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SOMMAIRE
Définition de la planification............................................................................................
Définition de la planification
1. Fonctions de la planification
– de maintenir un certain rythme, un travail « suivi » dans les deux sens du mot : régulier, et
qui peut être accompagné par son directeur ;
– de ne rien oublier que l’on découvrirait ensuite trop tard : démarches à effectuer, contacts à
prendre, questionnaires à préparer, lectures à faire, fiches à rédiger, etc. ;
On s’arrange ainsi généralement pour que le travail d’écriture puisse se faire pendant des
périodes de congé, parce qu’il demande une grande concentration sur un certain nombre de
jours en continu.D’autres activités, comme la prise de notes de lecture ou les relectures
partielles du mémoire, peuvent par contre se faire sans problème même si l’on ne dispose que
d’une heure à y consacrer. Certains travaillent mieux le matin (ou sont alors plus efficaces
dans tel ou tel type de tâche), d’autres le soir ; etc. ;
– de s’assurer que l’on est toujours « dans les temps » par rapport à la limite fixée pour la
date de soutenance. Il est donc important de fixer votre planning de recherche avec votre
directeur, et de le tenir régulièrement au courant de l’avancée (ou des retards et blocages) de
votre travail par rapport à cette planification, et de ses modifications.
« Élaborer » son projet de recherche veut dire le nommer (c’est le « thème » du mémoire ou
de la thèse ; on parle aussi parfois dans ce sens de son « sujet » de recherche), de le délimiter
(choisir la thématique), de le contextualiser (définir le ou les environnements
d'enseignement/apprentissage concernés) et enfin de le problématiser (poser les hypothèses et
les questions de recherche fondamentales) : ces différentes opérations sont présentées dans le
Chapitre 3 de ce cours, intitulé « Élaborer son projet de recherche ».
Les données que l’on va utiliser pour réaliser sa recherche sont collectées au moyen de
lectures d’articles, d’ouvrages de référence et d’autres travaux de recherche disponibles en
bibliothèque ou sur Internet ; d’entretiens avec des responsables, des spécialistes ou d’auteurs
de matériels didactiques ; de questionnaires, enquêtes et/ou entretiens avec des apprenants et
des enseignants ; d’observations ou expérimentations (éventuellement personnelles) dans les
classes ; d’analyse de matériels didactiques, de textes officiels ; etc. Le choix des différents
types de données que l’on veut recueillir dépend de la problématique et des possibilités de
recueil, mais en principe toute recherche devrait « croiser » plusieurs types de données, c’est-
à-dire les interpréter conjointement en les comparant.
Le traitement des données se fait au moyen des outils et méthodes retenus, qui seront
présentés dans le Chapitre 5 de ce cours, intitulé « Mettre en œuvre ses méthodes de recherche
». Même si, dans la pratique, ils alternent en permanence, se superposent voire parfois se
confondent l’un l’autre, il est utile de garder en tête la distinction de principe entre les deux
grands types suivants 2.3.1. Un traitement « à l’interne »
Il s’agit d’analyser ces données, de les interpréter, de les comparer, de les confronter, de les
combiner ou encore de les articuler, et tout ceci en elles-mêmes et pour elles-mêmes. Ce type
de traitement fait appel massivement aux concepts et modèles disciplinaires. On peut parler à
propos de ce premier type de traitement d’une « conceptualisation interne ».
3. Rédaction et révisions
Il ne s’agit pas d’une simple mise par écrit d’un travail de recherche qui serait déjà
entièrement terminé : l’écriture met en œuvre à l’intérieur du projet global de recherche,
une « logique de rédaction », qui interfère avec les autres logiques jusque parfois
s’imposer : il peut arriver, par exemple, que le « plan » du mémoire (qui se situe à
l’interface entre la logique d’organisation et la logique de rédaction) doive être rectifié en
raison de contraintes d’écriture. Cette phase constitue à elle seule un « projet dans le
projet », de sorte qu’elle intègre des révisions successives qui vont nécessiter des
réorganisations du plan et des réécritures partielles. Il est d’autant plus important
d’organiser soigneusement ces révisions, dans les disciplines linguistiques, d’autant que le
niveau d’exigence quant à la qualité de l’écriture y est naturellement très élevé. Or,
personne ne rédige de manière correcte, claire, simple et rigoureuse du premier jet : la
qualité du texte final tient moins à la compétence d’écriture proprement dite qu’aux
compétences de relecture et de réécriture. Il ne faut pas hésiter à solliciter plusieurs
relecteurs parmi les autres étudiants de la formation (en échange d’un « renvoi
d’ascenseur »…) et/ou parmi ses connaissances. En effet, d’une part qu’un directeur n’est
pas un correcteur, et d’autre part, vous avez-vous-même tout intérêt à lui envoyer, même
s’il s’agit de versions provisoires, des textes suffisamment corrects pour qu’il puisse se
concentrer sur le contenu.
Conclusion
2) la conscience de tout ce qu’on aurait dû faire et de tout ce qui resterait à faire pour
améliorer sa recherche ;
Il est recommandé de se mettre à rédiger le plus tôt possible, dès que le plan est mis en place.
Comptez au minimum deux mois pour la rédaction. Pour que votre mémoire soit harmonieux et
donc agréable à lire, il est conseillé d’utiliser :
- la même typographie : une seule police de caractère pour tout le document (variation possible
avec la taille, le gras et l’italique). A l’exception de la page de couverture où une plus grande
liberté est tolérée.
- la même mise en page : un seul principe de composition pour tout le document (marge,
interligne, note, hiérarchie).
Il faut éviter de rédiger à la 1ère personne (sauf pour les remerciements). Utilisez de préférence
le « on » ou le « nous ».
Une fois votre mémoire rédigé, relu et corrigé, vous pouvez insérer automatiquement toutes les
tables (sommaire, table des annexes, table des matières, etc.)
LA TYPOGRAPHIE
Quelques règles typographiques
Les abréviations
- Une abréviation portant sur les premières lettres d’un mot est toujours suivie d’un point
Ex : référence = réf.
- Une abréviation portant sur la première et la dernière lettre d’un mot ne prend pas de
point Ex : Saint = St
- Si certaines abréviations sont souvent utilisées il convient d'en dresser la liste, soit en
début soit en fin de mémoire (abréviation suivi du mot entièrement développé). Ex : C.
civ. =Code civil
Les capitales
- Vous devez mettre une majuscule initiale en début de phrase, de vers, de citation, de
nom propre et de prénom.
- Ainsi qu’aux noms de peuples et d’habitants lorsque ce sont des noms communs mais
pas lorsqu’ils sont adjectifs qualificatifs ou qu’ils désignent la langue du pays. Ex : Cette
actrice italienne aime les Français, mais ne parle pas pour autant le français
- Les capitales doivent être accentuées. Ex : PALAIS DES CONGRÈS et non PALAIS
DES CONGRES
Les nombres
- Ils s’écrivent la plupart du temps en toutes lettres Ex : vingt, les années soixante, classe
de sixième - Les dates s’écrivent en chiffre arabe Ex : 2012
On dit deuxième lorsqu’une énumération va plus loin que deux et second(e) si elle
s’arrête à deux.
La ponctuation
- Les signes simples (le point, la virgule et les trois points de suspension) ne prennent
qu’une espace après. A signe simple : espace simple.
- Les signes doubles (les deux points, le point-virgule, le point d’exclamation et le point
d’interrogation) prennent une espace avant et une espace après. A signe double : espace
double. - Pas d’espace à l’intérieur des crochets, guillemets, accolades et parenthèses.
- Une espace après le tiret s’il est utilisé pour une énumération. Soit on met trois points de
suspension soit etc., mais pas les deux.
La mise en page
Le texte
- Interligne : 1,5 cm
A éviter : le soulignement et le gras utilisés généralement pour les titres, mais aussi
l’italique, qui sert principalement aux citations.
Les titres
- Pour les titres, vous pouvez jouer avec la taille, le gras, l’italique, le positionnement, les
couleurs mais garder la même police.
- Le Titre 1 (partie ou chapitre) doit commencer sur une page vierge de préférence.
10
- Elles sont signalées par un chiffre arabe placé en exposant immédiatement après le terme
explicité et se situent en bas de la même page, sous une ligne de séparation. Il est
préférable d’utiliser une numérotation en continue.
- Elles doivent être rédigées dans une police et un interligne plus petits que le texte.
- Quelques abréviations utiles, qui vous éviteront de répéter une référence en renvoyant à
une note de bas de page où cette référence était précédemment citée :
Ex : ibid. p.37
Ex : id. p.85
op. cit. (opere citato) : dans l'ouvrage déjà mentionné du même auteur cité
précédemment à la p.x du mémoire.
Ex : op. cit. p.5
La citation
Règles générales
Reproduction textuelle
La citation doit être reproduite textuellement, ce qui veut dire qu’on doit aussi
retranscrire tel quel la ponctuation, les majuscules, les fautes, les coquilles ainsi que la
mise en forme (gras, italique, souligné).
11
«Lire à voix haute en présence d’une autre personne impliquait une lecture partagée,
délibérément ou non.1»
_____________________________
1
Alberto Manguel, Une histoire de la lecture, Paris, Actes Sud, Montréal, Leméac, 1998, p.
70.
En réalité, les gouvernements détiennent une large souveraineté sur le cyberespace. On croit
souvent qu’Internet est partout et nulle part à la fois, flottant comme un nuage, mais, après
tout, il est assujetti à la géographie et, par conséquent, à la loi […]
Bien qu’il soit grisant de le considérer comme une infosphère sans lieu, Internet fait partie
du monde réel. Comme tous les nouveaux mondes, il est resté sauvage pour un temps, mais
la police finit toujours par se pointer.1
___________________________
1
The Economist, 11 août 2001, p. 9 ; cité dans Peter S. Grant et Chris Wood, Le marché des
étoiles : culture populaire et mondialisation, Montréal, Boréal, 2004, p. 451.
Poésie
S'il s'agit de poésie (deux vers), séparer les vers par un trait oblique (/) précédé et suivi
d'un espace.
Exemple
Victor Hugo, parlant du travail des enfants s'exprimait ainsi : «Travail mauvais / Qui
prend l'âge tendre en sa serre / Qui produit la richesse en créant la misère [...].1»
_____________________________
1
Bernard Lorraine, Le coeur à l'ouvrage : anthologie de la poésie du travail, Paris :
Éditions Ouvrières, 1983, p. 191.
Exemple
12
Exemple
La publicité ne servait plus à «annoncer l’existence du produit, mais [à] élaborer une
image autour de la version d’une marque particulière d’un produit 1».
___________________________
1
Naomi Klein, No logo : la tyrannie des marques, Paris, Actes sud ; Montréal, Leméac,
2002, p.32.
Attention!
Lorsqu'on introduit une citation par deux points, le point final de la phrase se met avant
le guillemet fermant, et lorsqu'on insère une citation dans la logique de la phrase, le point
final de la phrase se met après le guillemet fermant.
Exemple
Si l'on veut comparer les modèles de transition entre l'école et le marché du travail au Canada et en
Grande-Bretagne, on doit examiner les facteurs qui déterminent les structures institutionnelles :
«The Canadian focus on both high-school and university students undoubtedly reflects the fact
that the latter educational route is far more common, and therefore less elitist, in Canada. Within
the British-research tradition it is much less problematic to mount a major study which [...]
excludes those in private education, universities and polytechnics.1»
___________________________
1
David Ashton et Love, Graham, Making their way : education, training and the labour marketing
Canada and Britain , Toronto, University of Toronto Press, 1991, p. 205.
13
Exemple
Janet Juhnke, dans un article qui traite du roman Le Magicien d’Oz de L. Frank Baume et
de sa version cinématographique faite par Victor Fleming, souligne la qualité de
l’adaptation : «Le film Le Magicien d’Oz produit par MGM est l’une des adaptations les
plus réussies d’un roman au cinéma.1» [Notre traduction]
___________________________
1
Janet Juhnke, «A Kansa’s View», The Classic American Novel and the Movies, New
York, Frederick Ungar Publishing, 1997, p. 170.
Toute modification d’une citation doit être signalée par des crochets [ ].
Exemple 1
«Elles [les œuvres pour la jeunesse] font appel à l’enfant imaginatif, curieux, rebelle, qui
vit en chacun de nous, donnent à notre énergie instinctive une vie nouvelle et agissent
comme une force de changement.1»
_____________________________
1
Alison Lurie, Ne le dites pas aux grands, Paris, Rivages, coll. «Rivages poche», 1999, p.
10.
Exemple2
«Lire à voix haute en présence d’une autre personne impliquait une lecture
partagée, délibérément ou non.1» [nous soulignons]
_____________________________
1
Alberto Manguel, Une histoire de la lecture, Paris, Actes Sud, Montréal, Leméac, 1998,
p. 70.
14
Exemple
Bien que le climat familial des instituts familiaux contribue à en faire des lieux
agréables, il est aussi quelque peu malsain, «l’école ménagère demeur[ant] fermée sur
elle-même et les élèves [étant] isolés1».
_____________________________________
1
Nicole Thivierge, «L’enseignement ménager, 1880-1970», Maîtresses de maison,
maîtresses d’école, Montréal, Boréal Express, coll. « Études d’histoire du Québec »,
1983, p. 132.
Lorsqu’une citation est trop longue ou encore qu’une partie de cette citation n’est pas utile pour
ce que l’on veut démontrer, on peut tout simplement laisser de côté la partie superflue. On utilise
les points de suspension entre crochets […] pour remplacer la partie retranchée de la citation.
Exemple
15
Lorsqu'on veut citer une citation et que l'on n'a pas accès à la source originale, on doit
mentionner non seulement la source d’où est tirée la citation, mais également la source originale.
Généralement, on utilise des formules comme «cité dans» ou «cité par».
Texte
Exemple
___________________________
1
The Economist, 11 août 2001, p. 9 ; cité dans Peter S. Grant et Chris Wood, Le marché
des étoiles : culture populaire et mondialisation, Montréal, Boréal, 2004, p. 451.
Attention !
Dans la bibliographie cependant, on n'indiquera que la source secondaire, c’est-à-dire la source
que l'on a consultée. Dans l’exemple précédent, le livre Le marché des étoiles se retrouverait
dans la bibliographie, mais pas le journal The Economist .
La pagination
LA PRÉSENTATION
La page de titre (obligatoire) La page de titre reprend tous les éléments de la page de
couverture, sauf l’(es) illustration(s).
- L’épigraphe est une courte citation illustrant les propos qui vont suivre.
La dédicace et l’épigraphe ont chacune leur propre page. Elles sont généralement en
italique, situées dans la moitié supérieure de la page et alignées à droite.
La liste des abréviations et/ou des sigles (facultative) La liste des abréviations et/ou
des sigles référence, par ordre alphabétique, toutes les abréviations et/ou tous les sigles
utilisés dans le mémoire avec leur développement complet. A éviter si vous en avez peu. Il
est préférable alors de les développer dans les notes de bas de page.
17
La table des illustrations (facultative) La table des illustrations recense tous les
documents graphiques du mémoire dans leur ordre d’apparition, avec mention de la page
où elles apparaissent.
La table des matières (obligatoire) La table des matières est plus précise et détaillée
que le sommaire. Elle se situe à la fin du mémoire, juste avant le résumé, s’il existe. Sa
fonction est essentielle : donner au lecteur une vision d’ensemble du contenu du mémoire
et lui permettre de retrouver rapidement la partie qui l’intéresse.
Le résumé (conseillé) Le résumé est une synthèse d’une demi-page environ de votre
travail. Il permet de situer le sujet et d’en indiquer les grandes lignes. Il peut être suivi de
mots-clés, une dizaine au maximum, qui aident à cerner le sujet traité. Le résumé et les
mots-clés se situent sur la quatrième de couverture, c’est-à-dire sur le dos du mémoire
imprimé. Ils constituent la dernière page du fichier électronique.
LA BIBLIOGRAPHIE
Voici quelques exemples de références bibliographiques, avec des normes précises. Libre
à vous ensuite d’organiser vos références comme vous le souhaitez, par supports, par
pertinence, par hiérarchie… A l’intérieur de chaque division, il est préférable de lister les
références par ordre alphabétique. Vous devez maintenir votre choix de présentation tout
au long de votre bibliographie.
Format papier
Ouvrage
NOM, Prénom. Titre de l’ouvrage. Mention d’édition (sauf si c’est la toute première).
Lieu de publication : Nom de l’éditeur, date de publication. Nombre de pages.
(Collection) Ex. : CAMUS, Bruno. Réussir la soutenance de rapports, mémoires et
travaux. Paris : les Ed. d’organisation , 1995. 77 p. Remarque : Si l’ouvrage est la
18
Ouvrage collectif
NOM, Prénom (sous la dir.). Titre de l’ouvrage collectif. Mention d’édition (sauf si c’est
la toute première). Lieu de publication : Nom de l’éditeur, date de publication. Nombre de
pages. (Collection) Ex. : NASH, Kate (sous la dir.). Readings in contemporary political
sociology. Malden (Mass), Oxford : Blackwell, 2000. 361 p. 12
Article de périodique
NOM, Prénom. Titre de l’article. Titre du périodique, date, volume (si existant), n°,
pagination. Ex. : TOINET, Marie-France. Puissance et faiblesse de la cour suprême.
Pouvoirs, 1991, n°49, p.16-30. Document de type thèse, mémoire ou rapport de stage
Format électronique
Attention à bien préciser la date de consultation car les sites sont régulièrement mis à jour.
Ouvrage
NOM, Prénom. Titre de l'ouvrage [en ligne]. Mention d’édition (sauf si c’est la toute
première). Lieu de publication : Nom de l’éditeur, date de publication. Nombre de pages.
(Collection). Disponible sur : . [Consulté le jour mois année]
Ex.: TURNER, Edward. Political parties and public policy in the German länder : when
parties matter [en ligne]. New York : Palgrave Macmillan, 2011. 263 p. (New perspectives
in German political studies). Disponible sur : . [Consulté le 1er février 2013]
Remarque : Si l’ouvrage est la traduction d’une langue étrangère, il faut noter le titre
original ainsi que le nom du traducteur.
Article de périodique
19
Ex. : CHAPPE, Vincent-Arnaud. Le cadrage juridique, une ressource politique. Politix [en
ligne]. 2011/2, n°4, p.107-130. Disponible sur : . [Consulté le 1er février 2013]
Document de type thèse, mémoire ou rapport de stage NOM, Prénom. Titre [en ligne].
Type de travail et niveau. Lieu de soutenance : Université de soutenance, année, nombre
de pages. Disponible sur : …[Consulté le jour mois année]
Site web
ORGANISME ou NOM, Prénom (dans le cas d’un site personnel). Titre de la page
d’accueil [en ligne]. Date de publication. Disponible sur : . [Consulté le jour mois année]
Le droit d’auteur
Le droit d'auteur s’applique à toute personne physique qui crée une œuvre, que ce soit une
œuvre littéraire, une œuvre d'art, une œuvre musicale ou une œuvre audiovisuelle. Il
permet de protéger toute œuvre originale d’une diffusion sans l’autorisation de son auteur.
La copie à titre privé est cependant autorisée. Une œuvre tombe dans le domaine public
soixante-dix ans après le décès de son auteur.
Les citations
Vous pouvez insérer des citations dans votre mémoire, mais elles doivent être bien
identifiées en tant que telles. Les guillemets sont donc obligatoires. L’italique est
recommandé, ainsi qu’une taille de police plus petite. Vous pouvez également les
20
- en note de bas de page doit figurer la référence + la page d’où est extraite la citation
Les images
Les images regroupent les dessins, photos, schémas, graphiques, tableaux, illustrations,
etc. Vous avez le droit d’insérer des images dans le corps de votre mémoire, mais vous
devez obligatoirement en indiquer la source, de préférence en dessous de l’image. Si vous
êtes l’auteur de l’image vous devez également le préciser. Tout ce que vous trouvez sur
Internet (images, vidéos, extraits sonores, textes) est soumis de facto au droit d'auteur,
même si leur accès est libre et gratuit. Ce n’est pas parce que c’est disponible sur Internet
que c’est libre de droit.
Le plagiat
« Que faire quand on est pris entre la tentation de s’abriter derrière un mur de spécialistes
(citation), celle de s’approprier les réflexions d’un autre chercheur parce que l’on ne sait
pas estimer la valeur des siennes (plagiat) et celle de dépersonnaliser la recherche en ne
faisant que recenser et résumer des textes extérieurs (paraphrase) ? » (GREUTER
Myriam. Bien rédiger son mémoire ou son rapport de stage. Paris : L’Etudiant, 2012.
p.126.).
Définition
Turnitin
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Nous vous rappelons que si le plagiat est avéré, il est considéré comme une fraude grave.
L’unité centrale
Le disque dur est situé à l’intérieur. Il garde en mémoire les logiciels et les
documents utilisés. La capacité de stockage s’exprime en méga-octets (MO).
Le moniteur
C’est l’écran de l’ordinateur sur lequel on lit les informations et où s’affiche
tout ce que l’on fait.
Le clavier
Sert à taper un texte mais aussi à donner des ordres à l’ordinateur.
La souris
permet de déplacer un curseur sur l’écran, d’effectuer des tracés, de donner
des ordres à l’ordinateur.
Les enceintes
Transmettent le son (séquences musicales ou parlées des produits multimédias,
bruitages...).
L’imprimante
Permet de transcrire ce qui est affiché à l’écran. Les imprimantes couleur se
généralisent.
Le modem
Permet de relier l’ordinateur à la prise de téléphone et de se connecter ainsi à
d’autres réseaux informatiques, comme internet.
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