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de la peau.
très qui s'édupent par les pores
Mais ces germes, ces graines,
cesrudimens échapcs aux hom-' j
[mes & aux femmes auroient-
ils pareillement échappé°leur
deftinarion ? Deviendroient-ilsl
abfolumcnr inutiles dès l'in-
liant qu'ils fc feroient porté» S
à l 'extérieur du corps ? La Na- II
mue efl; trop ceconome pour
fouffrk une perte de cette confe-
quence.
I
Nous femmes une troupe de
i Génies, dont l'emploi eft de Cau-
ver la plus grande partie de ces
fortes de graines. On' m'a con-'
fie. en particulier celle des h'om-
I mes & des femmcs, & l'on m'a!
fubordonné nombre de Génies,
qui, fous mes ordres, travaillent
a la recueillir.
Nous Commes à vôtre égard ce
que vous crcs à l'égard des plan-
tes. Vous aunes hommes, .vous
femez, vous cultivez, vous re-
cueillez des .fruits nous autres.
Génies, nous Semons, nous cul-
rivons, nous recueillons les grai-
ocs d'hommes. Et comme un
Jardinier ne referve en graine que
les meilleures 8c les plus belles
plantes de Ion Jardin dc même
nous ne recueillons de graines hu-
marnes que celles qui nous font
fournies par les hommes & les
gaé. • '
femmes du mérite le plus diftin-
Aa refle r'irtformepoint
ne
••Il
de
la parure de ces germes non
plus que de l'ufage que nous ça
faifons je ne tarderai pas à t'en
inftruire. Sortons feulement de
ce Cabinet; j'ai eu foin d'aigui-
(er ta vue, tu vas voir travailler
la motion des germes humains..
A ces mors Amilec foitit» &
je Je fui vis. A peine avions-nous
fait deux pas que je vis à peu
de diftance de nous, cinq ou Gx
Génies occupés à recueillir la
graine d'hommes. Imaginez- j
vous un Phyficien9 qui avec ton-
te' l'attention & la fâgacitc poffi- j
ble s'occupe à fonder le duvet
j l'attitude de chacun de ccsGcnies
c moi/Tbnneurs. Il n'y avoit pas
moyen de s'empêcher de rire;
fallois éclater: j'en fiss déwm-}
taure.
ne fontpasencoreparvenues à
ce degré. CesdirJcrcntes Ter-
res (ontcomme autantdegrollès
pommes, quiquoiqu'attachées
au
mêmearbre ne inûriilbiir pas
toutesà la fois..
Mercure ctantle plusproche
duSoleil a mûrile premier
enfuiteVenus puisla Terre.
DesqueMercure futntur j'yJ]
fusdéputeaveclesgermespri-
mordiaux deshommes. Parvenu
cultivai, °jc «cueillis de nouvel-
les graines d'hommes. EnCuit;
je pallài dans Venus, quand j'eu;
appris par le moyen de quelques
Couritrs, que j'y ivois envoyé
l'.ivs que'
je partie il y t environ¡'
de Venu-,
il p r .i ik, &: j'arri-l
huir mille a
vu iur l.i 1 erre ou j'ai commue
de iemer ce de • moifïbnncr.
Mainrcnanr je fuis -fur le 'point
d: partir pour Mars dont la
maturiro s'ayancc fort de.!].
j'irai m'cr.iblir dans Jiipircn en-
J1n je finirai
ma carricre par Sa-
turne, qui, d ici a plus de dou-
se mille
aras ne Cet*, ta étal
faudra
encore ce tenu pour mû-
rir » car comme tu (çats il «ft
extrametaent éloigné du' So-
t
des gprjuiac! en* bout dot or,
P £Lm la A..1 ^11
il L<MjHel
mnKs~im ranctor <k riwi
ou «le pleurer de FémxnR .pm-
11 grandes
chofes » ^ttané on Es |
ïupprochr de leur wgnf"
fafiiiR entre ies Càftiiis- & f»J
> C^xiï'|«nîr ans pneupte mil nm
I Aïtianidlresma O*rfs» mEsi
I duries XFl. fe fcw? cmg>- 'êm-Ë
nts oui été dktar.iis. Et eml
«la p>. m «Êpiis fi j'aiî' funéi «m
j* «Us nue fpUnèr
on R)'applHidk<> De qmi «ne
l qu'il- oc im; réfe pear-êtrè fâs
ande ce cjulij n'y aura petit-
être dam Mais,ltjuç«ie; ces noitv
uses peu Héros qui vjvtftt en,
paix avec leurs Vvoifins s «ta ce
qu'il ne s'en n- vera peut-être
pas un fcul capable d'aflintblcr
les
etns pour aller égorgcr les
autres; En verire je pta& que
q.uasid on n'a à .gne de
pareilles ebofes, oa->oç4oil pas
tue inconiôkble.
je le veux,, reprb-j«, m.iiis |1
mais ••>
U nttoit
Pu:utt i^m ne
,j3our ttooncr de ce*, failkurs J
que 'la- moteflè
point au mnicu de leur troupeau.
Les grrmes des Apotrcs ne font
pas « encore épuilcs vous ^'en
trouvt i:t z encore..Ayant ainfi
cpngedie 3c Génie grondmr.j
Amik'c ferra les graines cecktû-
fliqucs qu'il' vtnoit de recevoir,
Ce i
former dans l'infant c©n>
me un torrent de que
le wms qui «nsroiii: par ïa fenêtre
ooiiwte du cote du Midi, empor-
toit au Nord, Ce nuage qu'en-1
traîne k vent me dit Amiiec 4|
eft compofé pour la plus grande |
partie de granes d'Anetvs <je |
,*• Romans, de, iWres fnanq#s V
feûradeasperits morceaut qu on
dans ie fac i
peinr en eft-il
I relié une rruiiume partie, qui
Par Ion poids a rclîfté !*im- j
.pctiîTcfe rnÊrnc, il, y en en-
Gort beaucoup à retrancher. &»
ce
blc aux yeux des faibles» d'ob-
qui paroi/Ibit clair > Se.,
de porter ks icincnces du trùnbifi ]
au ieui tnêmç du repos*. Après
que Jes graines k fureur ainli
partagées» un Gcnietamaâ» cel-
les qui 4'ttoifH.t approchées à.vt
ces
me famHLarifcr avec les Puiflan-
J'ai vendange
[ la
I
au
blc du magaftn, en tira tme bat
fe de viole, la mit d'accord.» &
Enuiite il -plaça
Grand -Maître.
fur la table'- plu-
l'air
que HiivaoC que je paxeouroistes
que je-
jouais.. » différences graines en-
croient en & bondiflôknt,
efcirafe
chaque ckflr .1 (on tour, le icouc j
en rmrforc & fane, confufion,
Âïnfî je donnai le bal aux habi-
dit-il»une focieré.
ment,
& continuel de ccs dliodrcs j
que pénfes-tu '.qu'il doive arri-
au v« dans le progtes
De deux choies l'une re-
po»dis*je » ou les cifundres en
Ibrtant les uns des* autres, s'a-
lifteront craBv eux «1g: manière
j
“, «uc 'jne
M lois l'âa;ro«filcmcar
Se pour
de l'une ôe de l'antre.
( Il Tantôt on a pris ces cilin-
», dres pour des rudimens de
plantes & d'animaux,, tantôt
pour des'vers tout réeen-
fi, 'ment
molécules organiques. Mais,
L, au vrai fe ne font que des
tubules
| le fcul nom que je leur don-
l't,, nstaii dota, la Ame, feitque
quelques rameaux.
Si l'on fcparpit les n&vsve-
aux produits de la végétation,
des anciens, &c qu'on fpurnit
à ceux-là un fuc convenable
[“ l'accroillançnt continueroit &
fourniroit de nouveaux arbres,
qui eux-mêmes &: de la même
niiliicrc, pourroient en pro-
duirc une nulricude d'autres,
M
& ain<i 1infini. C'eft ce
qui arrive dans les greffes,
les entes les bouture'- &c.
Il n'en eft pas ainiî des ru-
bulcs vcgctables des animaux.
Leur figure les ouvertures
les diftanecs pro-
portionelics font 'tellement
1 jo-diipofces, que clans le pro-
»t grès du développement les
produits le forment des obfla-
des .mutuels clui jiuginenùnt
du
%» de plus en plosmettent en-
I» mène Une preuve de cela»
i
bornes ràccroUîè-
cs«mp!e » un homme,il
n renaîtra de nouvelles chairs
9, mût il ne rendît» pas une
II tl nouvelle main. Cela vient
de ce que les mbtiles végéta-
i,,
blcj> uns foutien tombent
-les uns, fur les 'autres >- Arpar-
M
réeoliers, donneront lieu â lai
de
» fe
I ,j e
'«, aeux
la communication 'des
genres r de quelqiac na-
En peu 4e
îuiiettca
ojufté* rainme des tuyaux â
d'approebe- ils le inoulCTK» m'en».
boum, £,"in;lmucïj||
dans ks outres; ils fe élvaioppcm
uns
|
j
re; te l'offrir clans
mais p«ur
un plus jjrand jour je. tc-
prendrai Ici çhofes de ptuy
loin.fur interrompu
Amilec par
trois ou quatre Gcnie&qui croient
venus vers lui avec beaucoup
d'empreflèmenr. Seigneur, dit
l'on d'entre eux, Ifmclîe Moif-
fonneur Roval vicut d'arriver au
magarîny il eft ©eunin de tout
ce qui eft néccfWre poux 1*E-
iediort des Rois, & il nous a
envoyé vers vous pour appren-
dr: quel jour il vous plaira qu'on
failè l'cprcure de la graine de
Souverain. Dès aujourd'hui
i'fendaii peu près comme le» cor-
mes de l'efeargor: il* s'éçhappcot par
des fentes lat>:icl..s irumifiirnlt en
diiïirem km, i]|i'i'aiu les pjauis tra-
ces par la nature.
répondit Amilec ¥' voyez -vous)
ces nuages qui s'avancent -du côté j
de l'Orient,? qu'on fixe leur.
J ptre à l'ordinaire
je les ren-
Ja fuis charmé continua-t'il
en m'adrdTànt la parole, qu'il
1 vorable dete faire voir ce qui &
palle de plus curieux & dc plus
n forme détaché
de raraillîcaitions il
M s'àok du végétal ou
dï l'ammzl 1 des Grandies o)~
w
n ouCependant
'il
de,
» û dttJiLhcm drs autres* pour
> ifiwmcr
il cft
i» s> ni trouve en prcoic-
de la môrc? utunrci,:£U
», <qptn leurs fuwta
I
“> Ia:ril»iabiSi.-j à Lf pLtiitr mue.
Aiiiiii, undis <pe «flam çô«5
la w
Nature pKpue lés tubules
»“
dau la k'cotidanon nuis il
fcisa un lieu favorable » êc <:«.'
lias 9 de quelque' nature qu'il
fiwr, nous le nwranerons cm
général marner, Tubâfe
Levain, Matrice» «rois elwïfo
néeèflâiresau grand œuvre de,
» La Nature (é fOm à dm
âts
comme dans la tulipe.
ï> La colonne q-ii s'élève
mÉUm «te tcuc ikutf cogmem»
»' & les fubisfo, Se ks imrri- j
M
fimrteQit îewt ioraini itsMiiï la
a» mme cfune lc
»
¡principe vtgstsarif $°infa«; dans
Sj
,lt la colraniae» les tubules ce
'» fom pésKttés, la fécoudaiScn
M
tôt ces inftrumens le trouvent
n fur le même individu mais
M hors de portée, d'agir les
uns
mal une communication avec
('le
avec beaucoup d'art. Le Grand-
hommes"
li Manufacture des
prir il.;ncc, & me
ht^
ligne1 de me placer à côte de lui
lûr le tabouret.
En niêmc-tcms Unit.! vint
Amilcc, & lui prefema la- boetc [|
qu'il
lec li prit Se l'ouvrir je vis
leurs Al r-.Ucî leurs Hauceflcs,
fcnrsMajcftcs, routes 1rs Gran-
dçurs du Monde réunies 8c
cies au point de ne pouvoir rem-
plir rout-à fait «ne ras-peritc ra-
baticre. Cependant il faut que
je ibis L-ien foiblc, ou qucïcca-
I raûcre de Souveraineté Coh Hin
impofaur) je me fuis fenrifrappj
âc rclpsék la
vue de cette pi«-
Sée de corpuicuks prévue im,
perceptibles. Je vous fclidtc j
dit Amilcc, en remettant la boëte
au MoiJonncur Royal, vous
•avez fait u uni: très abondante
rccolee, elle fi:&ra, fans doute,
pour compkttcr notre provifion
de graines de Souverain».
Satisfait de cet i-la^e, Minci
mieux. à
Le pcuple tft toujours peu-,
de contraction Se de dilatation,
I Cela va quekiucfois. au poinr
J qu'elle s'éledriie Se pour lors
la commotion Ce communique à
la ronde à toute la- mcaue grai-
«c qui (t trouve' à. fa portix. J
Apptrçois tu .ia graine, de Reli-
gieufe dont l'enveloppe cft Mt*»
douce ôc polie t L'txririeur en
paroit paihble, mais intérieure-
ment elle renferme un prmdpe
de feu qui la minc, i'ouidemcnt j
en forte qu'âpres un certain tems (
onla trouve confumee en de-
dans, & hors d'crar de Ce te-
| produire. Et cette graine de
couleur changeante .deviheroisf
en qucllc elle eft? Ce font des
germes de Coquettes ccux-ci
ont des couleurs vives «&*pa-
roilTent (cinrilîer; ils nous vien-
tient des fp-clacles ceux-là
onr des couleurs" plus douces Se
l'air moins anime ils ont etc
cucillis lur les Coquettes qui Ce
refervent jouer les beaux fen-
anicns les uns & les autres
prennent de l'embonpointà piro- j
portion que les graines de Dupe$
que m vois à côté perdent du
leur. Tu pcux encore voir la
graine d'Ambitieux qui s'élève
avec lenteur &: retombe avec
précipitation la graine d'Or-
giicillcux qui placée fous le
récipient de la machine pneu-
matique, ah vertu d'empêcher
le vuide; la graine d'Hipocrires,
qui jeue de l'éclat en plein jour,;1
celle d'Hommes pieux qui ne
l'Amphithéâtre,
vers le centre de
mais dans Il
fuivî de plu/iturs autres Génies,
qui tous' portoienr dans 'leurs
mains de la gra:nc de. peuple
bit-
Toute graine de Souverain
mc->uit]
s'arîoiblilknt
j!
lanon j^iii.rale. Suis ccl.i ce L]
a Ion Onnman
du lîiîgulkTj
&: ce qu'il y
celui-' ci n'tn
gardc plus haur & gauche
le tourbillon d:- l'ancienne Rif-
de Hollande, qui
niainunant a pour "centre une j
Il
mes de retire \iim il J- lu
lIt de
d'adoucjlliin.s comme U graine-
d'F.pauic ve.rnioute
comme la i>r.ime dc M
rourcrent le C'ouncr,
être en ch.-irni.in:
p.ivs pour
• faire des Syltâr.c^ a perte de
vue.
j gens de
Et les protecteurs des
Lettres, les Mécènes
| ont-ils Lien pris > j'en ai recueil-
A Lt'NEVrLLE.
aux dépens de Chr. HUGENE,
l'»S'II«Sl Dl FOKTIHILLK
L y a comme v<rô$
favcz, cinq
«ne par votre ordre le
partis de la Terrepour
aller peupler la Lime. Le
` si trajet fur de courre àûsée êc
n des plus heureux. J'avois
fait embaler avec tant de loin, j
ies graines d'hommes que I
vous aviez bien voulu me con-
fier, que fur toute la route je j
n'en perdis pas, une feule.
lI ,j nement quand à mon arri-
vce dans la Lune
cette
Il
clic la plus rJgïcn à;
'où entre dans 1..
M
qui parviennenc la> Lune; il
L, s'y en élève de tontes Portes
de plantes & d'animaux de
façon qu'on ne voir rien fur
la terre, dont on ne retrouve
nz a de très^ourte
à n'ente on
dûri'e ï
dr ,au
hommes I
» plantes, animaux,
femmes. tout eft ftcrile» au-
que rien piii/îc manquer à là
i >y Luné; ,1a Terre y pourvoit R
I », fournirait en graines de toute
espèce, fur-tout eh graine
t, dïtourdi dix Lunes & plus, j
n Ci elle les avoit dans Ta (phétè.
burette, les enrans éclofe-nt
de côte & d'autre fur la jfur- j
tans de la
>,
s'H^/j
» il n/le dans l'igne
rjure s'il ai f>rt il extra ->
1 y en a 'beaucoupqu on
'm
B> mait mate loa*
Une piene
m
•»
.NI en TelB
e'eft
tm inlêâs, on
rien»!
lés. ooeapor iodk
d'entr'eux un moucheron Se
M un microfeope > voilà mon
bjeacôt pu la |en-
w ecur de leurs Tuccès.
Ces gens qui afoow, que
n pâme., &:
un deux » &
w.
ftiBais «|sisdk
w-fi.vous;ne..n9a& pttaiBai «foiifi
m t
M
» end
ppanage
, Chaque partie quelqueté-
de ce-
I » immeafe fous les yeux
t»
lui qui s'en droit chargé. La
i, Nature fA l'HiJre de la Fa-
ble; on lui coupe une tête, &
>t
il en renait fept autres. j
fifterac de la Nature. On a
donc prépare Jcs voies à ccr
homme mais il n'a point
encore paru. Cependant les
n faftes erolliflcnt, les faits fr
mukipliaic, les expériences
a.
s'accumulent 1'efprit s'en
étonne &: s'y perd, tout eft
défcfpcré, à moins qu'il ne
furviiTjncquclqu'Amphionqui
au ion drfa lire anime ces
alïcmblagcs informes de ma-
tév'nm, ôc conftmife pur en-
j»
Qri trouve cacore ici* 5f i*
tt
GHEUR AMILSCi de* i»t- j
M
tératcurs
&
» la Lune crois Ouvrages «qui;
font bcaucfliup de btutt.
peine
il vu le joar, qu'il parut
ped & fut nw$ àîlndou On
aflembh les Fous les plus et-
u nommés, (,'ci coiwne mit tl
M diroit fur la terre 0 les
fopheé les çjus célèbres. )
I .»L'Ouvrage fut examina érour-
|» Se juge de même.
.» On enferma l'Auteur, Se le
,s Uvre fut condamné comme
m pernicieux diamétralement
^ermt
U plutl
•“ gié»ài bmmet, le némt de
lité
femme mnè va tu la
il adore dans ja
fr&p-
ne fimqmése f&mt; il jmk j
M âu biens fou que !&w peu de
défaut; ért» l
ferma èes Ounwesj
Le
n Londres qui idhicliemintfont
D.
k pins
de Inuit, eft Se,
m
Diâimmdre Uakwrfei» mfml
if prend m pwkr as tmt » &\
us int rai/omerfitr rire; Ouvrir j
a» gc
ttès-urile aux fkinéans, &
éattt aurpvi
»
», peur pâlît r.
•>
Offlf i
la
mr tmèéttitse d*
vu
du
M
pu,;
que
» compost de
1.
vôeft'
t. une, liqueur extraordinaire-
« ment fubtile quoiqûc très-
fixe. On prétendqu'elle.a de
l'analogie âvec rame par iâ j
I » fubtilitc Se avec le corps par
| >» fa âxiui & qu'elle peut ,en:
,t portée de la failir.
w
Un fiége où l'oit ai fatymn
im
dm* m%émims & fa».
M Une Boiugic mjg lqœea '• an j
éua ma ce qu'il j » de plus
inintcjljgibicj, même dans le
iI» » f&«, tÂmêëêm* k$ éfm»
n
f6dc$Chimiftes,
«r«te de la matt^e, SoiCîosî»
»» Je .n'en ininïSsf», fi j'en-
w itteprenois ¡de déttiiJer mutes
le Cabinet J'en
M
reviensâ ce qui conccrmc mail
m
niïffion» J'ai été
«* tt'foodre
1 h m k nombre des habitat»
if
inNd tout bien Wfléchi
M e réfoîus de montrer 3 ces
tête* Itgâes dés homme* de
M poMfcfie
i» qoe la leur. Dam cette idée.
M
mé ToiU à répandre de côté j
et d'autre des germes de dif-
M
tarare MMre. Phiiieurs ifîc-
M des Ce Cont écoules dans
cc
[setraviii!, Ac j'ai remarqué
m»
cp'cn général h gratine de
n»
mnitnet prend d^utft ce pays-
M
râmine
L»
d'homme* n'y fait' pas S ïrien
i.beauciDup près i cependant
celle de Ja plupart des Poëtu
m s>fp«iBi«»t. PonrmaerainrA
»» de $Ëfët$, mmat vaJoit-jl la
In
fc; en forte
font i peo près aujourd'hui
In
m
devons; & je ranenraia>m&-
u
m & «m inesroiir aâffî ingcafi Je
qticlîc
niflôis.
graine ce
Je -l'appris en
/c four-
mo-
ment, & la rendre fTc parctncUc
m'cxdfa à m'encjuerir
ment de tcfi\t ce qui le rcgardoit.
Le Citn;c Courrier, rcrturcjtiarir
que je m'y iritcreffbis comnic il
convient k un pcrc ni'tn ritj
grâcicuiçmcnt un ample détail.
ckvtr des
(oh devoir
bien raison de douter que ce
que
je viens de vous. dire 'de vorre
foit vrai puisque vos fenti-
1 fils
mais
venoie de nie propofen
dit-U c'en, que votre
Et
triftefle me fait pensée que |t
vous ferais être plai/îr £ je x
peut
ai'oSruh vous prendre avec
moi à mon. retour a la Lune. Le
Seigneur Amikc vous ayant rmf- (|
né ju Qu'ici v. vous, accordera.
bien ce plaifu.
Je pris mon Génie an mot,
& fus auHi-tôt trouver Amilec,
auquel ayant dit la raifort qui h
me fiiiok cteiiref de faire le II
Voyage de la Lune, il tâcha dc
m'en cErtùader. "Mais 'voyant
que je m'obftinois obtenir cet-
te gtace, il me l'accorda, com-
me maigre lui, & il expcdia le
Courrier avec ordre de parler
d'abord la Plane re de Venus?
Nous partîmes donc auflï-tôt,
& arrivames en peu de tems au-
près du Génie qui y refidoit de-
punis plusieurs ticcles. Ct Seigneur
j ayant appris que j'étais unhabi-
tant de fa Terre, me demanda
fi les hommes' y croient dçve»
nus Cages & heureux Lui ayant
IrrpOndu,
que ce que j'en avois
remarque ne me laiilbit poine
lieu de ks peirxire dans ce point
de vue mais plutôt comme
failants cc qui .leur droit nuijiblc, j
ôc ce qui au poids du bon (lus
étoit ridicule od inju/lc. Je vous
entens,
rie rranfportee d'ici fut la Terre
adcçenerce. Je te crois açai du
bTçncctc de ces compatriotes jc
in(tru-:
veux ie donner quelques
crions, furies moyens de. faire,
un heureufe Reforme. Pclc
bien ce que je ce dirai.
Reforme de l'Education.
N méchant naturel cft la
fource féconde de tous les
vices* fi l'on ne travaille ailidû-
ment a le corriger 8c- à le, cour-
net au bien.
Un beau naturel fe gâte,, s'il;
n'eft point cultive & dans un
age où les pallions font fi vi-
ves le cœur Hau- p.tr la douceur
-des plailirs (lui lui unir offerts,
s'y
[ larfqu'on n'a pas pris foin de
cachent..
turc.
Cent des réflexionsCages,) ou qui
rcrnplùlènt Con coeur de fenti-
mcns cendrez en un mot
faudroit aider & caretfer ta na-
donne le jour.
Des que fa longue forraeroic
les premiers bJgjymens ik tjucJ
ion oit il II- {('rait ouverte aux pré-
mien foas, on 'le rneteroit entre
¡les mains de maîtres vertueux &:
favans on lui
arts., mais on lui infpii croit- Il
verni;- on ccudietoit fon
cc, qu'on connoitroit par (es
goûts on obicrvccoit tjiicljcf'
différence il y aurôir entre fon
entànce <5c l'enfincc Je ils- pa-.
I
me il fit réellement un choix
pour la focicté & tel que la
lociéoirauroitprC'vuv afin que le
tous.
Si la pafïïoh feule fc chargeoit
de l'union. des amans, il en te-
fulrcrok de grands maux. Des
trop /impariques s'uhiroicnt fon-
vent, & fouv?nr il en naîtrait
untkrs, vicicnx, & vicieux mê-
wrtus
Tons les membres de la Codée
té qui croient infirmes, iHalfains,
laids, fats,. mécham feroiect j
retranchés de la [aciéré. j
Cepenple n'auroit pas befoin
dt médccins: car les enfans vecr-
taevx & fains de pères vertueux
& foins ne meurent que de vieil-
lcflê.. i»
Ce peuple per&étioneroit les
arts cV les Menées: càr il aurait.
dug<fnic, de l'activité, une fui-
te d'expérience, fie la paix.
Ce peupleobeiroit à la religion
& n'aurait qu'un culte.
,j Et comme cette fociéré ne
». pourroit fe foutenjr malgté la
i, vigjJincc continuelle des ma-
>r giftrats fi elle ctoit «rop
nombreufe, elle enverroit de-
»,' hors tous les dix ans. un ccr-
tain nombre d'hommes, pour
» prévenir les maux que caufe-
roit l'augmentation de l'e-
fpccfc.
Ces hommes fcroienr priai
» parmi les & les
plus vicieux tj
» {en mal faits Se les' plus]
de catc République^
(croient les phis «cfljp«ff au.
» antres pais
eft i remareftter
Voib ce oui
«n général, fades moyttos cfonc-j
Rdormc radicale dam- des Socic-
ce
Quand même les Parcns n'an-
roient pas beaucoup de mente,
la charité Veia- j
Se
lent qu'on évite de rompre
avec eux qu'on cache Ipurs de- j
publique
qu'un Monarque)
1
n aans (on Palais. Sii'onpourj
voit Jbuter de la capacité na-
turclle qu'a le peuple pour
di (cerner le mérite, il n'y j
j!( adroit qu'à jette les yeux fur
h règlm-t'H d famille SI ne
peut régir fa familleles îrêncs
corn-
vcnt-il pttndtx
la ment
de Empires
L'Etat ne doit Étire qu'une
nfftwilies
al
le Sooveraifi doit en
M
chacop Se
preimw filloa ccOK cE
alkr Ibuncr Je
S
I âions y appelloienr
il curiofiré attiroir.
Les
gieufe de Génies qur levts Ton-
ou !.1
«finies.
'» ces
», On de devrait faire mourir
aucun criminel il faudrait
j >,
les employer aux travaux pub- j
lies» aux canaux, aufc grands
sa
chemins on en feroir phi-
t* fours daSês fdon k gaare de
n dé&Cb. On craint plus Htm-
:i» garnir des maux, qu'une mont
n mime violente qui les finir
s» eu peu de niomms*
]Les lèmmes c©r*WBÎiBCBM
de crimes dewoiem être om». il
m'on pu la fat
coufriri
|w faa&aàticfkéi&Bhé. Ceft
M meurs
du piemkr rangàré-j
»
venu &• le mérite obfcur, an-
nobhllcz- les afeendans de cet
le voilà de la race
» la plus ancienne. Voulez-!
vous punir le noble criminel j
Se iniolent ? dégradez te,
aoéann/fez &s titres le voilà
les
» palace: feulsvertus & le rang
forment la vraie noblcflc. j
|
les lois > d'abréger les format
«,
rement
reiponfables
Kscpeicun lenteur»
des
cxtdîives,
n leur négligence » quelquefois
lir un bureau
où 1 clitc des il
Jurisconfulces ât tour l'Erapi-
,» n itravaillit à cette réforme.
On pourrait faire de même
n l'égard des objcâs de-
,» fcâueuz, autres
faifant june
en un
choix de perfonnes équitables
m 6c versés dans les
facile exécution
M t»e, Se de
que
M
1 l'Ame
oA, lé fomcnrca &
quantité -cîç
t, 'par
**jui auroient eu! fç
.1
», hmgatsus, & pour des
affaires, en les emhara&mdci
«y
ces édiaiptonrat,dont l'im-
Se
m memir formé le
,« Etant «miutqii4{que clans
des embw;a£Bm [
qu'on croit obligé d'cvôquer1
feit du Souverain,
fj on connut
le pian de ramener tout une
j procédure uni/bnue par fa-
j <juellc tous les Procès fufleor
oU
regarde proprement que
Gens de Loi je me borne à
les
quipuirtc[|
j
Jt
fâre lcntiE, auxperfonnes me- [I
re de Jurisprudence, la beau- ||
te & la jullcflè de ce Plan. Ji{
Comme l'Ordre judiciaire?»
n'eft devine qu'à. mettre les |I
e M faffifamc des queftions 8e de>
|]Hleurs circonftances, il
rctran-
femble
Ç » d'abord qu'on poùrroit
cher toutes les procédures
B ,i ou du moins les réduire à la
feule comparidon des Parties
Il devant le Juge pour cxpli-
quer leur Difftrens, Se recc-
le
I
cable En effet quand elle 1
Ccroir dans quelques affai»
nrs très légères &cdont l'cx-
i », poiïtion peut iiifâncri» être
n aire par les
Parties elles -mê-IS
mes, il re(fe toujours onei»~l
tinicc de cas épineux & maba-
rafles qui imerertènt l'hoh-
H»» Se (tans lesqacls les Juges Se
M»*
Avocats les plus habiles
Dcs
& les plus intégra
à ont befoia
n de marc leur {agarics .polar
\f » démêler le vrai du faux le
t, paroîna point fiijpraiant,poinr|
pen qu'on ait (air réflexion
|j yi> Sir la variété inlîaie qui fe
I «» manifefte â chaque inftanit
dans les aûions des hommes,
d'où inailîcnic les Procès. Eu
im
jnfficc a un art d'embrouiller
|» les affaires, ne faut-il pas que
la
II falloir donc (A: l'on
s'en ci£ appCTçu dans èou» les
Etats policés) il falloir éeabtr
des Avocats qui par feHïsl
érmdes & par leur esperienec
se
,iy
aiflênc acquis les lumières &
l'fiabijmf qui font nece&hres
M pout les affaires les
dp plus ccnnpiiquccs, qui fuirent
si, en état de dontieir c©afcil[ fur II
1111 les
cas qu'on lcur proposé 1
& de pkide; ou d'écrire au
se nom des Patries qm les char-
m gem de leui dCaufe. Les per-
tonnes fenfées amies de
l'Ordre «S: de la Juftice, ont
reconnu de tout tems la necef-,
Il tiré de cet étabMLmcnt. I.t-
bolir entièrement ce feroir
tomber véritablement" dans Ij
[
le. Léi Avocates, au lieu de
rcprclènter leurs Par-
fenir
tics payions, ai*
[
la Juftice & de
les intercts de
n la Vente, ontetc les premier;
à ufer de fùppofoions dans ks
faits, de mauvaise foi ëc de
tcntprincipalcnjcntlcsfuivants.
Il
dans la Société. en eft de
mêmede ceux qui, après avoir
commencé la fonction d'Avo-
car, fans aucune irrcgiilar rèd
de Jajttfticefosveramedans
» te
la
prudence va donc à interdi-
deleur
tort, le Souverainenjoint à fa
Commifîîon ccablie pour ré-j
former la Juftice d'examiner
foigncttfemcnt cons les Procès
M
qui ne font pas cermin'es., '&[
de demêkr les caufes de retar-
i
», emploi,, tant par en Examen,
I >, que par diverses autres prem es
1 1, de lcur capacité.
tant que
n'eft
le falairc des A\o-
Il cars pointdétermine;
ni pour la Intnmt, ni pour le
rems du payement & que
plus une affaire tire en 1011-
gueur plus ils Font il-
continutllcnient ks.
u nancer
vient tous ces abus en de-
(entence dans,
SX m chaque Infrance la rétribution
II » des Avocats modérée fclon j
e »» leur travail-, 3c à proportion
i,
ges, Villes. un ircs_rand
S »»
auAvocats
contraire qu'il y ait des
dans endroits-là
ces
il f» & qu'ils trouvent de 1a prâ-
tique. Il curare qu'il y naiC-
fe des procès de quelque im-
J«, porunce,. Les Parties font
D' ».. fur les lieux le Juge eft fore
peu occupe', &: chaque affai-
Ji ». re peut
erre terminée en bref*
Rien n'eft même plus cflcnticl j
«au Procès
bonheur des habitons de
Semblables licux, que ce que
J >> les
vprennent prornre-
ment fin. Leurs facultés pour
l'ordinaire ne fu/firoienf pas
aux fraix d'une, longue pour-
j »» faire mais (urtout leur repos
•• en
eft beaucoup plus% altéré I
que dans les grandes Villes
», parce que les. objecs de leurs
querelles font conrinuellcmenene
M si routmomentdes occasions de
jn s'aigrir & d'envenimer leur
dans ces, petits lieux mais il
I
eft eûèntiel qu'il ait un degré
capacité convenable à li\
»
In 'de
nature de ces affaires, & qu'il
f y joigne une parfaite mtëerité.
J'»
où Ia nntute dis a^iircs ne
Liifïc apçun lieu à f'Appcl il.:
• p.ovi.'font Hc de la Scriti-ncc.
attire,
Il''
(on
le, (il fr.iix en recourant
j 1,
j >,
d'envovLr
>, prc\
ordré' !|Kvi '1
a-
t.ms.ii t;rc
tous k's /\c'tcs
au TnlM'ii.il lnpcncur de
), lortc t]u avec celis. ours les
l y, (]ii.urt- Icmamcs (usdites (ont
J rairc, c\ rendre une- nouvelle
» Duplique; C'.tt.1
j ») divihon cft fondée en raison.
II pair ailL-mcnr Ce trouver
dans la première Reponfe çu
I \ctption
fur lesquelles le Juge n'eft pas
en eut de prononcer avant
que d'avoir -ouï la Réplique
du Dtinandeur •> & celui-ci
aqucranr par ce moyen le droit!
de prcicedtr deux fois à Te-
ubiiIltiiKrtt de (a demande
l'egalitc naturelle* veut que le,:
Dcfendeiir air aulli le Privilc-
«o d'une double Dcfenfe, ou
Duplique. Mais l'on fent ai- j
liment qu'il faut limiter ces
di« &; contredits & que
tour ce qui va au delà des délai
lusdki, ne iert qu'à allonger
& pour l'ordinaire qu'à cm-
»j) brouiller la procédure.
Il n'elï pas moins 'n'ccf-
iiirc q-ïe leSouvcr.ijn
krenres vovcs.de procaliire.
Trois Inft,Tncc$ falièCcnx pour
“ difcuttT les affaires.
lirigieufes, de quelque nature
qu'elles (oient. Pour preve-
nir les incid-ens &: les diffiail-
tes qui arrêtent la ciealïon
il fautte'yerc-rru'nt enjoindre aux
Avocats lie ne Cc d'au.
nu-
cune cauie ni d'cnunnr
cunProcCi, àvautque d'avoir
pris de leurs Parties roures les
informations néccfi.iires, pour
mettre la vente dans (on Jour,
& le* en état de deci- j
der ce quederailon. Siin.il-
les ju^es i
lie 1 1 première inftar.ee, de-'
I m
vant lesquels le Procèsa cîom-
nu-ncé, Se Ci les Juges même
d'Appel, n'onr pas rendu la
Jultice à qui elle appartient,
«lors la Partie qui le croit le-
•>
& l'habileté rccjuïlc pour en
faire l'application dans les cas
qui fe prcfer.rcntj des -vues
pures, des intehrions conftah-]
us de rendre a chacun la*;u- j
¡lice des foins Se des arteh-
rions infatigables. On peut'
m:mc prétendre d'eux de l'or-
drc, Se une conduire réglée
re r^ï.
I »
t, y donner rous l'es (oins. Les,
parties du devoir des
m
cQrn;ui: t\' co;imr }]> t\cr-
cent la toRction dv
I !c l'rcudrrt;.
i >t ctla rc\i;nt .itix ido-.s «]u«
i noui avonsdc|j
<<; un.
kul Article c:.o:.s
I,, conmieî- t]-i Urvrnr inri
procedurts. ("ne de* •p.ri;
iip.ilfs ^<>rlr!K i[.\r>s la i:i.ir.i;-
tJ at-:re
I
e,
,f,
su
ne foit lignée
Mémoire
i d'an Avocat.]
Car c'eft à l'Avocaf à n'en
ligner aucune foie irregu-
licre, & à dreflèr Sui-rncme le
ftsivant la teneur,
si," de l'Ordonnance, faute de
quai il cft d'abord mis à l'a-
s, nicrulr. Si quelque Partie
opiniâtre veut pafler outre, &
ou l'Avocat l'artiftc
iî il
doit fe faire donner une de-
ebration qui exprime, com-
1
ment voulu h détourner
il a
M
•»
pouflcr l'affaire donc il
s'agir, 8, lui en a représente
I
fonninons ca entreprenne j
l'jirTJin;- ils -pcuv:rir .pifL-r
aulli-tût à h prdr.v. Il > a j]S
cert.iies tems pouf
(ous peine de là perte
I
I cela
du Procès & les Milons cr !I
A LUNEVILtE.
aux dépens de Chr. H U G E N E,
à L'i NtniOKIS -»t rONTINILLB.
S Ù 1 TE
Z A M A
j la voye de Juuic.iturc.) on uc
conitiiloit |~as de tenter cure
I cepta Mon .T;ni ,w-
donc nju' aune Lcttie de
ne
L'avocat,' du Dtbitcur fe con
renta d'avoir inrtr|ctrc l'on Ap-
prl plus (mit-
't
d.int Jongtcms. Mon Ami 'ayant
ou'rre le Rtfe'-l
rcnd,
-t'.it du Deinfcur "apris-la piinc
Je ,1: ,il,'r une Deeilion ten-
daiire a lai le Probes tout
nous cm. i
menr au Refcrend, pour la Dc-
cifîon des Calife*
Il faut bien que fcla foir
repris je car mon arru. m'a
conté phiiîcurs circbriftanccs qui-
ne rendent cette verite que trop
claire, & qui ilemontrènt que
les
de rendre jtifliù', in.iis au con-
traire vovcnr volontiers qnc le,s
affa:rts tr.iinent en
(ans fe imicier que lcs honnè-
ti's gens (oient ruines ^par les.fri-
pons il cil même rc-
connu a(Icz communement que
du iit-l'Hi-
I
de l.i l'Janetc dcWntis .V
en!
touchai, quelque choii. le ( /cnie j
m: repondit qu'il ù\ teroi.r un
phitirdc mc .(ati.sfiirc ("ur ce f
point, h je
par
j retour de la Lxine. )c dentis
ces paroles que fc départ du
courrier Tic fourïloir; 1. point de]
dclai. }e pris donc kongo Se J
j partis avec k- Cômii.r poui1 me(
1
fils aiic j
y trouyamps mon
bien portant mon avec un
fonds d»; chacun dans le cccur f
i caufe de la duruc du ref js
qu'on lui faifoit conft.im.nrnt de
luiptnnLtcrc h Retraite qu'il
mcdiroit & difiiroit depuis tint l|
d'années. Je tâchai de lui ôter
cette idjc mjlancholique en
lui difanr que cet litat de Vie
lui convenait pas. Il mcrepbn-
ne
dit, que celui dont il dependoit,
lui avoit tenu le même difeours à
iarr. vouloir ou pouvoir lui don
ner des raiforts folidcs furquoi
ï| il, fondoir ces paroles. Qo'au-,
II contraire il s'oiiroir lui, de prou-
v, ver devant tout homme irnpàr-
1! ri.it
que cet état de vie croit
k} le dulqui .lui' convint. Il mc
il fou dprir de relie manière, i]ic.
)e ne pus qu'avouer qu'il croit,
||(| trts-hien fond^- & 'que je rri'c-
tonnois qu'il eût eu la patience'
d'années. Il me répondit
quc
(on refpecî pour l'Autorité ctab-
lie fur lui l'avoir retenu juf- [
(|
qu'a prefenr & qu'il cfperoit
toujours que la Providence lui
procurcroitun j ou r ou l'autre l'ao
y complillcmcnt de (on defir.
1 Voyant fa confiance à aimer
la viç contemplative, je le plaii;- ||
/pis de le voir
an milieu des cm.
barra': des affaires dont il esoir
charge, &. auxquelles il s'occu-
< poit ;our & nuit. Je lui té-
moignai mon ctonnement de
l'affection
avec laquelle il pa-
•
medrne produit pas un long eflcr,
deux h:res -.iprés le mal rc-
t^c
te» des fur
outré i quiconquelefaura
Auj^ultidavc des KoHiajns.
Latidavc
lesdifpu-
&
[j ment, ils y font portes par ca-
Ltomme
un Homme qui
a fait
'naufrage, Se que' Je vent pouffé
autres.
&
)
l hoient rien. Enfin lesAnglois polit-
font de 11 grands efforts génie
s
[
1
prir, qu'ils le perdent tout-à-fait.
Du ccré du Septentrion
I cft une République cernpofcf
de fepr Provinces, qu'on appel-
le unies, quoiqu'on n'appe r-
çoive entre eUes pas la moindre
marque d'i:nion, ni de concor-
de* La le Peuple vante iapuif-
lance pr^rerdant que toute
l'aurorirJ it'-jv-riine cft en Ta
^ifpofirion ,5c néanmoins il n'y
a pomt cl it.r, où les Plcbcu'ns.i
jyent moins de panr aux Emplois
pubhcs Se le Coiivcmemer.r
qi'i
| vtiîîent toute la nuit pour an-
noncer Ls heures pnr In rues.
Ces gtr, Li vous (i)i;luit;-nt un
I bon rej os ^n charuaiu on plu-
icvcilkiu
tour le- monde.
Chaque Rc.'jon de iT.nropr
a Ces usages (buvent diamétrale-
le
mentent au point de faire an-
le Si-
nar intc|pofe (on autonte, com
me fit dernièrement
çl'c Paris au fujtt dev difputrs
1
qui
| nunedesCrandïCDrriincla chute
des Petits.
radoraceur ôc l'appui de (à
Un homme du j- parvient
il par le fôcours des mines & des
agaceries,a fubjuguer une fem-j
me donc il a envie; il en devient
bientôt le tyran.
Un àndifera étoit autrcfoitun
homme perdu. En voulant des-
honorer ià M,aîrrdTc il Ce flecris-
Iipit
un lui-même c'eft
maintenant
agréable.quia l'heureux; u-\
lent, d'établir là rebucation fur
de
cclle des femrncs 1
la hommes l'admirent;'
«i rmififtj. #•
I te Régiment percer un
de Con
Bataillon ennemi,' èe dcciJcr":
par ce trait de valeur du piin
de'!a bataille fautre adroit ;}
que jamais Officier, n'a voit 'réuni
tint de Ihgctfe de de bravoure j[
toute la Cour en6n /aifoit l'dogeSi
de Daraon.
Tinumtt va-t-îl (ôllkiter un]
grade dont il eft digne moins
encore pu ron nom que par les
fervices lignalcs qu'il a rendus
lïtat ? tout Paris eft en mou-
vemenr: on vole a Verfailles, la
w m-cluncerè forge des rrajrs ou-
II homme
qm v vi\Okiir il lurti: «ii.ru j]
pi>ur avoir un (.(ii.ijl
V
la fille
ouvcrr à routes les Irions
de n'eft
que trop attachée à l'hum.initc.
&r
de
réciter à la Comédie Françoife,
fur différens ridicalcs; mais M.
l'a peinte avant eox
Se je crois, que la" vérité du ta-
n'^ikr\ir le ftnoii
H!ts cruuiit
tv.-s.
in^rts dans Lur-, i-pi,u>r,s, <îv
t:Iks (t faifoienr mlc loi fàcrcc
de reuipiii Ils devoirs arraches a
ces dnix titres; aimaWes l.i,
locictc, Liges dans le comnjerce,
rccherchoir
nn les avec cnipref'
lement & on ne les qmtm::
qu'avec rc^nr.. On appJIoir.
l>onne Compagnie, un cercle
•d'Iiomtnts dçcehs qui unillîiîr
les vcrnisdu ca-uraux a^rcmen^di
I'ciprit i amufans &:
Il fois, le pfaifîr gagnoit A Iccfr
,e dois ici
parler des Da
'vous
mes du Bel-air. Cela ftra con-
1 noitre les Fe mmes du crand-mon-
j de d'aujourd'hui. Elles merrttn^
une réflexion p.irriculicre.
On a vu dans tous le (icclts j
de ces femmes avilies, l'oprobre j
de leur fexe., & la honte de la
I fociéte. ik Rome en onr
(a/lc 4
Lu cr>:nrnerx ;t
ij. ij:;
f).itn. c .•: n:
"um
tf( pli1», j
n> ti '(t.
:i,r-roiif \<ir.t
Iv..1-
coup i" 'i lie.
ans \iviti: ij.-jn ors1!
IV. r; ..I-
ii hiNolirc.
l Si une jeune pcrtonne entre dans
Abbé?
I t'tllc-
trt la lorgne? ou rougir-clle la
clic cft
perdue (ans reflburec. Le Tri-
bunal dclpotiquc des Femmes du |
;;i an.i monde la luge ridiculr &
maLil.i-.ie on l.rdéftftc, & il ne
lui manijuc qu'un tonds de vertu,
pour n'erre plus iupportéc que de
1 m nun autre perlonnape fin-
gulitr, qui a quelquefois la foi.
J bieflc d'aimer (â femme A: la
j ba/îëflê d'en convenir.
Je fiippofe pour un momenr",
que cette Idole qu'on Vicnr oflr-ir-
au grand monde, ait rtulli dam
I h çompofirjion de ^cs grâces il
ftitFrigcs, cc prélude ne décide
pas encore; il faut que ton tn-
| oinphc l'oit affermi fur, im au:re
lucct-s plus éclatant. Cc n'c(t
pas aflez de paroitre a i (ce da;v,
la denurche, il f.uir l'érre tncn-
re dans le propos, & cVlr !ur
cc point eju'on vous juge imhi-
tiByablcment.
porrarice de ce rôle.
Les Grâces Pentes-Maître tfb, j
montrer en Vil-
le. c'eft alors que ceflânt d'être
j far pour toi, on le devient pour
les autres.
Mais
>
diroir-onon voit
j cous- les jours de ces fats itiran-
f nés prendre avec fùccès chcz les
femmes > Se ne prêcher la haute
fatuité que' par lem exemple.
Je le fça« mais leui rriompiic
n 'autorité pas le cours des grande
airs qu'ils atfcÉtem quelquefois
cinquante ans. Un Pctit-Maîrre
qui dans les comnaencemens de
les prolpcriccs a vu deux ou trois
femmes de réputation de ces
femmes nées pour donner de 1 é j
claf i un perfonnage même qr-
ces, qui débutent dans le mon-
de il eft du bon ton de fc Fat- j
tacher, Se il faut néceflâircmtnt
I fe le persuader car enfin, qoel- j
le cft'la jeune personne, qui
fans une loi fiiprcme, voudroit
| s'aflujeftir aune: intrigue: oûlei
Me tiendroit lieu d'agrément,
Se le bon ton de piaiilîr. On
aifémeni', qm"nn Periî-
Maître à cinquante zns, borné!
aux feuis airs, ne peut plus vivre,
parce qu'il a vécu. La carrière
d'un fat à la mode, a moins de
duirce que celle d'un homme al
calent.
A propos de ces caractères
mon fils me dit, qu'un certain
1 Polyhiftor du Nord de, la Planète
An bouc ae crois
mois fen (us
:ferez. pour ponvoir foûreirir une
I converfarion & je croyais d'à- j
voie mérité i 'admiration pobti-
génie. & la force de ma mémoi-
rc mais je mc rrompois, • &
| j'ayois paru d'on esprit fi tardif
1 & ci à mes Maîtres, qu'ils
ftitbcué
avdienf penfc plufieurs fais per-
dre patience, & abandonna k
de, jy
quand arrivai, due nous
1 étions obliges de frapper droite
& à gauche, pour pouvoir pafTèr,
f 8c
nous rendre au quartier ou
Ir^o-ll
[} toirs, quarid ils languir
ges
I
agitations., quand
quelque ^urîtiori
il de
creufi & fut'-
ccptiWcde démêles. Cepe/ndam
| cc-tre tjuci-cHe qui (ecjïfelok ne
| devoir je terminer que par le
Eloges .& des fcjicitaiions car fc-fl
Ion la coutume générale, Je Pré- i|
lidcnt deteend de chaire toîijourî h
vittoricpxdv triomphant. Il
Ces Tlidles,
J. d'une l'artt-, qui fut ioikc ainlî
r
Auilirôr trois Bedeaux de 1 Uni-
ont A la flatterie
r c
roit, la m.inifit iio:;i t di ji;
tj
toit^ Or. a:re:io:t
ccurs, »;:• ("j
pièce» d'wgfflM..
Je demandois à mon Hôte,
comment il le pouvoir faire
qu'une Narion û rahlbnnable
changeait en je ux de Cirque du
«cracci à faciliter les
I
moyen de parler en public &•
làdécouvrir la vérité? A cela il
me répondit que-pendant tes
fîcclcs de la barbarie on avoir!
fair à la vérité beaucoup de cas j
de ces exercices; mais qu'enfuit.
des vers. l
On fait cependant .iJncc/jH ce
de funérailles, & l'on prononce;
une orailôn f^ébre. à rhqrmtt.ir j
de chaque defunt, laquelle n'dl
dvcuu-nt G l 'Orateur
oas;cu
ou cjtténuc le maire de la jki-'
Ion n morte. Dc-I .i i :nt qu
les Orateurs de «e Pars-ld funt
eKtrémemcne économes de Io«-
1 anges. de peur d'encourir la
peine portée contre ceux, qui
loù'cnc les gens aurdcLi de leur
| nirritc.
Me trouvant un jour à une
de Bote, quel rang avoir
mon
tenu dans le. monde le Héros
dont on eclebroit la mémoire»
I & quelle charge il avoir exercée?
Urne répondait, que c étoit- un
Laboureur, qui venant des
champs la ville étpit mort en
chemin.
pour lors je crus avoir trouvé
l'occafion de me vanger des ri-
tees de mon Hôre Se de ré-
pouiîcr contre les Naucopiem
les traits, qu'ils avoient lancés à
mon occa/lon contre mes com-
patriotes:
avec un ris moqueur,]
et fait en p&s dufji Mat bnnmgite
I priîe
en entendant cescliaib, me
i rappellant le trille 1-ort de nos
| Lakmrain» qui gcminènt fous
une cruelle fcrvirudc & dont(
les occupa-ions nous paroillcncl
Plus viles A: plus abjectes
qu'aucune autuc dpece de pro. il
fetCo'n, furtou'r e que celles qui
yus
ce ne fur
le fceau du liknce u'r
je craignoU ta Nation Này- j
que
topiienne ne éortit un jugement
trop désavantageux contre le
j nebre.
Auditeurstes éviter.
A notre retour nous rencon-
ditois-jc .orb a
flic
enferme, jntqu'àcé qu'ils et fient
cTexrravagucr.
moi im-.nr,
ie centre da ftdjifes. I
Je me mis en chemin, aceom-.
pagné de divers jeunes gens, qu,i,
étant forcis du Soninaire, etuient
envoyés a la Cour, Le Chef de
la Troupe étoit un Vcillard d'en-
trè les Directeurs du Séminaire,
9 était-monté fur un taureau, à
caufe de, la foibleiTê de fon âge
& de la difficulté qu'il avoir à
marcher. Car il ne faut pas
croire que ,dans ce Pats- la il
foie permis un chacun de Ce
faite porter, quand bon lui fsm-
ble; il n'y que, les Vieillards
êc les Iniùmcs qui ayent ce pri-
yilége: quoiqu'on général tous
les Habitans de cette Planète
dûflcnt l'avoir, a caufe de leur
lenteur naturelle â marcher. Ïc
me (ou viens à propos de cela
que la première fois, que le: fis
finis cePaïs-là*îa tféfcriprion de
Nous
arrivâmes
tnhn
dans
\i
.Ville Royale.
magnifique: tes édifices '(onr plus
cxhauflcs- que ccivx d'Apec-, cV
au
a été réfolu ou agité dans cette
Aflèmbléc en ccla bien
dirfërenre des nôtres,
au forcir
desquelles on va dans les Cafés
& dans les r.conrcr ce
cjt.i s'efi 'le C'otrtil
.fr tn fxrc
)tries.
le
une heure,le
des Seraiij.1 rifles" arrive, Scieur
I ofdonnc de le funre-, il en obéi
far le champ. Ils f mettent
l tons marcher tn ordre p.ir Ij-.v
rues.
Etant arrivé ,iu Palus qui.
me parut j'!i:î rcmarquablî1 pif
La propreté i\' tr bon pour, o::i
I y regno::
I emec des ;< ne
vôvojs <]iic ton peu de
nu l'uncc
c:[ ncccflaire;
qui til aii'-del.i du iunple
& p.ir eoiUci.]uent ccr
Jatirail de Valecs &:
:a(it
i.I).ii!,l;^cn
de lotte, .«.ju rs j.: !oi:r [ .u plu
_t iu\e. Aulh un
loi i rein.iuju.ùile
a cette t. our, i/cft eelùi ei
qu'on peux eoiup.;r.er
tjLii cnrrcprcnncr.t pluliejr-
n cbofes tn fore p eu de mûsi
aux gens qui pmmëwm.
paroïfivewf qui dhm Jk
,» votant toujours pair le même;
.chemin, & (donnent beaucoup
de mouvement pour ne
ta F'ainiile du Prince spétanrj
mire à table, dans un infant la
mntreat êjfti. t
évidemment f»'«- 1
ne iiflkultéffi lias, ni
n ce à mute épreuve.
mon ri de tour fon coeur, à la vue
de «soie recommandation û par-'l
conk.a
l'emploi vacant
[eu
Ils leportoknr il
l'étude avec tant d\mlan fous
Ji*d'c-J
fi paticnt «Je
un maître
bonnaire, qu'il y a peu 'd'of-;
forcent avec
tant d'acquis & de
ne
portais,
fùiitois point II rap-
Remarques
je
tourcs les
que notre Philofophe a fuis fai-
ces fur ce Pais. Je me fuis
reftraint à n'en extraire que ce peu
de lignes.
A peine eus -je fini que
lepeller.
.Seigneur Zatnar me iù ap-
Il me fie connokre j
I qu*iî éiroit informé de tout j
ce qui tue regardoit aufîi bien
que ce qui cotjccrnok, mon
[ hls Se il me t«hnëigna qu'il
verroit avec pl?ifir que
vœux confbiRfs fufîên!: fin
couronnés. Il me fit faire
nombre de réflexions fur cet-
ce affaire qui me détermi-j
1 oerent le contenter. lit
rit tout ce <jui dependoit de lui.
'le me conenrai d'accepter l'es
fecours pour m'en retourner lieu-
reufement à la Terre. I
Chez le
AVIS.
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