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et ensuite
0 0t+4/3 kt3/2
Les constantes d’intégration sont calculées au départ des situations
particulières citées dans l’énoncé.
Nous obtenons : 0=-4 rad, 0= 2rad/s et aussi k=4rad/s3/2
A l’instant t=4s, les caractéristiques du mouvement sont :
= dans le cas d’un mouvement uniformément varié :
1.5. Un faisceau lumineux issu d’une lampe en rotation autour d’un axe
1.3. Un tambour creux de longueur L=90 cm tourne autour de son axe à la vertical balaye un mur situé à une distance D de la lampe. La lampe
vitesse de 630 t/min. Une balle de fusil, tirée parallèlement à l’axe du tourne à une vitesse constante de n tours par minute. Etablir les
tambour, perce les deux faces. L’angle que font les rayons qui joignent expressions de la vitesse et de l’accélération de la tâche lumineuse se
à l’axe les deux traces de la balle est de 12°. Déterminer la vitesse du déplaçant sur le mur.
projectile. Solution :
Solution : L’angle signalé dans l’énoncé correspond au déplacement
angulaire du tambour pendant l’intervalle de temps qui correspond à
la traversée du tambour par la balle.
La durée de cette traversée est : tt= L/vb
Pendant ce temps, le tambour a tourné de 12° (1/30 de tour) ce qui
/
demande un temps : t= = 1/315 s.
/
Or t=tt et il en résulte que la vitesse de la balle vaut :
vb=0,9x315=283,5m/s
l’accélération de la pesanteur.
Et puisque la rotation est uniforme : a= ( d /dt)²
Solution : Pour que l’avion puisse prendre un virage, il faut le ²
soumettre à une accélération centripète
² Et on obtient alors, avec d /dt = 2 n/60, v= 2 Dn/60 cos²
= -r ² = ; elle ne peut dépasser 10g.
² Alors v= 0,10 Dn/cos² rad/s et a= 0,02Dn²sin / rad/s²
Par conséquent : R= = 400m
1.8. Une particule M se déplace sur une droite x’ox. A l’instant 1.9.Une particule décrit un mouvement plan. Les composantes
t=0 où elle passe en 0(x=0) avec une vitesse v0=20m/s, on la tangentielle et normale de son accélération sont constantes au
soumet à une accélération négative proportionnelle à la cours du mouvement : aT = et aN = 2 . Soit l’angle que fait la
puissance nième de la vitesse ( = -k v² ). tangente à la trajectoire avec l’axe ox. A l’instant t=0 ,la particule
a) Ecrire les expressions de la vitesse v(t), de l’abscisse x(t) ; est au repos en un point A.
b) A quelle vitesse et à quel instant la particule passera-t-elle à
a) Ecrire les équations de mouvement en fonction de
150 m de l’origine 0 si l’accélération à l’instant 0 est 2ms-2 ?
b) Déterminer le module de la vitesse en fonction de et de
Solution : = = -k v²
Solution :
= - kv² - = dt après intégration - + = kt
²
V= et x= = = ln (kv0t+1)+C
²
Ainsi k= = x=150, v= 20 e - 0,75 aN = où est le rayon de courbure, = =S
PARTIE 2. DYNAMIQUE ROTATIONNELLE, TRANSLATIONNELLE , 2.2. Une particule partant du repos tombe dans le champ de la
THEOREMES FONDAMENTAUX DE LA DYNAMIQUE ET ENERGIE pesanteur à travers un nuage immobile. Du fait de la condensation de
l’eau, la masse de la particule s’accroît au cours de la chute, le taux
2.1. Du point le plus haut d’un plan incliné de 30° sur l’horizontale, on d’accroissement dm/dt est proportionnel à la vitesse de la particule et
lance suivant la ligne de plus grande pente, un corps avec la vitesse v0. l’on écrit dm/ dt = kmv, où k est une constante.
En même temps, on abandonne, en chute libre et sans vitesse initiale, Déterminer la vitesse de la particule en fonction du chemin parcouru ;
un autre corps à partir d’un point de même altitude. considérer ensuite le cas où le taux d’accroissement est très faible.
Déterminer v0 pour que les deux corps arrivent en même temps sur un
plan horizontal situé à 20 m plus bas. Solution :
De la relation fondamentale, = (m ), et puisque la seule force
Solution : La force qui fait glisser sans frottement le corps le long du
qui agit sur la particule est son poids, on obtient la relation ci- après :
plan incliné vaut mg cos60° et la longueur du parcours est d=
mg= m +v =m + kmv²
20/sin30°
On ne demande pas l’évolution de la vitesse au cours du temps, mais
la relation qui relie la vitesse de la particule à la distance parcourue. Il
convient donc d’éliminer dt entre la relation ci-dessus et dz= v dt
(l’axe des z étant orienté vers le bas)
Il vient : (v²) + 2kv²= 2g
D’où v²= C + après intégration, où la valeur de la
Nous avons donc les relations :
20/ sin 30°= v0t+0,5 g cos60°t² constante C est déterminée par la condition : z=0 v=0 et donc C=
Et 20= ½ gt² Il vient donc : v²= g/k (1- ) Lorsque le taux d’accroissement est
Ce qui conduit à v0= 15,7 m/s faible ( k petit), nous pouvons développer l’exponentielle en série, ce
( )² ( )
qui donne : = 1+(-2kz)+ + +…,
! !
Et si l’on se considère que les deux premiers termes, la relation
qui relie la vitesse et le chemin parcouru se réduit à v= 2
2.3. Déterminer la force exercée sur un disque placé 2.4. Une cabine d’ascenseur a une masse de 1000 kg. Partant du repos,
perpendiculairement à direction d’un jet d’eau. Le jet a un diamètre de elle est tirée verticalement avec une force de 12 10 N. Déterminer le
4 cm et une vitesse de 15 m/s. Après avoir touché le disque, l’eau temps nécessaire pour que la cabine parcoure 25 m et la vitesse dont elle
s’écoule parallèlement au disque. est animée à ce moment-là. Déterminer la force qu’il convient d’appliquer
pour que la cabine s’arrête après un nouveau parcours de 25 m.
Solution : La description de la situation présente suggère
L’application de la loi fondamentale de la dynamique sous la
Solution : Exprimons l’équilibre de la cabine observée à partir d’un
forme : = (m ). Fixons la durée d’observation à une seconde.
La masse d’eau entrant en contact avec le disque par seconde est référentiel attaché à la cabine : + +(m ) = 0 où est le poids de la
celle qui remplit un cylindre d’un diamètre de 0,04 m et de hauteur la cabine et , la traction appliquée. Après projection sur la verticale
vitesse de l’eau ; elle vaut M= (0,02)² 15 15 = 18,85 kg orientée vers le haut il vient : a²=2 m/s²
Avant le choc, la vitesse de l’eau est perpendiculaire au disque ; après C’est la valeur de l’accélération du référentiel lié à la cabine. Ce
le choc, l’eau s’écoule le long du disque. Projetons donc la relation ci- référentiel aura parcouru une distance de 25 m après un temps t
dessus sur une droite perpendiculaire au disque et qui est orienté donné par : h1= ½ at², soit t=5 s. Sa vitesse est alors v25= at= 10 m/s.
dans le sens du jet d’eau. On applique ensuite une traction ’ telle que la cabine (et le
La force exercé par le disque sur l’eau est : F= 18,85 (0-15)= -282N référentiel attaché à celle-ci) s’arrête après 25 m. Sous l’action
Par le principe « action-réaction », la force exercée par le jet d’eau combiné du poids de la cabine et de la traction, l’accélération
sur le disque est 282 N communiquée au référentiel doit être telle que
v50= v25+a’t’=0
²
25= v25t’ + D’où : a’= -2 m/s² et t’=5 s. Pendant cette période,
l’équilibre apparent de la cabine est exprimé par la relation
+ + (-m ’) = 0
D’où, après projection sur la verticale orientée vers le haut,
T’= 8000 N
² ²
2.5. Soit le champ de force : = + .
²
2.6. Vérifier si le champ de force, = (2xy+ ) +x² + 3xz² dérive
Vérifier si ce champ dérive d’un potentiel. Si oui, déterminer la forme d’un potentiel. Si oui, établir ce champ.
des lignes de niveau. Calculer le travail à fournir pour déplacer un objet du point (1 ;-2 ;1)
Solution : au point (3 ;1 ;4).
Le champ de forces dérive d’un potentiel ( d’une énergie potentielle), Solution :
si son rotationnel est nul. Le champ de force dérive d’un potentiel ( d’une énergie potentielle) si
Le champ donné est un champ à deux dimensions, la seule son rotationnel est nul.
composante x )Z = - + =0 Le champ dérive d’un potentiel. Un calcul simple montre que les trois composantes du rotationnel
² ² sont nulles ;la réponse est donc affirmative.
Une première expression de ce potentiel est obtenue à partir de :
A partir de = - (2xy+ ), nous obtenons une première expression
= - Fx et une seconde, à partir de = - Fy
du champ : V1= - x²y - x +C1 (y,z) ;
² ²
Il vient : V1= -3x- + C1(y) et V2= - + C2 (x). Et à partir de = - x², une deuxième expression partielle :
Ces expressions particulières conduisent à l’expression complète :
V2= -x²y+ C2( x,z) ; et de = -3xz², l’expression : V3= -x +C3(x,y).
²
V= -3x - +C. Réunissant ces trois expressions, on obtient, pour l’expression
Les lignes de niveau correspondent à V=k ; soit : complète du potentiel : V= -x²y - x +C
Y²+3x²+C’x=0 ce sont des ellipses Calculons le travail fourni par le champ en nous servant de la
définition du travail : W= .
Puisque le champ est lamellaire, nous avons le choix du chemin à
suivre. Nous optons pour le chemin
(1 ;-2 ;1) (3 ;-2 ;1) (3 ;1 ;1) (3 ;1 ;4).
Le travail fourni par le champ est alors :
W= ( 4 + 1) + 9 + 9 ²
W= 202 unités
2.7. Le ressort d’un revolver se raccourcit d’un centimètre sous une 2.8. Une balle est lancée du sol avec la vitesse V0 elle franchit deux
force de 10 N. On le comprime de 5 cm et une balle de 10 gr est placée murs parallèles de même hauteur h. Montrer que la distance qui
contre le ressort. Calculer la vitesse de la balle au moment où elle sépare les deux murs ne dépasse pas ( v0² - 2gh)1/2
quitte le canon ( on suppose que toute l’énergie accumulée dans le
²
ressort déformé se transmet entièrement à la balle). Solution : Soit R, la portée du tir : R= La position du
projectile est à chaque instant donnée par : x= (v0 cos ) t (1) et y= (v0
Solution : sin )t- gt² (2) Au point M, y =h dans (2)
La force développée par un ressort déformé, = - k , dérive d’un
potentiel ( le rotationnel du champ de forces de ce type est nul). ( v0 sin ) t - gt²=h gt² - ( v0 sin ) t + h= 0, la résolution de cette par
± ²
L’énergie potentiel liée au ressort déformé est donnée par : rapport à t dans t= dans (1)
( ) ²
<
Solution :
²
= [(2 3 )+( 2 ) ln( ]+
a) Relation fondamentale de la dynamique : =m
+ + = ( m ) (1) On en déduit l’équation horaire.
Pour t=0, x=0, on obtient la constante C
La projection de (1) suivant la ligne du mouvement x donne
² ²
: mg sin - k =m +v C= + + + ln
² ² ²
La masse de G à l’instant t est m= M- t ²
D’où x(t)= ln + [2
= (2) ²
ln( )] + ( )
b) En utilisant la méthode de la variation de la constante pour ²
+( )²
= g sin – k
= ( )
Après intégration:
²
C(t)= (M g sin ) t – g sin + ( ) + C1
( )
Si t=0 alors v= v0= C1= M (V0 -
² ² ² ²
k =
² ²
2.10. Un canon au repos de masse M, tire horizontalement un
c)Dans ce cas , le ressort emmagasine une énergie
obus de masse m (m<M) avec une vitesse initiale .
potentielle inférieure à la précédente
a) Comparer l’énergie cinétique du canon à celle de l’obus à la
1 1 ²
sortie du canon. = ²
2 2
b) Pour limiter la course du recul du canon à une distance max d, ²
on utilise un système hydraulique, assimilable à un ressort de Or ² =
constante de raideur k (F= -kx). Quelle doit être la valeur minimale D’où d’²=d²- = d² (1- )
²
de km ?
c) Calculer la distance maximale de recul d’ ( on prendra k= km) si
l’énergie absorbée est il vient : d’= d 1
²
Solution :
a) Conservation de la quantité de mouvement = =0
2.11. Une goutte d’eau sphérique de masse m0, de rayon r0
= MV+mv0= 0 V=-
tombe en chute libre dans l’air sans vitesse initiale. A l’instant
Energie cinétique : T que l’on prendra comme origine des temps, la goutte
²
Du canon : = ²= ² pénètre dans un nuage saturé de vapeur d’eau ; de L’eau se
condense sur la goutte dont le rayon croit linéairement avec le
De l’obus : = ²
temps suivant la loi r= r0 (1+bt), où b est une constante. En
Ainsi = >1 négligeant la résistance de l’air ;
a) montrer que le taux d’accroissement de la masse (dm/dt)
est proportionnel à la surface de la goutte sphérique
b) F= - kx dérive d’un potentiel V ; réponse : = br0S b) Etablir l’équation de la vitesse
V= - = = ²
de la goutte : réponse : + = c) En déduire la vitesse
²
A la fin du recul ; = ² = ² de la goutte ainsi que l’accélération ! Réponse :
X= d la raideur du ressort doit obéir à loi v= + + ( + )
2.12. Un ressort idéal d’une longueur de 0,15m relie deux 2.13. D’une bombe fusée, les gaz sont expulsés à une vitesse
masses, l’une de 1 kg et l’autre de 1,5 kg. Comprimé d’abord de 2 km/s par rapport à la fusée. La variation, par seconde, de
de 5 cm, on relâche ensuite le système. Déterminer la vitesse la masse de la bombe fusée vaut 1/60 de la masse de la fusée
de chaque masse au moment où le ressort reprend sa au lancement.
longueur normale en sachant que la constante du ressort est Calculer le rapport initial de la masse du combustible à la
de 180 N/m ( on négligera le frottement) masse de la fusée vide pour que la fusée atteigne la vitesse de
libération.
Solution : Solution :
La somme des forces extérieures appliquées initialement L’équation différentielle du mouvement d’une fusée lancée
étant nulle, le centre de masse est immobile et le restera
verticalement est : + + =0
pendant le mouvement de va et vient des deux masses.
L’énergie accumulée dans le ressort reprend sa longueur Avec u= 2 10 / et = -M/60 où M est la masse de la
normale, sous forme d’énergie cinétique des masses. On a
fusée au lancement.
donc, d’une part, + = 0 il vient, en éliminant le temps dv= 2000 ;
Et ( m1v1²+ m2v2²) = ² D’autre soit v= 2000 ln 60 (1 )
part. A la fin de la combustion, m=mf, masse du corps de la fusée ;
Par élimination de v2,il vient : v1= 0,52 m/s M- mf , masse initiale du combustible, et v=11 km/s.
et ensuite v2=-0,35m/s Il vient : = exp(5,8 0,3 ) et puisque mf/M <1,
On a approximativement 330
C’est le rapport demandé entre la masse initiale du
combustible et la masse du corps de la fusée. Notez qu’il est
impossible de réaliser un tel rapport, déjà un rapport de
l’ordre de 20 est très élevé. La fusée ne peut quitter la terre
dans un tir vertical !
2.14. Calculer le rapport de la masse initiale d’une fusée à la 2.15. Une bille en acier tombe sur une surface horizontale, elle
masse de la fusée à la fin de la combustion pour que, lancée rebondit de 3 m, la deuxième fois, elle ne rebondit que de 1,5
suivant la verticale, la vitesse de la fusée à la fin de la m. Déterminer la hauteur qu’atteindra la bille après le
combustion soit égale à la vitesse d’éjection des gaz. On quatrième contact avec le plan.
suppose que le taux de perte est constant.
Solution :
Solution : Arrivant la deuxième fois sur la surface, la bille est animée
L’équation différentielle du mouvement d’une fusée lancée d’une vitesse orientée vers le bas,
suivant la verticale est : + + =0
Où = est le taux de perte. La vitesse après ce contact, orientée vers le haut, est
En éliminant le temps, dt = - donnée par : = 2
Or, lors du choc on a :
Il vient : dv=
~ 2,7
3.3. D’un point A d’altitude z, on lance horizontalement et à 3.4. La planète Mars a un rayon de de 3350 km. L’un de ses
une vitesse V0 un corps de masse m. satellites, DEIMOS, parcours une orbite d’un rayon de 23500
Le corps décrit une conique exprimée mathématiquement par km en 30h18min. Calculer l’intensité de la pesanteur et la
vitesse de libération à la surface de Mars.
la relation : r = où C est la constante des aires,
C=r² ; G , la constante de Cavendish et M la masse de la Solution : L’intensité de la pesanteur à la surface de Mars est
Terre .Exprimer l’excentricité, e , en fonction de R, rayon de la donnée par : = or R est le rayon de la planète et M sa
²
Terre, et de g0, intensité de la pesanteur au niveau du sol.
masse, cette dernière nous est inconnue.
Calculer ensuite les vitesses de lancement pour que la
Déterminons donc d’abord la masse de la planète. Ceci se fait
trajectoire soit un cercle, une parabole.
à partir des caractéristiques de l’orbite de Deimos. L’équilibre
Solution : Le corps étant lancé horizontalement, la vitesse y
dynamique de ce satellite sur son orbite s’exprime par la
est perpendiculaire au rayon ; la constante des aires
s’exprime alors également par : (R+z)V. relation : = où r est le rayon de l’orbite de DEIMOS
²
Notez que le point de lancement est une intersection de l’axe est = = 5,76 10-5 rad/s.
de symétrie de la conique avec la conique ( =0 ou ). Pour l’intensité de la pesanteur à la surface de Mars, nous
Le poids du corps étant donné par mg= ,
( ) avons alors : = = 3,84m/s²
on a g0= et l’équation de l’orbite prend la forme : Pour obtenir la valeur de la vitesse de libération à la surface
²
de Mars, il suffit d’exprimer qu’à la surface de Mars un mobile
( ) quelconque a une énergie mécanique totale nulle, soit :
3.5. Une force centrale = agit sur un point 3.7. Un électron décrit, autour d’un noyau portant une charge
matériel de masse m. A l’instant t=0, la masse se trouve en un Ze, une orbite elliptique. Exprimer son énergie totale en
point A et sa vitesse y est perpendiculaire à rA . Déterminer fonction du grand axe de l’ellipse et le carré de la période en
fonction de l’énergie totale.
l’énergie mécanique totale du point matériel et l’équation de
sa trajectoire. (valeurs numériques : m= ; =9 ; =
3.8. Une masse M est distribuée d’une manière uniforme le
30 = ) long d’un segment de droite de longueur 2L.
Réponse : E=
²
et la trajectoire est une conique Etablir les expressions du champ de gravitation et du potentiel
en un point de la droite que porte le segment et à l’extérieur
d’équation r= de la distribution.
( )
Soit ²=
Lorsque l’orbite est circulaire, on a à chaque instant,
²
= et l’on constate que : =2
( )²