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Année universitaire :2021 /2022
Remerciements……
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PLAN…
INTRODUCTION :
(Espagne)
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE
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L’évolution des entreprises pendant la crise sanitaire (covid -19) :
Cas du covid 19 dans le secteur touristique.
Résumé :
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INTRODUCTION
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que l’impact du COVID 19 sur le tourisme est de la même ampleur
dans le monde ?
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CHAPITRE 1 : le tourisme dans le reste du monde
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tourisme dans chaque pays varie en fonction de l’offre touristique de
ce dernier.
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Section 2 : les conséquences de la crise du COVID-19.
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nombre de demandeurs du revenu de solidarité active augmenté
de 10% depuis un an. Ainsi, ce sont tous les territoires, urbains ou
ruraux, qui sont affectés. Parmi les plus touchés par la crise, on
compte les étudiants ayant des petits boulots, les intérimaires,
mais aussi les entrepreneurs et les artisans. De plus, d’après
Manuel Domergue, Directeur des études de la fondation Abbé
Pierre, les familles monoparentales sont les nouveaux pauvres
de la covid ; et de plus précisément les femmes seuls, dont les
emplois pécuniaires n’ont pas survécu à la crise.
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Juillet, déjà avait été un mois désastreux, ou les arrivées avaient
chuté de 75%. L’Espagne, deuxième destination touristiques
mondiale, a aussi vue le nombre de touristes étrangers
s’effondrer de 76% en aout sur un an, selon les données publiées
par l’institut national de la statistique.
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tenter d’endiguer la hausse des cas, notamment en Catalogne,
dont les plages sont très prisées des étrangers.
Les arrivées des visiteurs ont baissé de 80% sur un an dans cette
région, comme dans l’archipel des Baléares et de près de 90%
dans la région de Madrid. La pandémie a causé plus de 31 000
décès en Espagne. Pays qui compte actuellement le plus grand
nombre de cas par rapport à sa population de toute l’union
européenne.
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CHAPITRE2 : la situation économique du tourisme au MAROC
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32098 lits installés pour la période de 2010-2015. Les marchés de
Marrakech ; Agadir, Tanger, Casablanca et Fès ont raflé plus de
80% de cette capacité. La crise de COVID-19 a montré que ces
marchés sont les plus vulnérables en matière de prolifération de
Coronavirus. Il faut donc repenser à comment élargir la diversité
et à diversifier le champ touristique marocain après la pandémie.
Ceci en interpelant les institutions marocaines à se mobiliser pour
le financement du tourisme grâce à l’activation des fonds
d’investissement dédiés depuis 2004 déjà au tourisme. Certaines
autres mesures comme l’amélioration des procédures en ligne
ainsi que la performance administrative et l’introduction des
nations de crédit ont permis de consolider et d’élargir le rôle des
actionnaires dans la direction de l’entreprise, l’amélioration de la
soumission et du traitement électronique des documents
d’importation. Tous ces efforts ont permis au Maroc de garder le
cap à un moment ou d’autres destinations maghrébines et ou
africaines n’ont pas pu résister. Le classement du Maroc selon le
Doping Business 2017, rend compte de ces efforts. En plein
période de crise économique, le royaume se situe à la 18ème
place au niveau de son urbanisme touristique, à la 40 et 41 place
en matière de création d’entreprises touristique et
d’acquittement des impôts et taxes. A la 68 et 101ème place
respectivement en termes de facilité de faire des affaires et
d’obtention au Maroc.
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Section2 : les impacts néfastes suite à la crise *
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manufacturier a montré des signes de ralentissement avant même la
mise en place des mesures de confinement. Cela pourrait signifier un
impact plus prononcé pour le mois courant, voire les mois à venir.
L’impact réel est exacerbé par la fuite vers les actifs de qualité,
réaction classique dans ces moments d’incertitude. Cette attitude des
investisseurs se manifestent instantanément par l’élargissement des
spreads, soit un accroissement des taux d’intérêts adossés aux titres
des pays émergents. Au terme des trois premiers mois de l’année,
les sorties nettes de capitaux de portefeuille ont culminé à
87milliards de dollars , quatre fois plus grand que le montant
enregistré à la même période en 2008. Le corollaire de cette quête
des actifs à moindre risque est une appréciation sensible du dollar
vis-à-vis des monnaies mondiales, qui devrait peser sur les bilans
d’entreprises gourmandes en actifs en dollars.
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Section 3 : les différentes actions engagées
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pas la demande, le choc économique lié au COVID touche également
à l’ordre et au premier ordre.la stratégie de confinement strict
adoptée par les autorités marocaines a conduit à l’arrêt de certaines
activités d’entreprises traversant des difficultés, en particulier le tissu
des très petites, petite et moyennes entreprises. Si on ne dispose pas
d’un chiffrage exact du nombre d’entreprises en cessation d’exercice,
le nombre de salariés ayant déclaré un arrêt d’activité (plus de 800
000 personnes en fin d’avril) peut nous en donner une
approximation. Celles en activité ne seront pas non plus épargnées et
devront faire face à des problèmes de trésorerie. Pour limiter
l’ampleur du choc sur le tissu productif, les autorités ont eu recours à
une batterie de mesures :
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Le ministre de l’économie, des finances et de la réforme de
l’administration a également appelé à la régularisation de tous les
arrêtés de paiement au bénéfice des TPE et PME
Dans les autres pays comme la CHINE la banque centrale chinoise, qui
a débloqué fin février des extensions ou des renouvellements de
prêts aux entreprises, a annoncé le13 mars une baisse de ratio
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CONCLUSION
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BIBLIOGRAPHIE
Manque à gagner(capital.fr)
Réchauffement climatique(futura-sciences.com)
Corona(l’internaute)
La tribune.fr
Dispositif-analytique
Politique- monétaire
www.bkam.ma
WWW.visitmorocco.com
www.partir.com
générationvoyage.fr
journals.opénédition.org
www.icao.int
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www.Ostélea.ma
fr.m.wikipedia.org
mtaess.GOV .ma
www .TripAdvisor .Fr
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ENTRETIENTS
- M.MOHAMED HICHAM (portier à Riad AKKA
Marrakech)
- M.YOUSEPH AMIR (concierge à la plage Jamaa et
fna)
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