Vous êtes sur la page 1sur 23

Sommaire

Liste de figures.......................................................................................................................................3
Liste des tableaux...................................................................................................................................4
Introduction Générale............................................................................................................................5
Chapitre 1 : Etude bibliographique.........................................................................................................6
I. Introduction................................................................................................................................7
II. Présentation de l’entreprise d’accueil........................................................................................7
II.1. Présentation générale..........................................................................................................7
II.2. Historique SNDP......................................................................................................................7
II.3. Chiffre clé de SNDP..................................................................................................................7
II.3. Organigramme générale..........................................................................................................8
II.4. Les différents produits commercialisés par la SNDP................................................................9
II.5. Présentation du dépôt d’hydrocarbures liquides de la goulette..............................................9
III. Présentation du projet :........................................................................................................10
III.1. Fuel Oil Lourd et Gasoil Ordinaire.........................................................................................10
III.1.1. Fuel Oil Lourd.................................................................................................................10
III.1.1.1. Densité....................................................................................................................10
III.1.1.2. Viscosité..................................................................................................................10
III.1.1.2.1. Viscosité cinématique :....................................................................................11
III.1.1.2.1.1. Mesure de la viscosité cinématique :........................................................11
III.1.1.2.1.2. Expression des résultats............................................................................12
III.1.1.2.1. Viscosité dynamique........................................................................................12
III.1.1.2.1.1. Mesure de la viscosité dynamique............................................................12
III.1.1.2.1.2. Expression des résultats............................................................................13
III.1.1.3. Point éclair..............................................................................................................13
III.1.1.4. Point d’écoulement................................................................................................13
III.1.1.5. Teneur en soufre.....................................................................................................13
III.1.2. Gasoil Ordinaire.............................................................................................................13
III.2. Soutage.................................................................................................................................13
Conclusion générale.............................................................................................................................16
Bibliographie........................................................................................................................................17
Annexe.................................................................................................................................................18
Liste de figures
Liste des tableaux
Introduction Générale
Chapitre 1 : Etude bibliographique
I. Introduction 

II. Présentation de l’entreprise d’accueil 


II.1. Présentation générale 
La Société Nationale de Distribution des Pétroles AGIL S.A. est une entreprise publique
ayant pour mission la commercialisation des produits pétroliers et de leurs dérivés sous le
label AGIL. Elle fait partie des grandes entreprises publiques tunisiennes qui, par leur
dynamisme et la diversité de leurs activités, soutiennent l’économie nationale et lui assurent
une croissance continue. Avec un chiffre d’affaires HT de 1 647 millions de dinars en
2014, AGIL S.A. joue un rôle d’avant-garde sur la voie du progrès et de l’excellence dans
laquelle s’est engagée la Tunisie de l’ère nouvelle.

En développant ses activités, AGIL S.A. a fini par occuper la première place parmi les
entreprises du secteur, tant par le volume de ses ventes que par l’importance de son chiffre
d’affaires et le savoir-faire de ses ressources humaines et s’emploie constamment à consolider
cette position en offrant à ses clients la meilleure qualité de produit et de service.

AGIL S.A. est présente partout à travers ses 206 stations-service réparties sur tout le territoire
tunisien, ses 54 stations portuaires et ses 6 dépôts aéroportuaires [*].
II.2. Historique SNDP 
 1960 : Création de la société internationale AGIP S.A. Tunisie par le groupe italien
ENI.
 1963 : Acquisition de 50% du capital de la société AGIP S.A Tunisie par l’Etat
tunisien.
 1975 : Achat du reste du capital de la société AGIP S.A par l’Etat tunisien.
 1977 : Changement du nom et du statut d’AGIP S.A pour devenir « la Société
Nationale de Distribution des pétroles ».
 2000 : La Société Nationale de Distribution des pétroles devient une société anonyme.

II.3. Chiffre clé de SNDP

Les chiffres sont faits au 31/12/2016 :


 Chiffre d’affaires : 1 393 Millions DT HT
 Effectif : 1154
 Nombre de stations-service : 210
 Nombre de stations portuaires : 54
II.3. Organigramme générale
Président Directeur Général

Assistance direction générale Secrétariat Permanent Commission des Marchés

Bureau d’ordre central Section relations extérieurs

Direction veille Coordination Direction Stratégie, études et Direction audit Département communication Service contrôle
technologique Management Qualité contrôle de gestion interne et relations publiques qualité informatique

Directeur Général Adjoint

Direction Supply et Marketing Direction financière Direction gestion des contrats et commandes

Direction carburants Direction des affaires juridiques Direction des projets et services techniques

Direction gaz Direction des ressources humaines Département hygiène, sécurité et environnement

Direction aviation Direction système d’information et organisation

Direction lubrifiants et produits spéciaux Département médical


II.4. Les différents produits commercialisés par la SNDP 
Les produits commercialisés par la SNDP sont nombreux :
Produits Désignations Marques
JET A1 (JET) Hydrocarbures Liquides pour les AGILAIR
transports aériens
LUBRIFIANTS (LUB) Huiles et Graisses AGIL & AGIP
CARBURANTS (CAR) Hydrocarbures Liquides AGIL
GPL en VRAC (GPL) Gaz de Pétrole Liquéfiés AGILGAZ

II.5. Dépôt d’hydrocarbures liquides de la goulette 


II.5.1. Présentation
Le dépôt AGIL est situé dans la zone pétrolière de Rades sur un terrain d’une superficie de
23500 m², il comporte 80 employés, c’est un parc de stockage des produits pétroliers. Les
activités principales du dépôt :

 Réception des produits


 Le stockage des produits pétroliers
 Chargement des produits
 Chauffage des produits (fuel uniquement)
 Le contrôle des produits
 Transfert des produits

II.5.2. Les unités du dépôt AGIL 


Nous présentons les unités du dépôt dans le tableau ci-dessous :

Zones Unité Equipements


Zone A Production vapeur Chaudière, adoucisseur, Bach à eau.

Zone B Chargement 3 rampes de chargement


Zone C Pompage 6 salles de rampe, 26 pompes
Zone D Alimentation TGBT
Zone E Stockage 26 réservoirs repartis sur 5 cuvettes

II.5.4. Processus de déroulement :


Le transport des hydrocarbures jusqu’au dépôt AGIL de la goulette est assuré par les navires
pétrolières, les canalisations et le chemin de fer. Les canalisations se sont des pipelines,
arrivés d’une station de départ de Zarzouna (STIR) vers le dépôt de longueur de 71 km qui
assurent le transport des produits vers la zone de réception. Alors que le premier transfert des
carburants de la zone de réception vers la zone de stockage est assuré par les installations de
pompage qui sont stockés dans des réservoirs de capacité allant jusqu’à 10000m3. Alors que
l’autre transfert est entre les cuves et les rampes de chargement, en effet les vannes donnent
accès à l’acheminement de notre liquide qui doit être pompé par les pompes de transfert, qui
sont des pompes centrifuges. Le chargement se fait au niveau des rampes dans des camions
citernes, puis le transport des produits depuis le dépôt de stockage jusqu’au les stations de
service, l’aéroport Tunis etc.

III. Les hydrocarbures


III.1. Notion D’hydrocarbures
Un hydrocarbure est un composé organique contenant exclusivement des atomes de carbone
(C) et d'hydrogène (H). Ils possèdent en conséquence une formule brute de type : CnHm, où n
et m sont deux entiers naturels [**].

III.2. Classification des hydrocarbures 

On peut distinguer :
 les hydrocarbures saturés : les alcanes
 des hydrocarbures possédant une ou plusieurs instaurations : les alcènes, les alcynes
et les composés aromatiques.

On peut également faire la distinction entre les hydrocarbures linéaires ou ramifiés.


Tableau 2 : les composées chimiques du pétrole

Composé chimique Utilisation Formule brute et


représentation de Lewis
Les alcanes (ou paraffine) Quasi-totalité des gaz CnH2n+2 (liaison simple)
naturels et essentiel des
pétroles usuels.
Les alcènes (ou oléfines) matières de base des CnH2n (double liaison)
plastiques, solvants,
cosmétiques…
Les alcynes Agents de synthèse en CnH2n-2 (triple liaison carbone-
laboratoire. carbone)
Les naphtènes (ou cyclo Solvants et intermédiaires de CnH2n
alcanes) la pétrochimie.
Les aromatiques Solvants et produits de départ
pour divers procédés
industriels.
IV. Stockage d’hydrocarbures
IV.1. Stockage
Le stockage du pétrole ou du gaz (et des produits pétroliers) consiste à immobiliser
temporairement certains volumes de produit dans des appareils à pression ou réservoirs selon
que le produit stocké est ou n’est pas sous-pression.
Le stockage des ressources énergétiques est non seulement nécessaire pour compenser les
fluctuations d’approvisionnement dues à toutes sortes d’aléas lors de la production mais aussi
stratégique pour assurer un minimum d’autonomie énergétique.

IV.2. Bacs de stockage


Les bacs de stockage ou réservoir de stockage permettent de stocker un produit. Ils sont de
plusieurs formes, horizontales ou verticales, cylindriques ou sphériques. Les produits
pétroliers liquides sont généralement stockés dans des réservoirs cylindriques verticaux en
acier. Les produits à l’état gazeux eux sont plutôt stockés dans des capacités sphériques.
En ce qui concerne les bacs de stockage de produits pétroliers liquides, il en existe trois types
principaux en fonction de la nature du produit stocké. On a les réservoirs à toit fixe, les
réservoirs à toit fixe avec écran flottant interne, les réservoirs à toit flottant. [3]
Parmi les réservoirs à toit fixe, on distingue plusieurs types classés selon la nature du toit
(conique, sphérique ou en parapluie) ou le matériau utilisé pour la construction qui est
généralement de l’acier mais souvent dans certains cas que peut être de l’inox.

IV.3. Normes et référentiels de construction


Les normes de construction de bacs ou référentiels de construction sont des recueils de
recommandations et règles que l’on choisit avant la construction d’un bac. Suivre ces normes
de construction est un gage de qualité et de sécurité pour l’installation et pour les partenaires
commerciaux. Ces normes de construction sont actualisées chaque année et sont vendues
assez chères.
Il en existe plusieurs et on peut citer entre autres : le CODRES utilisé par les français et l’ «
API Standard 650 : Welded Steel Tanks for Oil Storage » utilisé par les américains. Ces
normes prennent en compte le choix du matériau de construction, le dimensionnement du bac
(toit, robe, virole, soudure et bien d’autres). Le client c’est-à-dire celui qui commande un bac
auprès du constructeur doit spécifier la norme selon laquelle il veut qu’il soit construit.
V. Présentation du projet :
La société national de distribution de pétrole SNDP AGILà ma proposé de faire un système
qui assure le mélange (Fuel Oil Lourd & Gasoil Ordinaire) dédié pour le soutage des bateaux
et navires, c’est pour cela la direction technique de la société m’a demandé de faire l’étude
mécanique, électrique et automatique pour ce système qui doivent être faire aux normes et aux
règlements d’aménagement et d’exploitation d’un dépôt de stockage d’hydrocarbures liquide.

III.1. Fuel Oil Lourd et Gasoil Ordinaire 


III.1.1. Fuel Oil Lourd
Les fiouls lourds (abrégés en FOL) sont des combustibles à haute viscosité souvent utilisés
par les gros moteurs Diesel installés à bord des navires ou pour alimenter les centrales
thermiques. Ils sont issus des coupes lourdes de la distillation du pétrole brut ; s'ensuit une
phase de distillation sous vide, une phase de viscoréduction et une phase de mélange et
d'apports d’additifs [].
Les fiouls sont aussi nommés en fonction de leur viscosité (à 50°C). On retrouve ainsi le fioul
180 (viscosité de 180cst à 50°C), le fioul 380 et aussi le fioul 450. L’annexe 1 nous donne les
caractéristiques des FOL utilisés par les moteurs des navires, ils possèdent plusieurs
caractéristiques commerciales qui sont la densité, la viscosité, le point éclair, le point
d’écoulement et la teneur en soufre.
III.1.1.1. Densité
C’est le rapport de la masse volumique d’un liquide à une température de référence de 15°C en
général sur la masse volumique du même volume d’eau à 15°C (sans unité). Les fiouls ont une très
large gamme de densité qui atteint sa valeur maximal 990.

III.1.1.2. Viscosité
La viscosité est définie généralement comme caractérisant la résistance à l’écoulement d’un
fluide, elle intervient dans tous les phénomènes liés à l’écoulement des fluides :
 Pompage
 Perte de charge dans les tuyauteries
 Filtration, décantation
 Ecoulement dans les vannes, les soupapes et tous les types de restriction

La viscosité est d’autant plus grande que la résistance à l’écoulement est élevée et, en raison
des différentes méthodes de mesure utilisées pour la déterminer, on distingue deux types de
viscosité : la viscosité cinématique et la viscosité dynamique.
III.1.1.2.1. Viscosité cinématique :
C’est la résistance à l’écoulement du fluide sous la gravité.
III.1.1.2.1.1. Mesure de la viscosité cinématique :
Les mesures de viscosité cinématique des hydrocarbures liquides se font au moyen de 2 types
de viscosimètre selon que le mélange est clair ou opaque :
 Le viscosimètre Ubbelohde à niveau suspendu pour les liquides transparents
 Le viscosimètre Cannon Fenske à écoulement inversé pour les liquides opaques

Figure 1 : Les viscosimètres Ubbelohde et Cannon Fenske


A titre d’exemple, les schémas ci-après font apparaitre la situation de l’appareil au
déclenchement et à l’arrêt du chronomètre.

Figure 2 : situation de l’appareil au déclenchement et à l’arrêt du chronomètre


Quel que soit l’appareil utilisé, cette mesure fournit un temps en secondes qui, multiplié par la
constante de l’appareil, permet d’obtenir directement la viscosité du produit en centistokes.
III.1.1.2.1.2. Expression des résultats 
La viscosité cinématique (mm²/s) = (temps d’écoulement, s) * (la constante d’étalonnage du
viscosimètre, mm²/s²)
III.1.1.2.1. Viscosité dynamique 
C’est le rapport entre la contrainte de cisaillement appliqué et le taux de cisaillement d’un
liquide.
III.1.1.2.1.1. Mesure de la viscosité dynamique 
Il existe de nombreux appareils permettant de mesurer la viscosité dynamique, dans la plupart,
le fluide est cisaillé entre deux surfaces, l’une fixe, l’autre mobile en rotation.
Le viscosimètre à cylindre coaxiaux est illustré ci-dessous à titre d’exemple.

Figure 3 : Le viscosimètre à cylindre coaxiaux

 Il comprend un cylindre fixe contenant le fluide et un cylindre mobile, immergé et


entrainé par un moteur (formé d’un rotor et d’un stator).
 Le stator est suspendu et maintenu par un ressort calibré qui s’oppose à sa rotation.
 Le couple de réaction subi par le stator est proportionnel à la viscosité du liquide et à
la température de mesure.
 Cela se traduit par un angle de rotation du stator visualisé par une aiguille ou une
indication numérique.
III.1.1.2.1.2. Expression des résultats 
La viscosité dynamique est obtenue en multipliant la viscosité cinématique mesurée par la
densité du produit concerné.

III.1.1.3. Point éclair


Le point éclair est la température minimale pour laquelle l’application de la flamme du test à la
vapeur de l’échantillon cause une étincelle sous les conditions spécifiées du test [3]. Alors que le
F.O.L a un point éclair supérieure à 70 °C.

III.1.1.4. Point d’écoulement


Il correspond à la plus basse température à laquelle il est possible de manipuler un fioul sans
qu’il y ait formation, dans la solution, d’une quantité excessive de cristaux de paraffine.

III.1.1.5. Teneur en soufre


Le soufre, élément naturellement présent dans le pétrole brut, est concentré dans le composant
résiduel du procédé de distillation du pétrole. En général, la valeur du soufre d’un fioul
résiduel à l’échelon mondial est de l’ordre de 2% à 4% m/m (Masse de soufre par masse de
produit). La teneur en soufre n’a aucune influence sur les performances énergétiques du fioul.
Il existe plusieurs autres caractéristiques que nous ne présenterons pas en détail telles que
l’aptitude à l’inflammation, l’énergie spécifique, la teneur en eau, en cendres, en vanadium et
sodium, en aluminium et silicium, le carbone résiduel et la stabilité.

III.1.2. Gasoil Ordinaire


Le gazole, gasoil, gas-oil, diesel, ou encore diésel (orthographe rectifiée de 1990), est un
carburant pour moteur à allumage par compression (moteur Diesel). Physiquement, c'est
un fioul léger et, réglementairement, un carburant (norme fiscale) issu du raffinage du
pétrole[].
Les caractéristiques restent similaires à celles mentionnées pour les fiouls lourds. Sa densité
se situe dans l’intervalle de 820 à 860, sa viscosité se situe dans l’intervalle de 2cst à 4.5cst et
son point éclair est de 55°C. Comme le fioul lourd le gasoil a une teneur en soufre non
négligeable même si les normes tendent à la rendre la plus petite possible. L’annexe 1 nous
donne les caractéristiques du gasoil au sein du SNDP Agil.
III.2. Soutage
Le soutage est l’opération qui consiste à prendre des hydrocarbures de soute ou « bunkers » à
bord d’un navire. Ces hydrocarbures de soute servent à la propulsion du navire. Le mot
soutage est lui-même très peu utilisé, son équivalent anglais « bunkering » étant beaucoup
plus répandu du fait que l’anglais règne dans le monde maritime.
Les hydrocarbures de soute sont divisés principalement en deux classes :
- Le MDO (Marine Diesel Oil) composé de produit résiduel (Fioul lourd) et produit distillé
(Gasoil) ;
- Le HFO (Heavy Fuel Oil ou Fioul Lourd Résiduel) [2].
L’opération de soutage a lieu grâce à un avitailleur (une barge) qui est une sorte de péniche
spécialisée dans le transbordement de carburant en ce qui concerne les ports ou les eaux
fluviales. En mer, cette opération se fait à quai, à partir de flexibles de chargement ou de bras
d’amarrage.
Chapitre 3 : Analyse fonctionnelle
I. Introduction

Le but de ce chapitre est d'établir le cahier des charges fonctionnelles, c'est-à-dire : définir et
préciser les objectifs du projet, les services attendus du système, les conditions d'utilisation,
de performances, les critères d'appréciation et enfin la constitution technique globale du
système par l'analyse fonctionnelle technique.

II. Le diagramme Bête à cornes 

Figure : Diagramme bête à cornes

III. Validation du besoin :

 Pourquoi ce besoin existe-t-il ? (À cause de quoi ?)


Dans quel but ?
 Pour charger les camions citernes par le mélange FBV.
Pour quel raison ?
 Pour le soutage des bateaux et navires.
 Parce que la cadence de production est très faible.
 Qu’est-ce qui pourrait le faire disparaitre? Le faire évoluer?
?????????????????????????????????
 Risque de voir disparaitre le besoin ? De le faire évoluer ?
 Au contraire, le marché est en progression.
 Difficile, cela dépend de l’environnement de l’industrie.

Conclusion : À moyen terme, le besoin est validé

IV. Diagramme SADT :


Le diagramme SADT est un outil graphique associé à une méthode d’analyse descendante
modulaire et hiérarchisée.
V. Le Diagramme Pieuvre

Figure : Diagramme de Pieuvre


Conclusion générale
Bibliographie 

[1] : Arrêté 1432 du 03 octobre 2010 relatif au stockage en réservoir aériens


manufacturés de liquides inflammables exploités dans un stockage soumis à
autorisation de la rubrique 1432 de la législation des installations classées pour la
protection de l’environnement.
[2] : Combustibles et Lubrifiants – Manuel de formation, SARL WATER KITS
SUPPLY, anonyme, 2005
[3] : Fascicule des analyses du laboratoire aux seins de SNDP AGIL S.A, page 19,
rédacteur Mariem FRADJ, Ingénieur au labo central.
[] : https://fr.wikipedia.org/wiki/Fioul_lourd#cite_note-1
[] : https://fr.wikipedia.org/wiki/Gazole
[*] : http://www.agil.com.tn/fr/httpdoc/agil-presentation.php
[*] : https://www.icours.com/cours/chimie/la-chimie-organique/les-hydrocarbures
Annexe  

Vous aimerez peut-être aussi