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Liasse
Liasse
d’information financière est formalisée et suivie par l’IASB. Les normes produites par l’IASB sont de
plus en plus adoptées par le monde. A l’instar de nombreux pays, le Maroc prépare l’adoption des
normes internationales de comptabilité et d’information financière (IAS/IFRS – les normes IFRS dans
ce qui suit) au niveau national. Ces normes sont guidées par un cadre conceptuel qui définit les
concepts qui sont à la base de la préparation et de la présentation des états financiers à l'usage des
utilisateurs externes.
1. Généralités
1.1. Introduction à la notion de comptes consolidés : Selon la norme IAS 27 : « Une filiale est une
entreprise contrôlée par une autre entreprise (appelée mère). Une société mère est une entreprise
qui a une ou plusieurs filiales. Un Groupe est formé d’une mère et de toutes ses filiales. Les états
financiers d’un Groupe présentés comme ceux d’une entreprise unique ». Etablir les comptes
consolidés d’un Groupe consiste donc à présenter son patrimoine, sa situation financière et les
résultats de l’ensemble des entités le constituant comme s’il s’agissait de ceux d’une seule et
même entreprise.
1.2. Cadre légal de la consolidation : Au MAROC, il y a absence d’un cadre légal réglementant la
consolidation. Cependant la loi 17-95 relative à la SA sans faire référence aux notions du Groupe et
des comptes consolidés, a précisé dans son article 142 les informations à publier par les sociétés
possédant des filiales. Pour combler ce vide, un avant projet de loi relative aux comptes consolidés
a été établi en date du 25 mai 1998 pour préparer l’adoption d’une loi marocaine en la matière qui
va rendre la consolidation obligatoire. L’article 144 du projet de loi 17-95, stipule comme principe
général, l’établissement des comptes consolidés et un rapport de gestion du Groupe par les sociétés
commerciales appelées sociétés consolidantes qui contrôlent une ou plusieurs filiales sociétés.
1.3. L’intérêt de la consolidation des comptes : Les comptes consolidés permettent de donner une
meilleure information. D’une part, une information d’ensemble, apurée des évaluations à caractère
fiscal, et d’autre part, les lecteurs des états financiers ont besoin d’une information financière
pertinente et fiable. Aussi, la consolidation peut être vue comme un instrument de gestion, à savoir
: La consolidation facilite la gestion des sociétés du Groupe : La mise en place de procédures de
consolidation conduit à disposer d’un circuit d’information normalisée, maîtrisée et contrôlable.
[...]
GENERALITES
1.1. Définition
La liasse recouvre l’ensemble des documents destinés à la saisie des données mais aussi à
la restitution des données en filiale (états financiers de synthèse).
L’affectation, à chaque unité, du format de liasse souhaité est réalisée par le consolideur.
La liasse de saisie est organisée en cahiers, regroupant des documents de nature homogène.
Les cahiers et documents ont une codification alphanumérique commençant par la lettre "L"
suivie de deux chiffres pour les cahiers et de quatre chiffres pour les documents, le code du
document reprenant la codification du cahier auquel il appartient.
Pour simplifier la visualisation de la liasse, certains cahiers ont été regroupés. Ils sont alors
codifiés dans la dizaine du cahier principal.
Exemple : les cahiers L52, L54, et L56, sont regroupés dans le cahier L50
Les états de navigation (cahier L00 – Sommaire liasse) sont destinés à faciliter la prise de
connaissance de l’architecture de la liasse et la saisie des données. Ils permettent de
visualiser l’ordre logique de saisie des documents, les étapes de contrôle successives et les
documents de restitution pertinents à chaque étape.
Le chaînage est une fonction qui permet de lier deux ou plusieurs documents pour
notamment :
Exemple :
L’existence d’un chaînage est indiqué par une petite flèche en bas à droite d’une cellule
(saisissable ou non).
La charte graphique qui régit la présentation des documents permet de garantir l’homogénéité
de la liasse. Elle est également destinée à guider l’utilisateur dans la saisie des données.
Pour chaque cellule, des renseignements concernant les modalités de saisie sont disponibles
dans l’aide en ligne de Magnitude.
La présentation même des cellules donne une indication sur la nature des données :
les cellules en gras indiquent que la donnée est calculée par totalisation des
rubriques précédentes,
les niveaux de sous totaux sont mis en évidence par des trames de couleurs,
les cellules hachurées indiquent que le croisement rubrique / flux n’est pas
autorisé.
Les montants à l’actif sont saisis en positif, à l’exception des amortissements et des provisions saisis
en négatif.
Les comptes de charges sont saisis en négatif, les comptes de produits en positif.
Pour les rubriques annexes, sauf mention contraire dans la partie 5 (analyse par document), les
montants sont saisis en positif.
Lorsque la structure du document le permet, les cellules sont pré-signées afin de faciliter la saisie.
L’ordre logique de saisie des documents est présenté dans les documents de navigation
(cahier L00).
Analyse des variations des postes du bilan (immobilisations, situation nette, dettes financières,
amortissements et provisions)
Déclarations intra-groupe
Les états financiers de synthèse sont générés automatiquement à partir des données saisies :
La saisie en flux permet d’identifier les variations du bilan entre l’ouverture et la clôture et de générer
ainsi automatiquement le tableau des flux de trésorerie. Les flux disponibles dans la liasse peuvent
être classés en 3 catégories :
Ces opérations font l’objet d’un document distinct L3060 "Incidence des opérations particulières" dans
lequel sont saisies :
L’équilibre de ces flux (actif - passif = incidence résultat) fait l’objet de contrôles (cf. partie 3).
Dans le pré-paramétrage franco-IFRS, les commentaires sont autorisés sur tous les
indicateurs (via le clic droit / Commentaires).
Dans les documents suivnants, des colonnes de commentaires ont été paramétrées :
3. Contrôles de la liasse
Les contrôles sont regroupés dans la liasse au sein d’un jeu de contrôles ; plusieurs jeux de
contrôles ont été définis pour tenir compte des spécificités suivantes des unités de saisie :
Les contrôles sont rattachés à des familles, qui permettent de les classer dans un ordre logique et de
simplifier leur lisibilité et de ce fait leur résolution. Une famille comprend des contrôles homogènes.
L’organisation des familles est calquée sur le découpage de la liasse en cahiers de saisie; ainsi la
codification des familles reprend comme racine le code des cahiers auxquels les contrôles font
référence.
Cette famille regroupe des contrôles comptables de base s’appliquant sur l’ouverture et sur la
clôture; les contrôles sur ouverture concernent plus spécifiquement les sociétés entrantes, les
données d’ouverture étant pour les autres sociétés pré-alimentées par la reprise des à-
nouveaux.
Les contrôles rassemblés dans cette famille s’attachent à vérifier la correcte utilisation des flux
et notamment :
3.3.4 Familles L52, L54, L54-C, L56, L58-C : Contrôles des intra-groupe
Le découpage en familles coïncide ici avec les sous-cahiers du cahier de saisie L50 Intra-
Groupe :
3.3.5 Familles L62-E, L62-F, L62-C, L64, L66, L68 : Annexes et autres informations
Le découpage en familles coïncide ici avec les sous-cahiers du cahier de saisie L60 Annexes
et autres informations :
Les familles L62 comprennent des contrôles sur impôts, certains communs à tous les types de
sociétés (sauf mises en équivalence), d’autres réservés aux filiales françaises (présents
uniquement dans la famille L62-F) et portant notamment sur :
Les autres familles regroupent des contrôles s’attachant à la cohérence des données saisies
dans les documents annexes et notamment :
La famille L82 permet de s'assurer de la correcte ventilation des charges et des produits d'exploitation
par destination.
Le nombre de contrôles relatifs aux sociétés mises en équivalence étant limité et la liasse
allégée ne comportant qu’un seul cahier de saisie (L00-M), une seule famille de contrôles a
été définie pour ces sociétés; ces contrôles vérifient essentiellement :
Les niveaux de contrôle permettent de définir différents degrés de validation de la liasse qui
pourront varier selon l’unité et l’exercice de remontée. Le niveau de contrôle validant est fixé
par le consolideur lors de l’envoi de l’ouverture de liasse aux filiales.
Les niveaux de contrôles définis correspondent aux remontées partielles qui pourraient être
envisagées :
Les balances constituent les premiers documents de saisie ou, en cas d’interface, les
documents à contrôler avant toute saisie complémentaire. Dans le cas particulier d’une
première consolidation, les soldes d’ouverture (F00) doivent également être saisis. Au
contraire, lorsque des à-nouveaux existent, ils ne peuvent être modifiés, le flux F00 étant alors
interdit à la saisie.
(bilan et compte de résultat). Pour chaque rubrique, le code du document de la liasse dans
lequel doit être saisi le détail intra-groupe est mentionné, un tiret signifiant que la rubrique
concernée ne fait pas l’objet d’une analyse intra-groupe.
Le cahier L52 est destiné à la saisie des intra-groupe dont l’élimination a une incidence sur le
résultat consolidé : plus ou moins-values de cession, dividendes et résultats de SNC, marges
internes en stocks.
Objet
Pré-requis
Ventilation des dotations et reprises par niveau (exploitation, financier, exceptionnel) dans le
document L3055
Modalités
La saisie des documents précités alimente les documents d’analyse par partenaire.
La ventilation par partenaire doit être exhaustive, les provisions concernant des tiers autres que les
sociétés du groupe sont regroupées sous le code S9999. Une ligne "reste à ventiler", calculée par
différence entre le montant total et la somme des provisions affectées à des tiers, permet de contrôler
la saisie.
Attention
Le "reste à ventiler" doit être égal à zéro pour toutes les rubriques et pour tous les flux.
Le cahier L56 permet de déclarer les opérations courantes (créances / dettes; produits /
charges) réalisées avec des sociétés du groupe. Pour l’ensemble de ces documents, on ne
saisit que les opérations et soldes intra-groupe, les éléments hors-groupe étant
automatiquement calculés par différence.
A l’issue de la saisie, il convient de vérifier que la somme des montants déclarés en intra-
groupe n’es Parmi les principes clés de la consolidation des comptes, on peut citer : La
consolidation a pour objet de présenter les états financiers d’un ensemble de sociétés entre
lesquelles il existe des liens de filialisation ou qui sont placées sous une direction unique
comme s’il s’agissait d’une seule entreprise. Elle fournit des informations sur l’importance
économique du groupe, ses moyens de financement et ses résultats; Les états de synthèse
consolidés, , sont : - Le bilan consolidé (BC) ; - Le compte de produits et charges consolidé
(CPC) ; - Le tableau de financement consolidé (TFC) ; - L’état des informations
complémentaires de consolidation (ETICC). La présentation des comptes consolidés est
obligatoire pour les sociétés qui contrôlent de façon exclusive ou conjointe une ou plusieurs
autres sociétés ou qui exercent sur ces dernières une influence notable ; Sont généralement
à exclure de la consolidation les filiales dont le contrôle semble très temporaire ainsi que les
sociétés dont les titres ne sont détenus qu’en vue de leur cession ultérieure ; Si une société
mère marocaine publie des états de synthèse consolidés, elle doit le faire en respectant les
dispositions du CGNC t pas supérieure au total du compte (partenaire S9999 négatif).
Déterminer un périmètre de consolidation dans le groupe, c’est préciser quelles sont les
sociétés consolidables et les sociétés non consolidables. La consolidation est obligatoire dès
lors que la société contrôle de façon exclusive ou conjointe une ou plusieurs entreprises ou
qu’elles exercent une influence notable.
Influence notable Partage du contrôle d’une entreprise exploitée en commun par un nombre
limité des associés, de sorte que les politiques financière et opérationnelle résultent de leur
accord Contrôle conjoint C’est le pouvoir de diriger les politiques financières et
opérationnelles d’une entreprise. Il résulte : Soit de la détention directe ou indirecte de la
majorité des droits de vote ; Soit de la désignation pendant deux exercices successifs de la
majorité des membres des organes d’administration, de direction et de surveillance (ceci est
présumé lorsque la société consolidante a détenu plus de 40% des droits de vote sans
qu’aucun autre actionnaire n’en détienne une fraction supérieure) ; Soit du droit d’exercer
une influence dominante en vertu d’un contrat ou de clauses statutaire. Contrôle exclusif
Définition : La consolidation est la résultante de l’obligation légale faite aux entreprises qui détiennent
le contrôle d’autres sociétés ou qui exercent sur elles une influence notable d’établir des comptes
consolidés et un rapport sur la gestion du groupe.
Les comptes consolidés doivent présenter la situation financière d’un groupe de sociétés comme si
celles-ci ne formaient qu’une seule et même entité.
• par intégration globale,
• par intégration proportionnelle,
• par mise en équivalence.
• principes IFRS,
• ou principes comptables marocains.
Un groupe peut appliquer les règles marocaines de consolidation, ou appliquer le référentiel IFRS.
Audit & Analyse une équipe de commissaire aux comptes dédiée à la consolidation
ans un premier temps, il faut collecter l’information financière, puis l’homogénéiser avant
de lui appliquer le traitement prévu par les normes comptables référentes. Les comptes
consolidés permettent ainsi d’avoir une vision globale pertinente de la situation
patrimoniale et financière de l’ensemble des sociétés d’un groupe, et représentent donc
un outil précieux de gestion et de prise de décision. Des contrôles spécifiques
s’appliquent aux comptes consolidés, du fait de l’existence d’opérations particulières qui
les concernent (impôts différés, vérification du périmètre de consolidation, élimination des
opérations intragroupes ou des opérations réciproques, etc.). Ils sont essentiels pour
s’assurer de l’exactitude de l’information financière qui sera ensuite communiquée. Le
contrôle des comptes consolidés passe également par une vérification de la fiabilité et
du paramétrage du système d'information du groupe, pour s’assurer de la cohérence des
données comptables et financières utilisées.
La structure
La structure d’une liasse de consolidation doit être la même pour toutes les sociétés du
groupe.
Cette homogénéité dans l’ossature constitue un défi important pour les groupes dont
l’activité des filiales varie fortement.
Comme préalable, il est donc impératif de définir un référentiel de comptes ainsi qu’un
ensemble de politiques comptables propres au groupe (ce dernier point fera l’objet d’une
prochaine publication). En effet, il est relativement rare que toutes les sociétés du périmètre
travaillent avec le même GAAP.
La mise en place d’une table de correspondance ou « mapping » entre les comptes locaux et
les comptes groupe nous semble aussi indispensable.
C’est pourquoi, nous recommandons l’usage d’une seule langue, celle la plus utilisée dans le
groupe.
Le contenu
Le deuxième volet reprend les données locales mais présentées sous le référentiel comptable
du groupe. Comme décrit sous le point Structure, cette transition entre les données
comptables locales et celles organisées en fonction des normes édictées par le groupe se doit
d’être la plus transparente possible. Les ajustements feront l’objet d’un tableau à part entière
dans lequel tous les détails utiles seront indiqués afin de comprendre leur origine et d’assurer
leur traçabilité.
Le troisième volet fera état des informations en relation avec les participations ainsi que
celles liées aux comptes intragroupes. Au niveau des données sur les participations, si le
référentiel de comptes est le plan comptable normalisé luxembourgeois (PCN), il y aura donc
lieu de fournir la ventilation chiffrée entre les sociétés du groupe des comptes 231xx. En ce
qui concerne les comptes intragroupes, la démarche sera la même, à la différence près que
tout montant qui n’est pas alloué à une société du groupe, sera considéré comme une relation
avec les tiers. En outre, il est utile de souligner qu’en fonction de l’approche du groupe et/ou
du logiciel utilisé, l’usage de comptes propres aux relations inter-sociétés constitue une
alternative. Quoiqu’il en soit, ce sont ces montants renseignés qui feront l’objet d’une analyse
des relations inter-sociétés au terme de laquelle des différences seront mises en évidence et
qui devront faire l’objet d’une réconciliation dite « interco ».
Enfin, le cinquième volet rependra, sous forme de tableaux, une série d’informations utiles
aux consolideurs, très souvent légalement requis dans les annexes des comptes consolidés et
dépendant du niveau et des impératifs d’analyses du management en place.
Les dividendes perçus avec mention de la société qui verse ces derniers et le nombre
de titres concernés.
Les cessions et acquisitions intragroupes d’actifs accompagnées d’informations telles
que :
La société qui vend, celle qui achète, le type d’actif, la valeur brute, les amortissements, la
durée d’amortissement, le prix de vente, les comptes comptables concernés, la plus ou moins
value générée par la cession, etc.
Les informations requises sur le personnel occupé par le groupe.
Les informations requises sur les administrateurs et gérants ainsi qu’au niveau de leurs
rétributions.
La ventilation du chiffre d’affaires en fonction de certains critères (produits, zones
géographiques…).
Les relations avec les parties liées.
…
Par ailleurs, il est important de souligner que si une donnée est développée ou détaillée dans
un de ces tableaux, il conviendra d’en recouper la cohérence et la justesse tout au long de la
liasse. Cette remarque nous porte directement vers le troisième et dernier aspect de la liasse
de consolidation à savoir : les contrôles de validation.
Les règles de contrôle dépendent largement de la manière dont la liasse est construite.
Cependant, nous pouvons aborder brièvement un certain nombre de contrôles qui nous
paraissent indispensables :
Concernant ce dernier, tout comme au niveau des auditeurs, il est aisé de comprendre que la
réception d’une information de qualité leur épargnera énormément de désagréments et un gain
de temps non négligeable au cours de processus généralement très court.
1. Principe
Sur cette base, il va devoir harmoniser les pratiques comptables de toutes ses filiales et
participations, par exemple, en fixant des durées d’amortissement homogènes par
catégories d’immobilisations corporelles et par métiers.
1. une revue des pratiques comptables dans les comptes individuels de chaque
entité comprise dans le périmètre de consolidation,
2. une identification des divergences éventuelles avec les règles du groupe,
effectuée grâce au manuel des normes groupe,
3. un chiffrage des retraitements nécessaires pour mise en conformité des comptes
sociaux avec les règles groupe.
La liste des retraitements est impossible à définir de manière théorique. Tous les
principes comptables d’évaluation et de présentation sont en jeu, dès lors qu’existent
des divergences au sein du groupe.
Les titres des « filiales et participation » qui respectent les critères d’appartenance au
périmètre de consolidation sont qualifiés de « titres de participation consolidés ».
Les sociétés exclues du périmètre sont dites « non consolidées ». Les titres de
participation correspondants chez les détentrices sont qualifiés de « titres de
participation non consolidés ».
(CDVM) du 26 juin 2009, les états financiers consolidés du Groupe Managem sont préparés en conformité
avec les normes comptables internationales adoptées au sein de l’Union Européenne au 31 Décembre 2020
et telles que publiées à cette même date.
Les normes comptables internationales comprennent les IFRS (International Financial Reporting
Standards), les IAS (International Accounting Standards) et leurs interprétations SIC et IFRIC (Standards
Interprétations Committee et International Financial Reporting Interpretations Committee).
Les principes et méthodes comptables du Groupe sont décrits ci-après et ont été appliqués pour l’exercice
2020 ainsi que pour les périodes comparatives présentées.