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INTRODUCTION GENERALE

Au Sénégal, les transports sont placés au cœur des stratégies de développement


, avec
l'élaboration de politiques sectorielles sous-entendues par les investissements massifs
dans les
infrastructures et les services. On constate que le secteur des transports au Sénégal est
dominé
par une prééminence du secteur routier ou beaucoup d'investissement ont
été faits.
Cependant, on assiste depuis ces dernières années à des réalisations importantes
dans les
transports aérien et maritime de personnes et de marchandises. Le développement
s'est
manifesté par l' affinnation d'une vision claire à travers des lettres de politiques de
stratégies
et smtout grâce à la mise en œuvre de programmes sectoriels sur les transports.

C'est ainsi que de nombreuses eritreprises se sont constituées en multinationales


ou en
consortium dont les filiales sont implantées partout dans le monde. C'est dans ce context
e que ·
les sociétés de transport ont vu le jour dans le but de participer aux activités du
transport
aérien, maritime et terrestre et par la même occasion contribuer au développement du
secteur
du transport au Sénégal.
~ - - - - - - -- -- - - - - - -- - - - - - ~ 1
TABLEAU DES ACTIONS

Thèmes Actions Entreprises Méthodologie Page

Maritime Transport de Port Autonome Travail collectif 3à6


passagers : de Dakar
(la liaison
Maritime Dakar
Gorée) -
Routier Transport de Dakar Dem Dikk Travail collectif 7 à 10
passagers

Aérien Le circuit Transfret Travail individuel 11 à 14


douanier du
régime ClOO ,

.,
INTR ODUC TION ··
La Liaison Mariti me Daknr Gorée est un service public de transport mis en
place par l'Etat
du Sénégal et dont la gestion est confiée à la SOCIETE NATIO
NALE DU
PORT AUTO NOME DE DAKA R (SONAPAD) suivant la convention
n° 0174 du 17
octobr e 1973

.1/PRESENTATION DE L'ENTREPRISE

Du statut d'établ isseme nt public industriel et commercial, le port autonom


e de Dakar est
passé, depuis le 1er juillet 1987 à celui de société nationale__dotée d'un mode
de gestion de
droit privé avec un capital social de 52 milliards de francs et
A.

Sa réorgan isation suite au changement de statut, lui a pennis d'avoir un


organigramme de
gestion intégra nt toutes les fonctions essentielles à l'administration d'un port
moderne

Le port autono me de Dakar(P AD) est une entreprise publique sénégalaise


dont le siège se
trouve à Dakar. Ainsi, il coiffe la liaison maritime Dakar Gorée(LMDG) qui
est un service
public de transpo rt mis en place par l'Etat du Sénégal et la ville de Dakar et dont
la gestion est
confiée à la SONA P AD par une convention signée le 17 octobre 1973. Elle
assure la desserte
de l'ile de Gorée avec deux chalou pes:« COUMBA CASTEL et BEER» qui
ont été acquis
respect ivemen t en 1999 et 2006 et qui ont une capacité de 350 places chacune.

11/ DEFINITION ET OBJECTIF

!-Définition

Le transpo rt maritime de passagers est défini par l'article 473 du Code de la marine
Marcha nde comme « un contrat de passager dont le transporteur s'oblig e à transpo
rter par mer
sur un trajet défini un voyageur qui s'oblig e à s'acquitter le prix du
transport ». Les
disposi tions de la prés;nt e section ne s'appliquent ni au transport bénévole
ni aux passagers
clandes tins.

Cepend ant elles s'appliq uent aux transports gratuits effectués par une entrepr
ise de transport
maritim e.

'
J
2-0bicctif

La liaison Maritime Dakar Gorée a pour objectif d'assurer la continuité du territoire national.
Elle assure la desserte de I' lie de Gorée avec deux chaloupes que sont « COUMBA
CASTEL» et« BEER»

III/LES MOYENS UTILISES

1-les matériels utilisés

Les matériels utilisés pour l'embarquement des passagers sont:

La corne de brume : c'est un instrument de signalisation maritime, émettant des


signaux sonores par temps de brume pour signaler l'heure de départ, l'heure d'arrivée,
un obstacle ou un danger

Le tourniquet: c'est un instrument qui sert à faire le décompte et la limitation des


passagers à l'aller et au retour
La caméra pour l'identification des passagers
Le hall d'embarquement bien aménagé qui sert de détente et d'accueil pour les
passagers
Le bar VIP climatisé
Le système de communication télévisuelle dans le hall
La passerelle pour le quai de Gorée

2-les moyens humains

Au niveau de la liaison maritime Dakar Gorée, les personnes qui interviennent dans la
réalisation d'une rotation sont :

a- le capitaine

C'est celui_qui commande un navire. II assure le transport d'un point A à un point _!3.il est

assisté par un second capitaine

b- le chef mécanicien ----

II est chargé de vérifier les matériels du navire avant 1'embarquement. II est assisté lui aussi

par un secoiid.
c- Le maitre d'équipage

raison de ses
Il est chargé par le chef d'exploitation de diriger l'exécution du travail en
compétences.

d- Les quatre matelots

d' amarrer Je
Ils font parti de l'équipage manœuvrier d'un bâtiment de mer. Ils sont chargés
navire.

e- Deux gendarmes
f- Deux policiers sur le quai
g- les hôtesses

IV/ LA PROCEDURE

nt munis de
Une fois que tous les passagers se sont réunis au niveau du hall d'embarqueme
sur la corne
leurs tickets et que l'heure de départ approche, le capitaine ou son second appuie
de brume pour donner le signal de l'embarquement.

te et la
Apres cette signalisation, les passagers se défilent vers le tourniquet pour le décomp
navire, le
limitation des passagers à l'aller. Une fois que les passagers sont tous à bord du
chef mécanicien donne le signal afin que le capitaine procède au transport.

V/ EXECUTION
e Dakar
Pour le déroulement de l'opération de l'embarquement concernant la Liaison Maritim
Gorée, nous avons un équipage de dix (10) personnes (voir les hommes en places).

qui
C'est ainsi que nous avons participé à une rotation (aller-retour) de la chaloupe« BEER»
s'est déroulé le 15 avril 2018 qui avait démarré à 12h30mn.

corne de
Dans un premier temps, nous avons le second du capitaine qui se dirigeait vers la
bord en
brume pour donner le signal de départ. Ensuite le capitaine remplissait le journal de
nt la
mentionnant l'heure de départ. On a constaté que le radar, un appareil indiqua
et la
profondeur, s'affichait 4,2m à quai. Le capitaine allume le GPS pour avoir la latitude
que la
longitude qui sert à tracer !'itinéraire. Ensuite durant tout le trajet, nous avons constaté

5
profondeur variait entre 12,5, 13 et 14 ,
, . mctres au m1·11·eu de Ia mer. u ne 101s
c- • • ,
arnvee a, quai•
(Goree) la profondeur ,était de 3 mètres A
· · pres accostage de la chaloupe nous avons vu deux
sapeurs qui aidaient les passagers à débarqu E fi ,
er. ..,n m on a aperçu a nouveau le capitaine
prendre le journal de bord pour mentionner l' heure d'arrivée.

VII DIFFICULTES ET PRECONISATION

1- Difficultés

Lors du déroulement de l'opération de l'embarquement de la Liaison Maritime Dakar Gorée,


des insuffisances peuvent être soulignées au cours du voyage.

Durant tout le trajet n9us n'avons pas vu un contact permanent entre le chef mécanicien et le
capitaine. Un habitant de la Gorée nous a communiqué sur les difficultés que la LMDG fait
face. Il souligne qu'il n'ya pas assez de sapeurs et policiers pour aider les passagers à
descendre à bord. Enfin la sécurité des passagers n'était pas assurée.

2- Préconisation

Au terme de cette rotation, nous préconisions à ce qu'une autre personne s'ajoutent dans
l'équipage du navire pour remplir à chaque voyage le livre de bord à la place du capitaine et
deux gendarmes pour assurer la sécurité des passagers, car nous avons constaté que le cabinet
ou siégeait le capitaine n'était pas sécurisé. De ce fait chaque passager pouvait y accéder. En
outre La LMDG doit étudier les points ci- après afin d'avoir une meilleure exploitation.

- sécurité : elle consiste à augmenter le contrôle tout au long c;le la chaine par l'augmentation
du personnel des chaloupes, par la révision de l'état des chaloupes

- réactivité : elle consiste à mettre un système d'information et de smv1 permanent pour


renseigner à tout moment sur la position de la chaloupe et avoir un contact avec le service
d'exploitation qui se trouve à l'embarcadère.

En outre la mise en carénage des chaloupes Coumba C~~tel et BEER nécessite un entretien
global. Il serait aussi préférable de réduire la fréquence des visites des touristes pour une
meilleure prise en charge des chaloupes mais aussi des goréens qui sont prioritaires.

6
INTRODUCTION

Dakar Dem Dikk est un opérateur national de transport commun au Sénégal. Il

~st l'opérateur principal de transport public de la capitale. Elle a été créée en

2000 en tant que successeur de l'ancienne société de transport SOTRAC. Son

directeur général est Mr Moussa Diop.

1 / PRESENTATION DE DAKAR DEM DIKK

Dakar Dem Dikk est une société de transport urbain au capital de 1.500.000.000.FCFA dont
15000 actions à 100.000 chacune.

Elle a été créée le 30 décembre 2000 pour une durée de 99 ans. Son siège social est situé au
km 4.5 Avenu CHEIKH ANTA DIOP. Dakar Dem Dikk a démarré ses activités en janvier
2001 et dispose actuellement d'environ plus de 400 bus, de 2000 agents, de 17 gares et 2
dépôts, dont l'un a Ouakam et l'autre à Thiaroye.

Sa mission principale est d'offrir à la population un service de transport répondant aux


normes de modernité et de sécurité.

Pour relever ces défis la société a opté pour une nouvelle politique managerielle axée sur la
satisfaction des usagers d'abord, la création d'emploi, la promotion du dialogue social et
l'amélioration des conditions de vie et du milieu de travail.

La société DDD a à sa tète un directeur général qui est chargé d'organiser, de commander et
1

de contrôler les différentes actions devant contribuer à la satisfaction de la mission qui lui a
été confiée. Ces différentes directions sont les suivantes :

- La direction technique
- La direction des ressources humaines
La direction informatique
La direction administrative et financière
- La direction des services de l'exploitation

La société DDD est chargée d'organiser et d'accomplir l' opération de transport urbain. Elle
offre aux populations une large gamme de services adaptés à leurs besoins de déplacement.

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Pour mieux organiser ses activités, la société a mis en place un système d'horaires de passage
et de ramassage de passagers à partir des points d'arrêt fixés par la direction.

Mais comme toute autre société exerçant dans le secteur du transport routier, elle est
concurrencée par les bus TATA (AFTU : Association pour le Financement du Transport
Urbain à Dakar), les cars rapides, les ndiaga ndiaye, les taxis .. . En effet DDD évolue dans un
envirmmement peu favorable et doit malgré tout s'imposer mais aussi répondre efficacement
aux besoins des populations.

Il/ DEFINITION ET OBJECTIF

!-Définition

Le bureau de la planification est le service de l'entreprise qui est chargé de l'organisation et


de la planification des horaires du réseau.

2- obiectif:

L'activité principale de DDD est le transport urbain des passagers moyennant rémunération.
Son but est de répondre au besoin de la population mais aussi d'organiser et d'accomplir
l'opération de transport urbain. En outre elle doit offrir aux populations une large gamme de
services adaptés à leurs besoins de déplacement.

Ill/ LES MOYENS UTILISES

Les moyens utilisés sont les documents et les moyens humains.

1/ les documents utilisés :

Les documents utilisés pour réaliser l'acheminement sont les suivants:

- La feuille de route : c'est un document qui matérialise l'acheminement des personnes


d'une zone à une autre.
Le fichier horaire général : c'est un document déposé au niveau de la gare (terminus)
pour l'exploitation des bus
Les tickets
Et les quatre matériels utilisés que sont :

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• les ordinateurs
• les cachets
• les imprimantes
• les horloges

2/ les moyens humains

a- le directeur d'exploitation

Il rassemble tous les documents afférents à la procédure del 'itinéraire.

b- Le transporteur

Il est chargé de l'acheminement des personnes d'un point A -à un point B.


1

c- Le receveur

C'est l' agent qui délivre aux passagers les tickets moyennant le prix du transport. En même
temps il mentionne sur la feuille de route après chaque section.

d- Le régulateur

Il réceptionne les bus et il gère le terminus. C'est lui qui ordonne le fichier horaire général.

e- Le contrôleur

Il vérifie la feuille de route, contrôle les tickets des clients ainsi que les cartes de transport.

IV/ LA PROCEDURE

Pour la planification, on ,cloit d'abord avoir les moyens humains et matériels. Ces derniers sont
constitués de personnes et de bus. C'est à partir du nombre de bus qu'on pourra définir les
horaires : soit l'heure de sortie, la fréquence et l'heure de rentrée au dépôt.

Nous tenons à signaler que la programmation des horaires et équipages se font exactement sur
la base d'un logiciel appelé H CONCEPT. Il est doté d'une base de donnée permettant
d'identifi er les moyens, les agents disponibles, les équipages, leurs jours de repos, leur
service, la ligne sur laquelle ils sont affectés et enfin le numéro de matricule de chaque bus.
L' H CONCEPT est un logiciel déjà installé sur chaque ordinateur du bureau de la
planification. A partir de cette base de données, la programmation des équipages se fait
automatiquement. Ceci eh faisant la saisie du jour d'établissement du programme de la ligne.
En outre le logiciel nous donne la liste des équipages en fonction du nom et du service de

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chacun. Une fois que la programmation est faite, il s'agit maintenant de faire imprimer les
programmes établis sous forme de « feuille de route » qui est ensuite conduite au lancement.

V/ DEROULEMENT

Pour la programmation, il ya une méthodologie à suivre et elle se fait par étape.

- Nous avons d'abord établi les horaires généraux à partir d'H CONCEPT. Cela consiste à
définir l' heure d'aITivée de l'équipage à la gare, l'heure de départ ou il doit commencer son
service en fonction des heures de départ prévues et l'heure de descente de l'équipage

Apres cela, le directeur d'exploitation lui attribue un service, une position et un bus. Tout ceci
est fait sur un tableau pour permettre à chaque agent d'être informé sur sa journée de travail
et le tableau des services.

C' et sur le tableau de service qu'est inscrit l'heure de prise de service, la position, le service,
le lieu et le service de l'équipage, le nombre d'heure de travail pour qu'à la fin on vérifie si
l'agent a fait les 44h de la semaine.

VI/ PRECONISATION

Durant cette action des difficultés ont été rencontrées au niveau de la conception des horaires
et équipages, au niveau du calcul de la fréquence c'est-à-dire l'espace temporaire qui doit
avoir entre deux bus par rapport au nombre qui a été donné. En outre des difficultés ont été
rencontrées sur la permutation des conducteurs, des receveurs selon qu'ils étaient disponibles
pour le service ou pas. Ainsi on préconise plus d'efficience et d'efficacité dans le travail. En
plus ils doiyent former plus de personnel pour une meilleure productivité du facteur. 'Pour
plus de sécurité, de confort et plus d'accessibilité au service, il serait préférable de renouveler
les arrêts de bus, car ils ne sont plus visibles pour la plus part des usagers. Certains les
identifient juste par le souvenir.

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INTRODUCTION
La sociétë TRANSFRET est une entreprise de transport maritime, routier et aérien. Elle eSf
spécialisée dans les opérations en douane et le fret. Créée en 1996, TransFret est une société
agréée en douane ' en manu tention · portuaue ·
· et en cons1gnat10n · · ·
mant1me au cap1·ta I de 80
· d'
millions. Elle bénéfiicie • , . . ,
un solide reseau de relat10n et de partenaJTe a travers le monde.

1/ PRESENTATION DE L'ENTREPRISE
La société TRANSFRET a d'abord été nommée TRANSGRET qui signifie Transit et Négoce.

Elle a dép,arré ses activités en 1999 sous la direction de M. TRAORE. Au début elle-faisait de
/
la sous-traitance c'est-à-dire elle exerçait son activité sans agrément par conséquent elJe
utilisait l'agrément d'autres commissionnaires en douane pour accomplir les fonnalités
douanières et administratives des marchandises que les clients lui ont confiés.

C'est en 1999 qu'elle a obtenu son agrément de commissionnaire en douane. Elle se


transforme en SARL (Société a Responsabilité Limitée) sous le nom de TRANSFRET
(transit fret) et ensuite en 2002 elle acquiert le statut de Société Anonyme (SA).

Il/ BUT

Comme toute déclaration douanière, l'objectif principal de la société prestataire de service


reste à dédouaner les marchandises c'est-à-dire à pennettre leur introduction dans le circuit de
la douane, à procéder à son enlèvement c'est-à-dire à acquérir du bon à enlever et enfin à
,
,livrer les dites marchandises à son propre client ou à son représentant. En outre la société
cherche à offrir à ses clients une qualité de service irréprochable.

Ill/ LES HOMMES EN PLACE

Les personnes qm interviennent lors d'une déclaration dans le circuit douanier sont les

suivantes

Le client
Le déclarant en douane
Le secrétaire
Le passeur de pièce
Le percepteur

u
Le secrétaire du chef de section
Le chef de visite
Le distributeur
Le vérificateur
Le magasinier

IV/ DOCUMENTS ET MATERIELS UTILISES

1- Documents utilisés

Les documents utilisés sont les suivants :

• La facture commerciale : c'est un document commercial qui relate le coût de la


marchandise, le poids. Elle nous donne aussi des informations sur l'expéditeur, le
client et le type de contrat commercial qui les relie.
• La Lettre de Transport Aérien est un document (LTA) qui lie le client et le
transporteur. Elle nous donne des informations sur le coût du Fret. La lettre de
transport aérienne matérialise une opération d'achat. Elle permet de connaitre les
indications de portées sur le présent document à savoir le nom et l'adresse de
l'expéditeur et du destinataire, le nom et le pays de l'agent émetteur, l'aéroport de
départ et de destination, le numéro de vol, le nombre de colis, le poids brut, la
nature et la quantité de la marchandise.
• La note de détail : c'est un document dans lequel la douane exige que chaque
article doit être traité cas par cas. La note de détail.informe aussi sur les actions à
déclarer, l'adresse de l'expéditeur et du destinataire, le manifeste, la provenance, le
numéro de la LTA, le nombre d'article, le régime, l'espèce tarifaire, le poids net, la
valeur de la marchandise, le fret, l'assurance qui constitue la base taxable qui
permettra la pré- liquidation des droits et taxes applicables.
• L'attestions d'assurance : c'est un document permettant de détenir une carte
IMPORT-EXPORT pour assurer ses marchandises. Elle est proportionnelle par
rapport à la valeur de la marchandise.
• La déclaration préalable d'importation(DPI): c'est une société multinationale
basée dans plusieurs pays. Elle a comme activité de vérifier la valeur des
marchandises importées, leur qualité et leur position tarifaire. Toutes marchandises
I
importées dont la vaeur é·
est sup -neure ou éga le à un million (1.000.000 FCFA)
doivent avoir un DPI. .

• L'atte st ation de vérification(A V) : elle est déterminée si la valeur des

marchandises est supérieure ou égale à trois millions (3.000.000 FCFA).

2- Les matériels utilisés


\
\
Pour les matériels utilisés nous avons besoin :

• Des ordinateurs


De la photocopieuse

D'un _tampon

D'une calculatrice
\
1

• D'une agrafe

V/ PROCEDURE

Une fois que tous les documents sont réunis dans des chemises cantonnées, il faut de prime
abord procéder à un travail supplémentaire commercial(TSC) au prix de trois milles Frans
CFA (3000fcfa) au guichet de la douane.

Le déclarant doit déposer le dossier à la recevabilité ou l'agent douanier est chargé de


s'occuper de la vérification des documents. L'agent douanier met un cachet R pour montrer
que le dossier est recevable. Puis le dossier est transmis au secrétaire du chef de visite qui a
1

pour mission de vérifier encore les documents déposés et donne l'ordre à écorer. Il peut
designer aussi un inspecteur en douane qui doit reprendre tout le travail du déclarant, ensuite
le chef de visite envoie le dossier à la distribution pour être enregistré une fois de plus. Ceci
permet d'avoir plus tard des traces du dossier et enfin celui-ci confie à un vérificateur qui fait

donc la délivrance du bon à enlever.

VI/ EXECUTION

En ce lundi 5 avril 2018 après avoir pris fonction à 8h, notre maitre de stage nous a confié une

tâche très importante qui consistait à :

• Introduire une déclaration d'enlèvement normale dans le circuit douanier. En effet,


notre maitre nous a remis une chemise dans laquelle se trouvaient des documents

13
de détail, une décla ration
comm e la facture, la lettre de tran~ ort aérienne, la note
ées.
provi soire d'imp ortat ion et des déclarations informatis
les références telles que le
• Apre s avoir prése nté la chem ise au secrétaire, elle a pris
ro de la LTA et elle nous a
numé ro de la déclaration, le nom du client et le numé
la dite sol111Tle, on se dirige
remis la somm e de 3000 FCFA. Après acqui sition de
on introduit le dossi er au
dans les locau x de la doua ne .une fois sur les lieux
on prend une copie d'une
burea u de perce ption pour l'ach ;t d'un timbre puis
décél ératio n informatisé~ pour agrafer le TS.
nt doua nier s'occ upe de la
• Ensu ite, on a dépo sé le dossi er à la république ou l'age
t R pour mont rer que le
vérif icatio n des documents. Ce dernier met un cache
dossi er est recevable. Dans ce burea
I
u on a eu à remp lir dans un registre le numé ro
1

de la société de transit
de la déclaration, le nombre de colis, le nom
du chef de visite qui a
(TRA NSFR ET). Puis le dossier est transmis au secrétaire
et donne l'ordr e à écore r
pour missi on de vérifier encore les documents déposés
reprend tout le trava il du
ou il désig ne lui-même un inspecteur en douane qui
à la distribution pour être
décla rant, ensui te le chef de visite envoie le dossier
des traces du dossi er et
enreg istré une_fois de plus. Ceci permet d'avo ir plus tard
rance du bon à enlever.
enfin celui -ci confie à un vérificateur qui fait donc la déliv
CONCLUSION GENERALE

En définitive nous pouvons dire que ces actions sont d'autant plus importantes grâce à leur
impact dans la procédure de dédouanement des marchandises en transport aérien, dans le
transp011 de passagers en maritime et routier.

Cependant nous avons rencontré pas mal de difficultés mais ils nous ont quand même pennis
de nous familiariser avec le monde professionnel dans le milieu de la logistique.

Aussi on a eu à constater la différence entre la théorie et la pratique qui sont diamétralement


opposées.

1,..
_)

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