il préfère le faux sa spiritualité sans substance convient à sa vie ou
sa conscience peut dormir tranquille sans être déranger et faire tout ce qui lui
plaît sans que personne ne le reprenne puisqu’il se croit blanchit par un
sentiment d’appartenance alors qu’il ne fais rien de l’intérieur de lui-même.
Le religieux est la pire représentation de l’être qui ayant un accès au divin
préfère faire semblant et le fait si bien qu’un étranger peut être par lui ma mené
s’il cherche une parole de douceur ou de fraternité il risque fort d’être désabuser
déçut et ressortir d’une église plus blessé qu’avant y être rentré en toute
impunité .le religieux est comme le serpent dans le panier à fruits il mords et se
recache aussi tôt au fond de la corbeille de faux semblants et de sourires
d’hypocrites agrémentés et cautionné par la religion car il renfloue ses caisses et
participe a sa gestion commerciale.

Alors passant attention quand tu t’approche de la corbeille pense qu’il te faudra


être prudent dans tes choix relationnels et tes dires car tu risques fort d’être
catalogué illico presto en ayant juste eu une conversation avec la personne qu’il
ne fallait pas et qui sur toi mettra de la suspicion et une étiquette , si tu peux
reconnaître le religieux évites de lui parler il ne peut rien pour ta quête il ne peut
que nuire à toutes formes de sincérités du cœur il ne t’est pas utile en ce que tu
cherches car il ne connaît même pas ce que représente la vision du cœur ne
l’ayant jamais vu .

REGARDES TOI DU FOND DE TON ÊTRE INTERIEUR ET TU VERRAS


N’AIS PAS PEUR DE PLONGER AU FOND DE TON LAC INTERIEUR
CAR POUR TA LIBERATION DE TES TABOUS C’EST LA GAGEURE
D’OUVERTURE DE TA VISION INTERIEURE CE POUR TOI CROIS MOI
PEUT-ETRE TA REALITE SANS FAUX SEMBLANTS …

Le spirituel

Il est calme est fort à la fois il attends que l’autre vienne et ressente l’envie
d’aller vers lui ou il pourra se montrer comme un guide, il n’est pas prétentieux
et ne cherche pas à tout vouloir savoir sur vous il ne fait que répondre aux
questions comme si vous lui demandiez un chemin que vous seul ne pourriez de
toute façon parcourir car il vous appartient à vous de le parcourir il ne pourra
pas le faire pour vous ce n’est que trop personnel.

Il ne vous jugera pas et n’aura aucunes suspicion sur vous il se montrera doux
attentif ,vous verrez en lui l’élan du cœur le vrai sans masque car le vrai n’est
que douceur et en sa compagnie vous vous sentirez bien comme avec un vieil
ami , ses conseils ne seront que pour vous-même et il ne restera qu’à les
appliquer , ce sont ceux qui parlement peu qui agissent mieux car être pieux
c’est juste donner des repères pour les autres pas de critiques ni de jugements
seulement des conseils de vie par ce que le spirituel connaît lui la vie la vraie
étant passé par des méandres existentiels il saura reconnaître en vous ce qu’il a
pu être auparavant , il n’aime pas les coutumes ni les fausses embrassades
limitées au murs d’une enceinte mais à l’extérieur d’un vie d’église vous le
reconnaîtrez il est le même car il n’a pas de masque il est tel quel .
Vous pourrez donc compter sur sa présence et ses conseils ou services sans qu’il
ne vous tourne la tête en vous voyant à l’extérieur de peur que vous ne lui
demandiez quoi de ce soit comme le ferait un religieux qui tient que trop à « sa
petite vie confortable ».

Vous trouverez en un être spirituel un frère qui a compris que l’humanité dans
son ensemble est une même et unique famille.

Ce ne sera dons pas difficile de reconnaître le « vrai du faux » pour un inconnu


averti à une époque ou le placebo à remplacé l’essentiel, qui du reste est
superficiel et identifiable pour celui qui voit avec son cœur par son ressenti ; il
suffit de voir le comédien de celui qui vit sa foi l’un donnera de son temps et de
ses sentiments et l’autre le faux lui ne fera qu’une comédie devant un auditoire
visible pour ensuite à l’extérieur de se montrer invisible et inaccessible pour son
prochain qu’il jugera tout de suite différent et malsain car d’un extérieur non
enreligiosé et enrubanné de fausse gentillesse par habitude ne saura aller vers cet
autre qu’il redoute par ce que cela n’est pas dans ses vues sans cœur car il n’est
qu’au bord du lac de l’entendement humain et ne saurait quoi répondre pour
apporter un bien alors que son voisin , prochain seul ou abandonné qui juste
pourtant d’élan du cœur à juste besoin pour se sentir aimé seulement ce que le
religieux étant sec et dur ne peut lui-même donner.

PERSONNE

Non il semble que : comme tu es on ne te voit pas,


Et que tu ne représentes que le reflet écrit qui rayonna.
Car de ce que tu ne représentes personne ne réalise vraiment,
Tu es que le dessus de toi-même que l’on ne voit réellement.

Alors tu écris pour donner ce que tu es de l’intérieur de toi,


Et par tes mots et tes schèmes tu es vraiment un grand roi.
Car tes mots déguisés et affûtés percent l’entendement humain,
Dont tu dévoile par des satires et métaphores les desseins.

Tu vois avec le cœur cela n’est pas pour plaire à tout le monde,
Car tes mots lancés en avant font leur travail et les confondent.
Ils balbutient et ne savent que répondre à des mots ainsi donnés,

Car tous leurs masques tout un coup sont ainsi à terre tombés.
Il est ainsi de toi que l’on appelle poète mais de qui tu reflètes,
Se situe plus haut que tout ce que l’on appelle pamphlets.
Oui car tu ne connais que peu et à travers les autres en somme,
Ce sont leurs émotions et leurs réponses qui te fait ainsi l’homme.

Car tu ne te vois que comme un enfant que tu es au fond toujours,


Il faut l’être de nos jours pour croire encore aux sentiments et à l’amour.
Alors ta quêtes inexplicable tu poursuis c’est ce qui te tient envie,
Car les mots de cette grande poésie de vie tu restes de ce fait l’ami.

Le message voilé

Pourquoi tout messages du cœur est voilé me diriez vous dans quel but ? c’est
simple dans le but d’empêcher tout introspection de l’être.

Car une introspection rapproche de l’universel alors que le statu quo d’un dogme
facilite le contrôle de l’individu sur d’autres individus par un désir de puissance ,
pour se faire on commence par dire que la connaissance et la culture ne servent à
rien ,que l’on est détenteur de « la vérité » fait sienne et qu’il faut marcher
comme un modèle que l’on représente soit même car des directives et des bornes
un système religieux donne pour que le ouailles prennent une identité de groupe
et un sentiment d’appartenance très forte régie par une autorité non spirituelle
mais bel et bien humaine , ou le pouvoir est de forme pyramidale , ou il n’y a
rien bien souvent de divin mais plutôt de type commercial et bardé de coutumes
et de concepts répétitifs pour qu’il y est comme une imprégnation de groupe
allant jusqu’au sectarisme étanche à l’extérieur d’une communauté ce qui est la
pire des choses car l’individu est comme drogué et n’est plus rattaché à une
réalité humaine et ne fini par ne plus penser par lui-même tellement le contrôle
sur son moi intérieur est grand ainsi que le malaise ressentit par cette victime
,qui à défauts de trouver une joie intérieure vraie se sentira enfermé dans une
prison d’appartenance ou il ne sera plus qu’un élément sans vie intérieure
contrôlable et malléable a ses chefs hiérarchiques de ce système religieux froid
comme de la glace.

La liberté individuelle dérange toute formes religieuses et pour cause cela n’est
plus contrôlable un être ayant trouver sa force intérieure car ne voyant plus
comme eux mais par le cœur et le don de soi toute une hiérarchie humaine se
sent en danger de perte de contrôle et de perte de bénéfices plutôt quantifiables
et cumulables en banques que nécessaires à une démarche réelle vers le haut.

Car le haut , Dieu et les anges on ne fait qu’en parler quand on est religieux on
ne veut surtout pas ressentir leur présences dans notre vie on a bien trop peur du
domaine du visible du cœur on y préfère la matière les biens et les richesses cela
réjouit bien plus et reste à notre portée car on a jamais vraiment expérimenter le
domaine de l’invisible c’est bon que pour des mystiques et des illuminés non soi
même on préfère faire semblant et jouer un rôle dans une société ou le pouvoir
l’argent sont nos idoles cachées sous notre lit de l’entendement intérieur
l’invisible n’est pas utile .

L’invisible ne veut être en général vécu car il sort des institutions et du contrôle
de l’homme qui lui ne se connaît que peu lui-même déjà donc comment voulez
vous accéder à du spirituel par un entendement humain c’est tout bonnement
impossible à cause des religieux.

LES VOLEURS DE RÊVES

Le signe d’appartenance est son emblème fatal,


Car de toutes tes pensées perdu dans ce dédale.
Tu risques de vouloir t’y rattacher malheureux,
Rattacher à un groupe ou une idéologie de bienheureux.

Et vouloir toi aussi y appartenir et vouloir t’unir,


Mais le pouvoir d’appartenance mène à t’avilir.
Toutes structures mènent à la folie et la démence,
Car si tu ne crois plus au fond de ce qu’ils pensent.

Tu te verras pâlir à toi-même et devenir une ombre,


Tu ne seras plus de toi-même que le côté sombre.
Cela te brûlera de l’intérieur et rongera ton cœur,
Tu ne pourras plus penser par toi-même par peur.

Peur de choquer tes amis devenus tes bourreaux,


De ta bouche ne plus dire de toi-même tes mots.
Mais que de vaines récitations peules et lubriques ;
De même couleurs et toutes ainsi crées identiques.

Du laconisme et des phrases toutes faites de liturgies,


Qui sont faites pour nettoyer efficacement l’esprit.
Pour qu’il n’ait plus aucunes identité ou recherches,
Et que toutes tes questions et toutes tes recherches.

Restent dans un flou sous un voile ainsi sur toi lancé,


Automate tu te risques de devenir si tu es incorporé.
Alors attention l’appartenance n’est pas indispensable,
Car une quête du cœur n’est jamais non jamais négociable.

Ce n’est que trop personnel et fait parti de l’individuel,


De l’appartenance vraiment tu n’as pas besoin d’elle.
Il te faut toi-même trouver et connaître aussi enfin,
Pour de la gnose du coeur connaître toutes ses confins.

Sinon le chagrin et la peine d’un renferment t’attendent,


De laisser au vestiaire ainsi toutes possibilités et demandes.
Car par soi même commence un long chemin indispensable,
Qui peu à peu te rendre à tout détracteur méconnaissable.

Car de la paix jaillie de ton cœur tu illumineras l’entourage,


Qui trouveront en tes mots de sagesse force et courage.
Alors continues restes toi-même et puises encore richesses,
Qui ne viennent que du cœur qui ainsi te les adresse.

N’hésites pas une seconde et n’adhères à tout sans y être,


Car des loups risquent fort aujourd’hui de te paître.
Reste toi-même avec ton cœur de poète nébuleux,
Qui t’embaume et tout les jours de ta vie te rend heureux.

Laisse les dans leur jeux de rôles que tu sais pas drôles,
Car ceux là qui veulent que d’autres ainsi enrôlent.
Ne sont que des commerçants de l’âme pas plus ni moins,
Ne pensent pas au bien être intérieur qu’il laissent au coin.

Ce qui les intéresse ce sont des biens et de belles maisons,


Pas de savoir avec raison si bien réellement nous allons.
Laisses les ils pâtiront eux même de ne pas être ce qu’ils font,
Toi tu de dois de continuer ta route et d’être un lumignon.

Pour les autres si tu connais ta cause tu sera utiles vraiment,


Car tu représenteras ce que de ton cœur devenu jaillissant.
De bonheur d’être simplement en vie tout les jours ainsi,
Et les gens rechercheront des mots de douceur d’un ami.
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Non vraiment les religieux c’est ce qu’il y de pire pour un être humain que d’y
tomber, car son esprit risque de ne plus jamais pouvoir se relever et au fond des
valeurs du cœur ainsi malencontreusement rester.
Car il faut pouvoir évoluer dans une quête personnelle pour pouvoir acquérir du
mieux pour grandir.
Et donner pouvoir de penser et d’être soi ce n’est que l’esprit du cœur vouloir
faire mourir. Je ne souhaite à personne de devenir religieux même si certains
donnent l’apparence d’être des gens heureux ils ont de l’essentiel été des
oublieux.
L’essentiel c’est une recherche un élan vers un avant et non une pause dans ce
qui n’est plus une cause mais une fin.
Alors d’un élan qui se veut pour un être intérieur quelque chose de grandissant
on ne peut adhérer à toutes contraintes ou appartenances, car l’on se verrait
contrit et devenu limité dans ce que l’on ressent à faire pour évoluer.
Car le réel message lui qu’était-il vraiment devenir un participant passif fermé à
toute surréalité ou alors prendre modèle et ainsi de son cœur activer de grandes
possibilités inssoupsonnées ?
L’esprit peut transcender la matière car il l’englobe et la surpasse,
Elle peut devenir un outil pour lui si le message est bien compris.
Ayant lu des auteurs croyants et athées je peux y dénoter quelque chose de
certain ces deux catégories ont la foi, foi en la pensée humaine et à sa
perpétuelle élaboration par une adjonction multiple partant d’un individu pour
s’agréger à d’autres, ces deux mouvements se rejoignant en cet espoir de voie
l’humanité s’améliorer.

De plus les deux tendances se croient investies du chapeau de philosophe, donc


muent par un même désir de moralisatrices, mais à mon avis il n’y a pas à
proprement parler de philosophes,le philosophe est une illusion de plus et une
étiquette , un simple étiquetage d’individus tout à fait comme vous et moi ,avec
leurs réussites ,leurs échecs,leur quotidien parfois illuminé d’inspiration et des
fois cafardeux par des luttes intérieures sur des pensées pas mures pour être
étalée restant dons stagnantes en attendant.
Des hommes des femmes avec un corps et des organes et non des demis dieux
par le titre de philosophes imposant respect et étude quasi religieuse de leurs
écrits parfois à l’opposé d’un saine vision de vie , car tout n’est pas blanc ou
noir il y a aussi les nuances de gris dans nous tous ,voir blanc ou noir est une
question d’état d’esprit du lecteur ,c’est lui qui choisit en somme par rapport à
un élément donné ,le but du penseur et de faire voir les choses qu’en général on
fait semblant de ne pas vouloir voir car cela travaille la conscience et ,cette
foutue conscience aime bien dormir plus que de vouloir travailler c’est sûr.
L’homme aime classer, ranger, répertorier tout ce qu’il veut connaître cela le
rassure en somme de savoir que tel auteur fait parti de telle classe d’écrivains,
comme une boîte rangée d’un côté de la pièce humaine attendant si besoin est
d’être ouverte pour une utilisation par besoin et nécessité et non par envie,
comme si les mots, les idées pouvaient être des objets, vus ainsi ils deviennent
un savoir « éventé »et c’est fort regrettable mais pourtant bien souvent ainsi.
Les hommes classent donc tout par ce que cela peut ainsi rester dans un coin
avec une étiquette qui résume tout pour éviter qu’ils fassent ce qu’ils devraient
faire « travailler sur eux même »,le religieux les hommes sont tous des religieux
que cela soit dans le domaine de la science ,de l’art, de la philosophie, de la
littérature,de la religion chrétienne ou autre tous absolument tous sclérosent par
des principes , des statut quo des lois enchaînant son soi par ce que cela évite de
se connaître soi même étant donné que l’on ne fait que regarder des boites qui
étiquettées ne sont que très rarement ouvertes.
Jésus disait que l’on pouvait devenir comme lui il avait ouvert la brèche sur le
voile de l’esprit ses premiers disciples avaient compris et ressuscitaient des
morts comme lui, on est loin de retrouver cette force intérieure accessible par un
réel entendement on l’a « figé »cela arrange de figer et permet de na pas
travailler sur ses propres progrès à faire sur soi même et de faire tout bonnement
« semblant ».
Les maîtres à penser dérangent alors souvent ils sont morts pour avoir que trop
titiller la conscience humaine qui elle préfère se faire des idées de plâtres, de
bois qu’elle pourra mettre dans sa boîte à l’étiquette :chrétien.
Idem pour les bouddhistes avec leurs savoir qu’ils mettent dan leur boîte et
continuent d’être ce qu’ils ont toujours été la plupart du temps au fond d’eux
même mais avec du maquillage de sincère dévotion, l’essentiel n’est il pas dans
les apparences pour la société et non sur un travail sur soi ?
J’ai connu des athées qui était plus enclins à être spirituel dans le vrai sens du
terme que bien des religieux qui se moquent bien de faire un travail sur eux
même en réalité et puis ils n’ont rien à prouver ils ont leur belle étiquette qui les
accrédite.
Tandis qu’un athée est bien souvent en quête de vérités qui dérangent mais il ne
se rend pas compte bien souvent qu’il est en guerre contre les religieux et leurs
manigances cérémoniales,
Alors ils ne voient pas les modèles de maîtres à penser à cause de cette guerre
fratricide.
Et se mettent en quête de retrouver en repartant de la base de l’arbre de la
connaissance et s’étonnent ensuite de voir que des textes religieux bien
interprétés et non truqués leur donnent bien des réponses à des interrogations
justifiables par ce qu’elles sont du cœur.
Les religieux de tout acabit sont ce qu’il y a de pire car fait de toute pièce par
des mensonges,
Comme si on pouvait changer le sens des lettres alphabétiques par ce que cela
nous arrange tôt ou tard il faut bien se rendre compte que la supercherie ne sera
qu’évidente c’est pour cela que les religions subissent un abandon du cœur ils ne
reste que le superflu, le décorum sans la substance.
Le je pense donc je suis cartésien est périmé, comment expliqué que je pense en
étant inspiré ?
Y aurait –il une inspiration céleste ?
Un autre chose au-delà de l’entendement humain et non une réaction chimique
physiologique qui fait tant d’émules qui y croient par ce que cela les arrange de
contrer un Dieu qui dérange leur conscience mais qu’ils prient quand une crainte
soudaine de mourir les fait réagir , l’homme est peureux quand il s’agit de l’au-
delà pourquoi avoir peur s’il n’est rien aucunes pensées devraient de le remplir
de crainte puisque s’il prend peur c’est qu’il ressent instinctivement qu’il était
dans l’erreur et que le passage ouvre une porte vers une contrée qu’il a toujours
réfuté renié tout en sachant qu’il est comme tout le monde et qu’il devra en faire
l’expérience, croire aurait pu lui donné des ailes plutôt que sombrer dans une
torpeur.
Dieu est mort dit-on aujourd’hui , mais en tuant Dieu l’homme tue ce qu’il y a
de meilleur en lui-même et souffre d’un grand déséquilibre car réfuter une quête
que malgré tout on fait n’est ce pas comme dire je n’avance pas tout en
marchant ?
Je comprends que l’on soit irrité contre les religieux , ce sont les pires car ils
veulent paraître eux ce qu’ils ne sont pas au fond de leur cœur , mais renier une
quête personnelle alors que tout dénote par une étude faite sur l’athéologie que
c’est une quête spirituelle très forte demandant une forte foi individuelle et qui
tend vers une amélioration de soi par un humanisme appliqué ,l’humanisme
c’est une bonne chose et c’est toujours mieux que la haine religieuse destructrice
de sentiments vrais et menant à bien des guerres qui sont contraires a ses
principes de bases non respectés se sont eux les serpents hypocrites et venimeux
« les religieux », la pire des races que l’humanité puisse produire .
Alors que n’importe quelle philosophie de vie tendra toujours vers une
amélioration de soi et de la société, et qu’une réelle lecture des écrits sans avoir
une quelconque appartenance pseudo religieuse étiquettées mène droit à une
transformation de soi, car c’est cela que tout guides voulait nous indiquer et pas
tout ces simagrées fantoches.

La Source

Elle est ce parfum flottant autour de la terre,


Pour que des mots nous sachions quoi faire ;
Elle se donne parfois mais ne se prends pas,
Ni ne s’achète car personne vraiment ne l’a.

Comme un collier de couleurs et de senteurs,


Elle descend peu à peu faire mon bonheur ;
De son nuage d’idées et de douces pensées,
Qui proviennent de tout désirs envolés.

Elle m’inspire cette belle et jeune muse,


Maîtresse des poètes si je ne m’abuse.
Elle se donne que quand elle en a envie,
Et alors les mots nouveaux me sourient.

Pour composer sur ma toile poétique,


Faite de beaux instants et de pathétique ;
Insuffle l’art du beau ce souffle nécessaire,

Pour qu’un poème vivant je puisse faire.

Elle s’immisce alors dans tout mon corps,


Transformer mon manque d’aplomb en or.
Car elle est d’une essence de parfum céleste,
Et rend du malhabile ainsi au très leste.

Elle sait que l’homme est prisonnier,


Que son corps empêche de s’exprimer.
Elle ouvre la porte de la tête en quête,
Pour que des mots ne coulent pas à perte.

L’homme ainsi pour un divin instant,


Plus qu’un simple pesant en pensant.
Il est relié au monde des anges du ciel,
Monde tellurique plus réel car lui est éternel.

Les rimes enlèvent toute forme de déprime,


Rendent au mot joyeux tout les synonymes.
D’avoir moi comme une abeille sur une fleur,
Pu butiner de cette divine et sublime saveur.
La vision inspirée c’est cela qui se reflète dans tout écrits voulant guider
l’âme dans un sentier étroit menant à la libération de soi.
La vraie liberté est avant tout celle de savoir changer d’avis car une opinion
est une chaîne pour l’individuation et si l’on veut évoluer il ne faut jamais
tenir tout pour acquis
C’est là l’erreur de la religion vouloir faire des stéréotypes sur des
connaissances en perpétuel mouvement.

Rien n’est jamais saisit et tout reste toujours à faire si l’on comprends ce
que le mot connaissance veut sous entendre.
Rappelez vous le chemin de la connaissance est étroit et l’avenue de la
perdition très large, cela nous vous rappelle rien ?
Ou alors tout n’est qu’illusions, je cherche les hommes mais je ne les vois
pas.
Pour être un homme il faut mourir à soi même dans le sens péjoratif.

Le Vieil Habit

Mais ce n’est qu’un habit,


Que tu laisses là mon ami.
Laisses le s’en est assez,
Usé il ne peut plus te servir.
Et puis tu en as assez profité,
Tu en as eu du temps pour agir.
Souvent c’est sur le tard,
Que l’on comprend ce départ.
Imputé à chaque homme mon ami,
Alors ne sois dons pas triste,
Laisses le tomber ce vieil habit.
Et comme un acteur quitte sa piste,
En repartant par les coulisses du sort,
Vas à cet éternel horizon là dehors.
Mourir à soi même qu’est ce que cela sous entend ?

-ne rien tenir pour établit

-ne rien prendre comme valeur absolue

-ne pas être auto suffisant mais constant.

-toujours prendre l’opposé d’une valeur donnée pour comparatif.

-comprendre que tout n’est pas ce que l’on voit ou comme l’on pourrait
croire que cela devrait être ,ce monde est bâtit sur des artifices ,la réalité du
cœur est toute autre.

Comprendre que l’homme est l’homme est que son sous jacent désir est
instinctivement de dominer les autres c’est dans sa nature et s’il ne peut le
faire par persuasion il peut en arriver à le faire par la force, comme les
religions l’ont souvent fait et comme la politique continue à s’y appliquer, la
raison du plus fort n’est elle pas la meilleure qui soit encore de nos jours ?

Et savoir qu’être à contre courant d’un abrutissement de masse voulu et


imposé demande une résistance hors norme et remets continuellement tout
en question, cela permet de retourner à la source de la pensée humaine, qui
est limpide et non polluée d’artifices ridicules.

La philoésie est ce que je crois être un retour à la source ,prendre une idée
par ce qu’elle à de plus basique et qui reste développable non pas comme
des idées structurées toutes faites prêtes à l’emploi sans réfléchir par soi
même , encore et toujours ce besoin que l’homme a de vouloir ranger et
classer c’est tellement plus facile , mais avec une idée basique cela reste du
suggestif et touche au fond de soi ce qui peut germer par la suite et c’est
cela le vrai travail philosophique ,planter des graines par des mots à
l’apparence poétique mais qui à y regarder de plus prés sont comme une
insertion de multiples idées fécondes et pas stériles comme l’on pourrait
croire que le champ de la pensée l’est de nos jour ou l’on croit que plus rien
ne reste à démontrer et que tout est acquis , comme si la pensée pouvait être
acquise quel éhonté mensonge .Les sages ont plus donné par leur absence
que par leur présence leurs idées déposées peuvent pousser alors que par
leur présence l’on ne pense qu’à les étouffer ou les réduire au silence car ils
ne sont que trop perturbateurs et creusent des sillons aux consciences , c’est
par leur absence et que l’on parle le plus ce en quoi ils dérangent sinon on
fait tout bonnement semblant de les entendre sans vouloir vraiment
comprendre les idées étant misent à nues cela perturbe .
L’attendu…

Ainsi donc par une volontaire absence,


Je vous montre en somme ma présence.
C’est volontairement si je ne viens,
Vous ne verrez alors que le trou,
Qui de ma personnalité provient,
Et ne verrez que la queue du loup.

A chaque instant vous vous retournerez,


Ma présence en me critiquant redouterez.
Vous savez que si je devais être devant vous,
Plutôt que de parler vous coudriez le motus ;
Car c’est bien connu de moi et de vous,
Le tort est pour l’absent appliqué encore plus…

Car ne pouvant répondre il faut en découdre,


De la conscience vous pouvez ainsi vous absoudre.
N’étant pas là on s’en donne à cœur joie,
L’élu est tout trouvé pour être un bouc émissaire.
Et comme par hasard tous le font de bon aloi,
La critique est facile et la parole se fait plus légère.

Car par celui qui n’est pas là ne peut se défendre,


Et ne peut certainement pas la parole prendre.
La prochaine fois sûrement j’irais et déjà je sais,
Qu’un autre mouton soit certainement choisit alors ;
Mais promis à son lynchage je ne participerais.
Car je n’aime pas dans dos d’autrui planter du tort.

Je sais que vous serez mielleux comme à l’accoutumée,


Alors que déjà on m’a si gentiment alors tout répéter,
Là le téléphone est parfois si rapide alors à se débloquer,
Car les pies elles s’en servent et en abusent toujours.
Elles aiment tout les ragots et critiques acérées ;
Car hypocritement elles me piquent de leurs faux amours.

Ainsi donc par ma volontaire et présente absence,


Je serais aujourd’hui l’heureux élu de votre pestilence…
Car le cœur de l’homme est fourbe méchant je le sais,
Plus enclin à faire le mal par nature que le bien ;
Mais il faut toujours laisser sortir de la grande plaie,
Ce qui de la bouche sans ma présence ne me fera jamais rien.
Car une cymbale fêlée ne raisonne pas c’est certain.
Je viendrai c’est promis vous voir alors demain…
Me caresserez de vos plûmes de pies et de corbeaux,
Et vous m’appellerez d’une voix suave et tendre,
Comme d’habitude ferez semblant d’écouter mes mots,
Et ferez comme des perroquets répondre sans m’entendre.

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Le problème de tout la société c’est de na pas vouloir par elle-même


expérimenter et exploiter son potentiel mais de se suffire à tenir comme établies
toutes choses sans rien remettre en question et se laisser ainsi guidée comme un
bête à sa propre auto destruction sans rechigner ni faire preuve d’une
quelconque velléité vis-à-vis de son boucher que représente son désir de
puissance égocentrique.
Pourquoi penser est-ce donner toujours un coup de pied à la fourmilière ?
Penser et le dire dérange alors que penser seul dans son coin isolé arrange bien
des déconvenues mais le penseur ne peut se résoudre à rester calme il sait qu’il
faut choquer pour imprimer quelque chose et utilise le masque de l’ironie pour
faire passer une peu de ce qu’il veut transmettre peu à peu comme un breuvage
médicinal qui prit en trop grande quantité risquerait d’empoisonner son lecteur.
Oui lecteur la vérité avec un grand V n’existe pas , la vérité c’est le mouvement
et le mouvement ne peut se faire que si tu acceptes d’être comme un éphémère
sachant que la vie n’est qu’un court passage ou il faut sans cesse se tirer soi
même par les cheveux pour se tirer du lac des méandres illusoires donné par des
manipulateurs de masse qui chercheront toujours un contrôle
Par ce que l’homme ne désire que cela contrôler ses semblables pour un profit
substantiel comme un paysan soigne ses vaches ou un autre ses poulets ,l’intérêt
ce n’est pas d’écouter les états d’âmes de ses sujets mais de les étouffer en les
occupant à diverses tâches leur donnant l’impression d’avoir une utilité à la
marche de l’humanité alors qu’ils ne sont que des pions sur leur grand échiquier
mais bon il ne faut pas trop le dire cela fait des vagues de protestations
auxquelles il faut répondre par la force à défaut de raison. les mots doivent
choquer comme des coups de marteaux sur l’entendement humain sinon c’est
que l’on a pas compris ce que penser par soi veut dire.

CHOC DES MAUX

Comment atteindre un but sans affûter ses outils ?


Comment couper court sans mots aiguiser mon ami ?
Il faut frapper là où cela fait mal et réveiller cet animal,
Qui de l’esprit qui dort en lui et il faut ainsi tant pis s'il râle.
Le laisser à turpitudes et fausses idéologies d’endormis,
C’est participer au sommeil des choses irréelles venue de l’esprit.
Et donner libre accès à toutes ses mauvaises actions ainsi cautionner,
par renoncement ainsi leurs mauvaises décisions, Malheur approuver.

Alors que si tu tapes dans la ruche intellectualisée tu les agiteras,


Et feras disperser leurs désirs et envies malsaines de vils scélérats.
Tu choques ? Que cela ne tienne tant mieux cela en vaut la peine,
Car si tu soulèves ainsi contre toi des anathèmes censures et haines.

C’est par ce que tu es le miroir bien poli qui les fait ainsi déchoir,
Et qu’ils de ce fait perturbant font tout pour ne pas eux même voir.
Mais qu'étant en face d’eux même ils ne peuvent pas à leur vue y réchapper,
Il faudra bien qu’ils s’y résignent à se voir dans leur entier en réalité éclairée.

Ton miroir par tes outils de phrases tu as bien ainsi poli,


Et tu fais voir par des maximes "leur eux même "cet ennemi.
C’est d’eux même que le mal les ronge peu à peu tout les jours,
Par ce que ils veulent que des désirs et pulsions assouvir sans le « mot » amour.

Ils se rapprochent de toi quand la peur mortuaire d'eux même les touche et que
disparus ils se voient,
Et que leur angoisses devient insoutenables par ce qu’ils en rien ne croient.
Et que ce gouffre noir de turpitudes leur fait peur et ne peut jamais remplir leur
cœur,
Ils cherchent et ne trouvent alors qu’un peu de miséricorde envers toi se
raccrochant en pleurs.

C’est là qu’il faut ainsi oublier toutes leurs paroles qui t'ont offensées,
Tu sais ce que tu as dans ton coeur des graines de réconfort pourras leur donner.
A ces êtres perdus qui d'eux même et leur véritable identité ont voulu oublier,
Par négation et par peur de ce que l’amour de la vie peut en eux éclairer.

Alors donne de ton temps et de tes conseils de sagesse si tu peux et si tu es sages


tu le veux.
Car c’est dans ces moments que tu peux un peu rendre les autres heureux.
De voir que la voie du cœur t’a transformé de l’intérieur et ainsi tu as vraiment
changé…
être devenu le reflet du soleil de vérité par qui pour toujours tu peux éclairer.
Attention apporter une aide pour la connaissance aux autres n’est pas une chose
qui doit être faite pour soi même glorifier la première des choses importante
pour ne pas dénaturer la valeur du cœur c’est de rester humble et pour des
individus que l’on qualifie de pètes, d’écrivains ou de philosophes cela devient
une tâche difficile car ils sont que trop flattés pour rester ce qu’ils sont et
deviennent bien souvent puants d’orgueil et c’est ce qui gâche leur œuvre bien
souvent , c’est regrettable .

Ceux qui garde cette innocence, cet élan inspiré qui donne tant de matière à
travailler pour leur descendance c’est ceux là qui sont le plus à étudier même s’il
n’ont pas reçu le mérite de leur vivant sachez qu’ils ont eu bien plus et ce bien
plus n’est pas palpable mais assimilable tout le reste n’est que palabres car il y a
des valeurs que l’on emporte de l’autre côté et elles sont toutes des perles
éternelles.
C’est pour cela qu’ils ne sont pas du tout compris à leur époque respective ils ne
sont pas des êtres temporels ,leurs mots furent, sont et seront encore des valeurs.

La Fleur d’Or

L’élément lové autour de la colonne pilier,


De doubles natures retrouvées Anima animé,
Conscience aller alors vers les portes du corps,
Car ces vingt deux loges il te faudra ouvrir ;
Pour que ta fleur sur ta tête devienne de l’Or.

Tu pourras la montagne Gaïa alors gravir,


Et rejoindre des sages qui te guideront ;
Et de ta vie devenir le grand champion.
Car remplit de sagesse anti-conceptuelle,

Tu pourras te servir de possibilités subtiles,


Le monde de l’imaginaire deviendra ton réel.
Et dans tous tes actes et paroles tu seras habile.
Comme Socrate l’étais en son temps à lui.

Mais attention quand la lanterne du cœur luit,


Beaucoup voudront par jalousie l’étouffer,
En te voyant c’est comme pour eux un miroir,
Ils se voient eux même comme dans un reflet,
Et c’est tout leurs manque et défauts voir.
De nos jours la ciguë ne pourront te faire boire,
C’est une chance mais misères te ferons voir.
Car crois moi en amères paroles et déboires,
Te ferons subir leur jalousie ce qui est pire…

Car leur cœur qui jamais n’a voulu grandir,


Ni la montagne sacrée vouloir aussi gravir.
Se contentant alors comme des porcs,
Que de manger et de boire en forniquant.

Car se contentant que de désirs c’est leur sort,


A eux mon ami qu’ils ont choisi c’est évident.
Ne leur en veux pas de leur farouche mépris,
Toi aussi tu étais pareil dans ta morte vie.

Car si tu es revenue de la mort en naissant,


Nouvel être en métamorphosant ton esprit ;
C’est par le vécu naissant de l’entendement,
Que le ciel c’est ouvert à toi alors mon ami.

Cela jamais ne l’oublis si tu es un messager,


C’est pour transmettre savoir et divines clés ;
Pour que d’autres puissent aussi s’ouvrir,
Et leur fleur d’or faire alors acquérir.

La vérité nue fait peur car elle ne dissimule rien d’autre de ce qui est elle se
prend dans l’essence des choses elle est le lien de toutes choses et elle reste
ce qui dérange le plus dans notre société antique, actuelle et de demain car
elle n’est pas de ce monde elle l’inonde et le surpasse et c’est ce qui pour
notre entendement trop simple nous dépasse.

Tout le monde ment

C’est une certitude car d’être trop franc,


Ce serait sortir des mots en pensant ;
Et dire les choses crues directement ;
Ce serait devenir un être effrayant.
Car plus de flatteries ni aucunes courtoisies,
Ce serait des mots secs mal ressentis ;
Et personne alors n’aurait aucun ami ;
Car la vérité froisse je l’ai bien compris.

Si quelqu’un que l’on aime bien,


Et que l’on ne flatte plus alors en rien ;
Mais que l’on casse pour faire du bien ;
En disant que : tu es un bon à rien.

Croyez vous qu’il voudra s’améliorer,


Pour vous faire plaisir et apprécier ?
Ou alors votre triste face d’enfoiré,
Ne pourra alors du tout encadrer ?

Car une parole de vérité doit être comprise,


Donner par un véritable ami qui attise ;
Un peu votre affect par une entremise ;
Pour que la sagesse soit votre assise.

Mais la leçon personne ne veut c’est clair,


Puisque dans la société à quoi cela sert ?
On préfère en fait les faux airs ;
Même si cela a un goût vraiment amer.

On ment par omission bien souvent,


Par altruisme beaucoup plus rarement,
Et par égoïsme c’est clair tout le temps.
Car de ce que l’on veut ou sous entend,

C’est un retour de bonnes manières,


Par l’art faux d’un vieux savoir faire ;
Des premiers rudiments humanitaires,
Pour vivre ensemble sans faire la guerre.

Alors on triche et fait passer pour des sages,


Ceux qui n’en aurons jamais l’apanage ;
Mais qui font fonctionner les rouages,
D’une société ou paraître est un avantage.

Les bons on les ignore et les dévore,


Car les hommes sont des carnivores ;
Leur nombril et cousu de fil d’or ;
La vérité est alors ce que l’on déplore.

Si un sage poète des temps anciens,


Revenait alors pour nous alors demain …
On le traiterait de mécréant et de vaurien !
Car son trait ferait voir alors les siens.

On verrait toute notre pauvreté artistique,


Depuis longtemps on la dit magnifique !
Ce n’est qu’une purée de poix statique,
De vers qui ne sont que des lombrics.

Monde de salutations de recommandations,


De médailles et souvent d’auto élévation ;
Pour se faire voir d’une génération ;
N’hésitant pas aux vrais artistes la pendaison ;

-on préfère à l’art le décorum à la raison,


Jugeons rapidement tout nouveau bourgeon ;
Par peur de déplacer des habitudes de faux jetons ;
Jugeons par critiques et les vrais poètes négligeons…

Sans préambules, pour que l’on les oublie,


Par ce qu’ils ne sont pas du même avis ;
Non eux ils préféraient la vraie poésie ;
Celle qui provient simplement de la vie.

Non mais regardons les choses en face !


Les vrais les purs c’est eux qui agacent,
Car ils titillent notre monstre de glace,
Mais de la société se font la dédicace.

Car plusieurs générations passerons,


Avant que nous les comprendrions ;
Dérangeurs du statique petits trublions,
Quand ils sont morts alors nous les aimons.

Car quand un artiste un vrai de pure qualité,


Sa réelle empreinte sans taches a alors laissé ;
C’est souvent bien longtemps bien après,
Que l’on se met à vouloir la déchiffrer…
Les valeurs du cœur ont besoin d’être mûries à l’intérieur de l’individu et
de la société et il faut pour n compréhension de message parfois des
décennies avant de l’entendre à son propre cœur vibrer voir même
plusieurs générations passent avant de voir le dessin dans ce qu’ils
croyaient une trace…

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Faux semblants

Le problème des religieux bien souvent,


C’est que de croire font trop semblant.
Et que les athées se forcent à ne pas croire,
Mais leur quête faussée que de désillusions.

Car la science leur fait avoir des déboires,


Par des révélations pleines de contradictions.
Faire semblant en se disant de tel ordre ?
Alors que vraies pensées ne sont que désordres.

Comme faire d’un seul arbre cacher la forêt,


Et du cœur par trop de raison ainsi perdu.
Car si de l’œil du coeur vouloir se priver,
C’est de son utilité se montrer alors vaincu.

Croire n’est ni dans le dénigrement,


Ni dans la sacralisation évidemment…
Cela ne se vit que par le cœur de soi,
Les sens ne suffisent donc pas à cela.

Car ce qui se touche et aussi se voit,


L’esprit lui ne s’y trouve donc pas.
Car comment retenir une essence,
C’est impossible quand on y pense.

Cela en est ainsi donc de notre vie,


Nous n’en sommes pas les maîtres,
Elle s’en va quand elle veut aussi.
Egaux donc pour venir et pour disparaître.

Vivre en cherchant et vouloir comprendre,


Sans vouloir avec soi-même nous entendre.
Même si les voies de Dieu sont impénétrables,
C’est d’une évidence perspicace très éloquente.

Cela est donc la chose la plus immuable,


L’homme de son vivant ne gravit que peu la pente ;
De la montagne sacrée de la grande connaissance.
N’étant qu’alors de ce corps lourd allégé.

L’éveil ne garde que peu de souvenance ;


De ce que le rêve fait entrevoir parfois…
Et que ceux qui plus jamais l’on ne voit,
Ne peuvent revenir ainsi pour nous en parler.

Sauf Virgile et Dante cher poètes sibyllins,


Qui dans leur langage codé ainsi rimé ;
Quelques pierres posées par des alexandrins ;
Nous ont laissé pour la grande prospérité,
Pour que le dormeur en soi puisse s’éveiller.

Merci aussi à toi Ezéchiel pour tes mots de miel,


Pour nous montrer par tes visions le vrai réel.
Ce qui du cœur l’homme s’est malgré lui fait rebelle.

Car qui n’expérimente pas des joies ineffables,


Ne peut se les faire raconter c’est indéniable…

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La Rosée du ciel

Etre poète ne veut absolument rien dire,


En voulant trop on fait ce qu’il y a de pire.
La rosée se reçoit sans demander ou vouloir,
L’inspiration jamais on ne pourra forcer.
Sur la raison plate il faut donc s’asseoir,
Et à ses élans de pensées se laisser aller.

La poésie a ses neufs muses indépendantes,


Souvent savoureuses mais insouciantes.
La raison laisse place à la folie des mots,
Que l’on étale sur une feuille blanche,
Comme si l’on se jetait alors à l’eau.
Brisant par passion tout concepts étanches.

Pour se mélanger au flot multicolore,


Comme dans le chant de maldoror.
Etre en osmose avec toutes ces belles,
Qui montrent la source dont le poète se désaltère.
Passer de l’autre côté plus sensuel sentit plus réel,
Comme attiré par une rassurante chaude lumière.

Non je ne suis pas poète que nenni je suis un homme,


Parmi tant d’autres moi un petit bonhomme…
Mais qui laisse couler ses lignes sans contraintes,
Pour faire savoir ce que l’inspiration veut dire,
Car par de longs soupirs et quelques complaintes,
Faire voir à qui veut par l’interstice que l’on peut lire ;

La lueur inexprimable du fond du lac animée,


Dont il faut pour comprendre soi même y plonger.
Chose non vécue reste incompréhensible,
Pour un non initié au vol de l’éthérique.
Où l’âme du poète se fond sur la toile préhensible,
D’une humanité aux milles couleurs mouvantes et féeriques…

La vérité Nue

Elle est vraiment magnifique à voir,


Encore faut-il pouvoir y croire.
Celui qui aurait l’âme menteuse,
Par aucun travail appliqué sur soi ;
Ne verra que le pied magnifique de la belle noiseuse.

Le reste ne sera que du flou artiste,


Et pour lui un langage d’autiste.
Il faut être initié aux mystères des choses,
Savoir reconnaître le beau du clinquant.
Et avoir fait de sa vie une prose,
Voir toujours ainsi simplement comme un enfant.

Simplement avec le cœur ouvert,


Comme une rose à ciel ouvert.
La nudité de l’entendement est ainsi :
Simple et compliquée à la fois.
Selon comme on perçoit ainsi sa vie,

Avec amour de vivre ou alors sans aucun émoi.

Cette perception du vrai est le joyau,


Du travail sur soi même le cadeau.
C’est ouvrir enfin son cœur intérieur,
Et pouvoir sourire à la vie enfin…
Sans de la mort alors aucune peur,
Et dans tous les jours que Dieu fait devenir serein.

Parler la langue des oiseaux bleus,


Et être dans ce court passage heureux.
Accepter la nudité de la vérité,
Pour tout ce l’on peut en apprendre,
Et ainsi sur les autres pouvoir déverser,
Le parfum des choses …que l’on a pu comprendre.

Les Vers D’or

Honore en Premier lieu les Héolims dans l’ordre chronologique,


Qui leur fut assigné par la Loi céleste la « suprême logique ».

Respecte le serment donné et Honore ensuite les héros glorifiés,


Car c’est grâce à eux qu’apparue ainsi l’humanité éclairée.
Vénère aussi les génies terrestres, en respectant le code d’honneur,
Car obéir à ces divines lois c’est trouver pour soi le vrai bonheur.

Honore aussi ton père et ta mère et te proches parents,


Car il ne faut jamais oublier l’appel naturel du sang.

Entre les autres hommes choisis celui qui excelle en qualités,


Des pierres pour bâtir doivent être pareillement proportionnées.
Cèdes aux paroles raisonnables et aux activités salutaires,
Car bien choisir ses amis et la chose la plus capitale et nécessaire.

N’en viens jamais, pour une faute légère, à haïr ton ami,
La sapience doit être le reflet de ce que tu as compris.

Dans la mesure du possible supporte et corrige pour l’élévation,


Qui est impossible sans aucun échange par communication.
Saches dominer tes emportements et à te diriger toi-même,
Car la sagesse sans la pratique devient un anathème.

Sois le maître de tes sens physiques en n’étant pas gourmand,


Ni aucunement porté à la luxure et surtout en n’étant pas feignant.

Réfléchis toujours avant d’agir et cela dans toutes situations,


Car un homme qui ne pense n’est qu’un pion pour ses passions.
Sois objectif envers toi-même et regarde toi d’abord,
Avant de juger ce qui est autour de ton toi-même dehors.

Sois juste et que tes actes reflètent vraiment tes paroles,


Applique en ta vie sans tricher la responsabilité de ton rôle.

C’est en toutes choses qu’il te faut réfléchir avant d’agir,


Car mentir c’est à toi-même te laisser peu à peu mourir.
Nous naissons tous et partons tous de la même manière,
Fais de la sagesse trouvée sur terre ta divine bannière.

Ne fais pas cas des biens que l’on n’emporte pas,


Saches trouver les perles qu’heureux tu emporteras.

Les choses spirituelles sont d’éternelles richesses,


Les matérielles en partant toujours on délaisse.
Prends les affres du destin comme outils pour toi-même,
Riche ou pauvre reste du cœur toujours un bohème.

Car toutes situations peuvent t’élever et les prendre,


Et évidence de ta vie vécue tu te dois de comprendre.

Accepte ta destiné comme un sort mérité, car si tu es provisoirement sur


terre abaissé,
Cela agira alors comme un levier et tu pourra tes montagnes déplacer.
Il te convient de remédier à ta situation dans la mesure que tu peux,
Mais ne sois jamais envieux ni aucunement devenu un vaniteux.

Pense bien à ceci et appliques toi à souvent y méditer :


Rien n’est stable mais tout tourne autour du tout en réalité.

Le Un rejoint le multiple et le multiple le Un partout et pour tout,


Et Un plus un fera toujours trois pour celui qui comprend le Nôu.
Sois donc patient en tout ce qu’il t’arrive et attends sagement,
Que l’existence te permette peut-être un possible revirement.

Sinon saches être toi-même pour ce que tu es vraiment au fond,


Car en te connaissant tu ne peux que Qu’accroître ta raison.

Beaucoup de gens ne sont pas ce qu’ils sont en fait,


Ils ne s’appliquent qu’au faux semblants et étiquettes.
Faux discours d’esprits lâches sans aucunes ordonnées,
Sache sagement leur prétention alors supporter.

Quant à ce que je vais te dire observe le en toutes circonstance.


Ne montre à personne ni à rien une quelconque dépendance.

Que rien ne t’induise à proférer ou faire ce qui pour toi ne serait pas utile,
Car c’est en tout chose qu’il faut par la raison te montrer l’ouvrier habile.
C’est le propre d’un pauvre d’esprit que de faire ou d’agir dans des choses
insensées.
Pour un sage par son existence l’œuvre est en tout ce qu’il fait démontrée.

Ne fais pas si tu ne connais pas mais saches regarder et écouter pour


apprendre.
Car en sachant toujours que rien et acquis et tout reste à faire tu sauras
comprendre.

Il ne faut pas négliger pour l’esprit la santé de ton corps,


Ce serait pour toi même te faire le plus grand tort.

Car les deux sont étroitement unis par le fil d’argent,


Dont l’équilibre des deux la raison ainsi dépends.
Donc avec mesure sensée accorde lui le boire et le manger,
Et par l’exercice donne lui vigueur et bonne santé.

Habitue toi à une existence propre, simple et équilibrée,


Car ton corps est de ton esprit de lumière le temple habité.
Ne fais pas de dépenses inutiles, comme ceux qui ignorent,
Ce que pour le philosophe « le beau »est le véritable trésor.
Ne sois pas avare non plus la mesure dois être parfaite,
Fais en ton temple ta pièce principale ainsi ta tête.

Ne prends pas les devant dans ce qui pourrait te nuire,


Et pense toujours pour que tu puisses grandir.

Ne permets pas au doux sommeil de s’installer,


Avant d’avoir tout tes actes de la journée examiné.
En quoi ai-je fauté ? Qu’ai-je fait ? Qu’ai-je omis de faire ?
C’est cela que consiste l’art divin du vrai savoir faire.

Commence par la première à toutes les parcourir,


Pour que la gnose puisse ainsi en toi s’ouvrir.

Si tu trouves que tu as commis des fautes fais t’en le reproche,


Et si tu trouves que tu as bien agis fais en toi les encoches.
Ainsi tu sauras en ayant marqué ce qu’il te faudra encore répéter,
Et ce qu’il faudra de tes penchants aussi alors éviter.

En faisant l’analyse de toi-même chaque jour y méditant,


Tu seras le tuteur et le guide pour ton âme encore enfant.

Charité bien ordonnée commence toujours par soi même,


Connais toi toi-même et fais de ta vie le divin requiem.
Tu ne le regretteras pas si tu fais de la sagesse ta devise,
Et les passions, et pulsions n’auront pas sur toi d’emprise.

J’en jure par celui qui a transmit à notre âme le sacré Quaternaire,
Celui dont notre essence spirituelle est notre unique père.

Source de la nature multiple dont le cours est éternel,


Perdu de vu par nos cœurs qui ont été rebelles.
Tu connaîtras la voie des secrets mystères insondables,
Par une sainte approche en devenant un être raisonnable.

Tu verras ou les choses commencent et ou elles finissent,


Et que le haut et du bas en fait par la sagesse s’unissent.

Le son de l’harmonie se fera pour toi entendre clairement,


Et tu sauras ainsi que les hommes d’eux même librement,
Leur existence par défiance font ainsi leurs maux,
Par ce qu’ils préfèrent à tort rester alors des sots.

Misérables qu’ils sont ; ils ne savent ni voir ni entendre,


Mais préfèrent de leur égocentricité toujours dépendre.

C’est inné en l’homme d’être par nature au mal attiré,


Suivre le bien est un chemin de grande difficulté.
Il faut peu à peu de sa vieille nature se dépouiller,
Pour revêtir l’habit de lumière et être du coeur le nouveau né.

Prends courage car tu sais que la race des hommes est malgré tout divine,
Et que la voie pour accéder paraît toujours aux êtres une chose sibylline.

C’est par symboles que s’exprime pour tous la raison divine…

Affranchi de la mort tu seras immortel et incorruptible,


Et nagera dans l’éther domaine de l’incompréhensible.
Tu deviendras héolim et t’assiéras à la table ronde,
Des sages aux milles pensées dont la terre fécondent.

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Ecriture

Chose qui bien formée fortune savante,


Qui fait de lignes la chose devient vivante.
Tout est dans notre infinie imagination,
Il suffit de se laisser aller dans ses pensées.
Qu’ainsi du divin sublime l’alchimie libérions,
Evitant savamment trop d’entraves humaines figées.

Par ce long apprentissage de plume rebelle,


Pouvoir en avoir l’usage domestique usuel.
Mais au fond elle est et restera une sauvage,
Libre à sa source faite de symboles et de présages.
Elle vient de la profondeur que l’on nomme surréel ;
De l’encre du papier du clair obscur discernons l’apanage ;
Imprimant un peu de l’être en s’exprimant de choses irréelles.

Le ressenti et le vécu des choses déposées par des phrases…


Cela permet au lecteur inclus de partir un peu,
De chercher la vieille chouette ainsi de son mieux.
S’oublier et devenir en lecture le héros aussi parfois,
Même si l’on est pris par la vie corpus donnant embarras.
Lire c’est ce qu’il y a de mieux à vivre ici bas ainsi crois moi;
Permettant de gravir la grande échelle du ciel peu à peu, pas à pas…

NOTE

Ces quelques poèmes en fin de livre sont à livre plusieurs fois, il S’y trouve
des réponses à trouver que si l’on applique sa conscience à les voir , c’est
donc un travail que de vouloir comprendre, car rien ne s’obtient sans un
certain travail sur soi dans le domaine de la connaissance.

Les religions ne sont que du vent sachez le l’appartenance n’est pas une
obligation voir cela empêche bien souvent un évolution.
Dieu est Unique et les anges multiples mais l’homme est toujours sous une
volonté de puissance voulant créer ce qu’il n’est pas à même d’appréhender
ou d’expliquer avec des mots.
On ne voit vraiment l’essentiel qu’avec le cœur …

A vous amis lecteurs :

- réfléchissez bien à ce que j’ai écris car il est clair que cela demande un
certain travail pour comprendre les métaphores et allégories significatives
du message que je vous lègue.

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