Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
INTRODUCTION
INTRODUCTION
L a ville de Constantine (en arabe Qacentina) est une ville de nord-est de l'Algérie, elle
est également le chef-lieu de la Wilaya du même nom. La population de la ville est
estimée à 448 374 habitants (2008). Constantine est aussi connue sous d'autres noms
comme « la ville des ponts suspendus » ou bien « la ville des aigles ».
Constantine possède un charme unique en son genre de par son histoire et ses richesses
naturelles, une ville littéralement coupée en deux par un vide abyssal que relient de multiples
ponts...
Le onze janvier deux mil quinze, les classes de 3ᵉᵐᵉ et 2ᵉᵐᵉ GHT ont fait une sortie
pédagogique vers la capitale de l’est « Constantine » pour voir cette merveille ville ses
monuments ses hôtels, quartiers, musées, ponts, jardins, palais, et ses populations.
PRESENTATION :
A. GEOGRAPHIE
Constantine est la capitale de l’Est algérien, malgré la concurrence des villes de Sétif,
Batna et surtout Annaba. Elle occupe une position géographique centrale dans cette région,
étant une ville charnière entre le Tell et lesHautes plaines, au croisement des grands axes
Nord-Sud (Skikda-Biskra) et Ouest-Est (Sétif-Annaba). Elle est également la métropole de
l’Est du pays et la plus grande métropole intérieure du pays, elle assure des fonctions
supérieures notamment culturelles et industrielles.
B. HISTOIRE :
1- PERIODE PREHISTORIQUE :
La région de Constantine a été très tôt occupée par l'homme, des outils
préhistoriquesont été trouvés sur le plateau de Mansourah et à OuledRahmoune. L'Atérien
était présent au Djebel Ouach, dans les grottes du Mouflon et de l'Ours. L'Ibéromaurusien et
le Capsien supérieur ont laissé quelques traces, mais c'est surtout au Néolithique que les
grottes de la région ont connu une occupation importante. Les Paléoberbères ont habité les
mêmes mieux au cours du Ier millénaire av. J.-C et ont construit des monuments
mégalithiques, des bazinas et des tumulus.
2- PERIODE ANTIQUE :
Constantine est l'antique Cirta, capitale des rois numides depuis le IIIe siècle av. J.-C.
Ville fortifiée et commerciale, elle bénéficie d'une position stratégique, avec son rocher et ses
murailles. La première mention de Cirta remonte à la fin du IIIe siècle av. J.-C.. Elle est alors
la capitale du roi masaesyleSyphax avant de devenir, celle du massyleMassinissa et de ses
successeurs lors de la Deuxième Guerre punique.
La capitale numide était une ville cosmopolite ouverte sur les civilisations
méditerranéennes notamment punique et grecque, cohabitant avec le mode de vie nomade des
Gétules. Les souverains numides ont été les propagateurs de la langue punique dans leur
royaume au point que la société de Cirta a été profondément punicisée. La population a
adopté le culte de Baal Hamon et de Tanit déesse carthaginoise de la fécondité. Le sanctuaire
d'El Hofra témoigne de l'importance de la culture punique dans la société.
3- PERIODE MUSULMANE :
Le VIIe siècle voit arriver des conquérants arabes (Abu al-Muhajir Dinar). Ils
dévastent pratiquement la totalité de la ville et prennent son contrôle. Puis arrivent les
Omeyyades et les Abbassides en Ifriqiya (Tripolitaine, Tunisie sans les parties désertiques et
l'est algérien). La ville et la région passent ensuite sous le contrôle des Aghlabides puis des
Fatimides.
À partir duXVIe siècle, Constantine passe sous domination turque. . En 1568, les partisans des
Hafsides massacrent les Turcs et expulsent leurs séides. Pour ramener l'ordre, le pacha Mohammed
doit conduire en personne une expédition contre Constantine. La ville n'ose pas résister et ouvre ses
portes sans combattre. Les Abd el-Moumène, chefs du parti Hafside à Constantine, sont
définitivement vaincus par les OULED BENCHEIKH qui ont le titre prestigieux de cheikh el-islam. SIDI-
ABD-EL-KERIM BENCHEIKHarrivé au pouvoir fait alliance avec les Turcs et s'octroie le TITRE D'EMIR-
ER-REKEB. Constantine est alors choisie au XVIe siècle pour être la capitale du BEYLIK de l'Est. ABD-EL-
KERIM meurt en 1580 et les BENCHEIKH gardent leur influence et privilèges jusqu'à la seconde
expédition de Constantine.
4- PERIODE FRANÇAISE :
C. URBANISME :
L e site originel de la ville est situé sur une barre calcaire truffée de cavités karstiques,
appelée « le Rocher ». À partir de la fin du xviiie siècle, la ville commence à s'étendre
hors du Rocher, quelques petits faubourgs ont été projetés au-delà du canon.
Mais c'est la colonisation qui organise cette extension de la cité, sous forme de trois
faubourgs : Bellevue, Sidi Mabrouk et Faubourg Lamy ainsi que le remblaiement de la
dépression fermant le Rocher sur la quatrième face « la Brèche ». Les extensions du
XXe siècle se sont poursuivies sur les différentes collines qui entourent le Rocher. Dans les
années 1970, Constantine a rempli son site. Celui-ci est limité alors par une ceinture de
versants gréseux (Djebel Ouasch) ou d'escarpements calcaires (Djebel Chettabah, Hadj Baba),
sur lesquels l'urbanisation peut difficilement s'étendre.
Elle s'est poursuivie alors sur quatre bourgades, anciens villages de colonisation, choisies
comme noyaux de la nouvelle urbanisation. Ainsi, le Grand Constantine se développe sous
forme d'une agglomération comprenant une ville-mère et une série de satellites dans un rayon
d'une quinzaine de kilomètres. Le plus gros de ces satellites est celui d'El Khroub.
TISSU URBAIN :
La ville se caractérise par la discontinuité de son tissu urbain du fait des coupures
naturelles liées à la topographie du site et d'autres artificielles.
La ceinture du Grand Constantine a joué le rôle de déversoir des équipements les plus
encombrants : aérodrome, casse automobile, unité de redistribution des hydrocarbures ; avant
de devenir le lieu de planification des extensions de la ville.
D. ÉCONOMIE :
E. LA MEDINA :
L a médina de Constantine est appelée le « Rocher » parce que construite sur un bloc
calcaire. Elle est bâtie en dégradé depuis la Casbah jusqu’aux quartiers bas de la
Souika. La vieille ville est ceinte de deux cotés par le canyon du Rhummel et du
troisième par un escarpement. Des ponts et passerelles relient la médina au reste de
l’agglomération. Elle était défigurée pendant la période coloniale puis dégradée par la
surpopulation et le manque d’entretien.
Dans la plupart des villes maghrébines, la colonisation a créé une ville européenne
juxtaposée à la médina. À Constantine, le projet de ville nouvelle n’a pas abouti, les autorités
coloniales ayant surimposé une trame moderne à la vieille ville . Le centre des affaires est
resté alors solidement attaché à la médina : activités traditionnelles dans les rues anciennes et
activités modernes dans les rues coloniales. De ce fait le Rocher est une des rares médinas
maghrébines à avoir conservé sa fonction de centre ville.
F. PATRIMOINE RELIGIEUX :
La Grande Mosquée, construite sur les fondations d'une église par les Hammadides,
est le plus ancien édifice religieux islamique connu à Constantine. Elle représente l’évolution
religieuse durant trois périodes différentes : Epoque hafside: l’édifice était la mosquée
populaire de la cité, tenue par cheikh al-islam. Epoque ottomane ottomane: elle conserve le
rite malékite et reste sous la tutelle d’une famille autochtone pro-ottomane. Epoque coloniale:
Le pouvoir colonial a transformé sa façade, le prône du vendredi se fait au nom d'Allah,
puisqu'il ne peut se faire au nom des Français.
G. SPORT :
ClubSportifConstantinois- CSC
Mouloudia Olympique De Constantine - MOC
Association Sportive D'el Khroub - ASK
MouloudiaBaladiat De Constantine - MBC
CS Constantine
Le CLUB SPORTIF CONSTANTINOIS,couramment abrégé en CS Constantine ou
encore CSC, est un club algérien de football basé à Constantine. Il évolue en première division
algérienne depuis la saison 2011-2012.
MO CONSTANTINE
LeM C
OULOUDIA DE ONSTANTINE, est un club de footballalgérien fondé par BEN
BADIS en 1939 basé à Constantine. Le MO Constantine, club pionnier du championnat d'Algérie,
qui fut l'un des rares durant l'époque coloniale française à gagner un championnat (car affilié à la
LCFA, la Ligue de Constantine de Football Association), remporta son premier championnat
d'Algérie lors de la saison 1990-1991, après avoir terminé deuxième lors des saisons 1971-1972, 1973-
1974 et 1999-2000.
H. CULTURE :
I. CUISINE :
Constantine dispose également d’une cuisine riche. Parmi les spécialités culinaires qui
se consomment notamment au mois du ramadhan, le tadjine el ain, un mets à base de
pruneaux écrasés auxquels on ajoute des noisettes et de la viande saupoudrée de sucre raffiné,
la chorba à base de frik ou blé séché, grillé, broyé et écrasé ; chbahessafra, kefta, h'mis et
bourek.
La pâtisserie locale est également variée. Citons les jawzia, baqlaoua, bourek el renna,
maqroud el maqla. Le dessert se compose de fruits de saison et du m'halbi, à base de lait, de la
crème de riz, du sucre et de l'eau de rose.
J. ÉDUCATION :
C onstantine est un centre culturel et scientifique majeur. Elle possède quatre universités et
compte près de 100 000 étudiants, ce qui en fait l'une des plus importantes villes
universitaires algériennes et africaines.
K. LANGUE :
Personnalités historiques :
Personnalités religieuses :
Abdelhamid Ben Badis, (1889 - 1940), y est né, figure emblématique du mouvement
réformistemusulman en Algérie;
Personnalités politiques
Abdelmalek Sellal (1948-), haut fonctionnaire et homme politique algérien, y est né.
Abdelkader Chanderli,philosophe, représentant permanent du FLNauprès de l'ONU.
Alphonse Juin(1888-1967), maréchal de France, y a fait ses études secondaires.
Personnalités sportives
M. MONUMENTS
Parmi les vestiges antiques, le sitepunique d'El Hofra, où l'on a trouvé près de mille
stèles puniques déposées au musée de Cirta et au Louvre ; l'aqueduc romain sur leRhummel et
d'autres vestiges romains épars dans la ville.
Les établissements thermaux de Sidi M'cid, situés avant le pont des chutes sont
construits sur d'anciens thermes romains, les bains antiques de César existent toujours. Le
rocher abrite de nombreuses sources thermales qui jaillissent de ce secteur.
Le palais Ahmed Bey est l'un des plus importants monuments historiques. Il a été
construit de 1826 à 1835 par le Hadj Ahmed Bey, héros de la résistance anti-coloniale dans
l'Est algérien. La taille de l'édifice est de 5 600 m. Le palais se distingue par son style
mauresque baroque où apparaissent différentes influences de style européen et oriental.
Parmi les autres vestiges islamiques, citons les mosquées dans la médina ainsi que des
fortifications construites dans certains endroits avec des pierres romaines. On atteste
notamment dans un mur de la Casbah une dédicace faite à l'empereur Constantin.
Dans la ville moderne, le Théâtre Régional de Constantine a été construit entre 1861 et
1883 dans un style d'opéra italien, à l'emplacement d'une ancienne caserne de janissaires. Ce
bâtiment est le premier grand édifice construit par les Français. On y trouve aussi le
monument aux morts, dédié à ceux tombés pendant la Première Guerre mondiale.
Une arche naturelle d'une soixantaine de mètres de hauteur relie les deux rochers et
forme un pont naturel creusé dans la roche par les torrents.
LA CHRONOLOGIE DE LA SORTIE :
1 jour:Le depart de l’ecole vers constontine le 11/01/2015 a 10:47 l’arrivée au
er
2ᵉᵐᵉ jour( 12/01/2015) :organisé une petite visite dans l’hotel apres on va vers :
monuments aux morts apres montagne de monstres et a la fin musée de cirta
Les Ponts :
Les sept ponts : en raison de la topographie de la ville et l’existence de la vallée d’Oued-
Rhumel. Constantine est dotée de sept ponts pour permettre à joindre les deux rives.
Le Pont Sidi M’cid : appelé aussi le pont suspendu, est le plus impressionnant des
ponts, inauguré le 19 avril 1912, long de 160 m, il s’élève à 175 m au-dessus des eaux de
l’Ouest Rhumel.
LES JARDINS :
La wilaya de Constantine est représentée par des multitudes de jardins
- jardin « BEN NACER » (BAB EL Oued)
- jardin “BEYROUTH” (SIDI Mabrouk)
- jardin du palais du bey
- plusieurs jardins à travers l’ensemble des communes
Le chemin des touristes : c’est au bout du pont des chutes qu’aboutit le célèbre chemin des
Touristes qui permet de visiter le fond des gorges, dont l’entrée se situe à 1800 mètres en
amont, au pont du diable crée par monsieur REMES en 1895.
Les forêts : sur le territoire de la wilaya s’étend une superficie importante couverte de foret
une superficie de 18000 HA avec plusieurs espèces très diversifiés (pin, pin d’alpe,
eucalyptus, chêne, chêne liégé…..) tous ces sites sont un milieu écologique et permet de
développer plusieurs activités touristiques :
Forêt de DJEBEL EL OUAHCH : c’est un foret qui se situe à 7 Km de la ville à 1200 m
d’attitude, riche par sa flore et sa dense végétation, c’est l’un des endroits les plus attractifs de
la région de Constantine.
Forêt CHETTABA : 800 Ha, massif boisé peut devenir un espace de détente et de loisirs.
Le Musée Cirta est considère comme l’un des plus anciens musée d’Algérie, de part son
implantation sur le territoire d’une séculaire qu’est la ville de Constantine, première ville
d’intérieure locale.
L’idée de bâtir un Musée est survenue en 1852, comme une nécessite absolue, afin de contenir
le nombre impressionnant d’objets archéologiques mis en exergue. A la suite de découvertes
fortuites qui ont été mis a nu au sein de la
3ᵉᵐᵉjour :
PONT SALEH BEY :
1863.
A été fondée en 1965 par monsieur AZZI LAKHDER, chez AZZI le savoir faire en couture et
broderie s’est transmis de père en fils et cela depuis des générations.
La maison AZZI a lancée sa propre unité de tissage en Algérie afin de produire et réaliser ces
propres tissus.
LE PONT DU DIABLE : Le pont du Diable marque l'entrée des gorges hautes à cet
endroit profondes de 66 mètres. Ce pont est réservé aux piétons uniquement.
Construit au départ par les turcs au pied du "Rocher des Martyrs", ce pont de pierre a était
plusieurs fois abimé par les eaux du Rhumel et du Boumerzoug réunies. Il semble que son
nom vienne du bruit infernal des eaux tumultueuses qui pénètrent dans les gorges à cet
endroit.
Le pont du Diable se situe presque à l'aplomb du pont Sidi Rached.
C'est de ce pont que l'on accède au "Chemins des Touristes", promenade qui parcourt les
gorges sur toute leur longueur pour déboucher près du pont des Chutes.
La Passerelle Mellah Slimane : Est une petite réplique du pont du pont suspendu
long de 125 m large de 2.50 m aidé par un ascenseur qui relie le quartier de la gare au centre
de la ville.
LEPONT DE SIDIRACHED: Ouvert à la circulation en 1912 comprend 27 arches dont
la plus large est de 70 m de diamètres avec une longueur de 447 m et une largeur de 10.5 m.
Le pont est un grand repère fascinant, occupe une bonne place dans la carte de la ville, il est
l’un des plus hauts ponts de pierre du monde.
Dar OUM ENNOUNE a été ainsi été transformée, au fil des années, en un somptueux
complexe formé de jardins et de patios dont les différents corps sont ouverts pour l’essentiel
vers l’intérieur, créant ainsi un endroit enchanteur où il faisait bon vivre.
Luxe, Confort, Détente sont l’essence même de l’expérience à l’Hôtel HOCINE Restaurants
et Spa Center, une expérience sur mesure entièrement conçue pour vous. Laissez-vous vous
enivrer par la magie et le charme. Succombez aux fins menus de nos Chefs, qu’ils soient
présentés en buffet ou servis dans le restaurant gastronomique avec vue panoramique sur les
environs du Constantinois.
LA GRANDE MOSQUEE ELAMIR ABD KADER :
C'est en 1968 que l'idée de construire une grande mosquée à Constantine prit
naissance.
A l'origine, il ne s'agissait que d'une simple mosquée avec cette condition que les promoteurs
Un lieu de prière désiraient de prière pouvant contenir 10.000 fidèles.
Aucune description ne couvre ce chef d’œuvre unique de la ville, la mosquée qui porte
le nom du légendaire guerrier et gouverneur algérien Amir Abdelkader est l’une des plus
importantes mosquées dans le monde musulman. Elle fut édifiée par l’architecte Mostapha
Mansour en 1970; épaulé dans son travail par la magie des artisans égyptiens et marocains. Ils
ont apporté leur savoir-faire inspiré de l’art architectural arabomusulman et la finesse à
l’ornementation riche et complexe de ses différents éléments. Ces derniers sont repérables
gravés sur les vitraux, sculptés sur le bois des portes, revêtant les murs et les colonnes avec
harmonie et précision.
La salle de prière est immense et peut accueillir jusqu’à 12000 « Moussalli ». Elle est
trônée par une gigantesque et captivante coupole culminant à 64 mètres ou sont gravées
soigneusement (Asma' Allah al-Ḥusná), les beaux noms d’Allah qui rendent l’endroit propice
à la prosternation.
On peut admirer aussi la calligraphie arabe dans quelques versets coraniques et
formules pieuses incisées dans les bas-reliefs encastrés de ces façades blanches légèrement
teintées d’un jaune très pâle.
Quant aux deux minarets finement émincés, ils s’élancent à une hauteur de 107
mètreset centrent le jet d’eau de l’ample jardin de l’entrée, strictement centré avec ses plates-
bandes fleuries bordées de quelques touffes de verdure précieuse.
Depuis 1994, la mosquée est annexée à une université moderne de sciences islamiques qui
accueille chaque année plus de 3000 étudiants.
En somme, il est aisé de comprendre que la sortie pédagogique nous a permis à nous
étudiants de confronter les idées théoriques reçues aux cours aux faits réels sur le terrain,
d’observation des éléments physiques de la nature et les éléments humains et
socioéconomiques. Elle est important car elle nous permet de pouvoir établis le lien entre les
faits géographiques sur la base des connaissances acquises à travers les cours théoriques et le
terrain et de projeter les thèmes possible de recherche pour l’obtention des diplômes de fin de
formation.