Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
ARTICLEBATOUFAM
ARTICLEBATOUFAM
net/publication/315793365
CITATIONS READS
0 5,049
1 author:
SEE PROFILE
Some of the authors of this publication are also working on these related projects:
Research in soil geotechnics, the use of soils properties on roads construction View project
reseach of correlation between a bulding materials properties and thickness layer of the road View project
All content following this page was uploaded by Takala Boris Honore on 05 April 2017.
I-1 - LOCALISATION
Batoufam est un village de l'Ouest Cameroun, en pays Bamiléké, appelé Tswefap en
langue locale. Il fait partie de l'Arrondissement de Bayangam dans le Département du Koung-
Khi. Avec une altitude comprise entre 1400m et 1800m et une superficie estimée à 27 km 2, il
est situé entre 5o14’ et 5018’ de latitude Nord, et entre 10026’ et 10031’ de longitude Est.
Traversé par la nationale N0 1, il partage ses frontières avec six villages, notamment :
Bayangam au nord-ouest et à l’ouest, Bangoua et Bandrefam au sud, Bangang Fokam à l’est,
Bangang Fondji au nord-est et Bandjoun au nord.
I.2.2- Economie
La vie du peuple Batoufam repose essentiellement sur l’agriculture et l’élevage.
Auparavant, les produits issus de ces activités, relativement mois abondants, étaient destinés à
la seule consommation locale. Guiffo (2009) souligne que le village était aussi un haut lieu de
culture de café arabica. Il mentionne que le maïs est cultivé dans tous les quartiers, l’igname
et les arachides dans la plaine de Ngang, la banane-cochon à Tsep et Toula, les pommes de
terre et le haricot respectivement à Mbé et Ndeptse, et bien d’autres encore. L’élevage se
résume à celui de bovins, porcins et volailles. On y pratique également de l’artisanat qui que
représente une importante source de revenus.
La proximité des villes voisines comme Bandjoun, Bagangté et Bandrefam a favorisé
le développement des activités commerciales, notamment le brassage des produits lors des
marchés périodiques. Depuis le déplacement du poste de péage de l'arrondissement de
Bayangam à la frontière entre Batoufam et Bangoua, une intense activité commerciale s'est
aussi développée en ce lieu. Les produits agricols et pastoraux sont commercialisés, ainsi que
ceux issus de l’artisanat et divers produits manufacturés.
2
pluvieux, avec des moyennes de précipitations respectives de l’ordre de 257,5 mm et 7,72
mm. Les données météo attestent que le mois de Mars est le plus chaud (23oC), et les mois de
Juillet, Août et Décembre sont les plus froids (20.2oC). Les indices d’aridité de De Martonne
montrent que les mois de Décembre, Janvier et Février sont les mois secs, lorsque les mois
d’Avril à Octobre sont humides, Mars et Novembre se situant entre ces deux types.
Précipitations (P)
Température (T)
P = 2T
I.3.4- Hydrographie
La localité de Batoufam est parcourue par un important réseau hydrographique (figure
4). On y distingue de nombreux cours d’eau dont l’ordre hiérarchique varie de 1 à 4. Le
collecteur principal est le Noun, qui s’écoule suivant la direction générale NNW-SSE. A
celui-ci se raccorde perpendiculairement à l’Est la Koupa d’écoulement W-E, dérivant de la
Ketseng, d’écoulement N-S, tous deux au Nord de la localité. Deux réseaux dendritiques
alimentent la Koupa, l’un par le Sud et l’autre par le Nord, d’écoulements généraux respectifs
SSW-NNE et WNW-ESE.
3
I.3.5- Géologie
Olivry (1976) précise que la couverture géologique de la région comporte
essentiellement les formations du socle et les formations volcaniques, celles-ci recouvrant les
premières sur la majeure partie du plateau Bamiléké. Les formations du socle sont surtout
constituées par des gneiss embréchites calco-alcalins, retrouvés toujours en position
anticlinale. Il souligne que dans l’ensemble de la Mifi-Sud c’est-à-dire la zone incluant
Batoufam, la couverture est constituée pour 77% de « basaltes de plateau», 20% de formations
du socle et 3% de trachytes alluvions et basanitoïdes.
Pour Ghenkap Sotche (2014), la localité de Batoufam est située au pied du versant Est
du Mont Bangou, et appartient à la Ligne Volcanique du Cameroun (LVC) sous lequel repose
le socle panafricain. En faisant un bref aperçu sur la Chaîne Panafricaine d’Afrique Centrale
(CPAC), elle fait référence à certains auteurs tels que Nzenti (1998), Tagne Kamga
(2003) ,Tchameni et al. (2000, 2001, 2006), Ngako et al. (2008). Ces derniers précisent que
sur le plan pétrographique, la C.P.A.C est constituée des formations aussi complexes que
variées. On rencontre majoritairement des granitoïdes (leucogranites, granites à biotite,
granites à deux micas, granites à biotite et amphibole, granites à biotite et grenat,
granodiorites, diorites, monzonites, syénites et les gabbros), auxquels sont associés les gneiss
à grenat-biotite-disthène, gneiss à biotite-muscovite-grenat, gneiss à pyroxène, gneiss
migmatitiques, les migmatites, les amphibolites, les granulites et les quartzites. On y retrouve
aussi des formations volcaniques majoritairement représentées dans la zone, couplée a une
moindre présence de gneiss à amphibolites indifférenciés (figure 5).
La localité de Batoufam dans son ensemble ainsi que ses environs n’ont pas encore fait
l’objet d’étude pédologique détaillée. Cependant, certains auteurs ont effectués plusieurs
travaux sur les sols de la région de l’ouest. Déjà en 1967, une étude portant sur un résumé des
sols du Cameroun avait été réalisée par Segalen. De cette étude, il en ressort que trois
ensembles de sols se distinguent dans les hautes terres de l’ouest Cameroun, en pays
Bamiléké : les sols peu évolués, les sols ferrugineux tropicaux, les sols rouges et bruns
rouges. Olivry (1976) souligne que les sols de cette région proviennent de l’altération de ces
roches constituant la couverture et sont essentiellement des sols ferralitiques rouges sur
matériaux du socle ou basaltes des plateaux, ou humifères sur trachytes et basaltes de
montagne. On observe également plusieurs types de sols hydromorphes et des sols peu
évolués d’apports pyroclastiques ou dérivés des cendres sur basaltes.
Ces trois types de sols ont des origines et des caractéristiques diverses :
Les sols ferralitiques qui dérivent des roches du socle et des matériaux d’origine
volcanique. Du point de vue morphologique : il s’agit de sols à profil ABC.
L’horizon A présente une matière organique bien évoluée. L’horizon B est le plus
souvent très épais (de couleur rouge ou brun-jaune). Les minéraux primaires autres
que le quartz sont absents. L’horizon C est également souvent très épais, à
l’exception des sols dérivés de basalte où il peut être très mince ;
Les sols peu évolués, dérivés de matériaux volcaniques projetés, ont un faible
développement par suite de leur jeunesse. Ces sols sont de couleur foncée, peu
épais et riches en matière organique ;
Les sols hydromorphes dont la présence sur le plateau Bamiléké est attribuée à la
faiblesse de l’érosion, ainsi qu’à l’établissement accidentel d’obstructions dans
certaines vallées, par l’arrivée de produits volcaniques, qui déterminent l’ennoyage
de la partie située en amont et les conditions favorables au développement de ces
sols.
4
Figure 5. Indication de la position de la
Figure 1. Bloc diagramme de la localité de zone d’étude sur la carte geologique du
Batoufam cameroun (Nzenti et al, 2010)
Figure 2 . (a) Carte des bassins hydrographiques du Cameroun ; (b) carte du bassin de la
Sanaga ; (c) Carte hydrologique de la localité de Batoufam (extrait de la carte
topographique de Bafoussam) 5
CONCLUSION
Village de l’ouest Cameroun, Batoufam présente un climat tropical à deux saisons
inégalement réparties, couplé à une végétation de savane et de galeries péri-forestières.
L’économie repose sur les activités agricoles et pastorales, associées aux activités
commerciales périodiques. Avec une géomorphologie générale des hauts Plateaux constituée
de collines surbaissées et de vallées, le réseau hydrographique est dendritique et possède le
Noun comme collecteur principal. On note une grande variété de sols développés sur un socle
majoritairement dominé par les Basaltes de Plateau.
II- METHODOLOGIE
II.1.2- Echantillonnage
L’horizon de sol est l’unité de base du prélèvement. En pédologie comme en
géotechnique, un des grands problèmes réside dans la représentativité des échantillons. Les
précautions à prendre lors du prélèvement d’échantillons sur le terrain dépendent d’abord de
la problématique de l’analyse (Reboza, 2011).
6
particules est supérieur ou égal à 80µm, ainsi que la sédimentométrie pour les éléments
inférieurs à cette taille. Ces deux essais complémentaires aboutissent à l’établissement de la
courbe granulométrique caractéristique du matériau à identifier.
II.2.1.1.2- Sédimentométrie
Le but de la sédimentométrie est la détermination de la distribution pondérale de la
taille des particules de sols de dimension inférieure à 0.08mm.
Elle est réalisée conformément à la norme N FP 94-057.
Cet essai permet de déterminer la capacité de portance d’un sol compacté, en estimant
sa résistance au poinçonnement, en fonction de son état, sa densité et son humidité, ainsi que
les charges appliquées. Il s’agit donc de déterminer expérimentalement des indices qui
serviront à déterminer l'épaisseur des couches de fondation, établir une classification des sols
et permettre d'étudier la traficabilité des engins de terrassement.
La norme NF P 94-078 précise que le principe général consiste à mesurer les forces à
appliquer sur un poinçon cylindrique pour le faire pénétrer à vitesse constante dans une
7
éprouvette de matériau. Les valeurs particulières des deux forces ayant provoqué deux
enfoncements conventionnels sont respectivement rapportés aux valeurs des forces observées
sur un matériau de référence pour les mêmes enfoncements. L’indice recherché est défini
conventionnellement comme étant la plus grande valeur, exprimée en pourcentage, des deux
rapports ainsi calculés.
CONCLUSION
La partie qui s’achève ainsi est en substance la description littérale des différents
travaux effectués. Ceux-ci sont en effet de deux types : les travaux de terrains visant au
prélèvement du matériau, sa description ainsi que celle du lieu de prélèvement (profil
pédologique de la carrière), et les travaux de laboratoire, avec pour but d’une part d’identifier
le matériau à travers les essais d’analyse granulométrique et des limites d’Atterberg ; et
d’autre part de caractériser celui-ci, par les essais Proctor, CBR, de compression simple et de
résistance à la traction. Même si les difficultés rencontrées ne sont pas identiques, tous les
essais réalisés ont conduit à des résultats qui seront présentés et interprétés dans la partie
suivante.
INTRODUCTION
Les résultats présentés dans cette partie sont des performances issues des
investigations sur le terrain et des essais en laboratoire. Il s’agira de la description de la coupe
ou profil pédologique ; de l’identification du matériau à travers les paramètres physiques
issues de l’analyse granulométrique et des limites d’Atterberg, ainsi que sa caractérisation par
les valeurs découlant des essais Proctor, CBR, de compression simple et de traction indirecte.
Les résultats obtenus seront comparés aux exigences géotechniques référées dans le guide de
dimensionnement des chaussées pour les pays tropicaux.
8
texture est sableuse, et la structure est grumeleuse abondamment particulaire, friable à
l’état sec.
Un niveau argileux meuble, qui fait directement suite au précédent, et présente un
aspect rouge. Il est parcouru de racines et radicelles, et présente une limite basale
nette et continue. Son épaisseur est d’environ 0,55 m, mais est très variable sur le
terrain. On y retrouve aussi quelques nodules dont la taille est de l’ordre du millimètre.
La texture est fortement argileuse et la structure est polyédrique. Ce niveau est
surmonté par une végétation anthropique.
9
Figure7.Courbegranulométrique
Tableau 2. Récapitulatif des valeurs des paramètres déduits des limites d’Atterberg
Paramètre wl wp Ip IC Il f X Ip
Valeur 42 22 20 1.75 -0.75 280
Le matériau apparait comme ayant une consistance dure selon l’indice de consistance
(IC = 1,75), et même très dure selon l’indice de liquidité (Il = -0.75). Sa position dans le
diagramme de plasticité de cassagrande le caractérise comme argile inorganique de plasticité
moyenne (figure 10). Les valeurs des limites de liquidité et de plasticité sont inférieures à
63% et 43% obtenues par Djuickouo (2012), et 48.6% obtenues par Ananfouet Djeufack
(2012) sur les sols indurés sur basalte, tous deux dans la localité de Dschang, ainsi qu’à celles
obtenues par Ngo’o Zé (2011) dans la zone d’Akonolinga. Cependant, comparativement aux
trois auteurs sus-cités, l’indice de plasticité est respectivement égal, supérieur et inférieur aux
leurs (respectivement de 20% ; de 18,3% ; de 27,4% et 33,5%). En appliquant le calcul de
10
l’activité des argiles a ce matériau, on déduit que sa fraction argileuse est inactive (activité =
2). Le gonflement est en effet une caractéristique nécessaire dans le choix d’un matériau en
construction routière. Millogo (2008) propose alors la formule suivante : εs = IP 2,24.
Les différentes valeurs d’un tel gonflement sont consignées dans le tableau 11. L’application
d’un tel calcul dans le cadre de ce travail donne une valeur de 0,008, donc inférieur à 1,5 et
faisant ainsi du matériau un sol peu gonflant.
44
Faible Plastici Haute
43
60 té
Teneur en eau (%)
III.2.3- Classification
Les résultats de l’analyse granulométrique et des limites d’Atterberg ont permis de
faire une classification des graveleux latéritiques de Batoufam. Au regard de la distribution
des particules dans le matériau, il s’agit d’un gravier sablo-argileux. En rapportant ces valeurs
dans la classification USCS, il s’agit d’une grave argileuse (GC). Au sein de la classification
HRB, ce matériau appartient à la classe A-2-7(0). Il fait ainsi partie des graviers et sables
limoneux ou argileux, de comportement excellent à bon en construction routière. D’après les
spécifications du CEBTP pour les pays tropicaux, les valeurs de Ip (<40) et Wl (< 70)
attestent que ce matériau peut être mis en œuvre pour plate-forme, et sans traitement. En
associant ces valeurs au module de plasticité (280), les mêmes spécifications prévoient qu’un
tel matériau peut être utilisé en couche de base et en couche de fondation, ceci confirmé par
l’insertion de sa courbe caractéristique dans les fuseaux granulométriques desdites couches.
12
ciment. Ce guide précise par ailleurs les épaisseurs à adopter en cas de mise en œuvre, suivant
l’indice CBR après 4 jours d’immersion. Selon ce dernier, pour la plateforme ou la couche de
forme, les graveleux de Batoufam avec leurs caractéristiques peuvent constituer une couche à
compacter d’épaisseur maximale de 30 cm. Cette épaisseur est de 10 cm minimum et 25 cm
maximum dans le cas de leur utilisation en couche de fondation. Par ailleurs, il ajoute que, ce
matériau présente un indice portant du CBR faible pour son utilisation en couche de base,
malgré le fait que les autres exigences soient satisfaites pour ladite couche
Tableau 3. Données CBR et Densités relatives à la détermination de l’indice CBR immédiat
a b
c d
Figure12. (a) courbes efforts-déformations (CBR immédiat). (b) courbes de variation des
densités suivant les indices CBR (CBR immédiat).(c) courbes efforts-déformations (CBR par
immersion) ; (d) courbes de variation des densités suivant les indices CBR (CBR par
immersion)
13
III.3.3 – Résistances à la compression simple et à la traction indirecte
Les valeurs de la résistance à la traction sont consignées dans le tableau 5. Elles sont
inférieures à celles trouvées par Nanga Bineli (2014) sur les graveleux d’Ebolowa (de 16,9
bars ; 13,6 bars et 11,9 bars), mais supérieures à celle trouvée par Ngo’o Zé (2011) sur les
graveleux d’Akonolinga (14,5 bars). Celles relatives à la résistance à la traction sont
présentées dans le tableau…. Elles sont inférieures à celles obtenues par Nanga Bineli (2014)
sur les graveleux d’Ebolowa, à savoir de 1,7 bars ; 1,5 bars et 1,4 bars. De tels résultats
montrent que les résistances à la compression et à la traction diminuent avec le nombre de
jours passés à l’air libre. Ceci s’explique par la diminution de l’humidité, donc de la quantité
d’eau dans le matériau. Il se produit alors une déshydratation progressive des fines dans le
matériau, celles-ci jouant le rôle de « ciment », donc unissent les nodules d’autant plus
efficacement que ces dernières sont imprégnées d’eau. Ainsi, avec le temps, on assiste à la
création et l’apparition des fissures sur le matériau, qui se désintègre peu à peu, perd ainsi de
sa résistance, et devient friable. Ceci est aussi bien illustré par les valeurs de la cohésion du
matériau, qui suivent la même évolution que celles de la résistance à la compression. Cette
propriété peut causer un effritement de la surface d’une route en terre construite avec un tel
matériau, dans le cas d’une exposition prolongée de celle-ci aux conditions de sècheresse
ambiante.
Tableau5. Variation de la résistance à la compression(a) et à la traction (b) avec le temps
(a) (b)
jours 4 7 28 Jours 4 7 28
F max(N) 28000 25000 16000 P max (N) 5000 4000 1000
S (mm2) 18136,64 18136,64 18136,64 Rit 0,14 0,11 0,03
Rc(Mpa) 1,54 1,38 0,88
Rt (Mpa) 0,11 0,09 0,02
Rc (bars) 15,44 13,78 8,82
Cu 30,88 27,57 17,64 Rt (bars) 1,10 0,88 0,22
CONCLUSION
14
graveleux de Batoufam sont utilisables en couches de chaussée, notamment en plate-forme et
couche de forme pour toutes les classes de trafic, et en couche de fondation pour les trafics
faibles, de T1 à T3. Ils nécessitent cependant une optimisation de leurs caractéristiques,
notamment pour leur emploi en couche de fondation pour les trafics importants (T4 et T5),
ainsi qu’en couche de base.
PERSPECTIVES
REFERENCES BIBIOGRAPHIQUES
15
- Guiffo J.P., 2009, Les bamiléké de l’intérieur et leurs problèmes, éditions de
l’Essoah, 258 pages, pp 163-175.
- Lérau J., 2006, Mécanique des sols. Cours théorique 3ème année-Ingénierie de la
construction, INSA de Toulouse. 52p.
- Lovaritina. R., 2013, Contribution à l’étude de la stabilisation de la latérite par le
purin de bœuf : cas de la latérite de Vontovorona, mémoire de fin d’études, diplôme
d’ingénieur en génie chimique, 146 pages.
- Mailloux. A et Chenard. J., 2011, Les essais qualitatifs réalisés sur les enrobés et
leurs constituants, 38pages.
- Millogo, 2008, Etude géotechnique, chimique et minéralogique de matières premières
argileuse et latéritique du Burkina Faso améliorées aux liants hydrauliques :
application au génie civil (bâtiment et route), Thèse Doctorat univ. de Ouagadougou,
144p.
- Nanga Bineli M.T., 2014, Caractérisation géologique et géotechnique des graveleux
latéritiques sur granites de la région d’Ebolowa (Sud-Cameroun), mémoire master II,
univ.de Yaoundé I, 73 p.
- NF P 94-051, 1993, Sols : Reconnaissance et essais. Détermination des Limites
d’Atterberg. Limite de Liquidité à la coupelle – Limite de Plasticité au rouleau.
AFNOR, 16p.
- NF P 94-056, 1996, Sols. Reconnaissances et essais. Analyse granulométrique.
Tamisage sous l’eau. AFNOR, 16p.
- NF P 94-057, 1992, Sols : reconnaissance et essais. Analyse granulométrique.
Méthode par sédimentation. AFNOR, 20 pages.
- NF P 94-078, 1997, Sols : Reconnaissance et essais. Indice CBR après immersion –
Indice CBR immédiat – Indice portant immédiat. AFNOR, 12p.
- NF P 94-093, 1999, Essais Proctor normal – Essai Proctor modifié. AFNOR, 19p.
- NF P 94-420, 2000, Roches : Détermination de la résistance à la compression
uniaxiale. Norme française, 7 pages.
- NF P 94-422, 2001, Roches. Détermination de la résistance à la traction. Méthode
indirecte. Essai Brésilien. Norme française, 7 pages.
- Ngami P.F., 2012, Caractérisation des matériaux d’altération sur Gneiss
migmatitiques et sur basaltes de la région de Tonga-Bagangté (Ouest-Cameroun),
mémoire Master II, univ. de Yaoundé I, 123 p.
- Ngo’o Zé A., 2011, Effets de la chaux sur quelques propriétés physico-mécaniques de
deux graveleux latéritiques de la zone d’Akonolinga (région du centre). mém. Master
II. fac. Sci. univ. Yaoundé I, 97 p + annexes.
- Nneme Assemba M.A., 2011, Etude du comportement physico-mécanique des
graveleux latéritiques du secteur de Nkolmetet (région de Mbalmayo) pour leur
valorisation en construction routière : Application sur l’axe Metet–Ngouantet-
Membwa, mémoire master II, univ.de Yaoundé I, 71p.
- Noumi E., 1986, Batoufam, essai de monographie d’une chefferie Bamiléké de
l’Ouest Cameroun, éditions Ceper, Yaoundé, 93 pages, pp11-12.
- Olivry J.C., 1976, Régimes hydrologiques en pays bamiléké (Cameroun), cahier
Orstom, 71 pages, pp 39-40.
- Reboza A., 2011, Indicateurs texturaux pertinents pour l’infiltration des eaux traitées
en assainissement non collectif, Ecole Nationale des Ponts et Chaussées de paris, 44
pages.
- Sikali F.et al., 1986. Utilisation des latérites en technique routière au Cameroun,
rapport inédit LABOGENIE, pp 277-288.
16