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Programme 2010
Seconde
Sous la direction de
Jean-François Chesné
Marie-Hélène Le Yaouanq
Hélène Gastin
Marc Guignard
Daniel Guillemet
ur
se
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of
pr
du
re
liv
Les auteurs et les éditions Didier remercient Philippe Dutarte pour ses
conseils avisés, ses idées d’activités et de travaux pratiques qui ont enrichi
la partie Statistique et Probabilités.
Nous remercions également Éric Roxval et Anne-Laure Collinet (professeure
d'anglais) pour la rédaction des exercices de la rubrique English corner.
Couverture : Contours
Mise en pages, schémas et photogravure : STDI
« Le photocopillage, c’est l’usage abusif et collectif de la photocopie sans autorisation des auteurs et des éditeurs.
Largement répandu dans les établissements d’enseignement, le photocopillage menace l’avenir du livre, car il met en danger son
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courtes citations dans un but d’exemple et d’illustration, « toute représentation ou reproduction intégrale, ou partielle, faite sans le
consentement de l’auteur ou de ses ayants droit ou ayants cause, est illicite. » (alinéa 1er de l’article 40) – « Cette représentation ou
reproduction, par quelque procédé que ce soit, constituerait donc une contrefaçon sanctionnée par les articles 425 et suivants du
Code pénal. ».
Programme . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4
Premiers pas en algorithmique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 12
Partie I. Fonctions
Chapitre 1. Modéliser par une fonction . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 20
Chapitre 2. Sens de variation. Fonctions affines . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 32
Chapitre 3. Développer, factoriser pour résoudre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 45
Chapitre 4 Fonctions de référence . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 63
Chapitre 5. Inéquations. Étude de variations . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 78
Chapitre 6. Trigonométrie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 89
3
B.O. Bulletin officiel n° 30 du 23 juillet 2009
Mathématiques
Classe de seconde
Introduction
La seconde est une classe de détermination. Le programme de mathématiques y a pour fonction :
• de conforter l’acquisition par chaque élève de la culture mathématique nécessaire à la vie en société et à la compréhension
du monde ;
• d’assurer et de consolider les bases de mathématiques nécessaires aux poursuites d’étude du lycée ;
• d’aider l’élève à construire son parcours de formation.
Pour chaque partie du programme, les capacités attendues sont clairement identifiées et l’accent est mis systématiquement
sur les types de problèmes que les élèves doivent savoir résoudre. L’acquisition de techniques est indispensable, mais doit être
au service de la pratique du raisonnement qui est la base de l’activité mathématique des élèves. Il faut, en effet, que chaque
élève, quels que soient ses projets, puisse faire l’expérience personnelle de l’efficacité des concepts mathématiques et de la
simplification que permet la maîtrise de l’abstraction.
Objectif général
L’objectif de ce programme est de former les élèves à la démarche scientifique sous toutes ses formes pour les rendre capables
de :
• modéliser et s’engager dans une activité de recherche ;
• conduire un raisonnement, une démonstration ;
• pratiquer une activité expérimentale ou algorithmique ;
• faire une analyse critique d’un résultat, d’une démarche ;
• pratiquer une lecture active de l’information (critique, traitement), en privilégiant les changements de registre (graphique,
numérique, algébrique, géométrique) ;
• utiliser les outils logiciels (ordinateur ou calculatrice) adaptés à la résolution d’un problème ;
• communiquer à l’écrit et à l’oral.
Dans la mesure du possible, les problèmes posés s’inspirent de situations liées à la vie courante ou à d’autres disciplines.
Ils doivent pouvoir s’exprimer de façon simple et concise et laisser dans leur résolution une place à l’autonomie et à l’initiative
des élèves. Au niveau d’une classe de seconde de détermination, les solutions attendues sont aussi en général simples et
courtes.
4
L’utilisation régulière de ces outils peut intervenir selon trois modalités :
• par le professeur, en classe, avec un dispositif de visualisation collective adapté ;
• par les élèves, sous forme de travaux pratiques de mathématiques ;
• dans le cadre du travail personnel des élèves hors du temps de classe (par exemple au CDI ou à un autre point d’accès au
réseau local).
Organisation du programme
Le programme est divisé en trois parties,
• Fonctions
• Géométrie
• Statistiques et probabilités
Les capacités attendues dans le domaine de l’algorithmique d’une part et du raisonnement d’autre part, sont transversales et
doivent être développées à l’intérieur de chacune des trois parties. Des activités de type algorithmique possibles sont signalées
dans les différentes parties du programme et précédées du symbole ‡.
Le programme n’est pas un plan de cours et ne contient pas de préconisations pédagogiques. Il fixe les objectifs à atteindre
en termes de capacités et pour cela indique les types de problèmes que les élèves doivent savoir résoudre.
1. Fonctions
L’objectif est de rendre les élèves capables d’étudier :
• un problème se ramenant à une équation du type f (x) = k et de le résoudre dans le cas où la fonction est donnée (définie
par une courbe, un tableau de données, une formule) et aussi lorsque toute autonomie est laissée pour associer au problème
divers aspects d’une fonction ;
• un problème d’optimisation ou un problème du type f (x) > k et de le résoudre, selon les cas, en exploitant les potentialités
de logiciels, graphiquement ou algébriquement, toute autonomie pouvant être laissée pour associer au problème une
fonction.
Les situations proposées dans ce cadre sont issues de domaines très variés : géométrie plane ou dans l’espace, biologie,
économie, physique, actualité etc. Les logiciels mis à la disposition des élèves (tableur, traceur de courbes, logiciels de
géométrie dynamique, de calcul numérique, de calcul formel, etc.) peuvent être utilement exploités.
Par ailleurs, la résolution de problèmes vise aussi à progresser dans la maîtrise du calcul algébrique et à approfondir la
connaissance des différents types de nombres, en particulier pour la distinction d’un nombre de ses valeurs approchées.
Il s’agit également d’apprendre aux élèves à distinguer la courbe représentative d’une fonction des dessins obtenus avec un
traceur de courbe ou comme représentation de quelques données. Autrement dit, il s’agit de faire comprendre que des
dessins peuvent suffire pour répondre de façon satisfaisante à un problème concret mais qu’ils ne suffisent pas à démontrer
des propriétés de la fonction.
8
S’adressant à tous les élèves de seconde, le programme de géométrie dans l’espace a pour objectif :
• de développer la vision dans l’espace des élèves en entretenant les acquis du collège concernant les solides usuels ;
• d’introduire les notions de plans et droites de l’espace et leurs positions respectives ;
• de fournir ainsi des configurations conduisant à des problèmes aptes à mobiliser d’autres champs des mathématiques
(géométrie plane, fonctions, probabilités) ou de la physique.
Il importe donc tout particulièrement que la géométrie dans l’espace soit abordée tôt dans l’année scolaire.
L’utilisation d’un logiciel de visualisation et de construction est un élément déterminant dans « l’apprentissage de l’espace ».
Les élèves doivent être capable de représenter en perspective parallèle (dite aussi cavalière) une configuration simple et
d’effectuer des constructions sur une telle figure. Ils doivent aussi être capables de mobiliser pour des démonstrations les
théorèmes de géométrie plane.
3. Statistiques et probabilités
Pour des questions de présentation du programme, les cadres relatifs à l’enseignement des statistiques et des probabilités sont
présentés séparément à la suite l’un de l’autre. Pour autant, ces enseignements sont en relation étroite l’un avec l’autre et
doivent faire l’objet d’allers et retours.
Objectifs visés par l’enseignement des statistiques et probabilités à l’occasion de résolutions de problèmes dans le cadre
de l’analyse de données, rendre les élèves capables
• de déterminer et interpréter des résumés d’une série statistique ;
• de réaliser la comparaison de deux séries statistiques à l’aide d’indicateurs de position et de dispersion, ou de la courbe des
fréquences cumulées ;
dans le cadre de l’échantillonnage
• faire réfléchir les élèves à la conception et la mise en œuvre d’une simulation ;
• sensibiliser les élèves à la fluctuation d’échantillonnage, aux notions d’intervalle de fluctuation et d’intervalle de confiance
et à l’utilisation qui peut en être faite.
10
Algorithmique (objectifs pour le lycée)
La démarche algorithmique est, depuis les origines, une composante essentielle de l’activité mathématique. Au collège,
les élèves ont rencontré des algorithmes (algorithmes opératoires, algorithme des différences, algorithme d’Euclide,
algorithmes de construction en géométrie). Ce qui est proposé dans le programme est une formalisation en langage naturel
propre à donner lieu à traduction sur une calculatrice ou à l’aide d’un logiciel. Il s’agit de familiariser les élèves avec les grands
principes d’organisation d’un algorithme : gestion des entrées-sorties, affectation d’une valeur et mise en forme d’un calcul.
Dans le cadre de cette activité algorithmique, les élèves sont entraînés :
• à décrire certains algorithmes en langage naturel ou dans un langage symbolique ;
• à en réaliser quelques uns à l’aide d’un tableur ou d’un petit programme réalisé sur une calculatrice ou avec un logiciel
adapté ;
• à interpréter des algorithmes plus complexes.
Aucun langage, aucun logiciel n’est imposé.
L’algorithmique a une place naturelle dans tous les champs des mathématiques et les problèmes posés doivent être en
relation avec les autres parties du programme (fonctions, géométrie, statistiques et probabilité, logique) mais aussi avec les
autres disciplines ou la vie courante.
À l’occasion de l’écriture d’algorithmes et de petits programmes, il convient de donner aux élèves de bonnes habitudes de
rigueur et de les entraîner aux pratiques systématiques de vérification et de contrôle.
3. Variable et affectation
A Exercice 1 (page 10)
Le résultat affiché est 12.
Exercice 2 (page 10) Exercice 3 (page 10)
VARIABLES : a, b, c, m nombres VARIABLES : a, b, c, d nombres
ENTRÉES : Saisir a ENTRÉES : Saisir a
Saisir b TRAITEMENT : b prend la valeur a – 4
Saisir c c prend la valeur b ¥ 2
TRAITEMENT : m prend la valeur (a + b + c)/3 d prend la valeur c + 8
SORTIE : Afficher m SORTIE : Afficher d
12
Ces deux algorithmes correspondent au programme de calcul :
– Choisir un nombre.
– Ajouter 4.
– Multiplier par 2.
– Soustraire 3.
– Soustraire le nombre de départ.
L’algorithme 2 introduit une variable différente pour chaque nombre à stocker en mémoire, soit 5 variables. Le
programme utilisera 5 « espaces » différents en mémoire.
L’algorithme 3 n’utilise que 2 variables mais peut paraître moins lisible dans un premier temps.
Le programme utilisera moins de place en mémoire.
Exercice page 14
L’algorithme 6 affiche successivement les nombres 7 ; 14 ; L’algorithme 7 affiche 512
21 ; 28 ; 35 ; 42 ; 49 ; 56 ; 63. État des variables dans la boucle :
État des variables dans la boucle :
i:1 n:7 i:1 n:2
i:2 n : 14 i:2 n:4
i:3 n : 21 i:3 n:8
i:4 n : 28 i:4 n : 16
i:5 n : 35 i:5 n : 32
i:6 n : 42 i:6 n : 64
i:7 n : 49 i:7 n : 128
i:8 n : 56 i:8 n : 256
i:9 n : 63 i:9 n : 512
14
La somme est donc 2 ¥ (2 + 7 + 3) ¥ 100 + 2 ¥ (2 + 7 + 3) ¥ 10 + 2 ¥ (2 + 7 + 3) = (2 + 7 + 3) ¥ 222.
En divisant cette somme par 222 et en retranchant la somme 2 + 7 + 3 des chiffres, on obtient donc 0.
De façon générale :
Si les trois chiffres sont a, b, c (1 a, b, c ≤ 9), en ajoutant tous les nombres écrits on obtient
2(a + b + c) centaines + 2(a + b + c) dizaines + 2(a + b + c) unités = (a + b + c) ¥ 222.
( a b c ) ¥ 222
Et – ( a b c ) 0.
222
9
1. Remarque : on peut réduire à 1 variable p.
VARIABLES : p, q nombres VARIABLE : p nombre
ENTRÉES : Saisir p ENTRÉES : Saisir p
TRAITEMENT : q prend la valeur p + 0,196 ¥ p TRAITEMENT : p prend la valeur p + 0,196 ¥ p
SORTIE : Afficher q SORTIE : Afficher p
2.
VARIABLES : p, n, t nombres //p : prix ; n : nombre d’articles ; t : TVA
ENTRÉES : Saisir p
Saisir n
Saisir t
TRAITEMENT : p prend la valeur p + t ¥ p
SORTIE : Afficher p
Algorithme formalisé :
VARIABLES : n, f, t, p nombres // n : nombre de personnes, f : prix des forfaits, t : coût total,
ENTRÉES : Saisir n p : part qui revient à chacun
TRAITEMENT : f prend la valeur 200 × n
t prend la valeur F + 600
p prend la valeur t/n
SORTIES : Afficher t, p
11
Instructions État des variables L’algorithme affiche donc 25 ; 44 ; 7.
Si la variable s contient un nombre de
Variables : s, h, m entiers secondes, cet algorithme exprime cette
Entrées : Saisir s s : 92 647 durée en heures, minutes, secondes :
Traitement : 92 647 s = 25 h 44 min 7 s.
s : 92 647 h : 25
h prend la valeur E(s/3 600)
s prend la valeur s – 3 600 ¥ h s : 2 647 h : 25
m prend la valeur E(s/60) s : 2 647 h : 25 m : 44
s prend la valeur s – 60 ¥ m s:7 h : 25 m : 44
16
12 1. Pour h = 14, m = 45, l’algorithme fait afficher (15 , 46).
Pour h = 8, m = 59, l’algorithme fait afficher (9, 0).
2. Il semble qu’un horaire étant donné, cet algorithme fasse afficher l’horaire une minute plus tard.
3. Si on entre h = 0 et m = 5, l’algorithme affiche (0, 6) puis « on a changé de jour », ce qui est faux.
18 1.
n 4 5 6 7 8 9 10 11 12
Affichage de c 3 2 4 2 4 3 4 2 6
19 1. Des exemples :
x 6 12 20 6
y 5 3 15 6
Affichage de z 30 36 300 36
Remarque : Ce procédé de multiplication revient à écrire le nombre entré dans x comme somme de puissances de 2.
18
20 On prend pour n un nombre entier naturel.
Si n > 20, on enlève 4 autant de fois qu’il le faut ; on obtient un nombre inférieur ou égal à 20.
Il suffit donc d’observer ce qui se passe pour n compris entre 0 et 20.
Pour n = 0, le programme affiche continuellement 0.
Pour n = 20, le programme ne fait rien.
Pour n = 4, n = 8, n = 12, n = 16, on obtient 20 à une étape donc le programme ne fait plus rien ensuite.
Pour les autres valeurs, une liste de nombres semble se répéter indéfiniment.
On peut regrouper ces nombres en deux familles :
– Pour n = 2, n = 6, n = 10, n = 14, n = 18, on obtient 18 à une étape, suivi de la liste de nombres 18 ; 54 ; 50 ; 46 ; 42 ; 38 ;
34 ; 30 ; 26 ; 22 répétée indéfiniment.
– Pour n = 1, n = 3, n = 5, n = 7, n = 9, n =11, n =13, n =15, n = 17, n = 19, on obtient 17 à une étape, et la liste de nombres
17 ; 51 ; 47 ; 43 ; 39 ; 35 ; 31 ; 27 ; 23 ; 19 ; 57 ; 53 ; 49 ; 45 ; 41 ; 37 ; 33 ; 29 ; 25 ; 21 est ensuite répétée indéfiniment.
De façon générale :
– Si n = 0, le programme affiche 0 continuellement.
– Si n = 20, le programme ne fait rien.
– Si n est un multiple de 4 non nul et autre que 20, le programme affiche 20 à une étape puis ne fait plus rien.
– Si n est un nombre pair non multiple de 4, le programme répète indéfiniment la liste 18 ; 54 ; 50 ; 46 ; 42 ; 38 ; 34 ; 30 ;
26 ; 22 à partir d’une certaine étape.
– Si n est impair, le programme répète indéfiniment la liste 17 ; 51 ; 47 ; 43 ; 39 ; 35 ; 31 ; 27 ; 23 ; 19 ; 57 ; 53 ; 49 ; 45 ; 41 ;
37 ; 33 ; 29 ; 25 ; 21 à partir d’une certaine étape.
Remarque : Ce programme ne s’arrête pas, on évite donc de parler d’algorithme. On signalera que ce type de programme
est à éviter en informatique…
1 a. A 1; 2 B - 2 ; 1 C 0 ; 2 D - 1; - 1 E 2 ; 0.
b. Les abscisses de B, C et A sont : – 2 ; 0 et 1.
c. Les ordonnées de A, C et E sont : 2 ; 2 et 0.
3 c.
4 1. a. 2 b. f - 1 - 2 c. – 2 ; 2 et 3.
2. a. g est affine non linéaire.
b.
x 0 2 5/3
g(x) –1 5 4
3. 2 fois.
4. a. Oui.
b. L’image de 2 par f est – 28. 2 et 8 sont des antécédents de – 28 par f.
c. Non : par exemple à y - 28 correspondent plusieurs valeurs de t.
20
2.
Nombre x 3 –8 1,6 1
Image de x 25 –8 20,8 19
c. 6 Œ ÈÍ ; ÍÈ
7
3. a. 1ŒÈÎ0 ; 2 ˘˚ b. - p œ] - 2 ; - 1[ d. - 3 œ] - ; - 3,5]
Î3 Î
4. a. Vrai b. Faux c. Faux d. Vrai
A B
16
10
0 1 2 3 4 5 6 x
22
TP 1. Pour une aire égale à 3 cm2
1. M1 M2
O A
N2
N1
2.
OM 1 2 3 4 5 6
BN 1 2 3 4 5 6
ON 5 4 3 2 1 0
2,5 4 4,5 4 2,5 0
x 6 - x
3. x Œ0 ; 6 ; ON 6 - x ; ire OMN .
2
x 6 - x
4. a. x ; est définie sur [0, 6].
2
c. On doit les relier : x est un réel de [0 ; 6].
d. y
0
0 1 1,25 4,75 x
2
1
–2 –1 0 1 4 5 x
TP 6. Un tour de vis
2
1. On mesure L 57 et L1 ª 35. Donc L ⭐ 60 et L 38. La vis n’est pas conforme.
3
2.
L en mm 8 18 28 48 60 70 80 90
L1 en mm (à 0,1 près) 5,3 12 18,7 32 40 43,3 46,7 50
24
3. a. L1
50
17 ≈
10
0 10 25 90 L
2 1
b. Si L Œ[ 8 ; 60 ] , f L
L et si L Œ] 60 ; 100 ], f L L 20
3 3
Sur [8 ; 60] f est une fonction linéaire et sur ]60 ; 100] f est une fonction affine.
On déduit le tracé de f : il est composé de segments de droites.
4. a. D’après la figure : longueur filetée d’une vis de 25 mm = 17 mm environ, celle d’une vis de 50 mm = 90 mm.
50
b. 25 Œ8 ; 60 et f 25 soit environ 16,7 mm.
3
1 1
L 20 50 € L 30 € L 90 mm.
3 3
Avec le nombre – 6 :
n a b c
–6 –2 12 16
c. x x 4 4 x 2 4 x 4 x 22
14 Faux 15 2 30 1. 5 a
A 75 –2a
A 12
B 225
5a B 36.
–2a
1
16 17 0
3 2. A x 3 x 2 B x 3 x 2 9 x 2 .
18 La rouge car f 1 3.
31 1. Demander un nombre ; l’élever au carré ; multi-
plier par – 1.
ENTRAÎNEMENT
2. Demander un nombre ; multiplier par – 1 et élever
19 1. 58 cm à la naissance : plus grand que la au carré.
« normale ». 65 cm à 9 mois : plus petit que la « normale ».
2. 70 cm. 32 Voir corrigé en fin de manuel.
3. Entre 8 et 9 mois.
33 1. h : x a x x 3
4. On peut remplacer « dépend de » par « est fonction
de » dans la phrase b. 2. h 0 0 h 3 18 h - 3 0
24 BC2 AC2 - 16
l 35 f - 2 22 f
1
3
1 f 2 8 - 4 2
2. f x 1 € x 0
x a x 2 16 définie sur ] 0 ; [ .
f x - 5 € x - 2
Celle qui à BC associe AC :
1 1
x a x 2 - 16 définie sur ] 4 ; [ . f x € x -
4 4
26
37 a. Demander un nombre ; l’élever au carré ; 44 1. V ¥ t 1
ajouter 1. 2. On peut agir sur la vitesse.
b. Demander un nombre ; ajouter 1 ; élever au carré. 3. Pour représenter graphiquement les résultats on met
c. Demander un nombre ; soustraire 2 ; élever au carré ; v en abscisse et t en ordonnée.
ajouter 3. 1
4. t f V où f V
d. Demander un nombre ; ajouter 5 ; diviser par 2. V
5 45
e. Demander un nombre ; ajouter .
2 Prix en
f. Demander un nombre ; ajouter 2 ; diviser par le
nombre donné au départ. 8,0
38 1. a. T ⭐ 900
b. Résoudre f T 440 4,0
c. f T ⭓ 20
2. Comme f T 20 T et f T 440 0,8
alors 20 T 440 € T 484 . 0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 Nb.
de kiwis
39 1.
On ne relie pas ces points car le nombre de kiwis est un
x 2 3,5 4 x entier.
f(x) 8 14 16 4x
46 Voir corrigé en fin de manuel.
2. a.
47 – 1,5 : a comme antécédent – 3,5.
x 2 3,5 4 x
4 : n’a pas d’antécédent.
f(x) 4 12,25 16 x2 1 : a comme antécédents – 6 ; – 2 et 3,8 (environ).
b. 3,5 : a comme antécédent 3.
0 : a comme antécédents – 5,5 ; – 2,4 et 4.
x 2 3,5 6 x
f(x) 8 11 16 2x + 4 48 a.
x –4 –2 0 1 2
40 1. a. 3 b. 8 c. 64 d. 55
f(x) 2 4 3 1 –2
2. Demander un nombre ; ajouter 5 ; élever au carré ;
retrancher le carré du nombre donné, afficher le résultat. b.
3. On observe que les coefficients résultats sont des x –4 –2 0 2 3
multiples de 5. f(x) –1 0 1 1 –2
4. n 52 - n 2 n 5 - n n 5 n 52 n 5
2 n 5 entier donc n 52 - n 2 multiple de 5. 49 1.
V
41 1. 1/ 2 * B1
30
2. Dans C2 1/ 2 * C1
26
Dans E2 1/ 2 * E1 25
3. On obtient le tableau de valeurs de f.
20
4. 1/ 2 * B1
16
nRT U 15
42 a. V b. I
P R
10
T2 at 2
c. L g ¥ d. r
4 p2 4 p2
5
43 a. Le côté du carré.
b. La durée d’utilisation du fer. 0
70 80 100 120 140 160 180 200 P
c. La hauteur de la pyramide. 76 83
51
Images ou antécédents f(x) = y Courbe C f(6)
3 a pour image – 1 f(3) = – 1 D(3 ; – 1) 苸 C
g(6)
2 est un antécédent de 5 f(2) = 5 E(2 ; 5) 苸 C
– 2 est l’image de 1 f(1) = – 2 A(1 ; – 2) 苸 C
– 5 est un antécédent de 3 f(– 5) = 3 F(– 5 ; 3) 苸 C
0
0 est un antécédent de 4 f(0) = 4 G(0 ; 4) 苸 C 0 1 2 4 6 8 10 12 14 16 x
– 2 a pour image 4 f(– 2) = 4 B(– 2 ; 4) 苸 C
3. a. f x 52 x .
52 1. f - 2 6 2. f 0 2 b. Voir graphique.
3. f 2 - 3 4. f 3 5 c. g 6 f 6. C’est donc l’artisan le moins cher.
5. f 0 0 6. f 3 0 et f - 2 0 d. Pour 4 m3 et 14 m3 les prix sont les mêmes chez les
deux fournisseurs : f(4) = g(4) = 208 et f(14) = g(14) = 728.
53 1. f 1 - 1 donc A 1; - 1 Œ f
2. f 2 - 1 donc B 2 ; - 1 57 1. AM Œ0 ; 5
3. f 0 1 f coupe O y au point C 0 ; 1 2. Quand AM 4 l’aire de AMNP vaut 12.
28
58 Voir corrigé en fin de manuel. MN x x
62 1. (Thalès) donc MN
5 15 3
59 1. x –3 –1 0 1 3 x x2
f x ¥ 15 - x 5 x -
f(x) –6 2 3 2 –6 3 3
2. a. La courbe donne le nombre d’antécédents et le
2. Élever au carré, puis multiplier par – 1 et enfin ajou- tableau pour leur valeur : 6 et 9.
ter 3. b. Avec le tableau : f 4 14,667 et f 11 14,667.
3. f x - x 2 3 c. Avec la courbe : 0 et 15.
60 1. R C = 28 cm P
3. a. Ce sont les abscisses des points de la courbe d’or-
donnée 18.
b. ce sont les ordonnées des points de la courbe d’abs-
cisses 4 et 11.
T = 9 cm
c. Ce sont les abscisses des points de la courbe d’or-
N
donnée 0.
x2
F1 : y - 3 x - 7 F2 : y
2
F3 : x ¥ y 4 F4 : x y 2 25
2
A M B
63
2. AM en cm 2 3 5 7 8 A B
10
BM en cm 8 7 5 3 2 F2
T 6 9 15 21 24 F1
R 32 28 20 12 8
3. p1 x 3 x et p2 x 4 10 - x - 4 x 40
4.
40
p2 F4
p1 F3
–7 0 I 7
10 F3
1 5,7 10
40
5. a. Environ 5,7 b. 3 x - 4 x 40 donc x .
7
61 1. a. AM 1 2 3 4
MP 3 2 1 0
85
Entrée Affichage 100
0 1 2 5 8 11 13 15 18 20
1,2 il n’a pas d’image 15,75
– 0,4 il n’a pas d’image 4. Pour que le coût de production reste inférieur à
–3 il n’a pas d’image 1 200 000 €, il faut et il suffit que l’entreprise fabrique
12 3 un volume inférieur à 15,75 m3 (environ).
2
1 2 1 h
V h p R h p
87 1. R
3 3 3
12 cm p 3
n 2 4 5 9 13 16 24 25 36 49 50 h h
27
h
d(n) 2 3 2 3 2 5 8 3 9 3 6
30
3. Le volume du verre plein est de 64 p. 3. Si x ⭐ 0 alors h x - x 1 sinon h x 2 x 1
Le volume de liquide contenu dans le verre à moitié
plein est 32 p. 96 1. a b ab - a - b 2 b ab b a 2
La hauteur du liquide est alors d’environ 9,5 cm. 2. b a 2 12. Comme a 2
2 on a :
91 1. OK. ou a 2 3 et b 4 soit a 1 et b 4
ou a 2 4 et b 3 soit a 2 et b 3
2. Tous les entiers obtenus sont pairs.
ou a 2 6 et b 2 soit a 4 et b 2
3. a. n 2 - n. ou a 2 12 et b 1 soit a 10 et b 1.
b. n2 est le nombre total de cases. Les antécédents de 12 sont (1 ; 4), (2 ; 3), (4 ; 2) et (10 ; 1).
On retire les n cases de la diagonale
(voir figure). 97 ABCD 16 cm2
Par symétrie, il reste un nombre 5x 3 4 - x
Si AE x, ABE et DCE
pair de cases n 2 - n. 2 2
5 x 3 4 - x
92 Elle calcule le volume d’un cylindre de rayon r et a. On résout 8 soit x 2.
2 2
de hauteur h.
5 x 34 - x
b. On résout 0,6 ¥ 16 soit x 3,6.
93 1. VARIABLES : , L, S nombres 2 2
ENTRÉES : Saisir , L 98 1. Si x est le nombre de tee-shirts vendus, le
TRAITEMENT : bénéfice est de 2,7x – 300 en euros.
S prend la valeur ¥ L Or 2,7x - 300 ⭓ 3 000 € x ⭓ 1 223 (x entier).
SORTIE : Afficher S
L’association peut faire un bénéfice d’au moins 3 000 €
94 1. VARIABLES : T, P, I nombres en vendant au moins 1 223 tee-shirts.
ENTRÉES : Saisir T, P 2. Non ! 1 223 > 550.
TRAITEMENT :
3. On peut vendre le tee-shirt plus cher : 8,50 € pièce
I prend la valeur P / T 2
au moins.
SORTIE :
Si I 20 Alors
99 a. 24 b. 65 c. 55 d. 5 150 e. 5 050
Afficher « maigreur »
Sinon
100 English Corner
Si I
25 Alors
Afficher « surcharge pondérale » 1.
Sinon y
Afficher « poids normal »
FinSi
FinSi
95 1.
2. y
d2
J
O I x
O I x
2. The domain of f is - 3 ; 6 .
f x 1 € x - 2 or x 1 or x 4,75
d1
f x 3 € x - 3 or x Œ2 ; 4
3. f 0 0 ; f 21 - 1 ; f - 1 21 ; f 2 2
2 -1
.
3 1. L’antécédent est 3.
2. Pour f, le coefficient directeur est – 2 ; pour g, c’est 3.
3. Pour f, l’ordonnée à l’origine est 1 ; pour g, c’est – 4.
4 a. Oui b. Oui c. Non : multiplier par un négatif change le sens de l’inégalité. d. Non e. Oui f. Non
32
4. On place les points connus par le tableau. En tenant compte de l’évolution de l’aire et du maximum constatés expé-
rimentalement sur le logiciel, on peut relier les points.
y
17
16
15
14
13
12
11
10
9
8
7
6
5
4
3
2
1
–1 1 2 3 4 5 6 7 8 9 x
Activité 3. L’ironman
1. a. Cette portion de parcours enchaîne une descente, une montée, une portion de plat, une nouvelle descente, une
montée. Elle se poursuivra par une portion de plat.
b. Quand la distance parcourue augmente de 41,1 km à 84,2 km, l’altitude diminue puis augmente, reste constante,
diminue et augmente.
2. Altitude
401 1080 1080 1100
(en m)
180 1050
Distance
en km 0 41,1 49,8 75,3 77,2 79,2 84,2
Tourrettes Pont du Loup Caussols Carrefour Carrefour Col
D12/D112 D12/D5 de la Sine
3. Dans le tableau, l’altitude maximale est 1 100 m. Il n’existe pas de point d’altitude supérieure sur le parcours ; ceci se
justifie grâce aux variations connues de l’altitude entre deux points donnés par le tableau.
4. De même, l’altitude minimale est 180 m.
4. L(x) = MN + NS = 4 x 2 2 , 25 3 - x 2
La valeur minimale semble être environ 4,6 atteinte pour x compris entre environ 1,3 et 2,1.
Avec la table de valeurs, on peut conjecturer une longueur minimale d’environ 4,6 pour x 1, 7 (à 0,1 près).
A B
A¢ B¢
D’ C’
Le plus court chemin sur ce patron de M à S est le segment [MS]. On en déduit la position de N, point d’intersection de
[MS] et [A¢B¢] sur le patron.
B¢N B¢M x 2 4
3. Par le théorème de Thalès dans les triangles A¢SN et NB¢M : soit .
12 A ¢ N A ¢ S 3 - x 1 ,5 3
On a donc 3x = 12 – 4x d’où x = ª 1, 7 .
7
34
TP 2. Sans calculatrice ni logiciel
2.
x 0 2 4 5 6
V(x) 0 16 32 25 0
3. Réponse c.
4. Les courbes b et c sont cohérentes avec le sens de variation de V.
V 6 - V 5 V 5 - V 4
Mais - 25 et - 7.
6-5 5- 4
Donc sur [4 ; 6], on ne peut pas relier les points par un segment de droite.
On choisit donc la courbe c.
y
D C
8
7
K’
M
6
4 E
2 Aire MPN = 10 N
K
1
A B
0 P
-1 1 2 3 4 x
Exercice
SANS CRAYON, SANS CALCULATRICE ENTRAINEMENT
1 a.
13
b. -
10 19 1. La fonction h est strictement croissante du
3 3 1/11/2008 à 11 h au 2/11/2008 à 2 h, puis le 2/11/2008 :
37 elle est strictement décroissante de 2 h à 3 h, strictement
2 a. – 10 b. croissante de 3 h à 9 h et strictement décroissante de
6
9 h à 11 h.
3 a. 108 b. 10 -4
2. Le maximum de h est de 4,3 environ. La hauteur
4 15 cm d’eau maximale atteinte lors de la crue de l’Allier en
2008 entre le 1/11 à 11 h et le 2/11 à 9 h est de 4,3 m.
5 8 cm 3. le 1/11/2008 à 19 h 00 ; le 2/11/2008 à 4 h ;
le 2/11/2008 entre 4 h et 5 h.
5
6 I ( ; 1) 4. On l’indiquera par une nouvelle droite horizontale
2
passant par l’ordonnée 4,3.
7 22 euros
20 1. 110 chevaux à 4 000 tr/min.
8 Environ 25 % de 120 € soit un quart de 120 € donc 2. 260 N.m avec overboost, 240 N.m sans.
30 €.
21 1. Sur [0 ; 2,5] la vitesse augmente ; sur [2,5 ; 10]
9 f (– 4) = 49 elle diminue.
2. Sur [10 ; 15] la vitesse est constante. Elle vaut 5 km.h–1
10 Le point de coordonnées (– 1 ; 3)
3. La vitesse est strictement croissante sur [0 ; 2,5],
11 Oui strictement décroissante sur [2,5 ; 10] puis constante
sur [10 ; 15].
3
12 -
2 Pour aller plus loin
13 15 x - 6 x 2
Travail à faire avec un collègue de physique (par
exemple on n’indique pas dans cet énoncé de
14 (2x – 5)(2x + 5) référentiel).
36
b. Son maximum est atteint pour x = 6. C’est l’aire d’un 2.
triangle équilatéral de côté 6. x –5 0 4
Son minimum vaut 0 pour x = 0.
4
2. a. Cette fonction est strictement décroissante sur
f(x)
[0 ; 6]. Son maximum est atteint pour x = 0 : c’est l’aire
d’un carré de côté 6 donc 36 pour x = 0. Son minimum –3 –3
est 0 atteint en x = 6.
b. Cette fonction est strictement décroissante sur [0 ; 6].
31 y
Son maximum est l’aire d’un triangle équilatéral de côté
6, atteint pour x = 0 ; son minimum est 0 atteint en x = 6.
c. Cette fonction est strictement croissante sur [0 ; 6]. 1
Son maximum est 36 atteint en x = 6 ; son minimum est
0 atteint en x = 0. 4 2 0 1 3 x
–1
27 1. [0 ; 10] –2 –1 0 1 2 x
48 1. a. f semble décroissante.
b. Il semble que f(x) ≥ – 3 pour x appartenant à [– 3 ; 1].
2. f(0,5)= – 2,875. On s’aperçoit que f(0,5) > – 3 c’est-à-
dire f(0,5) > f(0).
38
On peut en conclure que f n’est pas strictement 53 1. x = 0 ; x = 4 ; x = 8 ; x = 12 ; x = 16.
décroissante. 2. a.
La conjecture de la question b n’est en revanche pas
contredite par le calcul de f (0,5). x 0 2 4 6 8 10 12 14
f(x) 2 2 2 2 2 2 2 2 2 2 2 2
49 1. Il semble que f(x) 肁 3 pour x appartenant à [1 ; 5].
b.
2.
x 0 2 4 6 8 10 12 14 16
2 2 2 2 2 2 2 2 2 2
f(x)
2 2 2 2
54 1. et 2.
a. a = 3 et b = 4 ; fonction strictement croissante sur .
On remarque que f n’est pas strictement croissante, elle b. a = 2 et b = – 6 ; fonction strictement croissante sur .
change de variations sur [0 ; 3]. c. a = 1 et b = 5 ; fonction strictement croissante sur .
En particulier, f(1,5) ª 2 , 93 donc f (1,5) < 3.
d. a = 1 et b = 0 ; fonction strictement croissante sur .
La conjecture faite à la question 1 est donc fausse.
e. a = – 1 et b = 0 ; fonction strictement décroissante
50 1. Sa recette sera maximale pour un billet à sur .
7 euros, sa recette sera alors de 10 801 euros pour f. a = 0 et b = 6 ; fonction strictement constante sur .
1 543 spectateurs (10 801/7).
55 1 et 2.
2. Réponse c. Si le billet est à 0 euros, elle a une recette
a. a = – 1 et b = 3 ; fonction strictement décroissante
de – 3 899 euros : elle perd donc 3 899 euros.
sur .
3. Pour les valeurs de x comprises entre 1 et 13.
b. a = 2/3 et b = – 5 ; fonction strictement croissante sur .
Elle doit fixer le prix du billet dans une fourchette de 1 à
c. a = 1/4 et b = – 3/4 ; fonction strictement croissante
13 euros si elle souhaite faire un bénéfice.
sur .
51 1. x appartient à [– 4 ; 9]. d. a = 1/2 et b = 1 ; fonction strictement croissante sur .
2. a. AM sera minimum pour x = 0 (distance d’un point e. a = – 1/4 et b = 0 ; fonction strictement décroissante
à une droite) il vaut alors 3. sur .
b. f est strictement décroissante sur [– 4 ; 0] puis stricte- f. a = 2 et b = 1 ; fonction strictement croissante sur .
ment croissante sur [0 ; 9].
56 1. a. Dx = 4 – 1 = 3
3. f (0) = 3 ; f(– 4) = 5 ; f(9) = 90 . b. Dy = 5 – 2 = 3
x –4 0 9 3
c. a = = 1
3
5 90 2. f(x) = 1x + b. Or f(1) = 2 donc 2 = 1 + b d’où b = 1 et
h(x) f(x) = x + 1.
3
57 a. Dx = 1 – 0 = 1 ; Dy = 3 – 2 = 1.
1
52 1. x appartient à [0 ; 4]. a= =1
1
2. f est strictement croissante sur I.
f(x) = 1x + b. Or f (1) = 3 donc 3 = 1 + b d’où b = 2 et
3. a. CM¢ = 4 (rayon du quart de cercle). f(x) = x + 2
b. CM = 16 x 2 et f (x) = 16 x 2 – 4. b. Dx = 3 – 2 = 1 ; Dy = 6 – 0 = 6.
6
4. a= =6
1
x 0 0,5 1 1,5 2 2,5 3 3,5 4
f(x) = 6x + b or f(2) = 0 donc 0 = 12 + b d’où b = – 12 et
f (x) 0 0,03 0,123 0,272 0,472 0,717 1 1,315 1,656 f(x) = 6x – 12.
5. MM¢ 肁 1 lorsque f (x) 肁 1 c’est-à-dire pour x 肁 3 car 58 Voir la solution de l’exercice résolu 7 page 63 du
f (3) = 1 et f est strictement croissante sur I. manuel.
8 70 1.
t 0 0,25 0,5 0,75 1 1,25 1,5 1,75 2
6 d(t) 0 22,5 45 67,5 90 112,5 135 157,5 180
2. et 3.
4 y = d (t)
180 H
2 160 G
140 F
–4 –2 0 2 4 6 x 120 E
100
–2 D
80
On peut contrôler le résultat précédent graphiquement C
en regardant pour quelles valeurs de x la droite est au- 60
B
dessus de l’axe des abscisses. 40
3. Les réels 0 ; 1 ; 2 par exemple. A
20
65 1. 2x + 4 est strictement positif pour x > – 2 ; 0
négatif sinon. 0 0,25 0,5 0,75 1 1,25 0,5 1,75 2 x=t
40
Il s’agit d’une situation de proportionnalité : d est une b. f(x) 0 si et seulement si x 0,3.
fonction linéaire, donc d est représentée par un g(x) 0 si et seulement si x 0,4.
segment de droite sur [0 ; 2]. 3. Résolution algébrique
4. 90 représente le coefficient directeur de la droite f(x) = 0 € 0,6 = 2x € x = 0,3.
dont on a tracé une partie ci-dessus. g(x) = 0 € 0,4 = x.
5. Durant la première heure le cycliste a roulé à la f(x) 0 € – 2x + 0,6 0 € 0,6 2x soit 0,3 x.
vitesse constante de 30 km . h–1 ; puis de 1 h à 1 h 30 il a g(x) 0 € – x + 0,4 0 € 0,4 x.
roulé à une vitesse de 10 km . h–1. Il s’est arrêté de 1 h 30 4. a. x 0 et f(x) 0 et g(x) 0 si et seulement si
à 2 h et est reparti jusqu’à 3 h à la vitesse constante de 0 x 0,3.
40 km . h–1. b. Voir graphique ci-dessus.
APPROFONDISSEMENT
10
2
f2
–2 0 2 4 6 8 x
105 Il y a plusieurs méthodes pour exécuter ce tracé
4. Graphiquement : on repère les points d’intersection selon qu’on le trace point par point ou que l’on utilise un
et on lit leurs abscisses : 5,7 et 3 à la précision de lecture outil de tracé d’un segment déterminé par ses extrémités
graphique près. (sur AlgoBox ou sur une calculatrice par exemple).
42
Exemple d’algorithme : d. Car la vitesse est constante. Le coefficient directeur
VARIABLES : a nombre est – 15.
INITIALISATION : a prend la valeur 0 3.
TRAITEMENT 0
H 5 10 15 20 25 30 35 40 45 50 55 K Temps
Tantque a ≤ 18 Faire (min)
5 I J
Tracer le segment ayant pour extrémités les
10
points de coordonnées (a ; 0) et (a + 1 ; 1)
15
Tracer le segment ayant pour extrémités les
points de coordonnées (a + 1 ; 1) et (a + 2 ; 0) 20
a prend la valeur a + 2 25
F G
FinTantque 30
Profondeur
Programmation sur Algobox : (m)
44
Développer, factoriser
pour résoudre 3
Pour reprendre contact
Les réponses exactes sont :
1 1.
1 A
A¥B –A A+B A–B
A B
produit opposé somme inverse quotient différence
2. 1 + (x + 3)2
3
3.
2 4 x
2 1. c 2. d 3. b 4. c
3 L’argument de Myriam est correct : son contre-exemple permet de prouver que l’affirmation « Pour tout x, … » est
fausse. Par contre, l’exemple de Léa ne suffit pas à prouver que l’affirmation est vraie.
4 1. b et c 2. c 3. c
45
La conjecture reste valable pour f, g et k.
On sait maintenant qu’elle est fausse pour h.
3. f : 4 Æ 4 + 3 = 7 Æ 7 ¥ 2 = 14 Æ 14 – 6 = 8
g : 4 Æ 4 + 1 = 5 Æ 52 = 25 Æ 25 – 1 = 24 Æ 24 – 42 = 8
k : 4 Æ 4 – 1 = 3 Æ 32 = 9 Æ 9 ¥ (– 12) = – 108 Æ – 108 + 2 ¥ 43 = 20.
La conjecture est confirmée pour f et g.
Elle ne l’est pas pour k.
4. Non, on ne peut pas affirmer que pour toute valeur de x, f (x) = g(x) = 2x.
3×a a×a
3a a2
3a + a2
a2 + 3a
b. Cette expression est une somme, dont les termes sont a2 et 3a.
c. x 2 1
x+2
x (x + 2)
x (x + 2) + 1
46
2. f (0) = 02 – 2 ¥ 0 – 8 = – 8
f (1) = (1 – 1)2 – 9 = 0 – 9 = – 9
f (4) = (4 – 4) (4 + 2) = 0 ¥ 6 = 0
f ( 3) = ( 3)2 – 2 ¥ 3 – 8 = 3 – 2 3 – 8 = – 5 – 2 3.
La fonction TRACE donne pour abscisses des points communs aux deux courbes x 艐 0,002 et x 艐 0,835.
Manon propose donc ces deux solutions.
Karim
5
Karim résout 6x – 4 = 1 d’où 6x = 5 et donc x .
5 6
Karim donne pour solution : x .
6
2. Théo et Karim proposent chacun une solution de l’équation qui est exacte. Mais il leur en manque une !
Manon a trouvé deux solutions ; mais elle ne les connaît pas de façon exacte.
b. La 1re méthode ne permet pas de déterminer une solution non décimale, la 2e méthode donne des solutions approchées,
la 3e méthode comporte une erreur algébrique grave.
D’après la courbe de L, on peut conjecturer que la longueur du grillage est minimale lorsque x vaut environ 30 m ; la
longueur du grillage est alors d’environ 120 mètres.
4. L x - 120 2 x 1 800 - 120
x
2 x 2 - 120 x 1 800 2 x 2 - 60 x 9 00
x x
2 x - 302
x
48
2 x - 302
De l’égalité L(x) – 120 = on peut déduire d’une part que L(30) – 120 = 0 et d’autre part que L(x) – 120 0
x
pour tout x > 0. On a donc, pour tout x > 0, L(x) L(30) qui prouve que L(x) est minimal pour x = 30 et vaut L(30) = 120
dans ce cas.
Les longueurs des intervalles successifs sont : 256, 128, 64, 32, 16, 8 et 4.
On remarque que leur longueur est divisée par 2 à chaque étape.
Complément : Partant d’un intervalle de longueur 256, au bout de n étapes l’intervalle contenant P a pour longueur
256
.
2n
256
Le nombre maximal d’étapes à ce jeu est donc 8 car = 1.
28
B. 1. a. À partir de la courbe de f : x x3 on conjecture que f est croissante sur et que l’équation f (x) = 5 admet une
solution unique.
On admet que ces conjectures sont exactes.
b. On calcule f (1,2) = 1,23 = 1,728.
f (2) = 23 = 8.
Notons x0 la solution de l’équation f (x) = 5.
On a f (x0) = 5 et donc f (1,2) f (x0) f (2).
Comme f est croissante sur , f « conserve l’ordre » et donc 1,2 x0 2 ; soit x0 Œ [1,2 ; 2].
c. * Pour obtenir une valeur approchée à 10–1 près de la solution x0 de l’équation f (x) = 5 :
• on peut utiliser la TABLE de la calculatrice, après avoir rentré Y1 = X3 et pris pour « départ » 1,2,
pour « fin » (éventuellement) 2 et pour « pas » 0,1.
On peut alors lire sur la table que f (1,7) 5 f (1,8) soit encore f (1,7) f (x0) f (1,8).
Comme dans la question b, la croissance de la fonction f permet d’en déduire 1,7 x0 1,8
• on peut aussi faire afficher la courbe de f sur la calculatrice et utiliser TRACE.
Étape n° Proposition L’image est… (> 5 ou < 5) La solution appartient à [a, b] avec
début a = 1,2 b=2
1 1,6 4,096 (< 5) a = 1,6 b=2
2 1,8 5,832 (> 5) a = 1,6 b = 1,8
3 1,7 4,913 (< 5) a = 1,7 b = 1,8
4 1,75 5,359… (> 5) a = 1,7 b = 1,75
5 1,725 5,132… (> 5) a = 1,7 b = 1,725
6 1,7125 5,022… (> 5) a = 1,7 b = 1,7125
M N
A 10 B
50
B. Voir fichiers sur le site www.didiermathx.com.
C. AM = h, h Œ [0 ; 9]
V(h) = – 2h2 + 40h
1. On peut faire afficher la courbe de la fonction V sur l’intervalle [0 ; 9] et utiliser TRACE pour obtenir des valeurs appro-
chées des antécédents des nombres 0, 30, 60, 90, 120, 150 et 180.
(Il est inutile d’aller plus loin car V est croissante sur [0 ; 9] en tant que volume qui croît lorsque h croît, le volume
maximum étant V(9) = 198.)
On peut aussi utiliser la TABLE de la calculatrice en tabulant la fonction V sur [0 ; 9] avec un pas suffisamment petit.
2. Voir fichiers sur le site www.didiermathx.com.
Exercices
SANS CRAYON, SANS CALCULATRICE 11 a. (2x – 1)2 = 4x2 – 4x + 1
6 3 9 5 b. (4x – 1) (4x + 1) = 16x2 – 1
1 a. - b.
5 10 10 4
12 a. x2 – 3x
2 a. 72 b. 60
b. 9x2 – 42x + 49
3 a. 720 b. 198
13 x2 + 4x2 = 5x2
4 Environ un quart de 120 soit 30 €.
14 4x – 6x = – 2x
20
5 1,2 = 1+ . L’augmentation est de 20 %.
15 2x2 + x + 2x + 1 = 2 x2 + 3x + 1
100
6 I 2;
1
4 16 4a2 – b2 = (2a – b) (2a + b) = 3 ¥ 5 = 15
7 Par le théorème de Pythagore AB2 + AC2 = BC2 17 a. (3x + 1)2
d’où 16 + AC2 = 36 soit AC2 = 20 et AC = 20.
b. (2x – 8) (2x + 8)
8 45 - 5 3 5 - 5 2 5
18 (x + 1)2 + 4(x + 1) = (x + 1) [(x + 1) + 4]
9 Oui car 3 = – 2 + 5 est vrai. = (x + 1) (x + 5)
52
43 a. (2x + 3)2 = 4x2 + 12x + 9 55 Voir corrigé en fin de manuel.
b. (x – 3)2 = x2 – 6x + 9
56 a. (2x – 3)2
c. (4t + 3)2 = 16t2 + 24t + 9 b. 7(x2 – 4) = 7(x + 2) (x – 2)
d. x -
12
2
x2 - x
4
1
c. (2x – 5) [(2x – 5) – 2(2x – 3)] = (2x – 5) (– 2x + 1)
92 x - 9 x 814
2 = (7x – 1) (– 3x – 5)
b. x - 2
57 a. x(2x + 7)
c. 3
2 2
t t
t 9 b. (x + 13)2
6 36
d. - 4
x 2
x 2 c. (x – 2)2 – (x – 2) (7x + 1) = (x – 2) (– 6x – 3)
- 4 x 16 = – 3(x – 2) (2x + 1)
2 4
45 Voir corrigé en fin de manuel. d. (3x + 5) (3x – 5) + 2(3x + 5) = (3x + 5) (3x – 3)
c. b -
3 2
2 15
- x-
= (x – 2) [(x + 2) + (x + 1)] = (x – 2) (2x + 3)
3 - 15
v .
b. 3(x2 – 4x + 4) = 3(x – 2)2 2 4
c. x(x + 3) + (x + 3)2 = (x + 3) [x + (x + 3)] - 15
On en déduit que v admet un maximum égal à
= (x + 3) (2x + 3) 3 4
obtenu pour x = .
d. (x + 1) (x + 2) – 3(x + 2) = (x + 2) [(x + 1) – 3] 2
= (x + 2) (x – 2) 61 1. f (x) = g(x) lorsque x = – 3 ou x = 2.
2. – 3 est solution de l’équation f (x) = g(x) si on a
53 a. 2x(x + 3) + 4(x + 3) = (x + 3) (2x + 4) f (– 3) = g(– 3). Or f (– 3) = – 2 et g(– 3) = – 2.
b. (x – 3) (3x – 4) – (3x – 4) = (3x – 4) (x – 4) – 3 est donc bien solution. De même f (2) = 3 et g(2) = 3
c. xy – xz – y(y – z) = x(y – z) – y(y – z) = (x – y) (y – z) d’où 2 est bien solution de l’équation f (x) = g(x).
d. – x2 + 8x – 16 = – (x – 4)2 62 a. Graphiquement, f (x) = 4 pour x = 1.
54 a. 7x(x – 2) b. (4x – 9) (4x + 9) b. f (x) = 1 pour x = 0 ou x = 4.
c. b(2a2 – 1) d. (2x – 1)2 c. g(x) = – 2 pour x = – 3.
67 a. x = 4 b. x = 1,5
c. x = 2 d. x = 4,5
4
68 a. x = 6 b. x = –
3
La courbe de f : x x3 – 32x2 + 57x + 90 montre que 1
c. x = – d. t = – 6
– 1 et 3 semblent être solution de l’équation f (x) = 0. 9
8 16
2. f (30) = 0, d’où 30 est une troisième solution de l’équa- 69 a. x = b. x =
5 25
tion f (x) = 0. Le réglage de la fenêtre de la calculatrice 1 13
ne permettait pas de conjecturer cela. c. x = – d. x =
5 5
65 1. C 70 a. x = – 5 b. x = – 16
3 5
c. x = d. x = –
14 3
71 Soit x la note cherchée :
x 8 12 15 8 9 14
M N 12
7
X
x = 84 – 66 = 18
A B
72 Soit x le prix d’un CD : la somme d’argent dont
2. AM = x dispose Karen peut s’écrire : 4x + 15 ou 5x – 5.
f (x) = aire CMN L’équation à résoudre est donc b.
g(x) = aire ABNM 4x + 15 = 5x – 5 équivaut à x = 20.
x Œ [0,4] Karen dispose donc de 20 euros.
54
73 À chaque étape, le nombre d’allumettes utilisées 80 a. x(5x + 1) = 0
augmente de 4. x = 0 ou x = – 0,2.
Notons N(k) le nombre d’allumettes utilisées à la kième b. x(x2 + 4) = 0
étape (k Œ *). x=0
On a : N(1) = 5 c. x2(x – 2) = 0
N(2) = 5 + 4 x = 0 ou x = 2.
N(3) = 5 + 2 ¥ 4 d. (2x – 1) (2x + 1) = 0
N(4) = 5 + 3 ¥ 4 x = 0,5 ou x = – 0,5.
⯗
N(k) = 5 + (k – 1) ¥ 4 81 1. a. x2 b. x2 c. 4x2 d. 4x2
On cherche k dans * tel que : 2. a. 1er 2
degré car les termes en x sont les mêmes dans
5 + (k – 1) ¥ 4 = 321 chaque membre.
4(k – 1) = 316 4
A(x) = B(x) équivaut à x = – 2x + 4 ; 3x = 4 ; x = .
k – 1 = 79 3
b. Second degré.
k = 80 c. Premier degré : – 4x + 1 = – x + 16x – 4.
Conclusion : c’est à la 80e étape que l’on utilisera 5
19x = 5 donc x = .
321 allumettes. 19
d. Second degré.
74 On reprend la démarche de l’exercice 73 en
remplaçant « allumette » par « carré » et « augmente de 82 a. Premier degré :
4 » par « augmente de 3 ». 2x 2 – 2x – 3 = x 2 + x 2 + 2x + 1
438
Cela conduit à : 1 + (k – 1) ¥ 3 = 439 soit k – 1 = 4x = – 4 donc x= – 1.
3
d’où k = 147. b. Second degré.
75 Soit P le prix initial de l’article. c. Premier degré :
1,08 P = 18,90 donne P = 17,50 €. 3 – (x2 + 8x + 16) = 4x + 20 – x2
3 – x 2 – 8x – 16 = 4x + 20 – x 2
76 0,85 P = 22,10
P = 26 € 12x = – 33
33
x=–
77 Pour une sphère de rayon R, le volume est 12
4 3
V= pR . 83 a. x(4x – 3) = 0 ; x = 0 ou x = 0,75.
3
Pour un cylindre de rayon R et de hauteur h, b. x = 0,5 ou x = – 3.
le volume est V¢ = pR2 h. 5
c. (x – 1) (3x – 5) = 0 ; x = 1 ou x = .
3
Ils auront même volume si et seulement si : d. x(2 – x) = 0 ; x = 0 ou x = 2.
4 3
pR = pR2 h.
3 84 a. x = 2
En divisant chaque membre par pR2 (non nul), on
4 b. x = 0,5 ou x = 4.
obtient : h = R.
3 c. x = 0,5
3
78 a. Oui : x = 1 ou x = – . d. x2 – 2x + 1 = 0
2
b. Oui : x = 0 ou x = – 3. (x – 1)2 = 0 ; x = 1.
c. Non
85 Voir corrigé en fin de manuel.
d. Non
e. Oui : x =
5
ou x = – 1. 86 a. x2 + 4x + 4 = 0
2 (x + 2)2 = 0 ; x = – 2.
f. Non
b. (x + 1)2 [(x + 1) – 1] = 0
79 a. x = 0 ou x = – 2,5. (x + 1)2 x = 0 ; x = – 1 ou x = 0.
b. x(5x + 12) = 0 c. 2x(2x – 1) – 6(2x – 1) = 0
x = 0 ou x = – 2,4. (2x – 1) (2x – 6) = 0
c. x(x2 – 5) = 0 x = 0,5 ou x = 3.
x(x + 5) (x – 5) = 0 d. (x + 2)2 – 3(x + 2) = 0
x = 0 ou x = – 5 ou x = 5. (x + 2) [(x + 2) – 3] = 0
d. x = 0,5 ou x = – 1. (x + 2) (x – 1) = 0 ; x = – 2 ou x = 1.
56
Pour aller plus loin 1. L’aire de la bordure est :
• par soustraction : x2 – (x – 3)2.
VARIABLES : a, b, p, nombres • directement : 3x + 3(x – 3) = 6x – 9.
INITIALISATION : a prend la valeur 0 Seules les expressions c et d donnent l’aire de la
b prend la valeur 4 bordure.
~
TRAITEMENT : Tant que b – a > 0,1 Faire
a b 2. Cette aire est égale à 27 si on a 6x – 9 = 27 soit 6x = 36
p donc x 6.
2
Si 2p p < 4 Alors a prend la valeur p
Sinon b prend la valeur p 100 On cherche x tel que
FinSi (x + 20) (x – 10) = x2 soit x2 + 10x – 200 = x2
FinTantque 10x – 200 = 0 donc x = 20.
SORTIES : Afficher a et b
101 1. Le fond de la boîte a pour aire (10 – 2AM)2 et
97 1. La fonction f semble strictement décroissante sa hauteur est AM.
sur [– 1 ; 1]. Il en résulte V = AM(10 – 2AM)2.
2. 2. Si on pose AM = x avec 0 x 5, V = x(10 – 2x)2.
On cherche x dans [0 ; 5] tel que x(10 – 2x)2 = 72. Le
La solution
Étape Propo- L’image est logiciel Xcas donne une seule solution dans [0 ; 5] : x 2.
appartient à
n° sition (> 1 ou < 1)
[a ; b] avec
Début a=–1 b=1 102 (E) : 3x2 – 5x = 4x + 2.
1 0 f (0) ª 2 >1 a=0 b=1 Résolution approchée 1 : on affiche sur une calcula-
2 0,5 f (0,5) ª 0,6 <1 a=0 b = 0,5 trice les courbes 1 et 2 qui représentent les fonctions
f : x 3x2 – 5x et g : x 4x + 2. On lit (mode TRACE) les
3 0,25 f (0,25) ª 1,3 > 1 a = 0,25 b = 0,5
abscisses des points communs à 1 et 2 :
4 0,375 f (0,375) ª 0,93 < 1 a = 0,25 b = 0,375 x1 艐 – 0,19 et x2 艐 3,23.
VARIABLES : a, b, p, nombres Résolution approchée 2 : (E) équivaut à 3x2 – 9x – 2
INITIALISATION : a prend la valeur – 1 = 0. On affiche la courbe 3 qui représente la fonction
b prend la valeur 1 h : x 3x2 – 9x – 2. On lit (mode TRACE) les abscisses des
~
TRAITEMENT : Tant que b – a > 0,1 Faire points d’intersection de 3 avec l’axe des abscisses :
a b x1 艐 – 0,19 et x2 艐 3,23.
p
2
Résolution approchée 3 : on utilise l’algorithme de
Si p3 – 3p + 2 < 1 Alors b prend la valeur p dichotomie.
Sinon a prend la valeur p – On peut tracer sur la calculatrice ou sur un logiciel les
FinSi courbes repésentant les fontions f et g définies par f(x)
FinTantque = 3x2 – 5x et g(x) = 4x + 2.
SORTIES : Afficher a et b On obtient des valeurs approchées des solutions (– 0,2
et 3,2). On ne peut être sûr avant d’avoir fait le chapitre 4
98 • On cherche x réel tel que : de ne pas laisser d’autres solutions qui seraient en
x
1 2
2
1
x ou encore x 1- x 0 ; x = 0 ou x = 2.
2
dehors de la fenêtre de tracé.
– On peut aussi faire afficher sur calculatrice ou tableur
• On cherche x réel tel que : des tableaux de valeurs des deux fonctions f et g et
1
x = 2x2 ou encore x(1 – 2x) = 0 ; x = 0 ou x = . essayer de trouver des valeurs de x telles que f(x) = g(x),
2
en affinant le pas si nécessaire.
99 3
Résolution exacte : avec le logiciel de calcul formel
Xcas :
– On peut demander de factoriser 3x2 – 9x – 2 puis
appliquer la règle du produit nul :
Ê 105 – 9 ˆ Ê 105 9 ˆ
3x 2 – 9x – 2 Á x ˜¯ ÁË 3 x – ˜¯ .
Ë 6 2
3
9 – 105 9 105
x Les solutions sont donc et .
6 6
3 35 35 3 35
équivaut à x – ou – soit x ou x
2 12 12 2 12
x –
3 35
. x - 12
2 12 Comme 0, on a g(x) – 2 0 c’est-à-dire
x
On peut aussi demander directement de résoudre
g(x) 2, avec 2 = g(1).
l’équation…
Ceci étant vrai pour tout réel x > 0, g admet un minimum
1 1 1 1 1
103 ; ; R = 12 W. égal à 2 obtenu pour x = 1.
3 4 R2 R2 12 2
108 1. A(a) = 1
x -1
104 a. Pour x – 1, =0 2
x 1 2. P(a) = 2a +
lorsque x – 1 = 0 a
x = 1. 2 a - 12 4 a 2 a 2 - 4 a 2 2 a 2 2
Par ailleurs 4 + =
2 x 10 a a a a
b. Pour x 0, =0 2
x = 2a + = P(a)
lorsque 2x + 10 = 0 a
x = – 5. 2 a - 12
3. Comme 0, on a P(a) 4 pour tout a > 0,
x -1 a
c. Pour x 0, = 3 équivaut à x – 1 = 3x ; 2x = – 1 ;
1 x avec de plus 4 = P(1).
x=– .
2 Il en résulte que P(a) est minimal lorsque a = 1 et son
x -1 minimum est 4.
105 a. Pour x 0, =0
4x Interprétation : c’est lorsque ce rectangle est un carré
lorsque x – 1 = 0 que son périmètre est minimal.
x = 1.
109 A-t-on toujours pour a > 0 et b > 0 :
x2 2 x 1
b. Pour x 1, =0 1 1 1
x -1 ?
a b ab
lorsque x2 + 2x + 1 = 0 ; (x + 1)2 = 0.
Prenons a = b = 1.
x = – 1.
2 L’égalité s’écrit dans ce cas :
x -2 1 1 1 1
3 soit 2 = .
c. Pour x 3, =0 1 1 1 1 2
2 x-6
2 Ceci est faux.
lorsque x – 2 = 0.
3 L’égalité n’est donc pas vraie pour tous a > 0 et b > 0.
2
x = 2 donc x = 3.
3 110 pqr = 1 donne p 0, q 0, r 0.
Cette valeur de x ne convient pas (le quotient aurait un rst = 0 donne r = 0 ou s = 0
dénominateur nul) et donc cette équation n’a pas de spr = 0 donne s = 0.
solution. Seul le réel s doit être nul.
106 Pour tout réel x non nul, 111 1. « Un » signifie « Pour tout ».
1 2. « Un » signifie « Pour tout ».
2 1 1 1
a. Vrai : ¥ . 3. « Un » signifie « Il existe un ».
x 2 x 2x
Par exemple : 92 = 81 ; 592 = 3 481.
1 x x 1
b. Faux : 1¥ . Mais cela n’est pas vrai pour tout entier se terminant
2 2 2 2x
x par 9.
107 1. Contre-exemple : 192 = 361.
58
113 1. f semble avoir un minimum égal à 0, obtenu 135 1. Pour x = 1, y = 7,75 et donc l’augmentation de
pour x = 1. la consommation d’énergie est de 7,75 %.
2. f (x) = 0 semble avoir pour solution unique x = 1. 2. a. Lorsque la consommation passe de 1 200 à
3. Les 2 lectures précédentes sont fausses. 180
1 380 kWh, l’augmentation est de ¥ 100 = 15 (%).
En effet f (1) = – 0,01. 1 200
On cherche donc l’épaisseur x de tartre telle que :
114 1. Clara a commis une erreur de signe à la seconde 1
– x2 + 8x = 15.
ligne. 4
1
Paul a confondu multiplication et addition à la dernière Mais en développant – (x – 16)2 + 64
4
ligne.
1
Leila a commis une erreur de signe à la dernière ligne. = – (x2 – 32x + 256) + 64
4
2. 3 – x + 4 = 2x + 5 1
= – x2 + 8x,
7 – 5 = 2x + x 4
3x = 2 on observe que l’équation peut s’écrire :
2 1
x= – (x – 16)2 + 64 = 15.
3 4
Pour les exercices 115 à 132 : voir les corrigés en b. Cette équation s’écrit encore :
fin de manuel. 1
– (x – 16)2 + 49 = 0,
4
APPROFONDISSEMENT soit en multipliant chaque membre par – 4 :
(x – 16)2 – 4 ¥ 49 = 0
133 1. AM = 2x et AM 8 d’où x Œ [0,4]. [(x – 16) + 2 ¥ 7] [(x – 16) – 2 ¥ 7] = 0
2. f x
2
px p
2
1 2 1 8-2 x 2
2 (x – 2) (x – 30) = 0.
Comme x Œ [0 ; 14], l’épaisseur de tartre cherchée est de
1 2 1
p x p 4 - x 2 2 mm.
2 2
p x 16 - 8 x x 2
1 2
2 136 1. x Œ [0 ; 7]
p x 2 - 4 x 8 2. a. Le théorème de Thalès donne :
p ¥ 42 AM AN MN
x AN MN
soit
3. L’aire du grand demi-disque est = 8p.
2 AB AC BC 7 7 9
1 9
On cherche x Œ [0 ; 4] tel que f (x) = ¥ 8p c’est-à-dire tel On en déduit : AN = x, MN = x
2 9 23 7
que p(x2 – 4x + 8) = 4p. d’où P(x) = 2x + x = x.
Cela revient à résoudre x2 – 4x + 4 = 0. 7 7
b. BM = 7 – x, CN = 7 – x
Soit (x – 2)2 = 0, qui a pour seule solution x = 2.
9
Cela se produit lorsque M est le milieu de [AB]. d’où q(x) = 2(7 – x) + x + 9
5 7
q(x) = 23 – x.
134 1. Graphiquement, 16 admet deux antécédents 7
par la fonction V. 3.
Ce sont x1 艐 2 et x2 艐 5,5. 23 f (x) p
60
3. Les équations (après développement et réduction) Le carré d’un entier se termine par 6 lorsque cet entier
sont : se termine par 4 ou 6.
n2 – 2n – 3 = 0 Les développements effectués montrent que dans ce
m2 – 6m + 5 = 0 cas, le nombre de dizaines du carré est un nombre
p2 – 4p = 0. impair et donc que le chiffre des dizaines est impair.
L’équation la plus simple est la 3e : p(p – 4) = 0. Ses Lorsque le carré d’un entier ne se termine pas par 6,
solutions sont 0 et 4. l’entier est de la forme 10n + u avec :
• p = 0 est impossible car n = p – 1 impose p 2. u Œ {0, 1, 2, 3, 5, 7, 8, 9}.
• Pour p = 4, on obtient m = 5 et n = 3. Dans ces cas,
(10n + u)2 = 100n2 + 20nu + u2 = 10(10n2 + 2nu) + u2
144 1. (a + b – c) (a + b + c) = (a + b)2 – c2 de la forme avec u2 Œ {0, 1, 4, 9, 25, 49, 64, 81}.
(A – C) (A + C) avec A = a + b. Comme 10n2 + 2nu est pair et comme le chiffre des
2. 2 3- 5 2 3 5 dizaines de u2 est pair également, on en déduit que
2 3 2
-5 2 6 pour ces 8 valeurs de u autres que 4 et 6 le chiffre des
unités du carré est pair.
145 P 1 2 3 5 1 2 - 3 5 En résumé :
¥ 1 2 3 - 5 1 2 - 3 - 5 • si le nombre se termine par 4 ou 6 son carré se termine
par 6 et a un chiffre des dizaines impair ;
¥ 1- 2 3 5 1- 2 - 3 5 • si le nombre se termine par un autre chiffre, son carré
¥ 1- 2 3 - 5 1- 2 - 3 - 5 ne se termine pas par 6 et a un chiffre des dizaines pair.
P È1 2 - 3 5 ˘ È1 2 - 3 - 5 ˘
2 2 2 2
Î ˚Î ˚ 150 24 et 25 sont deux entiers consécutifs et leur
È1- 2 2 - 3 5 2 ˘ È1- 2 2 - 3 - 5 2 ˘ somme 49 est un carré parfait (c’est le carré de 7). On
Î ˚Î ˚ peut vérifier que dans ce cas 7, 24 et 25 sont les côtés
P 3 2 2 - 8 - 2 15 3 2 2 - 8 2 15 d’un triangle rectangle ; en effet 72 + 242 = 252 est vrai.
Autre exemple. 40 + 41 = 81 et 81 = 92.
3 - 2 2 - 8 - 2 15 3 - 2 2 - 8 2 15 A-t-on 412 = 402 + 92 ?
P 2 2 - 5 - 2 15 2 2 - 5 2 15 412 = 1 681 402 + 92 = 1 681
- 5 - 2 2 - 2 15 - 5 - 2 2 2 15 En conclusion 9, 40 et 41 sont les côtés d’un triangle
rectangle.
P È2 2 - 5 - 60˘ È- 5 - 2 2 - 60˘
2 2
Î ˚Î ˚ Preuve. Soient n et n + 1, entiers consécutifs, tels que
P - 27 - 20 2 - 27 20 2 leur somme 2n + 1 soit un carré parfait.
P = 729 – 800 = – 71 Existe-t-il un triangle rectangle de côtés 2 n 1, n et
n+1?
146 99 999 9992 + 20 0002 = (108 – 1)2 + (2 ¥ 104)2 • (n + 1)2 = n2 + 2n + 1
= 1016 – 2 ¥ 108 + 4 ¥ 108 + 1 • ( 2 n 1)2 + n2 = 2n + 1 + n2
= 1016 + 2 ¥ 108 + 1 Par la réciproque du théorème de Pythagore, la réponse
= (108 + 1)2 = 100 000 0012 est oui et la propriété suivante est établie :
147 A2 = (3 ¥ 1 111 111)2 + (4 ¥ 1 111 111)2 Propriété. Si deux entiers naturels consécutifs a et b
= 25 ¥ 1 111 1112 ont une somme qui est le carré d’un entier c alors a, b et
= (5 ¥ 1 111 111)2 c sont les côtés d’un triangle rectangle.
d’où A = 5 555 555. 151 A
Arbre
148 Astuce : a52 = a(a + 1) 25
20 pas
Exemple : 752 = 7 ¥ 8 25 = 5 625.
1052 = 10 ¥ 11 25 = 11 025.
=
C 14 pas
= n(n + 1) 25.
1 775 pas B
149 (10n + 4)2 = 100n2 + 80n + 16 Le théorème de Thalès dans le triangle ABC donne :
= 10(10n2 + 8n + 1) + 6 x
(10n + 6)2 = 100n2 + 120n + 36 20 2
= 10(10n2+ 12n + 3) + 6. 20 x 14 1 775
62
Fonctions
de référence 4
Pour reprendre contact
Les réponses exactes sont :
4
1 1. a. 9 b. c. 25a2 d. 1010 e. 0,01 f. 2 g. 10-4 h. a2
9
1
2. a. b. 3 c. 4 d. 104
2
1 1 1 1 1
3.
8 6 5 4 2
2 1. a.
x –3 1 5
6 6
g(x)
–2
63
Activité 1. La fonction « carré »
1. a. A0 0 ; A1 1 ; A2 4 ; A3 9 .
b.
y = A(x) f
4
3
2
J
O I 1 2 x
2. a. x, côté du carré, peut prendre toutes les valeurs de [0 ; + [ pas seulement les entiers. Il faut donc relier les points
pour représenter .
b. Quand x augmente, Ax augmente. A est donc strictement croissante sur [0 ; + [.
c. A0,5 0,25 et A1,5 2,25. On place les points de de coordonnées (0,5 ; 0,25) et (1,5 ; 2,25). Ils ne se trouvent pas
sur les segments obtenus en reliant à la règle les points déjà placés.
d. Voir figure.
3. La portion de f sur [– 3 ; 0] est obtenue à partir de celle sur [0 ; 3] par symétrie par rapport à l’axe des ordonnées :
les points de f d’abscisses x et – x ont comme ordonnées x2 et (– x)2. Or x 2 - x 2. Donc ces points ont des abscisses
opposées et des ordonnées égales : ils sont symétriques par rapport à (OJ).
2. a. C’est le graphique 1.
b. Ces points sont 2 à 2 symétriques par rapport à O.
1 1
Propriété vraie pour tous les points de la courbe car si x 0 - .
-x x
3. On choisit le graphique 3. En effet, x peut prendre toutes les valeurs réelles et non nulles.
64
b. x a 2 x 2 et x a 0,8 x 2 semblent strictement décroissantes sur ]– ; 0] et strictement croissantes sur [0 ; + [ alors
que x a - 0,6 x 2 , x a - x 2 et x a - 5 x 2 semblent avoir le sens de variation inverse.
B. Équations y = x2 + bx + c
2. a. On peut superposer c à d.
b. On déduit que d est une parabole de sommet S(2 ; 1) et d’axe de symétrie passant par S et parallèle à l’axe des ordonnées.
x – 2 +
g(x)
1
Si x réel, 1 x - 2 1 x 2 - 4 x 4 x 2 - 4 x 5 g x
2
x - 22 ⭓ 0 car c’est un carré donc 1 x - 22 ⭓ 1 et g x 1. Donc g admet sur un minimum de 1 atteint en 2.
Ce minimum est l’ordonnée du sommet de d.
4. a. Idem.
b. x 2 - 6 x 6 - 3 x - 32
c. Équations y = ax2 + bx + c
Même type de réponses.
Bilan : toutes ces courbes d sont des paraboles ayant un sommet et un axe de symétrie passant par ce sommet et
parallèle à l’axe des ordonnées.
Il semble que quand a > 0 la fonction correspondante est strictement décroissante puis strictement croissante, et le
contraire quand a < 0.
TP 1. Duplication du cube
1. L’arête doublée est de 6 m et le volume de 63 m3 soit 216 m3 qui n’est pas le double de 33 = 27.
2. a. Si l’autel a une arête de 3 k m alors son volume est de 27 ¥ k 3 m3. Le volume est donc multiplié par k3.
b. Pour doubler le volume, il faut que k3 = 2.
3. a.
66
3.
68
b.
14 x 1/ 3 23 a. s 10 ; - 10
b. s
c. s 25 ; - 25
d. s 10 8 ; - 10 8
15 x - 1
e. s 5 2 ; - 5 2
f. s 10 10 ; - 10 10
16 x 2 ou x 6
- 5¸
17 x 2 24 a. s Ì5 - 5¸
; ˝ b. s c. s Ì5 ; ˝
Ó2 2 ˛ Ó2 2 ˛
c. x 2 ⭐ 6 € x Œ[ - 6 ; 6 ] c. 0 ⭐ x 2 4 d. 0 ⭐ x 2 ⭐ 16
70
38 1. 1,72 ⭐ R 2 ⭐ 1,82 soit 2,89 ⭐ R 2 ⭐ 7,24 48 1. a.
1
1
donc 2,89 p ⭐ A ⭐ 7,24 p . 1,5 2,6
b. La fonction inverse est strictement décroissante
2. On déduit 2,89 ¥ 3,14 ⭐ A ⭐ 7,24 ¥ 3,15
sur ] 0 ; [ .
puis 9,0 ⭐ A ⭐ 22,9.
1 1 1 1 1 1
2. a.
b. c. -
-
39 a. x - 12 4 € x - 1 2 ou x - 1 - 2 0,3 1,5 -2 -3 4 3,6
€ x 3 ou x - 1 s 3 ; - 1
3. Faux : exemple a - 1 et b 1.
41 1. a. 2 2 x 2 51 1. v
80
b. 2 2 x 2 64 € 2 2 x 8 t
2. 1,25 ⭐ t ⭐ 1,5
puisque 2 2 x ⭓ 0 € x 3
1 1 1 80 80 80
2. 2 - 2 x 2 8 € 2 2 x 8 3. ⭐ ⭐ donc ⭐ ⭐
1,5 t 1,25 1,5 t 1,25
puisque 2 2 x ⭓ 0 € x 2 - 1
soit 53,3 ⭐ v ⭐ 64
42 1. x - 4 x - 2 avec x Œ[ 4 [
52 Celle qui est « en dessous » de l’axe des abscisses
2. x - 32 - 1 x 2 - 6 x 9 - 1 x 2 - 6 x 8
est y - 2 x 2.
et x - 4 x - 2 x 2 - 2 x - 4 x 8 x 2 - 6 x 8
Celles qui sont « au-dessus » de l’axe sont :
3. x - 32 – 1 168 € x - 32 169 € x - 3 13 € x 16 Æ Celle qui est la plus au-dessus : y 3 x 2 ;
Æ l’autre y x 2 .
43 1. 146,40 € puis 178,61 €
2. 172,80 € 53 Courbe orange : y - 0 , 5 x 2 .
3. a. Une hausse de 44 % correspond à un coefficient Courbe bleue : y x 2 - 2.
multiplicateur de 1,44.
Courbe violette : y 0,5 x 2 1.
Une hausse de t % à un coefficient multiplicateur de
1
t
100
. Deux telles hausses à celui de 1
t
100
1
t
100
. Courbe verte : y x 2 .
Courbe fushia : y 2 x 2 .
t doit donc vérifier 1
t 2
100
1,44
54 a. a 3 ; b - 4 ; c 1.
t t
c’est-à-dire 1 1,44 puisque 1 ⭓ 0 soit
100 100 b. a 1 ; b - 2 ; c 3.
t
1 1,2 c’est-à-dire t 20. c. a - 1 ; b 0 ; c 4.
100
Chacune des 2 hausses doit être de 20 %. d. a 3 ; b - 1 ; c 0.
1 -1 1 5 2 1
44 a. ; 2 ; ; b. 3 ; ; 55 a. Non, elle est affine. b. Oui : a ; b 3 ; c - 1.
2 3 10 4 2 2
1 -1 c. Oui : a 2 ; b - 4 ; c 3. d. Non : elle n’est pas définie
c. 10 -4 ; - 10 -6 ; 10 2 d. ¥ 10 8 ; ¥ 10 4
3 2 en O.
3
45 a. 4 ; - 2 ; 1; b. 10 4 ; 10 -6 ; - 10 -2
2 56 1.
6 1 -1
c. ; 2 ; - 10 d. ¥ 10 2 ; ¥ 10 -3 x – 3 +
5 2 3
46 1. a. s
1
4
b. s - 2
- 1¸
c. s Ì ˝
Ó5˛ f(x)
2. a. s
1
2
b. s -
1
2
c. s 3
–4
58 1. a. f x 3 € - 2 x 2 8 x 0 € - 2 x x - 4 0
€ x 0 ou x 4. 61 Conjecture : f semble être strictement décroissante
b. Même raisonnement que 57. sur ] - ; 3 ] et strictement croissante sur [ 3 , [.
0 4
L’extremum est atteint en 2 , il vaut f 2 11. On peut pour la démonstration utiliser l’une des trois
2 méthodes de l’exercice 60.
C’est un maximum car a
0. Par exemple celle de Camille :
2. a
0 donc f strictement décroissante puis stricte- 11 11 1 1
f 0 et f x € x 2 - 2 x 0 € x x - 6 0
ment croissante. 3 3 3 3
€ x 0 ou x 6.
x – 2 +
06
11 Le minimum (car a > 0) est atteint en 3 et vaut
2 2
f(x) f 3 .
3
62 f x 0,03x - 190 x - 10
59 1. a. f 0 5
b. f x f 0 € - 2 x 2 - 4 x 0 € - 2 x x 2 0
€ x 0 ou x - 2
0-2
c. L’abscisse du sommet est - 1.
2
2. a. f 0 2 D’après la forme factorisée f x 0 € x 190 ou x 10.
b. f x f 0 € x 0 ou x 3 La forme développée prouve que f est une fonction
03 polynôme de degré 2. Comme a
0 f est strictement
c. L’abscisse du sommet est 1,5.
2 décroissante puis croissante.
Déterminons le lieu du changement de variation.
Pour aller plus loin
Par exemple en utilisant la symétrie et les solutions de
a. f 0 c f x 0.
-b 190 10
b. f x f 0 € x 0 ou x Le minimum est atteint en 100 et vaut
a 2
0-b/ a b f 100 - 24 .
c. L’abscisse du sommet est -
2 2a f est donc strictement décroissante sur ] - 0 ; 100 ] et
60 Les trois observent que a 0 donc f est strictement strictement croissante sur [ 100 ; [ .
croissante puis strictement décroissante.
Reste à déterminer quel est le maximum et en quelle 63 1. x Œ[ 5 ; 10 ]
valeur il est atteint. 2. x 10 - x x - 5 - x 2 15 x - 50
Mehdi : il observe par exemple que f 1 f - 3 donc le 3. est une fonction polynôme de degré 2 avec a - 1.
1- 3
maximum est atteint en - 1. Il vaut f 1 3. Elle est donc strictement croissante puis strictement
2
Clara : A la calculatrice, elle conjecture un maximum de 3. décroissante en la prolongeant à
Elle écrit f x - 2 x 2 - 4 x 1 3 - 2 x 2 - 4 x - 2 - x 2 15 x - 50 - 50 € x 0 ou x 15.
0 15
f x 3 - 2 x 2 2 x 1 3 - 2 x 12 Le changement de variation a lieu en
2
7,5.
72
- x -3
D’où le tableau de variation de sur [ 5 ; 10 ] : 71 a. f x f n’est pas une fonction
x 1 x
x 5 7,5 10 homographique, car elle a 2 valeurs « interdites » 0 et – 1.
6,25 f x 0 € x - 3.
f(x) - 3 x - 23
b. f x donc f est une fonction homogra-
x4
0 0 ax b
phique. f x et a 0 avec ici a - 3 ; b - 23 ;
4. x est minimum et vaut 0 pour une carte de cx d
c 1 et d 4
dimension 10 ¥ 5 ou 10 ¥ 10. - 23
f x 0 € x
x est maximum et vaut 6,25 cm2 pour une carte de 3
dimension 10 ¥ 7,5. -x-4
72 1. a. f x donc f homographique.
x 1
64 Notons f x - 0,02x 2 1,19x . b. f x
x2 4 x 2
donc f non homographique.
f est une fonction polynôme de degré 2. x 3 x 2
x2 - 2 x 4
1. La pénalité est réussie si f 50 ⭓ 3 : c’est le cas c. f x donc f non homographique.
x - 4 x - 1
puisque f 50 9,5. 3 x -1
d. f x donc f non homographique.
2. f x 0 € x 0 ou x 59,5. x x - 1
Le maximum de f est atteint en 29,75 : il vaut environ -x-4
2. f x - 1 € - 1 € - x - 4 - x - 1 et x - 1
17,70. Le ballon s’est donc élevé à environ 17,70 m. x 1
3. D’après la question 2 le ballon retombe à terre pour € - 4 - 1 s .
x 59,5 soit à 9,50 m derrière la ligne de but. x2 - 2 x 4
3. f x 1 € 1 et x 4 et x 1
x - 4x - 1
U
65 1. I 3. I diminue quand R augmente. € x 2 - 2 x 4 x - 4x - 1 € - 2 x - 5 x
R
€ x 0 s 0
.
66 Ces fonctions sont homographiques car f x est
ax b
de la forme avec a 0. 73 (A) Faux (B) Faux (C) Vrai (D) Faux
cx d
a. a 2 ; b - 1 ; c 3 ; d 4. 74 1. 1 fi 1 est vraie.
b. a 2 ; b 0 ; c 1 ; d - 1. 1 fi 2 est fausse Æ contre-exemple : a 1 ; b - 1.
c. a 0 ; b 3 ; c 1 ; d - 4. 1 fi 3 est fausse Æ contre-exemple : a 1 ; b 1.
3x 2 1 fi 4 est vraie.
d. f x ; a 3 ; b 2 ; c 1 ; d 0.
x 1 fi 5 est vraie.
x -2
e. f x ; a 1 ; b - 2 ; c 1 ; d 1. 1 fi 6 est fausse Æ contre-exemple : a 1 ; b 1.
x 1
x -7 2. 1 fi 1 est vraie.
f. f x ; a 1 ; b - 7 ; c 1 ; d - 3.
x -3 2 fi 1 est vraie.
- 4 ¸ 3 fi 1 est vraie.
67 a. f \ Ì ˝ b. f \ 1
Ó 3 ˛ 4 fi 1 est vraie.
c. f \ 4
d. f \ 0
5 fi 1 est vraie.
e. f \ - 1
f. f \ 3
6 fi 1 est vraie.
3. 1 € 1 et 1 € 4 et 1 € 5.
68 1 g ; 2 h ; 3 k ; 4 f
4. On peut utiliser 1 € 5 par exemple et on obtient
69 Voir corrigé en fin de manuel. - 3 ¸
s Ì ˝.
Ó2 ˛
Pour aller plus loin 75 C’est erroné. Une augmentation de 1 % corres-
s pond à un coefficient multiplicatif de 1,01.
Donc 2 augmentations successives de 1 %, à un coefficient
3 3
4
70 g 0 et A 0 ; est le point d’intersection de
4
multiplicatif de 1,012, soit 1,0201, correspondent à une
augmentation de 2,01 %.
g et O y .
g t 0 si et seulement si t 3 et B 3,0 est le point 76 L’erreur à l’avant-dernière déduction
d’intersection de g et O x . a 2 b 2 fi a b ou a - 1 et non a 2 b 2 fi a b !
c’est-à-dire y x 2 . 4. VARIABLES :
c. Si x 0 c’est-à-dire R en O on a défini M 0 donc y 0. i, T : entiers
INITIALISATION :
Là aussi, y x 2 .
T prend la valeur O
Conclusion : L’ensemble est la parabole d’équation TRAITEMENT :
y x 2. Pour i allant de 1 à 100 faire
T prend la valeur T i
104 A. 1. a. x 52 ou x 2 52 - 2 ¥ 5 ¥ x x 2 10 x 25 fin pour
b. x 2 10 x x 52 - 25 SORTIES :
2. a. En développant le 2e membre. Affichage du résultat
b. f x 39 € x 52 - 25 39 € x 52 64 . Afficher « T100 = » ; T
28
2
8
3. 84 - 100 - 4 6.
2
4. VARIABLES : 10
a, b, s : nombres
ENTRÉES :
saisir a, b
TRAITEMENT :
2
Ê a 2 ˆ a 1
s prend la valeur rac Á b˜ - 0
Ë 2 ¯ 2
SORTIES : 0 1 2 3 4 5 6 n
Afficher s ; « est une solution »
74
On peut aussi observer que la courbe d’équation f. Quand M décrit f , x décrit donc x 2 décrit
x x 1 1 1 aussi. Le point M¢ décrit donc toute la courbe g.
y c’est-à-dire y x 2 x est une parabole
2 2 2
Conclusion : g est l’image de f par la translation de
de sommet O. uuur
vecteur OS.
107 1. V x 4 x 2 - 32 x 512.
2. V admet comme minimum 448 sur 0 ; 8 il est atteint 109 On utilise la forme canonique :
pour x 4. 1 : y a x - 12 - 3 A 0 , - 1 Œ 1 donc, - 1 a - 3 ;
a2
108 1. a. g x 5 € x 2 - 4 x 0 € x 0 ou x 4. 1 : y 2 x - 12 - 3 soit 1 : y 2 x 2 - 4 x - 1
0 4 2 : y a x - 22 3 A 1, 2 Œ 2 donc 2 a 3 ; a - 1
Le sommet de g a donc comme abscisse 2.
2
C’est donc S 2 ; g 2 soit S 2 ; 1 . 2 : y - x - 22 3 soit 2 : y - x 2 4 x - 1
34
n - 72 n - 62 n2 n 12 n 72
26 ¥
26 ¥ 3 192 n2 2 n ¥ 2 2 n ¥ 4 2 n ¥ 6 2 n ¥ 8
33
115 On note x le côté du tableau en dm x Œ[ 0 , [ 2 n ¥ 10 2 n ¥ 12 2 n ¥ 14
n 112 n
2
x 3 2x
x 32 2 x 2 € x 32 2 x € ou n = 112 donne 1052 106 2 112 2 1132 119 2.
2
.
x 3 - 2x
Donc x
3
ou x
3 119 L
2 -1 - 2 -1
3 3
0 ne convient pas donc x ª 7,24.
- 2 -1 2 -1
l Œ0 ; 625 et L Œ125 - 2 l
Donc le côté est d’environ 724 mm.
l L ¥ l - 2 l2 125 l
116 B 1. L’étude donne
0 31,25 62,5
N 1 953,13
P
( )
0 0
O M x A
2. On a alors l Œ0 ; 20 .
On note x AM (en mètres) x Œ0 ; 12 .
est strictement croissante sur cet intervalle.
En appliquant le théorème de Thalès dans le triangle
L’aire maximale est 20 1700.
AM AN MN
AOB :
AO AB OB
AM MN AM 8 2 120 Æ Si on découpe le rectangle du cylindre dans le
Donc soit MN ¥ OB x ¥ x
AO OB AO 12 3 sens de la longueur on a :
2
Donc l’aire de la fenêtre est OM ¥ MV 12 - x ¥ x 2 x ⭐ 20
3 Ì et 2 p x ⭐ 30 (où x rayon de la base).
2 Ó
soit x - x 2 8 x
3
Soit x Œ È0 ; ˘ et V1 x p x 2 20 - 2 x
15
Il reste à trouver le maximum de sur 0 ; 12 . ÎÍ p ˚˙
est un polynôme du 2e degré qui est strictement
Sur ÈÍ0 ; ˘˙ V1 est maximum pour x
15 15
et vaut
croissant puis décroissant. Î p˚ p
2
x 0 € x - x 8 0 € x 0 ou x 12.
3
V1max ª 748,5.
Le milieu de 0 ; 12 est 6 donc le maximum de est
Æ Si on découpe le rectangle du cylindre dans le sens
atteint en 6 et vaut 6 24. de la largeur on a : 2 x ⭐ 30 et 2 p x ⭐ 20.
Les dimensions de la fenêtre sont donc OM 6 et
Soit x Œ ÈÍ0 ; ˘˙ et V x p x 2 30 - 2 x sur ÈÍ0 ; ˘˙
10 10
MN 4. Î p˚ Î p˚
10
V2 est maximum pour x et vaut V2 max ª 752,3.
117 n n 1 n 2 n 3 n 4 6 n3 11n2 6 n 1 p
n 2 3 n 1
2 C’est donc cette solution qui optimise le volume.
76
English Corner 122 1.
x – 2 +
121 La droite a comme équation y x 2.
Or x 2 - x - 2 0 € x 2 x 2 .
Variation of f
Les solutions sont les abscisses des points d’intersection
de la droite et la variable soit – 1 et 2. 0
f (x) – 0 + g(x) + 0 –
Activité 1. Inéquations
La recette doit être supérieure au coût. C’est le cas pour 3, 4, 5, 6, 7 ou 8 piscines.
78
1 x
B. 1. On connaît le signe de xy, x2, et .
y y
2. a. x2 + 1 > 0 pour tout réel x.
b. 2 x 0 pour tout réel x 0.
c. x2 – 4 : positive, négative ou nulle suivant la valeur de x.
3
d. – < 0 pour tout réel x ≠ 0.
x2
e. (x – 3) (x + 1) : positive, négative ou nulle suivant la valeur de x.
x
f. : positive, négative ou nulle suivant la valeur de x ≠ 1.
x –1
x–1 – 0 + x–3 – 0 +
Signe de (x – 1) – – 0 +
Signe de (x – 1) – 0 + +
Signe du produit
+ 0 – 0 +
(x – 1) (x – 3)
TP 1. Le quadrilatère tournant
1. a. MB = 5 – x NC = 3 – x
1
b. (MBN) = (5 – x) ¥ x
1 2
(NCP) = (3 – x) ¥ x
2
(x) = 15 – 2(MBN) – 2(NCP) = 15 – (5 – x) x – (3 – x) ¥ x
(x) = 2x2 – 8x + 15
2. a. x Œ [0 ; 3], 2(x – 2)2 + 7 = 2(x2 – 4x + 4) + 7 = 2x2 – 8x + 15
b. est une fonction polynôme de degré 2.
a = 2, donc a > 0, donc strictement décroissante puis croissante.
(x) = 2(x – 2)2 + 7 permet d’affirmer que le minimum de est 7 et qu’il est atteint en 2.
32
x 0 4 8 p
32 32 26
24
p(x)
24
16
80
5
B. 1. dA(v) = dS(V) = dF(v) = 0,006v2 + 0,03
9
5
v et ª 0,556 v.
9
Approximativement, dA(v) = 0,006v2 + 0,586v.
2. dA (130) = 177,58
3. dA est strictement croissante sur [0 ; 130].
4. 54 km.h–1 ; 89 km.h–1.
b. k 180 –
360
n 360 d’où k
2n
n–2
4. a.b.
• Si n = 3 alors k doit être égal à 6 et le pavage est possible (voir figure 1).
• Si n = 4 alors k doit être égal à 4 et le pavage est possible (voir figure 2).
10
• Si n = 5 alors k doit être égal à non entier (impossible).
3
• Si n = 6 alors k doit être égal à 3 et le pavage est possible (voir figure 3).
14
• Si n = 7 alors k doit être égal à non entier (impossible).
5
2 n 2 n – 4 4 4
c. Pour n > 3 k 2 .
n–2 n–2 n–2 n–2
4 4 4
d. Si n 7 alors n – 2 5 donc donc 2 3.
n–2 5 n–2
e. Si n 7 alors k = 1 ou k = 2. Or k = 1 donne b = 180° et k = 2 donne b = 90° ce qui est impossible, puisque
a + 2b = 180°.
Conclusion : les polygones réguliers avec lesquels on peut paver le plan sont les triangles équilatéraux, les carrés et les
hexagones réguliers.
5. a. L’hexagone.
b. Celui qui a le plus petit périmètre : l’hexagone.
17 x2 < 3x s = ]0,3[
–5
18 x Œ [0 ; 20].
1. R est une fonction linéaire représentée par la courbe 2. x – 5/2 +
verte.
2. a. c(x) = 90 donne x = 7 soit 700 pièces. 2x – 5 – 0 +
b. c(x) < R(x) donne x Œ ]1,5 ; 14[ doit une solution com-
prise entre 150 et 1 400 pièces. 27 Ce sont des fonctions affines.
• f (x) = 0 € 0,5x + 3 = 0 € 0,5x = – 3 € x = – 6.
19 1. – 1,5 ; – 1 ; 0 ; 0,5. f a un coefficient directeur positif donc :
2. x Œ ]– 2 ; 1[ x – –6 +
3. s = ]– 2 ; 1[
f (x) – 0 +
20 a. ]– 1 ; 2[ b. [– 1 ; 2] c. ]– ; – 1[ » ]2 ; + [
1
• g(x) = 0 € x =
21 1. k n’est pas définie en 1. 2
2. s = ]1 ; 6] g a un coefficient directeur négatif donc :
23 1. s = {– 1 ; 2 ; 4} g(x) + 0 –
2. a. f positive sur ]– 1 ; 2[ et sur ]4 ; + [. • h(x) = 0 € x = – 2.
b. f négative sur ]– ; – 1[ et sur ]2 ; 4[. h a un coefficient directeur négatif donc :
3. x – –1 2 4 + x – –2 +
82
2. VARIABLE : 33 Voir corrigé en fin de manuel.
a, b, n nombres
34 a. ˙˘ – ; ÍÈ b. ÈÍ– ; ÈÍ
4 1
ENTRÉES : ˚ 3 Î Î 2 Î
Saisir « donner a non nul », a saisir « donner b », b ˘ –1 È
TRAITEMENT : c. 2 ; d. ˙ – ; Í
˚ 2 –1 Î
n prend la valeur – b/a.
35 1. (a) € (b) 2. (a) € (b)
SORTIES :
Si a > 0 alors 3. Attention : on multiplie par (x + 1) dont on ne connaît
Afficher « f (x) est nul pour x = », n pas le signe.
Afficher « f (x) est négatif pour x strictement 4. (a) € (b) (x2 + 1) > 0
inférieur », n
Afficher « f (x) est positif pour x strictement 36
supérieur », n 1. x – –5 2/3 +
Sinon afficher « f (x) est nul pour x = », n
Signe de 3x – 2 – – 0 +
afficher « f (x) est négatif pour x strictement
supérieur à », n Signe de x + 5 – 0 + +
afficher « f (x) est positif pour x strictement
inférieur à », n Signe de f (x) + 0 – 0 +
FinSi
f (x) > 0 € x Œ ]– ; – 5[ » ˙˘ ; ÍÈ
2
29 1. – 2x + 4 = 0 € x = 2 ˚3 Î
– 2 < 0 donc : x – 2 + 37
1. x – 3/5 4 +
Signe de
+ 0 –
– 2x + 4 Signe de 5x – 3 – 0 + +
2. 3x + 3 = 0 € x = – 1
Signe de 4 – x + + 0 –
3 > 0 donc : x – –1 +
Signe de
Signe de – 0 + 0 –
– 0 + (5x – 3) (4 – x)
3x + 3
(5x – 3) (4 – x) > 0 € x Œ ˙˘ ; 4 ÍÈ
3
3. x – –1 2 + ˚5 Î
(5x – 3) (x – 4) > 0 € (5x – 3) (4 – x) < 0
Signe de – 2x + 4 + + 0 –
€ x Œ ˘˙ – ; ÈÍ » 4 ;
3
˚ 5Î
Signe de 3x + 3 – 0 + + 38 1.
a. x – –1 2 +
Signe du produit
– 0 + 0 –
(– 2x + 4) (3x + 3)
x+1 – 0 + +
30 x–2 – – 0 +
x – 1/2 3 + x 1
+ 0 – +
Signe de 2x – 1 – 0 + + x –2
x 1
Signe de x – 3 – – 0 + 0 € x Œ]– ; – 1] » ]2 ; + [
x –2
2 – 4x + 0 – –
2 x –1
Signe de + 0 – +
x –3
x–3 – – 0 +
25
2
9 25 9
b. x x2 5 x
– – x2 5 x 4
4 4 4 45 1. x 120
2. a. f (x) < 0 € (x + 1) (x + 4) < 0
Le tableau de signes donne s = ]– 4 ; – 1[.
A(x) = 2(x – 120) x -230 = (x – 120) (x – 30)
A(x) = x2 – 150x + 3 600
b. f (x) > x2 – 1 € x2 + 5x – 4 > x2 – 1 € 5x > – 5 Or (x – 75)2 – 2 025 = x2 – 150x + 5 625 – 2 025
€ x > – 1 s = ]–1 ; + [ = x2 – 150x + 3 600 = A(x)
25
2
9 9 9
c. f (x) > – € x –
– 2. a. 1 000 A(x) 2 200
4 4 4
soit 3 025 (x – 75)2 4 225 (1)
€ x
2
5
0 b. x 120 donc x – 75 > 0
2
5 donc (1) € 55 x – 75 65
€x–
soit 130 x 140
25
2
s=– – donc x doit appartenir à [130 ; 140].
84
150 x D’où 2(a – 1)2 < 2(b – 1)2 en multipliant par 2, positif
f (x) – 216 = 3x + – 216
x -2 et enfin 2(a – 1)2 – 3 < 2(b – 1)2 – 3 en ajoutant – 3.
3 x 2 - 6 x 150 x - 216 x 432 b. f est donc strictement croissante sur [1 ; + [.
=
x -2
3 x 2 - 72 x 432 2. On démontre de même que f est strictement
= décroissante sur ]– ; 1].
x -2
3 x 2 - 24 x 144 x – 1 +
=
x - 2
3 x - 122 f (x)
=
x - 2
–3
Pour x > 2,
f (x) – 216 0 car (x – 12)2 0 et x – 2 > 0 52 Il peut déduire b et c.
et f (x) – 216 = 0 si et seulement si (x – 12)2 = 0 ssi x = 12.
x - 8 3 x - 56 53 1. a ¥ b = 0 si et seulement si a = 0 ou b = 0
b. f (x) 224 € f (x) – 224 0 € 0
x -2 Si a < 0 et b = 0 alors a ¥ b = 0.
Tableau de signes x Œ ÍÈ8 ; ˙˘ .
56
Î 3˚ 2. a ¥ b 0 si et seulement si a 0 et b 0.
30 1 a
47 1. Durée = = (h) soit 20 min. 3. Si a < 0 et b > 0 alors < 0.
b
90 3
30 54 1. Pour que a ¥ b = 0 il faut et il suffit que a = 0 ou
2. Durée =
90 v
b = 0.
1 1 1
3. Durée - 2 min h Pour que a ¥ b = 0 il suffit que a < 0 et b = 0.
3 30 30
30 3 2. Pour que a ¥ b 0 il faut et il suffit que a 0 et b 0.
donc . On multiplie par 10 (90 + v) positif.
90 v 10 a
3. Pour que < 0 il suffit que a < 0 et b > 0.
300 270 + 3v donc 3v 30 soit v 10. b
55 a. « Il existe… » (pas « pour tout »).
48 1. (80 – x) (120 + y) = 80 ¥ 120
soit : – 120x + 80y – xy = 0 b. « Pour tout » donc « il existe »
soit : y(80 – x) = 120x c. « Il existe… » (0) pas « pour tout » (n = 3)
120 x
soit : y = . d. « Pour tout » donc « il existe »
80 - x
9 600 120 x - 9 600 9 600 120 x e. « Pour tout » donc « il existe »
Or – 120 + = =
80 - x 80 - x 80 - x f. « Pour tout » donc « il existe ».
9 600
2. y 12 donc – 120 + 12
80 - x 56 1. ]– ; 1]
9 600
soit 132
80 - x 2. f(100) = 1 000 – 200 + 1,9 = 801,9 (100 solutions).
x < 15 donc 80 – x > 0. On multiplie par 80 – x.
9 600 132(80 – x) Pour aller plus loin
80
soit 132x 960 donc x . 0,1x2 – 2x + 1,9 0 € x2 – 20x + 19 0
11
€ (x – 1) (x – 19) 0
49 Voir corrigé en fin de manuel.
Un tableau de signes donne s = ]– ; 1] » [19 ; + [.
50 1. a. Si – 2 < a < b alors 0 < a + 2 < b + 2 en
1 1 57 Tableau corrigé :
ajoutant 2 aux 3 membres d’où > car la
a2 b2 x – 0 3 +
fonction inverse est strictement décroissante sur
-3 -3 Signe de x – 3 – – 0 +
]0 ; + [ puis < en multipliant par – 3, négatif.
a2 b2
b. f(a) < f (b) Signe de x2 + 0 + +
c. f est strictement croissante sur ]– 2 ; + [.
2. f (3) = – 0,6 f (x) > – 0,6 € f (x) > f (3) € x Œ ]3 ; + [. Signe de x2(x – 3) – 0 – 0 +
S O I x
APPROFONDISSEMENT
2x 2x x2 1
x3 – x2 = x2(x – 1) 80 2. 2 1€ - 0
x 1
2 2 x -1 x 1
x 0 1 + - x 2 - 2 x 1
€ 0
x2 0 + + x2 1
- x - 12
€ 0
x–1 – 0 + x2 1
Ce qui est toujours vrai.
x3 – x2 0 – 0 + Pour tout réel a,
2a
1 ; l’égalité ayant lieu pour
a2 1
a = 1 seulement.
DQ ¥ DR 6 - x 2
78 1. ire(DQR) = = car DQR 2a a 1 2
2 2 3. +1= positif ou nul, et nul seulement
triangle rectangle. a 1
2 a2 1
DP = x pour a = – 1.
1
2. On en déduit V(x) = ire(DQR) ¥ DP
3
81 1. n = 4
x 36 - 12 x x 2
2
x 6 - x 2 1
donc V(x) = = = x3 – 2x2 2. a. n = 11 b. n = 31
6 6 6
+ 6x. 3. a. Non ! C’est trop long.
1 1 b. VARIABLES
3. Pour x Œ [0 ; 6] (x – 8) (x – 2)2 = (x – 8) (x2 – 4x – 4)
6 6
n, S
1
= (x3 – 4x2 + 4x – 8x2 + 32x – 32) INITIALISATION
6
1 16 n prend la valeur 0
= x3 – 2x2 + 6x –
6 3 S prend la valeur 0
1 4
De plus : V(2) = ¥ 8 – 2 ¥ 4 + 6 ¥ 2 = – 8 + 12 = + 4
4 TRAITEMENT
6 3 3 Tant que S 10 faire
16
= n prend la valeur n + 1
3 1 1
donc (x – 8) (x – 2)2 = V(x) – V(2). S prend la valeur S +
6 n
Fin tant que
4. Si x Œ [0 ; 6], (x – 8) < 0 et (x – 2)2 0
SORTIE
donc si x Œ [0 ; 6] V(x) – V(2) 0 soit V(x) V(2). Afficher n
Le volume maximal est donc V(2) (atteint en 2) et vaut c. Programmes : voir sur le site www.didiermathx.com
16
cm3. On trouve n = 12367.
3
86
82 On montre de même que f est strictement décroissante
1. sur ]3 ; + [.
Sophie Leila Marie
40 min 20 € 17 € 20 € 86 1. a. f est une fonction polynôme de degré 2 car
60 min 20 € 24,50 € 25 € en développant, f(x) = – 2x2 – 12x – 22.
b. – 2 est négatif, donc f est strictement croissante puis
2. a. s(x) = 20 sur [0 ; 60].
décroissante.
(x) = 17 si x Œ [0 ; 45] et (x) = 17 + 0,5(x – 45)
2. a. Demander un nombre.
si x Œ ]45 ; + [,
Ajouter 3.
soit (x) = + 0,5x – 5,5.
Élever au carré.
m(x) = 0,25x + 10 sur [0 ; + [
Multiplier par – 2.
b.
Ajouter – 4.
y (Euros)
55 b. Si – 3 a < b alors, en ajoutant 3,0 a + 3 < b + 3.
50 m
45 Donc (a + 3)2 < (b + 3)2 puisque la fonction « carré » est
40 strictement croissante sur [0 ; + [.
35
30 L
25 s En multipliant par – 2 (négatif ), – 2(a + 3)2 > – 2(b + 3)2.
20 En ajoutant – 4, on obtient finalement f(a) > f(b).
15
10 Donc f strictement décroissante sur [– 3 ; + [.
5
0 c. On montre de même que f strictement croissante
0 10 50 60 120 x
sur ]– ; – 3].
(min)
3. Marie.
87 1. Si v a < b alors 0 < a – v < b – v en retranchant
4. Graphiquement, si x Œ [0 ; 28[ : forfait de Marie. v, donc (a – v)2 < (b – v)2 car la fonction « carré » est
• Si x Œ [28 ; 50[ ; forfait de Leila. strictement croissante sur [0 ; + [.
• Si x Œ [50 ; 60] ; forfait de Sophie. On multiplie par u (positif ) et on ajoute w.
• Si x Œ ]60 ; 64[ ; forfait de Leila. On obtient f(a) < f(b). Donc f strictement croissante sur
• Si x Œ [64 ; + [ ; forfait de Marie. [v ; + [.
et CDE
sont correspondants donc égaux. On montre de même que f strictement décroissante sur
83 1. ACB
]– ; v].
2. tan ACB
h 3
et tan CDE
1 l h 2. Si u < 0, on obtient les variations contraires.
3
donc (h) = .
h 88 1. f(b) – f(a) = 2[(b – 1)2 – (a – 1)2]
3. est strictement décroissante sur [2,5 ; 5].
3 3 = 2(b – 1 + a – 1) (b – 1 – a + 1)
(h) soit 0,6 (h) 1,2.
5 2,5 = 2(b – a) (b + a – 2)
a. y English corner
100
97 (2x – 1) (– x + 3) 0 si et seulement si x Œ ÈÍ ; 3˘˙ .
1
Î2 ˚
70 (2x + 1) (– x + 1) (1 – x)
€ (– x + 1) (2x) 0
50
s = [0 ; 1]
b. Entre 0 et 80 euros.
88
Trigonométrie
6
Pour reprendre contact
Les réponses exactes sont :
1 Réponse b.
2 Réponses b. et c.
3 Réponse a.
p p p p 2 3
4 0 p pp
6 4 3 2 3 4
p 3p p p 2p
5 1. Les points ayant pour abscisses ; ; ; et sont dans cet ordre : A, E, C, B et D.
6 4 3 4 3
5p
2. F a pour abscisse .
6
p 3p p
6 a. p b. c. d.
2 2 4
Activité 1. Associer des réels à un point
1. Les réels correspondant aux marques rouges sont 0 , 2 p , 4 p , 6 p , º, et - 2 p , - 4 p , - 6 p , º
Plus généralement, il s’agit de tous les réels s’écrivant sous la forme : k ¥ 2 p, où k Œ¢.
2. Pour les marques vertes, ce sont : p , 3 p , 5 p , 7 p , º, et - p , - 3 p , - 5 p , º
Plus généralement, il s’agit de tous les réels s’écrivant sous la forme : p + k ¥ 2 p, où k Œ¢.
89
3 1
c. Les coordonnées de M dans le repère (O, I, J) sont x = OH = KM = et y = OK = .
2 2
2. a. J
M
K
a = 60 °
I
O H
1 3
b. Comme dans la question A.1, on montre que le triangle OMI est équilatéral et que OH = et OK = .
2 2
Ê1 3ˆ
Les coordonnées du point M sont donc ici Á ; ˜.
Ë2 2 ¯
3. a. J
M
K
a = 45 °
I
O H
OHMK est un rectangle ; de plus, le triangle OHM est rectangle en H et a un angle de 45° ; son troisième angle OMH
mesure donc aussi 45° ; OMH est donc un triangle isocèle et OH = HM. Il en résulte que OHMK est un carré.
b. Dans le triangle rectangle OHM, le théorème de Pythagore donne :
OM2 = OH2 + HM2, soit 1 = 2 OH2, puisque OH = HM.
1 2
D’où OH2 = et donc OH = .
2 2
2 2
Les coordonnées de M dans le repère (O, I, J) sont x = OH = et y = OK = HM = .
2 2
B. 1. Dans le triangle OHM, rectangle en H, on a :
OH OH HM OK
cos a OH et sina OK .
OM 1 OM 1
2.
a cos a sin a
3 1
30°
2 2
45° 2 2
2 2
1 3
60°
2 2
) 2p p
C. 1. IJ est le quart d’un cercle de rayon 1 ; sa longueur est .
4 2
) p
2. L’arc IJ est intercepté par un angle au centre de 90° et a pour longueur .
2
90
Par proportionnalité, on obtient :
a cos a sina $
longueur de IM
3 1 p
30°
2 2 6
2 2 p
45°
2 2 4
1 3 p
60°
2 2 3
90° a
p ∫
longueur IM
2
p
¥a
∫ 2 p¥a
Le tableau de proportionnalité donne une longueur IM .
90 180
Exercices
SANS CRAYON, SANS CALCULATRICE 11 Dans un triangle équilatéral, une hauteur est aussi
médiane.
1
1 a. b. 1 Si les côtés du triangle mesurent 4 cm, sa hauteur h est
2
telle que 42 = 22 + h2.
2 a. 49 ¥ 51 ( 50 - 1)( 50 1) 2500 - 1 2499 D’où h2 = 12 et donc h = 2 3 cm.
b. 292 ( 30 - 1)2 900 - 60 1 841
12 L’aire d’un triangle équilatéral de côté 4 cm, et
3 AB = 2 3 = CA ; AB2 = 12 ; BC2 = 24 ; CA2 = 12. donc de hauteur 2 3 cm (voir exercice 11) est
4¥2 3
On a AB2 + CA2 = BC2. 4 3 cm².
2
ABC est donc isocèle et rectangle en A. 2 ACB
120
13 a. AOB
4 a. (2x – 3)² = 4x2 – 12x + 9 ∫ 2 p ¥ 120 2 p
b. AB
360 3
b. (4x – 5)(4x + 5) = 16x2 – 25
∫ 2 p ¥ 36 p .
14 BOC 2 BAC 36 d’où BC
360 5
5 f ( 3 ) ( 2 - 3 )( 2 3 ) 4 - 3 1
ENTRAÎNEMENT
6 ( 3 )3 - 3 ( 3 ) 3 3 - 3 3 0
15 a. I¢ b. J c. I¢ d. I e. I¢
3 est donc solution de l’équation x3 – 3x = 0.
p p p
16 1. Les réels , et ont pour points images sur
4 3 6
7 x -3x x ( x -3)
3 2 2
Chapitre 6. Trigonométrie 91
3. Leurs points images sont : 23 a. x – y = 2p ; 2p correspond à la longueur du
a. D¢ b. J¢ c. D d. C’ cercle, donc x et y ont le même point image sur .
b. x – y = p ; p ne correspond pas à un nombre entier de
p 4p p 7p fois la longueur du cercle, donc x et y n’ont pas le même
18 Les réels , , - et ont pour images sur le
3 3 6 6 point image sur .
cercle de la figure les points : C, D¢, A¢ et F¢.
24 1. Voir figure ci-dessous.
p p
19 1. Famille de : Les réels de la forme k × pour k 2. Comme
p p p p
ª 0 , 52 et ª 0 , 79 on a bien : < 0,65 < .
4 4
6 4 6 4
p p p
entier allant de 0 à 8 sont : 0 ¥ 0 ; 1¥ ; 4p 3p p p
4 4 4 De même : ª 4 ,19 et ª 4 , 71 d’où : < 4,5 < .
p p p 3p p p 5p 3 2 6 4
2¥ ; 3¥ ; 4 ¥ p ; 5¥ ;
4 2 4 4 4 4 4 3. J
p 3p p 7p p
6¥ ;7¥ ; 8 ¥ 2 p.
4 2 4 4 4 N
R
Leurs points images sur le cercle sont : I, B, J, E, I¢, E¢, J¢, M
B¢ et I.
p p
2. Famille de : Les réels de la forme k × pour k O
6 6 I¢ I
entier allant de 0 à 12 sont :
p p p p p p p p 2p
0 ¥ 0 ; 1¥ ; 2 ¥ ; 3 ¥ ; 4 ¥ ;
6 6 6 6 3 6 2 6 3
p 5p p p 7p p 4p
5¥ ; 6¥ p ;7¥ ; 8¥ ;
6 6 6 6 6 6 3 P
p 3p p 5p p 11 p p S Q
9¥ ; 10 ¥ ; 11¥ ; 12 ¥ 2 p.
6 2 6 3 6 6 6
Leurs points images sur le cercle sont : I, A, C, J, D, F, I¢, 25 a. Les réels de l’intervalle [0 ; 2p] associés aux
F¢, D¢, J¢, C¢, A¢ et I. sommets de l’hexagone ICDI¢D¢C¢ sont, dans l’ordre de
p 2p 4p 5p
ces points : 0, , , p, et .
20 Les réels s’appliquant sur les points I, A, B, C et J 3 3 3 3
lorsqu’on enroule la droite numérique sur sont : b. Les réels de l’intervalle [ - p , p ] associés aux som-
p p p p mets de l’hexagone ICDI¢D¢C¢ sont, dans l’ordre de ces
a. Dans le sens direct, au premier tour : 0, , , et .
6 4 3 2 p 2p 2p p
points : 0, , , p, - , - .
b. Dans le sens indirect, au premier tour : 3 3 3 3
p 11 p p 7p p 5p 26 1. Les points M1, M2, M3 et M4 sont les points
0, - 2 p - , -2p - , -2p - ,
6 6 4 4 3 3 5p 5p p p
3p images des réels : ,- ,- , .
- . 6 6 6 3
2 2.
c. Dans le sens direct, au second tour : ce sont les réels point M M1 M2 M3 M4
de la question a auxquels on ajoute 2 p, c’est-à-dire 2p, réel associé p 5p 5p p p
13 p 9 p 7 p 5 p - -
, , et . x Œ - p ; p 6 6 6 6 3
6 4 3 2
d. Dans le sens direct, au troisième tour : ce sont les cos x 3 3 3 3 1
- -
réels de la question a auxquels on ajoute 4 p, c’est-à- 2 2 2 2 2
25 p 17 p 13 p 9p
dire 4p, , , et . 1 1 1 1 3
6 4 3 2 sin x - -
2 2 2 2 2
2p 4p 8p
21 a. Réels venant s’appliquer sur D : ;- ; .
3 3 3 p Ê pˆÊ ˆ Ê
p ˆ p Ê ˆ
5 p 13 p 3p 27 a. cos Á - ˜ cos Á ˜ ; sin Á - ˜ - sin Á ˜
b. Réels venant s’appliquer sur E¢ : ; ;- . Ë ¯ 4 Ë ¯ 4 Ë ¯4 Ë ¯ 4
4 4 4
Ê 3 pˆ Ê pˆ Ê 3 pˆ Ê pˆ
2p 4p 8p b. cos Á - cos Á ˜ ; sin Á sin Á ˜
c. Réels venant s’appliquer sur B¢ : ;- ; . Ë 4 ˜¯ Ë 4¯ Ë 4 ˜¯ Ë 4¯
3 3 3
p 3p 7p Ê 5 pˆ Ê pˆ Ê 5 pˆ Ê pˆ
c. cos Á - cos Á ˜ ; sin Á - sin Á ˜
d. Réels venant s’appliquer sur J¢ : - ;
2 2 2
; . Ë 4 ˜¯ Ë 4¯ Ë 4 ˜¯ Ë 4¯
92
29 1. J 2p 4p
31 a. x = ou x =
3p p 3 3
4 4 2p J
3
O
I¢ I
– 0,5 O
I¢ I (0 ; 2p)
5p – p 7p
4 ;
4 4
J¢
réel x p 3p p 5p 7p 4p
-
4 4 4 4 4 3 J¢
cos x 2 2 2 2 2 2p 2p
- - b. x = - ou x =
2 2 2 2 2 3 3
2 2 2 2 2 2p
sin x - - -
J
3
2 2 2 2 2
2. 2p J p 7p
;
3 3 3
– 0,5 O
I¢(– p ; p) I
O
I¢ I
– 2p
3 J¢
4p 5p
3 J¢ 3 32 Dans le triangle BCD rectangle en D :
sin 30° = BD/BC,
p 2p 4p 5p 7p
réel x 1
d’où BC = BD/sin30° = BD/ = 2 BD = 2 FE = 120 mm.
3 3 3 3 3
2
1 1 1 1 1
cos x - - Dans ce même triangle : cos 30° = CD/BC,
2 2 2 2 2 3
d’où CD = BC cos 30° = 120 ¥ 60 3 ª 103 , 92 mm.
sin x 3 3 3 3 3 2
- -
2 2 2 2 2 Dans le triangle ABF rectangle en F : sin 30° = BF/AB, d’où
1
p 5p BF = AB sin30° = AB = 70 mm. D’où DE = BF = 70 mm.
30 1. a. x = ou x = 2
6 6
J
Il en résulte : CE = CD + DE = 60 3 70 ª 173 , 92 mm.
Dans le triangle ABF rectangle en F : cos 30° = AF/AB,
5p p
3
6 0,5 6 d’où AF = AB cos 30° = 140 ¥ 70 3 ª 121, 24 mm.
2
D’où AE = AF + FE = 70 3 60 ª 181, 24 mm.
O
I’(p) I(0)
33 1. a. Le triangle BHP rectangle en H, ayant un
angle aigu de 45°, a son autre angle aigu de même
– 0,5
7p 11p mesure et est donc isocèle. D’où HB = PH.
6 6 Dans le triangle CHP rectangle en H, tan 30° = PH/HC,
3 PH
soit d’où HC 3 ¥ PH.
J¢ 3 HC
Chapitre 6. Trigonométrie 93
b. Comme HC – HB = 40, on obtient : 3 ¥ PH - PH 40 , 36 1.
soit PH( 3 - 1) = 40 , d’où Couleur arc Rouge Vert Bleu Orange
40 40 ( 3 1)
PH Signe cos x + – + –
3 - 1 ( 3 - 1)( 3 1)
40 ( 3 1) Signe sin x + + – –
2 p
2. Comme 0 1 , le point image de 1 est situé dans
20 ( 3 1) ª 54 ,6
64 m 2
2. Dans le triangle PIH rectangle en H, sin PIH IH / 55. l’arc rouge ; on a donc : cos 1 > 0 et sin 1 > 0.
3p
5 , 4 / 55 ª 0 , 098. Comme p 4 , le point image de 4 est situé dans
Lorsque IH = 5,4, on a : sin PIH 2
ª sin–1 0,098 ª 5,63 .
D’où PIH l’arc orange ; on a donc : cos 4 < 0 et sin 4 < 0.
4 / 55 ª 0 , 073. p
Lorsque IH = 4, on a : sin PIH Comme 3 p 10 3 p , le point image de 10 est situé
ª sin–1 0,072 ª 4,17 . 2
D’où PIH
dans l’arc orange ; on a donc : cos 10 < 0 et sin 10 < 0.
p
1 3 Comme 5 p - 15 5 p, le point image de 15 est situé
34 1. sin 30 ; cos 30 , d’où 2
2 2
1 3 dans l’arc vert ; on a donc : cos 15 < 0 et sin 15 > 0.
tan 30 . p p
3 3 Comme 3 p 12 4 p, on a - 4 p - 12 - Ê 3 p ˆ
2 Ë 2¯
2
sin 45 cos 45 , d’où tan 45° = 1. et donc le point image de – 12 est situé dans l’arc
2
AH rouge ; on a donc : cos (– 12) > 0 et sin (– 12) > 0.
2. Dans le triangle ABH rectangle en H, sin 45 ,
AB
37 a. A ( 0 ) cos 0 sin 0 cos 0 - sin 0
2 2
2 2
d’où AH = AB ¥ sin 45 AB ¥ 6¥ 3 2.
2 2 12 12 2
2 2
Le triangle rectangle ABH ayant un angle de 45°, l’autre p p p p p
A Ê ˆ Ê cos sin ˆ Ê cos - sin ˆ
angle aigu mesure 45° et ce triangle est isocèle. Il en Ë 4¯ Ë 4 4 ¯ Ë 4 4 ¯
résulte : BH = AH = 3 2 . 2 2
Ê 2 2ˆ Ê 2 2ˆ
2
2
HC Á - 2
3. Dans le triangle ACH rectangle en H, tan 30 , Ë 2 2 ˜¯ ÁË 2 2 ˜¯
AH
2 2
p p p p p
soit
3 HC
, d’où HC 6 cm. A Ê ˆ Ê cos sin ˆ Ê cos - sin ˆ
Ë 3¯ Ë 3 3¯ Ë 3 3¯
3 3 2
2 2
4. On en déduit BC = BH + HC = 3 2 6 , puis Ê1 3ˆ Ê 1 3ˆ
Á -
AH ¥ BC 3 2 ¥ ( 3 2 6 ) Ë 2 2 ˜¯ ÁË 2 2 ˜¯
Aire ABC = =
2 2 1 2 3 3 1- 2 3 3
18 3 12 18 6 3 4 4
= 9 3 3 ª14,2 cm².
2 2 2
35 1. Le triangle ABH est rectangle et isocèle car l’un On peut conjecturer que A(x) est égal à 2, quelle que
de ses angles aigus mesure 45° et donc l’autre aussi. soit la valeur du réel x.
b. A x cos x sin x cos x - sin x
2 2
D’où BH = AH.
AH
Dans le triangle AHC rectangle en H : tan 60 , d’où (cos 2 x 2 cos x sin x sin2 x )
HC
AH AH
HC . (cos 2 x - 2 cos x sin x sin2 x )
tan 60 3
2 (cos 2 x sin2 x ) 2
2. a. Comme BC = 10, on a BH + HC = 10, c’est-à-dire
AH Ê 1 ˆ
AH = 10, soit AHÁ 1 ˜ 10 , d’où
3 Ë 3¯
10 10 10 3 10 3 ( 3 - 1)
AH
1
1 3 1 3 1 ( 3 1) ( 3 - 1)
3 3
10 3 ( 3 - 1)
5 3 ( 3 - 1) 15 - 5 3 .
2
94
38 Cas a 2
Ê cos p sin p ˆ Ê 2 2 ˆ
2
2
2
ÁË 2 2.
1. J
p Ë 4 4¯ 2 ˜¯
2
Ce contre-exemple suffit à conclure que la proposition
M(x) est fausse.
0,75
Remarque : Si on avait choisi pour valeur particulière de
p
t, l’un des réels 0, ou p, l’égalité aurait été vraie pour
2
O
I¢ I chacune de ces valeurs ; mais cela n’aurait pas suffit à
prouver l’égalité « pour tout t ».
3. Vrai, il suffit de choisir t = 0.
p
4. Faux, il suffit de prendre pour contre exemple t = .
4
p p
J¢ - 5. Faux, il suffit de prendre pour contre exemple t = .
2 2
p p
2. Comme cos 2 x sin2 x 1, En effet : sin( 2 ¥ ) sin p 0, alors que 2 sin( ) 2 .
2 2
on a : cos 2 x 1- 0,752 40 1. Léo mise tout sur sa calculatrice ! Il opère par
0,4375. calculs approchés. Léa utilise le lien entre sin a et cos a.
Et comme M, le point image de x, appartient à l’arc Elle obtient la valeur exacte de cos2 a. Mais ni l’un, ni
rouge, on a cos x ⭓ 0 et donc cos x 0,4375 soit l’autre ne cherche à localiser le point image de a sur le
cos x ª 0,661. cercle trigonométrique. C’est une grave erreur !
2. p
3. En mode RADIAN, la calculatrice donne :
2
x sin-1 0,75 avec x ª 0,85
0,8
Cas b
0,6
1. M(x) J a 0,4 a¢
0,2
O
p O
O
I¢(p) I(0)
– 0,25
3p
2
Le point image de a appartient au demi-cercle rouge.
J¢ Son ordonnée est 0,4. Sans calcul, sans calculatrice, on
sait déjà que cos a < 0. Les résultats, pourtant identiques,
2. On a de même : cos 2x sin2 x 1
de Léo et Léa sont donc plus que suspects.
soit - 0,25 sin x 1 et sin2 x 1- 0,0625 0,9375
2 2
Une solution :
Comme M appartient à l’arc rouge, on a sin x ⭓ 0 et • La démarche de Léa conduit à cos2 a = 0,84. Cela est
donc sin x 0,9375 soit sin x ª 0,968. exact.
3. En mode RADIAN : • Mais comme cos a < 0 (voir au-dessus), on doit écrire
x cos -1 - 0,25 avec x ª 1,82. cos a - 0,84 ª - 0 , 92.
• Partant de sin a = 0,4, la fonction Asn(0,4) ou sin-1 0,4
39 1. Faux, car pour n’importe quel réel t, on doit p p
avoir, par propriété : cos²t + sin²t = 1. renvoie le réel a¢ de ÈÍ- , ˙˘ tel que sin a ¢ 0,4 (voir
Î 2 2˚
Or ici, si t existait, on aurait : 0,4² + 0,9² = 1 soit encore figure).
0,97 = 1. La calculatrice de Léo affiche :
Ceci étant faux, il n’existe aucun réel t satisfaisant les a ¢ sin-1 0,4 ª 0,4115168461.
deux conditions. Elle a raison ! Mais ce réel n’est pas la solution recherchée.
p Il faut écrire (voir figure) : a p - a ¢ ª 3,14 - 0,41
2. Faux car, par exemple, pour t = , on a :
4 soit a ª 2,73.
Chapitre 6. Trigonométrie 95
Travail personnel b. Dans le triangle OAH rectangle en H, on a :
Pour les exercices 41 à 51 : voir corrigés en fin de AH
sin 30 AH.
OA
manuel.
De a et b résulte : sin 30 ° 2 sin 15 ° ¥ cos 15 ° .
Pour avoir sin2 ¥ 15 ° 2 sin 15 °, il faudrait cos 15 ° 1,
APPROFONDISSEMENT
ce qui est bien sûr faux.
52 1. Le rayon incident est perpendiculaire à la surface
de l’eau lorsque i = 0 (degré). Dans ce cas, on a :
sin 0 = 1,33 ¥ sin r soit 0 = 1,33 sin r, d’où sin r = 0. La seule 54 1. I ¢ H I ¢ O OH 1 cos 30 °
possibilité pour un angle aigu est r = 0. Le rayon n’est donc 3 2 3
d’où I ¢ H 1 .
pas dévié. 2 2
2. a. Dans le triangle I ¢ AH rectangle en H :
2. r = 30° lorsque sin i = 1,33 ¥ sin 30, I ¢H
soit sin i 1,33 ¥ 0,5 0,665. Comme 0 ° ⭐ i ⭐ 90 ° , la cos 15° (1)
I ¢A
calculatrice en mode DEGRÉ donne i sin-1 0,665 soit Dans le triangle I ¢ A I rectangle en A :
i ª 41,68°. I ¢A
cos 15° (2)
I ¢I
3. Lorsque i = 60°, on a sin 60° 1,33 sin r ,
b. En multipliant (1) et (2) on obtient
3 I ¢H I ¢H
soit 1,33 sin r d’où sin r ª 0,651147. cos 2 15 ° d’où I ¢ H 2 cos 2 15 °.
2 I ¢I 2
Comme 0 ° ⭐ r ⭐ 90 ° , on obtient, en mode DEGRÉ :
3. Des questions 1 et 2 résulte :
r ª 40,63°.
2 3 2 3
2 cos 2 15 ° soit cos 2 15 ° .
4. r = 60° lorsque sin i 1,33 sin 60 , 2 4
3 3 2 3
soit sin i 1,33 ¥ mais 1,33 ¥ ª 1,15 et sin i ne Comme cos 15 °
0, on a cos 15 ° .
2 2 2
peut lui être égal (car 0 ⭐ sin i ⭐ 1). On a, par ailleurs, cos 2 15 ° sin2 15 ° 1
Il est donc impossible d’avoir r = 60°. d’où sin2 15 ° 1- cos 2 15 °
2 3
5. Lorsque i = 90°, on a sin 90° 1,33 sin r et donc 1-
4
1
sin r ª 0,75188. 2- 3
1,33 .
4
Il en résulte r sin-1 0,75188 ª 48,75°.
2- 3
Pour une valeur de r supérieure à 48,75°, on aurait Comme sin 15 °
0 , on a : sin 15 ° .
2
sin r
0,75188 (car pour 0 ⭐ r ⭐ 90 °, sin r est d’autant
Conclusion J
plus grand que r est grand).
On aurait alors 1,33 sin r
1,33 ¥ 0,75188 soit sin i
1.
Cela est impossible.
p
M
∫ a pour longueur p , soit le tiers 12
53 1. Le petit arc IA I¢
O 15° I
) 6
du quart de cercle IJ.
La proportionnalité des longueurs d’arcs et des mesures
des angles au centre conduit à I OA ¥ I
1
O J soit
3
30 ° .
IOA
J¢
L’angle inscrit II ¢A qui intercepte le même arc que
1
l’angle au centre IOA a donc pour mesure ¥ 30 ° 15 °. 1 ) ∫ p.
I
1
2 OM I O I¢ et donc I∫
M II¢ soit IM
2. a. Dans le triangle I ¢ A I rectangle en A, 12 12 12
AI ¢ AI
cos 15 ° d’où A I ¢ 2 cos 15 °. p 2 3
II ¢ 2 Ô cos cos 15
AH Ô 12 2
Dans le triangle A I ¢ H rectangle en H, sin 15° d’où Ainsi Ì
AI Ô sin p 2- 3
sin 15
AH A I ¢ sin 15 ° et donc AH 2 cos 15 ° ¥ sin 15 ° . ÔÓ 12 2
96
55 A. 1. a. b. C. 1. AA ¢ 2 cos a et BB ¢ 2 sin b
p p
Lorsque a varie dans È- , ˘ , A décrit l’arc J∫ ¢ J, demi- OM cos 2 b sin2 a
ÍÎ 2 2 ˙˚
p 2. AA ¢ 2 BB ¢ 2 4 OM2
cercle, à droite de JJ ¢ . Lorsque b varie dans ÈÍ0 , ˘˙, B
) Î 2˚
décrit l’arc IJ quart de cercle. 4 cos 2 a 4 sin2 b
p p 4 cos 2 b sin2 a
2. a. Il suffit de choisir a et b .
3 6 4 co s 2 a sin2 a
b. M existe lorsque a ⭐ b. 4 cos 2 b sin2 b
B. 1. A cos a , sin a 44 8
B cos b , sin b Conclusion
A ¢ - cos a , sin a On a établi que AA ¢ 2 BB ¢ 2 8 - 4 OM2, ce qui satisfait
pleinement l’objectif.
B ¢ cos b , - sin b
Mcos b , sin a OH ¥ HM cos x ¥ sin x
56 Aire OMH
p p 2 2
2. Lorsque a et b , on a : I H ¥ HM 1- cos x ¥ sin x
6 3 Aire I MH
Ê 3 1ˆ Ê 1 3ˆ Ê 3 1ˆ Ê1 3ˆ 2 2
• AÁ ; A ¢Á- , ; B ¢Á , - p˘
Ë 2 2 ˜¯
, ; BÁ ,
Ë 2 2 ˜¯ Ë 2 2 ˜¯ Ë2 ˜
2 ¯ On cherche x Œ 0 ,È tel que
ÎÍ 2 ˚˙
et M ,
1 1
2 2
cos x sin x
2
4¥
1- cos x ¥ sin x
2
3 Ê 3ˆ 3 Ê 3ˆ
• AA ¢ - Á- ˜ 3 BB ¢ - Á- ˜ 3 soit cos x ¥ sin x 4 1- cos x ¥ sin x
2 Ë 2 ¯ 2 Ë 2 ¯
soit sin x ¥ cos x - 4 1- cos x 0
21 21
2 2
1 1
OM
2 2 soit sin x ¥ 5 cos x - 4 0.
d’où S 3 3
2 2
4¥
1
2
8.
p
Pour x Œ È0 , ˘ ,
ÎÍ 2 ˚˙
p p • sin x 0 lorsque x 0.
3. Lorsque a - et b :
4 3 • 5 cos x - 4 0 lorsque cos x 0,8 c’est-à-dire lorsque
Ê 2 2ˆ Ê 1 3ˆ Ê 2 2ˆ
• AÁ , - ˜ ; B ÁË , ˜ ; A ¢ ÁË - , - ˜ x cos -1 0,8 ou x ACS 0,8 sur une calculatrice en
Ë 2 2 ¯ 2 2 ¯ 2 2 ¯
mode RADIAN.
Ê1 3ˆ Ê1 2ˆ
B ¢Á , - ˜ ; M ÁË , - ˜ Le problème admet donc deux solutions :
Ë2 2 ¯ 2 2 ¯
1) x 0 : cas particulier où M est en I.
1 1 3
• AA ¢ 2 ; BB ¢ 3 ; OM Les 2 aires sont alors nulles.
4 2 2 2) x cos -1 0,8 soit x ª 0,6.
• S AA ¢ 2 BB ¢ 2 4 OM2 2 3 4
3
4
8 C’est le cas où l’angle au centre IOM mesure environ
0,6 ¥ 180
4. Il semble que S garde une valeur constante égale à 8. ª 34 degrés.
p
Chapitre 6. Trigonométrie 97
Statistique descriptive
Analyse de données 7
Pour reprendre contact
Les réponses exactes sont :
2 Réponses b. et c.
3 Réponse c.
4 Réponse b.
5 Réponse b.
6 Réponse a.
7 Réponses a. et c.
Fréquences 30 % 8% 15 % 11 % 17 % 9% 9% 1%
98
La classe ayant le plus petit effectif est celle ayant des revenus annuels supérieurs à 78 000 € ; elle regroupe 1 % des
foyers fiscaux français et se partage 11 % des revenus annuels déclarés.
Cette seconde tranche qui représente 30 fois moins de foyers fiscaux que la première se partage pourtant le double de
revenus de celle-ci !
Nombres de pays
1 1 1 1 … 1 2 … 1 1
(effectifs)
Effectifs cumulés 1 2 3 4 … 16 18 … 26 27
B. 1. Le point d’abscisse 18, de la courbe des effectifs cumulés du taux de chômage des femmes de moins de 25 ans
des 27 pays de l’UE, a pour ordonnée 15. Cela signifie que 15 de ces pays ont un taux de chômage des femmes de moins
de 25 ans inférieur ou égal à 18 %.
De même, 12 de ces pays ont un taux de chômage des hommes de moins de 25 ans inférieur ou égal à 18 %.
2. Les points (17 ; 14) et (19,7 ; 14) des courbes cumulatives bleue et rouge signifient que :
– 14 pays ont un taux de chômage des femmes de moins de 25 ans inférieur ou égal à 17 % ;
– 14 pays ont un taux de chômage des hommes de moins de 25 ans inférieur ou égal à 19,7 %.
3. Le taux de chômage des femmes, de moins de 25 ans, est inférieur ou égal à 25 % dans 24 pays de l’UE ; il dépasse
donc 25 % dans 3 pays (27-24).
Le taux de chômage des hommes de moins de 25 ans est inférieur ou égal à 25 % dans 22 pays de l’UE ; il dépasse donc
25 % dans 5 pays (27-22).
2. 5 ; 6 ; 7 ; 9 ; 10 ; 13 ; 13 ; 14 ; 15 ; 15 ; 15 ; 17 ; 17
3 ; 6 ; 7 ; 9 ; 10 ; 13 ; 13 ; 14 ; 15 ; 15 ; 15 ; 18 ; 18
3. 5 ; 6 ; 7 ; 9 ; 10 ; 13 ; 13 ; 14 ; 15 ; 15 ; 15 ; 17 ; 17
5 ; 6 ; 7 ; 9 ; 10 ; 13 ; 13 ; 14 ; 15 ; 15 ; 15 ; 17 ; 17
4. 5 ; 6 ; 7 ; 9 ; 10 ; 13 ; 13 ; 14 ; 15 ; 15 ; 15 ; 17 ; 17
La moyenne de ces 13 notes est 12.
Pour diminuer la moyenne, il faut supprimer une note supérieure à 12.
Pour diminuer la moyenne le moins possible, on supprime un 13.
5 ; 6 ; 7 ; 9 ; 10 ; 13 ; 13 ; 14 ; 15 ; 15 ; 15 ; 17 ; 17
5. Comme il y a 13 notes, il faut majorer de 13 points une seule note :
5 ; 6 ; 7 ; 9 ; 10 ; 13 ; 13 ; 14 ; 15 ; 15 ; 15 ; 17 ; 17
18 ; 6 ; 7 ; 9 ; 10 ; 13 ; 13 ; 14 ; 15 ; 15 ; 15 ; 17 ; 17
B. 1. 5 ; 6 ; 7 ; 9 ; 10 ; 13 ; 13 ; 14 ; 15 ; 15 ; 15 ; 17 ; 17
5 ; 6 ; 7 ; 9 ; 10 ; 13 ; 14 ; 14 ; 15 ; 15 ; 15 ; 17 ; 17
2. 5 ; 6 ; 7 ; 9 ; 10 ; 13 ; 13 ; 14 ; 15 ; 15 ; 15 ; 17 ; 17
4 ; 5 ; 6 ; 7 ; 9 ; 10 ; 13 ; 13 ; 14 ; 15 ; 15 ; 15 ; 17
100
B. 1. Le nombre de matchs joués durant la période 2 (1990-2006) est le double environ du nombre de matchs joués
durant la période 1 (1950-1966). Le diagramme en barres montre ce déséquilibre : la somme des hauteurs des barres
rouges est très supérieure à celle des barres bleues.
Malgré cela, on observe que le nombre de matchs, où ont été marqués 6, ou 7, ou 8, …, ou12 buts, est plus faible durant
la période 2 que durant la période 1.
2. 1950-1966 1990-2006
moyenne 3,62 2,48 La comparaison des moyennes et des médianes confirme que l’on a
Q1 2,00 1,00 marqué moins de buts par match durant la période 2 que pendant la
période 1. Quant à Q1, il indique que pendant 25 % au moins des
médiane 3,00 2,00
matchs, il a été marqué au plus 1 but (au plus 2 buts) durant la période
Q3 5,00 3,00 1 (durant la période 2).
TP 1. Comparaisons internationales
A. 1. Série 1 Série 2 Série 3
Me 34 150 36,25 % 0,105
Q1 24 800 30,60 % 0,060
Q3 37 700 41,70 % 0,280
B. 1. Le troisième quartile de la série des PIB/habitant des pays de l’OCDE est Q3 = 37 700. Cela signifie que 75 % au
moins des pays de l’OCDE ont un PIB par habitant inférieur ou égal à 37 700. On peut donc affirmer que 75 % des pays
de l’OCDE ont un PIB par habitant inférieur à celui de l’Autriche et du Canada, mais pas de la Suède.
2. La France a un PIB/habitant inférieur au PIB médian : plus de la moitié des pays de l’OCDE a donc un PIB supérieur à
celui de la France.
La France a une pression fiscale supérieure au troisième quartile de celles des pays de l’OCDE : au moins 75 % des pays
de l’OCDE ont donc une pression fiscale inférieure à celle de la France.
L’utilisation de pesticides en France correspond au troisième quartile de celles des pays de l’OCDE : au moins 75 % des
pays de l’OCDE utilisent moins de pesticides que la France.
Années
Concentration en ozone
2003 2007
Médiane 52,17 46,48
Moyenne 53,05 46,55
La tendance centrale de la concentration moyenne en ozone dans les 21 régions de France évolue à la baisse.
2. Il suffit d’avoir Q1 (2003) supérieur à Q3 (2007), ce qui est le cas, puisque leur calcul donne : En 2003, Q1 = 49,26 et
en 2007, Q3 = 48,21.
3. En 2003, Q3 – Q1 = 7,17 ; en 2007, Q3 – Q1 = 5,52.
L’écart interquartile s’est beaucoup réduit entre 2003 et 2007 ; la moitié centrale des valeurs moyennes de concentration
en ozone est plus homogène (moins dispersée) en 2007 qu’en 2003.
B. Le calcul des indicateurs de la concentration moyenne en dioxyde de soufre donne :
2003 2007
moyenne 4,51 2,77
Q1 2,59 1,14
médiane 3,53 2,39
Q3 5,42 3,45
Q3 – Q1 2,83 2,31
Comme pour la concentration en ozone, les indicateurs de tendance centrale de la concentration en dioxyde de soufre
ont nettement baissé de 2003 à 2007.
Les comparaisons de Q1 et Q3 confirment cette évolution : au moins un quart des mesures montrent une concentration
inférieure ou égale à 1,14 mg/m3 (respectivement 3,45 mg/m3) en 2007, contre 2,59 mg/m3 (respectivement 5,42 mg/m3)
en 2003. Par contre, l’évolution à la baisse entre 2003 et 2007 de l’écart interquartile Q3 – Q1 est beaucoup plus mesurée ;
on peut penser que malgré la baisse observée, la moitié centrale des valeurs moyennes de concentration en dioxyde
de soufre est aussi dispersée en 2007 qu’en 2003.
C. 1. En 2007, 80 % des concentrations moyennes régionales en PM10 sont inférieures ou égales à 20 mg/m3.
2. À ordonnées égales, sur les courbes cumulatives rouge (2007) et bleue (2003), les points de la courbe rouge sont à
gauche de ceux de la courbe rouge.
Par exemple : le point rouge (17 ; 0,35) est à gauche du point bleu (20 ; 0,35) et cela signifie que pour « englober » 35 %
des concentrations moyennes régionales en PM10, il suffit de mettre la barre à 17 mg/m3 en 2003, alors qu’il faut aller
jusqu’à 20 mg/m3 en 2007.
3. À 0,5 mg/m3 près, on peut lire graphiquement :
2003 2007
Me 21 18,5
Q1 19, 5 16,5
Q3 23 20
4. Sur le graphique, le fait que l’écart interquartile est plus important en 2003 qu’en 2007 se traduit par une pente de la
partie de courbe comprise entre les droites d’équations y = 0,25 et y = 0,75 sensiblement plus forte en 2007 qu’en 2003.
La dispersion de la moitié centrale des valeurs de concentration en PM10 est donc plus élevée en 2003 qu’en 2007.
102
TP3. En autonomie
1. On effectue la somme de chaque colonne. Le graphique le plus adapté est un graphique cartésien (ligne polygo-
nale), mais on peut aussi utiliser un graphique en barres. L’évolution se distingue mieux en ne débutant l’échelle des
ordonnées qu’à 0.
Après une augmentation importante jusqu’en 2000, le nombre de nuitées connaît une relative stagnation jusqu’en
2006.
2. Si l’on effectue un tri par écart interquartile croissant, on est amené à comparer le département des Deux-Sèvres à
celui de la Seine-Saint-Denis. Un tri sur l’étendue (indicateur de dispersion moins performant) conduit à comparer la
Haute-Loire et la Seine-et-Marne. Pour comparer les tendances centrales, on peut utiliser la moyenne ou la médiane.
3. Le plus simple est d’effectuer un tri croissant et une représentation en barres ou en secteurs.
Le diagramme montrant le mieux la répartition (et le plus lisible) est un histogramme, mais, compte tenu de l’étendue
des valeurs, on est amené à exclure Paris.
L’indicateur de tendance centrale pertinent est la médiane.
2. Algorithme 1 Algorithme 2
Tableau d’état des variables : Tableau d’état des variables :
a b a b c
Entrées 5 3 Entrées 5 3
Traitement : Traitement :
Si a > b Alors Si a > b Alors
a prend la valeur b 3 3 c prend la valeur b 5 3 3
b prend la valeur a 3 3 b prend la valeur a 5 5 3
FinSi a prend la valeur c 3 5 3
FinSi
104
3. Avec AlgoBox Avec Xcas
Exercices
SANS CRAYON, SANS CALCULATRICE 10 x = 6
1 99 ¥ 101 = (100 – 1) (100 + 1) = 10 000 – 1 = 9 999 ; 9
11 a. la seule fraction simplifiable est : .
35 ¥ 45 = (40 – 5) (40 + 5) = 1 600 – 25 = 1 575. 14
1 14 9
2 10 ; 30 b. les fractions supérieures à sont :
2
et .
21 14
3 27 ; 150 12 18 ¥ 1,1 = 19,8
106
2. a. La fréquence des mois d’août où l’on a connu 0 b.
ou 1 accident est : (2 + 7)/38 = 0,24.
b. La fréquence des mois d’août où se sont produits au
moins 4 accidents est : 10/38 = 0,26.
37 a. Les différentes variables utilisées sont n, S, i, M, a. 3. Le paradoxe vient de ce que l’entreprise B paie à la
fois mieux ses cadres et ses ouvriers, alors que cela
b. On dresse un tableau de l’état des variables.
paraît contredit par le calcul de la moyenne globale des
n i S a M salaires, qui est plus élevée dans l’entreprise A.
ENTRÉE 3 Cela s’explique par une répartition des salariés dans les
catégories « cadres » et « ouvriers » très différente dans
TRAITEMENT
les 2 entreprises. La moyenne des salaires est plus
S prend la valeur 0 3 0
élevée dans l’entreprise A que dans l’entreprise B car
1 c’est l’entreprise A qui compte la proportion de cadres
Pour i allant de 1 à n 3 la plus forte.
Demander une valeur de a 3
S prend la valeur S + a 40 Le groupe A compte 17 élèves ; dans la liste
2
Fin Pour ordonnée des 17 notes, la note médiane est celle du
6
milieu, c’est-à-dire la 9e ; cette note médiane est 10.
9
Le groupe B compte 16 élèves ; dans la liste ordonnée
3 des 16 notes, la note médiane est la demi-somme des
6 deux notes centrales que sont la 8e et la 9e ; cette note
15 médiane est 9,5.
Calculer M = S/n 5
41 Dans l’Europe de l’Ouest, l’âge de cette personne
Lors de l’exécution de cet algorithme, on entre le est inférieur à l’âge médian (40 < 42). Cela signifie que
nombre n puis une liste de n nombres. cette personne est plus jeune qu’une moitié environ de
c. L’algorithme affiche la moyenne de ces n nombres. la population de l’Europe de l’Ouest ; elle est donc
« encore jeune » !
38 1. Le nombre moyen d’enfants par famille est : En Afrique, l’âge de cette personne est très supérieur à
(0 ¥ 8 050 262 + 1 ¥ 3 760 052 + 2 ¥ 3 399 998 + 3 l’âge médian (40 > 29). Cela signifie que cette personne
¥ 1 238 871 + 5 ¥ 404 171)/(8 050 262 + 3 760 052 + est plus âgée qu’une moitié au moins de la population
3 399 998 + 1 238 871 + 404 171) = 0,97 à 10–2 près. africaine ; on peut la considérer « déjà âgée » !
108
42 1. Le taux de criminalité moyen pour 1 000 2. La moyenne peut être fortement influencée par les
habitants durant cette période de 20 ans est 63,13. déplacements de durée particulièrement courte ou
2. Sur le graphique, il y a 10 points situés au-dessus de longue, au point de ne plus rendre compte de l’en-
la ligne rouge et 10 points situés en dessous. Cette ligne semble des déplacements. Avec la médiane, on donne
de partage, au niveau 62,5 environ, représente le taux la durée du déplacement « central » de la série.
de criminalité médian pour 1 000 habitants de 1989 à
5 6 10 10 12 12 12 15 15 19 26 103 404 695
2008.
Si l’on ordonne ces 20 valeurs du taux de criminalité, on 50 1. a. Le nombre moyen de secousses ressenties
obtient : par année est 96.
Le tri dans l’ordre croissant des nombres de secousses
57,3 58,1 58,3 59,7 60,7 60,7 61 61,1 61,7 61,9
ressenties de 1993 à 2006 donne :
63,2 63,2 64,1 65,8 66,1 67 67,5 67,8 68,5 68,9 La médiane de ces 14 valeurs est (12 + 15)/2 = 13,5.
La médiane est la demi-somme des deux valeurs b. Compte tenu de la forte asymétrie de cette série, il y
centrales, soit 62,55. a lieu de privilégier la médiane : sur cette période de
14 années, on a connu en Guadeloupe plus de 13
43 Voir corrigé en fin de manuel. secousses durant une moitié de ces années et moins de
13 secousses durant l’autre moitié.
44 Voir corrigé en fin de manuel. Dire que le nombre moyen de secousses par an sur
cette période est 96 paraît surestimer nettement la
45 1. n = 6.
Après le premier passage dans la boucle, on obtient survenue de ces secousses.
[3 ; 18 ; 11 ; 25 ; 3 ; 20]. 2. Dans le cas des secousses supérieures à 5 sur l’échelle
Après le deuxième passage, on obtient [3 ; 11 ; 18 ; 25 ; de Richter, la moyenne est 1,2 et la médiane est 1. Cette
3 ; 20]. fois, la série n’est plus asymétrique et les deux indica-
À la fin de l’algorithme on obtient la liste triée en ordre teurs de position centrale sont voisins. On peut retenir
croissant : [3 ; 3 ; 11 ; 18 ; 20 ; 25]. ici le nombre moyen de secousses égal à 1,2.
46 1. a. Le nombre moyen de bonnes réponses est 7,3. 51 1. a. La distance totale parcourue est :
b. 17 candidats ont répondu à 8 questions ou plus ; 1 400 ¥ 12 = 16 800 m pour les filles et 1 650 ¥ 18
17/40 = 0,425 ; leur pourcentage est donc 42,5 %. = 29 700 m pour les garçons.
2. Le nombre médian de réponses justes est 7, et donc b. La distance moyenne parcourue par les 30 élèves de
au moins 20 candidats ont un nombre de bonnes la classe est alors :
réponses inférieure ou égal à 7 ; pour éliminer au moins (16 800 + 29 700)/30 = 1 550 m.
20 candidats, il suffit de fixer le nombre de bonnes 2. Non. Savoir que la moitié environ des garçons a par-
réponses à 7 + 1 = 8. couru au moins 1 600 m et que la moitié environ des
filles a parcouru au moins 1 500 m ne permet pas de
47 1. Contrairement à la médiane de ces salaires, la
moyenne de ces salaires est influencée par les hauts savoir la distance minimale qu’aura parcourue la moitié
salaires. C’est la forte asymétrie de la série des salaires de la classe la plus performante.
moyens mensuels qui explique cet écart entre médiane
et moyenne. 52 La moyenne de l’ensemble des notes peut être
calculée :
2. Interprétation positive : En 2007, le salaire de Ber- Jury 1 : la somme des 100 notes est 1 020.
trand est supérieur à plus de la moitié des salaires nets Jury 2 : la somme des 75 notes est 720.
mensuels en France. Sur les deux jurys :
Interprétation négative : En 2007, le salaire de Bertrand la somme des 175 notes est 1 740 et donc la note
est inférieur à la moyenne des salaires nets mensuels en moyenne est 1 740/175 = 9,94.
France.
110
60 1. graphique a. dont l’échelle de l’axe des ordonnées a
pour minimum 0, c’est lui qui reflète l’évolution réelle…
FCR 42 45 46 48 49 50 51
Effectif 2 2 3 5 1 7 4 64 Les représentations des cubes ne sont pas
conformes à leurs légendes. Le grand cube a des arêtes
Effectif
2 4 7 12 13 20 24 doubles de celles du petit. Mais visuellement, ce sont
cumulé
les volumes et non les longueurs que l’on compare. Or
FCR 52 53 54 55 57 59 61 les volumes sont dans un rapport de 8 et non de 2, alors
que les ventes de Bonlux n’ont que doublé. Il reste bien
Effectif 9 8 5 6 1 6 1
sûr à savoir si cette erreur est volontaire ou non !
Effectif
33 41 46 52 53 59 60 65 Quand on compare les deux graphiques, il semble
cumulé
qu’il y ait une forte augmentation des cambriolages
entre 1998 et 1999. Or quand on regarde les valeurs
numériques des ordonnées et qu’on fait la différence,
on s’aperçoit que sur une année les cambriolages ont
progressé de 516 – 508 = 8 cambriolages, ce qui ne
correspond pas à une très forte augmentation.
Médiane
Q1
Q3
Fréq. cumul.
Fréquences
Fréquences
112
environ, et ils se partagent un peu plus de 30 % du le troisième quartile est environ 0,82 en 1990 et 0,89 en
patrimoine total. 2006.
L’affirmation est donc exacte. Les écarts interquartiles sont donc approximativement
0,21 en 1990 et 0,07 en 2006.
86 Leur comparaison vient confirmer la plus faible dispersion
de la série de la consommation d’énergie par région en
A B C D
2006, par rapport à 1990.
x ª Me x Me x
Me x ª Me
89 Voir sur le site www.didiermathx.com le graphique
Commentaires : fin janvier 2009 et le graphique quelques jours plus tard.
– Lorsque la série est assez symétrique, on peut
Les faits :
s’attendre à ce que les deux indicateurs de position que
La banque J.P. Morgan a proposé fin janvier 2009 un
sont la médiane et la moyenne soient assez voisins
graphique pour illustrer l’effondrement de la capitalisation
(c’est le cas des séries A et D).
boursière d’une quinzaine de banques (graphique 1).
– Lorsque la série présente une asymétrie assez
Les disques bleus indiquent la valeur de chaque banque
marquée, on aura généralement x < Me dans le cas
en 2007, les verts la valeur en janvier 2009.
d’un « étalement à gauche » (série B) et x > Me dans le
Quelques jours plus tard, J.P. Morgan propose un
cas d’un étalement à droite » (série C).
graphique modifié (graphique 2) ; la valorisation
boursière 2009 des banques a été réactualisée et une
87 Voir sur le site www.didiermathx.com. banque supplémentaire a été introduite.
92
Nombre Nombre de Nombre Nombre de
d’enfants familles d’enfants frères et
dans la sœurs par
famille enfant
0 8 050 262 0
1 3 760 052 3 760 052 0
b. Le graphique montre que le chômage augmente 2 3 399 998 6 799 996 1
rapidement de 1975 à 1985, puis fluctue à un niveau
3 1 238 871 3 716 613 2
important depuis cette période.
4 ou + 404 171 2 020 855 4
2. On peut, pour la période 1975-2008, calculer les
Total 16 853 354 16 297 516
indicateurs suivants (nombre de chômeurs en milliers).
moyenne 2 046 1. On a complété le tableau initial en calculant le
min 689 nombre total d’enfants de moins de 25 ans en 2006
(3e colonne).
Q1 1 772
Le nombre moyen d’enfants par famille est :
Me 2 172 Nombre total d’enfants 16 297 516
= = 0,97.
Q3 2 421,25 Nombre total de familles 16 853 354
max 2 805 2. La 4e colonne indique le nombre de frères et sœurs
étendue 2 116 par enfant d’une famille selon le nombre d’enfants de la
Q3 – Q1 649,25 famille.
Le nombre moyen de frères et sœurs par enfant est
Pour la tendance centrale, il est préférable de choisir la
alors :
médiane, mais la moyenne peut convenir.
3 760 052 ¥ 0 6 799 996 ¥ 1 3 716 613 ¥ 2 2 020 855 ¥ 4
Pour la dispersion, on calcule les quartiles.
16 297 516
3. La valeur du premier trimestre 2009 est au-dessus
22 316 642
du troisième quartile. = = 1,37
16 297 516
91 Parmi les salariés à temps complet des entreprises
privées ou semi-publiques, soit N le nombre des 93 1 2 3 4 5 6
hommes et N¢ le nombre des femmes.
Groupe 1 9 11 12 12 13 14
La masse salariale pour les hommes est : N ¥ 2 138 €.
La masse salariale pour les femmes est : N¢ ¥ 1 736 €. Groupe 2 17 18 18 18 19 19
La masse salariale hommes-femmes est donc
Âge
– d’une part : N ¥ 2 138 + N¢ ¥ 1 736
1147 8 9 10 11 12 moyen
– d’autre part : (N + N¢) ¥ 1 997.
On en déduit : N ¥ 2 138 + N¢ ¥ 1 736 = (N + N¢) ¥ 1 997 Groupe 1 23 24 24 24 25 25 18
soit encore : N ¥ 2 138 + N¢ ¥ 1 736 = N ¥ 1 997 + N¢ ¥ 1 997, Groupe 2 23 27 36 47 51 55 29
261
qui devient 141N = 261N¢ ou encore N N¢. On peut penser que le Groupe 1, dont l’âge moyen est
141
pourtant égal à 18 ans, sera un choix moins bon pour
L’effectif de la population des salariés est donc :
261 402 Max que le Groupe 2, en raison d’une répartition des
N + N¢ = N¢ + N¢ = N¢. âges mal adaptée.
141 141
114
En effet, aucun inscrit du Groupe 1 ne satisfait le critère 1. Le temps de réaction médian est le même chez les
de Max qui désire « rencontrer des jeunes comme lui », filles et chez les garçons : 14 centièmes de seconde. Les
c’est-à-dire d’âge semblable. temps de réaction sont plus dispersés chez les garçons
que chez les filles : étendue et écart interquartile égaux
à 13 et 7 chez les garçons, contre 10 et 4 chez les filles.
94 Les tableaux suivants permettent de « matérialiser »
2. Le temps de réaction de Karim (14) coïncidant avec
les individus et d’y faire figurer les indicateurs connus et
le temps médian des garçons, on peut dire que 8 gar-
autres renseignements de l’énoncé.
çons, au plus, ont été plus rapides que lui.
15 filles Mais comme on sait qu’il est le seul à avoir ce temps de
réaction, on peut affirmer que 8 garçons, exactement,
Min Q1 Me Q3 Max ont été plus rapides que lui.
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 3. Si les trois filles « précédant » Vanessa ont, toutes les
10 ? 12 14 16 20 trois, le même temps de réaction : 10 centièmes de
Vanessa seconde, le temps de réaction de Vanessa est soit 11,
soit 12. Dans le cas contraire, l’une au moins des filles a
pour temps de réaction 11 et le temps de réaction de
17 garçons Vanessa est alors 12.
Min Q1 Me Q3 Max En conclusion, le temps de réaction de Vanessa est soit
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 11, soit 12.
8 11 14 18 21 95 English Corner
Karim 1. f. ; 2. g. ; 3. c. ; 4. h. ; 5. b. ; 6. d. ; 7. a. ; 8. e.
Issue 1 2 3 4 5 6
Probabilité 0,25 0,25 0,2 0,15 0,1 0,05
116
Activité 3. Opérer sur les événements
1. A = {2 ; 4 ; 6} ; B = {4 ; 5 ; 6}.
2. Si A n’est pas réalisé, c’est l’événement « un numéro impair sort » qui l’est.
Cet événement a pour écriture ensembliste {1 ; 3 ; 5} et pour probabilité 0,55.
On remarque que 0,55 = 1 – p(A).
3. a. A ET B = {4 ; 6} ; p(A ET B) = p(A « B) = 0,2.
b. A OU B = {2 ; 4 ; 5 ; 6} ; p(A OU B) = p(A » B) = 0,55.
c. p(A » B) + p(A « B) = 0,75 et p(A) + p(B) = 0,45 + 0,3 = 0,75.
p(A) + p(B) est la somme des probabilités des issues qui réalisent A et de celles qui réalisent B (les issues qui
réalisent à la fois A et B sont comptées deux fois).
p(A » B) est la somme des probabilités des issues qui réalisent A ou B (les issues qui réalisent à la fois A et B sont
comptées une seule fois).
On a donc : p(A) + p(B) = p(A » B) + p(A « B).
2. a. Il y a 64 issues.
1
b. Comme elles sont équiprobables, chacune a pour probabilité = 0,015625.
64
B. p(S = 8) est la somme des probabilités des issues du tableau colorées en gris ; comme il y en a 7, on a
7
p(S = 8) = . De même, p(S = 9) est la somme des probabilités des issues du tableau en gras ; comme il y en a 8,
64
8
on a p(S = 9) = .
64
On a p(S = 9) > p(S = 8) ; c’est Mathieu qui a raison.
8 1 8 1 15
C. 1. p(H1) = = . p(H2) = = 1 . p(H1 « H2) = . p(H1 » H2) = .
64 8 64 8 64 64
2. Pour chaque composant, la probabilité qu’il dysfonctionne en période de garantie est 0,125 = 1 .
8
On peut donc modéliser les événements « le composant 1 est défaillant en période de garantie », « le composant 2 est
défaillant en période de garantie » par H1 et H2, respectivement.
Le système monté en série est défaillant lorsque l’un OU l’autre des composants est défectueux (ou les deux).
15
La probabilité de cet événement est donc p(H1 » H2 ) = .
64
Le système monté en parallèle est défaillant lorsque l’un ET l’autre des composants sont défectueux.
1
La probabilité de cet événement est donc p(H1 « H2) = .
64
0,75 R
2 S
––
7
0,25 R
B. a. b. Pour chacun des lancers de la roulette, la valeur 1 correspond à sortie du secteur rouge et la valeur 0 à celle du
secteur bleu. On a simulé 365 fois le lancer de cette roulette qui donne « rouge » avec la probabilité 0,1 et « bleu » sinon.
c. Cette formule compte le nombre de fois où le « rouge » est sorti durant les 22 premiers jours de l’année.
d. La formule écrite en B100 compte le nombre de sortie de « rouge » sur la période de 22 jours consécutifs débutant
le 100e jour de l’année (et s’achevant le 121e jour).
Un appui répété sur la touche F9 indique que le nombre maximal de fois où le « rouge » est sorti sur 22 jours consécutifs
d’une année dépasse très souvent 5.
f. g. La cellule A367 calcule la fréquence sur 50 années de celles où le nombre de sorties du secteur rouge sur 22 jours
glissant est supérieur ou égal à 5.
C. 1. a. Choix d.
2. La fréquence semble se stabiliser vers 0,92. On peut retenir p = 0,92.
3. Non, puisque le maximum du nombre d’accidents enregistrés sur une période de 22 jours consécutifs au cours
d’une année est supérieur ou égal à 5 avec une probabilité dépassant 0,9.
118
2. I prend la valeur 2 ; la variable J prend au hasard une valeur entre 2 et 18.
Le Jème terme de la liste s’échange alors avec le second terme de la liste qui est Liste1[2].
Et ainsi de suite. À la fin de la boucle « Pour », sept nombres entiers compris entre 1 et 18 ont été successivement tirés
au hasard et sont venus occuper les sept premières places de cette liste.
3. Voir sur le site www.didiermathx.com.
4. Réponse personnelle… mais on peut observer en répétant les simulations que les 4 boules noires (entiers de 1 à 4)
ne sont que très rarement présentes toutes les quatre parmi les 7 boules prélevées.
B. 1. a. Si p = 4, e augmente de 1, et c’est le seul cas où e augmente de 1.
b. p = 4 signifie que les boules 1, 2, 3 et 4 figurent dans les 7 boules prélevées, c’est-à-dire que l’événement E est réalisé.
Donc e augmente de 1 quand E est réalisé.
Autrement dit e compte le nombre de réalisations de l’événement E.
c. On considère que la liste Liste1 est {1 ; 2 ; … 18}.
INITIALISATION : e prend la valeur 0
TRAITEMENT :
Pour T allant de 1 à 100 Faire
Pour I allant de 1 à 7 Faire*
J prend la valeur alea(I,18)
X prend la valeur Liste1[I]
Liste1[I] prend la valeur Liste1[J]
Liste1[J] prend la valeur X
FinPour
p prend la valeur 0
Pour M allant de 1 à 7 Faire**
Si Liste1[M] ≤ 4
Alors p prend la valeur p + 1
FinSi
FinPour
Si p = 4
Alors e prend la valeur e + 1
FinSi
FinPour
Afficher e
* On commence le tirage des 7 boules figurant les 7 jurés comme en partie A.
** On insère la nouvelle partie de programme pour tester si les boules 1, 2, 3 et 4 sont les 7 boules tirées. Si c’est le cas, le compteur e
augmente de 1.
Des programmes sont disponibles sur le site
2. On peut estimer la probabilité de E à 0,01. La présence des 4 jurés noirs parmi les 7 personnes écartées par le procu-
reur, choisies parmi les 18 n’ayant pas fait d’études supérieures, peut être le fait du hasard ; mais la probabilité de cet
événement étant estimée à 1/100, cela est très improbable ! Tout laisse penser qu’il aura fallu « aider » le hasard pour
parvenir à un tel résultat.
TP 3. Tirer au hasard
1. a. Le modèle suggéré par l’énoncé est celui de l’équiprobabilité avec 100 issues de même probabilité : 0,01.
4 8
b. p(A) = = 0,04 ; p(B) = = 0,08.
100 100
c. Comme V = A » B, avec A et B incompatibles, p(V) = p(A) + p(B) = 0,12.
p(R) = p(V ) = 1 – p(V) = 0,88
14 9
2. a. p(E) = = 0,14 ; p(F) = = 0,09.
100 100
b. E « F est réalisé lorsque le tir se porte sur une case ayant en commun avec le porte-avions et le croiseur un côté ou
un sommet. Il en existe trois. D’où p(E « F) = 3/100 = 0,03.
Il en résulte : p(E » F) = p(E) + p(F) – p(E « F) = 0,14 + 0,09 – 0,03 = 0,2.
c. Les probabilités portées sur des branches issues d’un même nœud ont pour somme 1.
2. a. 1
––
4 G
1 1 1
b. p A « G ¥
2 4 8
1 1 1
p B«G ¥
4 2 8
3
1 A ––
–– 4
2 G
1 1
–– –– G
4 2
1
B ––
2
1 G
1 –– G
–– 3
4 C 2
––
3
G
3. a. 1
––
4 G
3
1 A ––
–– 4
2 G
1 1
–– –– G
4 2
1
B ––
2
1 G
1 –– G
–– 3
4 C 2
––
3
G
120
2. Position Position Position Position
saut 1 saut 2 saut 3 saut 4
1
–– 4
2
1 1
–– 3 ––
2 2
2
1 2 1
––
––
2 2 2
1 1
–– 1 ––
2 2
0
1 1
––
2 2
1 1
1 –– 1 ––
–– 1 2 2
2 –– 0
2 0 1
––
2 0
1 1
–– –1 ––
2 2
–2
O E
1
––
2 2
1 1
–– 1 ––
2 2
0
1 0 1
1 –– ––
–– 2 2 0
2 1 1
–– –1 ––
2 2
–2
–1
1
––
2 0
1 1
–– –1 ––
1 2 2
–– –2
2 –2
1
––
2 –2
1 1
–– –3 ––
2
2
–4
Exercices
SANS CRAYON, SANS CALCULATRICE 8 a. 9x2 – 24x + 16 b. 36x2 – 4
1 a. 2 9 a. x2 + 5x + 4 b. 4x2 – 9
2 211 - 210 210 2 - 1 210 10 a. x = 4/3 b. x = – 1
3 AB2 = 6 ; BC2 = 24 ; CA2 = 18. On a AB2 + CA2 = BC2.
11 p = 4/11
ABC est donc rectangle en A.
12 p = 0,14
4 f (– 0,5) = 0
6
13 p = = 0,2
5 g(– 3) = – 3 ; A n’est donc pas un point de la courbe 30
de g. 14 Affirmation C
6 a. (30 + 1) (30 – 1) = 900 – 1 = 899 15 Affirmation C
b. (50 + 1)2 = 2 500 + 100 + 1 = 2 501
16 a. Méthode 2 b. Méthode 1
7 Non c. Méthode 2 d. Méthode 1 e. Méthode 1
21 1. a. L’instruction NbrAléat + 0,3 ou Rand# + 0,3 En appuyant sur la touche F9, on peut remarquer que
fournit un nombre au hasard dans [0,3 ; 1,3[. l’événement « AB ⭓ 0,5 » se réalise moins souvent que
b. [0,3 ; 1[ et [1 ; 1,3[ ont pour longueurs 0,7 et 0,3, res- son contraire « AB < 0,5 ».
pectivement. On peut facilement pronostiquer : p < 0,5.
c. L’instruction NbrAléat + 0.3 ou Ran# + 0.3 fournit un 2. a. La fréquence tend à se stabiliser vers 0,25.
nombre au hasard dans [0,3 ; 1 [ avec une probabilité de b. On peut retenir 0,25 comme estimation de p, ce qui
0,7 et dans [1 ; 1,3 [ avec une probabilité de 0,3. paraît conforme à l’observation faite en 1. c.
122
26 On peut penser que p > 0,9. b. En illustrant une rencontre entre Aziz et Clara par un
tableau, on observe que la probabilité que Aziz l’em-
27 Voir corrigé en fin de manuel. 4
porte est égale à .
9
28 Le tirage de la fiche ayant lieu au hasard, on a : Contre toute attente, c’est Clara qui a le plus de chances
517 de l’emporter face à Aziz. Ce résultat, qui semble défier
a. p(« la fiche est celle d’un homme ») = = 0,517.
1 000 logique et bon sens, est un paradoxe.
483
b. p(« la fiche est celle d’une femme ») = = 0,483 C
1 000 2 4 9
A
ou p(F) = 1 – p(H) = 0,483.
(1,2) (1,4) (1,9)
c. p(« la fiche est celle d’une personne de moins de 1
C C C
1 000 - 70 - 64
65 ans ») = = 0,866. (6,2) (6,4) (6,9)
1 000 6
A A C
29 1. p(« Monsieur X appartient au groupe O– ») = 0,06. 8
(8,2) (8,4) (8,9)
A A C
2. p(« Monsieur X appartient au groupe O– ou
A– ») = 0,06 + 0,06 = 0,12.
3. p(« Monsieur X appartient au groupe O– ou O+ ou 33 1. Les angles au centre des secteurs rouge, noir et
B– ou B+ ») = 0,52. bleu sont respectivement proportionnels à 2, 1 et 3. Le
Oui, une personne du groupe B+ a plus d’une chance lancer de la roue peut se modéliser par le tirage au
sur deux de pouvoir recevoir du sang de Monsieur X. hasard d’une boule dans une urne contenant 2 boules
rouges, 1 noire et 3 bleues.
6
30 1. Le tirage se faisant au hasard, p(R) = = 0,3 ; 2. Les probabilités p(R), p(N) et p(B) sont alors :
20
10 2 1 3
p(N) = = 0,5. , et .
20 6 6 6
2. On a de même : r/20 = 0,25 et n/20 = 0,15, d’où r = 5
et n = 3. 34 Voir corrigé en fin de manuel.
L’urne contient donc 5 boules rouges, 3 boules noires et
12 boules vertes. 35 p(A) = 1 – p(A) = 0,7
p(B) = 1– p(B) = 0,5
31 Un tableau à double entrée peut aider à visualiser p(A » B) = p(A) + p(B) – p(A « B) = 0,6.
les issues dont le nombre est celui des cases : 5 ¥ 5 = 25.
Les issues s’écrivent par exemple (B2, J1), (J1, B2), (J3, J1), 36 p(E) p(F) p(E « F) (E » F)
(J3, J3)… Cas 1 0,6 0,7 0,5 0,8
Aucune issue n’ayant plus ou moins de chance qu’une
Cas 2 0,6 0,6 0,5 0,7
autre de se réaliser, on peut adopter un modèle
d’équiprobabilité. Les issues favorables à la réalisation Cas 3 impossible 0,7 0,5 0,1
de l’événement A sont celles comportant un J et un B ; il
en existe 12 (on peut se référer au tableau pour les 37 1. A = « la carte tirée n’est pas un as »
12 C = « la carte tirée n’est pas un cœur »
dénombrer). D’où p(A) = = 0,48.
25 A « C « la carte tirée est l’as de cœur »
32 1. Parmi les neuf issues possibles d’une rencontre A » C « la carte tirée est un as ou un cœur »
entre Aziz et Bill, il y en a cinq qui sont favorables à une A « C « la carte tirée n’est ni un as ni un cœur ».
5 4 7
victoire de Aziz ; d’où la probabilité cherchée p1 = . 2. p(A) = 1 – p(A) = 1 –
9 32 8
2. De même, la probabilité que Bill l’emporte contre 8 3
5 p(C) = 1 – p(C) = 1 –
Clara est p2 = . 1 32 4
9 p(A « C) =
32
3. a. Aziz a une probabilité plus forte que Bill de l’em-
1 1 1 11
porter lors d’une rencontre et il en est de même pour Bill p(A » C) = p(A) + p(C) – p(A « C) = -
8 4 32 32
face à Clara. On peut donc penser que Aziz a toutes les
On peut compter les cartes qui ne sont ni un as ni un
chances de l’emporter face à Clara et que, naturellement, 23
cœur : il y en a 23, d’où p(A « C ) = .
la probabilité de cet événement est supérieure à 0,5. 32
124
b. Cette expérience comporte 8 issues ; chacune a pour 49 1. Partie jaune Partie bleue
1 1 1 1
probabilité ¥ ¥ . A »B
2 2 2 8 Diagramme 1 A«B
1 3 Diagramme 2 A
2. p(E0) = p(F F F) = ; p(E1) = p(P F F, F P F, F F P) = ; A
8 8
3
p(E2) = p(P P F, F P P, P F P) = ; p(E3) = p(PPP) = .
1 Diagramme 3 A»B B«A
8 8
3. 2. a. • Xavier est un artiste ou un belge.
Issue Ei E0 E1 E2 E3 • Xavier n’est pas un artiste.
1 3 3 1 • Xavier est belge mais n’est pas artiste.
p(Ei)
8 8 8 8 b. • x ŒA « B • x ŒA « B • x ŒA » B
c. • Xavier n’est ni artiste ni Belge.
45 Voir corrigé en fin de manuel. • Xavier n’est pas Belge ou est artiste.
46 1. 0,8 A
50 1. Une probabilité étant un nombre compris
2
–– D
entre 0 et 1, cette annonce n’a pas de sens !
3
0,2 A 2. Cette annonce a maintenant un sens mais elle est de
0,2 A nature à inquiéter car la dernière probabilité de colli-
1 D sion évoquée est 100 fois plus forte que la précédente.
––
3
0,8 A
3. Une « grosse probabilité » est une probabilité proche
2. D « A est l’événement : « il y a devoir surveillé ce de 1.
mercredi matin et Théo est absent ». Pour les exercices 51 à 64 : voir corrigés en fin de
D « A est l’événement : « il n’y a pas devoir surveillé ce manuel.
mercredi matin et Théo est absent »
2 8 1 1
p(D « A) = ¥ 0,8 ; p(D « A) = ¥ 0,2 . APPROFONDISSEMENT
3 15 3 15
9 3 65 1. C’est vous qui voyez !
3. p(A) = p(D « A) + p(D « A) = 0,6
15 5
2. a. La fréquence de M semble se stabiliser vers 0,5.
47 1. a. p(B1) = p(B2) = 0,5 b. On peut estimer : p(M) = 0,5.
b. Si le bassin B1 a été choisi : 3. a. En portant 0,5 sur chaque branche de l’arbre, on
2
• la probabilité que Solène pêche un saumon est = 0,4 ; obtient une probabilité de 0,25 pour chaque issue.
5
3 b. p(M) = p({FG, GF}) = 0,25 + 0,25 = 0,5
• la probabilité que Solène pêche une truite est = 0,6.
5
c. Si le bassin B2 a été choisi : 66 A. 2. a. En cellule B2, on peut entrer =ENT(ALEA()+0,5).
3
• la probabilité que Solène pêche un saumon est = 0,3 ; b. Le temps d’attente de « pile » est supérieur à trois
10
7 lancers lorsque la simulation sur trois lancers a amené 0
• la probabilité que Solène pêche une truite est = 0,7. « pile », c’est-à-dire une somme égale à 0.
10
2. a. 0,4 S c. Il s’agit de la fréquence du nombre de fois où E a été
B1 réalisé sur les 1 000 simulations.
0,5
0,6 T
d. On peut prendre 0,125 comme évaluation de p(E)
0,3 S (ou pourquoi pas 0,124, qui est la moyenne des fré-
0,5 B2 quences disponibles).
0,7 T
3. p(E) = p(FFF) = 0,5 ¥ 0,5 ¥ 0,5 = 0,125
b. p(B1 « T ) = 0,5 ¥ 0,8 0,4 B. 1. On peut évaluer approximativement la probabi-
p(B1 « S ) = 0,5 ¥ 0,4 0,2 ; p(B2 « S) = 0,5 ¥ 0,3 0,15 lité de ce matériel ne tombe pas en panne pendant les
trois premières années de fonctionnement en prenant
d’où p(S) = p(B1 « S ) + p(B2 « S) = 0,35.
par exemple p = 0,726.
2. Un arbre semblable au précédent (question A. 3.),
48 a. Non exclusif b. Exclusif
avec P signifiant cette fois « panne » de probabilité 0,1
c. Non exclusif d. Non exclusif et F signifiant « fiable ou pas panne » de probabilité 0,9,
e. Exclusif permet de calculer p(FFF) = 0,93 = 0,729.
126
La probabilité de survenue d’une crue (exactement) sur 2. A A
une période de 100 ans peut être évaluée à 0,36 environ.
D 0,00099 0,00001 0,001
72 Les trois compteurs affichent 1 lorsque la somme
S = int(rand + 0.05) + int(rand + 0.03) + int(rand + 0.02)
D 0,004995 0,994005 0,9997
est égale à 3 (ou lorsque le produit P est égal à 1).
La fréquence de S = 3 (ou de P = 1), calculée sur un
grand nombre de simulations, permet d’estimer la 0,005985 0,994015 1
probabilité de l’événement « obtenir trois 1 ». Lorsque le système de contrôle déclenche une alerte, la
Mais le calcul de cette probabilité s’effectue facilement probabilité que ce soit une fausse alerte est égale à
à partir d’un arbre, l’événement « obtenir trois 1 » étant p¢ = 0,004995/0,005985 = 0,83458647, soit p¢ = 0,835 à
représenté par ce seul chemin : 10–3 près.
–––– 0,05 –––– 1 –––– 0,03 –––– 1 –––– 0,02 –––– 1
D’où la probabilité cherchée : 74 English Corner
p = 0,05 ¥ 0,03 ¥ 0,02 = 0,000003 1. a. Universal space ; outcomes.
b. Elementary event. c. Subset.
73 1. 0,99 A d. Mutually exclusive.
0,001 D e. A « B is an impossible event : A « B = ; P(A « B) = 0.
0,01 A
f. Exhaustive events. g. A » B = W ; P(A » B) = 1.
0,005 A
0,999 D h. Complementary event ; A « A = ; A » A = W ;
0,995 A P ( A ) 1- p ( A ).
p(A) = 0,001 ¥ 0,99 + 0,999 ¥ 0,005 = 0,005985, soit 4 1 4 1 8 2
2. a. b. c.
p = 0,006 à 10–3 près. 52 13 52 13 52 13
1 12 2 11
d. 1- e. 1-
13 13 13 13
On ne retrouve pas nécessairement la valeur de p. Cela est dû à l’effet du hasard. C’est la fluctuation d’échantillonnage.
3. Non, la fluctuation d’échantillonnage observée sur des échantillons de taille 50 est telle (voir fréquences calculées à
la question 2.b.) que ce résultat de 24 % ne permet aucune interprétation de ce genre.
128
3. a. On a I = [0,3 ; 0,7].
b. On peut estimer le pourcentage des échantillons fournissant une fréquence de « pile » à l’intérieur de l’intervalle I à
environ 95 %.
20
4. a. La fréquence des garçons nés dans le village chinois est f 0,8.
25
b. La valeur 0,8 n’est pas dans I.
On peut penser qu’il existe une autre explication que le hasard pour la différence observée entre f = 0,8 et p = 0,5.
TP 1. Un cas de discrimination ?
A. 1. a. L’affichage 0 correspond à non afro-américain et 1 correspond à afro-américain.
b. La liste des 405 « 0 ou 1 » correspond à un échantillon de 405 professeurs.
c. Le contenu de la cellule A408 correspond à la fréquence des professeurs afro-américains sur l’échantillon de taille
405.
d. On a simulé 100 échantillons aléatoires de taille 405 et calculé les fréquences de professeurs afro-américains pour
chaque échantillon.
2. Lorsqu’on fait F9, il y a fluctuation des fréquences, mais celles-ci demeurent, en très grande majorité, dans une
bande entre 0,1 et 0,2.
2. La fréquence f appartient à l’intervalle précédent. En prenant cette valeur de p, le hasard peut expliquer la fréquence
de professeurs afro-américains observée à Hazelwood, d’où la décision des juges.
130
B. 1. On a les équivalences :
1 1 1 1
p- f p lorsque - f - - p-f ou encore, en multipliant par – 1,
1000 1000 1000 1000
1 1
f- pf .
1000 1000
2. a. La fréquence p = 0,55 n’est pas toujours comprise dans l’intervalle de confiance.
b. Le pourcentage d’intervalles J contenant le résultat de l’élection est supérieur à 95 %.
3. Deux intervalles de confiance peuvent être disjoints (c’est le cas des sondages n° 44 et n° 45 sur l’image d’écran du
manuel).
Exercices
ENTRAÎNEMENT 3. La probabilité de tirer une boule verte dans l’urne est
10 1
p . Elle est différente de la fréquence précédente.
1 a. 100 3 10 000 9 600 10 609
2
30 3
b. 100 - 22 10 000 4 - 400 9 604 19 1. Par exemple :
14 97 % Expérience n° 23 24 25 Fréquence f
Issue 0 0 0 0,16
15 0,16
b. En appuyant sur F9, la fréquence f fluctue.
16 Non car 0,7 0,75.
22 1. L’instruction affiche, au hasard, un nombre de
17 1. Par exemple P, F, P, P, F, P, F, P, P, P.
l’intervalle [1 ; 4[. Ce nombre a des chances identiques
2. Dans l’échantillon précédent, la fréquence de « pile » d’avoir avant la virgule un 1, un 2 ou un 3. Lilian choisit
est 0,7. la réponse correspondant au nombre devant la virgule.
18 1. Par exemple N, R, V, N, N, V, V, V, N, R, R, V. 2. La probabilité d’avoir un 1 devant la virgule est 1/3,
2. La fréquence de « vert » dans l’échantillon précédent celle d’avoir un 0 est 2/3. On peut considérer que 1 cor-
5 respond à une réponse exacte et 0 à une réponse fausse.
est ª 0,42.
12 Sur l’image d’écran, l’élève a obtenu 2 réponses exactes.
132
APPROFONDISSEMENT 3. La probabilité que la fréquence de gain observée sur
100 lancers appartienne à l’intervalle de fluctuation
49 1. a. f 0,54
peut être évaluée à : 0,960 pour la roue 1, 0,987 pour la
b. Non, car cette fréquence fournie par un échantillon roue 2 et 0,998 pour la roue 3.
de taille 100 fluctue au hasard d’un échantillon à l’autre ; Cela est en accord avec la théorie qui annonce que
elle ne peut être retenue comme fréquence d’avis favo- cette probabilité est supérieure ou égale à 0,95.
rables sur la population toute entière.
555
2. a. Si p est la proportion d’avis favorables dans la 52 1. a. f 0,53 à 10 - 2 près.
1048
population, l’intervalle de fluctuation de f sur un échan-
b. Si p est la fréquence des intentions de vote en faveur
tillon de taille n au seuil de 95 % est l’intervalle
È 1 1 ˘ du maire sortant dans la population, on sait par propriété
I Íp - ; p ˙. que, parmi les échantillons de taille n fournissant une fré-
Î n n˚
quence f d’opinions favorables au maire sortant, 95 % au
b. D’après le a., parmi les échantillons de taille n four- È 1 1 ˘
nissant chacun une fréquence f d’avis favorables, on a moins se trouvent dans l’intervalle I Í p - ; p ˙.
Î n n˚
È 1 1 ˘
dans 95 % des cas : f Œ Í p - ; p ˙ Cela signifie que dans 95 % des cas, l’écart entre f et p
Î n n˚ 1
reste inférieur ou égal à , ce qui s’écrit encore :
Cela signifie que dans 95 % des cas, l’écart entre f et p È 1 1 ˘ n
1 p Œ Íf - ;f ˙.
reste inférieur ou égal à , ce qui s’écrit encore : Î n n˚
n
È 1 1 ˘ c. Ici, avec n 1048 et f 0,53, l’intervalle de confiance
p Œ Íf - ;f ˙.
Î n n˚ de p (ou fourchette de sondage de p) au niveau 0,95 est :
Disposant ici d’une fréquence f 0,54 sur un échantillon È 1 1 ˘
de taille n, on en déduit que p appartient à l’intervalle
J Í0,53 -
Î
; 0,53 ˙ 0,499 ; 0,561 .
1048 1048 ˚
È 1 1 ˘
J Í0,54 - ; 0,54 ˙ au niveau de confiance 0,95.
Le maire a des chances d’être élu, mais la prudence est
Î n n˚ de mise !
3. a. Au niveau de confiance 0,95, pour avoir p 0,5, il
2. a. Les intervalles de confiance donnant le maire sor-
1 1
suffit d’avoir 0,54 - 0,5, soit encore 0,04. tant gagnant sont ceux qui sont entièrement situés au-
n n dessus de la droite d’équation y 0,5. Le graphique en
1
b. Le graphique indique que l’on a 0,04 lorsque montre 2.
x 600. x
b. Sur cette simulation, le pourcentage des intervalles
En résolvant l’inéquation, on a successivement : de confiance contenant p 0,495 est aussi 98 %
1
0,0016 ou encore x 625. (conforme à la théorie : au moins 95 %…).
x
c. Si la taille du sondage était n 650 avec f 0,54, on 26
53 1. f 0,40625
1 64
aurait 0,04 et p appartiendrait à l’intervalle
n À partir de cette fréquence f, certes inférieure à 0,5,
J 0,50 ; 0,58 , au niveau de confiance de 95 %. Le Arthur ne peut affirmer qu’il a raison, car d’un
échantillon de taille 64 à un autre, la fréquence fluctue.
stade serait donc construit.
2. a. Si p est la probabilité de l’événement A lorsqu’on
50 1. Les intervalles de fluctuation au seuil de 95 % réalise le tirage des cinq cartes au hasard, on sait par
de la fréquence d’infections nosocomiales pour les propriété, que sur des échantillons de 64 répétitions de
hôpitaux A et B, sont respectivement : I 0,006 ; 0,093 cette expérience, la fréquence f de A appartient, dans
et I ¢ 0,037 ; 0,062 . 95 % des cas au moins, à l’intervalle
È 1 1 ˘
2. Comme p = 0,0497, cela est vérifié pour l’intervalle I I Íp -
Î
; p ˙ p - 0,125 ; p 0,125 .
64 64 ˚
mais pas pour l’intervalle I′. Il reste à établir (algébriquement ou graphiquement)
Au risque de se tromper de 5 %, on peut donc considérer que f ŒI équivaut à p ŒJ avec J f - 0,125 ; f 0,125 .
que la situation observée dans l’hôpital B est
« anormale ». b. Sur l’échantillon d’Arthur, on a f 0,40625 et donc,
on peut dire, au niveau de confiance de 95 %, que p est
dans l’intervalle 0,28125 ; 0,53125 .
51 1. p1 0,5 ; p2 0,25 ; p3 0,1.
Cet intervalle de confiance, ne permet pas de dire, au
2. I1 0,4 ; 0,6 ; I2 0,15 ; 0,35 ; I3 0 ; 0,2 . niveau 0,95, si p est inférieure ou supérieure à 0,5.
VARIABLES : Doubl, i, j, k nombres, L liste Remarque : i étant réservé pour les nombres complexes, il
INITIALISATION : Doubl prend la valeur 0 a été remplacé par n.
TRAITEMENT : Pour k allant de 1 à 100 Faire
Pour i allant de 1 à 30 Faire Scratch (pour 100 échantillons, l’exécution du programme
L(i) prend la valeur prend près de 15 minutes)
EntAlea(1 ; 365)
FinPour
i prend la valeur 1
j prend la valeur 1
Tantque i j et i 30 Faire
i prend la valeur i + 1
j prend la valeur 1
Tantque L j L i Faire
j prend la valeur j 1
FinTantque
FinTantque
Si j i Alors Doubl prend la
valeur Doubl 1
FinSi
FinPour
SORTIE : Afficher Doubl
134
Calculatrices 56 Dans la population du comté, la fréquence du
Pour raccourcir le temps d’exécution du programme, on caractère « origine mexicaine » est p 0,8.
a programmé ci-dessous le tirage de 10 échantillons Sur l’échantillon de taille 870 des personnes précédem-
seulement. Il suffira de regrouper plusieurs résultats ment convoquées dans des jurys, la fréquence de ce
339
dans la classe. caractère est f ª 0,39.
870
TI Casio Il faut étudier si cet important écart entre f et p peut
s’expliquer par la fluctuation au hasard de la fréquence
sur des échantillons de taille 870.
Par propriété, on sait que parmi les échantillons de
taille 870 de cette population, 95 % au moins amènent
une fréquence du caractère dans l’intervalle
È 1 1 ˘
I Í0,8 -
Î
; 0,8+ ˙ ª 0,77 ; 0,83
870 870 ˚
Or, dans l’échantillon contesté, f 0,39 est loin
d’appartenir à cet intervalle.
Et la probabilité que le hasard « réussisse » cela est
inférieure à 5 % !
On peut donc sérieusement penser, à un risque inférieur
à 5 % de se tromper, que le recrutement des jurés dans
ce comté du sud du Texas est discriminant à l’égard des
Remarque : le choix a été fait dans cet algorithme de ne américains d’origine mexicaine.
pas utiliser des algorithmes de tri de listes déjà implantés
dans les calculatrices. 57 Sur le sondage de taille 1 320 réalisé par le journal,
les fréquences d’intentions de vote en faveur des
Résultat : sur 100 échantillons, on obtient très souvent
candidats sont : f1 0,27 pour X, f2 0,385 pour Y et
des fréquences voisines de 0,70.
f3 0,345 pour Z.
c. L’intervalle de fluctuation au seuil 95 % est :
p - 0,1; p 0,1 . Au niveau de confiance 0,95, les fourchettes de sondage
associées sont :
Si p 0,5, on a p 1 0,6 donc cet intervalle ne peut
È 1 1 ˘
contenir des fréquences supérieures à 0,6. J1 Í0,27 - ; 0,27+ ˙,
Î 1320 1320 ˚
On peut considérer, avec un risque d’erreur de 5 % que
soit environ 0,24 ; 0,30 ,
si la fréquence observée est 0,70, elle n’est pas
È 1 1 ˘
compatible avec une fréquence p inférieure à 0,5. On J2 Í0,385 - ; 0,385+ ˙,
Î 1320 1320 ˚
pourra reconsidérer éventuellement le choix fait
intuitivement à la question 1. soit environ 0,36 ; 0,41 ,
È 1 1 ˘
J3 Í0,345 - ; 0,345+ ˙,
Î 1320 1320 ˚
55 1. Une seule canalisation sur les cinq contenant de
l’eau, lorsque le sourcier en choisit une au hasard, la soit environ 0,32 ; 0,37 .
1 Ces intervalles permettent d’estimer, au niveau de
probabilité de la désigner est p 0,2.
5 confiance 0,95, les fréquences p1, p2, p3, d’intentions
2. L’intervalle de fluctuation au seuil de 95 % de la fré- favorables dans la population pour X, Y et Z,
quence f de bonnes réponses sur un échantillon de respectivement.
taille 30 est : Au vu de ces intervalles :
È 1 1 ˘ affirmer que Y a de très fortes chances de faire le
I Í0,2 -
Î
; 0,2+ ˙ ª 0,02 ; 0,38 . meilleur score lors de l’élection est très imprudent : il
30 30 ˚
n’est pas exclu d’avoir p3 p2 .
Sur un échantillon de taille 30, dire que f est compris entre
0,02 et 0,38, c’est dire que le nombre de bonnes réponses Par contre, affirmer que Z a de très fortes chances d’être
est compris entre 30 ¥ 0,2 6 et 30 ¥ 0,38 11,4, c’est-à- dernier paraît statistiquement fondé.
dire entre 6 et 11. 2. Avec les mêmes résultats sur un sondage de taille n,
On pourra donc considérer que le sourcier a un don s’il on peut écrire, au niveau de confiance 0,95 :
1 1
donne au moins 12 bonnes réponses. 0,27 - p1 0,27 ,
n n
58 English Corner
136
Configurations planes
Repérage 10
Pour reprendre contact
Les réponses exactes sont :
7 7 1
1 a.
2 donc AB – 2 .
2 3 3
b. C(2 ; – 1) ; yD = D ; yE = – 3.
2 a. (6 – 3)2 = 32 = 9
b. 62 – 32 = 36 – 9 = 27
c. 32 4 2 9 16 25 5
4 10
2
3 3 5
d.
2 2 3
1 5 3
– –
2 4 4 3
e.
2 2 8
2 2
f. 3 ¥ 2 32 ¥ 2 9 ¥ 2 18
3 a. Hypothèses : Le point K est le milieu du segment [AB] et le point L est le milieu du segment [AC].
Le point L est le milieu du segment [AC].
1
Conclusions : La droite (KL) est parallèle à la droite (BC) et KL BC.
2
b. Hypothèses : Le point E est le milieu du segment [AB] et (EF) // (BC).
1
Conclusions : Le point F est le milieu du segment [AC] donc EF BC.
2
c. Hypothèse : C est un point du cercle de diamètre [AB].
Conclusion : Le triangle ABC est rectangle en C.
d. Hypothèse : K est le milieu du segment [NP] (ou (MK) est une médiane du triangle MNP).
Conclusion : Les triangles MNK et MKP ont la même aire.
e. Hypothèse : Les segments [AD] et [BC] ont même milieu O.
Conclusion : ABDC est un parallélogramme.
f. Hypothèses : [AD) est la bissectrice de l’angle dEAF et [DE) ^ (AE) et (DF) ^ (AF).
Conclusion : DE = DF.
4 a. ABC est isocèle en C.
b. 92 + 122 = 81 + 144 = 225 = 152
ABC est rectangle en B.
137
Activité 1. Coordonnées d’un point
A. 1. Amiens (0 ; 4) ; Rennes (– 8 ; – 2) ; Perpignan (1 ; – 18).
2. a. La Rochelle (– 7 ; – 8).
b. Villes d’ordonnée nulle : Paris, Nancy.
c. Ville de même abscisse que Limoges : Toulouse
d. Ville d’ordonnée maximale : Calais.
3. a. Royan, Chambéry, Grenoble.
b. Lille, Reims, Metz.
c. Perros-Guirec, Saint-Malo, Rennes, Nantes, La Rochelle, Biarritz.
d. Strasbourg, Colmar, Nice.
e. Strasbourg, Colmar, Nice, Perros-Guirec.
f. Limoges, Toulouse, Clermont-Ferrand.
B. a. Vrai b. Vrai c. Vrai d. Vrai
1. AB ( x B – x A )2 ( y B – y A )2
(En effet, dans le triangle ABC rectangle en C, on peut appliquer le théorème de Pythagore ; voir cours p. 246 du manuel).
2. Cette formule est encore valable si xA > xB car xA – xB et (xA – xB)2 = (xB – xA)2.
Il faudrait envisager le cas où yA > yB et enfin les cas où xA = xB , (yA ≠ yB) et yA = yB (xA ≠ xB).
(Le cas où xA = xB et yA = yB donne bien AB = 0).
138
B. 1. a. Les coordonnées trichromatiques de N sont : r = 0,1 ; v = 0,3 ; b = 0,6.
b. Si v = 0,4 et b = 0,1, alors r = 0,5. Les coordonnées du point dans le repère sont : (0,5 ; 0,4).
c. Deux coordonnées suffisent pour représenter une couleur car la troisième est égale à : (1 – leur somme).
2. Le point représentant la couleur cyan a pour coordonnées dans le repère (0 ; 0,5).
3. Toutes les couleurs représentées par des points de la diagonale descendante du carré sont telles que : r + v = 1 (et
donc b = 0).
On peut justifier ces particularités en utilisant par exemple le théorème de Thalès.
1– v 1
On a : d’où 1 – v = r.
r 1
On peut également utiliser un raisonnement sur les angles.
1. ATB est toujours rectangle en T avec AT2 = a2 + y2T, TB2 = b2 + y2T et AB2 = (b + a)2
et a2 + y2T + b2 + y2T = (b + a)2
a2 + b2 + 2y2T = b2 + a2 + 2ab
yT = ab (yT > 0).
2. Pour construire un segment de longueur 12, on peut prendre par exemple OB = 12 et OA = 1 ou OB = 6 et OA = 2
ou OB = 4 et OA = 3.
Exercices
SANS CRAYON, SANS CALCULATRICE 12 Les antécédents de 3 par f sont – 4 et 2.
1 a. 12 ¥ 3 ¥ 3 9 b. 6 ¥ ÊË 1 ˆ¯ 6 ¥ 16 .
3 5 8
13 g(3) = 7
4 3 3
2 a. – 3 + 5 ¥ (– 2) = – 3 – 10 = – 13 14 a. 10 b. 4
5 Ê –3 ˆ 5
b. ¥ – 15 a. 12 b. 18
6 Ë 2¯ 4
3 a. 11 ¥ 32 = 320 + 32 = 352 16 (– 1 ; 5)
b. 9 ¥ 28 = 280 – 28 = 252
17 xA = 5
4 a. 10 % de 400 € = 400 € 10 = 40 € 18 OD = 13
b. 5 % de 300 € = 300 € 100 2 = 15 €
19 AF = 5
5 a. 50 % de 120 € = 120 € 2 = 60 €
ENTRAÎNEMENT
b. 25 % de 200 € = 200 € 4 = 50 € (ou 25 € ¥ 2)
20 a. ABC est un triangle rectangle.
6 a. 6 b. 6 Par le théorème de Pythagore : BC = 5 cm.
b. K et L sont les milieux respectifs de [PQ] et [PR] :
7 a. 2 – 2 b. – 1
RQ = 2LK = 5 cm.
8 a. x2 + 2x + 1 b. x2 – 1 c. (GH) est la médiatrice de [AE] : AEG est isocèle en G,
donc GE = 5 cm, mais on ne peut pas calculer AB.
9 a. 4x2 – 4x + 1 b. 4x2 – 1 d. HDF est rectangle en D : DF = 6 cos 20° (en cm) et
DH = 6 sin 20° (en cm).
10 L’image de 2 par la fonction f est 3.
21 a. EGH est rectangle en E.
11 f (3) = 6 Par Pythagore : EH = 7 cm.
140
b. (EB) et (FD) sont parallèles. Par le théorème de Thalès : La gravure permet effectivement de compter 120,
4 de C à E.
EB = ¥ 3,6 cm = 1,6 cm.
9
AE AF
c. ABD est rectangle en D et O est le milieu de [AB] : 27 (EF) // (BC), donc (théorème de Thalès).
1 AB AC
OD = AB = 2 cm.
2 AF AG
(FG) // (GD), donc (théorème de Thalès).
d. On ne peut pas calculer AF. AC AD
AE AG
On en déduit que .
22 BDEF a 3 angles droits : c’est un rectangle. Donc AB AD
BD = 140 mm. Dans le triangle BCD rectangle en D : A, E, B et A, G, D sont alignés dans le même ordre.
BD 140
sin 54° = donc BC = (en mm) ; BC ª 173 mm. D’après la réciproque de Thalès, (EG) // (BD).
BC sin 54
tan 54° =
BD
donc CD =
140
(en mm). 28 1. D est peut-être le milieu de [AC].
CD tan 54
2. EB = ED, donc EBD est isocèle en E et dEDB = dEBD.
Dans le triangle ABF rectangle en F :
BF Par hypothèse : dEBD = fDBC ; donc dEDB = fDBC.
sin 24° = donc BF = 200 sin 24° (en mm) = DE. Les angles dEDB = fDBC sont alternes-internes et égaux.
AB
AF Donc (ED) // (BC).
cos 24° = donc AF = 200 cos 24° (en mm).
AB E étant le milieu de [AB], on en déduit (pour un
140 théorème des milieux) que D est le milieu de [AC].
On déduit que : CE = CD + DE = + 200 sin 24°
tan 54
(en mm) donc CE ª 183 mm.
29 1. D C
EA = EF + FA = 140 + 200 cos 24° (en mm) E
donc EA ª 323 mm.
39 a. y = 3 b. – 3 x – 1
Pour aller plus loin
40 D’après un théorème des milieux dans le triangle ADP :
a. 5 b. (A¢B¢) // (AB). De même (C¢D¢) // (CD).
y y
x=2 ABCD est un parallélogramme : (AB) // (CD).
4 On en déduit que (A¢B¢) // (C¢D¢).
3 3 On démontre de manière analogue que (A¢D¢) // (B¢C¢)
2 2
x ≥ 0 et y =1 49 1. C est le milieu de [EF].
1 1 2 xG 3 yG
2. a. 3 et 1 d’où G(4 ; – 1).
0 0 2 2
–1 1 2 3 4x 1 2 3 4 5 6 x b. [EF] et [GH] ont même milieu C, donc EGFH est un
parallélogramme.
142
50 1. K ÊË – 2 ; – ˆ¯
11 b. GH = 12 ; GK = 12 ; HK = 2 3 = 12. Donc GHK
6 est équilatéral.
2. K doit être le milieu de [PS], c’est-à-dire :
2 xS – 6 yS
– , soit S Ê – 6 ; ˆ .
11 7 59 1. BD = 32 cm (= 4 2 cm).
– 2 et
2 2 6 Ë 3¯
2. a. ABCD est un carré donc (AB) ^ (AD) et AB = AD.
51 1.
4 b. BD = 2.
A¢
3 c. Ces résultats ne sont pas contradictoires car BD
K (en cm) = 2 ¥ 4 (en cm) = 4 2 (en cm) (ou 32 , en cm).
2
A
1
60 1. MN = 10 ; MP = 5 ; PN = 15.
0 1 2 3 4 5 6 7 8 9
MN + MP = 15 = PN, donc M, N et P sont alignés avec
M Œ [NP].
2. Le point obtenu est le symétrique de A par rapport à
x xA y yA
K car xK et yK .
2 2 61 Demander les coordonnées xA, yA, xB, yB, xC, yC des
52 Voir fichiers sur le site www.didiermathx.com points A, B et C.
Calculer c = (xB – xA)2 + (yB – yA)2.
53 Calculer b = (xG – xA)2 + (yC – yA)2.
Si b = c, alors afficher « ABC est isocèle en A ».
Q Sinon, afficher « ABC n’est pas isocèle en A ».
3
2
P C Pour aller plus loin
1
Demander les coordonnées xA, yA, xB, yB, xC, yC des
–7 –6 –5 –4 –3 –2 –1 0 1 2 3 4 5 6 7 points A, B et C.
D –1
B
–2 Calculer a = (xB – xC)2 + (yB – yC)2.
R
Calculer b = (xC – xA)2 + (yC – yA)2.
–3
A Calculer c = (xB – xA)2 + (yB – yA)2.
–4
S Si a = b ou b = c ou c = a, alors afficher « ABC est isocèle ».
–5
Sinon, afficher « ABC n’est pas isocèle ».
1. Le milieu de [AC] a pour coordonnées (0 ; – 1), tout
comme celui de [BD]. 62 1. AB = 50 ; AD = 45 ; BD = 5 ;
2. b. xP = 2 ¥ (– 2) – 3 = – 7 et yP = 2 ¥ (– 1) – (– 3) = 1 AB2 = AD2 + BD2 ; ABD est rectangle en D.
P(– 7 ; 1). On trouve aussi : Q(– 4 ; 3) ; R(7 ; – 3) et S(4 ; – 5). AC = 65 ; CD = 20 .
AD2 + CD2 = AC2 ; ACD est rectangle en D.
c. Le milieu de [PR] a pour coordonnées : (0 ; – 1) et
celui de [QS] aussi. Donc PQRS est un parallélogramme. 2. BD + DC = 5 20 5 2 5 3 5
et BC = 45 3 5 .
54 a. AB = 169 = 13 b. AB = 20 = 5 3. Dans le triangle ABD rectangle en D
c. AB = 4 = 2 d. AB = 6,1 BD 5
cos fABD = d’où fABD = fABC ª 71,6°.
AB 50
55 Manon a mal placé le carré dans (yB – yA)2. Dans le triangle ACD rectangle en D
CD 20
56 Voir corrigé en fin de manuel. cos gACD = d’où fACD = fACB ª 56,3°.
AC 65
57 1. DE = 272 ; DF = 340 ; EF = 68 .
63 a.
2. DE2 + EF2 = 340 = DF2
D’après la réciproque du théorème de Pythagore, DEF OA = 2 OB = 2 OC = 2,5 OD = 2 OE = 4,0045
est rectangle en D.
OA ≠ 2 B Œ 2 ,5 2 D Œ OE ≠ 2
58 a. GH = 45 ; GK = 45 ; HK = 90. A œ C œ E œ
GH = GK donc GHK est isocèle en G.
GH2 + GK2 = 90 = HK2, donc GHK est rectangle en G. b. 2 2 ; B Œ ; 2 , 5 2 ; D Œ ; E œ ; A Œ et
GHK est donc isocèle rectangle en G. C Œ .
144
3. Les côtés opposés du tapis ont la même longueur. AB2 + BC2 = 20 + 5 = 25 et AC2 = 25. On constate que
Et ses deux diagonales ont pour longueur 85 ¥ 0 , 3 m. AB2 + BC2 = AC2.
17 + 68 = 85 D’après la réciproque du théorème de Pythagore, le
Le tapis est bien rectangulaire. triangle ABC est rectangle en B.
4 4 G 34 ; 1 H0 ; 34
1 1 Travail personnel
79 1. E ; 0 F 1 ; Pour les exercices 84 à 107 : voir corrigés en fin
2. Le milieu de [EG] et celui de [FH] ont les mêmes coor- de manuel.
1 1
données : ; et EF = FG =
losange.
2 2
10
16
. Aussi EFGH est un APPROFONDISSEMENT
108 1.
C¢
5 10 10 20 5
3. EG = et ; EFGH est donc un carré. 5
4 16 16 16 4
4
80 1. a. A A C
2 3
B¢
2
K P M T B
1 1
B L C –3 –2 –1 0 1 2 3 4 5 6
–1
–1 0 1
D A¢
b. B(– 1 ; 0). –2
1 1
c. M ; 1 et K – ; 1 .
2 2
2. M¢ pourrait être l’image de M par une symétrie
axiale.
13
d. CK = BM = . 3. OM = OM¢ = x 2 y 2
4
2. Le symétrique de B par rapport à la droite (AL) est C TM = TM¢ = ( x – 1)2 ( y – 1)2 .
(car ABC est isocèle en A).
4. (OT) est la médiatrice de [MM¢].
Le symétrique de A par rapport à (AL) est A.
Le symétrique de C par rapport à (AL) est B. 5. La transformation géométrique, qui associe à tout
Le symétrique de K, milieu de [AB], par rapport à la droite point M le point M¢, est la symétrie axiale d’axe (OT).
(AL) est le milieu du symétrique de [AB], soit M, milieu de
109 1. (– 4 ; 1) ; (– 4 ; 2) ; (– 4 ; 3) ; etc.
[AC].
Le symétrique de [CK] est donc [BM]. 2. Les points de coordonnées (1 ; 2) ; (– 2 ; – 5) ; (– 5 ; 2)
Par « conservation des longueurs » : CK = BM. et (– 2 ; – 1) semblent appartenir au cercle tracé en vert.
3. A est le point de coordonnées (– 2 ; 2).
81 1. On ne peut pas savoir. Tous les points de la droite tracée en rouge ont pour
2. On ne peut pas savoir. abscisse – 4.
Tous les points du cercle tracé en vert ont leurs
3. On ne peut pas savoir.
coordonnées (x ; y) qui vérifient (x + 2)2 + (y – 2)2 = 9.
4. Oui. Autrement dit le cercle C est le cercle de centre A et de
rayon 3.
82 • Si K milieu de [AB], alors : KA = KB ; K appartient à
la médiatrice de [AB]. AK + KB = AB.
Pour aller plus loin
• Si K appartient à la médiatrice de [AB], alors KA = KB. Si
K appartient à la médiatrice [AB], alors le triangle AKB Les coordonnées des points d’intersection de la droite et
est isocèle en K. du cercle sont les points de coordonnées (– 4 ; 2 – 5) et
• Si KA = KB, alors K appartient à la médiatrice de [AB]. Si (– 4 ; 2 + 5).
KA = KB, alors le triangle AKB est isocèle en K.
• Si le triangle AKB est isocèle en A, alors KA = KB et K
110 A. 1. D C
F J
appartient à la médiatrice de [AB].
Dans le triangle BCD rectangle en C :
1 1
b. A(0 ; 0) B(1 ; 0) D(0 ; 1) C(1 ; 1) O ; CD 1
2 2 tan fCBD =
2 Ê 2 ˆ Ê 2ˆ BC y
AO = donc IÁ ; 0˜ et J Á 0 ; ˜.
2 Ë 2 ¯ Ë 2 ¯ x 1
dAEB = fCBD donc ou encore e = xy.
5 e y
CI2 = – 2
2
5 112 1. Le polygone rouge semble être un octogone
CJ2 = – 2
2 régulier.
IJ2 = 1
2
On en déduit que CIJ est isocèle en C, mais n’est pas 2. a. Les rayons des quatre cercles sont égaux à .
2
équilatéral. Ê 2 ˆ Ê 2 ˆ Ê 2ˆ
b. HÁ1– ; 0˜ K Á ; 0˜ Q Á 0 ; 1– ˜
Le triangle CIJ ainsi construit n’est donc pas solution du Ë 2 ¯ Ë 2 ¯ Ë 2 ¯
problème posé.
2 Ê 2ˆ
c. HK – Á1– ˜ 2 –1
B. 3. • Par construction AE = AF et OE = OF donc (AO) 2 Ë 2 ¯
est la médiatrice de [EF], ou E et F sont symétriques par 2 2 2
Ê 2ˆ Ê 2ˆ Ê 2ˆ
rapport à (AO). A, O, C sont alignés donc (CE) et (CF) sont HQ 2 Á1– ˜ ÁË1– ˜ 2 ÁË1– ˜
Ë 2 ¯ 2 ¯ 2 ¯
symétriques par rapport à (AC).
Ê 2ˆ
• ABCD est un carré donc (AB) et (AD) sont symétriques donc HQ = 2 Á1–
Ë ˜ 2 – 1.
2 ¯
par rapport à (AC).
Conclusion : HK = HQ.
• I et J, comme points d’intersection respectifs de (CE) et
(AB), et de (CF) et (AD), sont donc symétriques par rap- 3. Par symétries successives par rapport aux 4 axes de
port à (AC). symétrie du carré, on obtient à la fois l’égalité des lon-
gueurs et l’égalité des angles du polygone HKNMTSPQ.
4. • AOE est équilatéral, donc fEOA = 60°.
AOF est équilatéral, donc fAOF = 60°.
Donc fEOF = fEOA + fAOF = 120°. 113 F
• C, E, F appartiennent au cercle de centre O (passant
1
par A) donc sECF = dEOF = 60°.
2
On en déduit que oICJ = sECF = 60°.
Conclusion : • I et J sont symétriques par rapport à (AC), D C
donc IC = JC.
• oICJ = 60°. Donc CIJ est un triangle isocèle ayant un O
angle de 60°.
Donc CIJ est équilatéral. Le triangle CIJ ainsi construit
est solution du problème posé. A B E
146
F 117
4 B
3
H
2
D C
G 1
A
O –5 –4 –3 –2 –10 1 2 3 4
K –1
–2
A B E –3
–4 C
1 1
B(1 ; 0) C(1 ; 1) D(0 ; 1) T ;
2 2
Ê 1 3ˆ Ê 1
A(– 1 ; 0) B(1 ; 0) D Á ;
Ë 2 2 ˜¯ ÁË 2
E ;–
3ˆ
˜
2 ¯
1
K ; 0 L 1;
2
1
2
1
P ;1 S0;
2
1
2
DE = AD = AE = 3 ; donc ADE est équilatéral.
Sans repère :
124 1. Voir fichiers sur le site www.didiermathx.com • D est un point de la médiatrice de [OB], donc DO = DB.
3. Le point K semble décrire un segment parallèle à • D Œ d’où DO = OB donc DOB est équilatéral.
[BC]. • De même, EOB est équilatéral.
1 1
4. a. x appartient à [0 ; 1]. • fDAE = gDOE = ¥ 60° ¥ 2 = 60°.
2 2
b. K
x 1
;
2 2 • E est le symétrique de D par rapport à [AB] ;
donc AD = AE.
c. K décrit le segment porté par la droite d’équation Conclusion : ADE est un triangle isocèle ayant un angle
1
y = ayant pour extrémités les points d’abscisses O et de 60°. ADE est équilatéral.
2
148
129 English corner
J
4
C B 133 point/intersecting/origin/coordinate/coordinates
3
134 AB2 = AC2 = 8 – 4 2
2 BC2 = 16 – 8 2
ABC est un triangle isocèle rectangle en A.
1
D A I 135 B
–4 –3 –2 –1 0 1 2 3 4
J
–1
A
Dans le repère (O, I, J), pour des raisons de symétrie :
1
si A(x ; 0), B(x ; 2x) et x2 + (2x)2 = 1(x > 0) d’où x = . b
5
8
Le côté du carré jaune et donc cm ª 3 , 6 cm . I
5
130 M2010(503 ; 503) car 2010 = 4 ¥ 502 + 2.
C
131 Un segment ayant pour extrémités 2 points, dont O
au moins une des deux coordonnées n’a pas la même
parité, a un milieu qui « ne tombe pas » sur un nœud du 5 8
A et B ne sont pas sur la même droite car (25 ≠ 24).
quadrillage. 3 5
C’est possible avec 3 ou 4 points, mais impossible avec La droite (AB) coupe l’axe des ordonnées au point C
5 points. d’ordonnée 0,5.
L’aire de AOB est donc égale à :
132 0,5 ¥ 3 0,5 ¥ 5
Aire(COB) – Aire(COA) = – 0 , 5.
2 2
Aire(AOB) 1
L’aire de IAJ = .
4 8
4r
4r
3r
r ?
r
I J
E F 3 cm
4 cm
L 7 cm K
150
2. Le solide S2 a 7 faces.
I1 J1
1 cm
H G
6 cm
D 7 cm C
4 cm
A B
2 cm
L K
5 cm
I2 J2
TP 1. La pyramide du Louvre
1. E
A
B
O
C D
2. La hauteur de la pyramide sur le patron sera 6 cm. On doit utiliser comme échelle 1/350.
O
6 cm
A
A 10 cm B O
TP 4. En sortant du solide
Voir fichier sur le site Internet www.didiermathx.com
A. IJK semble être rectangle en J.
B. 1. P est aligné avec E et F (et I et J) : la droite (IJ) n’est pas parallèle au plan (HEF) I n’appartenant ni à (HEF) ni à (ABC),
elle est sécante au plan (HEF) en un point P.
Les points I, J, E et F étant coplanaires car ils appartiennent tous au plan (ABF), les droites (IJ) et (EF) sont coplanaires.
Dans le plan (ABF), (IJ) et (EF) ne sont pas parallèles car la parallèle à (EF) passant par I est (AB) et J n’appartient pas à
(AB). Donc (IJ) et (EF) sont sécantes en P.
2. b. Dans le plan (ABF) :
P appartenant à (EF), (PE) // (IB) (propriété du cube).
P appartenant à (IJ), (PI) // (EB) (théorème des milieux appliqué dans le triangle ABE).
IPEB a ses côtés opposés parallèles deux à deux, IPEB est donc un parallélogramme.
On en déduit que IP = EB = 4 2 cm.
1 1
c. Par un théorème des milieux appliqué dans le triangle ABE, IJ = EB, soit IJ = IP.
I, J, P étant alignés, on en déduit que J est le milieu de [IP]. 2 2
3. a. En raisonnant d’une manière analogue dans le plan (EFG), on démontre que EPKG est un parallélogramme et que
KP = EG = 4 2 cm.
b. AIKH est un quadrilatère non croisé contenu dans le plan (ABG) car (AI) // (HK), toutes les deux étant parallèles à (EF).
De plus, AI = HK car I est le milieu de [AB], K est le milieu de [HG], et AB = HG. On en déduit que AIKH est un parallélo-
gramme et que IK = AH = 4 2 cm.
4. KP = PI = IP = 4 2 cm ; KPI est équilatéral. J étant le milieu de [IP], (KJ) est la médiatrice de [IP] :
IJK est donc rectangle en J.
152
TP 5. Intersections de plans
2. W appartient au plan (DCG) parallèle au plan (ABF), et distinct de (EBF).
3. V et W sont deux points communs à (BCG) et à P. (BCG) et P sont donc sécants suivant la droite (VW).
4. U et V sont deux points communs à (ABF) et à P. (ABF) et P sont donc sécants suivant la droite (VW).
5. a. W est un point commun à P et à (DCG).
b. (ABF) et (DCG) étant parallèles, l’intersection de P avec (DCG) est la parallèle à (UV) passant par W et qui coupe (HG)
en un point X.
6. La section du cube par le plan P est le quadrilatère UVWX.
H X
G
E
F
U
D W
C
V
A
B
Exercices
2 a. 3,7 ¥ 10 = 37 b. 7,5 ¥ 6 = 45
3 a. 20 b. 5 c. 4 d. 36
2,8 cm
11 Le volume du nouveau récipient est 48 m3.
40°
12 2,50 m3 (0,6 ¥ 0,6 ¥ p ª 1) A 4 cm B
A
D C D H1
2 cm
H2
60°
27 1. A 7 cm B
ou
4 cm
21 a. b.
D H C
2. BH = 32 cm = 4 2 cm ª 5,7 cm
28 1.
250 cm 200 cm
22 a. A b. A 300 cm
3 ¥ 0 ,5
C
2. A ( 4 3 ) ¥ 2 ¥ 2 ¥ 2 - 2 , 2 ¥ 2 25,1
C 2
L’aire des parois latérale sans la porte est 25,1 m2.
B B 3 ¥ 0 ,5
3. V ( 3 ¥ 2 ) ¥ 4 27
D D 2
Le volume du garage est 27 m3.
23 C D 4. A¢ = 1, 52 0 , 52 ¥ 4 0 , 5 0 , 3 ¥ 2 15 ,1º
L’aire du toit est 15 m2 au m2 près.
B E
29 Voir corrigé à la fin de manuel.
24 A 3 ; B 1 ; C 4 ; D 2. 2.
25 Il existe 11 patrons non superposables d’un cube.
4 cm
154
31 1. 35 D’après le théorème de Thalès appliqué au
IJ EI 27
2 cm triangle ABE, , soit IJ = cm.
AB EA 7
4 cm × pª12,57 cm 1 27
¥ ¥3¥ 6
2 7
8 cm 243
Le volume de EIJHLK est égal à cm3.
7
36 1. GD = 32 cm = 4 2 cm. Le périmètre de BDG
est 12 2 cm.
2. GK = 2 6 cm. L’aire de BGD est 8 3 cm2.
3. L’aire de CDG est 8 cm2. Le volume du tétraèdre
3. L’aire latérale de la boîte est 40p cm2 et son volume 32
CBGD est cm3.
est 40p cm3. 3
Aire de la boîte = Aire du rectangle. 4. La hauteur issue de C dans ce tétraèdre est
4
= 2 ¥ pr2 + 2pr ¥ h = pr2 (r + h) cm ª 2,3 cm au mm près.
= p ¥ 22 (2 + 8) = 40p. 3
= pr2 ¥ h = p ¥ 22 ¥ 8 = 32p.
37 Voir fichier sur le site Internet www.didiermathx.com
32 1. S M n’appartient pas au plan (ACD) : les points M, N et P
ne sont pas alignés.
4 4
33 1.
¥ p r 3 p ¥ 353 40 Voir fichier sur le site Internet www.didiermathx.com
3 3
a. (MN) et (AC) sont coplanaires, et dans la position
p
Le volume du cône est égal à 171 500 ¥ cm3, soit dessinée de M et de N, elles sont sécantes.
3
179 594 cm3 au cm3 près. b. (BF) et(HM) ne sont pas coplanaires car H œ (ABF).
2. a. Le rayon du cône est 21 cm. 41 Voir fichier sur le site Internet www.didiermathx.com
1 1
b.
¥ p r 2 ¥ h ¥ p ¥ 212 ¥ 28 . 2. Les points I, J, K et L semblent coplanaires, IJKL
3 3
semble être un trapèze.
Le volume du cône est égal à 4 116p cm3, soit 12 931 cm3
au cm3 près. c. (IJ) est une médiane du rectangle ABCD et (LK) est
une droite des milieux du triangle ADS.
34 Voir corrigé à la fin du manuel. Ces deux droites sont parallèles à la droite (AD).
156
50 1. L’intersection de ABFE avec (TSP) est (SP). L’intersec-
tion de CGHD avec (TSP) est la parallèle à (SP) passant
H par T.
G
R
E 2. (SP) et (FB) sont coplanaires. Dans le plan (ABF), (SP)
L et (FB) ne sont pas parallèles car la parallèle à (FB) pas-
F
D T sant par S est (EG) et P n’appartient pas à (AE). (SP) et
(FB) sont donc sécantes en un point V.
C
3. T et V font partie de la face FBCG, appartenant au
A
B plan (TSP) : la section de la face FBCG par (TSP) est donc
Les points A, C, R, L sont coplanaires car ils appartiennent le segment [TU] de la droite (TV) contenu dans la face
tous au plan (ACG). Les droites (AC) et (RL) sont donc FBCG.
coplanaires. Dans le plan (ACG), (AC) et (RL) ne sont pas 4. La section du cube par le plan (TSP) est le quadrila-
parallèles car la parallèle à (AC) passant par R est (EG) et tère STUP.
G n’appartient pas à (RL).
Pour les exercices 58 à 81 : voir les corrigés en
Donc (AC) et (RL) sont sécantes en un point T.
fin de manuel.
Alors la droite (RL) et le plan (ABD) ont le point T en
commun. R n’appartient pas à (ABD), aussi la droite (RL)
APPROFONDISSEMENT
n’est pas contenue dans le plan (ABD), elle est donc
sécante au plan (ABD) au point T. 82 Voir fichier sur le site Internet www.didiermathx.com
51 Voir fichier sur le site Internet www.didiermathx.com
3. (IJK) et (BCD) sont parallèles car les droites (IJ) et (JK)
sécantes en J sont respectivement parallèles aux droites
(BC) et (CD) sécantes en C.
4. Les points I, K, B, D sont coplanaires car ils appartien-
nent au plan (ABD). Les droites (IK) et (BD) sont donc
coplanaires. (IK) est la droite d’intersection des plans
(IJK) et (ABD). (BD) est la droite d’intersection des plans 1 4 1 4
(BCD) et (ABD). Les plans (IJK) et (BCD) étant parallèles, 83 1. Vigloo ¥ p r 3 ¥ p ¥ 23 ; 16,755m3 .
2 3 2 3
ils coupent le plan (ABD) selon des droites parallèles, 1 1
2. a. Vtipi ¥ p ¥ r ¥ h ¥ p ¥ 2 2 ¥ 4 ; 16,755m3.
2
donc (IK) et (BD) sont parallèles. 3 3
b. L’apothème du cône est 20 m, ou 2 5 m.
52 Voir fichier sur le site Internet www.didiermathx.com La longueur de la base du tipi étant égale à pd soit 4p m,
et voir corrigé à la fin du manuel. 360
l’angle au sommet du patron est égal à ª 161°.
5
53 Voir fichier sur le site Internet www.didiermathx.com
L’aire minimale de toile nécessaire pour fabriquer le tipi est
T peut être un triangle, un quadrilatère, un pentagone
donc pr ( r a ) p ¥ 2 ( 2 2 5 ) 28 ,10 m2 ; 29 m2.
ou un hexagone.
1
3. a. Vyourte ª 33,510 m3 (p ¥ 2 2 ¥ 2 + ¥ p ¥ 22 ¥ 2 )
54 Voir fichier sur le site Internet www.didiermathx.com 3
Remarque : La yourte a un volume double de celui de
2. Les plans (MNP) et (ABF) sont sécants suivant la
l’igloo ou du tipi.
droite (NP).
b. L’aire latérale de la partie cylindrique de la yourte est
3. Les plans (ABF) et (DCG) sont parallèles (propriété du
égale à 8p m2.
cube).
En utilisant la même démarche que pour le 2.b, l’aire
4. Le point M est commun aux plans (DCG) et (MNP). latérale de la partie conique de la yourte est égale à
Leur droite d’intersection est la parallèle à (NP) passant 8 2
m . L’aire minimale de toile nécessaire pour fabriquer
par M.
2
55 Voir fichier sur le site Internet www.didiermathx.com la yourte est donc environ égale à 43 m2 (ou 42,91 m2).
56 Voir fichier sur le site Internet www.didiermathx.com 84 1. a. O est le centre d’un hexagone régulier :
OA = OB et O’ est le centre d’un pentagone régulier :
57 Voir fichier sur le site Internet www.didiermathx.com O’A = O’B.
1 2 P Q
3. Dans le triangle BEG, PL = EB = N
2 2
M
4. a. ALM est un triangle rectangle en M. D
C
2 E B
ML 4 1 F
b. Dans le triangle ALM, sin h LAM ;
AL 3 2 3
d’où hLAM ª 16,78°
2
c. dPAL ª 33,6°.
86 1. Un prisme droit ayant pour base un polygone à 91 Voir fichier sur le site Internet www.didiermathx.com
n côtés a n 2 faces, 3 n arêtes et 2 n sommets. H M G
2. Une pyramide ayant pour base un polygone à n
côtés a n 1 faces, 2 n arêtes et n 1 sommets. E F
N
87 V cylindre = 25 p hV parallélépipède = 30 h D
2
1 Ê h ˆ h3
Vcône = ¥ p Á h=p C
3 Ë 3 ˜¯ 9
A
P B
158
92 Les droites (JK) et (GH) sont coplanaires, sécantes forme des faces, la hauteur d’une pyramide est la hauteur
en un point L appartenant à la fois au plan (IJK) et au 2
d’un des triangles rectangles isocèles, soit dm.
plan (DCG). Les droites (IJ) et (DH) sont coplanaires, 2
(admis)
sécantes en un point M appartenant lui aussi à la fois au
plan (IJK) et au plan (DCG).
Les plans (IJK) et (DCG) sont sécants suivant la droite
(KL).
M 1 dm
L G
J H
F
E
I K
Le volume du conditionnement, en cm3, est donc
1 2 2
¥ 2 ¥ 1¥ ¥2, soit cm3.
D 3 2 3
3
C 97 OO1 = (en cm) ;
sin 36
2
A B Ê 3 ˆ
OO’ = 6 2 - Á (en cm)
Ë sin 36 ˜¯
93 La distance entre les deux boules jaunes est donc égale
Ê 3 ˆ
(en cm) à : 2 ¥ 6 2 - Á ≈ 3 mm.
Ë sin 36 ˜¯
1 4 ,5 ¥ 3
98
¥ ¥49
3 2
99 1. Les 3 côtés du triangle IJK ont pour longueur la
moitié de celle d’une diagonale d’une face du cube.
a 2
2. IK
2
IB ¥ IK a2
3. L’aire du triangle BIK est : .
94 1. A
2 8
a3
4. Le volume du tétraèdre BIJK est .
B 48
5. L’aire du triangle IJK est :
2
1 a 2 a 2 3 a2 3 3 Êa 2ˆ
¥ ¥ ¥ (ou ¥Á ˜ )
C 2 2 2 2 8 2 Ë 2 ¯
On en déduit que la hauteur du tétraèdre issue de B a
2. A 80 B a
pour longueur .
2 3
137 5
160
c. Si deux droites ont le même coefficient directeur, alors elles sont parallèles.
3. Deux droites sont parallèles si et seulement si elles ont le même coefficient directeur.
Abscisse de M 1 2 2 4 4 3 –5
Abscisse de N –3 –2 –3 1 –2 –3 –1
Coefficient directeur de (MN) –2 0 –1 5 2 0 –6
Ordonnée à l’origine de (MN 3 4 6 –4 8 9 –5
C
4
K
D 2
1 B
–4 – 1 L1 2 5
2. a. On donne les points A(– 4 ; – 2), B(5 ; 1), C(2 ; 4) et D(– 4 ; 2). Le droites (AD) et (BC) se coupent en E.
Questions
Q1 : Les droites (AB) et (CD) sont-elles parallèles ?
Q2 : Quelles sont les équations réduites des droites (AD) et (BC) ?
Q3 : Quelles sont les coordonnées du point E ?
Q4 : Déterminer les coordonnées des points K et L, milieux des segments [CD] et [AB].
Q5 : Montrer que E, K, L sont alignés.
b. Réponses
R1 : (AB) // (CD)
R2 : (AD) : x = – 4 et (BC) : y = – x + 6
R3 : E(– 4 ; 10)
1 1
R4 : K(– 1 ; 3) et L ; –
2 2
R5 : E, K, L sont alignés.
3. a. b. Voir fichiers sur le site www.didiermathx.com
B. Voir fichiers sur le site www.didiermathx.com
162
Exercices
SANS CRAYON, SANS CALCULATRICE 20 1. a. b = 2
2 b. A(0 ; 2)
1 0 , 4 40 %
5
2. a. a = 3
3 4 1 12 2
2 a. ¥ – – 1 b.
2 5 5 10 10
5 2 7 5 7 1
b. – ¥ –
3 3 4 3 6 2 A
×3
3 a. –(– 3 )2 – 9 1
b. –( 5 )2 – 5
0 1
d
4 2(– 3)2 = 18
14 x(x + 5)
24 Il suffit de trouver deux points distincts de chaque
3 droite.
15 a 3
1 a. d1 = (AB) avec A(0 ; 3) B(1,5 ; 0)
16 y = 2x b. d2 = (CD) avec C(3 ; 0) D(3 ; 3)
8 c. d3 = (OE) avec O(0 ; 0) E(2 ; – 2)
17 a 4
2
d. d4 = (FG) avec F(0 ; 3) G(2 ; 3)
ENTRAÎNEMENT
25 y
18
Cas 1 Cas 2
1. 4 3 H F
G
2. a. Dx = 1 Dx = 3 J
D
Dy = 1 Dy = – 6
b. a = 1/1 = 1 a = – 6/3 = – 2 E I 4 x
3. y=x+4 y = – 2x + 3 A
B
19 d1 : y = – x – 2
C
d2 : y = 4x – 5
1
d3 : y = – x + 4
3 d1 = (AB) avec A(0 ; – 1) et B(3 ; – 2)
d4 : y = x + 3 d2 = (CD) avec C(0 ; – 4) et D(4 ; 0)
d5 : y = – 2 d3 = (EF) avec E(– 4 ; 0) et F(0 ; 2)
d6 : y = 3 d4 = (GH) avec G(0 ; 1,5) et H(– 5 ; 1,25)
J 34 1. a. Schéma :
S
0 I 2 x
B
Dy = – 2
N
Dx = 2
Dx = – 1 n
R
N¢
2. M(– 6 ; 10) Œ d car 10 = – 2(– 6) – 2 est vrai. b. c. RNN¢ est un triangle isocèle. (Rn) est une média-
trice donc une bissectrice de kRNN¢. Comme fnRN + fNRS
27 d : y = 4x + b = 90° on en déduit kBRN¢ = 2fnRN + 2fNRS = 180°.
B(1 ; – 1) Œ d donc – 1 = 4 + b ; b = – 5. D’où d : y = 4x – 5.
Cela prouve que B, R et N¢ sont alignés.
28 Voir corrigé en fin de manuel. 2. a.
G F
29 Voir corrigé en fin de manuel. 8
30 1. K(4 ; – 1) 6 B
2. CA ( 3 – (– 2 ))2 ( 2 – (– 3 ))2 5 2 4
CB ( 5 – (– 2 ))2 (– 4 – (– 3 ))2 5 2 N
2
Dy 2 1 J
3. Le coefficient directeur de (CK) est a , R
1 Dx 6 3 0
D
d’où (CK) : y x b . I 2 4 6 8 10 12 14 16 18
3 2
Le passage par C(– 2 ; – 3) donne – 3 = – + b, soit : N¢
7 1 7 3
b = – . D’où (CK) : y x – . b. B(5 ; 5) N(14 ; 3)
3 3 3
3. On construit N¢, le point symétrique de N par rapport
La médiatrice de [AB] est l’ensemble des points à (OD). La droite (BN¢) coupe (OD) en R.
équidistants de A et de B. Or K et C sont équidistants de
4. a. N(14 ; 3) d’où N¢(14 ; – 3).
A et de B, d’où (KC) est cette médiatrice.
b. B(5 ; 5) ; N¢(14 ; – 3).
–8
31 a. y = x + 4 Le coefficient directeur de la droite (BN¢) est a d’où
–8 9
b. y = 2x + 2 (BN¢) : y = x+b
9
–40 85
1 Le passage par B(5 ; 5) donne S = + b d’où b .
32 a. y = x + 2 –8 85 9 9
2 D’où (BN¢) : y x .
4 5 9 9
b. y = – x +
3 3 c. R est le point de (BN¢) d’ordonnée y = 0. Son abscisse
8 85 85
33 1. E(3 350 ; 1 085) x est telle que – x 0 soit x .
9 9 8
2. a. La dénivelée entre A et E est de 85 m.
b. a
Dy
85
17
Conclusion : R
85
8
;0
Dx 3 350 670 35 1. a.
L’ordonnée à l’origine de la droite (AE) est 1 000, d’où
17 1€ 8 6 4 2 0
l’équation réduite de (AE) : y x 1 000
670 2€ 0 1 2 3 4
17
c. xB¢ = 1 000 d’où yB¢ = ¥ 1 000 + 1 000 b. (8 ; 0) (6 ; 1) (4 ; 2) (2 ; 3) (0 ; 4)
670
yB¢ ª 1 025,37 c. Les points représentant ces solutions semblent alignés.
17
xC¢ = 1 300 d’où yC¢ = ¥ 1 300 + 1 000 2. a. Le montant est : x + 2y (€)
670
164
b. x + 2y = 8 41 d : y = 3x – 4
c. On a observé que les couples (x ; y) qui sont solutions Toute droite parallèle à d a une équation de la forme
du problème, donc qui vérifient x + 2y = 8 ou encore y = 3x + b.
1 a. Celle qui passe par E(0 ; – 2) a pour ordonnée à l’ori-
y = – x + y sont les coordonnées de points de cette
2 gine b = – 2 d’où y = 3x – 2.
droite. D’où leur alignement.
b. De même y = 3x + 3.
166
54 1. 57 C
d¢
J H
2
O
–4 –2 I J W
–2 –1 I 3 8
A –2 B
K
1. a. K(3 ; – 2)
b. Comme (AB) est parallèle à l’axe des abscisses, la
médiatrice de (AB) est parallèle à l’axe des ordonnées,
E et passe par K. Une équation de d est donc x = 3.
– 11
2. a. BA = xB – xA = 10
BC = 2 - 82 6 - - 22 = 10
B appartient donc à la médiatrice de [AC].
d : y = 2x – 1 x 0 –2
b. H(0 ; 2)
y –1 –5
c. d¢ = (BH) ; (BH) a pour coefficient directeur
4 1
d¢ : y = 3x + 4 x 0 –2 a= =–
-8 2
y 4 –2 et pour ordonnée à l’origine, l’ordonnée de H, soit b = 2.
1
Une équation de d¢ est donc y = – x + 2.
2
2. d et d¢ ont pour coefficients directeurs 2 et 3. 3. a. Les coordonnées (x ; y) de W vérifient les équa-
Comme 2 3, d et d¢ ne sont pas parallèles et sont donc 1
tions x = 3 et y = – x + 2.
sécantes. 2
3. Le point d’intersection A des droites d et d¢ a des
1
Pour x = 3 on a y = et donc W 3 ;
2
1
2
coordonnées x et y vérifiant y = 2x – 1 et y = 3x + 4. b. W est le centre du cercle circonscrit au triangle ABC.
x est donc tel que 2x – 1 = 3x + 4 soit x = – 5.
En reportant dans l’une des équations on obtient 58 1. D(4 ; 1) E(0 ; 3) F(– 2 ; 1)
y = 2(– 5) – 1 = – 11. 2. • Équation de (AE) :
Donc E(– 5 ; – 11). (AE) non parallèle à l’axe des ordonnées a pour équation
6
y = ax + b avec a = = – 3 et b = 3 (ordonnée à l’origine
-2
55 Voir corrigé en fin de manuel. donnée par le point E(0 ; 3)).
D’où (AE) : y = – 3x + 3.
56 1. E(5 ; 5) F(0 ; 3) • Équation de (BF) :
2. (OE) : y = x -6 3
De même, a = = et b tel que 5 = 6a + b (passage
(AD) : y = – x + 8 -8 4
1 3 1
(BF) : y = x + 3 par B) d’où b = 5 – 6 ¥ = .
4 4 2
3. (OE) et (AD), non parallèles, se coupent en un point 3 1
On obtient (BF) : y = x + .
y x 4 2
K(x ; y) tel que Ì • Équation de (CD) :
Óy - x8
C et D ont même ordonnée : 1.
• x vérifie donc x = – x + 8 d’où x = 4. Une équation de (CD) est y = 1.
• L’équation 1 ou 2 donne alors y = 4.
3. Intersection de (AE) et (CD) :
On a donc K(4 ; 4).
Ces droites sont sécantes (coefficients directeurs
Il reste à vérifier que K Œ (BF).
1 différents – 3 et 0). Les coordonnées (x ; y) de leur point
C’est bien le cas car 4 = ¥ 4 + 3 est une égalité vraie.
4 d’intersection I vérifient y = – 3x + 3 et y = 1.
61 A. 1. A(0,5 ; 0) G(3,5 ; 3)
3
• Coefficient directeur de (AG) : a = = 1
2 N 3
d’où (AG) : y = x + b.
1
E T • A appartient à cette droite : O = 0,5 + b d’où b = – 0,5.
0 1 6 10 12 Une équation de (AG) est y = x – 0,5.
2. • B est le point d’intersection de (AG) et de (IK) dont
0-8 4 une équation est x = 1.
2. (BT) a pour coefficient directeur a = =– ;
10 - 0 5 y x - 0,5 x 1
On résout
l’ordonnée à l’origine est l’ordonnée du point B, x 1 y 0,5
soit b = 8. d’où B(1 ; 0,5).
4 • C est le point d’intersection de (AG) et de (IL) dont une
D’où (BT) : y = – x + 8.
5
équation est y = 1.
3. • Cherchons une équation de (RE).
8-0 8 4 y x - 0,5 x 1,5
Son coefficient directeur est : a¢ = . On résout Ì Ì y 1
12 - 6 6 3 Ó y 1 Ó
4 d’où C(1,5 ; 1).
(RE) a donc une équation de la forme y = x + b¢.
3 • On obtient de même D(2 ; 1,5), E(2,5 ; 2) et F(3 ; 2,5)
Le passage par E(6 ; 0) donne alors : On peut vérifier que ces points sont tous les milieux
4
O = ¥ 6 + b¢ d’arêtes du cube.
3 xI xK yI yK
d’où b¢ = – 8. Par exemple, xB = et yB = .
4 2 2
Il en résulte que (RE) a pour équation y = x – 8.
3 B. M D L
• Les coordonnées de N s’obtiennent en résolvant le
E
4 4 4
Ôy - 5 x8 Ô x-8 - 5 x8 N C
système Ì soit Ì 3
Ôy 4 x-8 Ôy 4 x-8 J K
S
Ó 3 Ó 3 F
32
Ô x 16 B
15
Ôx 15
soit Ì 15 soit Ì 2 . D’où N ;2 . O A I
4
Ôy x-8 ÔÓ y 2 2
Ó 3
152 - 12
2 sécantes en S. Les points A, B, C et D sont donc
81
RN = 2 - 82 = 36
4 coplanaires.
225 15 • Comme (ED) // (AB) et (EF) // (BC), E, puis F,
= =
4 2 appartiennent aussi à ce plan (ABCD).
168
62 1. Oui 67 Graphiquement, on lit Veq = 13.
2. Le point I(4 ; – 2) est le point d’intersection des droites. Algébriquement :
d : y = – 2x + 6 et d¢ : y = x – 6. • une équation de la droite passant par (0 ; 22,4) et
1, 4
(10 ; 21) est y = ax + b avec a = = – 0,14 et b = 22,4,
63 a. Le couple solution est le couple des coordon- c’est-à-dire y = – 0,14x + 22,4.
– 10
nées du point d’intersection de d4 et d1. On lit (x ; y) = (5 ; 2). • la droite passant par (20 ; 30,6) et (24 ; 36,2) a pour
b. Idem avec d1 et d2 : 5 ,6
équation y = a¢ + b¢ avec a¢ = = 1,4.
(x ; y) = (4 ; 1) 4
L’équation devient y = 1,4x + b. Le passage par (20 ; 30,6)
c. Idem avec d3 et d1 : donne 30,6 = 1,4 ¥ 20 + b ; b = 2,6.
(x ; y) = (2 ; –1) D’où l’équation y = 1,4x + 2,6.
d. Idem avec d3 et d4 : Veq est l’abscisse du point d’intersection des droites
(x ; y) = (1 ; 2) d’équations y = – 0,14x + 22,4 et y = 1,4x + 2,6.
x = Veq est donc solution de l’équation
64 y
1,4x + 2,6 = – 0,14x + 22,4
7 19 , 8
1 x+ 2 1,54x = 19,8 ; x = ª 12,9
4 1, 54
B y= 2
3 68 1. La distance qui sépare les 2 villes est 160 km.
3
x–
–3
–2
160 3
2x
160 ¥ 96 km.h – 1.
x+
y=
2 5
1
3
3
a. Le couple solution (2 ; – 1) (en trait plein). 3. Leur croisement aura lieu environ 66 minutes après
b. Le couple solution (– 1 ; 3) (en pointillé). le départ de l’automobiliste « rouge » et 46 minutes
après le départ de l’automobiliste « bleu ». Cela se pro-
y x – 3 y x – 3 duira à environ 88 km de A et 72 km de B.
65 a. Ì Ì
Ó2 x y 3 Óy 2 x 3 4. Les équations des droites « rouge » et « bleue » sont :
x 2 y
–160
x 160 et y
160
Ì ( 2 ; – 1)
120 100
( x – 20 )
Óy – 1
y x – 3 y x – 3 La résolution du système donne x ª 65,45 minutes et
Ì Ì y ª 72,72 km en accord avec la lecture.
Ó x – 3 – 2 x 3 Ó3 x 6
x – 2 y – 7 x 2 y – 7 69 Géométriquement :
b. Ì Ì
Ó2 x y – 5 Ó2 ( 2 y – 7 ) – y – 5 Par le théorème de Thalès,
AS AC
soit
AS 2
,
x 2 y – 7 x – 1 AN AH 5 10
2 2 5
Ì Ì (– 1 ; 3 )
2 125 2¥5 5
Ó3 y 9 Óy 3 d’où AS . AS 2 5
5 5
66 1. Un réglage possible de la fenêtre est : D’où SN = AN – AS = 5 5 – 2 5 3 5
xmin = – 5 Dans un repère orthonormé :
xmax = 80 Si I et J sont les points de [NH] et [NR] tels que NI = NJ = 1,
ymin = – 5 le repère (N, I, J) est orthonormé.
ymax = 30 Dans ce repère : N(0 ; 0), A(10 ; 5).
1
En zoomant et à l’aide de la fonction TRACE , on peut Une équation de (AN) est y = ax avec a ; d’où (AN) :
2
lire x ª 60 et y ª 23 1
y x . Une équation de (EC) est y = 3.
2. 2
Les coordonnées de S, point d’intersection de (AN) et
x 0 , 4 x – 1 0 , 4 x – 1 0 , 3 x 5 0 ,1 x 6
Ì Ì Ì Ô y 1 x
Ó y 0 , 3 x 5 Ó y 0 , 3 x 5 Óy 0 , 3 x 5 (EC) vérifient Ì 2
x 60 ÔÓ y 3
Ì
Ó y 23 D’où S(6 ; 3) puis NS 6 2 32 45 3 5 .
Ce résultat est en accord avec la lecture graphique. L’unité graphique étant 1 cm, on a donc NS = ED cm.
8 2 10 2x = 56
On a donc DE 22 et DB 8 2 6 2 10. x = 28
3 3
E se situe donc au tiers du segment [DB] en partant de D. En reportant dans : x + y = 71 on obtient y = 43.
Les faces carrées du paquet ont pour côté 28 cm ; les
71 Soient x et y les notes de Julie à l’épreuve écrite et faces rectangulaires ont pour dimensions 28 cm et
6x4 y 6y4 x 43 cm.
orale. On a 9 et 10 .
10 10
C’est-à-dire 6x + 4y = 90 et 4x + 6y = 100 75 • Si K est le milieu de [AB], alors B est le symétrique
ou encore 3x + 2y = 45 et 2x + 3y = 50. de A par rapport à K.
3x + 2y = 45 équivaut à 6x + 4y = 90 • Si B est le symétrique de A par rapport à K, alors K est
2x + 3y = 50 équivaut à – 6x – 9y = – 150 le milieu de [AB].
En ajoutant : – 5y = – 60 ; y = 12. 76 A
D’où en reportant dans une équation : x = 7.
Julie a donc obtenu 7 à l’écrit et 12 à l’oral.
72 1,2x
B H M C
0,8y • Si M est le milieu de [BC], alors :
y AH ¥ BM
aire ABM
2
AH ¥ BC
x 4
AH ¥ MC
1. On suppose x 0, y 0 et x y. aire AMC
2
On a : 2x + 2y = 20 AH ¥ BC
De plus 2(1,2x + 0,8y) = 1,1 ¥ 20 4
2 x 2 y 20 et (AM) partage donc le triangle ABC en deux triangles
On résout donc Ì de même aire.
Ó2 , 4 x 1, 6 y 22
x y 10 • Si ABM et AMC sont des triangles de même aire, alors
Soit encore Ì AH ¥ BM AH ¥ MC
Ó1, 2 x 0 , 8 y 11 on a : d’où BM = MC d’où M est le
2 2
y 10 – x y 10 – x x 7 , 5 milieu de [BC] (car M Œ [BC]).
Ì Ì Ì
Ó1, 2 x 0 , 8 ( 10 – x ) 11 Ó0 , 4 x 3 Óy 2 , 5 L’équivalence est donc vraie.
170
77 1. (A) est fausse car 0(0 ; 0) est un point du plan = 1. Les aires de ABM et BCM sont donc égales si et seule-
mais 0 = 3 ¥ 0 – 5 est faux (contre-exemple). y2 ¥1 (( 1– x )2 ¥ 1
ment si c’est-à-dire y2 = (1 – x)2.
(B) est vraie car E(9 ; 1) est un point du plan tel que 2 2
1=3¥2–5 b. y2 = (1 – x)2 équivaut à [y + (1 – x)] [y – (1 – x)] = 0
(C) est vraie car 0(0 ; 0) est un point du plan tel que soit (y – x + 1) (y + x – 1) = 0
0≠3¥0–5 soit y = x – 1 ou y = – x + 1
Les points M(x ; y) cherchés sont donc ceux appartenant
2. La négociation de (A) est « Il existe au moins M(x, y)
à l’une ou l’autre des droites d : y = x – 1 et d¢ : y = – x + 1.
du plan tel que y ≠ 3x – 5.
On reconnaît en d¢ la droite (BD) et en d, la droite
78 1. Non. Contre-exemple : (1 + 1)2 ≠ 12 + 12 perpendiculaire à (BD) passant par B.
2. Non. Contre-exemple : (3 + 0)2 = 32 + 02
3. (x + y)2 = x2 + y2 équivaut à 2xy = 0 soit x = 0 ou y = 0. Pour aller plus loin
L’ensemble cherché est la réunion des droites d’équa- Dans le repère orthonormé (A, I, D), soit M(x ; y).
tions x = 0 et y = 0 On a MH = y 2 et MK = ( 2 – x )2 .
AB = 2 et BC = 1
79 1. Fenêtre Algèbre : y2 ¥ 2 ( 2 – x )2 ¥ 1
a. y = 0,67x + 10,07 On cherche M(x ; y) tel que
2 2
b. y = 0,67x – 2 c’est-à-dire 4y2 = (2 – x)2 ou encore [2y + (2 – x)] [2y –
Les droites a et b sont parallèles (même coefficient 1
(2 – x)] = 0 soit (2y – x) + 2) (2y + x – 2) = 0 soit y x – 1
directeur). 2
1
ou y – x 1. L’ensemble des points M cherché est donc
Fenêtre Géométrie : 2
Les droites a et b sont affichées comme « sécantes ». 1 1
la réunion des droites = d : y = x – 1 et d¢ : y = – x + 1.
2 2
2. A(– 15 ; 0) B(20 ; 23,5)
d¢ est la droite (BD), d est la droite symétrique de (BD) par
C(– 12 ; – 10) D(18 ; 10)
23 , 5 rapport à (AB).
Coefficient directeur de (AB) : a
35 b. Dans le repère orthonormé (A, I, J)
20 2 1
Coefficient directeur de (CD) : a ¢ où I Œ [AB] et AI = AB = 1
23 , 5 2 30 3 a
car 3 ¥ 23,5 ≠ 70 1
J Œ [AD] et AJ = AD = 1, soit M(x ; y)
35 3 b
Les droites a et b sont sécantes. On a (DC) : y = b et (BC) : x = a ;
23 , 5 2 MH y 2 , MK ( a – x )2
3. ª 0 , 6714 ª 0 , 6667
35 3
AB = a, BC = b
À 10–2 près les valeurs affichées des coefficients directeurs
y2 ¥ a a – x )2 ¥ b
sont les mêmes, alors que ces nombres sont différentes. On cherche M(x ; y) tel que soit
2 2
a2y2 = b2(a – x)2 soit
Travail personnel [ay + b(a – x)] [ay – b(a – x)] = 0
b
Pour les exercices 80 à 100 : voir corrigés en fin soit y = x – b
a
de manuel. b
ou y = – x + b
a
APPROFONDISSEMENT On retrouve dans le cas général la droite (BD) et la droite
101 1. Notons H et K les pieds des hauteurs issues de symétrique de (BD) par rapport à (AB).
M dans les triangles MAB et MBC.
MH ¥ AB MK ¥ BC 102 1. De xB ≠ xA et xD ≠ xC on déduit que les droites
On cherche M tel que . C’est-à-dire
2 2 (AB) et (CD) ont un coefficient directeur et qu’elles sont
tel que MH = MK (puisque AB = BC). Or M est équidistant parallèles si et seulement si ces coefficients sont égaux
des côtés [BA) et [BC) de l’angle fABC si et seulement si M ce qui équivaut à p = q.
appartient à la bissectrice de fABC.
2. La négation de la condition « xB ≠ xA et xD ≠ xC » est
M devant rester à l’intérieur du carré ABCD, M doit donc
« xB = xA ou xD = xC ».
appartenir au segment [BD] pour que les aires ABM et
Ceci recouvre deux cas :
BCM soient égales.
Cas où les deux égalités sont vraies : xB = xA et xD = xC.
2. a. On cherche M(x ; y) avec x Œ et y Œ tel que Aire On a p = q = 0 et les droites sont bien parallèles, car
ABM = Aire BCM. Or MH y 2 , MK ( 1– x )2 , AB = BC parallèles à l’axe des ordonnées.
2
Ê 3ˆ 3 2
3 1 106 1. D, E, F paraissent alignés.
JM = Á ˜ - 1 = =1
Ë 2 ¯ 2 4 4
2. a. (AB) (AD) et AB = AD : le repère (A, B, D) est
d’où M Œ (J, 1). orthonormé.
3. a. (BM) a pour coefficient directeur b. A(0 ; 0), B(1 ; 0), C(1 ; 1), D(0 ; 1)
3 1
-2 - 3. a. (EK) est une hauteur du triangle ABE.
2 2 1
a -
3 3 3 b. Comme ABE est équilatéral, (EK) est aussi médiane et
-0 1
2 2 K est le milieu de [AB]. D’où K ; 0 .
et pour ordonnée à l’origine b = 2. 2
3
1 4. EK =
D’où (BM) : y = – x+2 2
3 On obtient ce résultat, soit en écrivant que
D est le point de (BM) ayant pour ordonnée 0. EK = AE sin 60°, soit en utilisant le théorème de
1 Pythagore dans le triangle AKE.
Son abscisse est donc x tel que – x+2=0
soit x = 2 3. D’où (2 3 ; 0). 3 Ê 1 3ˆ
D’où E Á ;
Ë 2 2 ˜¯
b. K( 3 ; 0)
Ê 3 1ˆ
4. a. JK = ( 3 )2 ( - 1)2 = 2 5. F Á1 ; ˜
Ë 2 2¯
JM = 1
6. D, E, F sont alignés si et seulement si les droites (DE)
2
Ê 3 ˆ 3 2
et (DF) ont le même coefficient directeur.
KM = Á - 3˜ 3
Ë 2 ¯ 2
172
3 1
-1 m- 4
2 2 1
Or le coefficient directeur de (DE) est : a soit Pour (BC) : a - m2
1 -2 4
a 3 - 2. 16 - 2 m 1
1 2 Pour (BE) : a ¢ - m2
-1 8 4
2 1
Celui de (DF) est : a ¢ soit a ¢ - (BC) et (BE) sont donc parallèles et les points B, C, E sont
3 2 3
1 alignés pour n’importe quelle position de M sur [OA].
2
2- 3 108 1. a. Voir fichiers sur le site www.didiermathx.com
ou encore a ¢ - - 2 3.
2 3 2- 3 b. Il semble que xA + xB = xC.
Il en résulte a = a¢ et donc l’alignement des points D, E 2. a. y A x A2 ; y B x B2 ; y C x C2
et F.
b. Le coefficient directeur de (AB) est
x B2 - x A2 x B - x A x B x A
Pour aller plus loin
xB - x A xB - x A
On trace [DE] et [EF].
Les triangles AED et BFE sont isocèles (AD = AE = BE = BF) x A xB
et leurs angles au sommet sont EAD 90 - 60 30 ° x C2
Celui de (OC) est = xC.
et EBF = 60 + 30 = 90°. xC
180 - 30 75 °
Leurs angles à la base sont donc DEA Comme (AB) // (OC), on a bien xA + xB = xC.
180 - 90 45 ° 2
et BEF
2
DEA
AEB BEF
Pour aller plus loin
D’où DEF
= 75 + 60 + 45 D’après la question 2.c on a : xA + xB = xC et de même
= 180° xD + xE = xC.
x A xB x C xD xE
Les points D, E et F sont donc alignés. Il en résulte
2 2 2
107 1. Voir fichiers sur le site www.didiermathx.com Les milieux de [AB], [OC] et [DE] ont donc même
2. B, C, E semblent alignés et ils le restent lorsque M se abscisse. Ils sont donc alignés sur une droite parallèle à
déplace sur [OA]. l’axe des ordonnées.
3. M(m ; 0) 109
a. d1 a pour coefficient directeur celui de (AB), c’est-à- D C
4 1
dire : a = = – .
8 2 1
d1 admet donc une équation de la forme y = – x + b M
2
1
Mais M(m ; 0) appartenant à d1, on a : O = – m + b d’où
1 1 1 2
b = m. D’où d1 : y = – x + m. J
2 2 2
N
C est le point du d1 d’abscisse nulle d’où
1 1 1 A I B
yC = – ¥ 0 + m = m
2 2 2 1. Dans le repère (A, I, J) on a : D(0 ; 5) et M(5 ; 3).
On en déduit C 0 ; m
1
2 Le coefficient directeur de (DM) est a
3–5
5–0
– .
2
5
b. d2 a pour coefficient directeur celui de (OB) c’est-à-
4 Son ordonnée à l’origine est l’ordonnée de D, soit b = 5.
dire a¢ = = 2. 2
2 Ainsi (DM) a pour équation : y - x 5.
5
d2 : y = 2x + b¢ passant par M(m, 0), on a : O = 2m + b¢ et
2. N est le point de la droite (DM) ayant une ordonnée
donc ¢ = – 2m. 2
D’où d2 : y = 2x – 2m. nulle. Son abscisse x est donc telle que - x 5 0, soit
25 5
E est le point de d2 dont l’abscisse est 10. x 12 , 5.
2
D’où yE = 2 ¥ 10 – 2m
3. DM2 = (5 – 0)2 + (3 – 5)2 = 29
= 20 – 2m 2
25 725
On a donc : E(10 ; 20 – 2m). DN2 - 0 0 - 52
2 4
c. Voyons si (BC) et (BE) ont le même coefficient direc- 1 1 1 4 29 1
teur. DM2 DN2 29 725 725 25
d 2 25 1
. 113 Dans le repère (O, I, J), la droite (BD) a pour
25d 2 25 25 -3
coefficient directeur et pour ordonnée à l’origine 3.
8
Cette somme ne dépend donc pas de la position de M 3
sur [BC], privé des points B et C. D’où (BD) : y = – x+3
8
2. Sans repère, dans le triangle ADN, le théorème de -8
NM BM NM 5 - d La droite (CE) a pour coefficient directeur et pour
Thalès donne : et donc (1). 3
ND AD ND 5 ordonnée à l’origine 8.
8
Une autre configuration de Thalès (parallèles (DC) et D’où (CE) : y = – x + 8
MD MC 3
(BN) sécantes (DN) et (BC)) permet d’écrire :
NM MB (CE) et (BD) se coupent en un point K dont les
MD d
c’est-à-dire (2). coordonnées vérifient le système
NM 5 - d
8
Ôy - 3 x8
MD d
En multipliant (1) et (2), on obtient : (3)
ND 5 Ì
Par ailleurs, le théorème de Pythagore dans le triangle Ô y - 3 x 3
Ó 8
rectangle DCM donne :
-8 3
DM2 = DC2 + CM2 d’où DM2 = d2 + 25 (4). xK est donc solution de x+8=– x+3
d 55 3 8
Mais (3) s’écrit encore DN DM et donc soit x=5
5 24
DN
2 25
DM , puis DN
2 2
d 25 grâce à (4).
25 2 d’où xK =
24
11
d2 d2
1 1 3 24
Le calcul de s’achève alors comme dans la On a alors yK = – ¥ +3
DM 2 DN 2 24 8 11
question 1. yK =
11
110 Voir fichier sur le site www.didiermathx.com D’où K
24 24
;
11 11
.
L’aire du triangle bleu est égale à :
Pour aller plus loin
Aire OBE – Aire OCE – Aire BKC.
a. T est le point d’intersection des médianes (AF) et (CE) 8¥8
Or : Aire OBE = = 32
du triangle ABC. 2
T est donc le centre de gravité du triangle ABC. 3¥ 8
Aire OCE = = 12
2
b. Si I est le milieu de [AC], (BI) est la troisième médiane 24
5¥
de ABC. 11 60
Aire BKC =
B, T et I sont donc alignés. 2 11
Comme I est le milieu de [BD], B, I, D sont aussi alignés. 60 160
D’où : Aire triangle bleu = 32 – 12 – = (cm2).
Il en résulte que B, T, D sont alignés. 11 11
114 L’ordonnée à l’origine de la droite (BD) étant – 1,
prenons C comme origine du repère et J, symétrique de
B par rapport à C, comme point (0 ; 1)
L’axe des abscisses est alors (CD).
174
Posons D(x ; 0) dans le repère (C, I, J) cherché. b
1 Par ailleurs, (AB) a pour équation y = – x + b.
Le coefficient directeur de (BD) est alors et on doit a
1 x y x b
avoir = 2. Ô Ô x - x b
x En résolvant Ì b soit Ì a
1 ÔÓ y - a x b ÔÓ y x
Il en résulte que x = et donc que I est le symétrique de
2
ab
C par rapport à D. b Ô x ab
Ô 1 x b
Vérification : soit Ì a soit Ì
ÔÓ y x Ô y ab
Ó ab
J ab
on obtient r , comme dans la méthode 1.
D ab
C
I 116 • L’égalité (x + y)3 = x3 + y3 n’est pas vraie pour tous
réels x et y.
A B
Contre-exemple : Pour x = y = 1, (1 + 1)3 13 + 13
Dans le repère (C, I, J), on a B(0 ; – 1) et D 21 ; 0. • (x + y)3 = (x + y)2 (x + y)
= (x2 + 2xy + y2) (x + y)
L’équation y = 2x – 1 est bien vérifié par les coordonnées = x3 + 3x2 y + 3xy2 + y3
de ces deux points. (x + y) = x3 + y3 équivaut à :
3
x + 3x2 y + 3xy2 + y3 = x3 + y3
3
115 1. En nommant W le centre du cercle et H son
3xy(x + y) = 0
projeté orthogonal sur le côté de longueur a, on a :
x = 0 ou y = 0 ou y = – x.
WH = r.
r 6-r L’ensemble des points M(x ; y) tels que (x + y)3 = x3 + y3
Le théorème de Thalès donne alors d’où r = 2.
3 6 est, dans un repère donné du plan, la réunion de trois
2. droites : d1 : x = 0, d2 : y = 0, d3 : y = – x.
Méthode 1. De même que dans 1, à l’aide du théorème
r a-r English Corner
de Thalès : s’écrit encore ar = ab – br (produit
b a
ab 1 ab 117 a. Journey = trajet.
en croix) d’où r(a + b) = ab ou r = r ou ,
1 1 1 ab r ab Une course de 3 km coûtera 6,50 €.
qui coïncide bien avec .
r a b b. Gradient = pente ; soit le coefficient directeur : 1,5.
Méthode 2.
x c. L’intersection avec l’axe des ordonnées correspond
y= au prix indiqué au compteur en début de course, soit
B W
r 2 €.
J d. C = 1,5d + 2
O I r A 1
118 y x . Il y a 22 points sur le segment [OA].
1 3
Dans le repère orthonormé (O, I, J) tel que OI = OA et
1 a
OJ = OB (voir figure), W(r ; r) appartient à la droite OW
b
d’équation y = x.
Ora
nge
C
Bl
eu
Noir
t
Viole
t
Ver
ge
R ou
Activité 2. Translation
1. Voir fichier sur le site Internet www.didiermathx.com
2. a. La translation crée un nouveau quadrilatère superposable au premier (distances et angles conservés).
b. Voir fichier sur le site Internet www.didiermathx.com
3. AA¢B¢B, DD¢C¢C et AA¢FE semblent être des parallélogrammes. Ces conjectures « résistent » au déplacement des
points.
4. E¢ est l’image de E par la translation de vecteur mDE.
176
D
E
E¢
A
A¢
C
C¢
B
B¢
M
B M
av C
au
A
2
J
0
I 2 4 6
–2
Ê2ˆ Ê 6ˆ
a. au Á ˜ et 3au Á ˜ . Les coordonnées sont proportionnelles avec un coefficient de 3 de au à 3au .
Ë 4¯ Ë 12¯
Ê 3ˆ
3. a. On peut proposer 1,5au Á ˜ .
Ë 7¯
b. 6
2
J
0
I 2 4
–2
1 Ê1 ˆ Ê – 4ˆ 5 Ê –5 ˆ
a
4. a. On peut conjecturer : u – 2 au Á ˜ a
– u
2 ÁË 2˜¯ Ë – 8¯ 2 ÁË –10˜¯
b.
4
2
J
–4 –2 0 I 2 4
–2
–4
–6
–8
5. a. b.
D A C B
178
TP 1. Des vecteurs pour jouer à Wyx
Ê1 ˆ
A. 1. Vecteur jaune Á ˜ ;
Ë 3¯
Ê1 ˆ Ê – 2ˆ
vecteur vert Á ˜ ; vecteur rouge Á ˜
Ë 2¯ Ë –1¯
Ê –1ˆ Ê – 3ˆ
vecteur noir Á ˜ ; vecteur violet Á ˜
Ë 0¯ Ë –1¯
Ê 1ˆ Ê 2ˆ
vecteur bleu Á ˜ ; vecteur orange Á ˜
Ë –1¯ Ë – 4¯
Ê –1ˆ
2. Le vecteur somme a pour coordonnées Á ˜ . Le cavalier arrivera donc en E.
Ë – 2¯
Ê 1ˆ
B. 1. Le vecteur jaune Á ˜ est mBA.
Ë 3¯
Ê 1ˆ
Le vecteur vert Á ˜ est pGD = lXA = lEX.
Ë 2¯
Ê – 2ˆ
Le vecteur rouge Á ˜ est kCE = lFG.
Ë –1¯
Ê –1ˆ
Le vecteur noir Á ˜ est moDC = mCB.
Ë 0¯
Ê – 3ˆ
Le vecteur violet Á ˜ est mDE.
Ë –1¯
Ê 1ˆ
Le vecteur bleu Á ˜ est mDF = mXC.
Ë –1¯
Ê 2ˆ
Le vecteur orange Á ˜ est mAF.
Ë – 4¯
2. E étant le point d’arrivée et chaque flèche étant utilisée une seule fois on ne peut pas avoir E comme origine d’un
vecteur.
3. a. Il a un seul représentant : mDE.
b. On peut rayer les vecteurs mEX et mCE.
4. a. Le trajet gagnant est donc : mXC ; mCB ; mBA ; mAF ; mFG ; pGD ; mDE. On le trouve en partant de la fin.
b. La relation de Chasles permet de vérifier que la somme de ces vecteurs est égale à mXE.
TP 2. Parallélogramme et vecteurs
A. a. Vrai b. Faux c. Faux d. Vrai e. Vrai
B. Les conditions suffisantes sont : b, d et e.
Les conditions nécessaires sont : a, c, d, e et f.
D’autres conditions suffisantes :
– « Les diagonales se coupent en leur milieux » est une condition suffisante (et nécessaire).
– « pDA = mCB » est une condition suffisante (et nécessaire).
– « ABCD est un rectangle » est une condition suffisante (non nécessaire).
3 C
5 H 5
3
A 8 B 5 D
On peut démontrer de différentes façons que les points qui semblent situés sur cette diagonale ne sont pas alignés.
Par exemple :
• Dans un repère (A, I, J) avec B(8 ; 0) et F(0 ; 5) :
– en montrant que les vecteurs oAG et mAE ne sont pas colinéaires,
– ou en écrivant une équation de la droite (AE) et en montrant que le point H n’appartient pas à cette droite,
– ou sans repère, en comparant les tangentes des angles fBAC et gDAE.
TP 4. Expérimenter et démontrer
A. 1. Voir le site Internet www.didiermathx.com.
2. L’ensemble des points solutions semble être la droite (DB).
B. 1. C(1 ; 1), E(0 ; y), F(1 ; y), G(x ; 0), H(x ; 1).
2. mEH et mFG sont colinéaires si et seulement si (x – 0) ¥ (0 – y) = (x – 1) ¥ (1 – y) c’est-à-dire y = – x + 1 ce qui est bien
l’équation de la droite (DB).
Pour aller plus loin
1. Les trois droites sont concourantes.
2. Oui (on travaille alors avec un repère qui n’est pas orthonormé).
Exercices
SANS CRAYON, SANS CALCULATRICE 11 – 4
1 2,7²< p² Ê 1ˆ
12 oGH Á
Ë – 2˜¯
2 6 cm Ê 5ˆ Ê –1ˆ
13 a. [au + av] Á b. [au – av] Á ˜
3 8 cm3 Ë – 6¯˜ Ë 4¯
14 y = – 2
4 135 euros
3
15 y -
5 15 2
16 a = – 2.
7
6 a. x = 2 b. x =
2
7 a. (3x – 2)(3x + 2) b. (x + 5)(x + 1) ENTRAÎNEMENT
180
20 1. 2. hES et jSF.
G En effet, E est l’image de T, donc RSET est un
4
parallélogramme et jTR = hES, F est l’image de R donc
2 RTSF est un parallélogramme et jTR = hSF.
F
J
O 3. On a donc a hES = hSF ce qui prouve que S est bien le
–6 –4 –2 I 2 4 milieu de [EF].
–2
H M L E 26 D’après un théorème des milieux dans le triangle
–4 ABC on a (IJ) // (AC) et (IK) // (BC) donc IJCK est un
parallélogramme et cIJ = mKC.
–6 De plus K est le milieu de [AC] donc mAK = kKC. On en
K
déduit que cIJ = mAK.
T C Ê 6ˆ Ê –6ˆ
31 1. mAB Á mDC Á ˜ donc ABCD n’est pas un
S A Ë – 3˜¯ Ë 3¯
parallélogramme (mais ABDC en est un).
R D
Ê 29 ˆ
Ê 29 ˆ
Á 3˜
2. mAB Á ˜ mDC Á 3 ˜ donc ABCD n’est pas un parallélo-
Á ˜
5 ÁË 2 ˜¯
24 a. lBA = oCD car ABCD est un parallélogramme ; Ë 3¯
iFE = oCD car CDEF est un parallélogramme. gramme.
Comme EFGH est un parallélogramme, oFE = oGH, donc
32 Voir corrigé en fin de manuel.
on a aussi oGH = oCD.
b. De mBA = oCD et oGH = oCD on déduit que mBA = oGH, donc 33 Si A (a ; b), B (c ; d), C (k ; m) et D (n ; p), le programme
AHGB est un parallélogramme. indique si les vecteurs mAB et oCD sont égaux et donc si
ABDC est un parallélogramme.
25 1. F R
34 Exercice corrigé à la fin du chapitre.
Ê 2ˆ
35 1. mAB Á ˜
Ë 8¯
T
S
2. mAB = mDC
Ê – 2 – xD ˆ
3. a. mDC Á
Ë –1– y D ˜¯
E b. – 2 – xD = 2 et – 1 – yD = 8 donc D(– 4 ; – 9).
–1 1 2 3 4 5 6 7 3
–1 B
2
–2
A J
A
3. Utilisons les vecteurs : rAΩ = rΩD donc ces vecteurs
–3 –2 –1 0 I 2 3
otn les mêmes coordonnées :
– 1 = xD – 3 et 4 = yD – 2. D’où D(2 ; 6). C
Par une autre égalité de vecteurs, on trouve C(7 ; 0,5).
Ê 5 1ˆ Ê 6ˆ
2. [mAB + oCD] Á donc [mAB + oCD] Á ˜
37 1. a. Le point F b. lDF Ë 3 6˜¯ Ë 9¯
2. a. oDG b. lDF c. mCG Ê x M 3ˆ
3. rAM Á
d. hEF e. a0 f. a0 Ë y M ˜¯
4. On a rAM = mAB + mCD donc xM + 3 = 6 et yM = 9, d’où
38 Voir corrigé en fin de manuel. M(3 ; 9).
39 a. Faux b. Vrai
46 1.
c. Faux d. Vrai 5
Ê 2ˆ Ê 3ˆ Ê –3ˆ 4
40 au + av Á ˜ ; au + aw Á ˜ ; av + aw Á ˜ . A
Ë ¯
– 2 Ë ¯
2 Ë2¯ 3
B
41 1. La somme est égale au vecteur nul. 2
Ê 3 ˆ Ê 1ˆ Ê – 4ˆ Ê 0ˆ J
2. auÁ ˜ ; av Á ˜ ; aw Á ˜ donc au + av + aw Á ˜ .
Ë –1¯ Ë 3¯ Ë – 2¯ Ë 0¯
–3 –2 –1 MI 2 3 4 5
42 1. Une solution de trajet : –1
Ê 3ˆ Ê –1ˆ Ê – 2ˆ Ê 0 ˆ Ê 6ˆ Ê – 2ˆ Ê 2 ˆ Ê 0 ˆ –2
ÁË 0˜¯ ÁË – 2˜¯ ÁË 1 ˜¯ ÁË – 5˜¯ ÁË 0˜¯ ÁË 6 ˜¯ ÁË 0˜¯ ÁË – 2˜¯ C
182
Deuxième méthode : diculairement à la rive, il est dévié par le courant d’une
Ê 1– x P ˆ Ê 3 – xP ˆ distance deux fois plus grande dans la direction du
kPA Á kPB Á donc kPA + kPB = a0 si et
Ë 2 – y P ˜¯ Ë – 4 – yP ˜¯ courant. L’écart entre les rives étant de 90 m, il sera
seulement si 3 – xP = 1 – xP et – 4 – yP = 2 – yP. dévié de 180 m.
D’où P(2 ; – 1).
49
Contrôle graphique :
a. b.
A M M D
2
1 A au av
0 1 2 3 4
–1 c. d.
P
–2 M
–3 M
B P
–4 au
P
aw
– av
y N au
av
A¢ C au av av
A
au A N au
H ac
an ad B 5. 6.
A x N
– av av
– av
N A
En 1 s, le déplacement du nageur peut être repéré par la au
Ê 0ˆ Ê 10 ˆ au
somme des vecteurs an Á 5 ˜ et ac Á 9 ˜ donc par le vecteur
ÁË ˜¯ ÁË 0 ˜¯ A
9 av
Ê 10 ˆ
Á 9˜
ad Á ˜ (échelle non respectée sur la figure). Soit B Ê ; ˆ .
10 5
5 Ë 9 9¯
Á ˜ Ê 6ˆ Ê 5ˆ
Ë 9¯
51 [au – av] Á ˜ et [au – av + aw] Á ˜
Par proportionnalité dans le triangle on trouve Ë 0¯ Ë 3¯
A¢C = 2 AA¢ = 180 m. Ê xF – 4 ˆ Ê 5ˆ
52 kDF Á 2 ˜ et kD F Á 16 ˜ donc xF – 4 = 5 et
Remarque : ceci traduit un raisonnement par propor- ÁË y F – ˜¯ ÁË ˜¯
3 3
tionnalité sur les vitesses. La vitesse du courant étant 2 16
yF – d’où F(9 ; 6).
double de celle du nageur, quand celui-ci nage perpen- 3 3
c. Non
d. Oui : mCO + mAC = mAC + pCO = mAO M
D
e. Oui : kED + mDE = jEE
f. Oui : kAF + kBC + kCA = kAF + kBA = kBA + kAF = jBF 3. On constate que les points M et D sont confondus.
kCB – kCA + mBD = kAC + kCB + mBD = mAD (relation de Chasles)
54 Voir corrigé en fin de manuel. Donc rAM = oAD et les points M et D sont confondus.
kBD 61
kAB – kAC – kAC D B
A a.
B kAC – kBD
D
A B
kAC
A kAB – kBD C M
C
kAC
kAB + kAB = 2kAB
C
b.
N
2. oBD – oCD = oBD + oDC = mBC
3. On peut réduire l’expression de la question b :
nBD – mCD = mBD + oDC = mBC
On peut aussi réduire l’expression de la question c :
nAB – nAC = mAB + mCA = mCA + mAB = mCB A
– kAC – kAC – kAC = – 3kAC
56 a. nAB – nDB + nDE = nAB + nBD + nDE = nAE
kAC C
b. nBE + nCB – nDE = nBE + nCB + nED = nCB + nBE + nED = nCD
c. nBD – nCA + nCB – nAD = nBD + nAC + nCB + nDA c.
= nBD + nDA + nAC + nCB = nBB = a0 A B
1 1 1 3
1 2 kAC + 2 kAC + 2 kAC = – 2 kAC
2 kAC
C P
184
d.
T Ê k k ¢ x ˆ
b. (k + k¢)au Á ˜ ce que l’on peut transformer en
Ë k k ¢ y ¯
Ê kx k ¢x ˆ
ÁË ky k ¢y ˜¯ .
1 1 1 1 1 5 Par suite kau + k¢au = (k + k¢)au.
– 2 kBC – 2 kBC – 2 kBC – 2 kBC – 2 kBC = – 2 kBC
Ê k ¢ xˆ
A 2. k¢au Á donc k ( k ¢ au ) a pour coordonnées
B
Ë k ¢ y ˜¯
1
2 kBC Ê k k ¢ x ˆ Ê kk ¢ x ˆ
Á k k ¢ y ˜ que l¢on peut transformer en ÁË kk ¢ y ˜¯ .
C Ë ¯
Ê kk ¢ x ˆ Ê kk ¢ x ˆ
Or (kk¢)au a pour coordonnées Á ˜ , soit Á .
Ë kk ¢ y ¯ Ë kk ¢ y ˜¯
Ê 2ˆ Ê –2ˆ Ê –6 ˆ Ê – 4ˆ
62 [au + av] Á ˜ 2au Á ˜ – 3aw Á [au – av] Á ˜
Ë 3¯ Ë 4¯ Ë –12˜¯ Ë 1¯ Donc k(k¢au) = kk¢au.
Démonstration analogue pour kau + kav = k(au + av).
Ê– 7ˆ
Ê 0ˆ Ê –11ˆ 1 3 Á 2˜
[au + av – aw] Á ˜ [2au– 3 av] Á [ aw – av] Á ˜ 69 Voir corrigé en fin de manuel.
Ë 0¯ Ë 1 ˜¯ 2 2 1
Á ˜
Ë 2 ¯
Ê 8ˆ Ê –13ˆ
70 Première solution : rMN Á ˜ et kST Á ˜ .
63 a. av = – 2au Ë 5¯ Ë –8 ¯
b. On peut vérifier que 6 ¥ 6 = 4 ¥ 9. On a 8 ¥ (– 8) = – 64 et 5 ¥ (– 13) = – 65. Les vecteurs ne
3
On obtient av = au. sont pas colinéaires donc les droites (MN) et (ST) ne
2 sont pas parallèles.
c. av = – 3au Deuxième solution : La droite (MN) a pour coefficient
3 5 8
d. On peut vérifier que 4 ¥ 18 = 72 et 6 ¥ 12 = 72 ; va = a .
u directeur : – et la droite (ST) : – . Comme 5 ¥ 13 ≠ 8 ¥
2 8 13
8, les deux coefficients ne sont pas égaux donc les droites
64 a. Oui
5 25 5 55 ne sont pas parallèles.
b. Non (car ¥ – 15 = – et – ¥ 11 = – .)
9 3 6 6
Ê – 6ˆ Ê 9ˆ
c. Oui. ( 5 – 1)( 5 + 1) = 5 – 1 = 4 et (– 1) ¥ (– 4) = 4. 71 1. lAC Á et lCB Á ˜
Ë – 8˜¯ Ë 12¯
186
1 1 c. (AB) est perpendiculaire à (OD) et (OD) est parallèle à
109 dIJ = o AB + oBC
2 2 (HC) donc (AB) est perpendiculaire à (HC).
1 1
lLK = oAD + oDC 4. On pourrait de même démontrer que (BH) est per-
2 2
pendiculaire à (AC) et que (AH) est perpendiculaire à
Or oAB = oDC et oAD = mBC donc dIJ = kLK et IJKL est un
(BC).
parallélogramme.
Les droites (BH), (AH) et (CH) sont donc les trois hauteurs
du triangle ABC.
110 1. lCE = lCA + lAE = lCA + 2lAB + lAC = 2lAB
Ces trois hauteurs sont donc concourantes en H.
2. On a aussi oCD = 2lBA donc oCD = – lCE et C est le milieu
de [ED].
117 1. a. mGB + mGC = pGA¢ + rA¢B + pGA¢ + rA¢C = 2pGA¢
111 1. Il semble que B, H et E sont alignés. b. oAG = oGB + oGC = 2pGA¢ = 2oGA + 2pAA¢
2
2. La solution est celle de l’exercice 108 où les étapes donc 3oAG = 2pAA¢ et finalement oAG = pAA¢.
3
étaient données. 2 2
3. De même oBG = oBB¢ ; oCG = oCC¢.
3 3
3 3
112 rNM = oNA + pAM = – lAB + oAC G est au deux tiers des médianes en partant du sommet.
4 2
1 1 1 1 1 1
mNP = mAB + mBC = mAB + (mBA + mAC) = – mAB + mAC Pour aller plus loin
4 2 4 2 4 2
Donc rNM = 3mNP. oOH = oOG + oGA + oOG + oGB + oOG + oGC = 3oOG.
Les vecteurs rNM et mNP sont colinéaires, donc les points On en déduit que le centre O du cercle circonscrit,
N, M et P sont alignés. l’orthocentre H et le centre de gravité G sont alignés.
12
113 kBP = mBA + mAP = mBA + mAD 118 1. a. M(0 ; – 1)
1
N( ; 0).
7 2
1 1
mBR = mBC + mCR = mBC + mCD = mAD + mBA Soit P(xP ; yP). Alors lBP = lBC donne PÊ ; ˆ .
2 2 1
3 3 3 Ë 3 3¯
Il n’existe pas de coefficient k tel que mBR = kmBP. Les
b. rMN Ê ; 1ˆ et lNP Ê ; ˆ on a rMN = 3mNP.
1 1 1
points B, P et R ne sont pas alignés. Ë2 ¯ Ë 6 3¯
Les points M, N et P sont alignés.
114 2iPA + 3iPB = 0a si et seulement si 2iPA + 3(iPA + A
i B) = 0
a
1
3
soit mAP = mAB. 2. a. rMN = rMA + rAN = mAC + mAB
5 2
1
115 1. 2. voir le site Internet www.didiermathx.com b. oMP = rMA + mAB + mBP = mAC + mAB + mBC
3
3. Les droites semblent parallèles. 1 4 2
On en déduit oMP = oAC + oAB + ( oBA + oAC) = oAC + oAB.
1 1 3 3 3
4. On a D(0 ; 1) et N( ; 0) d’où oDN( ; – 1). 3
a a c. Finalement rMN = oMP. Les points M, N et P sont
4
B(1 ; 0) M(0 ; a) d’où pBM (– 1 ; a) on a pBM = – apDN.
donc alignés.
Les vecteurs pBM et pDN sont colinéaires et les droites
(BM) et (DN) parallèles. 1 1
119 2. a. M(0 ; ) N( ; 0).
5. La droite (CP) est parallèle aux droites (BM) et (DN). 2 3
1 1 Soit P(xP ; yP). De lBP = 2lBC on déduit que P(– 1 ; 2).
En effet P( ; a) C(1 ; 1) donc lCP(1– ; 1 – a).
a a 1 1 3
Les vecteurs lCP et oBM sont colinéaires car on a b. rMN( ; – ) et oMP(– 1 : )
3 2 2
1
(1– ) ¥ a = a – 1 et (1 – a) ¥ – 1 = – 1 + a. donc oMP = – 3rMN et les points M, N, P sont alignés.
a
1 1
Donc (CP) et (BM) sont parallèles. 3. a. rMN = rMA + rAN = – mAC + lAB
2 3
1 1
116 2. a. Par construction, OADB est un parallélo- oMP = rMA + mAB + kBP = – mAC + mAB + 2mBC = – mAC + lAB
2 2
gramme. Comme OA = OB, c’est un parallélogramme 3
+ 2(lBA + lAC) = mAC – lAB
avec deux côtés consécutifs de même longueur, donc 2
c’est un losange. b. On constate que pMP = – 3rMN donc M, N et P sont
b. Les diagonales d’un losange sont perpendiculaires. alignés.
3. b. pOH = pOD + pOC donc ODHC est un parallélo- 4. a. M est le milieu de [AC]. Par un théorème des
gramme. milieux dans le triangle ACI, N est le milieu de [AI].
188
D’où un algorithme : Pour aller plus loin
VARIABLES : xA, yA, xB, yB, xC, yC, xD, yD, a, b nombres
ENTRÉES : Demander les coordonnées (xA ; yA) et b. AB = BC = CD = DA = a 2 b 2 . Donc ABCD est un
(xB ; yB) des points A et B losange.
TRAITEMENT : a prend la valeur xB – xA On peut ensuite vérifier que le triangle ABC est
b prend la valeur yB – yA rectangle en B :
xC prend la valeur xB – b AC2 = (xC – xA)2 + (yC – yA)2 = (xB – b – xA)2 + (yB + a – yA)2
yC prend la valeur yB + a = (a – b)2 + (b + a)2 = 2 (a2 + b2) = AB2 + BC2
xD prend la valeur xA – b
yD prend la valeur yA + a English corner
SORTIES : Afficher « Le point C a pour coordon-
124 1. MIDPOINT
nées : »
Afficher xC, yC 2. COLINEAR
Afficher « Le point D a pour coordon- 3. COORDINATES
nées : » 4. TRANSLATION
Afficher xD, yD. 5. OPPOSITE
6. IMAGE
7. PARALLEL
34
c. 3 ; 4 ; 5 ; 6 ; 7.
3 a. x 4
A B
b. n est impair ET n n’est pas un multiple de 5.
c. x < 2 OU x 5 (2 x < 5 s’écrit aussi 2 x ET x < 5). b. Faux. La première figure de l’exercice 6 en donne un
contre-exemple.
d. n est impair OU n n’est pas multiple de 5.
c. Vrai. C’est une propriété connue du carré.
e. a ≠ b OU b ≠ c (a = b = c s’écrit aussi a = b ET b = c).
D’autres formes sont possibles comme a ≠ b OU a ≠ c. 8 a. Faux. Contre-exemple: x = 4.
b. Vrai car si x > 2,1 alors x > 2,1 > 1 donc x > 1.
4 a. Si quelqu’un ne dit mot, alors il consent.
c. Faux. Contre-exemple : x = – 2,05.
b. Si Noël est au balcon, alors Pâques est au tison.
d. Vrai car si – 2,1 < x < 3,4 alors – 3 < – 2,1 < x < 3,4 < 4
c. Si l’on veut, alors on peut.
donc – 3 < x < 4.
5 a. Si un triangle est équilatéral, alors il a trois angles 9 a. Vrai. Réciproque fausse.
de 60°. b. Vrai. Réciproque fausse.
b. Si un nombre entier a pour chiffre des unités 5, alors c. Vrai. Réciproque fausse.
ce nombre est un multiple de 5. d. Vrai. Réciproque fausse.
c. Si un parallélogramme a ses diagonales qui ont la
même longueur, alors c’est un rectangle. 10 a. La seule implication vraie est
« x = – 5 » fi « x2 = 25 ».
d. Si M appartient à la médiatrice de [AB], alors M est
équidistant de A et de B. b. Les deux implications sont vraies donc l’équivalence
aussi.
6 a. On a la proposition « si A alors B » avec pour A c. La seule implication vraie est
la proposition : « n est multiple de 6 et de 8 » et B : « n est « MNPS est un carré » fi « MNPS est un losange ».
multiple de 6 ¥ 8 ». d. Les deux implications sont vraies donc l’équivalence
Un contre-exemple de « si A alors B » est un cas où A est aussi.
vraie mais B est fausse.
48 et 96 ne sont pas des contre-exemple (A vraie et B 11 1. a. Il suffit que x = – 5 pour que x2 = 25.
fausse). 24 est un contre-exemple (A vraie et B fausse). x = – 5 est une condition suffisante pour que x2 = 25.
16 n’est pas un contre-exemple (A et B fausses). b. Il faut et il suffit que x soit le carré d’un nombre pour
b. Soit A la proposition « x2 > 4 » et B « x > 2 ». que x 0.
2, – 2, – 1 ne sont pas des contre-exemples (A est fausse) ; La condition « x est le carré d’un nombre » est une
5 n’est pas un contre-exemple (A et B sont vraies) ; condition nécessaire et suffisante pour que x soit positif
– 6 est un contre-exemple (A est vraie et B fausse). ou nul.
c. La figure centrale est la seule à être un contre- c. Pour que MNPS soit un losange, il suffit que ce soit
exemple. un carré.
190
La condition « MNPS est un carré » est une condition Contraposée de « Si n est multiple de 10 alors n est
suffisante pour que MNPS soit un losange. multiple de 5 » : « si n n’est pas multiple de 5 alors n n’est
d. Il faut et il suffit que NP2 = MN2 + MP2 pour que MNP pas multiple de 10 ».
soit rectangle en M. Les quatre propositions et leurs 4 contraposées sont
L’égalité de Pythagore NP2 = MN2 + MP2 est une condition vraies.
nécessaire et suffisante pour que MNP soit un triangle
rectangle en M. 13 a. Pour tout point M appartenant à , OM = OA.
2. a. Pour que x < – 3, il faut que x < 5. b. Il existe un point M appartenant à tel que AM = r.
b. Pour que x > 2, il suffit que x > 4. c. Il existe un point M appartenant à tel que (OM) ^ (OA).
12 a. Contraposée de « Si c’est un lapin, alors il a d. Il existe un point M appartenant à tel que OM = 2r.
4 pattes et 2 oreilles » : « s’il n’a pas 4 pattes et 2 oreilles, e. Pour tout point M extérieur au cercle, OM > r.
alors ce n’est pas un lapin ».
b. Contraposée de « si x = – 4 alors x2 = 16 » : « si x2 ≠ 16 14 a. Il existe x et y tels que xy = 3.
alors x ≠ – 4 ».
b. Pour tous x et y, x2 + y2 ≥ 0.
Contraposée de « Si ABCD est un carré alors
(AB) //(CD) » : « Si (AB) et (CD) ne sont pas parallèles c. Il existe x et y tels que x + y > x.
alors ABCD n’est pas un carré ». d. Pour tous x et y, (xy)² = x2y2.