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Chapitre 2 : Une famille sous l’autorité du père

Le père est le pivot central de l’organisation de la famille mais plus pater familias. Tous les hommes
ont vocation a être père de famille au cours de leur vie et d’une manière générale, famille soumis a
la volonté du père, et c’est un rapport brutal, violent physique et moral et il n’existe aucune
institution qui soit en mesure de contraindre les pères de famille.
Lorsqu’on parle de famille durant le haut moyen-âge on pense d’emblée d’un rapport entre le père
et les enfants et le mari et son épouse mais c’est pas forcement juste quand on se mets dans la
mentalité des personnes du hait moyen-âge car famille avant tout a cette époque un clan. Et a
l’intérieur existe des obligations de solidarité. Néanmoins la femme reste sous l’emprise de son
époux.

Section 1 : Une femme sous l’emprise de son époux

Il existe un cadre favorable à la soumission de la femme, et découle une incapacité de l’épouse.

I. Un ensemble théorique favorable à la soumission de la femme

A partir des sources que nous avons, la femme est sous la domination de son mari, seulement on ne
sait pas jusqu’à quel point elle lui devait obéissance. Aujourd’hui les historiens on prit l’habitude de
relativiser cette soumission.
Chez les francs, la femme et les enfants sont assimilés a des esclaves au moins dans leur rapport
avec les tiers.
Chez les germaniques, prix pour le meurtre d’une femme plus important que le mari car femme qui
porte la vie. Cela donne un indice de l’étendu et l’intérêt de cette soumission car femme soumise a
son mari car c’est un manière de la protéger.
Sur le plan civil, le plan de la femme se mesurait sur 2 situations :
- lorsqu’une femme voulait devenir religieuse, elle ne pouvait pas abandonner sa famille (époux +
enfants)
- cas d’adultère : infidélité ne pèse que sur la femme
cette situation a aboutit a une quasi incapacité des femmes.

II. Une incapacité quasi générale de l’épouse

Il n’y a que chez les francs ou c’était un peu différent notamment sur le plan patrimoniale. La
femme mariée disposait d’un patrimoine été liberté  de le confier soit a son mari soit de le gérer elle
même.
Pour ce qui est du père et des enfants, on voit que les théoriciens ont essayé de mettre des limites au
père de famille.

Section 2 : La puissance paternelle au seins des populations barbares

Distinction entre enfant légitime et naturel est pas très significative pour les population barbare.
L’autorité du père sur ses enfants est considérable néanmoins le droit barbare protège les enfants
d’une autorité arbitraire et la puissance paternel est limitée dans le temps.
I. Une autorité limitée quant au droit d’exposition des enfants

autorité réelle et elle est connue et ce veut considérante chez les peuples germaniques.
Mundium = principe de puissance a la fois politique et civile. Ce qui signifie que l’enfant doit obéir
a son père et en cas de désobéissance, les enfants peuvent être châtié punition qui peut être très
violente (mort des fois). Les enfants doivent obtenir le consentement des parents en général.
Forme de moralisation par le père, qui tente à protéger a celui qui ne peut pas se défendre, ici on fait
référence à l’exposition des enfants.
On va voir arriver des sanctions face a ces habitudes, les parents qui abandonnent leurs enfants
peuvent être sanctionner et c’est l’exil. On sanctionne pas l’abandon mais le fait de ne pas
rechercher son enfant.
Au 10 ème siècle, accorde un délai de 10 jour pour aller chercher son enfant.
Dans la vie de l’enfant y a aussi une limité d’âge,

II. Une puissance limitée dans le temps

Idée que la puissance paternel connaît une limite dans le temps, il existe en droit barbare un age
après lequel enfant plus sous la puissance de son père. Normalement age du mariage, et
théoriquement on peut penser que le mariage pouvait être possible autour de 13-14 ans.
Ce qu’on ne sait pas c’est si c’est possible d’avoir recours à l’émancipation. En ce qui concerne les
filles on est encore moins sur de leur situation, et de leur soumission à la puissance paternelle.
Lorsqu’elle se mariait elle tombait sous la tutelle de leur époux mais pour les femmes qui restaient
célibataire, on ne sait pas si elles étaient affranchies mais on imagine que vers 13 ans elle passait
d’un régime a un autre.
Lorsque le père décède quand l’enfant est toujours mineur (13 ans) c’est le parent le plus proche qui
va assurer la tutelle de toute la famille (personne et bien). Bien souvent fils ainé majeur.
En droit barbare il n’existe pas de tutelle dative c’est-à-dire des tutelles judiciaire et non plus
testamentaire.
Dans les cas ou plus de famille, et orphelins = il existe une institution royale qui prend en charge
l’enfant. Mais mère peut pas être tutrice de ses enfants a part dans le sud du royaume.

Section 3: La famille souche et l’idée de solidarité


On peut faire un rapprochement avec la famille typiquement romaine car comme a Rome la famille
se comprend comme une communauté assez grande. Les familles germaniques sont attaches au clan
et communauté même si définition de communauté peut être variable.

I. Une solidarité étendue à une dimension pénale

Lorsqu’on songe à la solidarité des clans on pense a la solidarité durant les litiges. Et lorsque 2
personnes se battent physiquement c’est toutes les communautés respectives qui étaient impliques.
Donc problème de sécurité publiques. Ce système de solidarité communautaire existait même sur un
plan judiciaire c’est ce qu’on appelait le serment collectif. Lors d’un litige, quand la personne devait
prouver son innocence, elle pouvait réunir des proches qui jurait collectivement l’innocence du
prévenu même si il n’« tait pas témoin de la scène. Des dois amendes qui pouvait payer
collectivement. Proches qui payent l dette du condamné. Principe dans le droit du moyen-âge, que
les droits immobiliers sont insaisissable par conséquent il fallait réunir des biens monétaires qui
étaient rare. Si pas d’argent, le condamné devenait l’esclave de celui qui payait sa dette. On pouvait
être exclu aussi de la communauté.
II. L’exclusion de la communauté

Il est possible pour un individu d’être exclu de son cercle familial et ce qui peut être intéressant
c’est que bien souvent c’est l’individu concerné qui est a l’origine de la demande. Si pas de preuve
d’émancipation des mineurs, il est possible de se désolidariser de ses biens communautaires. Cette
désolidarisation est définitive et le rejeter perd tous ses biens, il perd le droit d’hérité de sa famille
et il n’est plus protégé par la solidarité familiale.

Le rapport filial et le apport mari-épouse évolue considérablement. On remarque qu'il n'y a pas
d'apport véritable du droit canonique ou de l’église. En général et finalement on peut constater que
les germains on t’apporter une sensibilité procédurale.

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