Présenté par :
OMARI HANANE 161731063600
MANSOURI YASMINE 181831091003
MOULAI MOURAD 181831052824
TAFAT KAHINA 191931079803
DEBBOUZ LINA 181831048238
La prospection pétrolière :
On ne cherche pas du pétrole, on cherche un gisement de pétrole (un gisement est
un lieu ou un matériel géologique donné s'est accumulé et que l'on peut exploiter en
totalité ou en partie).
L'exploration pétrolière et la première phase d'un très long processus qui passe
successivement par la recherche de bassin sédimentaire, l'obtention de licence
d'exploration, souvent très coûteuse, l'évaluation des (objets) à Forer les prospects en
passant en revue les paramètres décrits précédemment (présence de la roche mère, sa
maturité, les qualités réservoir et couverture, la taille du piège, l'âge de sa formation par
rapport à l'âge de la migration des hydrocarbures, …etc.).
En conclusion, on peut dire que la formation des hydrocarbures est une formation
très lente et précise sur plusieurs millions d'années qui demande aussi la plus grande
patience et le plus grand soin quand il s'agit de les découvrir.
Les observations de pétrole en surface :
1/ chant de Hassi-Messaoud :
le gisement d'huile légère de Hassi-Messaoud a été découvert en 1956 par le forage
MD1 qui a traversé les réservoirs de grés du Combro-Ordovicien à 3337 mètres de
profondeur. Le gisement, de dimensions 40 x 40 km, est situé dans le Sahara algérien, à
800 kilomètres au sud d'Alger.
Le gisement a été découvert par le puits BKE-1(berkine est-1) foré en juillet 1994 par
l'association Sonatrach et Anadarko.
La structure d'Ourhoud correspond à un horst complexe limité vers l'est par une faille
majeur régional dont le rejet vertical varie entre 200 et 300 mètres.
5/ le champs d 'Edjeleh :
Le champs d'Edjeleh est situé dans le bloc 241, dans la partie sud-est du bassin
d'Illizi, environ 50 km au sud-est d'in-Amenas. Localiser sur haut-fond de Tihemboka, il
s'étend sur une superficie d'environ 30 km2.
Le gisement a été découvert en 1956, puis mis en exploitation quelques années plus
tard. La présence d'hydrocarbures dans ce gisement a été confirmé dans six niveaux
réservoir superposés et distincts.
Le champ est un gisement de gaz à condensat un anneau d'huile sur le flanc Est.
La structure de Hassi R'mel est un anticlinal de forme elliptique dont l'axe principal est
orienté NE-SO.
7/Rhourde Nouss:
La région de Rhourde Nouss(RN) est située à 230 km au sud-est de champ de Hassi
Messaoud. Le premier forage a été réalisé en 1961 une série de réservoirs contenant du
gaz à condensat a été rencontré à partir de la côte 2685 Mètres.
Le gisement a été découvert en 1957 par le forage de KB1 qui a rencontré les réservoirs
tournaisiens du Carbonifère et siegenien-gédinnien du Dévonien inférieur à une
profondeur de 1700 à 3350 mètres. Les différents puits forés ont donné des débits de
gaz dans les trois réservoirs.
Le pétrole classique :
Le pétrole classique est extrait des gisements souterrains à l'aide de méthodes
traditionnelles de forage et de pompage verticaux. Le pétrole classique est liquide à
température atmosphérique, ce qui lui permet de s'écouler dans les puits les pipelines
contrairement au bitume (le pétrole des sables bitumineux) qui est trop épais pour
s'écouler sans être chauffé ou dilué. Il est plus facile et moins coûteux d'extraire du
pétrole classique et celui-ci nécessite moins de traitement après extraction. Le pétrole
classique peut aussi bien être terrestre extracôtiers.
La formation du kérogène
Par leurs propres masses et à la suite de leur couverture par de nouveaux dépôts,
les couches sédimentaires s’enfoncent naturellement dans la croûte terrestre. Au
cours de ce phénomène et au-delà de 1 000 mètres de profondeur sous le
plancher océanique, les résidus minéraux des boues de sédimentation se
solidifient en une roche relativement imperméable. Appelée « roche-mère », cette
formation piège le kérogène.
Le pétrole est devenu, à partir des années 50, la première source d'énergie dans le
monde. Il satisfait plus de 30 % des besoins énergétiques.
Polyamides : famille des nylons : 6-6, 6 et 11, 12. Fibres d'habillement, pièces
mécaniques de frottements, réservoir à essence, seringues. Kelvar tissé (gilet
pare-balle).
La prospection pétrolière :
On ne cherche pas du pétrole, on cherche un gisement de pétrole (un gisement est
un lieu ou un matériel géologique donné s'est accumulé et que l'on peut exploiter en
totalité ou en partie).
L'exploration pétrolière et la première phase d'un très long processus qui passe
successivement par la recherche de bassin sédimentaire, l'obtention de licence
d'exploration, souvent très coûteuse, l'évaluation des (objets) à Forer les prospects en
passant en revue les paramètres décrits précédemment (présence de la roche mère, sa
maturité, les qualités réservoir et couverture, la taille du piège, l'âge de sa formation par
rapport à l'âge de la migration des hydrocarbures, …etc.).
Plus de 200 gisements sont aujourd'hui reconnus. Les réservoirs sont gréseux dans
leur quasi-totalité il se trouve essentiellement dans les niveaux du Cambro-Ordovicien,
du siluro-Dévonien, carbonifère et du Tria. Les hydrocarbures produits sont très
largement soutenus par des opérations de récupération assistée, pompe à injection
d'eau que par injection de gaz.
1/ chant de Hassi-Messaoud :
le gisement d'huile légère de Hassi-Messaoud a été découvert en 1956 par le forage
MD1 qui a traversé les réservoirs de grés du Combro-Ordovicien à 3337 mètres de
profondeur. Le gisement, de dimensions 40 x 40 km, est situé dans le Sahara algérien, à
800 kilomètres au sud d'Alger.
La structure d'Ourhoud correspond à un horst complexe limité vers l'est par une faille
majeur régional dont le rejet vertical varie entre 200 et 300 mètres.
Il a été découvert en 1965 par le puits OK 101 est produit dans les grès de la série argilo-
gréseuse triasiques inférieure.
5/ le champs d 'Edjeleh :
Le champs d'Edjeleh est situé dans le bloc 241, dans la partie sud-est du bassin
d'Illizi, environ 50 km au sud-est d'in-Amenas. Localiser sur haut-fond de Tihemboka, il
s'étend sur une superficie d'environ 30 km2.
Le gisement a été découvert en 1956, puis mis en exploitation quelques années plus
tard. La présence d'hydrocarbures dans ce gisement a été confirmé dans six niveaux
réservoir superposés et distincts.
Le champ est un gisement de gaz à condensat un anneau d'huile sur le flanc Est.
La structure de Hassi R'mel est un anticlinal de forme elliptique dont l'axe principal est
orienté NE-SO.
7/Rhourde Nouss:
Le gisement a été découvert en 1957 par le forage de KB1 qui a rencontré les réservoirs
tournaisiens du Carbonifère et siegenien-gédinnien du Dévonien inférieur à une
profondeur de 1700 à 3350 mètres. Les différents puits forés ont donné des débits de
gaz dans les trois réservoirs.
Le pétrole classique :
Le pétrole classique est extrait des gisements
souterrains à l'aide de méthodes traditionnelles
de forage et de pompage verticaux. Le pétrole
classique est liquide à température
atmosphérique, ce qui lui permet de s'écouler
dans les puits les pipelines contrairement au
bitume (le pétrole des sables bitumineux) qui est
trop épais pour s'écouler sans être chauffé ou
dilué. Il est plus facile et moins coûteux d'extraire
du pétrole classique et celui-ci nécessite moins de
traitement après extraction. Le pétrole classique
peut aussi bien être terrestre extracôtiers.
L’Oléoduc :
L’Oléoduc est l’élément principal de la chaine
de transport des hydrocarbures liquides. Il
relie un parc de stockage principal (aux
différents terminaux existant et les pipe-lines
installés sur un territoire quelconque. Il a pour
fonction aussi d’acheminer le pétrole brut aux
raffineries et aux terminaux marins.
L’exploitation de la ligne de transport se fait
avec des débits variables selon la demande
des terminaux et aussi selon le nombre des stations de pompage à mettre en
service
Constitution d’un oléoduc :
Un oléoduc comprend :
Les stations de pompage de départ et intermédiaires.
La ligne (conduite).
Les terminaux de départ et d’arrivée (T.D et T.A)
Des points de livraison et de réception du produit.
Des postes de sectionnement et des postes de coupures.
Des installations de postes cathodiques.
Des installations de télécommande et de télécommunication.
Le Raffinage de pétrole
Conversion :
La conversion a pour objectif de transformer les molécules lourdes en produits
plus légers. Elle permet ainsi d’obtenir de l’essence, du kérosène, du diesel ou
du fioul domestique. Différentes méthodes sont utilisées, notamment le craquage
catalytique et l’hydrocraquage : le premier permet de décomposer les molécules
lourdes sous l’effet d’un catalyseur et sous très haute température (500˚
environ), le second permet de produire du gazole sans soufre grâce à l’ajout
d’hydrogène.
Amélioration :
Cette 3e étape du raffinage du pétrole sert à éliminer les impuretés, les
composants acides, corrosifs ou néfastes pour l’environnement qui sont présents
dans le pétrole raffiné. On obtient ainsi un produit de meilleure qualité et
respectant les normes en vigueur. Ainsi, l’amélioration permet par exemple de
réduire la teneur en soufre du fioul grâce à l’hydro-désulfuration. Un lavage à la
soude est également effectué pour le kérosène et les gaz butane et propane, afin
de débarrasser ces produits des mercaptans.
De quoi est constitué le gaz naturel ?
Méthane (CH4) : 95 %
Éthane (C2H6) : -4 %
Propane (C3H8) : +-1 %
Butane (C4H10) : 0,2 %
Azote (N2) : 2,2 %
Dioxyde de carbone (CO2) : 1,4 %
Le gaz naturel présente une densité inférieure à celle de l’air, puisqu’elle n’est
que de 0,6 par rapport à celui-ci.
Méthodes d’exploitation du gaz naturel: Le gaz naturel est extrait avec plusieurs
méthodes selon la géologie, incluant le forage vertical ou horizontal et la fracturation
hydraulique. Forage vertical Le forage vertical est la méthode d’extraction traditionnelle
et était la seule disponible jusqu’aux années 1980, lorsque le forage horizontal a été
inventé. Le forage vertical est encore utilisé dans certains cas, quand les gisements se
trouvent juste sous la surface. Les puits sont alors forés directement dans le sol
jusqu’aux roches poreuses qui contiennent le gaz naturel. Le gaz naturel extrait de cette
façon est dit « conventionnel ». Forage horizontal Le forage horizontal a été ́ utilisé au
Texas à partir des années 1980 pour atteindre les gisements de gaz naturel auparavant
inaccessibles. En utilisant cette technologie, il est possible de courber un puits vertical à
une profondeur cible, puis de forer horizontalement à travers le gisement de gaz
naturel. Card image cap La fracturation hydraulique au Canada Lors de la fracturation
hydraulique, un fluide est pompé dans le puits à haute pression pour briser la roche du
gisement et libérer ainsi le gaz naturel. La majeure partie du gaz naturel de l’Ouest
canadien est piégé́ dans des roches peu poreuses (ou « étanches ») comme le schiste. La
fracturation hydraulique est nécessaire pour exploiter ces réserves. Le gaz naturel ainsi
obtenu est dit « non conventionnel ».
L’utilité du gaz naturel : Utilisation du gaz naturel : populaire chez les particuliers et
les professionnels L’utilisation du gaz naturel est principalement destinée à la
production de chaleur pour la cuisson et le chauffage ainsi qu’à la production d’eau
chaude, notamment chez les particuliers et dans le secteur tertiaire. Très populaire dans
les cuisines Françaises, le gaz naturel occupe 70% des foyers en tant que mode de
cuisson. Économique, rapide et précis, il plait aussi bien aux consommateurs qu’aux
professionnels de la cuisine, qui apprécient la précision et l'homogénéité de ce mode de
cuisson. Aussi bien adapté pour une utilisation industrielle qu’un environnement
domestique, cette particularité fait son succès et multiplie son exploitation. La
climatisation fait également partie des usages réguliers du gaz naturel, au même titre
que le chauffage. On retrouve cette énergie utilisée dans les bureaux, les hôtels, les
centres commerciaux, ainsi qu’au domicile de particuliers. Depuis quelques années, le
gaz naturel comprimé en bouteilles est également utilisé en France comme carburant
pour les véhicules (GNV). Plusieurs millions de véhicules au gaz naturel roulent dans le
monde, des véhicules légers aux camions-bennes, en passant par les bus et camions.
L’utilisation du gaz naturel dans l’industrie Dans l’industrie, le gaz naturel est utilisé
comme matière première dans la pétrochimie et le raffinage. Il est également source
d’énergie pour la production de chaleur (chauffage, four…) et d’électricité ́, comme le
font les cogénérations. L’électricité́ est issue d’énergies fossiles telles que le charbon ou
gaz naturel. L’exploitation du gaz pour créer de l’électricité́ représente 20% de sa
production totale. D’ici 2020, on estime que 35 % du gaz commercialisé chaque années
sera consommé par le secteur de l’électricité́.
La différence entre les gaz conventionnel et les gaz non conventionnel :
Le gaz conventionnel :
Le gaz conventionnel et le gaz non conventionnel ont tous les deux la même
composition – principalement du méthane (CH4). Ce qui les différencie ? Leur
emplacement géologique. Ainsi, le gaz conventionnel est celui qui s'est formé dans ce
que l'on appelle une « roche mère » – c'est-à-dire une roche sédimentaire riche en matière
organique –, avant de migrer en hauteur dans le sous-sol, puis de s'accumuler dans une
poche-réservoir. Il est ainsi naturellement piégé, sous pression, sous une couverture
imperméable. Il n'y a plus qu'à l'exploiter ! À partir de là, deux situations coexistent, soit
le gaz conventionnel est associé, soit il est non associé :
Le gaz associé est naturellement « mélangé » à du pétrole et doit donc en être
séparé lors de son extraction. Son destin ? Il peut être valorisé ou bien réinjecté
dans le gisement pour maintenir une pression continue.
Le gaz non associé, bien que trouvé en présence de pétrole, n'est pas mélangé à
cette ressource naturelle. Son exploitation est donc plus facile. Il ne nécessite ni
technique de forage spécifique, ni processus d'extraction.
Le gaz conventionnel non associé constitue la principale source d’alimentation du
réseau de gaz naturel en France et dans le monde.
Le gaz non conventionnel:
Les gaz non conventionnels ne se distinguent pas des gaz « conventionnels » par leur
composition : eux aussi sont principalement composés de méthane. Ils présentent en
revanche la particularité de nécessiter des techniques d'exploitation coûteuses et
complexes. Ainsi, citons, parmi les gaz non conventionnels :
Le gaz de schiste, le plus célèbre de tous, dont les réserves mondiales sont
gigantesques, et qui se trouve dans une roche mère très perméable
Les conditions nécessaires pour se situer dans le domaine de stabilité des hydrates
de méthane se trouvent dans la partie supérieure de la colonne sédimentaire des
régions arctiques (très faible température, faible pression) ou dans la partie
supérieure des sédiments en offshore profond (forte pression, température faible).
^
Le développement du gaz naturel renouvelable GNR :
Le gaz naturel renouvelable est un gaz naturel de source 100 % renouvelable qui permet
de réduire les émissions de GES de deux façons : en remplaçant une énergie fossile par
une énergie renouvelable et en évitant les émissions de méthane liées à l'enfouissement
des matières résiduelles organiques.
Les intrants : le GNR est issu de la dégradation des matières organiques des déchets
domestiques, notamment agricoles et industriels. Par exemple, il peut être produit avec
des restants de table, résidus de transformation alimentaire, fumiers, lisiers ainsi que des
boues provenant du traitement des eaux usées.
La production : les matières organiques sont acheminées vers un bio digesteur pour être
transformées en biogaz. Ce biogaz est purifié pour produire un gaz parfaitement
interchangeable avec le gaz naturel conventionnel : le GNR. Le processus produit aussi
un digeste pouvant être utilisé comme fertilisant.
L’injection : le GNR est mesuré, odorisé, contrôlé et par la suite injecté dans le réseau
d’énergie pour être distribué partout au Québec.
La valorisation : une fois injecté dans le réseau d’énergie, le GNR peut être utilisé pour
les mêmes applications que le gaz naturel conventionnel : transport, chauffage, cuisson,
eau chaude, etc. De plus, comme il est produit localement, le GNR permet le
développement d’une économie circulaire en région.
Conclusion :
L’homme a toujours eu besoin d’énergie. Ses besoins n’ont cessé d’augmenter au cours
des siècles avec l’amélioration de son confort de vie et devraient, selon toute
vraisemblance, continuer à augmenter, ne serait-ce qu’en raison du développement des
pays émergents où une part importante de la population, vivant encore dans la pauvreté,
aspire à un meilleur niveau de vie
Le gaz naturel est une ressource énergétique clé, dont les réserves sont abondantes et qui
permet également d'alimenter la pétrochimie ou le pool essence, pour les composés les
plus lourds. Le marché du gaz naturel est en croissance du fait de la demande énergétique
mondiale en constante évolution. Comme dans le secteur pétrolier, l'évolution des
ressources, vers des gaz de plus en plus acides, l'évolution des contraintes
environnementales et donc des spécifications visées, conduisent à des besoins de
traitement en constante évolution, avec des enjeux techniques et économiques. Les
technologies matures restent des références opérationnelles pour la chaîne de traitement
mais de nouvelles technologies sont développées afin de répondre à ces enjeux autant
dans le domaine des procédés, que dans le domaine des équipements et on a aussi le
pétrole qui est une ressource chimique et énergétique qui a accompagné et catalysé le
développement technologique de l'Humanité. C'est également l'une des principales causes
de la catastrophe écologique majeure qui s'annonce : le réchauffement climatique.
Pourtant, malgré son caractère polluant, le pétrole dispose de caractéristiques
avantageuses, qui en font une source d'énergie de choix lorsqu'on ne prête garde à ses
inconvénients.
Le pétrole et le gaz sont des énergies pratiques, dont les possibilités sont nombreuses,
grâce à des caractéristiques physico-chimiques hors du commun.