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P. Agati - N. Mattera DEUG TI « IUT + STS Mecanique appliquée Resistance des matériaux Mécanique des fluides Thermodynamique DUNOD CHEZ LE MEME EDITEUR Mécanique Mécanique du solide, P. Agati, Y. Brémont et G. Delville. Liaisons et mécanismes, P. Agati et M. Rosseto. Technologie Construction mécanique. Transmission de puissance. 1. Principes, F. Esnault. Construction mécanique. Transmission de puissance. 2. Applications mécaniques, F. Esnault. Construction mécanique. 3, Transmission de puissance par liens flexibles, F. Esnault, Electronique Théorie du signal et composants, F. Manneville et J. Esquieu. Systemes bouclés linéaires de communication et de filtrage, F. Manneville et J. Esquieu Informatique ‘Transmissions et réseaux, S. Lohier et D. Présent. Ce pictogramme mérite une bxptice- ments d'anseignament supérieur, prow tion. Son objet est dalerter le lecteur quant une baisse bnutle des achats de sur fa menoce que reptésenie pau: livres ¢ de revues, au point aue le possi ‘orenir de Feri. porcsice bilié mime pour les outs de ment dans le domaine deed: (DANGER) créer ces ceurces nouvelles et | tion technique ¢* universtare, de les fore édiler correctenant le developement massif du £1 aujourd hui menacée phetocapillage. Nous rappelons done que le Code de lo oropriétt inte toute reproduction, partielle ov lecivolle ce ler wilt 1992 {MBOIOANE) toicle, ce io présento pubiice inverdit en effet exprassément la tion est interdite sans autariso- pretccopie 6 vsage collect sans auto’: tion du Centra Frangais d exaioitotion du sotion des eyants droit. Or, cetie pra- droit de copie (CFC. 3 rue Houtelevile fique s'est geréraliste dons tes etablisse 75006 Faris © DUNOD, Paris, 1996 ISBN 2 10 0032178 © Bordas, Paris, 1990pour la 1% édition “Toxde représontation ou reproduction intgrale u partie fae sane Je consortement de Tuseur ou da 908 «tyes dr ou ayant# cause ect lt selon fe Code do a propriss intellociuollo (it L 122-4) t canathve une cortrelagon réprnie pa fe Code pénal » Sevles sont auforsdes (At L_ 122-5) lee copies ov reproduction strcement reaorvbes usage privé du copste stron deuinges & uns ubhoation collective, ait! que fs analyses ot courtes ations Jotfies parle caracie crigue, pédgogiwe ou diniormation de lasuwre & Inquate sles sont incorperées, sous rhservo,tatelois, dv reapect des dapostions dep ales L 122-10 aL 122-12-du mbene Code, relative Ala repeoduction par reprographie. Avant-Propos Ala suite du cours de Mécanique du solide de P. Agati, Y. Brémont et G. Delville, il était normal de réunir dans un méme ouvrage l'ensemble de la Mécanique appliquée, nécessaire aussi bien aux étudiants de BTS que ceux d‘TUT. © Lapremiére partie de ce livre concerne la Résistance des Matériaux. Les connaissances acquises en terminale y sont approfondies et complétées, notamment par des notions d’élasticité plane. Le chapitre 10 concerne la mise en euvre de logiciels de Résistance des Matériaux et leur utilisation a travers trois exemples simples. © La deuxiéme partie concerne la mécanique des fluides et la thermodynamique appliquées. Les automatismes hydrauliques ou pneumatiques sont suffisamment utilisés industriellement pour qu’un technicien, quelle que soit sa spécialité en ait quelques notions. Nous avons cherché a éviter les developpements mathématiques trop abondants et pas toujours correctement maitrisés 4 ce niveau. Nous avons par contre insisté trés largement sur les applications industrielles : Dimensionnement et commande des vérins ; fonctionnement des compresseurs, etc. ¢ De nombreux exercices, tous avec réponse permettront aux étudiants de tester l'avancement de leurs connaissances. ¢ Nous serons trés honorés de recevoir les critiques et les suggestions, aussi bien de nos collégues que des étudiants qui auront utilisé cet ouvrage. Sommaire PREMIERE PARTIE MODELISATION, RESISTANCE DES MATERIAUX, NOTIONS D’ELASTICITE Chapitre Chapitre Chapitre Chapitre Chapitre Chapitre Chapitre Chapitre Chapitre Chapitre 10. een ar ee ye Modélisation des liaisons et des actions mécaniques de liaison Axes principaux d’une section Notion de contrainte. Loi de Hooke Extension compression Cisaillement simple Torsion simple Flexion plane simple Sollicitations composées Le flambage Utilisation de logiciels en résistance des matériaux. DEUXIEME PARTIE HYDRAULIQUE ET THERMODYNAMIQUE APPLIQUEES Chapitre 1. Chapitre 2. Chapitre 3. Mécanique des fluides, rappels d’hydrostatiques, écoulement des fluides réels Notion de quantité de chaleur. Principe de ’équivalence Transformations thermodynamiques. Principe de Carnot. Applications tre partie — . oe - MODELISATION. RESISTANCE DES MATERIAUX NOTIONS D’ELASTICITE co de liaison modélisation des liaisons et des actions mécaniques Une liaison mécanique entre deux piéces (ou deux groupes de piéces) est un ensemble de dispositions constructives permettant 4 ces deux piéces d’avoir l'une par rapport a l'autre, certaines libertés de mouvement et de permettre la transmission de certains efforts. Nous savons que pour réaliser une liaison, au sens cinémati- que, il est en général nécessaire d’associer un certain nombre de liaisons mécaniques élémentaires. Nous savons également, nous l’avons vu en technologie, que pour réaliser une liaison, plusieurs solutions, c’est-a-dire plusieurs syste- mes de liaisons mécaniques élémentaires sont possibles. 1.4. REMARQUE PRELIMINAIRE La poutre dont on étudie la résistance ou la déforma- tion est en contact avec le milieu extérieur. Ce contact peut se réaliser de différentes fagons : exem- ple: soudure, roulement a billes, emmanchement forcé, clavetage etc... Il convient d’analyser correcte- ment chaque contact en vue d’en donner un modéle qui, tout en étant simple, ne s’éloigne pas trop de la réalité. Notons qu’en résistance des matériaux, le calcul des contraintes et des déformations n’a de sens que si on place la coupure fictive assez loin des forces concen- trees. ‘Natons également qu’en résistance des matériaux, le principe de calcul des déformations exchut Ja possibi- lité de modéliser une action mécanique répartie par les éléments de réduction d’un torseur. Suivant le but poursuivi, il est donc évident que la modélisation des actions mécaniques de liaison pren- dra une forme différente et il faudra faire preuve de discernement avant d’entreprendre ce travail. 1.2. DIFFERENTS TYPES DE CONTACT Dans ce paragraphe, les deux solides en contact sont supposés indéformables, La géométrie des contacts ne peut se décrire facile- ment qu’en utilisant un repére local associé au contact. Pour chaque cas particulier, ce repére R(A, ¥, ¥, 7) sera défini trés clairement. Notons que & n'est lié a aucun des deux solides en présence. Le choix de R va dépendre des caractéristiques géométriques du contact : — Vorigine A de R est le centre géométrique du contact. Quand les deux surfaces de contact ont un centre de symétrie, ce point sera le centre 4 du repére local associé. — La base locale associée est en général construite 4 partir d'un vecteur unitaire ¥ qui constitue le vecteur caractéristique du contact de la liaison. ¥ sera tov- jours porté par la normale au plan tangent commun ‘ou par I'axe de symétrie de la liaison. —Notons que la base B(X, 3, orthonormée directe. — Si une seconde direction privilégi¢e existe, nor- male a %, elle sera repérée par ¥. 2) sera toujours Modélisation des liaisons et des actions mécaniques de liaison 1.2.1. Contact ponctuel Deux solides 1 et 2 sont en contact au point A siils sont indéformables et si en A, et quel que soit le plan de coupe passant par A, ils ont un rayon de courbure différent, Soit P(A, ¥, Z) le plan tangent commun en A et (A, %) la nofmale en A a ce plan P (fig. 1.1) Notons qu’au contact en “1 2 A, effort de contact de 1 sur 2 noté A(1 + 2) s'exerce nécessairement au seul point 4. Un tel contact est une vision purement théor que puisque cet effort provo- querait une pression de contact théoriquement infi- nie et donc un écrasement local autour du point 4, qui doit nécessairement conduire considérer une surface de contact finie, méme si celle-ci est trés petite, 1.2.2. Contact linéique On se fimitera 4 deux types de ligne de contact — contact linéique rectiligne (fig. 1.2) — contact linéique circulaire (fig. 1.3). Contact linéique rectiligne (5) est la génératrice de contact Avest le milieu de la ligne de contact. (4, 2) est la normale au plan tangent commun (4, ¥) est Paxe porté par la génératrice (5). dx ba Fig. 1.2. 4 Contact linéique circulaire On se limitera géométriquement au cas du contact d'une bille sphérique de centre O dans une gorge cylindrique droite de méme rayon. Lare de cerefe de contact appartient au plan normal en O 4 l’axe de la gorge. A est confondu avec le centre O de la bille. (A, X) est porté par ’axe de la gorge cylindrique. L’are de cercle de contact appartient au plan (A, ¥, 2). Notons que l’effort de contact de 1-+2 est dans les deux cas réparti sur la «ligne de contact». La modélisation ne peut se faire que si l'on connait la densité linéique de force et la fagon dont elle est répartie. Comme dans le cas du contact ponctuel, un contact linéique est une vision purement théorique puisqu’il engendrerait un écrasement local autour de la ligne de contact. 1.2.3. Contact surfacique Si nous supposons qu’autour du point A, il existe pour les solides 1 et 2 deux surfaces S; et S, qui ont la méme forme géométrique et qui coincident parfaite- ment, alors on peut dire que le contact 1-2 est surfacique (fig. 1.4). Pratiquement, ces surfaces de contact ont une forme qui peut étre générée par des outils : — surfaces planes ; — surfaces cylindriques ou coniques de révolution ; — surfaces sphériques ; — surfaces hélicoidales (filets). La définition du repére associé & ces contacts obéit a la régle énoncée au paragraphe 1.2. Lreffort de contact de 1 + 2 est réparti sur la surface de contact (S) (fig. 1.4). ® Sy et S Fig. 1.4. Au point P € S, notons df (1 + 2)l’effort élémentaire de contact qui s’exerce sur la surface élémentaire ds qui entoure P : sa +2) =?) est la densité surfacique de force au point P lorsque ds +0. S'il est possible de connaitre dans R(A, ¥, J, 7) les composaates de 5(1 +2) en tout point P € S, alors la modélisation de action mécanique de contact est possible. Notons qu’en général, un cas de contact surfacique ne peut se modéliser que si |. +2)|] = Cte ou répartie linéairement et si la surface de contact (S) présente des axes ou des plans de symétrie. 9 Modélisation, résistance des matériaux, notions d’élasticité 2.1. DEFINITION D’UNE LIAISON PARFAITE ‘Une Sinison parfaite est une liaison telle que : — les possibilités de mouvement relatif sont obte- nues 4 partir de surfaces de contact, geométrique- ment parfaites, qui ont entre elles un jeu de fonctionnement supposé nul, —le contact de ces surfaces est supposé sans adhérence. Une liaison parfaite est done une liaison théorique, tant du point de vue géométrique que du point de ‘wae de Ia nature physique du contact. 2.2. NOTION DE DEGRES DE LIBERTE Considérons deux piéces 1 et 2 liées, sans que soit précisée la nature de cette liaison. Soit (A, X, JZ) le repre local associé A cette liaison (voir paragra- phe 1.2). Nous pouvons dans % définir les possibilités de mouvement relatif de 1/2 (ou de 2/1) de la fagon suivante (fig. 1.5). Fig. 1.5. © T, définit une liberté de mouvement de translation @axe (4, 2) de 1/2 et réciproquement de 2/1. © R, définit une liberté de mouvement de rotation daxe (A, ¥) de 1/2 et réciproquement de 2/1. © De la méme fagon on définit: 7,, T., Ry R,. Définition Le nombre de degrés de liberté d’une liaison est le nombre des mouvements relatifs indépendants que la liaison autorise entre les deux piéces considérées, Ce nombre est au plus égal a six. 10 Nota : Quant le nombre de degrés de liberté est égal a zéro, les deux piéces sont en liaison compléte ; on dit liaison d'encastrement. Quand le nombre de degrés de liberté est égal a six, les deux piéces n'ont aucune liaison ; on dit : liaison libre (ce cas ne sera pas étudié). 2.3. PARAMETRAGE DES LIAISONS Si Ton veut analyser plus finement les mouvements, ou les possibilités de mouvement, de l'une des piéces constituant la liaison par rapport a l'autre, il faut pouvoir repérer la position de cette piéce par rapport au repére local associé R. Si 1 est la piéce dont on se préoccupe, on associe 4 1 un repére ,(B, %), 3, Z;) et l'on définit la position relative de ty par rapport 4 2. ‘Ry, est définl_par son origine B et par sa base (%1, 31, 7). Dans le cas général, on montre que la position relative de ®, par rapport 4 R dépend de six paramétres qui sont ~ les trois coordonnées dans & de l’origine B, — les trois angles appelés « angles d’Euler» qui permettent d’orienter la base de A, pat rapport 4 la base de A. Les liaisons que nous allons étudier sont des liaisons dites simples, pour lesquelles beaucoup de ces para- métres de configuration sont nuls. Nous traiterons done ce probléme uniquement sur les cas particuliers. Iya II liaisons usuelles entre solides (cette liste n'est évidemment pas limitative). La définition de celles-ci a fait Pobjet de normes : NF E04-015 et ISO 3952. Pont chaque modéle de liaison qui est une référence théorique, nous donnerons : — la définition ; — la forme des surfaces de liaison ; — le paramétrage ; — la schématisation ; — le torseur d’action mécanique de liaison ; — les cas particuliers de symétrie. 3.1. LIAISON ENCASTREMENT Définition Considérons un repére ® associé 4 la liaison des solides 1 et 2. On appelle liaison encastrement 1-2 toute liaison dont les degrés de liberté dans R sont nuls, Modélisation des liaisons et des actions mécaniques de liaison Forme des surfaces de liaison Les surfaces de tiaison sont quelconques. (1-02) Fig. 1.6. Paramétrage Le repére local associé (A, ¥, y, 7) n’a pas de position particuliére, toutefois, quand il y a (et c'est le cas le plus souvent) une section plane de liaison (S), on choisit A au centre de cette surface et (4, 2) perpendiculaire 4 (S). Schématisation normalisée © Plane (fig. 1.7 a). © Perspective (fig. 1.7 6). mL Lo * Siln'y a pas dambiguité (b) oe Fig. 1.7. Torseur d’action mécanique de liaison Lensemble des 7(1 2), voir figure 1.6, est quel- conque. Les densités surfaciques 5a +2) -G0—») ne sont, en général, pas connues. On peut exprimer en A les éléments de réduction du torseur d'action mécanique de liaison : {8(+2)} = | AC 2) . M401 +2) Dans (4, %, 7, 2) on peut écrire : X(142) L(1+2) {6(1+2)} = {¥(1+2) M(1 +2) Z1+2) N(+2)} an Le torseur d'action mécanique de liaison en A comporte donc six inconnues algébriques dans 2. Notons que la connaissance de ces six inconnues nous renseigne en rien sur la répartition de la densité surfacique 6(1 + 2). La forme particuligre de ce torseur est conservée en tout point de espace. Cas particulier Si le plan (4, %, 3), par exemple, est plan de symétrie aussi bien pour les surfaces de liaison que pour le systgme des forces extérieures appliquées 2, alors les d/(1 +2) sont réparties symétriquement par rapport 4 ce plan et: A(1 +2) est paralléle ace plan (A, ¥, 7) Mi, (1 2)est porté par (A, Z). Alors, dans le repére local R(A, ¥, ¥, 7) on obtient pour les composantes du torseur d'action mécanique de liaison : X(1+2) 0 {6(1+2)} = {| ¥(1+2) 0 alo NQ+2 Jane La forme particuliére de ce torseur n’est conservée que pour tout point € (4, ¥, 7). 3.2. LIAISON PIVOT Définition Considérons un repére ® associé a la liaison des solides 1 et 2. On appelle liaison pivot 1-2 toute liaison dont le degré de liberté dans 2 est: R, (fig. 1.8). Fig. 1.8. Exemple de surfaces de liaison directe Soient deux surfaces de révolution, non cylindriques en contact. Le repére local R(A, ¥, y, 2) associé 4 : 1 Modélisation, résistance des _matériaux, notions d’élasticité cette liaison 1-2 est tel que (4, £) soit confondu avec axe de révolution de ces surfaces (fig. 1.9). z af(1+2) Y y@ X Paramétrage Supposons que RK soit 4z lig 41; définissons R, 22 ie A 2 tel que son origine soit confondue avec A et que a F Yo (fig. 1.10). Lrangle a orienté @ = (3, ¥2) per- A @x ¥ met de définir la position de R,/K et donc de 2/1. Fig. 1.10. Schématisation normalisée © Plane (fig. 1.1] a). @ Perspective (fig. 1.11 b). (a) =+ (e) Fig. 1.11. Torseur d’action mécanique de liaison Les df(1 +2) sont sécantes avec l’axe (A, ¥) ot 4%, voir figure 1.9; leur moment par rapport a: {A, %) est donc nul, Par conséquent, la résultante A(1 +2) est quelconque et le moment résultant en A, M,(1 +2) est perpendiculaire a ¥ (6-42) = | AN 2) | avec (1-2) 1% 4 (4, 2) Dans R(A, ¥, 7. 7) on peut écrire: X(1>2) 0 {B22 {¥G42) M2) : 4(Z032) N(42)Jann Le torseur d'action mécanique de liaison en 4 comporte done § inconnues algébriques dans R. La forme particuliére de ce torseur est conservée en tout point de (A, x). 12 Cas particulier Si le plan (4, 3, 2), voir figure 1.9, est plan de symétrie aussi bien pour les surfaces de liaison que pour le sysime des forces extérieures appliquées 4 2, alors les d/(1 +2) sont réparties symétriquement par rapport a ce plan et AQ 42) 4% MQ +2) =6 Alors, dans le repére local (A, %, 3, 7) on obtient pour les composantes du torseur d’action mécanique de liaison-: 0 8 ¥(1+2) | Zi+2) 0 {B(1-+2)} = 4 .#) La forme particuliére de ce torseur n'est conservée qu’au point 4. 3.3. LIAISON GLISSIERE Considérons un repére ® associé a la liaison des solides 1 et 2. On appelle liaison glissére 1-2 toute liaison dont le degre de liberté dans A est: T, (fig. 1.12). I A vy, x Fig. 1.12. Exemple de surfaces de liaison directe + Soient deux surfaces cylindriques, non de révolution, en contact. (Surfaces engendrées par une droite hz

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