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Projet: machine a courant continu

noms/prenoms sous la direction de


 DAME NGUER P28 2386  Monsieur Moustapha SENE
 OUMAR BALDE P28 212
 SOULEYMANE BORE P28
2702
 MONGOL AMBARY SABOUR
P27 2777

Année académique 2020/2021


PLAN
Introduction
I. Concept de base
1. L’induction
2. L’induit
3. Collecteur et balais
II. Modèles de Comportement
Les différentes machines à courant continu
a) Excitation série
b) Excitation shunte/parallèle
c) Excitation composée
d) Excitation séparée
. Etude des fonctionnements des machines
III

1. Fonctionnement en mode génératrice


a. Etude à vide

b. Etude en charge

c. Rendement

2. Fonctionnement en mode moteur


a. Etude à vide

b. Etude en charge

c. Rendement

IV. Modélisation des réseaux électrique, stabilité et perturbation.


1. Equation électromécanique du moteur
a. Equations électriques
b. Equations mécaniques
1. Equation électromécaniques dans le domaine de la place
2. Fonction de transfert du moteur
3. Stabilité
4. Perturbation
V. Applications des moteurs à courant continu
a. Moteur de série
b. Moteur de shunt
c. Moteur composée
Conclusion
INTRODUCTION

Une machine électrique est un dispositif électromécanique fondé sur


l’électromagnétisme permettant la conversion d’énergie électrique par exemple en travail
ou énergie mécanique. Ce processus est réversible et peut servir à produire de
l’électricité. La principale utilisation en est le moteur dont on contrôle facilement la
vitesse. Une machine à courant continu est une machine électrique tournante mettant en
jeu des tensions et des courants continus. Elle permet une conversion électromécanique
dans les deux sens. Ainsi :
 Lorsqu’elle convertit de l’électricité continue en mouvement de rotation, la machine
fonctionne en mode moteur.
 Lorsqu’elle convertit un mouvement de rotation en électricité continue, la machine
fonctionne en mode génératrice.
Cette présentation fera l’objet d’une étude complète et brève des machines à courant
continu en suivant une chronologie bien déterminée par notre plan d’étude.
I. Concept de base
Les machines à courant continu sont des machines réversibles, c'est à dire qu'elles peuvent
fonctionner indifféremment soit comme réceptrices (ou moteurs), soit comme
génératrices (ou dynamos).
Bien que la consommation d'énergie en courant continu soit importante (industrie
chimique, commande des moteurs à vitesse variable...), le fonctionnement en génératrice
est peu utilisé car ce courant est produit par des redresseurs.
En revanche, le fonctionnement en moteur est de plus en plus utilisé grâce au développement
des commandes électroniques.
La machine à courant continue comporte les parties principales suivantes :
• Une partie fixe appelée STATOR qui aura le rôle d'inducteur.
• Une partie mobile appelée ROTOR qui aura le rôle d'induit.
• Une liaison rotor - éléments extérieurs à la machine appelée COLLECTEUR.
L’induction

Il est formé soit d'aimants permanents en ferrite soit de bobines placées autour des noyaux
polaires. Lorsque les bobines sont parcourues par un courant continu, elles créent un champ
magnétique dans le circuit magnétique de la machine notamment dans l'entrefer, espace
séparant la partie fixe et la partie mobile, où se situent les conducteurs. Ce flux et ce champ
sont orientés du pôle Nord vers le pôle Sud.
Remarquons que le courant inducteur est aussi appelé courant d’excitation, et

que le fait de mettre en place le champ d’induction magnétique est aussi appelé
excitation de la machine.
Induit

Dans la machine à courant continu, le rotor joue le rôle de l’induit. Le noyau d’induit est
en fer pour canaliser les lignes de champ. Il est formé d’un empilement de tôles en
acier et d’un ensemble de cadres conducteurs qui coupent le flux magnétique, disposés
de telle manière que lorsqu’un coté est soumis au pôle nord, l’autre est au pôle sud.
Chaque tôle est un cylindre de quelques millimètres d’épaisseur dans lequel sont
découpées les encoches destinées à contenir le bobinage d’induit. Les cadres sont
répartis uniformément autour d’un support cylindrique pouvant entrer en mouvement
de rotation et qui est relié à l’arbre de transmission. Le rotor-induit de la machine
tourne donc entre les pôles de l’inducteur et est traversé par le courant induit, que l’on
note
Collecteur /balais

Le collecteur est un ensemble de lames de cuivre isolées, disposées sur l’extrémité du


rotor, les balais portés par le stator frottent sur le collecteur.
Model de comportement

Les différents types de machines à courant continu


Les moteurs à courant continu se différencient par la manière dont on fournit le courant
d’excitation. Les différents cas possibles sont :
a. Excitation série
Le circuit d’excitation est placé avec l’induit du moteur. Sa particularité est d’avoir un
inducteur qui est traversé par le même courant, l’inducteur possède donc une résistance
plus faible que celle des autres types de machines. L’inducteur est en série avec l’induit :
une seule source d’alimentation suffit. On change le sens de rotation en permutant les
connexions de l’induit et de l’inducteur.
Figure: Modèle électrique équivalent du MCC à excitation série
Le bobinage inducteur comporte dans ce cas peu de spires, mais il est réalisé avec du fil de
gros diamètre. Cette conception lui procure une très bonne
robustesse face aux vibrations et lui a valu un succès inégalé en traction ferroviaire.
Caractéristiques:
Démarrage fréquent avec couple élevé; couple diminuant avec la vitesse.
Ne jamais faire fonctionner le moteur série à vide car si « I = 0 A », alors « w » tend vers
l'infini.
• Domaines d'emploi :
Engins de levage (grues, palans, ponts roulants) ventilateurs, pompes, centrifuges;
traction.
b. Excitation shunte
L’enroulement d’excitation est connecté en parallèle sur l’alimentation du moteur, il
possède les mêmes propriétés que le moteur à excitation séparée du fait que, dans les
deux cas, l’inducteur constitue un circuit extérieur à celui de l’induit. Le circuit électrique
est représenté par la figure.
Figure: Modèle électrique équivalent du MCC à excitation shunte.
• Caractéristiques :
Couple constant quel que soit la charge.
Domaines d'emploi
Machines-outils, appareil de levage (ascenseur).
c. Excitation composée
Dans le mode composé, l’inducteur est divisé en deux parties, l’une connectée en série et
l’autre en parallèle.

Figure : Modèle électrique équivalent du MCC à excitation composée. L:


Excitation composée long, S: excitation composée courte
(short)
Caractéristiques :
Le MCC à excitation composée réuni les avantages du série et du shunte toute en
éliminant le phénomène d’emballement du série.
Entraînements de grande inertie.
Couple très variable avec la vitesse.
Domaines d'emploi :
Petit moteur à démarrage direct, ventilateur, pompes, machines de laminoirs, volants
d'inertie.
d. Moteur à excitation séparée
Ce mode d’excitation nécessite deux sources d’alimentations distinctes. L’alimentation de
l’enroulement inducteur est prise sur une source indépendante de la source principale. On
change le sens de rotation en permutant les bornes de l’induit ou de l’inducteur

Caractéristiques :
L'inducteur est alimenté par une source indépendante.
Grande souplesse de commande.
Large gamme de vitesse.
Utilisé en milieu industriel, associé avec un variateur électronique de vitesse et surtout
sous la forme moteur d'asservissement.
Fourni un couple important à faible vitesse.
Domaines d’emploi :
Machines-outils : moteur de (broche, d'axe). Machines spéciales.
d. Moteur à excitation séparée
Ce mode d’excitation nécessite deux sources d’alimentations distinctes. L’alimentation de
l’enroulement inducteur est prise sur une source indépendante de la source principale. On
change le sens de rotation en permutant les bornes de l’induit ou de l’inducteur

Caractéristiques :
L'inducteur est alimenté par une source indépendante.
Grande souplesse de commande.
Large gamme de vitesse.
Utilisé en milieu industriel, associé avec un variateur électronique de vitesse et surtout
sous la forme moteur d'asservissement.
Fourni un couple important à faible vitesse.
Domaines d’emploi :
Machines-outils : moteur de (broche, d'axe). Machines spéciales.
III. Etude des fonctionnements des
machines
1. Fonctionnement en mode génératrice
La machine à courant continu est un convertisseur d'énergie, totalement réversible, elle peut
fonctionner soit en moteur, convertissant de l'énergie électrique en énergie mécanique, soit en
génératrice, convertissant de l'énergie mécanique en énergie électrique. Dans les deux cas un
champ magnétique est nécessaire aux différentes conversions. Cette machine est donc un
convertisseur électromécanique
Etude à vide

La génératrice est entraînée par un moteur auxiliaire, elle débite un courant d’intensité I
dans un rhéostat de charge.
L’induit d’une génératrice est formé d’un grand nombre de conducteurs ayant une
certaine résistance. On appelle résistance de l’induit celle que l’on peut mesurer entre
les balais de la machine. Elle est généralement très faible (souvent de l’ordre du
centième d’ohm); elle dépend essentiellement de la puissance et de la tension de la
machine.
Etude en charge
La génératrice est entraînée par un moteur auxiliaire, elle débite un courant d’intensité I dans un
rhéostat de charge.
L’induit d’une génératrice est formé d’un grand nombre de conducteurs ayant une certaine
résistance. On appelle résistance de l’induit celle que l’on peut mesurer entre les balais de la
machine. Elle est généralement très faible (souvent de l’ordre du centième d’ohm); elle dépend
essentiellement de la puissance et de la tension de la machine.
On peut donc représenter le circuit de l’induit par une résistance Ra en série avec une
tension E0, cette dernière représentant la tension induite. Lorsque la machine tourne à
vide, la tension entre les balais Ec est égale à la tension induite E0, car la chute de tension
dans la résistance de l’induit est nulle puisqu’il n’y circule aucun courant.
Rendement
Le rendement est le rapport entre la puissance électrique utile et la puissance
mécanique absorbée par l’induit, d’où :
𝑃𝑈
ղ =
𝑃𝑎
𝑷𝑼
Le rendement de la génératrice complète est : ղ =
𝑷𝒂 +𝑷𝒆𝒙

2. Fonctionnement en mode génératrice


Une machine à courant continu fonctionne en mode moteur si et seulement si la
tension aux bornes de l’induit U est supérieure à la force contre électromotrice
induite E, de sorte que U>E.
Par contre la vitesse de rotation d’un moteur à courant continu en montage série
dépend de la charge :
• Il s’emballe à vide ;
Il perd beaucoup En excitation shunt et séparée, la vitesse de rotation du moteur à
courant continu est essentiellement contrôlée par la tension d’induit. Cette vitesse
dépend relativement peu de la charge mécanique.
• de vitesse en charge.
Etude à vide

Le fait de supposer constant le couple 𝑇𝑐 permet de procéder à sa mesure dans n’importe


qu’elle régime : on choisit alors de le mesurer à vide. Pour ce faire à cause du risque
d’emballement couru par un moteur série à vide, le moteur testé doit être câblé en
excitation séparée en veillant à protéger l’inducteur.
Lorsqu’il est à vide, le moteur ne déploie pas de puissance utile (𝑃𝑢0 = 0) et donc
toute l’énergie qu’il consomme est transformé en pertes. Ainsi, on établit la
relation : 𝑃𝑎0 = 𝑃𝐽𝑅0 + 𝑃𝐽𝑆0 + 𝑃𝑐
Ce qui implique que : 𝑃𝑐 = 𝑈0𝐼0 + 𝑢𝑖 − 𝑅𝐼20 − 𝑢𝑖 Et
par conséquent : 𝑃𝑐 = 𝑈0𝐼0 − 𝑅𝐼02
En sachant que 𝑃𝑐 = 𝑈0 − 𝑅𝐼 on peut ramener
et remarquer que les pertes collectives correspondent à la
puissance électromagnétique à vide 𝑃𝑒𝑚0
Le couple de pertes collectives est alors déterminé au
travers de la relation :
Etude en charge
L’induit du moteur est alimenté par une seconde source de tension continue, il entraine une
charge mécanique à la fréquence de rotation N. La vitesse de rotation d’un moteur à courant
continu est proportionnelle à la tension d’induit et inversement proportionnelle au courant
inducteur.
La puissance électromagnétique 𝑃𝑒𝑚 donne naissance au couple
électromagnétique𝑇𝑒𝑚. C’est cette puissance qui, aux pertes près, est transformée en
puissance utile sur l’arbre.
On a 𝑃𝑒𝑚 = 𝐸𝐼 = 𝑇𝑒𝑚Ω , soit 𝑇𝑒𝑚 = 𝑘. 𝛷. 𝐼
est proportionnel, à flux constant, au courant d’induit absorbé par la Le couple
électromagnétique machine.
Compte-tenu des pertes, le couple utile 𝑇𝑢 (ou couple moteur𝑇𝑚) dont on dispose sur
l’arbre du moteur est en réalité légèrement inférieur au couple électromagnétique 𝑇𝑒𝑚 :
𝑇𝑒𝑚 = 𝑇𝑢 + 𝑇𝑝
Le couple de pertes 𝑇𝑝 = 𝑇𝑒𝑚 - 𝑇𝑢 est dû :
Aux pertes ferromagnétiques dans le rotor (hystérésis et courants de Foucault) ;
Aux pertes mécaniques : frottements aux paliers et aux contacts balais-collecteur,
ventilation.
I

I ex Cu

M
U U ex

N Charge
Inducteur Mécanique
Induit

Aux pertes ferromagnétiques dans le rotor (hystérésis et courants de Foucault) ;


Aux pertes mécaniques : frottements aux paliers et aux contacts balais-collecteur, ventilation.
Le rendement est le rapport entre la puissance mécanique utile et la puissance électrique
absorbée par l’induit d’où : ղ=Ρ/Ρa
Le rendement du moteur complet tient compte de la puissance absorbée par l’inducteur,𝑷𝒆𝒙
dans la mesure où celui-ci est alimenté électriquement. Cette puissance sert uniquement à
magnétiser le moteur, toute la puissance active absorbée par le circuit d’excitation est
entièrement consommée par effet-Joule donc :

Le rendement est donc:


IV/MODELISATION MOTEUR A COURANT CONTINU
3/ Stabilité des réseaux électriques

La stabilité des réseaux électriques est une qualité de leur régulation par laquelle les
situations modérément perturbées reviennent progressivement à un état d’équilibre
(stabilité au sens de stabilité asymptotique).
La régulation des réseaux électriques est l’ensemble des moyens mis en œuvre (processus
d’asservissement agissant sur un système dynamique) afin de maintenir proches de leurs
valeurs de consigne les grandeurs de fréquence et de tension sur l'ensemble du réseau.

Considérées comme des fonctions du temps :


• la fréquence est une grandeur scalaire et son réglage est assuré en agissant sur des
puissances actives à l’échelle globale ;
• la tension est une grandeur vectorielle (une valeur en chaque point de connexion des lignes)
et son réglage est assuré en agissant sur des puissances réactives à l’échelle locale.
Une instabilité généralisée du réseau peut conduire à des dégâts matériels (côté production,
transport, distribution et clients) et/ou à la mise hors tension d'une partie ou l'ensemble du réseau
(blackout).
4. Perturbation des réseaux électriques
Principales perturbations provoquées par les harmoniques
Les harmoniques peuvent provoquer l’échauffement des transformateurs, câbles, moteurs,
générateurs. Il en va de même pour les condensateurs raccordés à la même alimentation que les
dispositifs générateurs d’harmoniques. Les afficheurs des appareils électroniques et les éclairages

se mettent à papilloter. Les disjoncteurs peuvent déclencher. Les ordinateurs dysfonctionner et


les instruments de mesure donnée des valeurs erronées. Les perturbations provoquées par les
harmoniques en courant et en tension, les courants harmoniques se superposent au
fondamental du courant de ligne. Les effets qu’ils produisent se conjuguent et apparaissent
différemment selon les récepteurs.
On peut considérer deux types d’effets mesurables :
• Instantanés
• Effets à terme dû essentiellement aux échauffements
Echauffement des machines tournantes et des transformateurs
Des pertes supplémentaires apparaissent dans les machines, dans leur stator (pertes cuivre et pertes fer). Elles
apparaissent principalement dans leurs circuits rétorques (cages, amortisseurs, circuits magnétiques). Ces effets
peuvent donc faire apparaître des différences importantes de vitesse entre les champs tournants inducteurs
harmoniques et le rotor.
Les effets thermiques présents au niveau des câbles traversés par des courants harmoniques se trouvent majorés,
d’où une élévation de température. Parmi les causes des pertes supplémentaires on peut citer :
• Une augmentation de la valeur efficace du courant pour une même puissance active consommée.
• L’élévation de la résistance apparente de l’âme avec la fréquence, phénomène dû à l’effet de peau.
• L’élévation des pertes diélectriques dans l’isolant avec la fréquence si le câble est soumis à une distorsion de tension
non négligeable.
Des phénomènes de proximité, de gaines, d’écrans mis à la terre aux deux extrémités, etc.
Principaux types de perturbations électriques
Courants de fuite à la terre permanents
Chaque installation BT a un courant de fuite permanent à la terre qui est dû :
Soit aux déséquilibres des capacités de fuite des conducteurs actifs à la terre (principalement pour des circuits
triphasés).
Soit à des capacités entre une phase et la terre pour des circuits monophasés. Plus l'installation est étendue, plus sa
capacité est élevée, et donc plus le courant de fuite augmente.
Le courant capacitif à la terre est parfois considérablement augmenté par le filtrage des condensateurs associés aux
équipements électroniques (automates, technologies de l’information et informatiques, etc.).
V/ Applications des moteurs à courant continu
Les principales applications des trois types de moteurs à courant continu sont indiquées ci-dessous.
a/ Moteurs de série
Les moteurs à courant continu de la série sont utilisés en cas de démarrage élevé un couple est nécessaire et des
variations de vitesse sont possibles. Par exemple, les moteurs de série sont utilisés dans le système de traction, les grues,
les compresseurs d'air, l'aspirateur, la machine à coudre, etc.
b/ Moteurs shunt

Les moteurs shunts sont utilisés lorsque la vitesse constante est requise et les conditions de départ ne sont pas
sévères. Les différentes applications du moteur shunt à courant continu sont les machines à tour, les pompes
centrifuges, les ventilateurs, les soufflantes, les convoyeurs, les ascenseurs, les machines à tisser, les machines à filer,
etc.
c/ Moteurs composés
Les moteurs composés sont utilisés là où un couple de démarrage et une vitesse relativement constante sont
nécessaires. Les exemples d’utilisation des moteurs composés sont les presses, les cisailles, les convoyeurs, les
ascenseurs, les laminoirs, les planificateurs lourds, etc.
Les petites machines à courant continu dont les puissances nominales sont exprimées en kilowatt fractionnaires sont
principalement utilisées comme dispositif de contrôle, notamment dans les générateurs Techno pour la détection de la
vitesse et dans les servomoteurs pour le positionnement et la poursuite.
CONCLUSION
Nous avons étudié la constitution physique élémentaire et le fonctionnement de la
machine à courant continu puis nous avons modélisé son fonctionnement avec divers
modes d’excitation. Le fonctionnement de la machine à courant continu est facile à
renverser. On passe du mode moteur au mode génératrice et vice versa par le contrôle de
la force électromagnétique induite par survitesse ou excitation. Ainsi nous concluons que
cette technologie est robuste et bien maitrisée. Son avenir n’est pas du tout bouché, au
contraire car on aura toujours de systèmes simples dans le domaine de la vitesse variable
ou constante. Le taux d’expansion de la machine à courant continu est même le plus
important aujourd’hui en raison des proliférations d’équipements dans les voitures
particulières. Toutefois, le moteur à courant continu est sérieusement concurrencé par le
moteur asynchrone et la dynamo est, lui aussi, depuis longtemps concurrencé par
l’alternateur synchrone.
Bibliographie
http : //machine à courant continu.pdf ; électrotechnique<<Francis MILSANT>> ; PDF :
Modélisation moteur à courant continu.

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