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La Commande Pleine Onde Des Onduleurs Association Avec Une Machine Asynchrone PDF
La Commande Pleine Onde Des Onduleurs Association Avec Une Machine Asynchrone PDF
Thème :
E-mail :hamane.bekhada@yahoo.com
Promotion 2008-2009
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Sommaire
Introduction générale 03
Description du travail 04
2
Introduction générale
important.
Il est largement favorisé par les progrès de l’électronique de puissance, aussi bien au niveau
commande.
Aujourd’hui, l’intérêt des chercheurs est porté sur les convertisseurs statiques dont la
fréquence de sortie peut être constante ou réglable suivant les types de structures. L’onduleur
de tension est l’un des structures le mieux adapté à des développements au niveau de la
Les progrès effectués dans l’électronique de puissance et son utilisation dans les onduleurs,
d’une source d’alimentation dont les caractéristiques sont figées. Parmi les applications les
plus répandues, c’est la variation de la vitesse de la machine asynchrone qui fait l’objet de
nombreux travaux de recherche. Cette dernière peut être réalisée soit à fréquence fixe ou
variable.
pouvoir obtenir une tension sinusoïdale, il est indispensable de filtrer ces créneaux contenant
une importante quantité d’harmoniques. Tout fois, l’utilisation d’un filtre LC est coûteux et
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Des recherches ont été entreprises pour l’amélioration de la distorsion harmonique de l’onde
de sortie des onduleurs de tension qui on permis une évolution importante de la conception
de ces onduleurs, en particulier dans leur commande avec l’apparition des techniques de
commande par MLI (Modulation de largeur d’impulsion). Elle permet de contrôler la valeur
Les onduleurs fonctionnant selon ce principe de commande sont appelés onduleurs à MLI. Le
tension de sortie.
Description du travail :
Dans la première partie on présente une étude générale sur les onduleurs et leurs
caractéristiques
Les calculs ont été faits sur un micro-ordinateur (Duel Core), en utilisant le langage de
programmation MATLAB 7.8.
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I.1 Introduction : [1] [2]
Un convertisseur statique est un montage utilisant des interrupteurs à semi-conducteurs
permettant par une commande convenable de ces derniers de régler un transfert d’énergie
entre une source d’entrée et une source de sortie. Suivant le type du récepteur à commander
et suivant la nature de la source de puissance, on distingue plusieurs familles de
convertisseurs statiques :
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I.3 Classification des onduleurs : [2]
Il existe plusieurs centaines des schémas d`onduleurs, chacun correspondant à un type
d`application déterminé ou permettant des performances recherchées. Les onduleurs sont en
général classés selon les modes de commutation de leurs interrupteurs.
En cas de défaillance du réseau. On les utilise dans les deux cas suivants :
Pour les installations qui nécessitent la continuité de l’alimentation : hôpitaux,
centraux téléphoniques, circuits de sécurité,...
Pour les appareils (ordinateurs, ...) qui exigent non seulement la continuité de leur
alimentation, mais encore la protection contre les perturbations du réseau de
distribution (variations de tension, parasites, coupures, ...).
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I.4.b Variation de la vitesse des moteurs à courant alternatif:
La source continue est obtenue par redressement du réseau. La fréquence et l’amplitude de la
tension sont variables, la vitesse des moteurs synchrones et asynchrones est directement liée à
la fréquence d'alimentation; un onduleur réglable en fréquence permettra donc de faire varier
la vitesse de ces moteurs.
Pour un bon fonctionnement des moteurs, il faut maintenir le rapport U/F constant
I.5.a Commande à onde rectangulaire : Pour la forme d’onde de cette commande, la valeur
efficace de la tension n’est pas réglable et dépend de la tension continue d’entrée.
I.5.b Commande en créneaux de largeur variable : Cette commande est obtenue par
l’association des ondes rectangulaires déphasées l’une par rapport à l’autre avec un angle
variable, d’où, une commande à trois états de sortie
La valeur efficace de la tension de sortie est variable en agissant seulement sur la durée du
créneau.
I.5.c Commande à paliers : Elle est constituée par la somme ou la différence de créneaux de
largeur variable. La forme générale se rapproche au mieux de la sinusoïde. Elle est nommée,
aussi, commande en marche d’escalier.
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I.6 Le principe de fonctionnement : [3] [4] [5]
Si l’on revient au concept d’une conversion continu-alternatif basée sur l’emploi d’une
électronique de commutation, on peut considérer, beaucoup plus généralement qu’il s’agit de
générer une onde de tension alternative en connectant cycliquement la sortie à un certain
nombre de sources de tension continue par l’intermédiaire d’interrupteurs. D’une façon plus
générale, on peut estimer qu’il existe deux moyens d’actions non exclusifs pour réaliser cette
conversion.
Le premier s’appuie sur l’utilisation directe d’une paire d’interrupteurs de base qui consiste à
régler la fréquence et la durée des interconnexions de la source avec la sortie. Il est donc
plutôt temporel et débouche sur les techniques de modulation de largeur d’impulsion. Le
second revient à contrôler l’amplitude soit de façon continue en créant une source réglable
(ce qui suppose l’existence d’un autre étage de conversion), soit de façon discrète en
disposant d’un nombre suffisant de sources.
I.6.a.1 Montage en demi-pont : Dans ce type de montage (figure I.6), on fait l’hypothèse que
la capacité C des deux condensateurs est suffisamment grande pour que l’on puisse considérer
qu’en régime permanent la tension à leur borne reste toujours égale à E/2.
I.6.a.2 Montage en pont : Il est constitué de deux cellules de commutation et la charge est
connectée entre les sorties S1 et S2 de chacune des deux cellules (figure I.7). La tension de
sortie est donc la différence entre les tensions élémentaires vs1 et vs2 de chaque cellule.
Le nombre de possibilités d’utilisation est élevé puisque chaque cellule est indépendante de
l’autre et peut, en particulier, recevoir des signaux de commande différents de ceux de la
cellule voisine. Chaque cellule peut fonctionner en modulation ou sans modulation, en
commande adjacente ou disjointe, avec des mécanismes de commutation différents dans la
mesure où le déphasage relatif du courant commun par rapport aux tensions issues des deux
cellules peut être différent dès lors que les commandes de ces deux cellules peuvent être
déphasées entre elles. Éliminons, pour simplifier, le cas des commandes disjointes (excepté le
temps mort nécessaire à la sécurité).
L’intérêt des montages en pont ou en demi-pont réside dans l’utilisation d’une seule source de
tension E.
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L’onduleur triphasé doit évidemment, en régime normal, délivrer un système de tension dont
les composantes fondamentales forment un système équilibré.
ܷଵ, ܷଶ, ܷଷ Sont les tensions de branches calculées par rapport à la borne négative de la
tension ܷா
Les tensions de branches uk0 (avec k=1, 2 et 3) peuvent être imposées par une commande
appropriée des commutateurs électroniques (contacteurs statiques), alors on peut calculer ces
tensions à la sortie de l’onduleur.
Dans une charge triphasée symétrique (sans composante homopolaire) avec point neutre
flottant, on a:
ܷଵ + ܷଶ + ܷଷ = 0 (I.3)
݅ଵ + ݅ଶ + ݅ଷ = 0 (I.4)
ܷଵ 2 −1 −1 ܷଵ
ଵ
൭ܷଶ൱ = ଷ ൭−1 2 −1൱ ൭ܷଶ൱ (I.8)
ܷଷ −1 −1 2 ܷଷ
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Selon la conduction des interrupteurs statiques ou des diodes dans une branche d’onduleur, les
tensions de branches peuvent être égales soit à UE ou à 0. Alors les tensions simples
appliquées à la machine peut être obtenues directement à partir des signaux de commande
(ܵ ,ܵ , ܵ) ou chacune prend la valeur 1 ou 0 comme suit :
ܷଵ 2 −1 −1 ܵ
൭ܷଶ൱ = ଷಶ ൭−1 2 −1൱ ൭ܵ ൱ (I.9)
ܷଷ −1 −1 2 ܵ
La valeur efficace d`une grandeur alternative non sinusoïdale est donnée par l`expression
suivante :
భ
்
ଵ మ
ܸ = ቂ் ∫ ܸଶ(ݐ݀)ݐቃ (I.11)
Facteur de distorsion :
భ
ଵ
= ܨܦ ቂ∑ஶୀଶ,ଷ,…( మ)ଶቃమ (I.14)
భ
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I.8 Le probleme de fitrage : [6]
La tension de sortie du convertisseur continu/alternatif n’est pas sinusoidale .En effet , les
semiconducteurs travaillant en commutation , la tension de sortie sera toujours constituée se
morceaux de tension continue
Cette tension non sinusoidale peut etre considérée comme la somme d’un fondamental plus
les harmoniques (que l’on ne souhaite pas) . Ces tensions harmoniques provoquent la
circulation de courants harmoniques.
L’objectif du filtrage depend du système considéré :
Dans le cas des ASI ,on souhaite une tension analogue à celle délivrée par le reseau donc
sinusoidale. On va donc filtrer la tension avec des condensateurs.
Dans le cas de variateurs de vitesse pour MAS ,on souhaite que le courant soit sinusoidale
pour eviter les couples harmoniques generateurs de pertes et de vibrations .On va donc lisser
le courant avec des inductances ,dans le cas des machines asynchrones ,l’inductance propre du
stator suffit generalement à assurer un filtrage convenable .
Pour ce fonctionnement la durée de conduction (ݐ ), d’un interrupteur (Ki) est de T/2 et elle
est constante.
La nature des interrupteurs dépend de la charge. Ils peuvent être commandés seulement au
blocage si la charge est inductive (amorçage si capacitive). Par contre si la charge est
quelconque les interrupteurs doivent être entièrement commandables. Mais dans tous les cas,
ils doivent être unidirectionnel en tension et bidirectionnel en courant.
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Il n’y a pas de possibilité pour régler la valeur efficace de la tension de sortie, pour obtenir
Vs(t) sinusoïdale, il faut ajouter un filtre de sortie pour éliminer les harmoniques 3, 5, 7, …
ఉ
ܸ௦ = ܸට1 − గ (I.16)
గ
Pour éliminer les harmoniques de rang 3, en choisissant : ߚ = ଷ
ସ. ఉ
ܸ௦(t)=∑∞
ୀ (ଶ ାଵ)గsin ((2 ܭ+ 1) ଶ)sin ((2 ܭ+ 1)߱)ݐ (I.17)
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I.9.b Commande pleine onde d’un onduleur triphasé (Commande 120) :
Pour commander cette machine asynchrone en une commande 120, chaque interrupteur doit
ଶ
être commandé à ଷ , voir les figures suivantes :
ଶగ
Les interrupteurs sont commandés à :
ଷ
ଶ
Figure I.10.1 : Commande des interrupteurs à ଷ .
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Les tensions simples de l’onduleur triphasé à commande 120 :
Figures II.10.2
II : Les tensions simples Va Vb, Vc de l’onduleur
l’onduleur.
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La tension composée VBC de l’onduleur :
Figures II.10.5:
II.10.5 La tension composée VCA de l’onduleur.
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L’objectif principal de ce chapitre, de disposer un modèle mathématique de la machine
asynchrone ne nécessitant pas de calculs complexes.
Dans un premier temps nous présentons les hypothèses simplificatrices et le modèle requis à
l’étude du moteur asynchrone à rotor bobiné, en suite nous introduisons une transformation
sur ce modèle via la transformé de Park dans le but de simuler le fonctionnement sain du
moteur.
II.1.a Hypothèse:
Le modèle dynamique de la machine asynchrone est établi en tenant compte des hypothèses
de base suivantes :
on suppose le circuit magnétique parfaitement feuilleté.
La saturation du circuit magnétique est négligeable.
la perméabilité magnétique du fer est infinie.
l’hystérésis et les courants de Foucault sont négligeables.
L'effet des encoches est négligé.
la force magnétomotrice, crée par les enroulements statoriques et rotoriques est à
répartition sinusoïdale le long de l’entrefer
Au stator : au rotor :
vsa isa sa vra ira ra
v R i d v R i d
(II.1) rb r rb (II.2)
sb dt
s sb
dt
sb rb
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Relations entre flux et courants:
Ces mêmes hypothèses simplificatrices entraînent les relations suivantes entre flux et
courants :
Au stator : au rotor :
sa isa ira ra ira isa
L i L i L i L i
sb ss sb sr rb (II.3) rb rr rb rs sb (II.4)
sc isc irc rc irc isc
Avec :
Lrs Lsr
T
(II.8)
II.2.b Les équations mécaniques :
L'expression du couple Cem dans le repère de Park s'écrit :
ଷ
= ݉݁ܥଶ ܲ ܯ൫݅ௗ ݅௦ − ݅ௗ௦݅൯ (II. 9)
L’équation du mouvement, reliant les parties électrique et mécanique s’écrit comme suit :
d t
J Cem t f v t Cr (II.10)
dt
d
(II.11)
dt
II.3 Transformation de Park appliquée à la machine asynchrone : [10]
A présent, nous allons procéder à une transformation de notre repère triphasé (abc) en un
repère biphasé orthogonal (dq). Cette transformation est obtenue par la projection des trois
phases de la machine sur le repère (dq) et effectuée à la matrice de transformation de Park.
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cos cos 2 / 3 cos 2 / 3
2
i i i
Au stator : au rotor :
vsd vsa vrd vra
v P v (II.13) v P v
sq sb rq rb (II.14)
vso vsc vro vrc
Les équations électriques deviennent :
Au stator : au rotor
dsd d s drd d r
v 0 R i rq
vsd Rs isd dt dt sq rd r rd
dt dt
v 0 R i drq d r
(II.15) (II.16)
v R i dsq d s
sq s qs
dt dt
sd rq s rq
dt dt
rd
Avec :
Ls ls lss
Lr lr lrr (II.19)
3
Lm lm
2
21
1
cos i sin i
2
2 1
P cos i 2 / 3 sin i 2 / 3
1
2
(II.20)
3
1
cos i 2 / 3 sin i 2 / 3
2
Avec :
1 1 s s
s m m
Ts Tr
( 1 )
1 s
m
s
s
m
Ts Tr
r 1 1
r m s m
Ts Tr
r r 1 1
m (s m )
Ts Tr
1 0 i ds
1 0 1 i V
X qs U ds
i
Ls r
0
dr V qs
0 r i qr
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III.1 Introduction :
Une fois le modèle mathématique de la machine asynchrone ainsi de l’onduleur est établi, nous
pouvons aborder l’aspect lié à la simulation de celles-ci. Pour effectué cette simulation nous
avons utilisé le logiciel MATLAB/SIMULINK et nous adoptons comme méthode de
résolution celle de Rung Kutta d’ordre 4, avec un pas d’intégration fixe pour résoudre le
système.
Dans ce cas nous avons effectué les simulations sur deux types de fonctionnement : à vide et
en charge (on à appliqué un couple résistant Cr=5 N.m à l’instant t=1 S).
La figure (III.1) représente le schéma bloc de la machine asynchrone alimentée par onduleur à
trois états.
Figure (III.1) : Schéma bloc de la machine asynchrone alimentée par onduleur à trois états.
Les figures (III.2) et (III.3) montrent les allures des tensions simples et composées à la sortie
de l’onduleur trois états pour (α=60°)
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Figures (III.2) : Les tensions simples Va Vb, Vc de l’onduleur.
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Les figures (III.4), (III.5) et (III.6) représentent les formes du courant de phase, la vitesse et le
couple de la machine asynchrone à vide pour (α=60°)
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Figure (III.6) : La forme du couple de la MAS à vide et son zoom
Les figures (III.7), (III.8) et (III.9) représentent les formes de courant de phase, la vitesse et le
couple de la machine asynchrone en charge Cr=5 N.m avec (α=60°)
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Figure (III.8) : La forme de la vitesse de la MAS en charge.
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Figure (III.10) : La tension de phase et son spectre en fréquence.
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Figure (III.12) : Le courant de phase et son spectre en fréquence.
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III.3 Interprétation des résultats :
A vide :
Le moteur n’entraîne pas de charge, pendant la période de démarrage le courant
absorbé par le moteur est important et il atteint le régime permanant au bout de 0.5
sec.
Le moteur tourne à la vitesse de synchronisme, qui présente la vitesse nominale
atteinte au bout de 0.5 sec.
En charge :
L’application d’une charge de 5 N.m à t =1 sec engendre une diminution de la vitesse
et une augmentation du courant statorique dés son application.
A partir des résultats obtenus, nous avons remarqué l’apparition des ondulations les
courbes des grandeurs temporelles (courant, vitesse) due à la présence des
harmoniques.
D’après le spectre de l’harmonique de tension, on remarque que les harmoniques
multiples de 2 et 3 sont disparues et pour éliminer les harmoniques d’ordre 5, 7, 11,
13,17… soit on utilise un filtre, soit une autre technique de commande plus
performante (MLI par exemple)
III.4 Conclusion :
Le travail présenté dans cette partie a fait l’objet d’une simulation de stratégies de commande
à pleine onde d’un onduleur alimentant un moteur asynchrone.
La tension de phase pour ce fonctionnement comporte des harmoniques impaires d’ordre
n= 2K+1 (K=0, 1,3….) et d’amplitude Vn=V1/n. Les harmoniques d’ordre trois et multiple de
trois disparaissent dans la tension entre phases. Un certain nombre d’inconvénients sont liés à
la présence de ces harmoniques sur les tensions qui alimentent les moteurs :
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Conclusion générale
Les onduleurs sont très utilisés dans l’industrie et touchent des domaines
d’application les plus variés, dans le plus connu est sans doute, celui de la
variation de la vitesse des machines a courant alternatif.
Ce travail est une contribution à l’analyse des onduleurs alimentant une machine
asynchrone.
Avant d’aborder cette étude, nous avons commencé par présenter le modèle de
la machine en vue d’une alimentation par convertisseurs statiques. La
modélisation de la machine asynchrone est basée sur le modèle de Park, ce qui a
permis de simplifier les équations de la machine électrique, les résultats obtenus
montrent bien la validité du modèle de Park pour la détermination des
différentes caractéristiques de la machine.
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Annexe
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4. Bloc d’un onduleur triphasé :
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Références bibliographiques
[1] : JMROUSSEL
[10] :P.BRUNET
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