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Centrale 2002 II PC
dy
dP(y) = - P(y)
δ
⇒ P(y) = Po e-y/δ
I.A.2) On reconnaît la loi de Planck pour la distribution spectrale des corps noirs.
hc
On peut rappeler que C2 = .
kB T
∫ λ
dPλ = σ T4
L’aire de la courbe de Planck augmente donc avec T comme T4 , ce qui justifie que la
courbe associée à T 1 soit à « l’intérieur » de celle associée à T2 :
dP λ
dλ
T2
•
•
0 λ m2 λ m1
T1
Page 1 François MORAND EduKlub S.A.
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la consultation individuelle et privée sont interdites.
Physique
Centrale 2002 II PC
dP λ dP λ
(y) = (o) e- y/δ(λ)
dλ dλ
P(y) = ∫ λ
dPλ (y)
dPλ
Et : P(l) =
∫ λ dλ
(o) e- l/δ(λ) dλ
∆λ
λ0 + dPλ
≈ ∫ λ0 −
2
∆λ
dλ
(o) e- β(λ)l dλ
2
∆λ ∆λ
Comme ∆λ << λ0 , on peut considérer, sur l’intervalle [λ0 - , λ0 + ]:
2 2
β(λ) ≈ β(λ0 ) = β0 = cste
λ0 +
∆λ
dPλ
Donc : P(l) ≈
∫ λ0 −
2
∆λ
dλ
(o) e- β0l
2
P(o)
P(λ )
I.A.7) Comme l’absorbance ne fait intervenir que le rapport , ni la répartition
Préf (λ)
x
2iΠ
− ( u - u0).O M
u
s1 = s0 ∫∫ Fente
e λ dS
u0 •M ↑θ
•0 z (intégrale de Fraunhofer)
1
sin θ
Soit : s1 = ahs0 ejφ/2 sinc(Πua) , si u=
λ
2Π
φ= bsinθ
λ
I.B.3) Pour une fente identique centrée en x = 0 :
2iΠ
h/2 a /2 − xsinθ
sF = s0
∫ y = -h / 2 ∫ x = -a / 2
e λ dxdy
2Π
s1 = sF ejφ/2 , si φ= bsinθ
λ
I0
Donc : I(θ) = sinc2 (Πua) (1 + cos φ)
2
Terme de terme
diffraction d’interférence
I0 Πa sin θ 2Π
Ou encore : I(θ) = sinc2 1 + cos
bsin θ
2 λ λ
I/I0
• • • • • • sin θ
-λ/a -2λ/b -λ/b 0 λ/b 2λ/b λ/a
n = 2E (b/a) + 1
Soit : sinθ = p λ
b
La frange centrale correspond donc à p = 0. Les franges latérales à p = ± 1 et p = ± 2.
x
s2 = sF eiφ par analogie avec le calcul de la partie B.
_
_•
0
N
a/2 − 2i Π xsinθ b + a/2 − 2i Π xsinθ
(sF =
∫ e λ
dx ; s2 =
∫ e λ
dx )
x = - a/2 x = b - a/2
k De même : s3 = s2 eiφ …
u0 Ainsi : sN = sF ei(N-1)φ
_ j
_• O2
b u
_ • H θ N N−1
O1
•_ z Et : sR = ∑
n=1
sn = sF ∑
n=0
einφ
(Σ)
φ
*p = δ = est l’ordre d’interférence.
λ 2Π
Pour une frange brillante : p = m ∈ Z
On « symétrise » en :
φ
i (N−1)
2 sin Nφ/2
sR (θ) = sF (θ) e
sin φ/2
1 + cosφ
Rem. : Pour N = 2 : f(2, φ) = cos2 φ/2 = , et on retrouve les fentes d’Young :
2
I(θ) = 2 IF (θ) (1 + cos φ)
⇒ φ = p 2Π p∈Z
N
p/N ∉ Z
φ = ± 2Π ⇒ p = ± 1
N N
P0 (λ) = bsinθ = δ
λ λ
p0 (λ + δλ) = bsinθ = δ
λ + δλ λ + δλ
A la limite de séparabilité :
⇒ δ - δ=- 1
λ + δλ λ N
Pour δλ << λ : δ ≈ δ (1 - δλ )
λ + δλ λ λ
δ x δλ = 1
λ λ N
p0
⇒ R= λ =Np
0
δλ
∆λ ≥ δλ = λ
R
Donc si : R = N p0 ≥ λ
∆λ
Pour p0 =1, le nombre minimal de fentes nécessaires pour séparer le doublet est :
N = E λ + 1 = 982
∆λ
sin θ = p λ
b
(1) H O1
• • (M )
1
(2) O2 ξ
• (M )
2
x
sin ξ = 2 t 2
1+t
(u + 1)t 2 + 2t + (u – 1) = 0
La racine positive de cette équation est :
- 1 + 2 - u2
t0 ’ =
u +1
ξ0' - 1 + 2 - u2
⇒ tan =
2 u +1
ξ0" 1 + 1 - u2
tan =
2 u −1
On pourrait vérifier que cos ξ0 " = sin ξ0 ’, donc que ces 2 valeurs sont symétriques par
rapport à la position ξ0 = 45° du réseau.
Pour 0 < ξ < ξ0 , on observe les ordres p > 0
2
ξ2 - 1 + 2 - u2 λ2
tan = , u2 =
2 u +1 b
2
A.N. : u1 = 1 ⇒ ξ1 = 34,8°
4
u2 = 0,41 ⇒ ξ2 = 28°
O
•
I.D.4) La position x du point B est :
L
x = 2 L sin ξ ξ
A•
L
Avec : sin ξ = 2 t = 1 − u + 2 - u2
1 + t2 2
•
B
x
2
I.D.5) x1 = L − u1 + 2 - u1
2
x2 = L − u 2 + 2 - u2
A.N. : x1 = 5,71 cm
x2 = 4,70 cm
∆ = x2 – x1 = -1,01 cm
u
I.D.6) ∂x = 1 ∂x = L − u −
∂λ b ∂u b
2 - u2
I.E.1) En prenant en compte la longueur η de la fente F1, on utilise le fait que F1 ’ et F1 "
sont des foyers secondaires objet pour la lentille (L1 ) :
- α<0
F1 ’
α ξ
• • y
F1 01
F1 " • imin
•
A
f1 ’ (L1 )
On voit que les rayons issus de F1 ’ arriveront sur le réseau sous l’incidence :
imin = ξ - α
De même, les rayons issus de F1 " arriveront sous l’incidence :
imax = ξ + α
η /2
Avec : tan α = ≈ α (η << f’)
f'
η
Ainsi : imin = ξ -
2f'
η
imax = ξ+
2f'
imax − imin η
δi = =
2 2f'
η
δi ’ =
2f'
η
Soit : ∆λ = b (cos ξ + sin ξ)
f'
I.E.3) On vérifie facilement que f(ξ) = cos ξ + sin ξ est maximale pour ξ = 45°.
η
Donc : ∆λmax = b 2
f'
II.A.1) La règle de Klechkowski donne le remplissage des orbitales atomiques par niveau
d’énergie croissant : les couches et sous-couches se remplissent dans l’ordre des n + l
croissants (n nombre quantique principal, l nombre quantique secondaire). En cas de
même valeur pour n + l, on remplit d’abord la couche de plus petite valeur de n. L’ordre
de remplissage est donc :
1s, 2s, 2p, 3s, 3p, 4s, 3d …
Pour Z = 29, la configuration électronique devrait donc être :
II.A.3) La règle de Klechkowski ne s’applique pas aux ions. Lors d’une ionisation, ce sont
les électrons périphériques qui sont « arrachés » les premiers.
Pour le cuivre, l’électron 4s1 sera arraché en premier.
Les structures électroniques de Cu+ et Cu2 + sont donc :
Les métaux de transitions peuvent avoir jusqu’à 18 électrons de valence (ils ont 9
orbitales de valence : une orbitale s, trois orbitales p et cinq orbitales d).
L’ion Cu2 + possède 9 électrons sur la couche 3d, et 4 molécules d’ammoniac apportent
chacune 2 électrons (doublet non liant sur l’azote). Ainsi, le complexe Cu(HN3 )4 +
possèdera 17 électrons sur sa couche de valence ce qui est compatible avec la valeur
maximale de 18 (par contre, l’existence du complexe Cu(NH3 )5 + est exclue).
II.B.1) La loi de Beer-Lambert est valable aux « faibles concentrations » (cf. I.A7)).
On aura donc : A ≈ (ε1c1 + ε2 c2)l si c 1 et c2 sont « faibles » (on prend
-1
usuellement 0,1 mol.l comme concentration limite).
II.B.2) On a : A = A’ = ε1cl si c2 = 0 (solution ne contenant que des ions Cu2 +). D’après
le tableau 1, pour x = 0 :
A’ = 0,130
10 - x c
Alors : A – A’ = (ε1c1 + ε 2c2 )l – ε 1cl (10 – x)
10 10
= (ε2 – ε1 ) c 2 l
10 - x
Soit : A – A’ =Ω
10
II.B.4)
x 0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10
0,819 •
x
0 5 10
2 − 4n
[Cu y n ] 10 c2
Kf = =
2+ 4− n
[Cu ][y ] 10 c1(xc − 10nc2 )n
10 - x
Avec c 1 = c – c2
10
c2
Ainsi : Kf = n
10 - x xc
c - c2 - nc 2
10 10
dc 2 − c dx/10 - dc 2 - n c dx/10 - ndc 2
Puis : d ln Kf = 0 = -
c2 10 - x xc
c - c2 - nc 2
10 10
dc
Comme 2 = 0, on a :
dx x0
c / 10 c / 10
0= - n
10 - x 0 x 0c
c - c2 - nc 2
10 10
c x
⇒ x0 = nc 1 − 0
10 10
x0
Et finalement : n=
10 - x 0
dΩ
Le graphe précédent montre que = 0 pour x0 = 5 cm3 .
dx
Ainsi : n=1
0,1 - ξ
L’énoncé donne : = 1,09 x 103
2ξ
II.C.1.b) A l’équilibre :
[Cu 2 + ]
E = E0 + 0,059 log
Cu
2+
/ Cu
+ [Cu + ]
= E0 +
+ 0,059 log [Cu+]
Cu / Cu
= E0 2+ +
+ 0,059 log [Cu2 +]
Cu / Cu
= 0,315 V
On en déduit : E0 2+ +
= 0,166 V
Cu / Cu
E0 +
= 0,524 V
Cu / Cu
[Cu 2 + ]
K10 = = 1,19 x 106 >> 1
+ 2
[Cu ]
[Fe 3 + ]2
K20 =
[Fe 2 + ]3
0 0
2E Fe2 + / Fe - E Fe3 + /Fe2 +
log K20 =
0,059
Comme E 0 3+ 2+
< E0 2+
: K20 << 1 (l’énoncé ne donnait pas ces valeurs ; les
Fe / Fe Fe / Fe
tables donnent E 0 3+ 2+
= 0,77 V ; E 0 2+
= -0,44 V donc K20 = 9,6.10-42 !…).
Fe / Fe Fe / Fe
[Cu(NH 3 )24 + ]
E1 = E10 + 0,059 log
[Cu(NH ) + ][NH ]2
3 2 3
[Cu 2 + ]
= E0 + 0,059 log
Cu
2+
/ Cu
+ [Cu + ]
β
⇒ E10 = E 0 2+ +
+ 0,059 log 1
Cu / Cu β2
[Cu(NH 3 )+2 ]
E2 = E20 + 0,059 log
[NH ]2
3
= E0 +
+ 0,059 log ([Cu+])
Cu / Cu
⇒ E20 = E 0 +
- 0,059 log β1
Cu / Cu
1
On voit donc que K30 >> : le milieu ammoniacal stabilise l’espèce cuivre (I).
0
K1
d ∆ H0
(ln β1 ) = r
dt RT 2
F
D’après II.C.2.a) : ln β1 = ( E0 + - E20 )
RT Cu / Cu
⇒ ∆rH0 = - F (E 0 +
- E20)
Cu / Cu
∆ rH 0 - ∆ r G 0
*Puis : ∆rS0 = = 0,45 Jmol-1 K-1
T
[Cu(NH 3 )24+ ]
E1 = E10 + 0,059 log - 0,059 x 2 log ([NH3 ])
[Cu(NH ) + ]
3 2
- p NH3
La pente de la frontière entre ces 2 espèces, dans un diagramme E – pNH3 , est donc :
α = 0,118 V