Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
CONCEPTION- DES
STATIONS D E POMPAGE
1
LISTE DES TABLEAUX
Pages
Tableau no 1 Coefficient des pertes de charge linéaires 5
<*
2 Compatibilité des dispositions générales avec le marnage 13
11
3 Compatibilité des dispositions générales avec la vitesse de l'eau 14
8 Choix de la motorisation 18
pompage 19
sélectionnée 32
17 Protection électrique. 35
2
LISTE DES FIGURES
II
2 caractéristique de conduites en parallèle 7
4 Disposition en aspiration 11
5 Disposition en charge 12
6 Disposition tour 12
7 Disposition en Estacade 12
9 Disposition flottante 13
CHAPITRE 1 : GENERALITES
1 .l.Définition du domaine
Les stations de pompage sont utilisées dans différents domaines. Elles utilisées en
Assainissement, dans plusieurs domaine de l'Industrie. (Hydro-électrique, pétrole, etc.) et
beaucoup plus en hydraulique (Alimentation en eau potable, Irrigation...).
Le présent travail repose, pour l'essentiel, sur l'usage hydraulique des stations de pompage.
Une extension pourra être faite intégrer l'assainissement.
Les utilisateurs potentiels visés sont les nouveaux projeteurs dont l'E.1.E.R. assure la
formation d'une grande partie.
Nous allons d'abord présenter des généralités sur l'hydraulique avant d'aborder l'analyse de
la démarche de conception d'un projet de station de pompage.
La circulation de l'eau dans une conduite provoque des pertes d'énergie dues à l'état de la
conduite (frottement de I'eau contre les parois) et aussi a des changements de direction.
L'énergie ainsi perdue s'appelle perte de charge (J) ; j = J/L est la perte de charge linéaire
pour une conduite de longueur i.Son unité est m/m.
Les travaux menés dans ce domaine ont permis d'établir des formules pratiques de calcul
de j.
Lesdonnées sont:
j : perte de charge unitaire (m/m)
Q : débit (m3/s)
D : diamètre intérieur (m)
178
h : viscosité cinématique de I'eau A = 1 + 0.00337t + 0.000221t2
avec t= température de l'eau en Oc ; h= la viscosité cinématique de l'eau en '
m / s 106
k rugosité absolue (Colebrook) (m)
Ks : rugosité Manning Strickler
K : Rugosité William et Hazen
4
8Q' k 2.51/2106
Formule de Colebrook j=
dgDï
10.66Q' 852
Formule de William et Hazen j = 8j2 DJ871
2.2.Théoreme de Bernouilii
"En tout point d'un filet liquide pris dans une masse liquide de fluidité parfaite en mouvement
permanent et soumis a la seule action de la pesanteur, de la cote, la hauteur représentative de la
pression et la hauteur représentative de la vitesse forment une constante".
ligne de charge
k
I
ligne piézomètri
1II
I
1
h. II
au point B : HE =Zg + P d a + V $ / 2g
Les points de niveau (2+ P/m + V2/2g) forment une droite appelée ligne de charge.
Les points de niveau (Z + P/a)forment une droite appelée ligne piézométrique.
On appelle côte piézométrique un point de la ligne piézométrique :
côte piézométrique = Z + P/a.
Dans la pratique le terme V212g est négligeable et ligne de charge et ligne piézométrique
sont confondues.
La caractéristique d'une conduite est la courbe qui traduit les variations de pertes de charge
en fonction du débit.
- Conduites en parallèle
Soient Cq(H = F1(Q) ) et C2 (H = F2(Q) ) les caractéristiques de deux conduites montées
en parallèle. Désignons par C(H = F(Q) ) la caractéristique résultante.
On a la relation suivante : (Q, H) C e ii existe Q i et Q2 tel que QI + Q2 = Q et H = FI(Q),
H = F2(Q) ;
- Conduites en série
Soient Cq(H = FI(Q) ) et C2 (H = F2(Q) ) les caractéristiques de deux conduites montées en
série. Désignons par C(H = F(Q)) la caractéristique résultante.
On a la relation suivante : (a, H) C il existe H l et H2 tel que H l + H2 = H
et H1 = F1(Q), H2 = F2(Q) ;
niveau statique
I
I
c *P
B a' Q
Nous avons jusque la traité de conduites qui assurent un service d'extrémité : le débit est
constant d'une extrémité a une autre. Mais dans la réalité une conduite assure souvent un service
en route.
Soit q le débit servi sur une unité de longueur et L la longueur de la conduite. A l'entrée de la
conduite nous avons un débit Qo = Q1 + qL OU Q 1 est le débit d'extrémité. Le débit équivalent est
le débit Q d'extrémité qui entraînerait la même perte de charge J. La loi de perte de charge linéaire
peut se mettre sous forme j = kQ2/Dm.
Sur un tronçon élémentaire dx le débit desservi est qdx. A un point x (x t L) le débit porté
par la conduite est Q(x) = Qo - qx = Q1 + q(L-x).
=j Q = ( Q q 2 + QqqL + q2 L2/3)11*
Nous pouvons écrire que :
(Qi2+ QlqL + q2 L2/4) < Q < (Qq2 + Q1qL + (&/2)q2L2)
~j Q1qLl2)~ < Q2 < (QI + (1 &)qL)2 a (Q1 + qLQ) < Q
< (Qq + ( 1 I f i ) q L )
Nous en déduisons que : Q1 + 0,5qL < Q < Q1 + 0,58 qL
En général Q est pris égal a Qq + 0 3 5 CIL.
7
. ._< . I_ .
2.1. Introduction
La conception d'un projet en général fait appd & des connaissances qui sont d e deux
natures :
-tracer les grandes lignes du projet par une définition des dispositions générales du projet ;
- choisir la pompe qui répond aux besoins définis précédemment : étude du fonctionnement
de la pompe ;
Nous allons maintenant expliciter la démarche exposée précédemment et voir les moyens
dont dispose le projeteur pour mener son projet.
Le travail dans la première phase du projet constitue a situer le contexte du projet par :
- une définition du caractère général de la réalisation
- une définition du service attendu
- la prise en compte des contraintes de site
- le choix des dispositions générales.
8
2.2.1. Definition du caractere qeneral du pmiet
Dans le cadre du présent travail, seules les trois premières catégories sont prises en
compte.
Après avoir localise le site, le projeteur détermine les besoins que la station de pompage doit
satisfaire.
La localisation du site se fait par ses coordonnées géographiques, la côte du terrain (en
mètre).
Une carte de distribution est ensuite établie faisant ressortir pour chaque point de distribution
le débit, la côte du terrain et la pression de service.
9
Si les besoins varient en fonction des périodes, c'est généralement le cas, il doit alors
déterminer le débit maximal (Qmax), débit de pointe et le débit minimal (Qmin) que la station doit
être a mesure de satisfaire.
'
II calcule la hauteur manométrique totale (HMT) qui correspond à l'énergie que la pompe
doit consommer pour porter l'eau aux points de distribution. Un choix judicieux du site permet de
minimiser la hauteur manométrique.
- De la qualité du site
Dans le cas d'une eau souterraine, le principal probleme est celui de la pérennité de la
ressource. II est conseillée d'avoir un débit stabilisé d'essai de pompage de longue durée
supérieur au débit requis pour le projet et si possible que le débit stabilisé soit le double du débit
du projet.
Quand la ressource est un cours d'eau, II est conseillé d'établir la station à une partie stable
du lit du cours d'eau. Le tracé du lit peut être fait, par reconstitution, a l'aide des cartes existantes
.
ou directement par une reconnaissance sur le site. Suivant la hauteur d'eau une estimation est
faite sur le débit solide. Une estimation, par relevé de mesure, est faite sur la vitesse de l'eau en
crue. La qualité du site dépend de ta nature des berges et des rives :
- s'il y a érosion des berges, suivant l'intensité, le site est très exposé ou exposé.
- s'il y a de la végétation sur les berges ou si les rives sont constitués de matériaux non
érodables le site est peu exposé ou sûr.
Lorsque la ressource est un barrage, suivant les dispositions de ce dernier, la prise d'eau
pourra être plus ou moins imposée. La meilleure solution est la construction de la prise en aval du
barrage et en charge. Mais on peut aussi faire une prise d'eau a l'amont de la digue en bordure de
la retenue, avec un chenal d'alimentation en période d'étiage. La qualité du site dépend de sa
situation par rapport au vent. Le site sera considéré sûr s'il est sous le vent exposé s'il est au vent.
S'il est au vent avec un vent fort et un plan d'eau profond, le site est très exposé. II est peu exposé
quand il est au vent avec un faible et un plan d'eau peu profond.
1
voir éléments de base pour le choix des pompes
10
- l'environnement
Cimplantation d'une station de pompage doit être faite en tenant compte des effets sur
l'environnement. En particulier, on évitera d'installer la station dans urr site où il y a risque certain
de pollution du milieu aquatique.
- Les fondations
La nature des sols du site, leur capacité à supporter ou leur influence sur le génie civil de la
station, influencele choix des dispositions générales.
Avant d e voir comment le projeteur fait un choix des dispositions.générales, voyons qu'est-
ce qu'une disposition générale, et quelles sont les différentes dispositions.
On entend par disposition générale, la manière dont la station de pompage est installée par
rapport à la ressource.
La disposition en aspiration
C'est une disposition courante pour les groupes motopompes et les stations de faible
importance et lorsqu'on ne peut pas faire autrement.
I 1
I 1
La disposition en charge
11
La disposition Tour
Cette disposition est une disposition classique et convient bien aux débits importants et a
des conditions de sécurité élevées.
Elle permet de s'affranchir d'un marnage important (de I'ordre de 10 mètres).
La sécurité de fonctionnement est élevée même en site exposé.
La disposition Estacade U U U
C'est une disposition relativement rare qui ne peut être établie que dans un couranr taible.
Elle est choisie pour u n e berge peu marquée, des fondations incertaines et une structure
généralement métallique.
La disposition Exhaure-Reprise
Elle permet des réalisations rapides et est souvent employée dans les installations de
chantier. Elle s'adapte à un fort marnage.
La disposition Flottante
Si la ressource est un cours d'eau, la vitesse de la rivière doit être faible et il ne doit pas y
avoir des corps flottants.
\
\
\\
Le choix des dispositions générales est basé sur les tableaux ci-après, qui en fonction des
contraintes de site, indiquent les possibilités d'utilisation des dispositions.
- l'information "bien adaptée" traduit le fait que la disposition peut être utilisée pour la
contrainte sans prise de précautions spéciales.
- pour une disposition qu'on n'est pas très sûr d'être adaptée à une- contrainte, ou pour
laquelle contrainte, ou pour laquelle contrainte il faut prévoir des dispositions spéciales,
l'information est "possible".
- l'information "déconseillée" indique pour une disposition générale, une incompatibi-lité avec
une contrainte.
Avant de passer à la présentation des tableaux, signalons qu'ils ne sont pas établis de
manière formelle : les plages d'utilisation sont données approximativement.
Ce tableau s'applique quand la ressource utilisée est un cours d'eau ou un plan d'eau.
13
Tableau no3 : compatibilité des dispositions générales avec la vitesse de l'eau
Vitesse (m)
O a 0.5 0.5 à 1 là2 plus de 2
Disposition
En charge bien adaptée bien adaptée déconseillée déconseillée
Tableau no4 bis : compatibilité des dispositions générales avec le débit solide
Pour le cas d'un plan d'eau, le transport solide est seulement fait de corps flottants en
surface.
14
Pour ces deux tableaux, une contrainte n'est prise en compte que si elle est présente sur le
site.
Pour les cours d'eau et les plans d'eau, l'exposition du site au vent et autres risques,
constitue une contrainte dont ilfaut tenir compte.
Disposition
Feu exposé 1 Sûr
~
En charge 1 déconseillée 1 déconseillée 1 possible 1 ~~~
bienadaptée
~
La fondation du site est une contrainte qui a une incidence importante sur le Génie Civil des
stations.
Fondation Alluvions
Roche Sables Vases
Disposition franches
1 En charge 1 ~~
bien adaptée
~ ~
1 bien adaptée 1 déconseillée 1 déconseillée 1
En aspiration bien adaptée bien adaptée déconseiilée déconseillée
Le tableau est pris en compte quand la ressource est un plan d'eau ou un cours d'eau.
Tableau no7 : Compatibilité des dispositions générales avec le niveau stabilisé dans
les puits et forages
NS (m) *
Disposition
0à5 1 5à7 1 7 à 20 20 à 50 plus de 50
En charge
bien adaptée possible déconseillée déconseillée déconseillée
Arbre vertical
En charge
possible possible bien adaptée bien adaptée déconseillée
groupe immergé
Exhaure-Reprise possible bien adaptée bien adaptée bien adaptée bien adaptée
Pour qu'une disposition soit réalisable il faut qu'il existe, pour chaque contrainte du site, une
compatibilité (bien adaptée ou possible) entre la disposition et la contrainte.
- Toutes les dispositions autre que la disposition en Aspiration nécessite une régulation
automatique.
16
CHAPiTRE 3 : CHOIX DES POMPES
3.1. Introduction-
La pompe est i'élément central dans une staüon d e pompage : c'est le coeur d e la --on.
Le projeteur, après avoir determine une disposition générale: doit maintenant déterminer la pompe
qui réponde aux besoins du projet.
17
3.4. Choisir une vitesse de rotation
-,
Electrique
débit (Ils) > 1000 10 à 1000 1 à 100
HMT (m) < 100 10 2 300 10 à 300
Diesel
débit (Ils) - 20à200 10 à 50
HMT (m) 10 à 100 10 à 50
La sélection d’un groupe moto-pompe suppose comme préalable, le choix du site d’implantation de la
station de pompage. II s’agit de choisir dans le catalogue d’un constructeur la machine hydraulique qui
convient le plus au problème à résoudre. C’est un processus en trois étapes comprenant :
- La description du besoin ;
- La recherche de la pompe correspondant au besoin décrit ;
- l’étude du fonctionnement de l’installation équipée de la ou les pompe(s) choisie(s) ;
La sélection d’une pompe s’appuie sur des données de bases qu’il faut d’abord rassembler. Le tableau
de la figure N”9 rappelle celles à prendre en compte pour le pompage de l’eau.
L‘objet de ce chapitre est de permettre au lecteur de maîtriser les principes, les critères et les
démarches permettant de conduire convenablement chaque étape de la sélection.
-
3.5.1 -1 Choix du type de groupe
L'assainissement n'est pas indue dans la présente étude, mais pour une future extension
les conditions des deux tableaux sont prises en compte.
Verticalisé D P P P P P D BA
Arbre P BA D D BA BA D D
Vertical
Immergé BA BA D D D D D D
forage
Immergé BA P BA D P P P P
épuisement
Immergé D P BA D P P P P
exhaure
Immergé D D BA D P P D D
hélice
Puits ou forage profond
Lorsqu’on doit pomper de l’eau d’un forage ou d’un puits profond, les types de groupes possibles
sont :
- groupes de surface, si le niveau dynamique de l’ouvrage n’est pas a plus de 7 m du niveau du
terrain naturel;
- groupes immergés de forage, les groupes à ligne d’arbre verticale, ou groupes submersibles si le
niveau dynamique de l’ouvrage est à plus de 7m du niveau du terrain naturel.
Données topociraphiaues
Circuit hvdrauliaue
Nature de l’eau
Température moyenne
Eau chargée ou eau claire ? Si eau chargée, préciser la nature de la charge.
Eau corrosive ? abrasive ?
Viscosité et poids spécifique
Environnement qéneral.
Altitude moyenne
Température moyenne
Utilisation prévue de l’eau
Sources d’énergie possible
Catalogues de constructeurs de pompes
Capacité de la pompe
Débit à pomper
Hauteur manométrique totale
Si la ressource est une eau de surface ou un puits peu profond, le choix du type de groupe doit
prendre en compte la clarté de l’eau :
Pour de l’eau claire, si la distance verticale de la côte minimale du plan d’eau à la côte d’implantation
présumée de la pompe ne dépasse pas 7 m, il est préférable d’utiliser des groupes de surface en
charge ou en aspiration. Ils sont fiables, ont des bons rendements et sont économiques. On peut aussi
utiliser des groupes immergés de forage en installation horizontale ou des groupes submersibles mais
ils ne se justifient pas dans ces conditions.
20
Lorsque le niveau minimal du plan d'eau de la ressource se trouve à plus de 7 m en-dessous de la côte
d'implantation présumée de la pompe, on peut choisir entre les groupes à ligne d'arbre verticale, les
groupes submersibles et les groupes immergés de forage.
Pour le pompage des eaux chargées, les groupes submersibles s'imposent. Ils présentent les
avantages suivants : II n'y a aucun risque de désamorçage et de colmatage de la conduite d'aspiration
qu'on aurait par exemple avec les groupes de surface. Ils ne nécessitent qu'un génie civil léger et
fonctionnent avec un faible niveau de bruit. Toutefois, des groupes de surface équipé de roue a large
section de passage peuvent aussi être utilisés.
Diagramme de la figure N o l19 permet, pour les groupes de surface, de déterminer le type de pompe de
série en fonction du débit à pomper et de la hauteur manométrique totale. Pour les groupes spécialisés,
le diagramme de la figure 120 No permet d'adapter plus précisément le type de groupe au besoin. Dans
ce dernier cas, le type de roue devant équiper la pompe peut être choisi en considérant la valeur de la
vitesse spécifique ou la nature du liquide à pomper.
Lorsqu'on doit pomper un liquide corrosif, il faut choisir le corps de pompe et la roue en acier inoxydable.
Si le liquide est abrasif, il faut préférer le matériau fonte ou un matériau moins dur avec les pièces
d'usure en contact avec le liquide revêtues de caoutchouc ou de polyuréthanne. Si le liquide n'est ni
abrasif ni corrosif, c'est le bronze qui convient.
II convient d'abord, de définir la côte d'implantation des pompes et la côte du point de refoulement de
l'eau. II faut ensuite, définir les tracés et les diamètres des conduites d'aspiration et de refoulement.
Enfin, il faut faire le choix des singularités du réseau.
Les critères d'implantation des pompes ne sont pas les mêmes pour les groupes de surfaces, les
groupes spécialisés (groupes immerges, groupes à ligne d'arbre vertical, groupes submersibles). Les
groupes de surface doivent être en permanence hors d'eau. Ils sont par conséquent implantes soit au-
dessus du niveau-des plus hautes eaux (station en aspiration), soit au-dessous du même niveau
(station en charge) dans un abri protégé des inondations.
Les fabricants de groupes spécialisés proposent dans leurs catalogues, des types d'installation pour leur
matériel. II n'est pas mal de s'y conformer, mais ilfaudra de plus s'assurer que le tirant d'eau au-dessus
des groupes est suffisant pour éviter la formation de vortex pendant le pompage. La conséquence en
serait le désamorçage de la pompe.
Nous avons déjà dit que la conduite d'aspiration doit être courte. II convient d'ajouter que son tracé doit
être régulier, sans contre pente, et comporter le moins de singularités possible.
21
400
a
(D
__
H
ri
N
w
Fibüre 12: detemination des diamètres des concknteç d’aspkatgmet de refoatément
600
500
400
300
250
200
160
120
1 O0
80
60
50
40
30
25
20
1 1,2 1,6 2 3 4 5 6 8 1012 1620 30 40506C 80100 140 200 300
C é b i t en litres par seconde
24
L'étude du tracé de la conduite de refoulement doit permettre de fixer définitivement le point de la
conduite de refoulement à considérer pour le calcul de la HMT. Ce point peut être différent du point où
on veut amener l'eau s'il y a un point haut intermédiaire important. Pour s'en assurer, il faut tracer la
ligne piézométrique de la conduite de refoulement : si cette ligne piézométrique passe au-dessous du
profil en long au niveau d'un point haut, alors ce point haut est celui de refoulement de la station. II faut
alors adopter la côte du terrain naturel en ce point comme côte imposée de la ligne piézométrique ; elle
servira a la détermination de la hauteur géométrique de la station de pompage
Le point de refoulement de l'eau peut être le point le plus défavorisé d'un réseau sous pression un canal
à ciel ouvert, ou un réservoir à niveau variable. Lorsque le point de rejet est un réservoir à niveau
variable, il faut déterminer les niveaux hauts et bas dans ce réservoir. Lorsque le point de rejet fait partie
d'un réseau, il faut connaître non seulement la côte de rejet mais la pression de service en ce point.
On peut déterminer les diamètres des conduites d'aspiration et de refoulement de chaque pompe, ainsi
que le diamètre du collecteur, en se référant au graphique de la figure N"121. II donne les débits
maximaux admissibles. Le diamètre de la conduite de refoulement de l'installation se détermine a l'aide
des formules de détermination des diamètres économiques données en annexe.
Débit à pomper
Le débit total de la station de pompage se détermine aisément à partir des consommations spécifiques
et a l'aide de formules et méthodes de calculs fournies dans les cours d'adduction d'eau potable et
d'irrigation. Le nombre de pompes dans la station dépend de la modulation du débit en fondion du
temps et du mode de régulation choisi ; il permet de fixer le débit d'une pompe.
La hauteur manométrique se détermine une fois que le circuit hydraulique est défini à partir des formules
vues au chapitre 4 sur le fonctionnement d'une installation de pompage.
Découlant de ce qui précède, les informations à fournir pour décrire le besoin sont données ci-après.
II faut se reporter à un catalogue de constructeur. II vaut mieux choisir le catalogue d'un constructeur
bien représenté dans le pays, ayant une bonne réputation, et qui offre bien sûr, le produit désiré.
26
Dans le catalogue du constructeur, il faut d'abord choisir une série de pompes. Les constructeurs
présentent en effet différentes séries de pompes selon le domaine et les conditions d'utilisation. Pour
choisir, il faut ccmparer les spécifications du besoin avec la description générale des pompes de chaque
série fournie par le constructeur.
Le choix de la vitesse d'entraînement de la pompe doit être fait en ayant à l'esprit que les groupes à
grandes vitesses d'rntraînement ont des NPSHr élevés et s'usent vite d'une part, qu'à travail égal les
groupes a grande vitesse sont pius peiits dont moins chers à l'achat.
La fréquence du courant dans les pays francophone est en général de 50 HZ. Dans les pays anglo-
saxons, elle est de 60 HZ.
Dans le diagramme synoptique le modèle de pompe qui convient au projet se trouve à l'intersection de
la vertical passant par la valeur du débit désiré et de i'horizontale passant par la valeur de la nauteur
manométrique totale calculée dans les conditions les plus défavorables. (fi9 122)
La désignation des modèles est généralement codée, mais la grille de décodage est toujours donné
dans le catalogue du constructeur.
Courbes caractéristiques
Pour déterminer !es courbes caractéristiques, il faut se reporter au diagramme particulier du modèle.
Pour les pompes de surface, le diagramme particulier présente les courbes caractéristiques du modèle
de pompe en fondion des différents diamètres de roue pouvant équiper le modèle. Elles sont souvefit
présentées sur un plan verticale, les unes au-dessus des autres. On peut ainsi le long de
la verticale passant par un débit donné et a l'intersection des courbes correspondant à une roue
donnée, lire la pression, la puissance âbsorbée, le rendement et le NPSHr.
Pour déterminer le diamètre de la roue, on utilise uniquement la plage du diagramme donnant les
caractéristiques débithauteur en fonction du diamètre de la roue. L'intersection de la verticale passant
par la valeur du débit désiré et de l'horizontale passant par la valeur de la hauteur manométrique totale
tombe généralement entre deux courbes caractéristiques correspondant à deux diamètres de roues
différents. On peut adopter ia courbe immédiatement au-dessus de ce point d'intersection comme
courbe caractéristique de la pompe . Le diamètre de la roue correspond généralement au chiffre indiqué
un extrémité de wurbe. Ce choix implique un débit plus élevé que le débit objectif au point de
fonctionnement.
On peut aussi adopter comme courbe hauteur débit de la pompe celle immédiatement en bas du point
d'intersection. Le diamètre de la roue se déduit alors comme dans le premier cas. Mais ce choix
implique un débit plus faible que le débit objectif au point de fonctionnement. Le choix entre les deux
options doit être fait en considérant la possibilité de modification de la durée de pompage et les
rendements au point de fonctionnement
27
B
400
a
(D
300
H
11
200
100
50
40
. <
. . ..
. .
On pourrait ordonner un rognage de la roue supérieure pour s’adapter exactement au point voulu. Nous
le déconseillons en Afrique Pour trois raisons : premièrement, c’est une opération de professionnels qui
ne peut être réalisée partout; deuxièmement, faire la commande au constructeur pourrait revenir
l
beaucoup plus cher que d’adopter tout simplement une roue de son catalogue ; enfin, il est rare qu’une
station de pompage fonctionne au même point de fonctionnement tout le temps.
i
Pour les groupes ligne d’arbre vertical, les courbes caractéristiques sont données par nombre
d’étages pour différents diamètres de forage. Les courbes hauteuddébit sont données par étage et pour
différentes vitesses de rotation du moteur. II faut d’abord déterminer la hauteur manométrique par étage
et ensuite isoler la courbe permettant d’élever le débit voulu a cette hauteur.
Pour les groupes immergés de forage, les courbes caractéristiques du modèle correspondent pour
différents diamètres de forage à des tranches de débit et de hauteur. Une première plage du diagramme
permet de choisir le nombre d’étages nécessaire pour élever le débit voulu a la hauteur manométrique
totale du projet. Une deuxième plage du diagramme permet, en fonction du débit a pomper de
déterminer le point de fonctionnement par étage de l’installation
Pour les groupes submersibles, les courbes caractéristiques de certains modèles sont présentées
comme celles des pompes de surface et doivent être exploités de la même manière. Four d’autres, les
courbes caractéristiques donnent plutôt les plages d’utilisation du modèle en fonction du débit et de la
hauteur. Elles permettent seulement de déterminer la puissance du moteur d’entraînement de la pompe.
Si on veut avoir les caractéristiques habituelles, il faut en faire la demande au constructeur.
Y
*)
Autres caractéristiques
II faut relever les caractéristiques du modèle qui sont nécessaires pour l’étude du génie civil, l’étude
économique de la station et le calcul des coûts de transport. II s’agit notamment des principales côtes
d’encombrement, des diamètres des orifices d’aspiration et de refoulement de la pompe, du poids et
des paramètres électriques du moteur d’entraînement.
La pompe a été choisie avec le couple (Q.H) correspondant au point de fonctionnement défavorable.
Mais le point de fonctionnement est l’intersection de la courbe caractéristique débit hauteur de la ou des
pompe(s) et de la courbe caractéristique réseau de l’installation. Cette dernière est une parabole de
concavité tournée vers le haut et dont nous connaissons un point : celui ayant servi au choix de la
pompe. II nous suffit maintenant de déterminer deux autres points pour construire la courbe.
29
On recalcule la HMT de l'installation pour deux autres débits, l'un à 20 % au-dessus, l'autre à 20 % au-
dessous du débit désiré. En joignant les trois points dans la plage du diagramme correspondant à la
caractéristique débdhauteur, on détermine le point de fonctionnement, à l'intersection avec la
caractéristique de la ou des pompe(s). Le point de fonctionnement est caractérisé par les paramètres Q,
H, D,q et NPSH, qui peuvent tous être lues sur le diagramme.
Le point de fonctionnement étant connu, on vérifie qu'il n'y a aucun risque de cavitation . Pour cela, on
calcule le NPSHd au point de fonctionnement et on s'assure que l'on a bien NPSHd > NPSH,. Si ce
n'est pas le cas on redimensionne certains éléments de l'installation (conduite d'aspiration, hauteur
d'aspiration) et on refait la vérification. Si l'insatisfaction persiste, il faut changer de pompe.
Lorsque la pompe choisie satisfait au test de non cavitation au point de fonctionnement le plus
défavorable, on passe à l'étude du point de fonctionnement favorable. Cette étude n'est pas nécessaire
pour les pompes hélicocentrifuge, et les pompes a hélice. Le point de fonctionnement favorable
correspond, rappelons le, à la situation où la hauteur
géométrique de l'installation et les besoins en eau sont a leurs valeurs minimales. Dans l'exemple du
pompage dans une rivière pour l'irrigation d'un périmètre, cela correspondrait au niveau de crue
maximale de la rivière et a une irrigation d'appoint par pompage.
La hauteur manométrique totale est la somme de la hauteur géométrique calculée entre les plans d'eau
maximum a l'aspiration et minimum au refoulement, et des pertes de charge calculées avec les besoins
minimum du périmètre.
Pour trois débits bien choisis, on calcule les hauteurs manométriques totales correspondantes et on
trace la courbe caractéristique réseau de l'installation. Son intersection avec la courbe caractéristique
débiühauteur de la pompe est le point de fonctionnement de l'installation. Le point de fonctionnement
est caractérisé comme ci-dessus par les grandeurs Q, H, 7 et NPSH,. Ici, il faut vérifier la condition de
non cavitation et comparer les puissances absorbées en fonctionnement le plus défavorable et en
fonctionnement favorable.
La puissance absorbée la plus importante servira de base pour fixer la puissance installée du moteur
II n'est pas nécessaire d'étudier le fonctionnement favorable. II faut seulement déterminer le diamètre de
la roue, le point de fonctionnement le plus défavorable, la puissance et les caractéristiques électriques
du moteur d'entraînement.
30
Fiqure 14: étude du point de fonctionnement
31
.. . . ._
~~~~~ ~~~
32
CHAPITRE 4 : CHOIX DES DISPOSITIONS PARTICULIERES
4.1. Introduction
Dans la dernière phase d'établissement de son projet, le projeteur doit prendre certaines
dispositions spéciales afin de garantir un bon fonctionnement de la station.
En fonction des résultats et choix précédents certaines précautions doivent être prises.
Ces précautions se traduisent par la mise en place de dispositifs de protection.
II s'agit essentiellement de prendre les dispositions et ce, dans le cas des eaux de surface,
pour protéger la prise de la pompe afin d'éviter au maximum le transport solide. Le choix de ces
dispositions dépend du tirant d'eau à l'étiage (TEE). Le tirant d'eau à l'étiage est la profondeur
maximale des eaux en période de plus basses eaux :
Si TEE > = 2 m : la prise peut être établie sans précaution spéciale sur la rive.
Si TEE est de 1 a 2 m : installé un dispositif de prise en queue de poisson ou utiliser un
groupe d'épuisement en exhaure.
Si TEE est de 0,5 à 1 m : si le fond est assez dur pour y creuser un chenal on reconstitue un
fond de deux mètres sinon établir un barrage de reprise.
Si TEE < = 0,5 m : un barrage de reprise est nécessaire.
Les tableaux ci-après donne les diverses protections possibles à l'amont et à l'aval de la
station de pompage
A = adapté
P = possible
33
4.4. Protection contre les incidents d'oriqines éledrhues
-
Disjoncteur Relais à minimum discontacteur Sectionneur
d'intensité différentiel
manque ou A
inversion de
phase
Mise SOI
MlSe sous tension A
Isolement moteur A A
et discontacteur
Sous-intensité A
SurintençitA
ntensité A
A= adapté
A. DONNEES DE BASE
II faut disposer du profil en long de la conduite, montrant aussi la ligne piezomètrique entre le
ballon et le réservoir.
On connaît l'équation de la caractéristique liant les valeurs de cote et débit entre ballon et
réservoir.
On peut rendre adimensionnel les débits et les cotes en divisant les premier par Qo, les
seconds par P s L'équation devient
A est un coefficient sans dimension qui rend compte de l'importance du coup de bélier.
35
dimension qui rend compte des pertes de charge dans la conduite de refoulement.
AP = - y- Q,,L
à l'instant initial, on peut donc écrire -
P avo
On a alors :
B est un nombre sans dimension qui rend compte de la capacité de détente du ballon de
protection.
36
Régimes Pression absolue Volume d'air
Initial PO vo
(dynamique)
Pression minimum "min Vmax
(fin de vidange)
Pression maximum Pmsr Vmi"
Final Ps vc;
B. OBJECTIFS DE LA METHODE
S'il apparaît par endroit des pressions relatives négatives, voir si elles peuvent être
comblées par exemple par une aspiration auxiliaire. Dans le cas contraire on peut adopter une
protection par ballon.
-
C.3. Déterminer la surpression maximal (Pmax) a ne pas dépasser au ballon.
On trace la ligne de surpression admissible en décalant le profil en long vers le haut d'une
valeur égale à celle de la pression maximale admissible du tuyau.
Pmax est défini par la ligne horizontale évitant tout risque sur la conduite
C.4. Calculer A et K
37
C.5. Construction de la liqne de cavitation en variables réduite
P min
B et -pour K et A sont déterminés par interpolation selon les schémas suivants
ps
U
B pour K
I I A1 I A2
22
I
FiPrnin
Pmin
U
P min P min
pour K pour K
ps ps
38
Pmin
De -on détermine Pmin, puis la cote piezometrique minimale au ballon égale a Z ballon
PS
+ Pmin - 10,33.
v,, = v, p)
pmll
IJY
avec y = 1,2
Pmax - P
On connaît A, B et K par les calculs précédents. On calcule ' , puis on sélectionne
PS
les abaques qui conviennent aux valeurs de K.
La valeur de Kr pour A et K est détermine par interpolation selon le schéma donne en C5.
C.8.Durée de la vidanqe
Pour A, B et K on détermine dans l'abaque no 13 la valeur de a et on calcule la durée de la
vidange par la formule.
L
T=cc.-.A
a
39
4.6. Déterminationdes qroulies électroqènes
Les groupes sont répartis dans 4 classes de service correspondant chacun à un type
d’usage.
II faut dans ce cas soigneusement choisir la puissance du groupe et ne lui faire subir aucune
surcharge.
SERVICE C :
Service quotidien inférieur ou égal à 12 heures. Durée totale annuelle limitée à 2 O00 heures.
SERVICE D :
40
Tension foumie :
k 1,5 % de la nominale pour un facteur de puissance compris entre 0,T et 1 et une charge
équilibrée à 10 % près.
- distribution intermittente
6 h /24 h : éclairage
Un seul groupe pourra suffÏr (prévoir cependant la coupure pour l’entretien, pendant
quelques jours par an).
- distribution semiconünue
12 h/24 h : éclairage, quelques besoins artisanaux, quelques quelques services
(pompage).
Deux groupes suffisent en général si la puissance minimale se situe entre 50 et 100 YOde
la puissance nominale de base.
- distribution continue
24 h/24 h dans les agglomérations où existe une activité industrielle et artisanale
suffisamment importante.
Sinon, la nécessité de coupler oblige à choisir des groupes dont les puissances ne sont
pas dans un rapportn supérieur à 2.
En général, le neutre n’est pas couplé pour éviter la circulation des harmoniques entre les
machines.
- lampes de phase,
- sy nc hronoscope,
- voltmètre différentiel,
- coupleur contrôlant fréquence et tension avant couplage.
Environnement
Ces éléments vont avoir une influence sur la puissance et sur le type de refroidissement
(aéro, eau + échangeur eau).
Choix de la puissance
Un groupe de puissance P est donc dimensionne pour fournir sous 400 volts :
. les aiternateurs admettent en général un impact compris entre O et 2 fois leur puissance
nominale (la chute de tension transitoire instantanée peut alors atteindre 25 %.
Le calcul à mener consiste à déterminer le cas le plus défavorable pour la puissance active,
à venfier que cette marche transitoire est admissible par le groupe pour la marche à régime établi
ou à déterminer un nouveau groupe dans le cas contraire.
Exemple de dimensionnement :
43
Le régime transitoire le plus défavorable est le démarrage aléatoire du compresseur.
Le groupe a retenir devra pouvoir satisfaire aux besoins en régime établi et en régime transitoire
L’économie d’une installation de pompage comprend les coûts d’investissement, les coûts
d’exploitation et les coût d’amortissement.
II s’agit de toutes les dépenses initiales au titre des fournitures et des travaux nécessaires pour la
réalisation de la station de pompage.
a)Energie
44
Coût de I’énerqie et des consommables
Le prix de du fuel et des consommables varie d’un pays à un autre. Le prix de l’énergie électrique annuel est
donné par une formule du type :
CE=TF* P+TP*t*P
CE = coûts énergétiques annuels ;
TF = terme fixe du tarif applicable en FCFA par KW souscrit par an.
P = h s s a n c e de l’installation en KW
t = durée annuelle de fonctionnement en heures
TP= terme proportionnel du tarif applicable en FCFAKWh consommé
BT 20 083 57 108
Triphasé 4 fils
Moyenne tension 44 370 43 94 A
b) Entretien
Frais d’entretien
Les dépenses de réparation et d’entretien normal pour les moteurs peuvent se déduire par les formules
empiriques suivantes, à paxtir du prix d’achat A
- moteurs thermiques : une révision équivalente à 8% de la valeur d’achat tous les 1000 heures de
fonctionnement ;
- moteurs électrique : une révision équivalente à 1% de la valeur d’achat toutes les 1O00 heures de
fonctionnement.
Frais de surveillance
4.7.3.Amortissements
Le Génie Civil comprend des massifs, des bâtiments et la tuyauterie ( toute nature). On admet
forfaitairement une durée de vie de 30.000 heures.
i
Cl=
1-(1+$" .Y,
Exemple
7
Taux Nbre Taux Nbre Taux
d'année 3'amor- i'année d'a mor- 'année i'amor-
tissement tissement :issement
Y3 % %
1-Moteur diesel de +
de
100 cv
11,3 6 19,7 4 28,2
d) Amortissement de l'emprunt
46
d) Amortissement de I’emrmnt
i
a= XE
1- (1 + i)-”
47
GROUPE DE POMPAGE
48
- groupe immergé
I
1
fibres longues
k Roue dilacératrice
l
presse étoupe
1_1
Etanchéité par garniture mécanique
t
Description du besoin
- Type de groupe
- Type de pompe.
v - Hauteur manornétnque totale - Débit
- Vitesse de rotation + 'I
- Nature étanchéité au passage de l'arbre
49
1 2. SPECIFICATIONS TECHNIQUES DETAILLEES DU GROUPE 1
oui
Cavitation?
Calcul NPSHd
l t
,
Point de fonctionnement
Tracer la caractéristique des pompes favorable
-Tracer la caractéristique réseau t
P - caractéristique nbre minimum
50