Exposé Espagnol

(Partie Maxence)

Mesdames messieurs bonjour, Bienvenue dans ce journal recensant les nouvelles de la semaine, qui
sont notamment préoccupante pour les habitants des villes et villages situés aux abords du volcan
Cotopaxi situé au sud de la capitale équatorienne : Quito.

Les scientifiques se questionnent beaucoup à propos de l'avenir de ce volcan suite aux récents
signaux qu’ils ont captés ce 27 octobre 2022, bien que la dernière éruption recensée date de plus de
100 ans, (1903-1904). En effet le volcan “cou de lune” nommé ainsi par sa taille culminant presque
les 6000 mètres d'altitude et d’une superficie de 280 km² inquiète les équatoriens. Il est le volcan
encore actif le plus grand d'Équateur, et ces funestes nouvelles rappellent aux équatoriens, les
sombres événements de 1877 qui fut l'éruption la plus dévastatrice de ce volcan. En effet de
nombreuses vallées et ville ont été ravagées et les scientifiques ont peur de revivre ce ce drame. Le
volcan étant de type explosif, la principale menace est l'émission de fumée qui est particulièrement
meurtrière. La capitale de Quito se situe à plus de 60 km du volcan, il n’est pas un danger pour ses
habitants. En revanche, pour ce qui est des villages se situant dans la province de Cotopaxi, la fumée
est un véritable danger qui peut faire d'énormes dégâts, c’est notamment le cas de la ville de
Latacunga. En dépit des dégâts humains (d’autre part), une nouvelle éruption du volcan situé dans la
partie centrale de la cordillère des Andes aurait aussi un impact sur les vallées aux alentours/ Faunes
et flores seraient recouvertes par des coulées de lave qui causeraient des dégâts irréversibles sur
l’écosystème du parc national de Cotopaxi.

Moi :

Depuis mi octobre, le volcan monte des signes d’agitation.

En effet, un rapport sur le volcan Cotopaxi indique que dans l’après-midi du 27 octobre 2022, de la
vapeur, des cendres et des gaz ont été observés au-dessus du cratère. Il y avait également des pluies
et un orage.

Les 26 et 27 octobre 2022, l’Institut géophysique a effectué deux vols de reconnaissance au-dessus
du volcan afin d’effectuer des mesures.

Des images thermiques ont pu être capturées grâce à une caméra infrarouge portable, elles ont
démontré que les températures dans la zone du cratère restent à des niveaux similaires à ceux
mesurés auparavant. Ils ont également à l’issu des mesures annoncé que les émissions de vapeur
d’eau et d’autres gaz volcaniques comme le CO2, le SO2 et H2s ont augmenté par rapport aux mois
précédents.

Ces émissions de vapeur et de gaz ont été projetées entre 500 et 1000 mètres d’altitude de plus que
le cratère du volcan.

C’est ainsi que le service national de gestion des risques et des urgences (SNGRE) a déclaré une
« alerte jaune ». Le système de surveillance des volcans équatoriens est divisé en trois niveau
d’alerte :

- L’alerte jaune, qui est un avertissement de la menace. Il s’agit donc de celui actuellement
attribué au volcan Cotopaxi
 - L’alerte orange qui prépare à une éventuelle éruption imminente
- L’alerte rouge, la plus grave qui signale elle une éruption en cours

Ainsi, pour le moment ce volcan est sous surveillance avec des contrôles quotidiens, mais il n’y a pas
de danger immédiat.

On sait pas encore

Toutes ces incertitudes sur le volcan iquiètent fortement les habitants et en particulier les
agriculteurs et éleveurs situés aux alentours.

Nous avons par exemple trouvé un témoignage datant d’octobre du dirigeant l’Association des petits
et moyens agriculteurs de la paroisse Mulaló, dans le canton de Latacunga

Cette ville est à 10 kilomètres à vol d’oiseau du volcan Cotopaxi.

Ce groupe concentre plus de346 membres. Sa production de lait dépasse 3 500 litres de lait par jour
qui sont commercialisés aux entreprises de pasteurisation de Quito et Latacunga.

Le leader qui s’appelle Fausto Chiquito est inquiet parce qu’ils n’ont pas de plan d’urgence pour une
éventuelle éruption du volcan Cotopaxi.

Les agriculteurs ont peur parce qu’ils ne savent pas ce qui arriverait à leurs animaux sile paysage
changeait.

Dans l’interview, l’homme dit :

« En cas d’urgence, nous n’avons pas d’écuries pour emmener nos animaux. Nous ne sommes pas
protégés. Nous espérons que les autorités arriveront pour savoir où nous devons nous mobiliser. La
dernière fois, ils nous ont dit que nous devions aller à Macachichi »

Les moyens mis en œuvre pour anticiper une éruption volcanique sont très insuffisants, par exemple
en 2015, de petites granges ont été construites pour abriter 10 animaux, mais elles ne suffisent pas.
Pour cette raison, les techniciens du ministère de l’Agriculture et de l’Elevage (MAG) de Cotopaxi
réfléchissent actuellement pour mettre à jour le plan d’urgence. Le but est de préserver le bétail si un
jour il y a une éruption.

Dernière partie :

Depuis le déclenchement de l’alerte jaune sur le volcan Cotopaxi, les unités éducatives situées dans
les zones vulnérables font des exercices d’évacuation dans le cas ou le volcan entrerait en éruption.
Cela permet aux nouvelles générations de connaître le plan d’urgence à suivre, ces exercices
s’inscrivent dans le cadre de la mise à jour des itinéraires de sécurité que doivent connaître les
enfants des différentes unités éducatives du secteur. Les autorités affirment que ces exercices leur
permettent d’identifier les failles et de se préparer dans un cas futur ou le volcan entrerait en
éruption. En effet le volcan Cotopaxi et le plus grand volcan actuellement actif.

Conclusion :
Pour conclure, il faut noter que le volcan a actuellement une activité basse et est extrêmement
surveillé. Des mesures régulières sont effectuées par les scientifiques afin d’effectuer des prévisions.
De la prévention est effectuée dans les écoles, on peut ainsi dire que la situation est sous contrôle. Il
y a cependant un faible risque qu’il ne faut pas négliger.

De plus, même si le volcan ne présente pas de danger dans l’immédiat. Il entraine cependant des
complications indirectement. Par exemple, la pluie de cendres de volcans actifs peut perturber les
vols intérieurs et internationaux et donc causer la fermeture des routes principales.

Il y a également un risque au niveau de la santé des habitants situés aux alentours puisqu’ils
respirent des vapeurs toxiques.

Mais globalement, il faut retenir que tant que l’alerte reste jaune. Il n’y a pas de dangers immédiats.

Merci pour votre écoute.

Traduit :

Maxence :

Damas y caballeros hola, bienvenidos a este periódico de noticias de la semana, que es

especialmente preocupante para los habitantes de las ciudades y pueblos situados en las cercanías
del volcán Cotopaxi situado al sur de la capital ecuatoriana: Quito.

Los científicos se preguntan mucho sobre el futuro de este volcán tras las recientes señales que han
captado el 27 de octubre de 2022, aunque la última erupción registrada data de más de 100 años
(1903-1904). De hecho, el volcán "cuello de luna" llamado así por su tamaño que culmina casi los
6000 metros de altitud y una superficie de 280 km² preocupa a los ecuatorianos. Es el volcán aún
activo más grande de Ecuador, y estos funestos nuevos recuerdan a los ecuatorianos, los oscuros
acontecimientos de 1877 que fue la erupción más devastadora de este volcán. En efecto, numerosos
valles y ciudades han sido devastados y los científicos tienen miedo de revivir este drama. Como el
volcán es de tipo explosivo, la principal amenaza es la emisión de humo, que es particularmente letal.
La capital de Quito se encuentra a más de 60 km del volcán, no es un peligro para sus habitantes. En
cambio, en las aldeas de la provincia de Cotopaxi, el humo es un verdadero peligro que puede causar
enormes daños, como es el caso de la ciudad de Latacunga. A pesar de los daños humanos (por otra
parte)una nueva erupción del volcán situado en la parte central de la cordillera de los Andes tendría
también un impacto en los valles de los alrededores/Faunas y flores quedarían cubiertas por
corrientes de lava que causarían daños irreversibles al ecosistema del parque nacional de Cotopaxi.

(Environ 2min30)

Romain :

Desde mediados de octubre, el volcán muestra signos de agitación.

En efecto, un informe sobre el volcán Cotopaxi indica que en la tarde del 27 de octubre de 2022 se
observo vapor, cenizas y gases sobre el cráter. También hubo lluvias y una tormenta.

Los días 26 y 27 de octubre de 2022, el Instituto Geofísico realizó dos vuelos de reconocimiento
sobre el volcán para realizar mediciones.

Las imágenes térmicas han sido capturadas con una cámara infrarroja portátil, demostrando que las
temperaturas en la zona del cráter se mantienen en niveles similares a los medidos anteriormente.
Las medidas también anunciaron que las emisiones de vapor de agua y otros gases volcánicos
aumentaron en comparación con los meses anteriores.

Estas emisiones de vapor y gas se proyectaron entre quinientos y mil metros más alto que el cráter
del volcán.

Así, el Servicio Nacional de Gestión de Riesgos y Emergencias (SNGRE) declaró una «alerta
amarilla». El sistema de vigilancia de los volcanes ecuatorianos se divide en tres niveles de alerta:

- La alerta amarilla, que es una advertencia de la amenaza. Por lo tanto, este es el que actualmente
se atribuye al volcán Cotopaxi

- La alerta naranja que se prepara para una posible erupción inminente

- La alerta roja, la más grave que señala una erupción en curso

Así, por el momento este volcán está bajo vigilancia con controles diarios, pero no hay peligro
inmediato.

(Environ 2min20)

On ne sait pas :

Todas estas incertidumbres sobre el volcán afectan fuertemente a los habitantes y en particular a los
agricultores y ganaderos

Por ejemplo, en la parroquia Mulaló, en el cantón de Latacunga que es una ciudad situada a 10
kilómetros en línea recta del volcán Cotopaxi. Existe un grupo de ganaderos que se titula la
Asociación de Pequeños y Medianos Agricultores

Este grupo tiene más de trescientos cuarenta y seis miembros. Su producción de leche supera los
très mil litros de leche al día que se comercializan en las empresas de pasteurización de Quito y
Latacunga.

El líder Fausto Chiquito está preocupado porque no tienen un plan de emergencia para una posible
erupción del volcán Cotopaxi.

Los agricultores están asustados porque no saben lo que le pasaría a sus animales.

En effecto, en la entrevista, el hombre dice:

« En caso de emergencia, no tenemos establos para llevar a nuestros animales. No estamos
protegidos. Esperamos que las autoridades lleguen para saber dónde debemos movilizarnos. La
última vez nos dijeron que teníamos que ir a Macachichi»

Los medios utilizados para anticipar una erupción volcánica son muy insuficientes, por ejemplo en
2015, se han construido pequeños graneros para albergar a 10 animales, pero no son suficientes. Por
esta razón, los técnicos del Ministerio de Agricultura y Ganadería (MAG) de Cotopaxi están
reflexionando actualmente para actualizar el plan de emergencia. El objetivo es preservar el ganado
si un día hay una erupción.

(Environ 2min20)

Dernière partie

Desde el inicio de la alerta amarilla en el volcán Cotopaxi, las unidades educativas ubicadas en las
zonas vulnerables realizan ejercicios de evacuación en caso de que el volcán entre en erupción. Esto
permite a las nuevas generaciones conocer el plan de emergencia a seguir, estos ejercicios se
inscriben en el marco de la actualización de las rutas de seguridad que deben conocer los niños de las
diferentes unidades educativas del sector. Las autoridades afirman que estos ejercicios les permiten
identificar las fallas y prepararse para un caso futuro en el que el volcán entraría en erupción. De
hecho, el volcán Cotopaxi y el volcán más grande actualmente activo.

(1min)

Conclusion
Para concluir, hay que señalar que el volcán tiene actualmente una actividad baja y está muy vigilado.
Los científicos realizan mediciones periódicas para hacer previsiones. La prevención se lleva a cabo
en las escuelas, se puede decir que la situación está bajo control. Sin embargo, hay un bajo riesgo
que no debe descuidarse.

Además, aunque el volcán no presenta peligro inmediato. Sin embargo, causa complicaciones
indirectamente. Por ejemplo, la lluvia de cenizas de volcanes activos puede interrumpir los vuelos
nacionales e internacionales y, por lo tanto, provocar el cierre de las carreteras principales.

Existe también un riesgo para la salud de los habitantes de los alrededores, ya que respiran vapores
tóxicos.

Pero en general, hay que recordar que mientras la alerta siga siendo amarilla. No hay peligros
inmediatos.

Gracias por su atención

(1min10)