Vous êtes sur la page 1sur 63

lOMoARcPSD|22666343

Droit de la famille

Droit de la famille (Sorbonne Université)

Studocu n'est pas sponsorisé ou supporté par une université ou école


Téléchargé par Ihab Ahmed Fathi (ihab10462@gmail.com)
lOMoARcPSD|22666343

CM Droit de la MIf
Florence Bellivier

Introduction :
I-Actualité du droit de la famille
Droit très ancré dans l’actualité et qui concerne le monde entier.
. Dans le monde, quotidien du soir, 23 janvier 2022 : vaccination sur des enfants. Concerne droit de la famille car enfants sont mineurs, ils sont juridiquement incapables
& donc se pose la Q° de savoir qui doit consentir à cet acte particulier qu’est la vaccination, qui est un acte touchant au corps. Cette Q° touche le concept d’autorité
parentale.
. Faut-il supprimé l’héritage ? Héritage est en partit familiale + Q° relève du droit patrimoniale de la famille ( comprend succession, régime matrimoniaux).
. Mères grandes absentes des photos de famille : article dit que les femmes prennent les photos & donc ne sont pas sur les photos = renvoie égalité H-F/ famille.
. Assemblée Nationale : proposition de loi relative à l’adoption
. Sénat : proposition de loi visant à maintenir versement de l’allocation familiale en cas de nouvelle situation amoureuse du parent bénéficiaire
= démontre que la famille est devenue un objet de droit cad qui intéresse le droit. Or, ce n’est pas une évidence -> pendant longtemps on a considéré que famille était
objet de non droit selon Jean Carbonnier. Cette interêt pour la famille créer une accélération législative en matière de famille lié au fait que famille = objet de droit.

II-Chiffre sur le droit de la famille, selon l’INSEE, l’INED


Vision statistique du droit de la famille. Règle de droit sert à être appliquer sur des individus pour qualifier des faits.
Allongement de l’espérance de vie à la naissance : 1900 espérance était 45, 9 ans chez un H VS 79,3 et 85,4 chez les femmes ( quand avant c’était 49,5ans).
L’évolution de la mortalité infantile : risque pour un enfant de mourrir dans les 1 an suivant sa naissance. EN 1980, 1/ 100 enfant mouraient VS 2021 0,36/ 100
mouraient chaque années.
Naissance enfant : 700 000 naissance en France/an. % de naissance hors mariage : 1900 = 8,7 % enfants naissaient de parents non mariés VS 2020 = 61% d’enfants
naissaient hors mariage. En moyenne les femmes deviennent mère à 31 ans de nos jours quand c’était en

Comment prive de son exercice de son droit Téléchargé par Ihab Ahmed Fathi (ihab10462@gmail.com)
lOMoARcPSD|22666343

348 000 mariage/an en 1964 VS 2020 220 000 mariages et 97,3 % ont été célébré entre personnes de sexe différent.
L’évolution du nb de divorce : 32 250 divorces en 1964 VS 55 354 en 2020 parce que moins de mariages = - de divorces.
Loi du 1er janvier 2017 = droit de divorce sans juge = juste devant notaire avec les 2 avocats des 2 parties + le consentement mutuelle = divorce déjudiciarisé.
1980 : 25 H & 24 F VS 2013 32 H & 30 F
= évolution du poids relative des ménages dont la famille principale et une famille monoparentale  En 1968, 4,2% ménages étaient constitués par 1 seul parent VS
2020 9,6. 2volution du nb de personne qui vivent seul : 20% en 68, 2020 36,8%. Il y a + de femme qui vivent seuls que d’H qui vivent seuls.
2020 : 720 000 recomposées.
2020 : 12% des enfants dont les parents sont séparés vivent en résidence alterné.
Un seul chiffre ne bouge pas : le décalage de 2 ans entre la proportion d’H & de F déjà mariés à un âge donnée  proportion H marié à 49, il y a 2 ans de différence avec
une femme marié.
Les Chiffres clés de la justice mis à disposition par le ministère de la justice/an.

III-L’Histoire du droit de la famille


Comment expliquer le taux relativement élevé de l’indicateur conjoncturel de fécondité ?
A-Définition des distinctions.
Les 1ères définitions qu’on peut trouver de la famille sont hors du droit :
- Groupe d’individus lié par le sang -> vrai mais incomplet.
- Claude Lévis-Strauss, sociologue, connu pour s’intéresser aux structures de la parenté. Il écrivait notamment que la famille était fondée sur « l’union + ou-
durable mais socialement approuvé de 2 sexes différents qui fondent un ménage, et procréer des enfants, et les élever». Ce phénomène apparait comme
pratiquement universel, présent dans tous les types de sociétés.
- Dans la famille on trouve 3 éléments principaux : biologique, culturel & sociale car combinaison de lien de sang & de lien d’alliance.

 Définition dans le droit : famille apparait de manière totalement marginale dans le code civil. Il y a très peu de définition dans les codes, car un code est là pour
prescrire. De plus, il est très difficile de définir juridiquement la famille, mais s‘intéresse à ce qui fait les liens de la famille  mariage, PACS, concubinage +
relation qui unit enfant/ chaque parents = lien de filiation.
1- Couple + 2- Filiation

Comment prive de son exercice de son droit Téléchargé par Ihab Ahmed Fathi (ihab10462@gmail.com)
lOMoARcPSD|22666343

Le code civil s’intéresse à des liens de 2 ordres différents ->


- relations personnels cad entre personne = extra-patrimoniaux  devoir de fidélité, respect des parents
- relations évaluables en argent au sein de la famille = patrimoniaux  contrat de mariage
Parenté = lien de sang = rapport de droit qui existe entre 2 personnes dont l’une descend de l’autre = ligne direct  fils descends de son père
Ou d’un ancêtre commun = ligne collatérale  frère & sœurs descendent des mêmes auteurs communs : leurs parents.
= article 742 code civil : définit ligne directe & collatéral, date de 1804.
Ligne = suite de degré. Chaque degré fixe une génération selon l’article 741 du code civil -> pour compter = en triangle, tu remontes et tu redescend, voir td.
L’alliance = lien qui ne sont pas de sang, Carbonnier. Alliance = liens qui dérivent du mariage. Dans l’acception stricte mariage pas une alliance, malgré qui s’en
donne une. Se sont des alliances c’est pk la mère de la femme est aussi la mère du mari par alliance.
C’est très important, notamment pour les empêchements à mariage -> cad que le droit met des obstacles pour que 2 personnes ne puissent pas se marier.
. empêchement par alliance -> ne peut pas se marier avec son ex-beau père.
. empêchement biologique
. empêchement de différence de sexe -> jusqu’au 17 mai 2013.

IV-Les problématiques du droit de la famille


Ce tableau va montrer l’accélération du mouvement de réforme du droit de la famille + l’Histoire du D.F est inséparable de l’Histoire politique.

Date + Qui au pv Explications Numéro de la loi + titre


1792 Réforme toujours d’actualité sur la laïcisation du mariage cad le seul valable au yeux de l’Etat, plus une
Louis 16 institution religieuse
Admet le divorce
1804 Code civil qui régit la famille

Comment prive de son exercice de son droit Téléchargé par Ihab Ahmed Fathi (ihab10462@gmail.com)
lOMoARcPSD|22666343

Napoléon Ier
1816 Restauration = interdiction du divorce durant à peu près tout le 19e : 1816-1884
Louis 18
1884 – J. Grévy Divorce rétablit mais seulement pour faute = strictement encadré

1907 – E. Loubet Loi admet que femme puisse jouir de biens réservés = bien à elle seule.

1912 – A. Fallières Loi qui admet l’action en recherche de paternité naturel.

1938- A. Lebrun Levé de l’incapacité de la femme marié cad plus considérées comme des incapables soumises à leur mari

1965 – G. Pompidou Autonomie bancaire de la femme mariée + liberté professionnel

1966 – G. Pompidou Loi réformée sur l’adoption AVEC la possibilité pour les personnes seules d’adoptées en + pers mariés
hétéros.
1970 – G. Pompidou Suppression de l’ancienne puissance matériel = fin société patriarcale.

1975 – V. Giscard- Loi sur le divorce + loi IVG ( 17 janvier 1975) n° 75-617
D’estein
1987 – Réforme sur l’autorité parentale
F. Mitterrand
1993 – Institution du juge aux affaires familiale pour résoudre les litiges relatifs à l’autorité parentale dans les
F. Mitterrand familles : légitimes & - naturels.
1994 – 3 lois 29 juillet 1994 = loi bioéthique
F. Mitterand Révise le 2 août 2021 = PMA : ouvre la procréation médical assistée
1999 - Chirac Loi sur le PACS + définit le concubinage.
2000-Chirac Loi sur la prestation compensatoire -> celui qui gagne + doit verser pension à celui qui gagne –
2001 - Chirac Loi sur la succession -> a supprimé le statut des enfants adultérins  suite à arrêt Mazurek 1er février
2000
2002- Chirac Loi sur attribution du nom de famille & dévolution de l’autorité parental
2004 –J.Chirac Réforme du divorce
4 juillet 2005 Réforme de la filiation notamment suppression des concepts de légitimes & naturels pour enfants.
Jacques Chirac + réforme de l’adoption
4 avril 2006 Loi sur la répression des violences au sein du couple

Comment prive de son exercice de son droit Téléchargé par Ihab Ahmed Fathi (ihab10462@gmail.com)
lOMoARcPSD|22666343

J. Chirac
23 juin 2006 Réforme capitale sur le droit de succession
J. Chirac
14 novembre 2006 Loi sur contrôle de la validité des mariages
J. Chirac
Loi 16 janvier 2009 Ratification du 4 juillet 2005
N. Sarkozy
9 juillet 2010 Nv loi relative aux violences spécifiques aux violences faites aux femmes.
N. Sarkozy
4 mars 2016 Loi relative à la protection de l’enfant
F. Hollande
18 novembre 2016 Modernisation de la justice du 21e -> permis divorce déjudiciarisé.
F. Hollande
23 mars 2019 Programmation de la justice -> simplifie & accélère la procédure de divorce
Marcon
28 décembre 2019 Vise à agir sur les violences au sein de la famille
Macron
Loi AMP = PMA qui ouvre procréation aux couple du même sexe + femme seule

Famille remplit diverses fonctions  fonction des aidants


Prélèvement d’organes -> ? de savoir si on s’en tient aux personnes décédées. Mais qui décide ? Individus ? Mais s’il dit rien, il est consentant ou pas ? Sa famille ? mais
si pbs dans la famille et tous pas d’accord ?
La q° de la légitimité à décidé par l’Etat, par la famille…fondamentale.
La Q° de la qualification des liens et déterminante quand on veut savoir qui peut être donneur d’un organe entre vivants ? 1994 : accepté donneur que s’ils étaient liés
par le sang aux receveurs.
La France dvp une politique familiale au sens noble cad que Etat a une démarche volontariste de soutient aux familles -> principale raison est que la France a amorcé sa
transition démographique cad que + de morts que de naissances = disparition progressive de la pop°.

Comment prive de son exercice de son droit Téléchargé par Ihab Ahmed Fathi (ihab10462@gmail.com)
lOMoARcPSD|22666343

Depuis qq temps, on a certaines appellations qui ne font plus références à la famille mais aux famille  code de l’action sociale
= reconnait l’existence de pls types de familles & non pas le seul type de famille parfaite.
Quelle est l’importance du droit pour l’organisation de la famille ?
On peut se ? de savoir si droit à une légitimité particulière à organiser la famille -> la famille existe bien hors du droit.
Famille : grp d’individus qui procréer & élève des enfants, il en a trjs existés et ils ont survécu sans le droit = primordial en matière de filiation .
La famille ajd est organisée par le droit. Mais quel droit ? Qu’est ce que les parents sont autorisées à faire ? What about la fessé : peut-on admettre des châtiements
corporelles pour l’éducation et donc s’opposer à ‘intimité familiale alors qu’elle sont interdites dans le droit ? Une beau-père peut-il épouser sa bru ?
Aucun lien familial entre beau-père et belle fille. Mais peut pas accepter union car il l'a élevé & donc a été un référant paternel.
Jean Carbonnier avait inventé un concept qui était celui de non droit -> non droit ce n’est pas le chaos, c’est les secteurs qui auraient vocation à être saisit par la loi mais
qui ne le sont pas  vague arrive sur la plage et se retire. l’absence de droit.
Ce droit est soumis à 3 phénomènes selon Carbonnier :
¤ privatisation -> = les lois vont de plus en plus de place aux volontés individuelles et il y ainsi un recul de l’ordre public  art 6 c’est pk de – en – de secteur régit par
l’ordre public & + par coutume. Est-ce que le fait de promouvoir l’adultère via promotion commercial c’est acceptée  adopte un mec.com
¤ Technicisation -> droit de la famille est de + en + soumis au dvp scientifique  PMA, l’expertise biologique
¤ Pluralisme juridique -> fait qu’on passe d’une époque où il y avait un modèle (1804) = patriarcale à situation où le droit reconnait pluralisme de modèle cad pls
modèles de droits.
« A chacun sa famille, chacun son droit », Jean Carbonnier. Quels place pour les individus qui ne sont pas de la même lignée mais
jouent un rôle dans la famille ?

La 1ère source du droit de la famille est la C° et + précisément son préambule de 1946 auquel renvoie celui de 1958 = bloc de constitutionnalité. Art 10 du préambule de
1946 : « la nation assure à l’individu et à sa famille les conditions nécessaires à…..
Par ailleurs, le CC a rendu et continu de rendre des décisions sur les lois relatives à la famille  lois relatives à la famille sont déférés aux CC qui a rendus des décisions
très importantes  loi de 1999 sur le PACS.

Comment prive de son exercice de son droit Téléchargé par Ihab Ahmed Fathi (ihab10462@gmail.com)
lOMoARcPSD|22666343

Droit de la famille était un droit très nationale mais il se trouve qu’il s’est fondamentalisé cad un certains nombres de droits dans le droit de la famille sont devenues des
droits fondamentaux . Ainsi DDHC de 1948 ( rédigé par rgp d’experts -> dont le juriste René Cassin). La famille est l’élément naturel & fondamental de la société et
qu’elle a le droit à la protection de la société & de l’Etat. De même, le pacte international relatifs aux droits civils et politiques, de 1966 évoque la famille = instruments
pris dans le cadre universel. Le texte qui influence tous les texte en France = Convention Européenne des Droits de l’H -> 1950. Etats devaient se mettre d’accord su un
certain nombre de droits fondamentaux.
CEDH contient un certains nombre de dispositions :
- Art 8 : droit à la vie privée et familiale
- Art 12 : droit de fonder une famille
= à l’origine de transformation majeurs du droit français  arrêt Mazurek, 1er février 2000 condamne la France pour sa législation discriminative vis-à-vis des enfants
adultérins.
In assite à une montée en puissance des Droits internationaux concernant le droit de la famille. Ce mouvement a été accentué par le droit de l’U.E. La cour de justice de
l’U.E a pris des décisions qui concerne droit de la famille -< paradoxale car Europe du conseil de Européen = droit de l’Homme & Europe du conseil de l’U.E =
économique. Les juges des la Cours de Justice ont rendu n certains nombres d’arrêt en matière de discrimination H/F, d’enfants légitimes ou illégitimes, transsexualisme.
Chartre des droits fondamentaux de l’U.E = chartre de Nice le 7 décembre 2000 a été intégré au traité de Lisbonne. C’est un peu le pendant de la convention Européen
des D de L’H pour les 47.
Elle comporte des dispositions relatives aux droit de la mif  droit de l’enfant, égalité H/F….. Article 52, contient une clause de renvoie qui renvoie à ce que les droits
fondamentaux soient interprétés harmonieusement.
LA 2e internationalisation est lié à un corpus de règles. Plus qu’avant au sein de l’U.E on assiste à brassage = de + en + souvent les familles s’internationalisent -> pour
régler ce pb, il y a plusieurs méthodes :
. Etat fasse entre eux des conventions bilatérale
. Espace en Q° produisent des textes de droit dérivés & par même s’il n’y a pas de texte, il y a un corpus = droit international privé de la famille = corps de règles de
disciplines juridiques qui précise la désignation de la loi applicable à un conflit. Aujourd’hui les spécialistes évoquent la famille européenne qui est réglementée par un
certains nombres de dispositions.

Intérêts Obstacles
Objet du droit de la mif permet d’étudier un vaste champs du social Langage -> difficile et trompeur : confusion entre mots employés au sens courants
& sens du droit de la famille  beau-père
Droit qui a une très forte dimension historique et politique Ensemble complexe d’éléments sociaux, culturels et juridique =difficulté pour le
juriste de tenir compte de cet environnement + de donner appréciation juridique

Comment prive de son exercice de son droit Téléchargé par Ihab Ahmed Fathi (ihab10462@gmail.com)
lOMoARcPSD|22666343

de ces Q°
Droit auquel on échappe pas -> concerne tous car tous issu d’une famille & va
tous potentiellement en créer une.
Cour idéal pour acquérir une culture législative générale ( fait la différence)
Fonctionne à partir de catégories et de division que l’on retrouve dans toutes les
disciplines  contrat, patrimoine = droit formateur.

Partie 1 : Le couple
Avant 1994 : le droit de la mif ne parlait pas de couple cad à l’occasion de la loi du 29 juillet 1994 -> relative à la bioéthique = a réglementé l’accès à la PMA = loi a utilisé pour le 1 ère
fois le mot couple pour dire que la PMA était réservé à un couple. La loi avait utilisé ce terme pour les distinguer des personnes mariées, hétérosexuels ( à l’époque). Dans les années
1990, fort questionnement, notamment 2 importantes : un couple est-il nécessairement mariés ? non à partir de 1994.

Un couple est-il nécessairement constitué d’un H & une F ? non à partir de la loi du 17 mai 2013.

Le droit de la famille a évolué par ce qu’on accepte qu’il n’y est pas qu’un seul modèle = devenu droit des familles -> intégrants couple. D’un pt de vue sociologique : il né, il vit & il
meurt. Le couple : c’est des liens qui finissent par mourir ( soit pcq plus de sentiments, soit pcq personne meurt). Même si on établit par de hiérarchie en droit, il y a des différences en
droit  pas le même régime entre PACS, couple, mariage.

Chapitre I : Le mariage
On peut parler de crise du mariage et de son déclin. En revanche, le mariage continu de faire l’objet d’une institution appréciée. Tout fondamental qu’il soit le mariage n’est pas définit
dans le code civil :

. Code civil contient peu de répétition

. Rédacteur ne se sentaient pas obligés de le définir, tant il s’agissait d’une évidence à l’époque.

Même si ne comprends pas définitions, comprend des dispositions importantes -> 143, 146, 165 du code civil :

_ 143 : « le mariage est contracté par 2 personne de sexe différents ou de même sexe » -> qui peut contracter le mariage = loi du 17 mai 2013 = renvoie à la composante physiologique
du mariage

Comment prive de son exercice de son droit Téléchargé par Ihab Ahmed Fathi (ihab10462@gmail.com)
lOMoARcPSD|22666343

_ 146 : « Il n'y a pas de mariage lorsqu'il n'y a point de consentement » -> composante psychologique du mariage cad de volonté

_ 165 : «Le mariage sera célébré publiquement lors d'une cérémonie républicaine par l'officier de l'état civil de la commune dans laquelle l'un des époux, ou l'un de leurs parents, aura
son domicile ou sa résidence à la date de la publication prévue par l'article 63, et, en cas de dispense de publication, à la date de la dispense prévue à l'article 169 ci-après

formes dans lesquels peut être célébrer le mariage -> exige un minimum de formalité et de publicité = dimension sociale / Publique.
C’est pk mariage = contrat ( sens où ce sont 2 personnes qui échangent leur volonté de s’unir par les liens du mariage -> contrat me fait rentrer dans un statut part car au fondement de
la société.

A été laïcisé en 1789 mais avant = mariage religieux cad on se marier devant Dieu = sceller le mariage : devenait indivisible « jusqu’à ce que la mort vous sépare ».
A l’époque, avant de se marier, il fallait être fiancés cad moment qui précédé le mariage pendant lequel les futurs époux disent qu’ils s’engagent à se marier et le font de manière + ou
– public en s’échangent éventuellement des cadeaux. La Q° qui se pose c’est si cette phase relève du droit ou du non droit ?

En 1804, lors de la rédaction du code civil, le mariage = très important car représenté lien de confiance. Idée de rédacteurs était donc de les juridisme le – possible afin de pouvoir
préserver jusqu’au bout la liberté de mariage : pour être bien dans le mariage il faut que les pers soient libres & pour qu’elles soient libres, il faut qu’elles aient le choix. Raison pour
laquelle les fiançailles sont restées dans le non droit.

Le pp même si les fiançailles sont officialisées devant la famille : les promesses de mariage ne sont pas un contrat cad ne sont pas juridiquement obligatoires = pas d’exécution forcée
en nature mais pas non plus en principes de dommages & intérêts cad exécution forcée par équivalent. Le droit se ne limite pas à des principes.

Infléchissement la/le fiancée pourra recevoir des dommages & intérêts si la rupture était fautive. Art 1240 du code civil : quand on a un dommage attribuable à un faute = il y a une
réparation.

Si le fiancée arrive à prouver que la rupture des fiançailles lui a causé un dommages  économique, psycho. Pp avait déjà été posé du 30 mai 1838 dans l’arrêt de la chambre civile de
la cour de C° = toute promesse de mariage est nulle en soit comme portant atteinte à la liberté illimitée qui doit exister dans les mariages mais ni l’exécution de la promesse peut
dans certaines circonstances donnée lieu à des dommages & intérêts.

Ce qui a bcp intéressé les juriste à l’époque : Q° des Kdos. Est-ce que la partie délaissé doit rendre les kdos ? Donc en principe on rend les cadeaux sauf les cadeaux dit d’usage : 852
code civil.
Concernant la bague de fiançailles ? Non, pour les juges, il faut regarder la valeur & si caractère familial. = doit être rendu car c’est un prêt d’usage. S’il y a eu dommage, la fiancée
peut garder la bague de fiançailles

Art 1088 : «

Statu = ensemble de droits & d’obligations


Mariage a évolué pour devenir = acte par lequel 2 personnes s’engagent solennellement à vivre ensemble sans fixer de terme à leur union ».

I- Les conditions du mariage


La confirmation du lien matrimoniale suppose que soient réunies un certains nombres d’attribution -> fond & frome en l’absence desquels le mariage n’est pas valable.

Comment prive de son exercice de son droit Téléchargé par Ihab Ahmed Fathi (ihab10462@gmail.com)
lOMoARcPSD|22666343

Mariage : contrat, institution régit par des principes d’ordres publiques & qui remplient des fonctions sociales.

Empêchement à mariage = obstacle qui empêche les personnes & qui se traduit par une défense de se marier

o Empêchement est dit dirimant ( = irréparable) quand il est sanctionné par la nullité du mariage -> si cet empêchement existe : la loi est nulle.
o Un empêchement prohibitif ; si officier d’Etat civil constate cet empêchement ne doit pas célébrer le mariage, mais si pour x raison, le mariage est célébré, il demeure valable.

Composante physiologique : la dimension sexuelle du mariage ne peut pas être mise de côté -> permettre

En 1804, l’élément physiologie était aussi important que l’élément de volonté. De nos jours, la tendance s’est inversé car élément de volonté est devenu + important.

A- La puberté
Art 144 code civil fixe l’âge de se marier à 18 ans pour les H/F  changement par rapport à 1804 où 18 ans pour H & 15 ans pour les F.
Loi du 4 avril 2006 : progrès légalité H/F + lutte contre les mariage forcés. Cette condition de puberté peut être levée si la femme est enceinte.

Attention à ne pas confondre ces 2 termes, même si l’âge légale est le même = 18 ans

Age nubile : Age minimum pour se marier lié à la puberté = Condition physiologie

Majorité matrimoniale : Age à partir duquel les enfants mineurs peuvent se marier sans l’autorisation de leurs parents = condition sociologique ; en 1804, une fille de 20 ans devait
avoir l’autorisation de ses parents pour se marier.

Il n’y a pas d’âge max pour se marier. Il y a même des mariages célébrés in extrémis = célébré en cas de péril imminent de morts de l’un des époux. Quand on discute de la finalité du
mariage, la procréation n’est pas la Q° majeure.

Certificat prénuptial : certificat par lequel médecin attesté que mariés était en bonne santé pour ce marier -> supprimer avec la loi du 20 décembre 2016. Cependant, lors des cas de
maladie héréditaire, cette Q° se pose encore.

B- La différence des sexes

 La composante physiologique du mariage


La condition de validité du mariage était la différence des sexe jusqu’en 2013. Ce n’avait jamais explicitement formulé dans le code civil -> si le législateur ne l’a pas dit = pas une
condition de mariage VS s’il ne l’a pas dit is because itw as obvious. Ce qui est sur est certain c’est que dans toute les dispositions il était toujours écrit ( H & F). Ces conditions qui
faisaient du mariage un union pour des pers de sexe différent a posé 2 pbs :

Comment prive de son exercice de son droit Téléchargé par Ihab Ahmed Fathi (ihab10462@gmail.com)
lOMoARcPSD|22666343

 Mariage entre personne du même sexe : années 80, certains nb d’évènements  sanitaire, socio qui ont conduit à une réflexion sur ce sujet. L’événement majeur c’est l’épidémie
du Sida qui a conduit à des situations socialement visibles avec notamment al Q° du statut du compagnon survivant lors de la mort du conjoint.
 Loi 17 mai 2013 -> législateur pensaient régler pb avec loi sur le PACS ; LE Législateur adit voter satisfaction aux personnes de même sexe & qui auront un statut. PACS était
insuffisant car dimension symbolique – forte que mariage -> créer pas de liens familiaux.

Etudie l’Histoire, rien n’obligeait le législateur français à changé loi mariage ( pas de condamnation de la part de la CEDH car pas de légalisation envers la France car marge national
d’appréciation. Objet d’engagement politique de F. Hollande donné lieu à débat de 2012-2013, loi votée en 2013 comparé 2 versions artc 6-1

>modif art 143 de la C°

>modif avec introduction art 6-1 de la C°, énonce que loi du 2 aout 2012, ouvert GPA ( pour les F seules) + pour personnes du même sexe.

 Mariage d’une personne dite transsexuel

Transsexualisme : désigne le fait de passer d’un sexe à autre ce qui traditionnellement, supposait que les personnes qui voulait changer de sexe devait se faire opérer. Le sexe
renvoie à la dimension biologique du sexe. Ce terme est contesté car on préfère une dimension plus sociale du sexe -> devient genre.

La Q° l’intersexuation : appelé autrefois les enfants qui naissent avec les caractéristiques biologiques des 2 sexes = loi du 2 aout 2021 relative à la bioéthique à pour la 1 er fois
évoqué de personne de variation du dvp génitale.

La Q° jusqu’à la loi du 17 mai 2013 : une personne ayant obtenu des conditions posées par la jurisprudence peut elle peut se marier avec une personne de sexe différent ?
Juridiquement, rien ne semblait s’y opposait puisqu’il était de sexe différent.

Loi de 2016 : intègre les Q° de transsexualisme était traité par la jurisprudence et non par la loi : 61-5 du code civil prévoit les conditions auquel une personne peut changer de
sexe civilement. Arrêt de la CEDH du 25 mars 1992 -> condamné la France pcq sa législation était une violation des droits de l’H d’interdire le changement de sexe = viole la
convention de l’art8.

Arrêt 11 juillet 2002 : Goodwin VS R.U estimait que le fait que droit national retienne pour le mariage le sexe enregistré à la naissance constitue une atteinte à la liberté de se
marier, prévue par art 12 de la CEDH = législation R.U n’était pas non plus conforme. Ces évolutions du droit européen, se retrouve aussi dans la « grande Europe »  le 7 janvier
2004, La CJUE a rendu une décision qui va dans le même sens.
Depuis 2013, en France, cette Q° ne se pose plus -> peut importante que H veuille épouser H ou Femme devenu H car mariage pour tous.

 La composant psychologique du mariage = mariage requiert la volonté libre des époux -> art 146 du code civil. L’importance de cette composante psychologique
avec des articles 171 code civil, postum. Le mariage n’est pas une affaire strictement individuel & quand la loi de volonté, on se réfère la volonté des familles.

Comment prive de son exercice de son droit Téléchargé par Ihab Ahmed Fathi (ihab10462@gmail.com)
lOMoARcPSD|22666343

A- La volonté des futurs époux

Dernier alinéa art 76 code civil par usage du verbe « veulent » montre la dimension fondamental de la volonté.

Il faut que la volonté existe & ensuite qu’elle soit intègre. Que signifie « dire ui » ? Est-ce une volonté + caractérisé ? Est-une sorte de coquille vide ou une coquille pleine ?

 L’altération des facultés mentales ?

Quid de la personne qui se marie alors qu’au moment du mariage, du ui, ses facultés mentales sont affectés et qui fait l’objet d’une mesure de protection -> hors personnes qui ont trjs
eu une altération des facultés mentales -> Ces personne sont donc soit assistées ou représentés. Cette Q° de majeur sous tutelle a pendant longtemps posé problème. Depuis la loi du
23 mars 2019, la personne sous tutelle peut se marier librement mais doit juste informer son tuteur de son projet de mariage.

Ici on parle des personnes qui ne possède pas cette protection. Mais qui a bien une altération de ses facultés mentales pendant l’expression de sa volonté = ce mariage pourra être
attaqué d’une nullité absolue en conformité avec l’arti 164 du code civil.

La Q° de la volonté substantielle les mariage fictifs simulés ou blancs est remise en cause sur la réelle volonté.

Arrêt de la cour de C° civil 1er, 20 nov 1963 : Cas d’un couple ayant eu un enfant hors mariage. Le père n’avait consentie au mariage avec la mère suite aux pressions des familles pour
éviter le scandale de la « bâtardise » des enfants nés hors mariage. Le mariage est célébré et les époux voulaient s’en dégager. La cour de Cass refuse d’annuler le mariage en estimant
que le « but recherché n’est pas étranger à l’union matrimoniale ». Donc le mariage est nulle faute du consentement requis, mais si même s’il n’y a pas le consentement totale mais
qu’il y a un de buts inerrants au mariage = annule pas le mariage.

Mais se pose la Q° de comment différencier des buts inerrants & les buts accessoires ?

Aujourd’hui la jurisprudence considère que la volonté du mariage est la volonté de vivre ensemble -> si époux se marie mais ne veulent pas vivre ensemble = prononce nullité du
mariage. La Q° de la volonté du mariage a été poussé par la Q° d’immigration -> en effet différentes lois ont jalonnés les années d’immigration 1970’s : 2 lois ont facilité les mariages
entre français & étrangers : but était de lutter contre les mariages blancs  loi Sarko en 2003. Cela a donné lieu a une affaire très célèbre = affaire Taleb 17 novembre 1981  un
couple s’était marié & avait divorcé pour se remarier entre eux sous l’empire d’une de ces lois + favorables pour que le mari puisse acquérir plus facilement la nationalité française.

Le procureur attaque se 2e mariage aux motifs qu’il n’est pas valable. La cour de C° a énoncé que le divorce et le remariage demeure valable mais que le 2 e mariage n’a pas pu produire
l’effet recherché à savoir obtenir la nationalité + rapidement & facilement.

Art 175-2 du code civil -> quels pvs sont octroyés au procureur de la rep + officier d’Etat civil pour détecter un éventuel mariage blanc. Le fait que l’acquisition de la nationalité française
est prévu dans l’art 21-2 du code civil.

Concernant la sanction des unions défectives ce qui est intéressant c’est la disparition de l’art 190-1 du code civil

Arrêt civil 1er : personne qui s’était marié avec une femme mais qui avait maintenu une relation adultère avec une autre femme dans un autre pays pendant des années & qui avait eu
avec cette maitresse 2 enfants. Il y avait malgré tout communauté de vie entre cet H & sa Femme. La cour appel a considéré qu’il n’y avait pas de communauté de vie affective des
époux aux jours de l’adultère, on s’est demandé si ce mariage n’était pas fait pour obtenir la nationalité. La cour de C° rejette la demande du demandeur et donne raison à l’arrêt de la
cour d’appel.

Comment prive de son exercice de son droit Téléchargé par Ihab Ahmed Fathi (ihab10462@gmail.com)
lOMoARcPSD|22666343

 N

Volonté doit être Exempt de vice qui renvoie à la théorie des vices du consentement. Il y a 2 vices retenus :

- Marginalement -> violence  art 180 alinéa 1 code civil. Violence dont il est Q° = violence moral et la menace d’un mal grave considérable illicite. Loi du 4 avril 2006 qui visait
à lutter contre les mariages forcés. Avant cette loi on n’avait pas el droit d’invoquer la crainte de ses parents = crainte révérencielle d’un enfant envers ses parents qui oblige un
enfant à épouser quelqu’un par crainte pour de ses parents -> on peut annuler le mariage depuis 2006.
- Erreur art 180-2 -> erreur sur la personne. Les qualités substantielles = erreur sur les qualités essentielles de la personne en matière de mariage -> un époux peut-il demander
la nullité de son mariage au motif qu’il s’est trompé sur la personne de son épouse ?

Au 19e = ui tu peux si c’est un vrai erreur sur la personne cad sur son identité -> j’ai épousé A mais je croyais épousé B  Arrêt Berthon 24 avril 1862 : la nullité reste sans
extension possible sans condition possible où les qualités de la personne sur les flétrissures qu’elle aurait subit : Cour de cassation affirme que l'erreur ne peut porter que sur
l'identité civile de la personne .

Les juges du fond ont très rapidement pu respecter la solution de la cour de créant une jurisprudence libérale admettant l’erreur de impuissance

On pourra qualifier une qualité essentielle, une qualité connu de l’époux qui demande l’annulation, et bien cette caractéristique l’aurait dissuader de ce marier et ensuite le sujet
considère que cette qualité « sociologiquement déterminante » cad que dans la société à un moment donné on doit pouvoirs dire que ui cette qualité doit être déterminante pour
un mariage  TGI Paris 13 février 2001 : femme était une prostituée mais le mari ne le savait pas. Il déclare qu’il ne l’aurait pas épouser = annulation du mariage.

Arrêt du 1er avril 2008 : TGI Lille -> Affaire Drefus, 2 personnes étaient mariés & mari a demander la nullité car pensait que sa femme était vierge au moment du mariage mais ne
l’ était pas et clame qu’il ne l’aurait jamais épousé -> TGI accueille le mari en ses demandes. Jugement infirmé par la cour d’appel de Douai car mensonge ne portait pas sur une
qualité essentiel = ne peut pas prononcer la nullité d’un mariage.

B- La volonté familiale

1er manière dont les failles s’impliquent dans le mariage se fait avec l’autorité parentale. DPs la passation de 18 ans à l’âge nubile & la majorité matrimoniale

Le fait qu’on obtienne une dispense, ne signifie pas que les mineurs n’ont plus besoin d’une autorisation parentales -> vient du latin auctor = augmenter. Une autorisation est
ce qui est nécessaire pour parachever un acte.
L’officier d’Etat civil doit ensuite sursoir à statuer tant que les futurs époux n’auront pas obtenus la main levée de l’opposition, il faut aller devant un juge pour la demander. Ceci
s’oppose au droit de la liberté du mariage.

Les ascendants ont un pv privilégiés car peuvent agir pour n’importe qu’elle opposition. Certains collatéraux peuvent aussi former opposition mais pour des cause déterminées +
ministère public si l’irrégularité du mariage constitue une violation de l’ordre public  arrêt de Bègles.

Comment prive de son exercice de son droit Téléchargé par Ihab Ahmed Fathi (ihab10462@gmail.com)
lOMoARcPSD|22666343

III-Contraintes
A- Les interdits matrimoniaux, la polygamie -> 70, 76 + 172 ( droit de former opposition à un mariage).

En droit français, on n’admet pas qu’une personne soit engagée dans plusieurs liens à la fois dans art 147, on ne peut pas contracter un 2nd mariage avant la dissolution du 1er. Les
mariages conclus alors que la personne était déjà dans en union sont une cause de nullité absolue. Cet interdit est si important que dans la société qu’il est sanctionné pénalement à
l’art 433-20 du code civil.

Plusieurs arrêts, illustre ce principe :

. n° 1950-027 : combine Q° de la bigamie + intention matrimoniale. Deux époux s’étaient mariés & avaient donné naissance à 5 enfants dont 2 nés sur le territoire français. La femme
avait fait une demande de naturalisation pour ce mariage. Mais le mari avait déjà contracté un autre mariage en Algérie. Cour de C° dit que pas de nationalisation ni de mariage suite
au caractère de bigamie du mari.

B- L’inceste -> préventive ou intervient après coup.


Selon les anthropologues, l’inceste fait l’objet d’un tabou universel. Ils veulent dire par là que toutes les sociétés définissent des règles sur les personnes qui peuvent s’unir
légalement. Universellement, il est admis qu’on a pas à se marier avec des gens trop proches dans le cercle familiale. Le mot « inceste », ne figure absolument pas dans la droit civil.
Vient du latin non-chaste. Art 44 du code pénal évoque l’adjectif incestueux comme circonstance aggravant des viols & agressions sexuelles.

En droit civil le principe est celui de la liberté matrimoniale cad que j’épouse la personne de mon choix, sauf s’il y a un interdiction d’inceste cad que :

- Si l’officier se rend compte que 2 personnes d’un cercle familiale vont se marier => peut annuler & « poser son véto avant ».
- Si le mariage est quand même annulé -> peut faire l’objet d’une annulation par la suite => prononce la nullité du mariage pour interdiction d’inceste.

Il faut distinguer le mariage & l’alliance. Pour savoir s’il y a une prohibition, il faut se référer à l’art 161 du code civil -> en ligne direct le mariage est prohibé complétement entre tous :

. ascendants

. descendants

+ Alliance cad la suite de l’article + les alliés dans la ligne direct  par exemple, on ne peut pas se marier avec un conjoint des ascendants ou descendants.

Art 162 : loi du 7 mai 2013 -> prohibition du mariage en ligne collatérale  entre frères/ sœurs. Loi de 1975 – je peux épouser ma belle sœur/ frère. Les frères et sœurs d’une famille
recomposés, sans aucun lien parentale = peuvent se marier.

Art 163 : prohibition du mariage entre neveu/nièce/tante/neveu…

Les causes doivent être des causes graves, généralement l’intérêt de l’enfant & notamment légitimer un enfant.

Comment prive de son exercice de son droit Téléchargé par Ihab Ahmed Fathi (ihab10462@gmail.com)
lOMoARcPSD|22666343

Tout cela ne concerne que l’alliance donc dans les empêchements à mariage on ne prends jamais en compte les concubinages. Ensuite, l’interdiction du mariage ne concerne pas les
alliés en ligne collatérale soit je peux épouser mon oncle par alliance.

Est-ce qu’on observe une fragilisation de l’interdit de l’inceste entre alliés en ligne direct ? Ui, CEDH, le 13 septembre 2005 contre R.U avait manifesté précise

Arrêt 8 déc 2016 : un H né en 1925 & une F né en 1949 se marie en 1984. L’H épouse la fille de son ex-conjointe avant de décéder en 2010. Les héritiers s’opposent à ce mariage lors
du décès pour intérêts financiers. La cour de C° décide d’approuver la cour d’appel d’avoir annulé ce mariage. Elle se fonde sur at 161 + textes européens -> art 12 + 8 de la CEDH. MAIS
leur mariage a été célébré sans une seule opposition à l’époque & on vécu ensemble jusqu’au décès = pas eu d’atteinte au droit de se marier. Mais la fille avait 9 ans quand sa mère a
épousé son beau-père & 25 quand ils ont divorcé. Donc, elle était mineur = prononce la nullité du mariage -> peut qu’il n’aurait pas été annulé s’il y avait eu un enfant issu de cette
union. La cour de C° se livre à une appréciation in concreto = appréciation au cas par cas & jugement sur la proportionnalité de la règle de droit.

Ces Q° d’opposition, d’annulation suppose que le mariage ait un minimum de publicité. Le mariage demande la publication du mariage précédemment avant la célébration auprès de
l’officier de l’Etat civil = art 63 publication des bancs -> qui peut entrainer une opposition ( inceste, mariage homosexuel avant 2013…) => Puis mariage. Le mariage montre
l’importance de l’officier de l’Etat civil, qui permet d’assurer la solennité du mariage.

Concernant la preuve, le mariage se prouve en distinguant la preuve pour les époux & pour les enfants.

 Pour les époux : le droit exige une preuve près constitué cad
 Pour les enfants : n’est pas ou plus accès à leur droit car ont perdu l’acte de mariage de leurs parents & donc doivent prouver le mariage de leurs parents.

Possession équivalent de la propriété mais le titre. En droit de la mif, il arrive souvent que des personnes pensent être dans une relation de mariage ou de parente alors que non, ils
n’ont pas le titre.

Théorie de la possession d’Etats : Lorsqu’une personne peut démonter un certain nombre de faits qui font appuyer sa revendication, le droit se contente de cette démonstration de
fait en lieu et place d’un titre. Les éléments sont :

- Nomen : le nom
- Tractatus : traitement
- Fama : réputation

Chapitre 2 : La nullité -> ne sera interrogé à l’examen.


Doyen Carbonnier : Nullité = démariage, qui doit être énoncé par un juge, tout en respectant l’indissolubilité du mariage à laquelle le divorce s’attaque.

Quand on est moralement contre le divorce, la nullité pose – de pbs juridiquement car tout se passera comme si le mariage n’avait pas existé = n’avait pas porté atteinte à la nullité du
mariage = souvent dit que nullité = divorce des catholiques, car on se reporte au droit canon.

Comment prive de son exercice de son droit Téléchargé par Ihab Ahmed Fathi (ihab10462@gmail.com)
lOMoARcPSD|22666343

L’annulation : sanction civile soit :

- De l’absence
- De l’imperfection

De l’une des conditions requise pour la formation du lien. Revoit donc les conditions du mariage en miroir.

I- Les causes et fin de non recevoir


Par hypothèse = faits qui ont précédés, par contraste avec divorce, car cause s’est formée pendant l’union.

Contrat : quand mal formé = susceptible dêtre annulé VS mais quand mal exécuté pas annulé mais il y a d’autres sanctions.

Distinction entre nullité : critère de distinction = cause.

- Nullité relative : faits à l’origine de la nullité protège l’un des époux


- Nullité absolue : fait cause de nullité, porte atteinte à l’intérêt de l’ordre public.

Dans toute demande en justice, le juge examine en 2 temps : la demande est-elle :

. recevable

. bien fondée

Nullité absolue = intéresse la société -> ne peuvent pas être couverte confirmat°/ Nullité relative : peut être couverte par une confirmation
ratificat°
Défaut de l’âge nubstialie ( 18 ans pour H/F) -> intéresse société Vice du consentement  erreur et violence
Défaut de consentement matrimoniale  mariage blanc
Polygamie mariage contracté par mineur sans autorisation familiale
Inceste Art 180, modifié par loi du 4 avril 2006 pour lutter contre le mariage forcé, a été modifié

Comment prive de son exercice de son droit Téléchargé par Ihab Ahmed Fathi (ihab10462@gmail.com)
lOMoARcPSD|22666343

Absence de l’époux lors de la célébration pour permettre au ministère public de demander la nullité du mariage pour violence.
Défaut de célébration publique cad cérémonie ne se fait
Jusqu’à 2013 : concordance des sexes
Prescription : Consolidation d’une situation juridique par le temps. Jusqu’à une loi du 17
juin 2008, les nullités absolues se prescrivaient à 30 ans tandis que les nullités relatives
sont à 5 ans. Art 2224 code civil : les délai de prescription sont édifiés & passent à 5 ans N. Relative : Couverte par une confirmation : juge peut dire que demande pas recevable
pour tous les domaines SAUF le droit du mariage, comme le montre l’art 184 du code parce qu’en réalité, cette nullité a été couverte cad réparé, pcq la volonté des époux s’est
civil = dispose que le délai pour agir est trjs de 30 ans matière de nullité absolue des exprimée autrement.
mariages. PK ? pcq mariage est une institution et donc lorsqu’une des conditions de
formation de cette institution & qu’un élément touche à un élément fondamental, il faut
pouvoirs attaquer, et le + longtemps et donc 30 ans.

Demande de nullité peut être formé par tout individus : selon art 1084 -
La procédure pour nullité :
- Epoux eux – mêmes ( 1, les 2…) . Procédure judiciaire cad a une compétence exclusive en droit des personnes, si un
- Leurs ascendants plaideur veut porter affaire cela sera devant un tribunal judiciaire statuant collégialement
- Collatéraux -> s’ils justifient un intérêt pécunier . Requête doit être recevable
- Les créanciers . De bien fondée
- Le ministère public . Qui ? Epoux mineur, protégé par la nullité en Q°, dont le consentement a été vicie,
violenté…

Compétence droit commune VS compétence exclusive ???????????????????????????

III- Les effets


Les effets de la nullité sont les mêmes que ce soit une nullité absolue ou relative. On expose les causes de nullité avec le critère des personnes concernés par la nullité.

A- Les enfants
Avant réforme du 3 janvier 1972, sur le droit de la filiation, lorsque les 2 époux, avaient été de mauvaise foi ( su au moment de se marier qu’il y avait une cause de nullité) = enfants
étaient considéré comme hors mariage -> grave avant car pas les mêmes droits.

Comment prive de son exercice de son droit Téléchargé par Ihab Ahmed Fathi (ihab10462@gmail.com)
lOMoARcPSD|22666343

La loi de 1972 a modifié l’art en énonçant que peu importe si les époux étaient de bonne ou de mauvaise foi, le mariage produits ses effets quant bien même il y est eu mauvaise fois.

B- Les époux
*L’un ou les 2 ont pu être de mauvaise foi :

¤ si les 2 de mauvaise foi = annulation du mariage rétroactivement cad que non seulement le mariage cesse de produire effets après l’annulation + les effets qu’il a pu produire avant
annulation sont effacés.

* L’un ou les 2 ont été de bonne fois : mariage putatif -> vient du latin puter ( croire) = mariage qu’on a cru être un vrai mariage de bonne foi, valide -> art 202 et 201 code civil. Le
mariage est annulé pour l’avenir pas pour le passé, donc les effets qu’il a créé avant l’annulation demeure. La bonne fois est présumée en droit, selon l’art 2274 du code civil.

¤ Si la bonne fois ne provient que de l’un des époux, alors de dernier est le seul à bénéficier des effets.

Chapitre 3 :
Le mariage produit un certain nombre des effets, il rend alliés des personnes l’une à l’autre, il donne la nationalité, émancipe les mineur et créer une vocation successorale.

Ici, on se concentre des effets qui résultent des rapports communs entre les époux, en conformité avec les article 212 et suivants. Ils n’établissent pas explicitement une ligne de
partage entre les rapports personnels et pécuniaire.

Comment prive de son exercice de son droit Téléchargé par Ihab Ahmed Fathi (ihab10462@gmail.com)
lOMoARcPSD|22666343

I- Les rapports personnels ( non évaluable en argent)


Des personnes mariées, sont – libres que pers non mariés -> peuvent pas faire n’importe quoi car le mariage créer un certain nombre de
devoirs réciproque. Mais mariage créer aussi une entité qui forment le régime primaire ou régime impératif cad qu’ils s’appliquent peu
importe que les époux aient pu conclure un contrat du mariage, avant la célébration, et qui concerne la protection de leurs biens.
Régime primaire = d’ordre public qui s’applique quel que soit le régime matrimoniale que les époux aient conclut un accord ou pas.

A- La naissance de devoirs réciproques


212 et suivants = devoirs pcq traditionnellement, remonte à loin où à ‘l’époque être une femme = être soumise et donc avoir des devoirs vis-à-vis
de son époux. Le chapitre 6 du code civil qui contient les art susmentionnés.
La communauté de vie suppose 2 choses :

- Matériellement vivre en sens = communauté de toit & de lit.


- Avoir l’intention de

Art 215 « les époux s’obligent mutuellement à une communauté de vie ». la résidence familiale = lieu de vie commun. Le 1 er devoir est celui de la
communauté de vie,q ui peut être dispensé par un juge car c’est une obligation.

Notion d’exécution forcée : La communauté de vie est évidement une obligation tout à fait personnelle cad je m’engage de vivre avec un tel.
Aucun juge ne va ordonner d’aller revivre avec laquelle elle ne peut/ veut pas vivre.
Cette obligation de vie commune doit être remplacée en perspective avec la législation qui s’est dvp en 2010 avec la protection pénale du conjoitn
vis-à-vis de son conjoint violent ( 515-9 et suivant du code civil). Il faut articuler 3 choses :
_ présomption d’innocence
_ Art 215. A3 = logement protégé par code civil
_ Logement

Seuls les époux mariés = obligation de fidélité  enfants nés, sont logiquement nés des œuvres du mari = présomption de fidélité.
Ajd notion + subjective, individuelle. 1975 : loi divorce, avant, loi obligation de fidélité, car délit pénale = cause péremptoire, cad juge devait
prononcé divorce pour faute à partir du moment où adultère

Comment prive de son exercice de son droit Téléchargé par Ihab Ahmed Fathi (ihab10462@gmail.com)
lOMoARcPSD|22666343

Loi 2001 : le sort discriminant que le droit français accordait aux enfants adultérins était lié à l’importance de l’obligation. La cour de C° a elle aussi
touché à l’obligations avec ses arrêts. Dans un arrêt elle a soulevé le fait que l’obligation de fidelité ne s’impose pas aux tiers mais
uniquement aux époux. Pendant procédure, on est pas dispensé de fidelité, bien que avant procédure, adultère = cause constitutive du divorce.

B- Le devoir d’assistance
Soutient morale envers son époux au quotidien et notamment dans les moments difficiles de la vie. Ce n’est pas un devoir un financier ->
définit à art 212 du code civil

C- Le devoir de respect
Intégré par la loi du 4 avril 2006. Contenue difficile à déterminer car pas vraiment de jurisprudence. La doctrine se demande si c’est une
redondance du respect que chacun doit avoir envers l’autre = signification partocil_re entre époux. La signification particulière pourrait être
dangereuse et creer une surcharge d devoirs martiaux.

B- Unité du mariage
Art 213 : le logement, le ménage, la famille = Ajd égalité depuis le 4 juin 1970, plus de chef de famille, mais principe selon lequel il y a une co-
gestion entre les époux.

1- Cogestion entre époux : comment affirme existence de ce couplée ?


. Mariage fait objet d’une publicité, cad retranscrit dans acte d’Etat civil, notamment avant mariage avec la publication des bands
. Porter le nom de son conjoint  pour nom d’usage, mais à la suite du divorce porte plus le nom

A- Les rapports alimentaires


Obligation de fournir à son conjoint, si celui-ci est dans le besoin, de lui fournir ce qui lui est nécessaire pour vivre = pécunier.
Au moment du decès d’un des époux, les héritiers de l’époux décédés doivent des aliments # assistance qui est plus aide morale

Comment prive de son exercice de son droit Téléchargé par Ihab Ahmed Fathi (ihab10462@gmail.com)
lOMoARcPSD|22666343

2- La contribution des époux aux charges du mariages -> art 214 code civil
Il faut dinguer :
 Contribution à la dette : intéresse les 2 époux, cad Q° de savoir in fine, lequel des 2, et si els 2, dans quelles proportions doivent contribuer à
la dette = Q° de répartition de la dette entre les époux.
 Obligation à la dette : s’intéresse à la victime qui doit payer, peu importe qui, on doit obligatoirement payé.
Ordre public : ne doit pas être écarté par convention. Arrêt 13 mai 2020,
Art 214 Alinéa 2, si l’un des époux ne respecte pas ses obligations, il peut y être contraint par ‘l’autre.
La décision de secours, s’applique aux mariés, tant que dure la mariage. En principe si les époux vivent ensemble, cette obligation
s’exécute de manière non formelle  compte commun. Peut aussi se faire par le collaboration gratuite d’un des époux à la contribution de l’autre
= en nature.. La séparation de faites, ne fait pas disparaitre cette obligation de contribuer aux charges du mariage.
S’ils ne vivent pas ensemble = s’exécute par le versement d’une pension alimentaire ( autre chose que els stricte besoin =
généralement pour la vie de famille et donc l’entretien de ce ménage Ronaldo donne 75 000 par mois à Georgina pour qu’elle s’occupe de
l’entretient du ménage.
1- La gestion ménagère.
Quand on vit à 2, l’entité effectue un certains nombres d’actes juridiques courants, pour lesquels la loi instaure le nombre d’achat à deux.
L’une des règles : droit du mariage déroge au droit commun. En effet il peut arriver que quand des personnes, hors mariages, des
personnes se retrouvent co-débiteur de dette  collocation = contrat avec pls débiteurs. La règle générale c’est que els codébiteurs
sont solidaires à la dette, mais que la solidarité ne se présume pas art 1310 cad qu’elle doit a voir été prévue dans le contrat,
sinon ne peut pas s’appliquer.
En matière de mariage, la solidarité se présume, en lien avec art 212 : « toute dette contractées par l’un se
Solidarité est la conséquence du pv domestique que la loi confère à chaque époux cad que à chaque fois que un des époux doit acheter qqch, la loi
lui facilite la tâche en exigeant pas que :
1-s’il est marié
2-qu’elle est l’étendue de ses pvs
=juste il doit y avoir partage des frais.
Exceptions :
Alinéa 2 dispose : « la solidarité n’a pas lieu, néanmoins pour des dépenses manifestement excessives eu égard du train de vie du
ménage :

- Opération était-elle utile ?

Comment prive de son exercice de son droit Téléchargé par Ihab Ahmed Fathi (ihab10462@gmail.com)
lOMoARcPSD|22666343

- Train de vie du ménage ?


- Bonne ou mauvaise fois du contractant

Alinéa 3 : la solidarité est écartée lorsque la dette ménagère, excessive ou pas, résulte d’un achat à tempérament ( achat à crédit) ou
emprunt ( consentit par un organisme de crédit). Il faut que les 2 époux aient consentis pour que la solidarité marche,
et si les 2 ont pas consentit = solidarité est écarté, sauf si emprunt est destiné à payer les besoins de la vie courante et avec loi de
Hamont de 2014, le montant cumulé n’excède pas une certaine somme.

Logement :
Alinéa 3 art 215, les actes de dispositions sur le logement familial & les meubles qui y sont attachés, requièrent l’accord des 2
époux. L’acte de vente ou de donation est annulé si
65% des français sont propriétaires de leurs logements. Art 1751 code civil qui remplit la même fonction de protection commun quand il s’agit d’un
logement loué. Le texte dispose que quelque soit le régime matrimoniale des époux et sans préjudice de prévention contraires, le bail est réfuté
Même si bail a été conclu avant mariage, bailleur ne peut pas virer l’un.
Présomption de pouvoir : art 221
Art 219 A.1 : application aux époux de la technique de mandat
Art 217 : l’autorisation judiciaire, un des époux demande à un juge de contraidnre un autre à exécuter un acte
Art 220-1 :

Titre II- Le concubinage


Comment prive de son exercice de son droit Téléchargé par Ihab Ahmed Fathi (ihab10462@gmail.com)
lOMoARcPSD|22666343

Situation de fait # mariage. Similaire à vie maritale cad vie comme des gens mariés en étant pas mariés. Conditions : pas de vie commune, vie
sexuelles ?????
Loi civile de 1999, concubinage avait été progressivement pris en compte par le droit, branche par branche lié à d’autre domaine  santé avec
sida… Définit à l’art 515-8 code civil, définit comme étant « union de faits caractérisé par une vie commune présentant un caractère de stabilité et
de continuité entre deux personnes de sexes différents ou de même sexe ». Couple = sous-entend vie sexuelle.
Loi 15 novembre 1999 : texte sur concubinage : débat parlementaire : opposition entre AN et Sénat ( défavorable au concubinage)
concernant ce contrat pour personnes de mêmes sexe, au final ca a fuck up. Concubinage : union de fait qui n’ont pas été à l’origine été fondé en
droit ( contrairement au mariage qui est un acte juridique) : situation informelle qui produite des effets de droit et qui comporte des
différences avec le mariage. Même si différence avec mariage s’atténuent.
Diff avec mariage :

- Concubinage ne fait pas l’objet d’un statut ensemble de droits de devoirs explicites.
- 2e diff entre concubinage et mariage est que puisque concubinage = situation de fait, la preuve en est libre. Arrêt cour d’appel de
Douai du les juges ont assez souplement interprété la condition de vie (art 215-8) qui se sont fondés sur fait que sorties ensemble, vacances,
proches les considéraient comme concubins même s’il ne vivaient pas ensemble
Quelle indemnisation du préjudice morale suite au décès du concubin ? cour appel chambre criminelle du 5 octobre 2010, avait accordé
indemnisation mais inférieur à ce qui était demandé = demanderesse se pourvoit en cassation. Cour de C° rejoint l’arrêt de la cour d’appel.
Civil : 3 octobre 2018 : C° approuve qu’on ne peut pas reconnaitre une vie commune si pas de preuves.
Nouvelle : 2022 : modification de l’art 343 du code civil qui permet d’ouvrir l’adoption aux couples de concubins et de pacsés.

Section 1- les effets du concubinage pendant la durée de celui-ci


Pas de raisonnement par analogie avec mariage. Principe de liberté du concubinage = sous l’empire des règles du droit commun ; doit des
contrats, de la responsabilité. Pas de devoir personnels cad pas de devoir d’assistance, de fidélité, pas d’acquisition de la nationalité,
pas de prise du nom d’usage.
Effets patrimoniaux : cad effets produits durant le concubinage qui s’évalue en argent.
Loi du 12 mai 2009 : étendu compétence du juge aux affaires familiales pour connaitre le contentieux de la liquidation des intérêts matrimoniaux et
intérêt entre concubins. 1136 -3 et suivants du code de procédure civile, forme de rapprochement procédurale au sens où même juge qui connait
les litiges entre les membres de ces différents types de modes de vie conjugales.

Comment prive de son exercice de son droit Téléchargé par Ihab Ahmed Fathi (ihab10462@gmail.com)
lOMoARcPSD|22666343

I- La contribution des concubins aux charges du concubinage


Vie commune implique des dépenses. Cette union libre qu’est le concubinage échappe donc au régime matrimoniale cad que celui des
concubins qui assure une dépense du ménage n’est pas sous l’égide de l’article 214, il ne peut pas se retourner contre l’autre pour se
faire rembourser de la dépense faite : « chacun assume définitivement les dépenses courantes qu’il expose » civil 2 sept 2020. Sauf
convention contraire : signifie que les 2 concubins, d’un commun accord peuvent signer un contrat par lequel il décide de leur
contribution à leur charge du ménage.

II- Le problème des libéralité entre concubins


Libéralité : acte juridique par lequel une personne procure à autrui un bien ou un droit sans contrepartie. Cet acte est donc réalisé à titre gratuit.
Est-ce que la libéralité mutuellement consentie, du fait qu’elle est adultère est-elle valable ou punit ?
La libéralité concubin ave pers marié ( acte juridique par lequel une personne procure à autrui un bien ou un droit sans contrepartie) =
libéralité valable car concubinage n’entraine pas à lui seule une incapacité à donner ou à recevoir ( mais jurisprudence dit que c’est
annulable s’il est prouvé qu’elle procédait à une cause immorale et qu’elle constituait en la formation, la continuation, ou la
reprise de rapports immoraux : examen du mobile ayant animé l’auteur de la libéralité  n’étaient pas annulables une libéralité
animées par une devoir de conscience ou de reconnaissance : gratitude induite par les soins prodigués lors de la maladie la personne qui
était à l’origine le libéralité. Cette distinction a été abandonné dans l’arrêt 3 fev 1999 : « n’est
pas contraire aux bonnes mœurs la cause de la libéralité dont l’avenir entend de maintenir une relation adultère
Fidelité = obligation dans le mariage MAIS pour les EPOUX entre eux, pas au sein du concubinage, ni libéralité. Le motif de
libéralité = motif déterminant.
Okok, adultère illicite mais la libéralité consentie à la concubine ne peut pas être dissociée de cette adultère puisqu’elle va avec la
réalisation de cette adultère. Ce qui est en jeu = la conception que l’on se fait du mariage : est-ce que le mariage = instituions cad forme
institution sociale qui est reconnu par le droit et qui va au-delà des personnes concernées VS mariage = contrat et + précisément, un contrat
qui n’intéresse que les époux pcq tout contrats obéit à une règle, mais est opposable aux tiers cad que les contractants ne peuvent pas ignorer
son existence. Dire qu’un consentent une libéralité à sa concubine on ne porte pas atteinte au couple = FAUX, évidement que cette libéralité
consentie appauvrit le couple (rapports, enfants, femme…).
Pour approfondir ce sujet : 2 arrêts :
 Civile, 17 décembre 2015 : Q° du devoir de fidélité et la conception qu’on en a. Fait d’imputer à un personnage publique une infidélité
conjugale : porte-t-il atteinte à l’honneur ou à la vie conjugale ?
 Civile 1ère 16 décembre 2020 : arrêt sur société qui propose à des femmes mariées de rencontrer l’âme sœur en ligne = promouvoir
adultère en ligne est-ce légale en conformité avec le devoir de fidélité, défendu par art 212 code civil. Cour appel a rejette la demandé
d’interdire ce site. Cour de C° approuve la cour
d’appel « pas de sanction civile de l’adultère en dehors de la sphère de la relation entre époux », une telle interdiction serait
disproportionnée au regard de la liberté d’expression de la société.

Comment prive de son exercice de son droit Téléchargé par Ihab Ahmed Fathi (ihab10462@gmail.com)
lOMoARcPSD|22666343

Section II – Les effets du concubinage a la dissolution de celui-ci

Se matérialise par tout types de dissolution cad :

- Décès
- Rupture

I- Le concubine délaissé cad un quitte l’autre


Principe : liberté de rupture : chaque concubins a la liberté de rompre vis-à-vis de l’autre art 1240. SAUF si cette rupture cause un
dommage, suite à une cause de son auteur = rupture abusive qui peut entrainer des demandes de dommages et intérêt  civil 1ère, 3
janvier 2006.
Loi 6 juillet 1989 : prévoit que le concubin peut garer le logement dans lequel ils vivaient avant la mort de l’autre = concubinage
notoire.

Tempérament :

II- Concubin survivant


Principe : le concubin survivant n’est pas veuf ( titre que seul le survivant d’un couple marié peut prétendre) donc pas de vocation successorale.
Tempérament : porte sur le point de savoir si le concubin survivant pet obtenir des dommages et intérêt auprès de l’auteur qui a
provoqué la mort de l’un des concubins  arrêt dangereux -> chambre mixte, 27 janvier 1970 : concubine demandait dommage et intérêt à
l’auteur de l’accident dans lequel son concubin avait péri = revirement de jurisprudence car avant cet arrêt le survivant ne recevait pas de
dommages et intérêts car juges estimaient que le survivant pas recevable à agir car pas de lien de droit entre victime et
survivant# mariage. Dans arrêt 1240 invoqué
Article 14 & 15 : maintien dans les lieux du concubins notoires.

Comment prive de son exercice de son droit Téléchargé par Ihab Ahmed Fathi (ihab10462@gmail.com)
lOMoARcPSD|22666343

III- La liquidation des intérêts patrimoniaux :


Comment on liquide les dettes, biens communs….en cas de régime concubin ?
Principe : liberté et ses conséquences : chacun en est à ses frais et reprend ses biens. Les biens sont indivis par moitié
Civil 1ère 13 janvier 2016 : deux concubins ont souscrit un crédit immobilier et leur arrangement était établit que l’un des 2 remboursait le crédit et
l’autre payait le reste ; après séparation, la femme veut le partage pour l’indivision pour moitié. Or l’homme a dit qu’il s’était appauvri plus que la
femme.
Dans certains, cas les juges accordent de aménagements et tempéraments  société créée de fait : pour tempérer, principe on fait comme si
les concubins avaient créer une société
Société : lorsque pls personnes mettent ensemble des apports financiers, matériels, dans le but de réaliser une activité qui va procurer bénéfices
ou dettes et ce qui la caractérise = chacun des associés à l’intention d’y participer à ces bénéfices et dettes : art 1832 et suivants : « La société
est instituée par deux ou plusieurs personnes qui conviennent par un contrat d'affecter à une entreprise commune des biens ou leur industrie en
vue de partager le bénéfice ou de profiter de l'économie qui pourra en résulter. »
Donc, lors de la dissolution de la société Chacun récupère ce qu’il a mis
Cour de C° est très exigeante dans les conditions de la société créer de faits : « les concubins se désintéressent du droit, le droit se désintéresse
des concubins », Napoléon.
Cour de C° a rendu 2 arrêts le même jour dans lequel elle énonce : « l’existence d’une société créer de fait entre concubins qui exige les éléments
caractérisant tous les éléments d’une société nécessite l’existence d’un accord, l’intention de collaborer ( afectio societatis) + intention de
participer aux bénéfices. = éléments établis et prouver séparément = besoin de tous les éléments pour prouver existence de société
créer des faits, on ne doit pas déduire les éléments les uns des autres.

Peut-on contourner cette rigueur de la règle comme quoi chacun en a pour ces frais quand concubinage est rompu : enrichissement sans cause :
invention fin 19 e élaboré dans un autre contexte. Chambre des requête (ancêtre assemblée plénière), disposait d’une affaire entre un marchand
d’engrais à un fermier qui ne l’a pas payé mais contrat entre eux et fermier avait disparu donc peut pas mettre en cause sa responsabilité civile
bref, juges ont accepté de faire droit à la demande de l’engrais contre
Donc, quand concubins n’ont pas fait de contrat entre eux, et qu’ils n’arrivent pas a montrer de qui est propriétaire, pas de société
créer de fait car remplis par tous les critère = peut tenter enrichissement sans cause. Enrichissement sans cause a été consacré par une
ordonnance du 10 février 2016, qui figure à l’art 1303 du code civil, sous le nom de « l’enrichissement injustifié »  03 mars 2021, concubins
s’est enrichit pendant 1 an lié à la construction d’une piscine.
Loi de 2016 a donné une clé de calcul : indemnité = à la valeur la plus basse entre l’enrichissement et l’appauvrissement pcq que sinon toujours le
même qui s’enrichit.

Comment prive de son exercice de son droit Téléchargé par Ihab Ahmed Fathi (ihab10462@gmail.com)
lOMoARcPSD|22666343

Section III- Le PACS


Violents débat : quelle réglementation a adopté ? contrat ? institutions ? Quelles effets ?
9 novembre 1999 : interprétation et validation du projet de loi par le Conseil Constitutionnel + loi 15 novembre 1999 + 2010, 2011, 2016 : 5
réformes

I- Les Conditions de formation du PACS


Comme dans le mariage : conditions de fonds et conditions de droit.
Conditions de fonds : article 515-1 « pacs est un contrat par 2 personnes physiques majeures de sexe diff ou de même sexe, pour organiser leur
vie commune ». La théorie des contrats s’appliquent donc. Signifie que les vices du consentement invoquées en généralement 
violence, doll, erreur, pourrait être invoqué en matière de PACS # diff du mariage car pas un contrat. Ce contrat a pour but d’organiser la vie
commune entre 2 personnes . CC, 21 octobre 2015, a souligné la dimension contractuelle du PACS.

§ 2 : les conditions relatives aux personnes :


A- La différence du sexe
Personnes pas trop fav au mariage au pers du même sexe, préférait leur conféré le PACS pour éviter de leur donne le mariage.

II- Les empêchements à PACS


PACS réservé à un couple mais pas POLYGAME : union destinées à organiser la vie d’un couple = implique relations sexuelles -> conduit
des empêchement de la part du législateur.
Art 515-2 : nullité absolue pour :

- Ascendants et descendants en ligne directe


- Collatéraux jusqu’au 3e degré
- Si déjà marié
- Si déjà PACSER  Prévus à l’art 515-2. A-B sont mariés et donc B& C ne peuvent pas se PACSER ) peut pas se PACSER avec un personne
déjà lié à un contrat : mariage ou PACS. Le PACS ne créer pas de lien d’alliance cad un fois PACS rompu, les alliés peuvent se passer #

Comment prive de son exercice de son droit Téléchargé par Ihab Ahmed Fathi (ihab10462@gmail.com)
lOMoARcPSD|22666343

mariage où tu peux pas épouser ta bru  arrêt Grodon VS R.U : 29 avril 2008 : 2 sœur vivaient ensemble et voulaient bénéficier
d’avantages fiscaux qui émanent du PACS. Elles ont été débouté par les juridictions internes mais la CEDH a décidé same.
Art 145 : procureur peut autorisé un mariage entre mineur pour cause grave MAIS mineur ne peut pas conclure de PACS.
Quid des pers protégées : en 1999, loi interdit pers sous tutelles de se PACSER mais rien dit pour pers majeurs sous curatelle ( - lourd que tutelle).
Loi du 5 mars 2007 précisions sur la capacité. Art 460 et 462 code civil : pers en curatelle, doit distinguer la convention de PACS et la déclaration
conjointe du PACS, le nerfs de la guerre = convention qui règle toutes les convection entre les 2 PACSES et pour la conclure, pers a besoin de son
curateur mais pas besoin pour déclaration.
462 :

 Convention :
Possession d’Etat : vivaient bien ensemble compétence droit commun

Entre 1989 & 2011 et 2016 : les choses changent  art 515 du code civil qui énonce les conditions du PACS : comme contrat : besoin de
convention écrite, sous l’empire loi 1999, la Convention était passée en double originale = besoins de 2 originaux. Certains disaient que besoin
que la convention est d’avantage besoin d’avoir un caractère solennelle : discussion et proposition & auteurs ( Patrick P = convention
rédigé en 3 exemplaires dont 1 chez notaire & 2 autres partagés entre les pacsés.
Le législateur a entendu puisque article 515-2 : la convention peut être passé par convention authentique ( chez notaire) ou convention en sein
privée ( cad signé en 2 exemplaire par les parties privées) = choix des parties mais – rare car coûte + cher.

 Déclaration : devant qui devait-elle être faite ?


Loi de 1999 avait choisis tribunal comme lieu d’officialisation du pacs ( déclaration). Les futurs pacsés définissent où il ont choisis d’établir
leur résidence commune 515-3. A3 = parallélisme avec le mariage. Si l’un des pacsés pour empêchement grave, le greffier pouvait se
transporter au domicile de la partie 515-3 A.2.
Réforme du 18 novembre 2016 a rapproché le PACS du mariage : à compter de l’entrée en vigueur de la loi de 1 er novembre 2007, le Pacs est
déclaré en mairie = rapprochement évident avec le mariage. MAIS seulement pour convention en sein privé. Si en revanche, les pacsés ont
préféré signer leur convention chez un notaire, alors la déclaration conjoint est recueilli par le notaire  515-3 A.5.

Comment prive de son exercice de son droit Téléchargé par Ihab Ahmed Fathi (ihab10462@gmail.com)
lOMoARcPSD|22666343

 Enregistrement
Le greffier inscrivait la déclaration conjointe sur un registre des pacs, prévu à cet effet. Puis le greffier visait et datait les 2
exemplaires de la convention et les restituait aux partenaires. Décret du 21 décembre 1999, précisait que chaque pacsé se voyait recevoir un
attestation d’inscription de la déclaration sur le registre, où il prévient le tribunal du lieu de naissance de chaque partenaire de cette inscription.

Art 515-3 est plus claire : la loi met fin à une fiction qui consistait à dire que le PACS = pure contrat ne conservant en rien l’Etat des personnes : pas
une institution qui concerne les personne pas une institution familiale = pas de liens. Depuis cette modification, il est fait mention du pacs en
marge de l’acte de naissance de chaque partenaire -> contraire à la vie privée que dans l’acte de naissance il soit inscrit si pacs est inscrit si
contracté avec personne du même sexe ou pas.
Le texte précise que pacs prend effet à al date de son enregistrement. Pour les effets, ils débutent le jour où les formalités de publicités ont
été accomplis.

Section I- Les effets


PACS = pas de lien de parenté ni d’alliance.
A l’origine le pacs se distinguait du mariage par l’absence d’effets personnels entre les pacsés. A cet égard pacs était + proche du
concubinage VS maintenant + proche du mariage.
Loi de 1999 = devoir d’aide mutuelle et matérielles mais n’en disait pas + & pas d’obligation de fidelité. Mais CC dans décision du 9 novembre
1999, ce qui caractérise » le pacs = absence d’effets personnelles.
TGI Lille 15 juin 2002 = doute sur obligation de fidelité pcq quand même oh lo. Cour appel de Rennes en 2015 = réaffirme pas d’obligation de
fidelité. Pas de liens d’alliance non plus, ni lien de parenté cad si 2 perso pacsé ont un
enfant n’est pas dépendant du fait qu’elle soit pacsés.
Loi 6 janvier 1989 : article 14 -> le pacsé a droit à la continuation du bail à son profit en cas d’abandon des lieux ou de décès de l’autre
pacsé. Ils sont habilités par la loi à être nommé tuteur ou curateur de leur partenaire si celui-ci vient à avoir besoin d’un régime de protection.
Vie commune : Ce devoir n’était pas explicitement formulée dans la version de 1999, mais dans la définition du pacs ( art 515-1), donc logique
pacsé = devoir de vie commune. Désormais art 515-4 l’annonce explicitement : « les partenaires liés par un pacs s’engage à une commune ».
C’est un communauté de vie et de toit qui suppose un élément matériel & intention de vivre ensemble. Bien entendu cette obligation peut être
suspendu pour raisons perso  conjoint violent.

B- Obligation d’aide matérielle réciproque

Comment prive de son exercice de son droit Téléchargé par Ihab Ahmed Fathi (ihab10462@gmail.com)
lOMoARcPSD|22666343

Ancien texte = aide matérielle et mutuelle -> les partenaires s’engagent à une vie commune + aide matérielle et assistance réciproque = pacs se
rapproche du mariage. Dès 1999, le CC dans décision du 9 novembre avait bien dit que dans la convention, les pacsés peuvent décider de la forme
de cette aide matérielle. MAIS serait nulle toute clause qui refuse ce principe. Cependant, aide matérielle est proportionnelle à leur faculté
respective cad 2 choses :
. ils peuvent en décider autrement dans leur convention = part de liberté, ne peuvent pas supprimer mais peuvent définir comme
ils veulent.
. S’ils n’ont rien dit = dans le silence de la convention, le principe d’aide proportionnelle s’applique cad en fonction de leur revenu,
chaque partenaire participe. On peut imaginer une action fondée sur l’enrichissement au-delà du devoir d’aide matérielle.
Il y a – de jurisprudence sur le pacs : décision la + citée est celle du CC. Pk ? parce que peu de contentieux. Pk ?

- Les pacsés s’entendent mieux = - de pbs et donc – d’affaire = un peu farfelu


- Moins de pacs que de mariage
- Moins connu & donc ce pacs –

Civil 1er janvier 2021 : numéro 1926140 : couple acquièrent un bien en indivision pour en faire leur résidence principale : souscrivent à 2 emprunts
pour financer ce projet. Ils ce pacs en 2003, pour el rompre 10 ans plus tard. En 2016, la partenaire assigne son partenaire devant le jaf pour que
le bien soit partagé entre eux. Elle invoque art 515. Lui, assume avoir tout
remboursé et elle rien ou – mais gagnait bcp -.
Cour appel & c° : raison à la femme car participait à la règle de droit commun + bien soumis au régime d’indivision
Donc monsieur aurait du démontrer que son ex pacsé avait fati des économies en ne participant pas au remboursement des frais, mais la pas de
preuve

C- Assistance réciproque
Introduit par loi du 23 juin 2006 : obligation à la frontière du personnel et du patrimonial, qui oblige à une assistance. La sanction relève
du droit commun = dommages et intérêts si on arrive à prouver les dommages créer.

Section II- L’union patrimoniale


Quand deux personnes s’unissent ( mariage, pacs), du pt de vue patrimoniale cad de l’organisation de la répartition de leurs biens, pls schémas
sont concevables.
 Mariage : idée traduite par le fait que existent 4 régimes matrimoniaux. SI pas de contrat avec notaire devant le mariage, le
régime qui s’applique = communauté réduite aux acquets cad chacun restent proprios des biens acquis avant mariage et
pour les biens acquis durant = 50/50.

Comment prive de son exercice de son droit Téléchargé par Ihab Ahmed Fathi (ihab10462@gmail.com)
lOMoARcPSD|22666343

 Q° de solidarité des obligations de dettes pour les pacsés cad manière dont ils sont engagés vis-à-vis des tiers + indivision
des biens. Q° de la solidarité des dettes engagés pour l’entretien du ménage dans la vie courante ( art 515-4 A.2) = art 220 sur
le mariage. Rien ne dispose sur les frais pour els enfants, car le pacs ne créer pas de liens de parenté. En 1999, loi avait posé le principe
de la solidarité mais pas délimité cad que les pacsés étaient plus solidaires vis-à-vis des tiers que les époux.
En 1999, la solidarité joue pour les dépenses relatives au logement commun : parait englober loyer, prêt immobilier, les charges….LOI du 23
juin 2006, a apporté une suppression( texte ne mentionne plus les dépenses relatives au logement, donc dettes relatives à un
investissement immobilier sont exclus de la solidarité SAUF pour prêt immobilier contracter pour le logement commun  C° 21) et un ajout (
pas de solidarité pour les dépenses excessives= same as art 220 code civil).
En 1989, le législateur a instauré aux pacsés un régime différent des époux, plutôt séparatiste que communautaire, mais pas fait de
manière claire = donc go séparatiste.
1- Art 515-5 A.1 : relative au fait que chaque pacsé reste propriétaire de ses biens & dettes perso, sauf si contrat qui en dispose
autrement chez notaire. = reprise art 225 pour les époux + 1536 A.1

2- 515-5 A.3 : reprend à propos des biens meubles la règle de l’art 222 pour les époux à savoir : « Si l'un des époux se présente seul pour
faire un acte d'administration, de jouissance ou de disposition sur un bien meuble qu'il détient individuellement, il est réputé, à l'égard des
tiers de bonne foi, avoir le pouvoir de faire seul cet acte ».
LOI du 24 mars 2014 : extension au pacsé par la protection fait aux époux sur le fait qu’ils soient cotitulaires d’un bail  Un des pacsés et
titulaire d’un bail, l’autre doit en faire la demande = si le titulaire s’en va, l’autre peut en bénéficier et de ne retrouve pas à la rue.

3- La Q° des biens acquis sous le régime d’indivision -> Art 515-5 version 1999 : fallait distinguer entre les meubles et meubles
meublants ( meubles meubles de l’appart en mode table ikea) étaient considéré comme indivis ( = appartenant aux 2) sauf indication
contraire.
Les autres biens, cad devenus proprio postérieurement à la conclusion du pacs = ces bien appartenaient indivis par moitié ( appartenant aux 2 à
moitié cad 50/50 sur le canapé poltron et sofa). Quels effets ?
Loi était rédugé pour que en réalité le pacs ressemblait au mariage avec communauté d’acquêts. Cela été mis en place par peur que l’un
des partenaires se fassent couiller par l’autre : les biens appartienent aux 2 donc peut pas faire ce qu’on veut avec les biens
acquis durant le pacs.

III- Régime légale

Comment prive de son exercice de son droit Téléchargé par Ihab Ahmed Fathi (ihab10462@gmail.com)
lOMoARcPSD|22666343

En soit chacun acquiert un bien : on est propriétaire d’un bien seulement quand on arrive à prouver que c’est nou qui avons acheté pendant le
pacs. Si on arrive pas à le prouver = biens se déplace dans l’indivision : n’appartient plus au seul qui l’a acheté mais aux deux. 515-1
A.2 : régime séparatiste.
Convention spéciale des acquêts (bien acquis) : les pacsés sont libres de maintenir une cloison entre leur patrimoine ou constituer une
masse indivise avec leur acquis ( soit de la convention initiale du plus tard par cette convention spéciale. S’ils le font, les deux règle
s’appliquent : 515-1 -> indivision sur tous les biens acquis après la convention.
2e règle : 515-2 qui énumère des biens qui en tout état de cause reste la propriété exclusive des pacsés car on considère comme
personnels.
DONC : le pacs créer une communauté patrimoniale originelle : principe d’indépendance patrimoniale, sauf indivision qui résulte de
l’impossibilité de prouver proprio exclusive de tel bien mais ils peuvent créer par convention spéciale,

Section III- les causes de la fin du pacs


515-7 A.7 : pacs se termine par le décès de l’un des partenaires. Pas de vocation successorale : besoin d’un testament.
Le mariage est un empêchement à pacs = personne marié ne peut pas se pacser. Or, pacs n’est pas un empêchement à mariage : si tu
es pacsé, tu peux te pacser -> c’est comme passé et présent, tu peux pas revenir en arrière, mais tu peux aller dans le futur.

A- Fin de pacs d’un commun accord -> art 515-7 A.3


Quand els partenaires décident d’un commun accord mettre fin aux pacs : déclaration conjointe cérite à l’officier d’Etat civil ou au notaire, où il
déclare qu’ils veulent se dépacser. Ce dépacse prend effet le jour où formalité de publicistes ont été accomplis par officier d’Etat civil ou
notaire.
Dissolution se fait par la volonté mutuelle et unilatérale des pacsé -> 515-7 A. 5 et 10. CC s’est fondé sur le fait que pacs = contrat
étranger au mariage : 515-7 A.5 : « le partenaire qui décide de mettre fin au pacs signifie à l’autre sa décision et remet cette signification à la
mairie ».

B- Les conséquences de la fin du pacs


Plus simple que le mariage. Les pacsés liquident leurs droits et obligations en rompant leur PACS. Pour le rompre : recours à un huissier de justice.
Le rôle de ce dernier sera d’informer la décision du conjoint. Une fois que le conjoint a pris connaissance de l’information, celui qui souhaite
dissoudre le PACS n’a plus qu’à se rendre à la mairie ou chez le notaire, pour les informer de la dissolution des liens entres les pacsés.

Comment prive de son exercice de son droit Téléchargé par Ihab Ahmed Fathi (ihab10462@gmail.com)
lOMoARcPSD|22666343

Pacs est assez proche du mariage quant à sa formation, surtout depuis que formation est recueilli par officier d’Etat civil. MAIS requièrent
d’avantage des conditions de fonds et de formes  conclut sous le régime de séparations des biens. En revanche à sa rupture = assez
proche du concubinage.

Titre 4 : La fin du couple marié


Distinction séparation des corps ( divorce des catho : mariage est maintenu pas de divorce mais peuvent vivre séparément ) VS divorce.

Comment prive de son exercice de son droit Téléchargé par Ihab Ahmed Fathi (ihab10462@gmail.com)
lOMoARcPSD|22666343

Chapitre 1 : Divorce : art 229 et suivants du code.


Divorce : dissolution du mariage du vivante des 2 époux -> distingue tant du décès que de l’annulation du mariage car produit des effets
pour avenir et avenir seulement.
Cette Q° est relativement apaisée mais pendant un siècle, cela a été une grande Q° controversée dans laquelle, la religion et la morale tenait un
place au – aussi importante que le droit. Admis en 1792, en même temps que mariage laïque, pour être restreint en 1804 et 1884 : divorce
accepté seulement pour fautes.
11 janvier 1975 : Jean Carbonnier a tenu la plume de cette réforme -> pls cas de divorce autres que fautes. Il avait fait une enquête des couples
mariés sur les affaires de divorce : besoin de pls cas de divorce, car plus un seul modèle de couple. Divorce pour faute a été maintenu parce
qu’à l’époque les gens continuaient majoritairement pour faute.
Les 4 types de divorce supposent un litige à trancher, ce qui relèvent de la fonction d’un tribunal : Distinction

- matière contentieuse (litige à trancher : raison à une des parties et tords à l’autre ) = 3 types de divorces.
- matière gracieuse (trjs juge : il examine l’application d’une règle : pas de litige à trancher = adoption : pas de litige à
trancher, mais juste vérifie que cette adoption correspondent à l’intérêt de l’enfant + divorce pour consentement mutuelle
Malgré, ces différences : règles procédurales communes de divorce :

 compétence d’attribution -> art 42 du code de procédure civile en droit commun : Juge spécialisée du tribunal judiciaire : le juge aux
affaires familiale. C’est un juge unique  L213-3 du code de l’organisation judiciaire

 Demande principale, demande reconventionnelle et passerelle


¤ Divorce par consentement mutuelle judiciaire = sont d’accord tous les deux pour divorcer = forme une requête commune -> art
1089 du code de procédure civil
¤ Divorce accepté : art 233 du code civil = la demande peut émaner de l’un ou de l’autre ou des 2
¤ Dans les 2 autres cas : divorce pour altération du lien conjugale ou pour faute = demande émane SEULEMENT de l’un des époux. Et
quand, un seul des époux forme une demande, cette demande peut être une demande principale et l’autre peut former une demande
reconventionnelle = contre-attaque judiciaire ce qui siginife que par cette demande, le défendeur devient lui-même demandeur . Le juge se
retrouve donc face à deux demandes : une reconventionnelle et une principale. A assigne B pour fautes = B assigne A pour le même motif ou
explique sa faut par altération du lien conjugale = art 247-2.
Donc, à partir du moment, où il y a cette possibilité de contre attaquer judiciairement grâce à la demande reconventionnelle + différents cad de
divorce, on peut avoir des croisements de demandes et de cas.

Comment prive de son exercice de son droit Téléchargé par Ihab Ahmed Fathi (ihab10462@gmail.com)
lOMoARcPSD|22666343

¤ passerelle : faut se reporter en 1975 : le législateur avait prévu 4 cas de divorces = et donc 4 procédures mais une fois choisis on ne pouvait
pas changer de motifs de divorce sauf reprendre son procès depuis le début = autonomie des cas de divorce.
Dès 1975, le législateur avait explicitement sa préférence pour consentement mutuelle. Et donc on pouvait passer de n’importe quel motifs de
divorce, passer aux divorce par consentement mutuelle = art 246 de l’époque. Cela montre que dès 1975, le législateur quoique impartial avait
choisit sa préférence.
En matière de divorce, débat ont lieu à huit clos, donc pas ouvert au publique = exception car de base procès pas fermé au publique. Mais là,
comme déballe la vie privée : peut porter atteinte aux conjoints, donc pour éviter = huits clos. Le divorce est susceptible d’appel, puis
pourvoit en C° sauf en matière de divorce par consentement mutuelle ( peut se pourvoir en cassation mais pas interjeter appel) = art
1103 du code de procédure civil. En matière de divorce : le pourvoi est suspensif d’exécution. De base, il est prévue qu’il ne soit pas suspensif
d’exécution MAIS il l’est en matière de divorce cad que jusqu’à ce que la décision

 Obe
divorce est constitutif c’est-à-dire constitutif d’un Etat de droit, il créer une situation de droit : il n’est donc pas rétroactif, il n’est pas
déclaratif. Il est opposable aux tiers -> normale, les membres de al famille ça intéresse. Pour cela, formalité de publicité est organiser : inscrit en
marge de l’acte de mariage si dissout et en quelle année = art 262.
Le lien matrimoniale subsiste mais est en état de semi-rupture, qui peut être aménagé par le juge grâce à des mesures provisoires. Ces mesures
sont donc temporaires, judiciaires et exécutoires.

 La capacité
Loi de 1975 : précisé quelle était les conséquence d’un régime d’incapacité sur une procédure de divorce. Quelque soit la mesure de protection
dont il fait objet ( tutelle, curatelle, ou sauvegarde) un majeur protégé ne peut pas divorcer par consentement mutuelle. PK ? pcq
consentement dit volonté et qui dit majeur protéger dit la capacité à vouloir affectée, donc peut pas. Jusqu’en 2019, ne pouvait pas non
plus divorcer par divorce accepté.

 Déjudiciarisation du divorce par consentement mutuelle

Plus besoin de passer devant un juge Besoin de passer devant un juge


+ pacificateur, même si ce tranche pas un litige car fonction gracieuse. Passage par le juge = impartial permet que els intérêts de tous soient
préservés
Se caractérise de + en + par volonté individuelle qu’il faut respecter Accroitre la désinstitutionalisation du mariage = plus d’objet
instutionnalisé du mariage, juste contrat dont on peut se défaire
comme le pacs = bah non pas la vibe

Comment prive de son exercice de son droit Téléchargé par Ihab Ahmed Fathi (ihab10462@gmail.com)
lOMoARcPSD|22666343

Droit comparé : Bcp de d’autre pays = divorce déjà déjudiciarisé.

Q° des coûts, comme + rapide, normalement dépense – d’argent Ui + rapide mais les coûts pas vraiment ( voir dvp
Volonté de désengorger les tribunaux
Nb de divorce déjudiciarisé a considérablement augmenté depuis =
fallait bien répondre à un besoin.
Faut-il quand 2 époux sont d’accords pour divorcer, passer devant un juge ? Non, depuis lois de 2016 18 novembre
& 229-4 = divorce déjudiciarisé + 230 à 234 = divorce par consentement mutuelle, ca veut dire 2 choses :
. sans juge = Art 229-1 A
. avec juge
Donc depuis 1975 : 4 causes de divorce -> besoin d’une cause subjective & judiciaire.

- Divorce prononcé en cas de consentement mutuelle judiciaire + maintenant déjudiciarisé


- Acceptation du principe de la rupture du mariage
- Faute
- Altération du lien du mariage

Donc depuis 2016, on a 5 cas de divorces -> 3 contentieux & 2 gracieux, dont l’un complétement déjudiciarisé.
Jusqu’à 2004 : divorcer par consentement mutuelle = divorce pas. Depuis : consentement contractuelle ( principe ) et judiciaire ( exception).
Les époux s’entendent sur la rupture du mariage et ses effets art 229-1.Consetnement doit être sérieux, libre et persistent -> renvoie à
l’art 232 : «Le juge homologue la convention et prononce le divorce s'il a acquis la conviction que la volonté de chacun des époux est réelle et que
leur consentement est libre et éclairé ». Convention= contrat qui règle les conséquences du divorce
229-3 A.1 : « consentement au divorce et à ses effets ne se présume pas ».
 Consentement
 Capacité
 Objet
= CONTRAT : TOUJOURS BESOIN DES TROIS.

C- Un objet
Quelle est l’objet ?
 Principe

Comment prive de son exercice de son droit Téléchargé par Ihab Ahmed Fathi (ihab10462@gmail.com)
lOMoARcPSD|22666343

 Convention -> destinée à régler les conséquences du divorce. Elle est définitive, et régit la totalité de la relation pour le présent
et avenir. Dans tous les contrats, il faut une cause, et la cause est le consentement : exprimé mais pas besoin d’être justifié art
1090 + 230 code civil.

Quelles conditions de formes pour le divorce par CM déjudiciarisé :


Simplification : juge aux affaires matrimoniale = on passait pas devant le TGI, on passait devant
+ époux pouvaient choisir un avocat commun = + simple et – couteux. De base compliqué car qui dit avocat commun, dit que intérêts de
l’un ne sont pas totalement défendus = éventualité d’un occultation d’un conflit. En 1975 : procédure en 2 temps :
° requête initiale
° convention temporaire
° Puis juge reconvoqué conjoint, s’assurait de la persistance de leur accord et homologuait la convention = prononce le divorce. Loi du
26 mai 2004 : considérablement modifié procédure en supprimant la 2nd comparution devant le juge.
Epoux doivent être d’accord qu’ils formalisent dans une convention MAIS il ne faut pas qu’il y ait un enfant mineur qui demande à être
entendu -> art 229-2 = divorce devient officiellement judiciarisé.
Système de vase communiquant = comme pas de juge, besoin d’avoir 2 avocats pour vraiment avoir les intérêts des 2 parties défendus art 221-1.

 Les époux doivent se mettre d’accord sur un projet de convention qui doit régler tous les aspects du divorce  conséquence perso,
patrimoniale, Q° des enfants  Art 229 63 A.2. Cette convention impose un délai de réflexion des époux de 15 jours avant de signer
cette convention, comme le dispose art 229-4 -> précise que convention possède une force exécutoire au jour où elle acquièrent
date certaine, cad le jour où elle a était déposé chez le notaire = à cette date que le mariage est dissout.
2 types de divorces : judiciaire et déjudiciarisé ( a posé pbs généraux + pbs de répartition des compétences entre avocats et notaires il y 8
ans : en effet, il se sont battus pour avoir la main mise sur ce divorce par consentement mutuelle déjudiciarise. Au final, les 2 ont gagné : partage
moitié/ moitié). Il a fallu que le conseil national du barreau et du notariat signe une chartre de 23 décembre 2020 pour : « lever certaines
ambiguïtés ».
Les notaires, bien que ne rédigeant pas la convention car job de l’avocat, doivent vérifier que la convention n’heurte pas l’ordre public cad
ne vérifie pas que respectent les intérêts des 2 époux car jobs des avocats respectifs, mais le notaire, doit vérifier qu’il y a une REELLE volonté
de consentement mutuelle dans ce divorce = droit évolue aussi dans un contexte de profession.
Ce divorce n’est pas possible si l’un des enfants demandent d’être entendu en justice ou si un des époux est incapable majeur =
revient à la loi du 18 novembre 2016. Cette convention, une fois signée par les 2 époux = contresignent par
les 2 avocat et est déposé chez un notaire cad « au rang des minutes du notaire ».

Comment prive de son exercice de son droit Téléchargé par Ihab Ahmed Fathi (ihab10462@gmail.com)
lOMoARcPSD|22666343

 DCM judiciarisé : Le déroulement de al procédure est exposé aux art 250 & 250-1 code civil. Un juge examine la convention que les
époux ont élaboré = contrôle si cette convention préserve l’intérêt de la famille si des enfants. Si considère que ne présente pas
intérêts des personnes concernées, alors juge peut refuse d’homologuer la convention. Donc il ne prononce pas le divorce. Il peut
cependant homologuer les mesures provisoires et renvoie les parties en attendant qu’une nouvelle convention soit mieux faite
dans un délai max de 6 mois = pcq but de ce divorce est qu’il soit rapide = 250-2 A.3.
La loi du 26 mai 2004 a supprimé un délai de 6 mois pendant lequel les époux une fois mariés, ne pouvait pas divorcer par
consentement mutuelle = loi de 1975

B- Le contrôle de la convention
D CM Contractuelle = contrat cad qu’il n’y a pas à proprement parlé de contrôle de fond de la convention même si le notaire contrôle
els conditions formelles de al convention + vérifie que le délai de 15 jours est respecté = laissé à la liberté des époux.
DCM judiciaire = accord échappe au contrôle du juge donc ne scrute pas els motifs MAIS intervention du juge sur la convention
réglant les clauses de divorce  232 A.2 et 278 A.2
La Q° qui a provoqué un véritable tôlé de la part de la doctrine était de savoir si possible d’attaquer la convention homologuée sans toucher au
divorce. La Q° de la nullité est à la fois pratique ( action en nullité) et théorique ( ma nature de la convention est engagé : est ce que c un
contrat ou un jugement ? SI contrat = on peut exercer action en nullité VS si jugement = peut pas exercer une action en nullité.

La jurisprudence a fluctues
On ne peut pas attaquer la convention comme un simple contrat  arrêt principe du 6 mai 1987 : L’homologation définitive et la convention
ont un charactère indissociable et ne peuvent plus être remis en cause hors les cas énumérés par la loi  pourvoi en C°
VS non contractuelle

III- Le divorce dit « accepté » = divorce sur double aveu est l’ancêtre du divorce accepté
Dénomination = ambiguïté du divorce car entre consentement mutuelle et le divorce faillite. Pas eu de succès dont changer de nom pour
divorce accepté en 2004.
Dans ce divorce, il y a une distinction entre Vouloir ( actif : je veux qqch) et accepté ( passif : bon okok).
Divorce c’était Mi gracieux + Mi contentieux, avec 2 phases :

Comment prive de son exercice de son droit Téléchargé par Ihab Ahmed Fathi (ihab10462@gmail.com)
lOMoARcPSD|22666343

- Dirimante cad non contentieuses. Les époux procédaient par écrit à des aveux cad un accepter et l’autre subissait les faits qui montrait
que la vie commune était intolérable
- Phase de jugement : 1 des époux assigne l’autre devant le juge. Juge prononce le divorce et statue sur ces effets. Le Juge prononce le
divorce comme si c’était un divorce par tord partagé.
Le consentement donné devant le juge est-il définitif ? ui  26 janvier 1984 : C° disait que à partir du moment où jaf avait constaté double aveu
dans une ordonnance, et qu’elle n’avait pas été frappé d’appel = cette ordonnance était définitive est on ne peut pas revenir dessus.
Le législateur a élaboré une procédure qui s’adapte aux 3 types des contentieux de divorce :

- Demande accepté ->


- Alternation définitive du lien conjugale
- Pour faute

Procédure commune : demande formée soit par un époux ( divorce pour faute ) soit par les 2 ( demande accepté ou alternation définitive du lien
conjugale).
En outre, cela n’a plus d’intérêt de choisir très tôt cas de divorce pcq en pratique avec temps et réformes les causes et les conséquences du
divorce ont été dissocié au sens où les conséquences du divorce sont les mêmes quelque soit la cause du divorce. Pk on maintenant des causes de
divorces différents ? permet de s’adapter au différent types de cas en l’espèce.
Depuis la loi de 2004 et surtout la loi du 23 mars 2019 : le législateur a voulu à la fois que les divorces soient accélérés et simplifiés pour
désengorger les tribunaux et simplifier la vie des parties. Avant 2019, le juge devait s’efforcer de concilier les époux. Le but était de
faire en sorte que les époux s’accorde sur le type de divorce, et si possible qu’ils choisissent un divorce accepté. SURTOUT le juge
s’efforçait de concilier les époux, sur les conséquences du divorce. Désormais ce n’est plus cas : après demande en divorce ( 251 et 252) si
le juge ne la rejette pas,
Dans la demande introductive fige les dispositions législatives sur la médiation. Le législateur iblife les avocats à mentionner à leur client à
recourir à une médiation s’ils ne sont pas d’accord. 2emement, la demande introductive d’instance comporte l’homologation des accord
partiels entre les parties cad prend en compte ce sur quoi les époux se sont déjà mis d’accord 

- Proposition de règlement des intérêt patrimoniaux cad mini convention sur la façon dont els parties veulent régler leur intérêts réguliers.
- Comporte aussi sous peine de recevabilité une proposition de règlement de intérêt pécuniaire et patrimoniaux. A ce stade le juge peut
rejeter la demande ( Art 253) si elle est incomplète, s’il n’y a pas de proposition de règlement d’intérêt. S’il la rejette il peut avoir à se
prononcer sur des Q° importantes  contribution de charge. Si le juge ne rejette pas se tient une
audience que les cpéialits sur le divorce s’appelle l’AOMP, l’audience d’orientation et de mesure provisoire dont les modalités sont
exposés aux art 254 code civil
On va basculer vers un divorce pour faute à altération du divorce . A l’issu de cette audience, les époux choisissent un divorce adapté. Si
le juge estime que divorce bien accepté par les 2 ils prononcent la dissolution des liens.

Comment prive de son exercice de son droit Téléchargé par Ihab Ahmed Fathi (ihab10462@gmail.com)
lOMoARcPSD|22666343

IV- Divorce pour altération du lien conjugale


Loi du 26 mai 2004 : succède à 1975 pour divorce pour rupture de la vie commune. Ce divorce était fondé sur ‘l’idée qu’après une
séparation de fait des époux ou une aliénation mentales d’un des époux ( d’une durée significative) = alors droit au divorce.
Extrêmement contesté car on l’avait assimilé à une répudiation car avait été imposé par l’un des époux à l’autre.
Pour faire bonne mesure, le législateur avait mis à la charge du demandeur de divorce un certains nombre de charges  toute la procédure
et toutes les nombre de charge = « payé sa libération ». Le défendeur avait la possibilité d’un moyen de défense en invoquant la clause
d’exceptionnelle dureté.
En 2004 le législateur a choisit de rendre ce divorce + obj = en a fait un divorce faillite cad altération du lien conjugale. Divorce peut être
demandé lorsque le lien conjugale est définitivement altéré  Lorsqu’ils vivent séparément depuis un an ( art 237-238) lors de la demande
en divorce. Encore faut-il que la condition principale
soit remplie à savoir une séparation de faite cad ne plus vivre ensemble matériellement et en avoir l’intention cad violation de
l’obligation de toit de vie commun. Donc la séparation de fait fait présumer la cessation de la communauté de vie, qui elle-même fait
présumer l’altération de biens communs.

Convient il de maintenir divorce pour faute ? Long, lourd financièrement et procéduralement, déchire famille. Donc propost° de loi pour supp
du droit français le divorce pour faut.

A- Les faits qui constituent cette cause de divorce :


Longue histoire ( 1884 divorce seulement possible pour divorce pour faute : le législateur avait admis seulement 5 fautes possibles 
adultère, la condamnation a peine affamant, excès, sévices et injures graves), néanmoins loi de 1975 était très importante. Injures graves
= fourre tout du divorce pour fautes.
Loi de 1975 n’évoque plus seulement 5 causes de divorces pour faute, pour la bonne et simple raison que trop compliqué, on inventait pour
pouvoir divorcer…
Art 242 :
Condition d’imputabilité d’un fait personnel au conjoint : condition générale -> on ne peut pas me reprocher une faute si je suis privée
de discernement =pour qu’il y ait = il faut qu’il y est capacité de gouvernement. Le texte exige une violation grave ou renouveler des
devoirs et obligations du mariage + rendant la vie la commune intolérable.
Le texte parle de devoirs et obligations = ce qui relèvent de l’obligation juridique. Donc quand un des époux les violent

Comment prive de son exercice de son droit Téléchargé par Ihab Ahmed Fathi (ihab10462@gmail.com)
lOMoARcPSD|22666343

Le pb du divorce pour faute = on ne dit pas ce qu’on doit/ pas faire  les époux doivent avoir des relations sexuelles, les époux ne doivent pas
autorisé l’autre à pratiquer sa religion. « nous fait découvrir en creux les devoirs et obligations du mariage », selon Carbonnier et nous montrent
que ces devoirs et obligations sont évolutifs
Q° de l’appartenance à une secte n’est pas une faut en soit car sinon ce serait portée atteinte à la liberté religieuse c’est ce que rappel l’arrêt du
23 septembre 1997, de la cour appel de Dijon : divorce prononcé à ses tords exclusifs
Loi de 1975 a transformé le divorce pour adultère de cause péremptoire cad automatique cad que si adultère était prouvée, alors le
juge devait prononcer le divorce. Pk ? pcq adultère était considéré comme un délit pénale. Puis en 1975, cette qualification pénale est
supprimée, plus qu’une faut civile. Donc le juge peut condamner l’H/F adultère pour fautes, mais peut aussi considéré que adultère n’est plus une
faute  si adultère réciproque par exemple= devient une cause facultative.
A partir des années 2000, la cour de C° a abandonné le contrôle intransigeant formelle, en se contant que les juges du fond vérifie que les
conditions du fonds sont remplis, sans forcément visé cette formule. Donc soit les juges visent 242 et dans ce cas pas besoin d’utiliser
cette formule, si utilise pas 242= obligation d’utilise la formule

B- Titre ?

La présence de faits qui tentent de minimer la cause du divorce : Partage des tords

- Art 244 = réconciliation. Cellui qui invoque le réconciliation, ne peut pas se voir invoqué le divorce contre lui. Qu’elles en sont les
conditions ?
. Elément matérielle = reprise d’une véritable vie commune
. Elément psychologique = volonté soit expresse, soit tacite pour passer la faute et okok moove on sur la faute.
Ces conditions n’ont des effets que sur des fautes antérieures.

- Art 245 qui n’a pas été modifié depuis 2015 = Partage des faits = tord respectifs ->.

A a demandé contre B divorce pour faute MAIS A a aussi commis des fautes. CELA N’EMPECHE PAS LE JUGE D’EXAMINER SA DEMANDE. La faut du
demandeur excuse la faute commise défendeur = ça s’annule donc = divorce pas prononcé = 245 A.1
Autre hypothèse : les 2 demandes sont accueillis = divorce est prononcé aux torts partagés = 245 A.3. Le juge peut aussi se saisir d’office
de la responsabilité du demandeur ???
La preuve est libre.

Comment prive de son exercice de son droit Téléchargé par Ihab Ahmed Fathi (ihab10462@gmail.com)
lOMoARcPSD|22666343

Les époux ne peuvent pas appeler leur descendance pour témoigner des fautes de l’un de l’autre MAIS un descendant peut décider de lui-même
d’être entendu par le juge = on passe d’un divorce par consentement mutuelle déjudiciarisé à une divorce par consentement
judiciarisé.
Civile 1ère 17 juin 2009 : les courriers électroniques qui prouvent l’adultère relèvent d’une violation de la vie privée. Au stade des effets, sauf de
manière marginale : peut importante la cause de divorce.
Le divorce produit une dissolution de lien matrimoniale quelque soit la position de la cause, pour l’avenir sans rétroactive #
annulation. Toutefois, même si dissolution du lien matrimoniale pour l’avenir, il est difficile de faire en sorte que la mariage soit totalement effacé
pour l’avenir

I- La dissolution du mariage
Objet même du divorce, cette conséquence permet de bien distinguer séparation de corps et la nullité. Il créer pour les époux l’état de conjoint
divorcé lorsque passé par jugement ou résulte de la convention.

 Les effets personnels :


 Disparition des devoirs et obligations du mariage : tous disparaissent. Ex époux peuvent se remarier entre eux ou avec personne
tiers. Néanmoins, on peut difficilement considéré que 0 liens  ont quand même été époux, parfois ont pu obtenir des droits tels que avoir la
nationalité. Les liens d’alliances disparaissent. Mais les empêchement à mariage en ligne directe demeure. A la suite du divorce,
chaque époux perd le nom de son ex-conjoint, l’un des époux peut néanmoins le conserver avec accord de l’autre, soit intérêt particlier pour
lui  époux commerçant qui a dvp son commerce sous le nom de son ex-conjoint.

 Date à laquelle se produisent les effets personnels du divorce


Art 160 code civil, énonce un règle qui s’est complexifié notamment avec introduction du divorce déjudiciarisé. Pour le DCM non judiciaire elle
acquièrent force exécutoire du fait de la convention au rang du notaire qui a validé. Cette date fait démarrer les effets.
Pour le divorce judiciaire le principe c’est que les effets du divorce commencent le jour où le jugement acquière la force de la chose
jugée.
Art 262 précise que ce changement de liens matrimoniaux doivent être connus par les tiers -> la mif doit savoir qu’ils sont divorcés.

II- Les effets patrimoniaux


Le mariage connait des effets personnel et pécuniaires. La dissolution du lien conjugale a nécessairement des répercussions sur les
relations patrimoniales établies entre les époux et entre époux et tiers.

Comment prive de son exercice de son droit Téléchargé par Ihab Ahmed Fathi (ihab10462@gmail.com)
lOMoARcPSD|22666343

A- La date des effets patrimoniaux


Le principe reste l’art 260
Toutefois, il faut faire 2 distinctions :

- Date des effets patrimoniaux dans les rapports entre époux

- Same mais dans les rapports vis-à-vis des tiers

Art 262-1 qui a été modifié en 2016 et 2019, qui indique 3 dates selon le type de divorce et qui introduit un tempérament :
Dans leur convention ( DCM déjudiciarisé) les époux peuvent dire quels effets patrimoniales, pourra prendre effets quand. Et quand DCM
judiciaire conve homool
Pour faute effet patrimoniaux à la date de la demande de divorce. Avant 2019, ces 3 divorces

Arrêt Chernescki VS Ukraine : Personne avait divorce de sa femme pour en épouser une nature. Or, pas obtenu certificat attestant qu’il était
divorcé = ne pouvait pas se remariait. En plus il ne pouvait pas obtenir car retenu en prison.
Art 262-1 : date de décret patrimoniaux du divorce, la convention de divorce, par CSM déjudiciarisé, la date de la convention acquière force
exécutoire. Si les époux divorcent par CM déjudiciarisé les effets patrimoniaux du divorce à l’égard de tiers, prend effets le jour où cette
convention prend force exécutoire. Sauf que comme convention cad accord entre les époux, ils peuvent décider d’une autre date à
l’égard de laquelle la convention prend effet.
Pour divorce contentieux pour faute = effets commencent à se produire à partir de la demande en divorce. A la demande de l’un des
époux, le juge peut fixer les effets à la date à laquelle ils ont cessé de vivre ensemble et de collaborer. Il s’agit du cad où l’un des
époux estime que la date des effets soient en réalité avancée = peut être avantageux.
Fixation de la masse à partager particulièrement diff quand marié sous le régime de la communauté des biens. En effet, les époux peuvent
s’accorder pour considéré que si l’un d’entre eux a acquis un bien après qu’il est cessait de vivre ensemble MAIS avant la demande en divorce =
date de cessation de la vie commune qui sera retenue : intérêt est que ce bien acquis n’appartiendra pas aux 2 mais seulement à celui
qui l’a acquis.
Il est important que le jugement de divorce que vis-à-vis des tiers, les juges du fond recherche à quelle date à été effectué la mention en jugement
de divorce  bailleur peut réclamer le paiement des loyer à la femme pour la période antérieur à la proscription du jugement de divorce et que le
bailleur savait qu’elle avait quitté les lieux => comme instance de divorce on pense que n’a plus à payer le loyer FAUX -> jusqu’à ce que divorce
soit prononcé = doit répondre des devoirs et obligations qui leur incombe en tant qu’époux.
262-1 = effets patrimoniaux entre époux.

Comment prive de son exercice de son droit Téléchargé par Ihab Ahmed Fathi (ihab10462@gmail.com)
lOMoARcPSD|22666343

Le contenu de la discussion du divorce = s’approche de la Q° de la pension compensatoire.

III- Pension compensatoire


Loi du 26 mai 2004 = base de tout.
Union d’intérêt de manière concrète cad que divorce met fin au devoir de secours à la contribution au charge du mariage ainsi qu’à la
vocation successorale du conjoint qui est décédé. Les effets patrimoniaux vont être plus précis et étendu. Ils obéissent à 4 principes
directeurs que la loi du 26 mai 2004 a voulu mettre en relief :
 Le législateur a voulu dissocier cause et conséquence du divorce cad pendant très longtemps les choses se passait pour qu’à la fin d’un
divorce : il y avait un gagnant et un perdant qui payé le divorce. En 1975, Jean Carbonnier, a entendu multiplie causes de divorce et dissocie
causes et conséquence du divorce. MAIS connaissait un certain nb d’exceptions. Elles ont été supprimée par la loi du 26 mai 2004 = peu
importe la cause du divorce : les effets sont les mêmes.

 Le législateur a voulu affermir le principe selon lequel, les comptes doivent être soldés au moment de la prononciation du divorce = fait en
sorte qu’il n’y est pas de conflit post divorce.

 Principe d’accélération de la procédure de divorce -> tout à été fait pour qu’il y est des délais buttoirs à respecter par els partis, juges,
avocats pour évaluer els effets patrimoniaux et donc que divorce aille plus vite = - couteux et + simple pour els partis. Le législateur a mis en
place un calendrier des opérations de liquidation pour que les choses ne traînent pas.

 Rapports entre époux/ juges -> juge doit faire une place importante aux accords passés entre époux, Y COMPRIS, lorsque ce n’est
pas un DCM qui sera choisi  époux divorcent pour faute mais sont d’accord sur un certains nbs de choses = Q° des enfants. Tout est fait
pour que juge prennent en compte. Art 265-2 : les époux ont la possibilité au cours du procès de passer toute convention pour la
liquidation et le partage patrimoniale + art 268 A.1 homologation de juge réglant tout ou partie des donations et avantages qu'il avait
consentis à l'autre.
= DCM déteint sur les autres types de divorce.
Pk une telle incitation à ce que les époux, même dans les divorce contentieux se mettent d’accord ? Idée phare selon laquelle le jugement de
divorce sera mieux respecté si les époux auront participé à l'élaboration = ils ont + de responsabilité = vont + réfléchir & - se déchirer
car eux se mettent d’accord en face to face.

Comment se passe la dissolution de non-intérêt ?

Comment prive de son exercice de son droit Téléchargé par Ihab Ahmed Fathi (ihab10462@gmail.com)
lOMoARcPSD|22666343

Pendant le mariage, le logement familiale fait l’objet d’une protection par = art 215 A.3. Pendant al procédure de divorce c’est le juge peut
décider d’un tel ou tel qui occupe le logement. le droit au bail est réputé appartenir au 2 -> 1711 A.2. Si le logement était loué par
les époux, le droit au bail peut être attribué à l’un des époux en considération des intérêts sociaux et familiaux en compte cad
présence d’enfants  1751 1.2.
Quand 2 personnes sont marié = droit à pension réversion cad que la moitié de la retraite de l’un des époux est attribué à l’autre en cas de
disparition, money varie en fonction du nb d’année passé avec la période. SI divorce, peut toujours touché cette pension JUSTE personne ne doit
pas se remarié et pourra la toucher.

Section II- Les réparation pécuniaires


A- La prestation compensatoire # pension alimentaire
Environ 12% des divorces se soldent par versement de prestation compensatoire, car concentre un contentieux phénomène -> se bat – sur
qui garde les gosse mais plus sur prestation compensatoire. Un des époux peut être tenu de verser à l’autre une prestation destiné à compensé
autant qu’il est possible la disparité de la rupture du mariage créer dans les conditions de vies respectif = caractère forfaitaire cad
capital dont le montant est versé par le juge en fonction du nv de vie de l’autre qui gagne - = Art 270

VS pension alimentaire = exécution post divorce du devoir de secours. Le montant était fixé en fonction des besoins du créancier et des
ressources du créditeur cad nécessaire à la vie. Il s’agit d’un forfait donc a pas très bien marché en 1975 car mais plus en évidence que le
divorce met au devoir de secours # à partir de 1975 change = divorce met fin au devoir de secours = art 270 MAIS prestation compensatoire
ou pension de réversion qui sont elles trjs d’actualité même une fois divorce prononcé.

1- Fixation de la prestation compensatoire


Juge qui fixe la prestation compensatoire. Y compris dans les divorces contentieux les époux peuvent se mettre d’accord sur la prestation
compensatoire dans une convention et la soumette au juge qui valide ou non= 268 & 279-1.
 Il existe un avant 2004 : Divorce pour altération du lien conjugale ( 237-238) = pas de prestation compensatoire. En plus,
l’attribution des torts avait une incidence sur l’attribution de la prestation compensatoire (ancien art 280-1). Ce texte était remarquable car
une des manifestation de l’équité dans notre droit contemporain  Monsieur est partit avec sa maitresse mais comme sa femme très
charmante et tout a réussit à obtenir divorce à ses tords exclusifs alors qu’elle gagnait + que lui ?????

 un après 2004 : Le sens de conjoint n’est plus une condition pour le versement de la prestation compensatoire = art 270 A.3. Toutefois juge
peut refuser d’accord une telle prestation si l’équité le commande.

Comment prive de son exercice de son droit Téléchargé par Ihab Ahmed Fathi (ihab10462@gmail.com)
lOMoARcPSD|22666343

Soit quand divorce est prononcé aux tords de l’époux qui demande en plus ces circonstances. Le système parait plus claire, au sens où la
prestation compensatoire est un mécanisme neutre censé résorber tout conflit ultérieur. Donc le principe est quelle est du ou peut être
refusé au conjoint sur le pp de l’équité Arrêt 1ère chambre civile 10 juillet 2010 -> refus de la prestation compensatoire alors que la
charge des 4 enfants communs était entièrement assuré par le mari

B- La demande de la prestation compensatoire


Demande ne peut se faire que au moment de la procédure de divorce -> une fois le divorce prononcé on ne peut pas se réveiller -> folle
dingue rip. Pour que le système fonctionne il faut que le juge attire l’attention des époux sur le fait qu’ils peuvent demander à ‘l’autre
l’inscription des prestations compensatoire = 1076-1 du code de procédure civil = on ne peut prononcer le divorce, si la Q° des
prestations compensatoires n’a pas été réglé.
Civile 1ère, = cour appel avait pour apprécier la disparité des conditions de vie effectives des époux & avait reconnu que pendant la durée de
l’instance la femme avait occupé à titre gratuit le logement familiale = arrêt cassé car C° a dit que le fait que la femme ait occupé gratuitement
le logement pendant la procédure = respect du devoir de secours, pour accepter la demande de disparité = après et non plus pendant le
divorce.
Arrêt 16 décembre 2016, numéro 1528765, illustre la manière dont il faut apprécier la disparité et notamment au moment du divorce.
Arrêt 8 octobre 2014, 2 époux sous-officiers dans l’armée de l’air. Au moment de leur séparation avaient quitté armé pour aviation civile. Epouse
ne percevait pas de retraite militaire + salaires / 2 par rapport à son époux. Visa cassé art 271, le fait que l’épouse aient commis cette décision
d’un commun accord, bien que cela créer des défaillances financières = personne ne l’y a obligé.
Loi du 26 mai 2004 : auparavant la loi ne mentionnait pas la durée du mariage, mais la jurisprudence d’elle-même tenait compte de cette
durée. Il faut prendre la durée du mariage et non pas la durée d’une éventuelle vie commune du mariage.
Pour le présent = ancien critères tenant à la considération des qualification professionnelles
Montant de prestation compensatoires : Juges prend en compte toutes les ressources du débiteur. La Q° était de savoir s’il fallait tenir dans
l’évaluation des ressources du débiteur de ses indemnités personnelles suite à un accident  art 272 A.2 considéré non conforme par QPC, le 2 juin
2012 car indemnité font bien partit des ressources du débiteur.
Faut-il tenir compte des allocation familiales lors de la prestation compensatoire ?
Civil 1ère 5 sept 2018 :
Pour apprécier les ressources -> le juge ne peut pas tenir compte des sommes versés de la pension alimentaire pour les enfants #
diff c’est pour les gosses pas son ex. Faut-il tenir quand on fixe le montant de la prestation compensatoire d’une vocation successorale ?
Peut présumer qui ui, mais en soit non -> ne constitue pas un droit prévisible au sens des art 270 et suivants  la vieille tante peut quand
même dépenser tous son magot jusqu’à sa mort si elle veut : jurisprudence avec arrêt du 16 fev 2022, N°2120362, la cour de C° adopte une
jurisprudence constante qui exclut les droits non prévisibles = pas de transmission au CC par QPC car pas de principes violés.

Comment prive de son exercice de son droit Téléchargé par Ihab Ahmed Fathi (ihab10462@gmail.com)
lOMoARcPSD|22666343

Le fait que les futurs ex époux vivent en concubinage doit il être prise en compte dans le cadre de la prestation compensatoire ?
Arrêt chambre civil 1er 21 sep 2018 C° dit que cour appel avait pas répond à argument du mari selon lequel la femme vivait un riche commerçant et
menait une existence « bourgeoise » et « confortable » = était toujours mariée mais vivait en concubinage avec vieux et riche marchand. MAIS les
juges du fond ne peuvent pas tenir compte de la fortune du concubin puisque rien à voir dans l’affaire -> donc femme pas de droit sur la fortune de
son concubin.
Peut s’avérer délicate en pratique c’est la sanction du défaut de déclaration -> conclut par la détermination de la prestation compensatoire
est une institution d’ordre publique sur laquelle les époux ne peuvent pas transiger avant la procédure.
Le législateur a voulu relancer la pension alimentaire par prestation compensatoire qui soit versé une bonne fois pour toute et qui n’oblige pas les
parties à revenir devant le juge

1- Le principe de versement de capital = Art 270, 274, 275 & 275-1


Juge décide des modalités de prestation compensatoire en capital.
Loi prévoit les modalité de paiement suivantes :

- Juge décide que l’un doit PC à l’autre, il dit à cette époux le montant qu’il doit -> soit on les sorts tous de suite SOIT on ne peut
pas et dans ce cad = attribue un bien qu’on a en propriété en commun avec son ex= PC versé sous forme de capital OU peut
aussi payer en pls versements = art 275 du code civil. Le juge fixe les modalités de paiement dans la limite de huit années sous forme de
versements périodiques. En cas de changement important dans sa situation le débiteur peut demander une révision de la
prestation et le juge peut alors l'autoriser + peut même dépasser le délai de huit ans en motivant spécialement cette dérogation.

Expropriation = porte atteinte au droit de propriété qui est de base inviolable et sacré -> CEDH. Mais QPC 2011 : le CC émet une réserve à la
condition que la modalité soit subsidiaire
Cour de C° a le 8 juin 2016 cassé un arrêt d’appel qui avait précisément décidé que le versement de la prestation compensatoire prendrait
la forme de l’abandon de l’immeuble par l’ex époux. C° a cassé en disant que la cour d’appel n’avait pas constaté que le mari
pouvait s’acquitter de ses dettes par le versement d’une somme d’argent : aurait pu voir si pouvait payer en money mais non
direct tu cèdes immeuble.

- PC sous formes de rentes : Le juge peut par décision motivée fixée la PC sous forme de rentes viagère cad dure toute la vie =
dépend de la durée de vie du créancier car destinée à répondre à ces mesures. Il s’agit d’une rente dérogatoire comme le montre le
législateur : . système de
passerelle au sens où quand bien ordonné la prestation compensatoire sous forme de rentre peut toujours substituer le capital 276-4. :
le débiteur verse une partie du capital ; l'autre partie étant réglée par plusieurs versements déterminés par le juge selon la procédure prévue
à l'article 275 du Code civil (art. 275-1 du C. civ.).

Comment prive de son exercice de son droit Téléchargé par Ihab Ahmed Fathi (ihab10462@gmail.com)
lOMoARcPSD|22666343

Le remplacement d'une rente par un capital est justifié dès que le débiteur est en mesure de le payer et que l'âge ou l'état de santé du
créancier ne fait pas obstacle à une telle substitution  Cass. Civ. 1ère, 10 juillet 2013, n° 12-13239).
Toutefois, la rente peut être révisée en cas de changement important dans les ressources et les besoins de l'une ou l'autre partie (art.
276-3 al. 2 du C. civ.).A contrario, il faut en déduire que la révision d'une prestation compensatoire sous forme de rente ne peut se
traduire que par une baisse de son montant. La loi admet également l'existence de prestation mixte, c'est-à-dire à la fois capital et
rente.  276-4 = prévoit que le débiteur ou le créancier peut toujours saisir le juge afin de demander la substitution d'un capital à
la rente = considération du créancier que le juge fixe la rente. Le rejet de cette demande doit être spécialement motivé par le juge. La révision
peut donc avoir plusieurs effets : suspendre, supprimer, diminuer la rente voire la remplacer par un capital.
Il existe l’échelonnage du capital cad 8 fois max

DCM : les choses sont + simples : l’art 279 alinéa 3 prévoit que la convention homologuée peut prévoir une clause de révision mais peut aussi
concevoir la possibilité que la convention ne contiennent pas de clause de révision = partis peuvent retourner devant la juge et demander
au juge de réviser la prestation compensatoire contenu dans la révision  arrêt 8 juin 2016

Quelle que soit la forme de la prestation compensatoire, le juge peut décider de garantir son paiement en obligeant le débiteur à
constituer une sûreté. Cependant, une telle constitution ne peut pas être exigée a posteriori en dehors d’une demande de révision de la
prestation compensatoire  Cass. Civ. 1ère, 11 septembre 2013 (n° 12-25753).
A la mort du débiteur de la prestation compensatoire (art. 280 ) l'obligation de paiement est transmise aux héritiers qui ne sont pas
tenus personnellement, puisque quelle que soit la forme de cette prestation, elle s'impute par voie de prélèvement sur l'actif de la
succession, mais dans la limite de l’actif successorale cad doivent payer s’ils y a de quoi payer.
Les héritiers peuvent tous ensemble par un acte notarier décidaient de maintenir le paiement de la prestation sous la forme et selon les modalités
qui s’imposaient au décédé = de cujus Par conséquent, les héritiers ne sont tenus qu’intra vires (dans les limites des forces de la succession)
et cum viribus (sur les biens successoraux). S'il s'agissait d'une rente, celle-ci est immédiatement convertie en capital prélevé sur l'actif
successoral. Le décret n° 2004-1157 du 29 octobre 2004 fixe les modalités de substitution d’un capital à une rente viagère en indiquant le
coût d’un euro de rente viagère annuelle en fonction de l’âge et du sexe du crédirentier. En cas de désaccord entre les héritiers et le
créancier, il appartiendra au juge de fixer le montant du capital en application du décret.
En revanche, les héritiers peuvent décider de continuer à payer la prestation selon les formes et modalités de règlement qui incombaient au
de cujus = 280 -1, auquel cas ils s'engagent personnellement. A peine de nullité, les héritiers doivent formaliser leur accord par acte notarié, ce
qui permet également de l'opposer au créancier de la prestation.
Au décès du créancier de la prestation compensatoire, deux situations sont à envisager :
• Si la prestation est sous forme de capital, le débiteur devra verser la somme ou son solde aux héritiers.

Comment prive de son exercice de son droit Téléchargé par Ihab Ahmed Fathi (ihab10462@gmail.com)
lOMoARcPSD|22666343

• Si la prestation était versée sous forme de rente, étant viagère, elle cesse naturellement d'être versée à la mort du créancier.
Les dispositions nouvelles de la loi du 26 mai 2004 qui viennent d'être exposées sont applicables aux prestations compensatoires attribuées
antérieurement à cette loi. Par conséquent, elles sont applicables notamment aux rentes en cours de versement.
Lectr analytique : types de texte, qu’est ce qu’il dit cad sa thèse
2- Les dommages er intérêts de l’art 266
La prestation compensatoire n'a pour but que de rétablir un équilibre dans les niveaux de vie des conjoints après leur divorce, elle
ne peut pas réparer le préjudice moral qu'a pu subir l'un des époux du fait de cette rupture. Ainsi, il est possible d'allouer à cet époux une
réparation mais uniquement dans des cas limités (art. 266 du C. civ.).
Des dommages-intérêts ne peuvent être accordés qu'à l'époux qui a obtenu le prononcé du divorce aux torts exclusifs de son
conjoint et qu'à celui qui est défendeur à un divorce pour altération définitive du lien conjugal et qui n'a formé aucune demande
reconventionnelle. Pour autant, il faut que dans ces deux cas,
le divorce ait eu, pour le conjoint, « des conséquences d'une particulières gravités ». Par conséquent, le dommage qui est né du divorce n'est
pris en considération que dans deux situations de divorce et que s'il revêt une gravité importante.
Par ailleurs, il faut rappeler que, conformément au droit commun de la responsabilité, la victime devra prouver le lien de causalité entre le
préjudice et le divorce. Autrement dit, elle devra établir que la rupture est source d'un dommage moral très important. Autant dire
finalement que le législateur a voulu faire de l'allocation de dommages-intérêts pour cause de divorce un cas exceptionnel Ainsi, il est possible
d'obtenir des dommages-intérêts sur le fondement de l'article 266 du code civil en raison de faits de violence et de d'accès non consenti à une
messagerie électronique (CA RION, 2ème ch., 27 mars 2018, Dr. fam. 2018, comm. 176, J. Colliot).
Des dommages-intérêts peuvent également être obtenus sur le fondement de l'article 1240 du Code civil, mais sans que le divorce ne
soit à l'origine du préjudice. Il incombe à l'époux qui intente cette action d'invoquer un dommage qui est distinct de celui qui résulte de la
dissolution du mariage (Cass. Civ. 1ère, 7 février 2018, n° 17-14184).
Sans préjudice de l’art 266 = expression typique qui signifie indépendamment de la Q° de..dispose que : « Sans préjudice de l'application de
l'article 270, des dommages et intérêts peuvent être accordés à un époux en réparation des conséquences d'une particulière gravité
qu'il subit du fait de la dissolution du mariage soit lorsqu'il était défendeur à un divorce prononcé pour altération définitive du lien
conjugal et qu'il n'avait lui-même formé aucune demande en divorce, soit lorsque le divorce est prononcé aux torts exclusifs de
son conjoint : Cette demande ne peut être formée qu'à l'occasion de l'action en divorce ».
Que sont censés réparés ces dommages et intérêts de l’art 266 ?

Distinction de ceux de l’art 240 code civil = droit commun VS 266 préjudices propres cad que le préjudice qu’il répare est part 
matérielle ou morale que la dissolution du mariage fait subir au conjoint. Donc très spécifique car faut que époux qui le demande explicite qu’il
subit un préjudice part du fait de la dissolution du mariage # rien à voir avec attribution prestation compensatoire  14 dec 2004, 1-re chambre
civil, censure une cour appel qui avait condamné le mari a versé des dommages et intérêts car cour appel avait pas suffisamment expliciter le
préjudice :

Comment prive de son exercice de son droit Téléchargé par Ihab Ahmed Fathi (ihab10462@gmail.com)
lOMoARcPSD|22666343

 Matérielle  frais de déménagement


 Mais préjudicie retenue = préjudice morale  effets de réputation dans une société conservatrice, sentiment d’abandon particulièrement.
Dommages et intérêts attribué au regard de la manière dont l’épouse avait

Parfois juge du fond confonde les demandes formées sur le fondement de l’art 266 et les demandes formées sur l’ancien art 1382 aujourd’hui 1240
sur la responsabilité civile de droit commun ( cad faute et lien de causalité). Préjudicie morale  12 sept 2012

Section III-L ’autorité parentale après le divorce ( ou + généralement après la séparation)


Plus vraiment ( a exception près) de l’effet du divorce sur les enfants et l’effet de la séparation d’un couple de concubins ou pacsés qui ont des
enfants  loi du 4 mars 2002 = uniformisé les effets deu divorce peut importe que leur parents eut été marié ou pacsés.
Concept centrale = autorité parentale ensemble complexe de droits et de devoirs ( pas forcément lié à une finalité = découle d’un droit)
conférés aux père et mère ( maintenant aux parents) pour assurer l’éducation de leur(s) enfant(s) mineur(s) et qui a pour finalité
l’intérêt de l’enfant et non l’intérêt des parents = droit fonction cad comporte droit et devoir qui doivent être assurés dans l’intérêt
d’autrui cad ici de l’enfant.

371 a tous âge doit honneur et respecte à ses pères et mère VS 371-1 qui dispose : « L'autorité parentale est un ensemble de droits
et de devoirs ayant pour finalité l'intérêt de l'enfant. Elle appartient aux parents jusqu'à la majorité ou l'émancipation de l'enfant pour le
protéger dans sa sécurité, sa santé et sa moralité, pour assurer son éducation et permettre son développement, dans le respect dû à sa
personne ». L'autorité parentale s'exerce sans violences physiques ou psychologiques.
Les parents associent l'enfant aux décisions qui le concernent, selon son âge et son degré de maturité.
Droit fonction = autorité parentale : droit appelé par la doctrine qui dispose que droit qui s’oppose à la notion de droit discrétionnaire cad droit
qu’on exerce pour soi et donc que je peux l’exercer sans contrôle autre que la limite constitutionnel classique  droit de propriété.
Historiquement chef de famille en droit romain = pater familias + plus tard 1804 = droit de correction paternel de l’enfant, quand de nos
jours tout vise à protéger l’enfant notamment par el biais du droit fonction.
De nos jours l’autorité parentale est de + en + contrôlée par le juge, essentiellement entre conflits entre els parents = place centrale dans
la sphère familiale s’agissant de l’autorité parentale. Il y a aussi une montée en puissance du contrôle administratif sur la famille. Tout cela
aboutit à une 3e évolution = montée en puissance du concept de parentalité cad idée qu’être parent est pas seulement en être le géniteur
c’est un rôle, une fonction : pilier wsh tu le mets pas ou adoptes pas seulement, tu t’en occupes aussi !
Egalité H/F -> jusqu’à loi 4 juin 1970 = besoin de désigner chef de famille qui était le père. Mais loi de 1970 = changement et donc le rôle et
l’importance de la femme a évolué. Enfants a des droits c’est une personne juridique bien que mineur est donc sujet de droit =
incapable mais possède droits, devoirs et singularité qu’il faut respecter.

Comment prive de son exercice de son droit Téléchargé par Ihab Ahmed Fathi (ihab10462@gmail.com)
lOMoARcPSD|22666343

Ces manifestations se sont matérialisés par pls lois où on observe une accélération des lois ces dernières années.
1987 : Loi de Malhuret 1993 : créer le jaf 1996 :
adoption Loi de 2007
4 mars 2002 : 2 lois promulguée toutes les 2 capitales  lois Kouchner + loi relative à l’autorité parentale. Loi du 9 juillet 2010 : sur les
violences conjugales et les effets sur les enfants
loi du 13 mai 2013 = mariage pour tous , ordonnance 15 octobre 2015 2016 : protection de l’enfance
ordonnance 23 mars 2019 =
Loi du 10 juillet 2019 : relative à l’interdiction des violences éducatives ordinaires qui a ajouté alinéa 3, art 371-1 = montre influence droit
international et européen sur le droit français + illustre très bien la Q° de l’intervention du droit, en réponse à la Q° de savoir s’il faut interdire la
fessé.
Loi du 28 décembre 2019 = visant à agir contre les violences au sein de la famille

Parlementaire ont décidé de compliquer de viser spécifiquement dans une loi les châtiments corporelles à visé éducatives  lesquelles, intrusifs
Art 19 de la CEDH + comité européen des droits sociaux qui vérifient la conformité du respecte par la France de ses engagements = France violait
cette chartre en interdisant pas ou statuant pas sur le châtiment corporelles à visé éducative = c’est pk A.3 de l’art 371-1.
Qui ? Quel est le contenu de l’autorité parentales ?

Section I- Les titulaires de l’autorité parentale


Conformément au pp du droit naturel = autorité parentale est dévolue aux parents. Cela semble évident mais on pourrait concevoir que les
enfants seraient soumis à l’autorité d’un organe  Etat : welcome to Russia.
Droit civil se fait autorité parentale appartient aux parents =
Dès lors, qui dit autorité parentale confié au parents, il faut savoir qui sont les parents. Puisque parents-enfants sont liés par un lien qui est
celui de filiation : lien juridique qui se définit comme le lien de droit entre un parent et son enfant : Importance capitale en matière
d’attribution de l’autorité parentale à l’époque où les filiations étaient hiérarchisés # plus le cas de nos jours enfants nés dans le mariage pas +
hype que enfants nés hors mariage.

I- L’attribution initiale de l’autorité parentale : double filiation = reconnus par 2 parents.

Comment prive de son exercice de son droit Téléchargé par Ihab Ahmed Fathi (ihab10462@gmail.com)
lOMoARcPSD|22666343

 Double filiation établit simultanément  Attribué à l’enfant en fonction du mode d’établissement de la filiation. A l’époque enfants
étaient distingués d’adultérins, adoptés, vrais…Double filiation établit cad :
- enfant qui a une filiation établit simultanément avec son père et avec sa mère = concerne tous les enfants nés de parents
mariés.
- concerne les enfants nés hors mariage mais qui sont reconnus simultanément par els 2 parents soit au moment de la
naissance soit pendant la 1ère année de vie de l’enfant = 372 A.2 code civil.
= attribution de l’autorité parentale est attribué en commun au 2 parents = principe dit de ‘l’attribution conjointe de l’autorité
parentale qui date de la loi du 4 juin 1970 et qui étaient limités aux enfants dits légitimes.
 Double filiation mais établit successivement :
- Enfant nés hors mariage, reconnus d’abord par la mère, et ensuite autre parent mais après le 1er anniversaire de l’enfant.
Jusqu’à ce que le 2e lien soit établit = enfant a une seule autorité parentale. Une fois le 2nd lien de filiation établit, l’autorité parentale
peut devenir autorité conjointe = Art 272 A.3 = rentre dans le cadre normal d’une autorité parentale.

 Enfants dont la filiation n’est reconnue qu’à l’égard d’un seul parent. C’est à ce moment là qu’est dévolu ou attribué autorité parentale  enfant né d’un inceste ne peut être
reconnu que par un parent, sinon reconnaitre les 2 parents = reconnaitre inceste.

1- Divorce ou séparation.
Sans incidence sur autorité parentale = révolution. Longtemps pb vu que sous angle du divorce à savoir une séparation judiciairement prononcée de parents légitimes. A partir des
années 75, ouverture du divorce et recrudescence du nb de divorce -> se pose la Q° de la garde des enfants après le divorce et des problèmes juridiques.

Avant 75 : pb existait déjà mais bcp – d’enfants et ne plus toujours dans le cadre du divorce pour faute. Dans ce cas, le pp était d’attribuer la « garde »=, à l’époux qui avait gagné le
divorce pour faute ( souvent la femme ) mais le juge pouvait quad même décider à qui il attribuait la garde car on put être un mauvais mari mais bon père

Loi de 1975 a abandonné les références à la cause du divorce sur les effets pour les enfants. Depuis, le seul critère d’attribution est l’intérêt de l’enfant. Peu après il y a eu une
explosion des naissances hors mariages et les protestations des pures divorcés qui ont forcé le législateur à s’attaquer aux situations de ces enfants et du fait qu’ils étaient trop
souvent attribués à leurs mères -> dans les jeunes âges toujours le cad que majoritairement attribué à mère mais reste – présent qu’avant  Laurent.

Loi Malhuret = 22 juillet 1987 = officialisé la pratique de la garde de conjointe soit sur autorité parentale conjointe de ses 2 parents. Loi du 8 janvier 1993 emploi le terme « exercice
conjoint de l’autorité parentale », encore + explicite avec la loi du 4 mars 2002 qui a clairement dissocié la Q° du divorce ou de la séparation VS de la Q° des rapports des enfants
avec chacun des parents et a appliqué le régime aux enfants de parents séparés ou divorcés.

« couple parental perdure au-delà

Comment prive de son exercice de son droit Téléchargé par Ihab Ahmed Fathi (ihab10462@gmail.com)
lOMoARcPSD|22666343

¤ Lorsque les parents ont été mariés ( sauf DCM déjudiciarisé) = pour divorcer besoin de passer devant un juge, qui fixe les règles relatives à l’autorité parentale et à la résidence.

¤ Mais quand parents ont pas été marié = juge ne sera pas obligatoirement saisit -> n’est saisit que si les parents sont en désaccord

A- Les règles d’organisation.


Chez qui l’enfant doit-il vivre ?

Juge fixe la résidence habituelle de l’enfant # diff de la garde qui met dans le même sac la Q° de la résidence + autorité parentale.

Résidence alterné = art 373-2-9, avant très spécifique pour parents qui avaient accord et pratique  s’entendaient bien, habitaient pas trop loin l’un de l’autre. Maintenant peut même
être confié si parent pas d’accord.

De base c’était fixé chez la mère : le parent chez lequel l’enfant ne vit pas demeure libre et devoir d ‘avoir des contacts avec cet enfant car jouit de l’autorité parentale conjointe c pk
juge fixe droit de visite : 373-2-9 A.3 : droit de visite

Exception = exercice unilatérale de l’autorité parentale qui s’explique par intérêt de l’enfant. Celui qui est privé de l’autorité parentale = privé de son exercice et non pas de son
droit cad reste un parent et va donc toujours pouvoir voir,: Donc même si plus autorité parentale, le parent peut toujours :

. droit de visite et d’hébergement = 373-1-2  ce droit d’hébergement ne peut être retiré que pour motifs graves

. garder contact avec ses enfants  Parent titulaire de l’autorité parentale s’arrange pour que enfants voient plus père sans leur consentement = sinon délit pénale : 227-5 du code
civil = non représentation de l’enfant.

. Droit de surveillance de l’entretient et de l’éducation de l’enfant -> c’est pk besoin d’être informé des choix importants relatifs à la vie de ce dernier = 373-2-1 code civil

Loi du 4 mars 2002 = pas de plus dans le droit F car mv de contractualisation du droit de la famille : parents peuvent faire une convention sur les modalités d’organisation des gosses =
art 373-2-7 : juge incite parents à se mettre d’accord pour que le juge homologue cette convention vérifie que la convention assure l’intérêt de l’enfant.

Juge saisit soit par 1 parent soit ministère public lui-même alerté par un tiers = 373-2-8.

Aptitude des parents = r

388-1 : article issu des exigences de la Convention internationale des droits de l’enfant = dans toutes procédures, un enfant doué de discernement a le droit d’être entendu.

Art 371-5 : en principe on ne sépare pas les fratries : enfant ne doit pas être séparés de ces frères et sœur sauf si pas d’autres choix et que c’est dans l’intérêt de l’enfant. Les juges
du fond doivent trjs se prononcer en vertu de l’intérêt supp de l’enfant et non pas celui des parents = grosse jurisprudence dessus 

Comment prive de son exercice de son droit Téléchargé par Ihab Ahmed Fathi (ihab10462@gmail.com)
lOMoARcPSD|22666343

C’est pk cour de C° exerce un réel contrôle sur les décisions qui motivent les arrêts rendu en fonction de l’intérêt

2- Que se passe-t-il en cas de décès de l’un des parents ?


Autorité parentale = droit qui remplit une fonction sociale qui est celle d’élever un enfant selon son intérêt jusqu’à ce qu’il atteigne la majorité = droit ne peut pas excéder, être
renoncer = droit indisponible = art 367. Toutefois, art 377 prévoit 2 cas dans lesquels l’autorité parentale peut être délégué à une autre personne que son titulaire légale :

 se désintéresse
 principe mais si exercée par els 2 parents, le décès de l’un a pour conséquence qu’elle est entièrement dévolue à l’autre. SI le 2 e meurt = besoin d’une tutelle pour enfant
mineur.
 Si A.P déléguée seulement à 1 seul parent & qu’il meurt = exercice est attribué au parent survivant. MAIS si ce dernier n’a pas montré un réel intérêt envers l’enfant cad n’a pas
exercé droit d’hébergement ou pris des nouvelles = juges peut confier l’autorité parentale à un tiers = art 373-3 A.2 = délégation ne peut être forcé.

Contenu de l’autorité parentale = protéger enfant dans sa sécurité, sa santé et sa moralité. A.3 ajouté par loi du 4 mars 2002 : « enfant est associé au décision qui le concerne selon son
âge et durée de maturité ».

Autorité parentale figure dans une partie du code civil relativement à la personne de l’enfant :

1- Sa résidence
Droit essentiel de l’autorité parentale = fixé le domicile de l’enfant et faire en sorte qu’il y reste jusqu’à ces 18 ans = art 371-3 + 375-5 A.2.
= Du pt de vue des parents = ne peuvent s’y soustraire = art 371-1 et 227-1 code pénale. Parents ont obligation de nourrir entretenir et élever leur enfant = art 203 code civil. La
résidence est fixé au lieu de résidence des pères et mères. Avant 4 mars 2002 = surveillance et protection de l’enfant :

° intrusion à sa vie privée -> veiller à ce que la vie privée de l’enfant soit respectée

° protéger son droit à entretenir des relations avec des ascendants ou tiers (371-4).

 Concernant le devoir d’éducation : devoir d’inscrire son enfant à l’école, mais droit de choisir le mode de scolarisation

 Contentieux importants concernant le choix de la religion de l’enfant :

- avec un contentieux qui se subdivise entre chacun des 2 parents sont d’accords et élève leur enfants d’une certaine manière d’un pt de vue religieux : juge examine si la
manière dont enfant est élevé selon certains percepts religieux = met sa vie en danger ou pas ?  secte.

Concernant les actes médicaux : Acte usuels =

Comment prive de son exercice de son droit Téléchargé par Ihab Ahmed Fathi (ihab10462@gmail.com)
lOMoARcPSD|22666343

Art 371-1 A.2 : parents protègent enfant dans sa sécurité moralité et santé -> pose ici 2 pbs :

¤ faut-il que les 2 parents consentent à un acte médical concernant l’enfant

¤ est ce que les mineurs peuvent participer juridiquement à cet acte

Art L1111-2 II code de la santé  texte prévoit que les mineurs ont le droit de recevoir une affirmation et de participer à la prise de décisions les concernant, d’une manière adapté à
leur degré de maturité. Ceux qui sont titulaires de l’autorité parentale et son enfant mineurs ont le droit d’entendre la décision, et de prendre part à al décision en fonction.

Art L1111-4 : Q° du consentement à l’acte médical doit être systématiquement recherché s’il est apte à exprimer sa volonté et à participer à sa décision. Lorsqu’un médecin a devant
lui un patient mineur, il doit faire distinction entre acte médicale banal, usuel, sérieux devra donner en fonction du degré de maturité du mineur et le faire participer à la décision =
application pp bien connu cad que + le patient participe, plus le traitement s’avère être d’autant plus bénéfique.

La Q° des vaccins -> certains obligatoires d’autres pas :

 vaccins obligatoires : figure art L3111-2 : les personnes titulaires de l’autorité parentales sont tenues personnellement responsables de l’exécution de l’obligations vaccinale
 Vaccination contre le COVID pas obligatoire : voir site du ministère de la santé la valse-hésitation à laquelle cela a donné lieu : consentement d’un ou 2 titulaires ?

L2212 du code de la santé publique : IVG = résultante d’une lente évolution car avant devait avoir accord des titulaires des parents

L111-5-1 : ces 2 arts sont expressément présent par le législateur comme une dérogation à l’art 371-1 code civil

Contentieux témoin de Géova très important dans années 2000 : pour pers majeurs C.E a décidé que médecin devait passer outre la volonté de la pers pour sauver sa vie si danger de
mort. Plusieurs loi ( 2005, 2016) autorisé l’arrêt des soins mais pas pour les mineurs -> mais pour les arrêter équilibre entre volonté de la personne et devoir du médecin d’assistance à la
personne en danger.

Concernant enfant mineur : titulaire de l’autorité parentale qui refuse une transfusion sanguine qui sauverait la vie de leur enfant = tombe sur le coup de l’art 371-2.

Q° de l’arrêt des soins sur une personne mineure : qui doit décider et peut-on arrêter de prodiguer des soins sur une personne mineur en fin de vie  Q° du conflit entre titulaire de
l’autorité parentale et médecin : conseil d’Etat 5 janvier 2018, N°416689 & CEDH Jamila Affiri 23 janvier 2018

II- Les biens de l’enfants.


Comment s’exerce l’autorité de l’enfant s’il a des biens ?

Enfant mineur = incapable juridiquement MAIS supposons qu’il ait des biens  a hérité, qu’il travaille et perçoit des revenus.
En pp il ne peut pas gérer ses biens pcq mineur. C’est pk la loi confie cette gestion de biens de l’enfant mineur au titulaire d’autorité parentale. Cette mission de gestion des biens par
père et mère = administration légale. Ces règles figure aux art 389 et suivants du code civil, qui forment un correctifs sur le plan patrimonial à l’incapacité du mineur.
Ces règles ont été modifié par ordonnance du 15 octobre 2015.

Comment prive de son exercice de son droit Téléchargé par Ihab Ahmed Fathi (ihab10462@gmail.com)
lOMoARcPSD|22666343

Les titulaires de l’exercice de l’autorité parentale gèrent les biens de l’enfant dans le cadre de l’administration légale -> si exercé conjointement ( règle) 2 parents l’exercent si
autorité parentale est unilatérale alors seulement le parent qui la possède peut exercer administration légale.

Les parents administrent biens de l’enfants, 386-1 code civil, mais comme pas leur bien = compromis définit à art 387-2. A.1 complété par art 386-1 et suivants code civil = droit de
jouissance légale  2 parents sont titulaires de l’autorité parentale, et leur enfant a hérité d’un studio suite à la mort de sa grand-mère. Ce studio est loué. Les parents, ont le droit de
percevoir et de s’approprier les revenus des biens de l’enfant mineur, à charge pour eux de les utiliser pour l’entretient de leur enfant mineur. Donc pas besoin de restituer les sous à
la majorité de l’enfant si les ont utiliser pour son éducation.

Effets du mariage putatifs = effets du mariage qu’on croyait valables mais qui ne l’était pas -> produisait les même effets qu’un divorce cad effet pour avenir seulement. Les effets du
mariage entre époux ( bonne ou mauvaise fois…) et vis-à-vis des enfants ( dps 3 janvier 1972 = choses ont énormément changé -> avant cette date lorsque mariage annulé et que les
2 époux avaient fait concept de mauvais fois cad ils savaient que leur mariage étaient affecté par cause de nullité mais mariés quand même = enfants né de leur union étaient nés
hors mariage => pas même droit que si né légitimes et imputer une partie des droits des enfants car à l’époque distinction entre enfant adultérins et légitimes.

En revanche bonne fois de l’un des époux suffisait pour estimer que enfants étaient légitime.

Avec loi 1972 = Art 202 code civile : peut importe que parents aient fait preuve de mauvaises fois = enfants restent légitimes et pourront donc être reconnu comme légitime +
l’autorité parentale est exercée sur eux comme en matière de divorce

Partie 2 : L’enfant
Titre I- La filiation
Comment établit-t-on le lien de filiation qui relie un enfant à son parent ?
Filiation = lien de droit qui unit l’enfant à son père ou à sa mère et qui est + ou – dépendant du fait biologique sans qu’il est y nécessairement coïncidence

Dit 3 choses :

 Filiation = lien de droit cad créer par le droit = pas biologique c’est créer par le droit  théorie de F.Héritier-Augé qui stipule que la filiation est un lien juridique et non bio.

ATTENTION : ne veut pas dire que la filiation biologique ne coïncide pas avec la filiation juridique -> très souvent lié mais pas toujours +

 Lien de filiation est divisible -> lien d’obligations avec ses parents, juridiquement le lien de filiation est reconnu avec le père, mère ou les 2, juridiquement on est pas l’enfant
d’un couple mais de 2 personnes qui représente notre père/mère.

 Coïncidence n’est pas toujours nécessaire qu’il correspondent à la vérité biologique ( quels sont les géniteurs de l’enfant).  filiation adoptive = filiation à part entière cad
que enfant adopté est juridiquement l’enfant des parents adoptifs -> parents adoptifs ont sur lui tout les droit de parents, bien que dans la filiation adoptive, il n’y ait aucun
support adoptif. Que la filiation soit conforme aux liens biologiques ou totalement déconnecté la filiation est un ensemble complexe qui mêle des données biologiques des

Comment prive de son exercice de son droit Téléchargé par Ihab Ahmed Fathi (ihab10462@gmail.com)
lOMoARcPSD|22666343

données sociales, des données culturels, des données individuels, familiales, réelles et imaginaires. Droit de la filiation ne peut pas ignorer ce caractère multidimensionnel du
lien de filiation. Toutes vision qui négligerait soit la vérité biologique, l’aspect imaginaire, culturel = serait réducteur et e permettra pas d’apprendre ce phénomène
extrêmement complexe.

Filiation peut être :

 Issu d’une relation charnelle -> filiation de l’enfant suite à un rapport sexuel entre ce qui deviendront son père et sa mère :

. filiation légitime : née de rapport sexuel entre personnes mariés

. Naturel : nés de parents non mariés

= Jusqu’à l’ordonnance de 2005 Fin 20e est venu s’intégrer la filiation des enfants issus d’une PMA.

 Adoptive -> non fondée sur un rapport sexuel de la mère et le père car enfant est adopté et donc a des géniteurs, mais ses parents cad personnes avec qui il a lien de filiation
n’ont pas eu de rapport sexuel entre eux pour l’avoir.

. Hypothèses contentieuses et non contentieuses concernant la filiation -> faut distinguer cas où on évoque rapport de filiation entre un enfant et
son parent sur un mode contentieux ( à l’occasion d’un procès = contentieuse doit prouver notre filiation)
. les cas où on l’évoque sur une mode non contentieux ( prouver notre filiation avec qqn pour toucher des prestations).
. Dans d’autres cas -> liens de filiation fait lui-même objet d’un projet -> établir judiciairement par un juge un lien de filiation pcq pas établit
= actions en établissement de liens de filiation  Soit une personne possède lien de filiation envers qqn cad soit l’un des 2 ou un tiers va
contester ce lien de filiation judiciairement.
Au terme de ces réformes, les pps structurant la matière ont profondément changé -> de 1804 à 1972, le droit de la filiation était fondé sur le
prima du mariage = enfants issus du mariage étaient les seuls légitimes = inégalité dans la filiation car différenciation légitimes et
adultérins.
De nos, fondés sur 2 notions :
° claire = égalité entre les enfants cad tous égaux devant loi quelque soit leur mode de conception
° complexe = droit de la filiation est fondé sur la notion de vérité -> le lien de filiation doit être conforme à al vérité. Mais le pb est que quand on
dit ça on ne dit pas grand-chose : de quelle vérité parle-t-on ??
Ordonnance du 4 juillet 2005 ratifié par loi du 16 juillet 2009 = législateur a complètement réformé le droit de filiation.

Comment prive de son exercice de son droit Téléchargé par Ihab Ahmed Fathi (ihab10462@gmail.com)
lOMoARcPSD|22666343

Chapitre I : Règles relatives à la filiation


Promotion de l’enfant = Ensemble des règles qui forme la condition juridique de l’enfant

Contentieuse ou non la filiation doit être prouvée car lien juridique = pas obvious que fille de mes parents.
Existence ou inexistence de ce lien biologique devient essentiel quand la filiation est contesté ->
 Preuve de la maternité = enfant née d’une femme -> comment on prouve la maternité ? Droit exige la preuve que tel enfant est né de
tel femme qui a accouché = mater semper certa est = la mère est toujours certaine. A partit du moment où la mère accouche
d’un gosse bah sur que c’est la sien quoi puisque sort de son ventre.
Sous réserve de l’accouchement sous X : la maternité d’une femme à l’égard d’un enfant est établit la date à laquelle la femme a accouché de
l’enfant + identité de la mère.
 Preuve de la paternité = Père est toujours incertain : cependant pour l’établir :
- Suppose dans le droit que mari de la mère est le père de l’enfant = art 312 alinéa 1er du Code civil, dispose que « l'enfant
conçu ou né pendant le mariage a pour père le mari » .
- Soumette l’enfant qui naissent à un examen biologique pour vérifier que homme est bien le père

Comment prive de son exercice de son droit Téléchargé par Ihab Ahmed Fathi (ihab10462@gmail.com)
lOMoARcPSD|22666343

Mais pb est que atteinte à la liberté individuelle et privé et paix des familles = fait que ajd le droit recours à des présomptions.

I- Les présomptions de la filiations


Raisonnement qui permet en partant d’un fait connu, un fait inconnu. Le droit de la filiation a été construit à une époque où bcp de faits biologiques qui étaient inconnus  1804 tu
peux pas trop de faire tester pour vérifier que t’es le père de l’enfant. Droit a établit 2 présomptions à l’époque car pas l’échographie :

 Relative à la période légale de la conception : art 311 A.1code civil = « L’enfant a été conçu pendant la période du
 Relative à la date précise de la conception : 311 A.2 = conception est présumée = une approximation qui permet de fixer les limites temporalle à partir de laquelle l’enfant est
réputé avoir été conçu

A- Le contenu des présomptions


La seule chose que l’on comminait avec certitude est la date de naissance de l’enfant = système émi en droit pour dater conception de l’enfant.

Présomption omnni melliore momento = très utilisé pour savoir si un enfant était adultérin ou pas.

La présomption peut être simple ou irréfragable : L’article 311 A.3 énonce que la preuve contraire est recevable pour combattre els présomptions vu au -dessus.

L’intérêt de l’enfant commenda qu’on retient telle date. One ne condkure pas que la science doit incliner devant l’intérêt supérieur de l’enfant ( si l’échographie montre qu’il a été
conçu à cette date on la garde). C’est à celui qui invoque une date différente de cette qui est présumé d’en apporter la preuve. Cette preuve contrainte peut être apportée par tout
moyens car ils ‘agit de prouver la date de la conception de l’enfant et cette date = fait juridique.

II- Les moyens classiques de la filiation


A- Le titre ou selon J.Carbonnier : la vérité officielle
Il s’agit de la preuve préconstitué de la filiation cad que du titre qui a été établit pour faire la preuve de la filiation. En matière de filiation l’acte de filiation : 310-3 :

 Acte de naissance = acte authentique qui établit dans des formes part = Art 57 ( modalité des informations qui figurent sur l’acte de naissance).

 Acte de reconnaissance = Il faut que l’acte de reconnaissance reconnaisse l’enfant qui doit être porté en marge de l’acte de naissance

Comment prive de son exercice de son droit Téléchargé par Ihab Ahmed Fathi (ihab10462@gmail.com)
lOMoARcPSD|22666343

 Possession d’Etat = C'est ce qu'on appelle la possession d'état : Réunion de faits permettant d'établir la filiation d'une personne avec un parent dont elle se dit être l’enfant .
Selon Carbonnier la vérité vécue = fait qui produit des conséquences juridiques pcq’on considère que la plus part du temps, ce fait est conforme au droit.

Notion de la réforme du 3 janvier 1972 -> s’agissant de cette possession d’Etat d’enfant, c une présomption légale relative à la filiation : s’agit d’un ensemble de faits connus qui
font apparaitre de ‘lenfant comme issu de tel ou tel = à partir de la vérité sociologique la loi déduit l’existence d’une fait inconnu à savoir le rapport de filiation entre un individus
et le parent auquel cet enfant prétendu être attaché  311-1. Ce recours à la possession d’Etat comme mode de preuve de la filiation et quand il n’y a pas de titre.

= Rapport juridique entre une personne et son parent. MAIS l’établissement de ce lien de filiation fait entrer l’enfant dans la famille du parent.

Les pps faits dont on peut se déduire un lien de filiation !

La manière dont l’enfant est traité par ses présupposés parents et celle dont l’enfant les a considérés  s’il est traité comme un enfant et s’est comporté à leur égard comme tel, cet
élément de la possession d’état = tractatus ( traitement)

C’est la situation de l’enfant aux yeux de la famille, des étrangers et de l’autorité publique doit être reconnu lien de parenté avec l’enfant  introduit par loi de 3 janvier 1972 = fama
( réputation)

Porte le nom de famille de la personne dont elle est issu : contribue à l’apparence d’intégration, en tant que précisément celui qui découle normalement de la filiation invoquée=
nomen (nom)

Pour rétablir cette position d’Etat, ne suffit pas que le demandeur montre que a fama, practatus…Besoin que le droit de la filiation transpose.

Il faut que cette possession d’Etat soit ( art 311-2)= continue, paisible, publique et non équivoque  25 octobre 2005 rendu au visa de l’art 311-1 code civil = affaire singulière car
personne avait acte de naissance mais ne mentionné aucun lien de filiation ( car pas obligé mais précise par contre oblig where, when born).
Par acte du 28 avril 2000, X engage une action tendant à faire constater qu’il était l’enfant naturel d’un certain Y et ce dernier avait été condamné à mort et exécuté 3 ans après la
naissance de X.

X demande à ce qu’un lien de filiation a été établit, pour pouvoir porté son nom. Cour appel rejette sa demande et C° casse les arguments de la cour d’appel et accepte les demandes du
demandeur aux motifs que la cour d’appel a considéré chacun des faits séparément sans chercher à savoir si un temps bref s’est écoulé entre la naissance de l’enfant et l’exécution de
celui-ci.

La possession d’Etat joue un rôle différent selon qu’on est en présence d’un titre ou pas ( car peut quand même invoqué quand il y a un titre) :

 Absence de titre = possession d’Etat est un mode autonome d’établissement de la filiation  art 317 du code civil

 Si enfant a un titre cad qui dit nés de tel personne qui mais que cet enfant est élevé par pers considère comme parents et parents le considère = filiation est inattaquable
quand bien même gosse est pas leur enfant biologique.

 En revanne quand la possession d’Etat et le titre diverge = très fragile.

Comment prive de son exercice de son droit Téléchargé par Ihab Ahmed Fathi (ihab10462@gmail.com)
lOMoARcPSD|22666343

La possession d’Etat joue un rôle inconsidérable en droit de la mif. La filiation repose sur des faits qui ne sont appréciés souverainement par un juge et qui ont une dimension
filandreuse. C’est quoi être traité comme une enfant ? Père ? Dimension très subjectif. C pour cela que c’est une notion très controversé en droit de la filiation. Un des chantiers auquel
s’est attaché le législateur c’est encadrer la possession d’Etat.

L’ordonnance du 4 juillet 2005 a repris les éléments constitutifs traditionnel de la possession d’Etat en revanche ordonnance a modifié la pruee de la possession et la manière dont elle
produit un lien de filiation = le sujet plus que le juge constate une réunion de faits pour en tirer une possession d’état. Il faut qu’elle été officiellement constaté.
Désormais art 310-1 : «la filiation est légalement établie, dans les conditions prévues au chapitre II du présent titre, par l'effet de la loi, par la reconnaissance volontaire ou par la
possession d'état constatée par un acte de notoriété. Elle peut aussi l'être par jugement dans les conditions prévues au chapitre III du présent titre ».

Acte de notoriété de constatation de l’Etat = cadre non contentieux cad pas cadre où on établit en justice une filiation par possession d’état. On demande au juge de constater une
possession d'état. Cette acte de notoriété = art 317 qui énonce : « Chacun des parents ou l'enfant peut demander à un notaire que lui soit délivré un acte de notoriété qui fera foi de la
possession d'état jusqu'à preuve contraire ».

Aujourd’hui par la science on sait prouvé le rattachement génétique d’une personne à une autre -> depuis années 1950, on sait grâce à expertise sanguine démontré que un tel n’est
pas le père de tel enfant. Mais il a fallu années 85-90 pour qu’on puisse démontrer positivement que un tel est le père de tel enfant = empreintes génétiques.

29 juillet 1994 : modifie le code civil avec les lois bioéthiques : le législateur a fait le choix de soumettre le recours aux empreintes génétiques à une procédure judiciaire. Donc la
preuve scientifique ( bilogoique, sanguine) n’est admissible que lorsqu’un projet a été engagé afin d :

*établir lien de filiation

*contester un lien de filiation

A- L’accès limité à la preuve biologique


Définit par art 16-11 code civil : En France ont peut faire faire un test génétique de complaisance cad fait un test de nous même = pas invocable en justice -> pour que soit pris en
compte = besoin que le juge ait demandé qui conclut l’expertise à un laboratoire agréer.

B- B

Outre le fait que le législateur n’admet le recours aux expériences juridique que dans le cadre judiciaire déjà existant = encadré l’administration de cette preuve.

3e règles fondamentale = 16-11 A.2 : le consentement de l’intéressé est requis cad A veut faire établir sa paternité vis-à-vis de B sans acte de naissance ou de possession d’Etat. Il
intente une action, juge accepte d’ordonner le test, va le faire faire dans un laboratoire agréer + B doit être d’accord par rapport au pp d’inviolabilité du corps humain art 16-3 code
civil. Cette règle figure à 16-11 A.2 mais mise en pratique a posé pbs :

 Je veux faire établir lien de filiation vis-à-vis d’une personne décédé. Q° posée peu après loi de 1994 qui avait dit besoin du consentement de l’intéressé mais pas prévu si
intéressé était déjà mort  popularisé par affaire Yves Montant ( 6 nov 1997) qui de son vivant à fait l’objet d’une action de recherche en paternité par une femme qui

Comment prive de son exercice de son droit Téléchargé par Ihab Ahmed Fathi (ihab10462@gmail.com)
lOMoARcPSD|22666343

prétendait être sa fille. Il s’était opposé à un prélèvement de son vivant, puis une fois mort les juges ont interpréter le silence de la loi, ont ordonné l’exhumation au père
lachaise….

Loi du 6 aout 2004 a modifié art 16-11 qui dispose sauf accord expresse de la personne issue de son vivant, aucune identification par empreinte génétique ne peut être réaliser
après sa mort. On voit les intérêt en présence -> intérêt de faire établir filiation car important dans la personnalité VS paix des familles et le respect dû au mort. Très souvent on ne
peut pas concilier ces 2 pps.

 Que se passe-t-il si au nom de l’inviolabilité du corps humain je refuse l’expertise génétique lors de l’action en justice ? Le juge peut, en se fondant sur le droit commun de la
preuve tirer souverainement les conséquence du refus à partir du moment où il est corroboré par d’autres éléments -> alors juge peut établir un lien de filiation.

Comment prive de son exercice de son droit Téléchargé par Ihab Ahmed Fathi (ihab10462@gmail.com)

Vous aimerez peut-être aussi