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CAE ​: est un système de traitement des données c’est un outil de gestion destiné à suivre et à

examiner les flux internes de l’E/se afin de fournir aux dirigeants les informations nécessaires à
la prise de décision.
Les caractéristiques de la CAE ​: La CAE peut être mensuelle, trimestrielle, semestrielle ou
annuelle /La CAE est facultative et volontaire mais essentielle pour la bonne gestion de l’E/se/La
CAE détermine des résultats détaillés (par produit) /Les stock dans la CAE peuvent être connus à
n’importe quel moment grâce à la méthode d’inventaire permanent.
Les objectifs de la CAE :​ Calculer les différents coûts des fonctions de l’E/ses ; La gestion des
stocks ; calculer le résultat par produit ; Explication des résultats ; La prise de décision.
CG ​: considère l’E/se dans son ensemble et décrit ses relations avec son environnement externe
sans prendre en considération les flux internes : La CG est obligatoire et annuelle ; La CG ne
détermine les valeurs des stocks qu’à la fin de l’année ; La CG détermine des résultats globaux.
Utilité de la CAE :​ elle met l’accent sur la connaissance de la réalité économique ; elle adapter
aux besoins d’analyse propres de l’E/ses ; elle fournit des informations de manières fréquentes
pour favoriser le contrôle interne (période mensuelle).
Différence entre CAE et CG​ :​ La périodicité​ : Présentation de données mensuelles ; trimestrielles.
Suivant le besoin de l’exploitant/ Présentation de données annuelles.
La nécessité​ : Comptabilité facultative et volontaire mais essentielle pour la bonne gestion/
Elle répond à des obligations légales ; fiscal. Au regard de la loi c’est obligatoire.
Présentation des documents ​: Les documents ne sont pas normalisés /
les données sont présentées suivant une nomenclature normalisée et en respect des règles CGN
Objectifs opérationnels ​: l’objectif est d’éclairer la prise de décisions dans l’entreprise/
Vise la satisfaction des besoins des partenaires de l’E/ses : les frs ; les actionnaires ; la banques.
Les charges non incorporables​ : sont des charges de la CG mais ne sont pas prises en comptes
dans la CAE. Il s’agit des charges qui ne sont pas liées aux besoins d’exploitation. Ils
comprennent : les amortissements des immobilisations en non valeurs ; les provisions pour
dépréciation et pour risque et charge ; Les charges rapportant aux exercices antérieurs.
Les charges supplétives​ sont des charges qui ne sont pas enregistrées dans la CG, mais qui sont
prises en compte dans la CAE pour des raisons d’ordre économiques ou de gestion. Elles sont :
larémunération théorique des capitaux propres, la rémunération théorique de travail de
l’exploitant.
Charges abonnées :​ on retient les charges incorporables de la CG selon une périodicité
différente de leur apparition (en principe de chaque mois en CAE).
Charges d’usages :​ sont des charges qui substituent pour les calculs des couts, aux charges des
amortissement constatés en CG.
Charges étalées :​ à la place des dotations et des provisions de la CG, les dotation et provisions
retenues par la CG sont uniquement celles pour risques et charges.
Les charges indirectes : ​Ce sont les charges qu’il n’est pas possible d’affecter « immédiatement »
à un coût particulier. Elles nécessitent un calcul intermédiaire pour être imputées au coût d’un
produit ou activité.
Les charges directes :​ Ce sont les charges qu’il est possible d’affecter « immédiatement » : Càd
sans calcul intermédiaire, au coût d’un produit déterminé. Ces charges peuvent concerner le
coût d’un produit ou d’une commande.
Méthode du coût moyen pondéré :​ consiste à calculer pour chaque nature de matières ou de
marchandise le CMUP en divisant le coût total des entrées successives par leur quantité totale et
à appliquer ce coût ainsi déterminé aux sorties de la période considérée.
LA METHODE DES COUTS VARIABLES ​: Par opposition à la méthode des sections homogènes et
celle de l'imputation rationnelle, la méthode des couts variables calcule des couts partiels Cette
méthodes se base sur la répartition des charges incorporables en charges fixes et charges
variables. Et le calcul de couts variables ; cela dans l’objectif de pouvoir servir pour certaines
décisions de gestion. Les charges variables ou opérationnelles sont celles qui varient avec le
niveau d’activité. Cette dernière peut être mesure par le volume de production, de vente ou par
le chiffre d'affaires. Quant aux charges fixes ou de structure, elles ne varient pas dans une
structure donnée et pour une période de temps relativement court.
L’affectation​ correspond à une répartition des charges sans calcul intermédiaire.
L’imputation​ correspond à une répartition des charges avec un calcul intermédiaire.
Un centre d’analyse :​ ou une section analytique est une subdivision comptable de l’entreprise où
sont analysés et regroupés les éléments de charges indirectes préalablement à leur imputation
au coût.
Les centres principaux​ : sont les centres qui participent directement au processus de production
de l’entreprise (approvisionnement, production et distribution) : les charges de ces centres sont
directement imputées aux coûts calculés.
Les centres auxiliaires :​ Ce sont des centres qui fonctionnent au profit des autres centres.
Exemple : centre entretien ; centre administration....
La répartition primaire :​ Dans cette étape ; les charges indirectes sont réparties sur l’ensemble
des sections analytiques (principales et auxiliaires) en fonction de clés de répartition.
Répartition secondaire​ : Cette étape consiste à transférer les charges des centres auxiliaires
entre les centres bénéficiaires des prestations fournies (centres principaux et/ou auxiliaires).
Le cout d’achat :​ est le cumul des charges directes (composées par le prix d’achat des matières
premières ou fournitures achetées, les frais sur achat et les charges indirectes
D’approvisionnement).
Le cout de production :​ regroupe les charges directes et les charges indirectes consommées lors
de la fabrication d’un produit. Les charges directes sont composées cout des matières et
produits utilises dans la production. Il s’agit du cout d’achat pour les éléments achetés ou du
cout de production pour les produits fabriqués par l’entreprise.
Le cout de revient​ : est le dernier cout dans la hiérarchie des couts. Il correspond au stade final :
la distribution. Le cout de revient est le cumul du cout de production de produits vendus et des
charges non comprises dans cout de production. Ces dernières comprennent les charges de
distribution : c’est l’ensemble des charges nécessaires pour mettre les produits sur le marché.
Les produits résiduels inutilisables ​: Les déchets et rebuts n’ayant pas de valeur sur le marché
doivent être évacues. Leur évacuation entraine des frais (transport, main d’ouvre,). Ces charges
sont à incorporer au cout de production du produit fini origine des résidus.
​Les produits résiduels vendables :​ Le chiffre d’affaires des déchets et rebuts est déduit pour
réduire le cout de production total
Les produits résiduels réutilisés par l'entreprise :​ Dans ce cas, ces éléments peuvent être évalués
au prix du marché ou a une valeur forfaitaire. Leur valeur sera déduite du cout de production du
produit fini d’origine et ajoutée au de production du produit dans l’élaboration duquel ils seront
utilisés.
Les sous-produits​ Dans certains cas le processus d’élaboration d’un produit principal donne lieu
à un produit secondaire il s’agit d’un sous-produit. D’où le problème de partage décharge de
production entre le produit principal et le sous-produit. Les méthodes adaptées sont souvent
plus ou moins arbitraires.
Le seuil de rentabilité​ : est le chiffre d’affaires (hors taxes) pour lequel l’entreprise ne réalise ni
bénéfice ni perte (un résultat de 0). La marge sur coût variable est donc égale aux charges fixes.
La date du seuil de rentabilité​ : est aussi appelée point mort. Plus vite est atteint le seuil de
rentabilité, mieux c’est. Généralement, on part du principe que les ventes sont uniformément
réparties sur tous les mois travaillés de l’année.
Les en-cours de production :​ Un en-cours de fabrication est une production inachevée, c’est à
dire qui n’a pas encore atteint le stade final de fabrication. On considérera, pour une période
donnée, un en-cours final et un en-cours initial. Ce dernier représente l’en-cours final de la
période précèdent.
L’inventaire​ permanent est une organisation des comptes de stocks qui, par l’enregistrement
continu des mouvements, permet de connaitre de façon constante, au cours de l’exercice, les
existants chiffres en quantités et en valeurs​≫.​
Le compte d’inventaire​ permanent est un compte de stocks (matières, fournitures, produits
finis,) qui enregistre en son débit le stock initial et les entrées (achats, production) et en son
crédit après répartition primaire pour chaque section ou centre.
Unité d’œuvre​ c est l ‘unité de mesure dans une section de la C A servant notamment a imputer
le cout de cette section aux Couts des matières au produit.
Le coût variable de produit ​: est constitué par les seules charges qui varient avec le volume
d'activité de l'entreprise, sans qu'il y ait nécessairement exacte proportions Sénilité entre la
variation des charges et la variation du volume des produits obtenus."
L’imputation rationnelle des charges fixes​ : permet de neutraliser les effets des variations de
l’activité sur les coûts unitaires et d’évaluer le coût de la sous activité.
La déférence entre charge fixe et charge variable​ : est essentiellement pour analyser la
conséquence de la variation de volume des ventes sur le résultat de l’E/ses et prendre les
décisions de gestion appropriée, notamment pour ce qui est de la réduction d’esches
La différence entre charge direct et charge indirect​ est important pour une E/se de procédure va
permettre d’effectuer des calculs de couts dans nombreux.

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