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INTRODUCTION .................................................................................................... 2
Conclusion........................................................................................................... 6
1. Le financement personnel
Il est plus judicieux qu’en créant une industrie, qu’on soit le principal
investisseur. Dans le domaine du cinéma, on n’y recoure régulièrement car celui qui
porte le projet doit posséder une certaine somme d’argent même si cela n’est pas
suffisant. Ceci permet aux investisseurs et aux banquiers que l’on s’engage pour un
projet à long terme et leur permettre ainsi de prendre des risques.
Rfi émission (2019) sources de financement : Les modes de financement du cinéma africains. Site consulte
le 20/04/2022 (http://www.rfi.fr)
Les chaines de télévisions sont dans l’obligation d’investir une partie de leurs
bénéfices dans la production de leurs contenus. Ces ce qu’on appelle le préachat. La
chaine achète des droits de diffusion d’un projet avant même que celui-ci ne soit
produit, alors il assume donc un rôle de coproduction ; et aussi joue le rôle d’agent
publicitaire dans l’optique de captive un vaste public pour la prochaine diffusion.
Alors c’est une source de financement très rentable et favorable pour les réalisateurs.
Quelques années après sa création, les cinéastes constate que le souci de l’Etat
n’est pas de constituer une banque de financement d’industrie mais plutôt de taxer
les distributeurs et les exploitants de films tout en encadrant la production nationale.
Toutefois cette nouvelle disposition permet surtout à l’Etat d’augmenter ses revenues
lies à l’exploitation cinématographique. Le Fodic sombre rapidement dans un
scandale de détournement d’argent public dont les cinéastes sont accusés. Le
mécanisme de prêt pratiquée par le Fodic ne permettait pas aux producteur de
rembourser les emprunts dans le délai impose de deux ans car le système imposait
que 40% du prix du billet d’entrée revienne à l’Etat, 30% au distributeur et le reste
anglophones adoptent plus facilement les méthodes des plates formes. Alors les
producteurs africains ont appris à jongler avec les différentes sources de financement.
Pour ce faire on assiste à Iroko TV au Nigeria, cinewax au Sénégal, TV5 Monde
Afrique, Wouri TV au Cameroun et bien d’autre ; qui ont pour option de poster sur
leur Web TV les filme destine au public des réseaux sociaux et aussi sur leur chaine
YouTube après que les chaine tv ont fini de distribuer en 1er.
Conclusion