Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
Dans la Rome antique, la notion de famille est interprétée comme l'ensemble des
personnes et des biens ainsi que des esclaves sous le pouvoir d'un pater familias (la
famille romaine avait un caractère patriarcal).
Selon le critère de soumission au chef de famille, toutes les personnes étaient divisées en 2 catégories:
confarreatio conubium
usus âge
coemptio consentement
Tout le monde ne pouvait pas se marier parce qu'il y avait des obstacles tels que:
Parenté:
Il y avait un obstacle au mariage avec un parent en ligne directe avec le fini et en ligne
collatérale jusqu'à un certain degré, par exemple, les frères ne pouvaient pas épouser des
sœurs, des oncles, des nièces, des tantes et des nièces, des parents en ligne collatérale du le
quatrième degré pourrait se marier.
La condition sociale était également un obstacle car jusqu'en 445, le mariage entre
plébéiens et patriciens, nobles et affranchis était interdit, mais en l'an 18, ils furent
autorisés.
Dans la société roumaine, il existait d'autres types de relations entre les personnes
Cohabitation
l'union entre patriciens et plébéiens tant que leur mariage était interdit
Contubernium
cohabitation entre esclavage ou entre personnes libres et esclaves
Stuprum
union sexuelle hors mariage de personnes libres, non mariées ou dans des relations adultères
Relations non patrimoniales entre époux
cum manu sine manu
-la femme devient agnatique avec la -l'épouse est restée attachée à sa famille d'origine;
nouvelle famille, d'où l'effet parimonial;
-la femme a acquis son domicile;
-acquis le rang social du mari;
-portait le nom du mari;
-acquis le domicile du mari;
-elle devait du respect à son
-participer à l'éducation mari;
des enfants;
-ils étaient tous deux obligés d'être fidèles;
-elle devait fidélité à son mari,
l'adultère étant passible de mort,
-tous deux ont participé à l'éducation des
mais son mari ne lui devait pas
enfants;
fidélité;
Les relations patrimoniales entre les époux
La femme était sous le pouvoir du mari La femme reste sous la puissance du père
3)Par le divorce: divertere - lorsque les deux sont d'accord et pater familias ou repudium
- lorsqu'un seul des époux le souhaite;
4)Capitis diminutio minima quand la personne ne peut plus rester mariée;
Le mariage était une situation de fait, qui produisait cependant des effets de droit.
Les relations juridiques entre époux existent même si elles ne sont pas
légalement réglementés jusqu'à Auguste et ils varient selon le type de
mariage qui est terminé. L'épouse aura le rang social et le domicile
envers le mari, contribue aux besoins du mariage par sa dot, doit le respect
et la fidélité au mari. Il doit protéger et intervenir en justice dans
faveur de sa femme, mais il n'avait pas l'obligation légale de la soutenir (pour cette
il y a la dot apportée par la femme, dont nous parlerons plus tard), et
la législation interdit expressément les donations entre époux (afin de ne pas priver
le patrimoine familial de certains biens). Aussi du mariage
elle se traduit aussi par des relations de filiation entre les deux parents et les enfants,
mais surtout
entre père et enfants, ce qui conduit à des réglementations concernant le droit à
l'alimentation, à la correction, à la vocation successorale et au régime des successions,
sans ca
pour cela il faut la reconnaissance des enfants par le père,
ce qui était déjà une situation légale.
La situation des femmes dans le droit roumain était relativement bonne, étant donné
en tout cas beaucoup plus favorisé que dans les autres systèmes juridiques de l'Antiquité,
y compris par comparaison avec la Grèce antique. Ceci est fréquemment utilisé
comparaison, droit grec ancien et droit romain ancien, dont correctement, en termes
d'avantages offerts
et reconnue d'un point de vue juridique aux femmes, la loi roumaine est
supérieur.