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en place. une évaluation du patrimoine assez éloignée de sa valeur d’usa-
ge. Ensuite, de nombreuses valeurs immatérielles ne figurent
pas au bilan, ce qui interdit toute approche exhaustive. Enfin, • Les paramètres économiques généraux : les taux d’intérêt,
on peut penser que la fragmentation du patrimoine de l’entre- le cours des devises, les indicateurs de croissance économique
prise vue comme la somme des rubriques d’un bilan est sans nationaux ou les évolutions démographiques.
doute une erreur économique. La valeur de l’entreprise résulte • Les paramètres sectoriels : l’évolution des prix des matières
de la combinaison d’une multitude d’éléments dont l’évaluation premières incorporées dans les fabrications, les indices d’évolu-
peut être supérieure (ou inférieure) à la somme de ses compo- tion de la production, la demande de produits finis ou l’évolu-
sants. tion de la demande des secteurs situés en aval.
Pour toutes ces raisons, la valeur de marché et la valeur patri- • Les paramètres particuliers : l’évolution des zones et des
moniale ne coïncident qu’exceptionnellement. Très générale- réseaux de distribution, la publication d’éléments chiffrés tels
ment, il est possible de mesurer cet écart par des indicateurs de que le chiffre d’affaires annuel ou trimestriel et sa comparaison
type Market to book ratio. avec des valeurs antérieures.
Capitalisation boursière Les analystes adaptent leurs prévisions aux nouveaux flux d’in-
MB =
Capitaux propres formations (rapports intermédiaires et autres). En tout état de
cause, les changements purement comptables ou juridiques ont
Afin de réduire cet écart, une première voie consiste à réévaluer
un impact limité et ne sont qu’un élément d’information dans
les actifs. Cette réévaluation se rencontre notamment dans le
un ensemble très vaste.
cadre des fusions acquisitions, des scissions ou encore des ces-
sions d’entreprises. La valeur de l’entreprise peut alors résulter
d’une valeur dite intrinsèque reposant sur des évaluations patri- 2. LA PROBLÉMATIQUE ET MÉTHODE
moniales (citons entre autres l’Actif Net Comptable, l’Actif Net D’INVESTIGATION ET DE RECHERCHE
Comptable Corrigé, la Valeur Substantielle Brute, les Capitaux
Permanents Nécessaires à l’Exploitation etc…) aboutissant à la Cette seconde partie se propose de présenter les enjeux de
valeur mathématique de l’action. notre recherche et sa méthodologie.
Actif Net Comptable Corrigé
Valeur mathématique = LA PROBLÉMATIQUE : LES ENJEUX DES IFRS
Nombres d’actions
La philosophie qui sous-tend le cadre conceptuel de l’IASC est
Cette première voie permet de donner une justification comp-
la construction d’une information comptable et financière utile
42 table à la valeur au goodwill ou écart d’acquisition.
à la prise de décision des apporteurs de capitaux à risque.
Une seconde voie utilise des méthodes de projection de flux de L’investisseur et, plus généralement, le marché, sont considérés
trésorerie (les DCF ou discounted cash flow) qui relèvent assez comme les destinataires privilégiés de l’information financière.
largement des modèles issus de la théorie financière. Ceux-ci ne
Bien entendu, les enjeux ne sont pas uniquement comptables ou
relèvent pas d’une logique patrimoniale.
patrimoniaux. Ils invitent à s’interroger sur la mesure de la per-
La doctrine comptable introduite par l’IASC étant très influencée formance économique et, plus généralement, dans le domaine
par la prise en compte du temps (actuariat), par la juste valeur de la gestion de portefeuille, à la façon dont les investisseurs
et par une meilleure appréhension des actifs immatériels, elle reçoivent et traitent cette information sur les marchés financiers.
rapproche, très explicitement, les éléments patrimoniaux des
Dans ce contexte, il nous est apparu essentiel de savoir si l’in-
valeurs de marché, ce qui tendrait à rendre identiques l’infor-
troduction de nouvelles normes comptables réduirait les écarts
mation comptable immédiate (c'est-à-dire non retraitée) et
entre la valeur dite fondamentale (approche par les flux de liqui-
l’ANCC. dité espérée) et la valeur intrinsèque patrimoniale.
ENSEIGNEMENTS ISSUS DE LA THÉORIE FINANCIÈRE MÉTHODE DE RECHERCHE :
Nous ne reviendrons pas sur les méthodes d’évaluation finan- L’ANALYSE DE L’ÉCHANTILLON
cières essentiellement prospectives qui estiment les flux de tré- Notre étude a porté sur l’examen des comptes de l’exercice
sorerie futurs actualisés. Ces méthodes diffèrent de l’évaluation
2005 de 32 groupes de sociétés faisant partie de l’indice CAC 40.
comptable. Les théoriciens de la finance tirent certaines conclu-
sions quant à l’évaluation des titres sur les marchés financiers.
Ces études montrent que de nombreuses informations sont
prises en considération pour évaluer les titres. Les investisseurs Abstract
sont diversement informés et réactifs, ils ont également des
horizons temporels très différents. Ils peuvent en outre amélio-
rer leur prise de décision à l’aide de diverses informations qui IFRS (International Financial Reporting Standards) have
sortent du champ comptable (1) telles que : been elaborated in order to improve the adaptation of
accounting systems with respect to investment and finan-
• Les primes de risque. cial transactions. This new regulation is based on a concep-
tual framework, which considers shareholders as major recei-
vers of accounting and financial information. It should
conciliate two different approaches: the accounting vision
and the financial vision. Procedures such as “fair value of
1. Notons que l’harmonisation comptable s’est souciée de ce champ par l’in- financial instruments” or “impairments tests on asset ele-
termédiaire de l’information sectorielle IAS 14 qui sera à l’avenir remplacée par ments” have been considered in order to achieve this goal.
IFRS 8 segments opérationnels.
Cet échantillon, dont le détail figure sous le tableau 1, a exclu will, charges à répartir, frais d’établissement) et le rectifiaient en
les institutions financières, les banques et les assurances. Cette y ajoutant les plus ou moins-values latentes et l’impôt différé.
décision s’est imposée car le calcul des valeurs intrinsèques de Nous avons toutefois eu pour trois sociétés quelques problèmes
ces sociétés s’effectue selon des méthodes assez particulières d’accès à l’information faute de ressources conséquentes
(taille de la clientèle, des actifs détenus en portefeuille, diversifi- comme cela est stipulé dans la légende du tableau.
cation et contraintes de valorisation des risques) (2).
La date de référence retenue est celle du 1er janvier 2005. En
L’étude porte uniquement sur la place de Paris. Ce choix s’ex- effet, si certains groupes ont appliqué les normes IAS/IFRS com-
plique par les comparatifs dont nous disposions, des bilans de plètement (et par anticipation), d’autres groupes ont utilisé le
transition et des comptes de réconciliation entre anciennes référentiel par anticipation à l’exception des normes IAS 32&39.
normes comptables françaises (CRC 99-02) et nouvelles A cette date, toutes les entreprises sont présumées appliquer le
normes IFRS. Il a donc été exclu de l’échantillon les sociétés qui référentiel complet, y compris les normes IAS 32&39, ce qui
disposaient d’un comparatif avec d’autres référentiels comp- autorise la comparaison des exercices et permet d’en mesurer
tables (US GAAP). les effets sur les bilans.
Pour chaque groupe de sociétés, les calculs et les comparaisons Soulignons enfin que les graphiques représentés ne montrent
ont été effectués entre capitaux propres, actifs nets comptables que quatre postes dont trois (les provisions pour retraites, les
et actifs nets comptables corrigés. La même méthode a été écarts d’acquisition et des dettes financières) intéressent parti-
adoptée pour certains postes d’actifs (immobilisations corpo- culièrement les financiers.
relles, écarts d’acquisition…) et de passifs (provisions pour
retraites, instruments financiers…). Tableau 1 : les comparatifs Normes françaises/IFRS
L’utilisation de l’ANCC nous paraît discutable. En effet, nous de différents soldes sur l’échantillon
n’avons pas obtenu, dans le cadre des comptes annuels, des
valeurs réévaluées et des plus-values latentes. Toutefois, l’ANCC Fréquence %
pourrait être calculé par un analyste financier disposant de plus Aug = 20/32 Aug = 62.5
Total actif
amples informations internes ou à l’aide d’informations exhaus- Dim = 12/32 Dim = 37.5
tives concernant l’imposition différée (l’imposition différée Aug = 23/32 Aug = 71.88
reprenant la fiscalité latente sur les différents éléments d’actifs et Total des dettes
Dim = 9/32 Dim = 28.12
de passifs).
Aug = 12/32 Aug = 37.5 43
C’est pourquoi il sera présenté deux types de tableaux (tableaux Capitaux propres
Dim = 20/32 Dim = 62.5
2 et 3) concernant les valeurs intrinsèques. Le premier ajoute
Aug = 12/32 Aug = 37.5
l’imposition différée à l’ANC diminué des actifs fictifs et des Actif net comptable
Dim = 20/32 Dim = 62.5
écarts d’acquisition. Le deuxième considère un ANCC compre-
nant les écarts d’acquisition. Aug = 9/32 Aug = 28.12
Actif net comptable “corrigé”
Dim = 23/32 Dim = 71.88
On peut remarquer sur ce point la convergence de logique
entre l’ANCC et les IFRS. Pendant longtemps, les évaluateurs éli- Légende :
minaient les différents actifs qualifiés de “fictifs” du bilan (good- “Aug” signifie augmentation, “Dim” signifie diminution, “Abs” signifie
absence.
Ess S oli
V e
Normes françaises IFRS
Ecarts d’acquisition
Valeurs au bilan
30 000 000 000
25 000 000 000
20 000 000 000
15 000 000 000
10 000 000 000
5 000 000 000
0
r l s i r l l t t s s l t i i
co ide te om ue in ou EDF iona com GDF nonefarge rdèreOréa VMH helin icard geo PPR naul bain enti ectric Suez hale son Tota urecmen Vinc end
Ac liqu Alca Alst uyg Gemarref at Tele Da La Laga L’ L ic d-R Peu Re t Go fi-Av r El T hom allo nne Viv
ir Bo p C ern e M o e T V
A Ca t ce rn in o o
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Ess Sc olia
Normes françaises Ve
IFRS
44
Emprunts, dettes financières et instruments financiers passifs
Valeurs au bilan
30 000 000 000
25 000 000 000
20 000 000 000
15 000 000 000
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Normes françaises Ve
IFRS
Les effets sur les différents éléments se décomposent de la façon Toutefois, cette surprise est atténuée si l’on examine les diffé-
suivante. rents postes de bilan plus en détail. Nous observons ainsi que les
provisions pour retraites et engagements des salariés ont lour-
LA VALEUR COMPTABLE OU PATRIMONIALE dement grevé les capitaux propres, tout comme l’évaluation en
juste valeur des instruments financiers actifs et passifs (compre-
Elle peut se mesurer par les montants inscrits en capitaux
nant naturellement les dettes pour ces derniers).
propres ou par l’actif net comptable.
L’ANCC nous permet de calculer la valeur comptable intrin- L’IMPOSITION DIFFÉRÉE ACTIVE ET PASSIVE
sèque de l’action (voir tableaux 2 et 3 page suivante). Les évolutions sont importantes tant à l’actif qu’au passif, ce qui
Malgré quelques différences quant à la méthode, on peut tirer résulte de l’application de la norme IAS 12.
des conclusions assez semblables sur l’échantillon. Si l’on suppose une constance de la législation fiscale et une per-
La capitalisation boursière étant en général supérieure à la manence de méthodes, on en conclut que l’essentiel des chan-
valeur comptable (mesurée en termes de capitaux propres ou gements observés provient des différences temporelles. Les dif-
en actif net comptable), on remarque que l’écart s’accentue férences déductibles, quant à elles, proviennent essentiellement
dans 62,5 % des cas (tableau 1). Ainsi, la valeur des capitaux dans notre étude de charges à payer déductibles (reclassement
propres baisse, accentuant les écarts entre valeur financière et en IFRS des charges à payer et produits à recevoir) ou de
Pour (1,2,3) nombre d'actions figurant au capital social comme stipulées dans la partie juridique du document de référence.
Les dates de réconciliation sont les dates auxquelles on a accés pour les comptes retraités (normes françaises et ifrs).
IM : information manquante, les sociétés n'étant pas cotées à la date ou pour d'autres raisons.
plus-values sur cessions internes annulées (lors de l’élimination LES ÉCARTS D’ACQUISITION
des opérations réciproques). D’une façon générale, les écarts d’acquisition augmentent en
Il convient de souligner que les actifs et passifs d’impôts différés raison de l’annulation de leur amortissement systématique au
ne doivent plus être actualisés, ce qui était auparavant le cas de profit d’un test de dépréciation (3).
certaines entreprises de l’échantillon. D’autre part, il y a dans de nombreux cas des reclassements
d’immobilisations incorporelles vers le goodwill. On peut noter
LES AVANTAGES AU PERSONNEL (IAS 19)
que, globalement, la somme formée par les écarts d’acquisition
Les dispositions liées à l’application de la norme IAS 19 entraî- et les immobilisations incorporelles n’a pas varié significative-
nent des effets négatifs sur les capitaux propres. Rappelons que ment. Les effets du passage des normes françaises en IFRS se
cette norme regroupe des avantages à court terme, des avan- sont traduits par des retraitements et des reclassements. Ces
tages postérieurs à l’emploi, ainsi que les autres avantages à deux phénomènes sont la plupart du temps décomposés dans
long terme et des indemnités de fin de contrats de travail. les bilans de transition.
Les sociétés étudiées ont eu obligation de constater ces enga- Il est donc clair que l’allocation des postes a évolué en raison de
gements et de les comptabiliser à la juste valeur des actifs du l’adoption de la norme IAS 38 (immobilisations incorporelles) et
régime (c’est dans de nombreux cas la première mise en place IFRS 3 (regroupements d’entreprises). Désormais, lorsque les cri-
d’un régime à prestations définies). tères d’identification d’une immobilisation incorporelle acquise
Ce poste de bilan est affecté par de nombreux paramètres et sont remplis, les éléments concernés sont enregistrés dans la
notamment : les changements dans les législations nationales rubrique immobilisation incorporelle figurant au bilan : il peut
(retraites, systèmes de santé…), les rapprochements des régle- s’agir de marques protégées, de concessions, etc. En revanche,
mentations, et enfin les nombreuses estimations inhérentes à lorsque les critères d’identification ne sont pas réunis, les élé-
tout modèle actuariel (que ce soient le taux d’intérêt, l’inflation, ments concernés sont intégrés à l’écart d’acquisition (clientèle,
les probabilités de décès…). Souvent, ces dernières sont cou- parts de marché, etc.). C’est notamment ce qui a pu être obser-
plées par des études de sensibilités concernant les changements vé chez France Telecom avec les bases d’abonnés.
d’hypothèses. En résumé, pour les immobilisations incorporelles acquises, des
translations entre les postes dédiés et l’écart d’acquisition ont
LES INSTRUMENTS DE TRÉSORERIE ACTIFS été observées.
ET LES EMPRUNTS ET DETTES FINANCIÈRES
46 FIGURANT AU PASSIF LES IMMOBILISATIONS
Ces éléments sont influencés par l’application des normes IAS Elles sont de différentes natures.
32 & IAS 39. Rappelons qu’un instrument financier est un Les immobilisations incorporelles
contrat qui donne lieu à un actif financier d’une entité et à un
Elles ont souvent été évaluées à la baisse. Nous avons observé un
passif financier ou un instrument de capitaux propres d’une
effet notable de reclassements vers les écarts d’acquisition, ce qui
autre entité.
est un effet certain de la nouvelle définition des actifs immatériels.
En réalité, l’impact joue sur bien d’autres postes du bilan qui
Les normes comptables IAS-IFRS retiennent une nouvelle typo-
peuvent être de natures très diverses (les immobilisations et par-
logie et proposent une évolution dans la philosophie comp-
ticipations financières seront étudiées ci-dessous).
table. Ainsi, la valeur des actifs doit prendre en compte les flux
En ce qui concerne les postes les plus liquides du bas de bilan (à futurs de trésorerie qu’ils peuvent générer ou la valeur d’utilité.
l’actif), on remarque que l’évaluation à la hausse des valeurs ins- IFRS3 définit et cite différentes catégories : les marques, le
crites n’est pas aussi significative que sur d’autres postes de bilan. savoir- faire (R&D), les possessions artistiques, les fichiers clients,
D’autre part, si l’on observe l’impact sur les emprunts et les les contrats et licences, les systèmes d’information.
dettes financières, il a été fortement haussier. C’est un effet
notable de l’application de la juste valeur. Notons que l’écart Les immobilisations corporelles
constaté peut être imputé soit au compte de résultat soit aux Nous observons dans cette étude un impact mitigé. En effet, les
capitaux propres suivant la catégorie à laquelle appartient l’ins- différentes sociétés de l’échantillon appartiennent à des secteurs
trument financier. économiques très différenciés, aux stratégies et aux nécessités
capitalistiques très variées.
Il s’agit donc de la conséquence d’une nouvelle définition des
actifs corporels (IAS 16). Quelques divergences existent avec les
normes françaises quant aux coûts d’entrée à l’actif du bilan.
3. Tous les ans, on réalise un test de dépréciation (impairment test IAS 36) Toutefois, ce sont les différences de traitement des amortisse-
afin de s’assurer que les actifs figurant au bilan ont une valeur crédible et dans
ments et des dépréciations qui sont les plus notables.
le cas où la société détecterait des indices (internes ou externes à l’entreprise)
montrant une dépréciation. La norme cite comme indices probants : une forte
baisse du prix des actifs sur un marché, des changements importants de natu- Les immobilisations financières
re économique, juridique, technologique affectant négativement la valeur des On observe un peu plus de cas d’augmentations que de dimi-
actifs, l’obsolescence ou la dégradation physique, la baisse du volume d’activité
et donc du rendement, la hausse significative des taux de rendement actuariels,
nutions. Plus fréquents à la hausse, ces changements sont aussi
et enfin des changements importants dans l’utilisation des actifs (abandons plus sensibles. Ce poste est influencé lui aussi par les normes
d’activités, restructurations). IAS 32 & 39. Il s’agit notamment de parts dans les capitaux
Ceci n’est valable que dans un sens ; en effet, l’actif n’est jamais réévalué (c’est propres d’autres sociétés. On peut y voir l’influence probable du
une application du principe de prudence). contexte haussier de la bourse sur l’année 2005.
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