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Ministère de l’enseignement
supérieur et de la recherche
scientifique
A mes parents
Merci :
INTRODUCTION………………………………………………………………..….………..5
CONCLUSION……………………………………………………………………………..68
BIBLIOGRAPHIE………………………………………………………….………………77
WEBOGRAPHIE…………………………………………………………….…………….78
ANNEXE……………………………………………………………………………………79
Les réseaux à très haut débit sont un facteur de compétitivité et de croissance pour
les territoires. Par leurs très grandes capacités de transmission dans les deux sens,
ils libèrent les échanges et permettent les usages simultanés et le partage de
documents professionnels ou personnels.
Aussi, le développement des nouveaux usages et services tels que le "triple-play"
nécessite dorénavant des débits que le réseau téléphonique traditionnel ne permet
pas d’offrir. Dans un marché des télécommunications en pleine essor, le réseau
d’accès constitue le pivot essentiel pour la distribution des débits souhaité pas les
usagers et la stabilité des applications haut débit. Dans ce contexte, la refonte des
réseaux d'accès n'apparaît plus aujourd'hui comme une alternative, mais constitue
une condition essentielle au maintien de l’attractivité numérique des territoires.
Cependant, Les débits actuels des réseaux d’accès existants sont limités et les
usages numériques nécessitent de plus en plus de débit. Pour y remédier, le projet
<< ETUDE ET DEPLOIEMENT D’UN RESEAU FTTH MIXTE :
Cas de la cité des Arts de COCODY>> a été initié.
Le projet va répondre aux questions :
- Quels sont les processus de déploiement d’un réseau FTTH et comment
l’optimiser ?
- Comment s’effectue le raccordement final des abonnés ?
Pour mener à bien notre projet, nous identifierons d’abord les insuffisances des
réseaux d’accès actuels, ensuite nous procéderons au choix d’une technologie
d’accès adapté aux exigences du marché et enfin une étude descriptive de la
solution choisie accompagnée de sa valorisation.
I.1.1 Le projet
Grâce au développement du haut débit, nous laissons derrière nous les souvenir de
la lenteur des modems de première génération. Avec le développement de la fibre
optique, la qualité des connexions fait encore un bond en avant. De quoi s’agit-il et
comment fonctionne-t-elle ?
Les connexions haut et très haut débit ont permis de fluidifier et accélérer les
communications. En transportant les données à la vitesse de la lumière, sur un
signal lumineux conduit dans une fibre de verre ou de plastique plus fine qu’un
cheveu, le FTTH permet un débit environ 100 fois plus élevé que le réseau ADSL! Le
terme s’utilise lorsque la fibre est déployée du nœud de raccordement optique (là où
les équipements de transmission de l’opérateur sont implantés) jusqu’à l’abonné. Le
FTTH se distingue de l’ADSL, qui utilise des réseaux en cuivre combiné à la fibre
optique.
La boucle locale peut être réalisée de plusieurs manières. Les principales familles
sont :
— le câble métallique aérien ou en conduite sous terre ;
— la fibre optique aérienne ou en conduite sous terre ;
— la radio utilisant différents systèmes radio (différentes méthodes d’accès,
différentes fréquences, etc.).
La boucle locale en câble métallique cuivre est la méthode historique la plus connue
et répandue qui a été utilisée pour la fourniture de services de téléphonie.
Le raccordement entre l’abonné et le point de distribution le plus proche s’effectue à
l’aide de câbles métalliques en cuivre. Ces câbles peuvent être :
— sous-terre utilisant des conduites bien spécifiques et traversant des chambres
destinées à permettre le tirage, la division et le raccordement des câbles ;
— aériens ; cette solution est adaptée aux zones où le génie civil ne peut être
envisagé ou dans le cas de solutions provisoires
La fibre optique a été introduite dans les réseaux de télécommunications depuis plus
de vingt ans. Elle a été stimulée par l’apparition des réseaux Internet qui ont mis en
évidence les insuffisances en termes de débit des réseaux Cette insuffisance a été
clairement sentie avec l’accroissement rapide de la demande des services intégrant
sur le même support la voix, les données et la vidéo. La fibre optique présente
plusieurs particularités techniques qui font d’elle le support le plus prisé aujourd’hui :
— sa très grande bande passante (tout le spectre lumineux) permettant la
transmission des débits très élevés (jusqu’à 1 Gbit/s pour les fibres multimodes ces
débits sont dépassé actuellement avec le NGPON) ;
— sa faible atténuation qui permet d’atteindre de longues distances sans
régénération du signal ;
— son insensibilité aux rayonnements électromagnétiques ;
— son faible encombrement du point de vue masse et diamètre ;
— son insensibilité à l’humidité.
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Contexte du projet
Notre projet consiste à déployer un réseau d’accès haut débit pour desservir à une
cité
Nous avons effectué une visite en vue de réaliser une étude optimale. Cette visite a
permis de faire l’état des lieux, car il s’agit d’une cité déjà desservie par infrastructure
télécom. Nous avons également interrogé les habitants et les techniciens chargés
de la maintenance dans cette zone. Cette démarche nous a permis d’en ressortir les
informations suivantes :
- Le réseau d’accès actuel présent sur le site est limité en termes de débit à
offrir aux habitants de cette zone.
- Réseau saturé.
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Au regard du constat que nous avons fait lors de la visite de la cité, il importe de se
poser les questions suivantes : comment et par quel support pourrait-on fournir un
meilleur accès aux services de télécommunication à la cité des Arts ?
12
Le dernier tronçon vers l’utilisateur du réseau actuel qui connecte les locaux du
client au reste du réseau de l’opérateur est principalement composé de la
technologies et ADSL. Les insuffisances de cette technologie sont inhérentes à la
nature des liaisons mises en œuvre. Cependant étant limité en termes de débit et de
portée, cette technologies n’offre pas des conditions optimales pour un service stable
et performant pour l’utilisation des applications gourmands en bande passante et
inter actif.
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Pour l'opérateur :
· Elle lui évitera des dépenses énormes liées aux travaux de génie civil ;
· Bien adaptée dans les régions rurales à faible densité de population ainsi que dans
les zones urbaines.
Pour le client :
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AVANTAGES INCONVENIENTS
Faible travaux de génie civil Sensible aux hydrométéores tels
1,6 à 5 kilomètres de rayon que les fortes pluies et les
5 à 10 Mbit/s masques
15
- Le segment terrestre est constitué de hub et des stations terrestres. Elle est
constituée de trois éléments : une antenne satellite fixe ; une tête satellite contenant
un système électronique pour gérer les signaux en émission et en réception ; un
boitier intérieur pour gérer les connexions entre les équipements des utilisateurs et le
satellite
- Le segment spatial, quant à lui, représente les liens établis à la fois en partant et en
venant du satellite. Le fait d’utiliser un satellite géostationnaire pour la couverture
permet d’avoir une large couverture. Ceci rend possible la création du réseau global
à une échelle intercontinentale très rapidement.
16
Avantages Inconvénients
- VSAT permet d’offrir tous types de - Coût élevé
services - Temps de latence
- Systèmes très évolutifs - Couverture fixe
- Débits jusqu’à 155Mbits/s - Asymétrie de la liaison
- Une panne du HUB paralyse le
réseau
- Liaisons sensibles aux
hydrométéores tels que les fortes
pluies et les masques ;
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18
19
Une étude comparative des technologies sus évoqués nous permettra de justifier le
choix de la technologie d’accès pour le présent projet.
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Notre choix s’est fait par rapport de la technologie la plus adaptées à nos besoins. La
technologie de la fibre optique a été retenue à cause de sa capacité à transporté plus
d’informations sur de plus longue distance et sa grande capacité en bande passante.
Aspect technique :
Aspect économique :
Aspect environnemental :
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Le cœur et la gaine sont habituellement faits de verre ultra-pur, bien que certaines
fibres soient faites totalement en matière plastique ou composées d’un cœur de
verre et d’une gaine plastique. Le cœur est conçu pour avoir un indice de réfraction
supérieur à celui de la gaine, un paramètre optique qui est une mesure de la vitesse
de la lumière dans le matériau. L’indice de réfraction inférieur de la gaine fait se
courber les rayons lumineux lorsqu’ils passent du cœur à la gaine et provoque la
réflexion totale interne pour piéger la lumière dans le cœur à un certain angle, lequel
définit l’ouverture numérique de la fibre. La fibre de verre est couverte d’un
revêtement de protection en plastique appelé revêtement secondaire (buffer coating,
en anglais) qui la protège de l’humidité et d’autres dommages. Davantage de
protection est fournie par le câble qui maintient les fibres et les éléments de renfort à
l’intérieur d’une couche protectrice externe appelée enveloppe.
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Le verre est constitué de deux parties : le cœur optique d'un diamètre 9 micromètres
sur les structures monomodes et une gaine optique de diamètre 125 micromètres.
L'ensemble verre, plus revêtement thermoplastique constitue ce qu'on appelle la fibre
nue. Le revêtement est appliqué lors de la fabrication de la fibre, il est conservé tout
au long de la vie de la fibre. Il n'est retiré que pour des opérations très spécifiques,
des opérations d'épissurage ou connectorisation. Immédiatement après ces
opérations, la fibre est reprotégée, soit par des manchons, soit par le corps même du
connecteur.
24
Dans un câble, les fibres sont identifiées par leur couleur, cette couleur est soit un
mince film coloré rajouté sur la fibre, soit directement la couleur du revêtement
secondaire teintée dans sa masse. Ce deuxième procédé dit Colorlock présente une
bien meilleure résistance dans le temps.
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27
28
FIGURE 10: Affaiblissement en fonction de la longueur d’onde
29
Bande passante
La capacité de transmission de l’information de la fibre multimode est limitée par
deux composants distincts de dispersion : le composant modal et le composant
chromatique. La dispersion modale provient du fait que le profil d’indice de la fibre
multimode n’est pas parfait. Le profil à gradient d’indice a été choisi pour permettre
théoriquement à tous les modes d’avoir la même vitesse de groupe ou vitesse de
passage sur la longueur de la fibre. En faisant que les parties extérieures du cœur
aient un indice de réfraction plus faible que les parties intérieures du cœur, les
modes d’ordre supérieur accélèrent à mesure qu’ils s’éloignent du centre du cœur,
compensant ainsi leur plus long chemin.
L’indice de réfraction
Lorsqu'un faisceau lumineux heurte obliquement la surface qui sépare deux milieux
plus ou moins transparents, il se divise en deux: une partie est réfléchie tandis que
l'autre est réfractée, c’est-à-dire transmise dans le second milieu en changeant de
direction.
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C'est ce principe qui est utilisé pour guider la lumière dans la fibre. La FO comprend
ainsi deux milieux : le cœur, dans lequel l'énergie lumineuse se trouve confinée,
grâce à un second milieu, la gaine, dont l'indice de réfraction est plus faible.
Le câble fournit aux fibres une protection contre le stress lors de l’installation et de
l’environnement une fois qu’elle est installée. Les câbles peuvent contenir d’une à
plusieurs centaines de fibres. Les câbles sont disponibles en trois variétés : gainage
serré avec un revêtement plastique épais sur les fibres pour leur protection,
principalement utilisé à l’intérieur ; câble à gaine intermédiaire flottante, où les fibres
avec seulement un revêtement secondaire se trouvent à l’intérieur de tubes en
plastique ; câble à ruban, où les fibres sont transformées en rubans pour permettre
de petits câbles avec le plus grand nombre de fibres possible.
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35
Les systèmes de transmission à fibres optiques utilisent des liaisons de données qui
travaillent de manière similaire au schéma ci-dessus. Chaque maillon de fibre se
compose d’un émetteur sur une extrémité d’une fibre et d’un récepteur à l’autre
extrémité. La plupart des systèmes fonctionnent par transmission dans un sens sur
une fibre et dans le sens inverse sur une autre pour un fonctionnement en duplex
intégral. Il est possible de transmettre dans les deux sens sur une fibre mais il faut
pour cela des coupleurs et la fibre est moins chère que les coupleurs. Les réseaux
optiques passifs FTTH (PON) sont parmi les seuls systèmes utilisant la transmission
bidirectionnelle sur une seule fibre, car leur architecture de réseau est basée autour
de coupleurs.
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Les sources utilisées pour les émetteurs de fibres optiques doivent répondre à
plusieurs critères : elles doivent être à la longueur d’onde correcte, être capables de
moduler suffisamment rapidement pour transmettre des données de manière efficace
et être couplées à la fibre.
Quatre types de sources sont couramment utilisés, LED, lasers Fabry-Perot (FP),
lasers à rétroaction répartie (DFB) et émetteurs-récepteurs à base microlaser
(VCSEL). Tous convertissent les signaux électriques en signaux optiques, mais sont
par ailleurs des dispositifs tout à fait différents. Toutes les quatre sont de minuscules
dispositifs semi-conducteurs (puces). Les LED et VCSEL sont fabriqués sur des
plaquettes semi-conductrices de telle sorte qu’ils émettent de la lumière à partir de la
surface de la puce, tandis que les lasers DFB et PF émettent du côté de la puce, à
partir d’une cavité laser créée au milieu de la puce.
37
Les LED ont des puissances beaucoup plus faibles que les lasers et leurs modèles
de lumière en sortie, plus grands et divergents, les rendent plus difficiles à coupler
aux fibres, ce qui les limite à un usage en fibres multimodes. Les lasers ont des
sorties de lumière plus petites et plus resserrées et sont faciles à coupler à des fibres
monomodes, ce qui les rend idéaux pour les liaisons longue distance à haute
vitesse. Les LED ont beaucoup moins de bande passante que les lasers et sont
limitées aux systèmes d’exploitation à environ 250 MHz ou à 200 Mb/s. Les lasers
ont une capacité de bande passante très élevée, la plupart d’entre eux étant utile à
des valeurs bien supérieures à 10 GHz ou 10 Gb/s.
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- Le système - La maintenance
permet de d'une fibre peut
regrouper jusqu'à concerner
128 abonnés sur plusieurs
une seule fibre abonnés.
PON optique. - La bande
- Le coût de passante d'une
déploiement est fibre est partagée
réduit
- la rapidité du
déploiement
- Réserver aux
zones à densité
élevées
- Meilleure - coûts
sécurité d'installation plus
- Débit garanti élevés
- Evolution plus - Implémentation
P2P simple vers des onéreuse
débits plus élevés - le déploiement
est plus lent
- Débit élevé - Nécessite un
amplificateur et un
multiplexeur actif
- Architecture très
AON complexe
- Gros
investissement
pour le routeur et
le switch
Principes de déploiement
Les études technico-économiques sur les différents scénarios de déploiement d’une
architecture point à multipoints ont montré l’impact de l’occupation des ports PON
sur les coûts. En effet les équipements de centre sont aujourd’hui encore coûteux ;
minimiser leur nombre lors du déploiement initial permettra à la fois de lisser
l’investissement et de bénéficier au mieux de la baisse du coût des OLT dans les
années à venir.
D’autre part, un réseau point à multipoints étant par nature figé et peu flexible, il est
nécessaire de penser à son évolutivité dès sa conception afin que celle-ci ne s’avère
pas trop pénalisante et coûteuse par la suite. Il ne faut pas cependant, que la prise
en compte de cette évolutivité soit rédhibitoire pour la rentabilité du réseau en phase
de déploiement.
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Définitions
- PTO (Prise Terminale Optique) : prise optique du client. Elle est reliée au Pb
par un câble de branchement mono-fibre.
- PB (Point de Branchement) : placé au plus près du client final, c’est le premier
point de flexibilité rencontré en remontant vers le NRA. C’est à partir de ce
point que les clients sont raccordés au réseau par un câble individuel (le câble
de branchement). Ce point n’intègre jamais de fonction de couplage.
- BTI (Boitier de Transition d’Immeuble) : placé en pied d’immeuble, le BTI est
avant tout un point de brassage à l’interface entre la Boucle Locale et le
câblage d’immeuble permettant de garantir l’interopérabilité de l’immeuble
avec les autres opérateurs. Côté réseau, le BTI permet de recevoir le(s)
câble(s) d’adduction de différents opérateurs tiers afin de les raccorder au
câblage de la colonne montante. Côté clients, il est le point de départ du
câblage vertical d’immeuble qui va permettre de desservir les PB auxquels
seront branchés les clients. Le BTI permet ainsi de brasser les FO issues du
réseau vers n’importe quel client de l’immeuble. Il peut intégrer une fonction
de couplage (de 2e niveau).
- Pour les pavillons et les immeubles de petite taille, on utilisera des BTI, dits
BTI d’îlot qui seront installés à l’extérieur (sur trottoir, en façade …) ou dans
un local technique tiers. Ces BTI d’îlot sont actuellement en cours d’étude et
vont être expérimentés.
- PA (Point d’Aboutement) : placé dans une chambre à proximité des
immeubles,
- PE : permet d’éclater un câble pour desservir plusieurs immeubles. Son rôle
est de permettre d’optimiser et d’apporter de la flexibilité au réseau PON.
- PDZ (Point de Distribution de Zone) : c’est le point de flexibilité le plus en
amont du réseau PON. Il est situé à un point de convergence de
l’arborescence de génie civil en amont d’un groupe de PE qui lui sont
rattachés. C’est le siège du premier niveau de couplage.
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Le budget optique entre l’équipement centre (OLT) et l’équipement client (ONT) doit
être compris entre 13 et 28 dB aux deux longueurs d’ondes 1310nm et 1490 nm.
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- 0,1 dB pour une épissure soudée (s’il y a au moins dix soudures en cascade)
La perte d’insertion maximale à 1,3µm apportée par les coupleurs est la suivante :
Taux de couplage
- Les règles d’implantation des coupleurs sont précisées dans la suite de notre
document
46
III.6.1.2.1 Le pointage
Cette étape consiste à identifier sur un fond de plan le nombre d’équivalents
logements dans chaque immeuble et à en déduire le potentiel de clients PON pour
chaque adresse.
47
48
Ces équivalents logements seront raccordés au réseau FTTH via un BTI multi-
immeubles, dit BTI d’îlot. La taille de ces BTI sera limitée à 24 équivalents
logements.
o Casage
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51
La méthode « pas à pas » qui repose sur une approche plus fine qui nécessite, au
préalable sur la zone à traiter, le dimensionnement exhaustif des zones d’influence
de PE,
La méthode « globale » qui repose sur une approche prenant en compte les
potentiels par ZSR cuivre, méthode à réserver pour les zones annexes à celles
retenues pour un déploiement immédiat. Elle permet de prévoir les modules
supplémentaires à mettre en attente pour le traitement ultérieur de ces zones
annexes.
52
Nbre FO transport = Arrondi sup. [(Σ Nbre FO utiles (FU) nécessaires en distri 1) /8]
• limite les risques de dérangement, toute intervention dans un PDZ (pose d’un
nouveau C1 par exemple) ne pourra affecter les autres PDZ alimentés par ce même
câble de transport,
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Dans cette architecture, les coupleurs C1 seront installés dans l’armoire passive
implantée au NRA.
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L’ingénierie applicable sera alors totalement identique à celle mise en œuvre pour
les clients derrière PDZ.
Il n’y a pas de préconisation a priori, ce sont les éléments « terrain » qui amèneront à
choisir l’emplacement des PDZ.
- si la chambre possible pour le siège de PDZ est facile d’accès et n’est pas
saturée.
Du fait des coûts encore élevés des ports PON, la conception du réseau recherchera
donc à optimiser l’utilisation de ces cartes, c'est- à-dire s’approcher le plus possible
des 64 clients raccordés par port, l’objectif minimum étant un taux de remplissage de
50% des équipements PON.
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On pourra adapter le nombre de C1 en fonction des PRI prévisibles sur la zone. Par
exemple si on a de nombreux PRI d’ilot, le troisième C1 ne sera peut être pas utile.
On pourra aussi privilégier les PE ayant beaucoup d’immeubles d’au moins 25
équivalents logements.
Bien que cette modalité ne porte que sur le transport et la distribution de niveau 1, on
parlera ici de l’évolutivité du NRO jusqu’au BTI
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58
59
TYPE Immeuble X
D’HABITATION
Maison basse X
Duplex X
60
24
4
12
12
18
24
5
12
12
7
4
24
24
12
o 20 villas pavillonnaires
o 6 bâtiments de 12 appartements
o 1 bâtiment de 18 appartements
o 4 bâtiments de 24 appartements
o 1 immeuble de 26 appartements
Il faut noter que les bâtiments sont constitués de blocs de 6 logements avec chaque
bloc disposant de sa colonne montante.
Découpage et dimensionnement
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Pb2/6FO
Pb3/6FO
12
Pb20/6FO
Pb21/6FO
12
144FO/72U
Pb6/6FO Pb17/6FO
18
24
Pb18/6FO Pb19/6FO
Pb15/6FO
Pb16/6FO
Pb13/6FO 12
Pb14/6FO
12
5
7
Pb3/6FO Pb4/6FO
24
Pb5/6FO
4 Pb8/6FO Pb6/6FO
Pb9/6FO
24 Pb10/6FO
Pb11/6FO
Pb1/6FO Pb2/6FO
12
144FO/TOD1
144FO/TOD2
PDZ
Sachant que la distribution ne peut contenir que 144 brins de fibre au PDZ et
connaissant le nombre d’équivalent logement (220 logements), le découpage de
notre site se fera en deux blocs avec une distribution pour chacun de ces blocs soit
144Fo par bloc.
Quantification
- 6 PA
- 2 Câbles 144FO
- 1 Câbles 72FO
- 2 Câbles 48FO
- 32 Câbles 6FO
- 35 PB
62
63
65
66
67
68
Pour faire face à toute ces difficultés, il nous a fallu avoir recours à nos
connaissances théoriques, collaborer avec des personnes expérimentées et parfois
à faire appel à notre ingéniosité.
Nous retenons que la FTTH constitue aujourd’hui le socle et le pilier qui permet au
réseau d’accès de monter en haut débit.
Ce travail étant une œuvre humaine, ne manque pas d'imperfections. C'est pourquoi
nous restons ouverts à toutes vos suggestions et remarques afin à des fin
d’amélioration d'atteindre la perfection.
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AON : Active Optical Network : Architecture de réseau FTTH mettant en œuvre une
double étoile active et des composants électroniques actifs dans le réseau d’accès.
B
Base station : station de base Son rôle est de commander un certain nombre
d’antenne
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HFC : Hybrid Fiber Coax Architecture de réseau large bande basée sur l’introduction
de technologies optique sur le transport, tout en assurant la distribution finale vers
les abonnés par des technologies coaxiales arborescentes
LAN : Local Area Network ce terme désigne un réseau informatique local qui relie
des ordinateurs dans une zone limitée, comme une maison, école, laboratoire
informatique, ou immeuble de bureaux.
OLT : Optical Line Termination Terminaison optique du réseau d’accès située dans
le central de rattachement
72
Pigtail : Les pigtails ont les mêmes caractéristiques que des cordons, à la différence
qu'ils ne sont connectorisés que d'un seul côté. Ils permettent le raccordement par
épissurage mécanique ou fusion
VSAT: Very Small Aperture Terminal; terminal à très petite ouverture d’antenne
désigne un système de télécommunication qui utilise des antennes paraboliques
73
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N° DESCRIPTION PAGE
11 réfraction de la lumière 30
13 Câbles intérieur 33
16 Câbles intérieur-extérieur 35
75
18 Système de transmission 36
20 Bilan énergétique 39
76
N° DESCRIPTION PAGE
8 Présentation du site 59
77
DOCUMENTS :
78
SITES INTERNET :
http://www.lafibresfr.fr/page.php?url=pourquoi_la_fibre visité le
12/01/2018
https://www.memoireonline.com/11/15/9288/m_Deploiement-d-
un-reseau-d-acces-a-fibres-optiques-dans-la-commune-de-
Matete-par-la-technologie-FTTH23.html visité le 12/01/2018
https://www.techniques-ingenieur.fr/base-
documentaire/archives-th12/archives-reseaux-et-
telecommunications-tiate/archive-1/boucle-locale-te7400/ visité
le 27/01/2017
http://www.leclere.fr/etude-de-cas/solution-fil-acces-internet-
par-faisceau-hertzien/ visité le 27/02/2018
http://www.vendeenumerique.fr/comprendre-le-numerique/les-
solutions-alternatives/le-wimax/ visité le 01/03/2018
79
80
81
82
83
84
85
86
87
88
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90
91
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CONCLUSION...................................................................................................................... 69
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