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RAPORT DE STAGE
Thème : TRANSPORT DES HYDRAUCARBURES PAR
CANALISATIONS
REALISE PAR:
Relimi Fadila
Zenfouf Linda
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SOMMAIRE
Introduction _____________________________________________________4
Présentation de SONATRACH ______________________________________5
Réaux de pipe en Algérie__________________________________________8
_
OLUODUC 24 ‘’OB1_____________________________________________9
Conclusion ____________________________________________41
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REMERCIEMENTS
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INTRODUCTION
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PRESENTATION DE SONATRACH
Ainsi après création de Sonatrach, l’oléoduc OZ1 fut construit. Il relie H.E.H
au port d’Arzew
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constitué de plus de 32 canalisations, 78 stations de pompage et compression ,
109 bacs de stockage, 3 ports pétroliers et 2 centres de dispatching.
Mise en service :
1999 Gazoduc GR2 / 48’’ Alrar à HassiR’mel
L’oléoduc OH3 / 30’’Hassi Berkine à HEH
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O
S
E
C
D
T
A
H
L
R
IV
N
M
P
Après la nationalisation des hydrocarbures, et durant son évolution naturelle
Sonatrach a vu des réorganisations de ses activités, des restructurations, des
changements stratégies de ses opérations et plus récemment des ouvertures
du marché Algérien à d’autres partenaires étrangers. Cependant et
contrairement à d’autres activités comme par exemple la production, le
transport par pipeline est resté toujours l’activité la plus stratégique et la plus
névralgique de la Sonatrach. Il parait qu’elle restera dans son intégralité le
monopole exclusive de la Sonatrach pour aujourd’hui et pour demain.
Pour réaliser ces objectifs stratégiques l’entreprise fut entre autres organisée
en quatre activités qui sont les suivantes.
L’amont
En charge la recherche l’exploration et la production de hydrocarbures
L’aval :
A en charge l’élaboration et la mise en œuvre de politiques de développement
et d’exploitation de l’aval pétrolier et gazier.
La Commercialisation :
La Commercialisation a en charge le management des opérations de vente et de
shipping .
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L’Activité Transport :
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OLUODUC 24 ‘’OB1
Le terminal marin Bejaia TMB est alimenté par cet oléoduc, il fut le premier
pipeline installé en ALGERIE en 1957. Appartenant à la compagnie française
du pétrole CFP et la SNREPAL, sa gestion fut attribuée à la SOPEG
L’oléoduc avec une longueur de 660,72 Kms reliant le centre de stockage
HAOUD EL HAMRA avec BEJAIA, fût conçu avec deux phases
d’exploitation à l’esprit. Il rentre dans sa première phase en 1959
Au départ l’altitude est de 150 m au PK 0, (voir la topographie de OB1) il
commence par décroître pour atteindre 45 m au PK 320 Km, il se hisse ensuite
progressivement pour atteindre 1032 m au PK 533. Ce point situé sur le col de
SELATNA représente le sommet le plus haut de la ligne : on le définit en
hydraulique comme « point de contrôle ». C’est à partir de cette altitude qu’il
commence à décroître une deuxième fois pour atteindre le niveau le plus bas à
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TM BEJAIA
Cet ouvrage est équipé de huit stations de pompage dont quatre stations
principales : SP1 bis – SP2 – SP3 - TM BEJAIA et quatre stations intermédiaire
ou satellite : SPA- SPB- SPC – SPD.
La R.T.Béjaia gère la totalité du pipeline, à l’exception de la station départ SP1
qui est gérées par la Région Transport HEH(RTH).
Un piquage sur la ligne à BENI MANSOUR au PK 573 fut réalisé en 1970 dans
le but de relier cet oléoduc appelé OG1 à la raffinerie d’ALGER avec une
conduite de 16’’ de diamètre sur une longueur de 131 Kms. Cette ligne est
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constituée d’une station départ équipée de trois GEP et une station arrivée TRA.
Actuellement, cet ouvrage est remplacé par une ligne de 20 pouces depuis 2005.
Cette ligne de 20’’ est appelée DOG1,elle a 7postes de sectionnement.
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Son siège se situe au sud-ouest de la ville de Bejaia. Son patrimoine se compose
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Ce rôle est configuré dans la conception des différentes structures
organisationnelles TRC et défini dans leur missions et il est décliné à différents
niveaux (services des unités opérationnelles et fonctionnelles) suivant la
nécessité du travail, les règles de gestions et la fluidité indispensable à une
bonne communication et coordination.
Organigramme de la DRGB
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Directeur Régional Centre
Secrétaire
Centre Département
Informatique Juridique
Département
Département Département Finances
Maintenance Entretien
Installations Département
Budget
Département et Contrôle de
Protection Gestion
Cathodique
Département
Passation Département
des Marchés Travaux Neufs
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INSTALLATIONS DE DRGB
Rôle de TMB :
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Description du TERMINAL
Dans l’absence de documentations détaillées utilisant des termes
propre vocabulaire pour designer des ensembles issus de mon propre partage du
Terminal. Ainsi, cette description ne peut qu’être une parmi beaucoup d’autres
descriptions possibles. et que les termes utilisés ici peut ne pas coïncider
forcement avec les terne utilisé habituellement par le personnel exploitant du la
DRGB.
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1. Park de stockage : constitué de 4 bacs à toits flottants de 50000
m3 et un emplacement pour un 5eme bac.
2. Ensemble manifold : constitué de manifold proprement dit, un
ensemble pomperie avec 4 électropompes de chargement, et un
circuit de purge y compris la citerne, le puisard et des pompes
auxiliaires de vidange. Il y’a aussi un circuit de soupapes de
sécurités protégeant le manifold sud et déversant dans la citerne de
purge. Enfin, on trouve un ensemble d'électrovannes
permettant l’expédition du fluide aux postes de chargement
comme on trouve une installation complète pour expédition et
liaison au sea-line.
3. Une salle électrique : Elle est devisée en trois chambres, haute
tension, moyenne et basse tension. Elle reçoit deux arrivées de
Sonalgaz. et elle est dotée de capteurs de fumée et de bouteilles de
Halon pour la sécurité de l’enceinte. Elle
abrite aussi le PCs et autres ordinateurs de contrôlé.
Codification
Comme le montre le plan schématique du manifold Nord TM-81-B du 5-5-64, le
pipe venant de SP3 et aboutissant à la gare racleur, prend en entrant le TMB, la
direction du « manifold arrivé ». IL traverse la vanne manuelle « entré station »
L2. Cette ligne est repérée par la lettre « L ». Ainsi, toutes les vannes se
trouvant sur cette ligne contiendront dans leur code de repérage formé de deux
lettres, la lettre « L ».A titre d’exemple la vanne LB, c’est la vanne reliant la
«ligne entré station L » avec le collecteur B du manifold arrivé qui est lui-même
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relié aux bacs 4B11 et 4B12 et ainsi de suite. C’est de cette façon que la
majorité des vannes de cette installation sont codées.
Toutes les autres vannes du manifold ou celles du pied des bacs sont équipées de
motorisation électrique. Elles sont commandées à distance à partir de la salle de
contrôle, mais elles peuvent en cas d’urgence être commandées sur place soit
par le moteur électrique ou bien manuellement.
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Pour le terminal marin sud, la même analyse peut être faite pour la
disposition des vannes, leurs codages et leurs fonctionnants. Ainsi, les
caractéristiques et les informations trouvées concernant ce terminal sont :
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Zone entrée Terminal ; soupape de sécurité gare racleur
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zone entrée Station : Bac de detente et batteries de soupapes
pour récupérer le brut des purges soit directement soit après passage dans la
citerne sloop de 5m3 et soutirage et réexpédition par les pompes de transfert.
Ces récupérations dans le bac de détente peuvent avoir lieu dans les cas
suivants :
Il est à noter que dans les plans des manifolds TM-81-B du 5-5-64 , le circuit de
purge est représenté par des traits fins
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c) gare racleur :
La gare racleur a un diamètre de 32’’, elle est destinée pour la réception du
racleur dans le cas du nettoyage intérieur du pipeline et un racleur instrumenté
lors d’une compagne d’inspection intérieur de la ligne. A l’époque où TMB
exporter du condensât, cette gare recevait les sphères de séparation entre
colonnes de produit. Cette gare est liée au bac de détente pour recevoir ses
résidus. D’habitude les
d) Pompes :
Le Terminal Nord Bejaia dispose principalement de deux catégories de pompes :
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autres, le filtre entrée pompe, vannes d’aspiration et refoulement, circuit de
recyclage, circuit de purge et instrumentation de sécurité pompe (température
pression et vibration).
D’après son plan (TM99-C), Le Terminal Sud dispose de 4 électropompes
repérées respectivement par le code (W, X, Y, Z) .Leurs capacité diffèrent de
celles du Terminal Nord mais exécutent le même rôle d’expédition. Elles
refoulent sur le Manifold Départ Sud pour rejoindre les trois lignes (1, 2,3)
alimentant les trois (03) postes de chargements du port pétrolier.
Trois pompes auxiliaires de capacités successives de 250 m 3/h, 20 m3/h et de
7 m3/h permettent le transfert entre le bac 4Y1 de détente et les autres bacs de
stockage. Elles sont utilisées aussi pour l’assèchement des bacs.
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Ensemble Manifold nord : 12 bacs et 7pompes principales
Les réservoirs
Les bacs à toits fixes sont prévus pour le stockage d'hydrocarbures peu volatiles
du type brut dégazé et fuel qui génèrent de faibles émissions à l'atmosphère.
Quant aux bacs à toit flottant, ils sont destinés au stockage des hydrocarbures les
plus volatiles.
Dans ce type de bacs, où le toit flottant étant toujours en contact direct avec le
produit stocké, (donc pas d’espace gazeux), on obtient les avantages suivants :
a) Les hydrocarbures ne peuvent pas prendre feu, parce qu’ils ne
sont pas en contact avec l’air ;
b) Réduction au minimum les pertes par évaporation causées par
les variations de températures ; d’où diminution de pollution
atmosphérique
c) Au cours du remplissage d’un réservoir, il n y’a pas de pertes
par évaporation, parce qu’il n’existe pas un espace vide entre le
toit et le niveau du liquide où les vapeurs peuvent s’accumuler.
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d) Meilleur résistance à la corrosion interne, du fait que la face
inférieure du toit est entièrement mouillée par le liquide sur
lequel ils flottent
Toit Flottant : Il y’a deux types de toit flottant actuellement utilisés dans
l’industrie du pétrole, se sont le simple pont et le double pont.
Le simple pont est d’une construction simple et économique, constitué d’un seul
étage de tôlés et supplémentée parfois de quelques caissons pour améliorer un
peu sa flottabilité, mais sa performance reste loin de celle des double ponts.
Ces toits à double ponts, sont constitués par 2 étages de tôles d'acier, séparées
par un espace vide d'environ 40cm et compartimentés en coffrets indépendants
qui renforcent la structure du toit. Ils sont de loin les plus utilisés par les
compagnies de transport pipeline. C’est le cas de la DRGB.
Ce type de toit est mieux adapté pour les bacs de grands diamètres surtout dans
des régions très chaudes, cela pour les raisons suivantes :
Meilleure flottabilité en cas de surcharge (pluie, ..)
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Meilleur drainage des eaux de pluie.
Vulnérabilité moindre aux vents violents, du à la rigidité boosté par
cet arrangement de structure.
Meilleure isolation thermique durant la saison chaude limitant la
vaporisation de produit.
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Définition de quelque élément constituant un bac à toit flottant :
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-Ligne de purge : elle est équipée d’une vanne qui sert à la purge de l’eau après
la décantation.
-puisards : dans lequel il y a un flotteur de l’indicateur de niveau du bac.
-Les béquilles : permettent le maintien du toit en flottaison lorsque la hauteur du
liquide ne le permis pas, ou le bac est vidé pour des travaux de maintenance.
-La mise à terre : de cette façon les bacs forment des cages faraday dont
l’intérieur est préservé de toutes influences électrique et l’écoulement des
charges atmosphérique se fait de bonnes conditions, du fait que les bacs
possèdent trois prises de terre.
La mise à la terre des réservoirs de la DRGB se fait en plusieurs points
symétriques de leurs robes (une prise tous les 20métre).
-Déversoirs : ils sont constitués de tubes déflecteurs qui ont pour but de ramener
le jet de mousse contre la paroi du réservoir, la mousse s’écoule le long de cette
dernière jusqu’à la surface des hydrocarbures sur laquelle elle s’étale.
-Système fixe de refroidissement par eau : une canalisation circulaire (de
diamètre : 6“) dotée de têtes d’arrosages est installée en gardant un certain
intervalle. Les tuyaux d’alimentation en eau, les réservoirs sont connectés au
réseau d’incendie principal. .
-Circuit mousse : des diffuseurs montés sur le haut de la robe étalent sur la
surface du liquide un tapis de mousse capable d’étouffer les flammes en cas
d’incendie.
Pour assurer une couverture rapide et uniforme, plusieurs diffuseurs sont
judicieusement repartis sur le tour du réservoir.
-Système Halon : Le systèmes de détection et d’extinction automatique au
Halon est utilisé sur les bacs de stockage à toits flottants. : Il est à base de
bouteilles de Halon, ces dernières sont liées à des bouteilles de CO2 qui sont à
leur tour liée à un fusible. Lors d’un incendie, le fusible fond sous l’effet de la
chaleur et percute les bouteilles de CO 2 puis celles du halon afin d’attaquer le
feu. A long terne, ce système est appelé à disparaitre, vu son incompatibilité
avec les nouvelles lois sur l’environnement.
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-Soupape de sureté par béquille : son fonctionnement commence lorsque son
support touche le fond ‘ouverture automatique’, cette soupape permet d’assurer
une atmosphère dans le réservoir
-Trop plein :est une tubulure de sécurité d’une hauteur qui ne dépasse pas les
vingt centimètres, conçue pour évacuer l’eau présente dans le toit en cas de
défaillance du système de drainage. Cette évacuation se fait vers l’intérieur du
bac.
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La satisfaction des conditions précédentes a donné naissance à la conception des
joints d’étanchéité actuels. Il y’a 04 types de joint se sont :
1) Joint métallique
Il est constitué de patins flexibles en tôle d’acier galvanisé, formant une ceinture
dont la partie basse trempe dans le liquide (sorte de bavette). Cette ceinture est
maintenue au contact de la robe par un système de pantographes et de
contrepoids. L’étanchéité du volume annulaire compris entre ces patins et le toit
flottant est assurée par une bande de caoutchouc synthétique placée au-dessus de
l’espace vapeur.
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Joint sèche Joint flexible métalo-plastique
Ce joint est très employé en raison de son exceptionnelle robustesse et de sa
bonne étanchéité.
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Le joint de mousse de polyuréthane élastique comprimée comporte une
enveloppe en tissu caoutchouté, fixée au toit flottant et remplie d’une mousse
dont l’élasticité et l’expansion, assurent le contact entre la robe et le toit.
Les joints mousses peuvent équiper tous les types de toits flottants.
Les enveloppes de ces joints doivent être de nature compatible avec le produit
stocké et avoir une bonne résistance à l’abrasion. Les joints en mousse peuvent
être installés dans l’espace annulaire de telle manière que leur partie inférieure
trempe ou non dans le liquide stocké.
4) Joints flexible
Ils existent en deux modèles : à lèvre ou métallique. Le joint flexible à lèvre est
réalisé par une simple bavette en caoutchouc synthétique comportant une
armature métallique interne.
Ce joint est placé au-dessus de l’espace annulaire. Il est maintenu plaqué contre
la robe par flexion.
Le joint flexible métallique est constitué par un ensemble d’écailles, en tôles
minces pliées, en acier galvanisé ou inoxydable, fixées sur le toit flottant. Par
juxtaposition, elles forment une surface conique approximativement qui, par
effet ressort, maintient contre la robe de la cuve un racleur en élastomère.
L’étanchéité de ces écailles entre elles, est en général assurée par du ruban
adhésif et des boulons.
Laboratoire :
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Ils sont accomplis suivant les procédures de la ASTM (American Society for
Testing and Material - organisme de normalisation américain de renommé
mondiale) ; Cela afin de répondre au cahier de charge et aux clauses
contractuelles de l’acheteur et éviter tout malentendus. A cet effet le laboratoire
est équipé de maternel très moderne lui permettant de réaliser ces contrôles avec
précision et efficacité
Il est clair que la non-conformité du brut à ces normes peut entrainer des
conséquences à deux niveaux :
Ces tests mentionnés sont effectués sur des échantillons qui doivent être
représentatifs. Afin de réaliser cette représentativité, l’échantillonnage est
effectué suivant des mornes biens clairs à des périodes et des endroits biens
précis comme stipulés par les normes ASTM.
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Appareillage de laboratoire
Atelier Mécanique:
Dans cet atelier des opération de réalisation des pièces de rechange de
maintenance de révision et de rétablissement parmi les installations qu‘on
trouve : des vannes , soupapes , clapets, pompes, turbines et aussi il font la
formation des joints .
Le coupling : c’est un coupe tube à air comprimé pour chaque tronçon du pipe
salle électrique :
La salle électrique est divisée en trois chambres, haute tension, moyenne et
basse tension. C’est à partir d’ici que tous les équipements électriques de
l’installation TMB sont alimentés en énergie électrique .Etant donné, que ces
salles sont pleine de disjoncteurs de circuits et que ces derniers sont des moyens
manuels pour mettre sous tension ou hors tension les circuits. Seuls des
techniciens d’électricité qualifiés doivent manœuvrer les disjoncteurs de circuits
HT et MT. Les opérateurs peuvent manœuvrer que les disjoncteurs de circuit
BT.
Port pétrolier :
Pour pouvoir charger les tankers, le TMB dispose d’un port pétrolier équipé
d’installations nécessaires à cette opération. Il comprend un appontement
simple et un appontement double, soit 3 postes de chargement et aussi
une station de déballastage.
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PROBLEMES D’EXPLOITATION AFFRONTES
PAR TMB:
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La rupture de stock dont les conséquences sontla constitution des files
d’attentes très longue des navires pétroliers programmés.
Ces problèmes ont comme sources les difficultés au niveau soit du terminal
départ TD (exemple HEH)soit au niveau des sur terminal marin TMB
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instrumentés et le changement des tronçons corrodés. Il faut aussi posséder des
équipés l’intervention rapide pour la maintenance de canalisations et la
réparation rapide des fuites.
A la fin on estime que le stockage des hydrocarbures et leur exploitation
ressemble beaucoup à la gestion de stock dans les unités de fabrication et ce
dernier domaine a été étudié en profondeur par l’emploi des méthodes
mathématiques d’optimisations. Il est devenu un domaine classique de l’emploi
des Recherche Opérationnelle. Ceci peut être généralisé sans grandes difficultés
à notre domaine de stockage des hydrocarbures.
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CONLUSIONS DU STAGE :
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